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E~post~oyt de
FFte~/KM~c des
e~M~poMcFtces
Gauthier-Villars
Paris 1874
EXPOSITION
CELA
f
MÉTHODE DES ÉQUIPOLLENCES.
BAtttS. MPRtMEMK BE 6At!THtER-VtLLAM,
MU
MÉTHODE DES ËQHPOLLEKCES
PAh
GÏUSTO BELLAVÏTIS,
PrttMMor t rtttttrttM de PtttMt. ![«tthn J< t'tMtttMYtnMt))
tt de )t SoctM ttOftmt <t« Xt. SfMMM du ter<me dtttHt
TKADCM DE Ï.'ÏTAHEN X~
fjm F~
C.-A. LAÏSANT,
Ct)<t)ttce <o Max. <mdm Ëtèrt de&MX Pat)'t<*)~m.
y
PARIS,
GACTtHER-VtLLARS, MPMMEUR-UBRA!RE
DE L'ÉCOLE POt.TTECn!?ftQCE, DU Bt-ttBAC CES t-OXmTCOES
srCŒSSKR DE NAH.);T-MCHEUE!t,
QMi des ANj!U~!n~, a~.
~874
PRÉFACE DU TRADUCTEUR.
') ~oaMrtfett'oat
<&M let
dans ~om~tr~M'
eonttructinnsgfométrtgnes. tfMi. (Pttrit,Gauthier-Villars,
IAo6, (Paris, Gettthier-Vitbrt,
<( On doit convenir, dit-il, que la Science serait beau-
coup plus satisfaisante si l'on pouvait en baser toutes les
parties sur des raisonnementsrigoureux, sur une évidence
du prcmierordre, sur des idées simples,palpables, comme
celles des élémentsde Géométrie. Eh bien, c'est là le but
que je me suis proposé et que je crois avoir atteint.
H
Non-seu!ementj'ai atteint ce but, mais j'ai rencontré
en même temps un autre résultat qui n'est peut-être pas
moins précieux avec un nouveau système d'Algèbre, que
je cherchais, j'ai trouvé un nouveau système de Géomé-
trie auquel je ne m'attendais pas. Ce ne sont cependant
pas deux sciences: ce n'est qu'une seule science, une
seule théorie, A~uc~ea deux faces, Z'Mnea/~r~tteet
~'<tM~'e géométrique. C'est une Algèbre émanée de la
Géométrie, c'est une Géométrie généralisée et rendue
algébrique (*). »
La confusion ressort nettement de ce passage, et on
la retrouve dans la brochure el!e-mémc, ou les considé-
rations algébriques sont mêlées complétement avec les
considérations géométriques; ces dernières, d'ailleurs.
tiennentune place relativement restreinte, et les appli-
cationssont peu nombreuseset peu liées entre elles. Peut-
être aussi faut-il attribuer en partie cette absence de ré-
sultats géométriques élégants à la complication un peu
artificielle des notations adoptéespar l'Auteur.
L'opuscule de Mourey, parait-il, n'était que l'abrégé
d'un ouvrage plus considérable; mais celui-ci n'a jamais
été publié, et il est permis de supposer qu'il ne satisfai-
sait pas aux exigences de la Géométrie d'une façon plus
eomptt'te que la brochure, par ailleurs si intéressante,
dont nous venons de parler.
Aïjm*PMMM. Ct~t,.
drottM.
4. Produit d'une droite par aa nombre 5
5. Sommes géomëtriqaet. ËquipoMencm polynômes. Somme
géométrique de ptMfeurt
6. Construction d'une mnttne~éométriqne. 7
8
potyaOme.
de$ëqMtions.
7. Construction d'âne ëqutpotienee
8. A.nalogies Mec )ec!t)cut
8
9. Résolution d'aneequipotïence. o
9
indinthoat.
13. fneMntbon d'nne
14. Sen* de*
oppe~ëe!
droitM.
15. Inclinaisonsde droites
16. Produits ou quotients de
t
tti
t~à
t3
homoj~ne.
t7. Interprétation d'une équipollence
<S. Principe fondamental. Les trmMformttioM: permisesdans les
t6
4
14
td
Si les deux termes d'une équipollenee
des inclinaisons diBerentes,chaenn d'eux est nul.
binôme ont
t~
ontmenteincttnoiton.
20. RtG).E relative équipollencestrinômes, dont déni termes
t~
2!. tnterprémtien Eeometriqoe de* resntttto pteeedentt.PttM
M. Propriété* du parallelogramme.
M. Rtt.Lt tV, relative t des équipollencestrinômes, dont tt~tt'rmes
)(!
t)j
triangle.
~~<«!<tf<0!M.
tmiedroitt.
31. Cofton-nM H.– Quadrilatère dont la somme dM angles opposés
ses'ontegtut.
est de un droit ou de
32. CattM.tttM Ht. Quadrilatèredont les produitsdete~tM oppo-
degrët.
33. CoMU-AtM IV. QMdrihtèredont la Mmme de deux angles
opposé* est de 60
aR
t('
34. CoftOHAtM V. Sur trois droite: inetittëet à 6t degrésles 'mea
sur les autres 1-;
35. Tntotttmc. SiBL&CB, on aAB.AD-t-BC.CB+AC.t.A.~o.. t?
36. Corollaire relatif au triangle 28
37. &em~rqae<ur)ecoroH~reprécedent.
38. Figurer directementet inversement ecmblabtet.
N. Pour tout quadrilatère ABCD, Il existe un point t, tel que ABt,
9<)
99
sembhMet.
donnée!
BCI sont des triangles directement
40. Trouver le sommet commun de deu triangles direetementsem-
b)àbte<,debMe<
PropriëtMdet'heMs'
41. Proprietët d'un triangle coupé par une
42.
tMMïena!e.
30
3t
33
3~
43. ThéorèmedeDe«u'j;ue<
point à
3i
tutre. 1
drotte.
44. Procédé pottr rapporter un un 3G
~-7.
45. Conjngt'eed'une 3J
46. RtGL: V. A toute eqoipottente eorreepona't'ëqntpoMencecon-
données.
juguée 37
47. Trouver le sommet communde deux triangles inversement sem-
blables de bases
48. Emptotdntigne comme eoe<Ment.
49. Interprétation du raman conttderé en txi-ntéme.
40
40
38
antre.
54. Rttiu: X. Somme géométrique d'one droite et de sa eonju-
42
55. Projectiond'une droite sur une
56. REctt XI.
guée prise en signe contrttite.
Somme géométrique d'une droite et de sa conju-
queteon~ue.
60. Aire d'an pentagone. Aire d'un polygone
Cttintnt. ~5
6~.
poHeneet.
)'ë)im!n«tion.
f~e~~ ~~r<M.<
61.Conséquencesgéométriquesdet principesde la méthode dct fqoi-
eAB-f~-C&AOC.
Éqxipo))enee
5.
5o
65.
66.
67.
<'AB-r.fCDAOH.
Êquipollence
Éqaipotteacet'AB-rt'COAOC.
51
5t
5~
68. ËquipottetMe<'AB-t-t"*CDAOC.0
Pro~S-tMet divers.
BX=a-j-mCX.
AD.
69. Construire un triangle CBX, connaissant CB, CBD et la relation
précèdent.
Addition du Traducteur an n" 69: antre solution du problème
attiformee.
70. Plus courte distance de deux points animés de mouvements rec.
j
Ji.;
tilijj~ea
71. Extension à l'espace du problème précèdent.
7?. Construirean triangle ABC, connaissant AB, AC et la bissectrice
55
5H
?
73. Propretéde la bissectriced'un angle d'un triangle 58
Addition du Traducteur au n" 73 autre démonMration de la
propr[étéde)tb!s<e<:tT!<'c.
donnet.
74. Construire un triangle, connMMtnt les longueurs de deux côtés
et les potittom '<e deux points conpant deux c&te* dans des
rapports
5t)
60
X" PMtt~
côtés du tritngteABC.
76. Déterminerle point X d'o& t'oc voit tout des angles donntt lea
detennintats.
80. Emploi d« foMthtMalternées ou
doan<ie*
8t. Condition pour que )M perpendiculaires Mt extrémités des
65
68
6<)
donnée*
droites OA', OB', OC* <e rencontrent en un même point. :o
â2. QMOnttrtre à un cercle un petTgonedont )a on~et aient teum
sommets tttué~ sur d« droites données ou soient degK~deit~
83. CMptrttctttier.
84. On donne A, B, C; tronfer la b~e commune des triangles AXY,
';tx
Mtution.
85. Conettaireun tn<n)(jte,connttMtnt la base, le produitou le rap-
port dea deux autres eatM, et la somme on la diSerence de
deux angles à la b<M
d'tmpoMihMte.
donné.
86. Autre ~6
87. Cas ',7
<<8. On donne trois circonférences ayant un même point commun t.
Mener la droite IXZY, telle que XZ, XY soient dam un rap-
p0)t
89. )htMM:on à quatre tphtre: ayant un point
Additionsdu Traducteur au no 89
commun. ~9
Formules w~ottO~f~aM.
90. Formule fondMaentate.
9t. Rehtion entre deux côtés d'un triangle et les angles opposée.
83
84
92. RtpreMioMde* nnat.aMinnt et tangentes 9~
93. MMtonentM un <mete<!tkto4té<t. 85
ëstM.
94. Relation entre deux cotet, l'angle compris et un angle opposé..
95. Quadrilatère ayant deux angles opposés
86
87
précédentes.
96. ËqaipottenMtentre deux dro!t« quelconques
97. Emploi des formules
:?
89
f~tt.
t.
X
JSjf<f<'«'et sur /< trianp.
dépotât*
98. Problème. On donne un triangle ABC; E divise AB dent
un rapport donne déterminer la tongaMf CE = iig
93. Théotème sur le barycentre (centre de ~ft~té) d'an système
go
tOO.Application au triangle <);
reMontreHdethMteuMdatritttgteABC.
tM. Rthtfoa entre le btryeenMeG d'un triangle, te centre R du
cercle circonscrit, et le point de rencontre H des hauteurs. 9~
Relations dtvenM.
105. Conséquenceralatire au quadrilatère
t07.Cerdede<M<tfp<intt.
t<M.CerdetaM~td<a<untfi<a{;!e.
inMriptiMe.
106. Relations entre te: points A,B,C,H et leur btryceah-e 0.
95
95
96
9~
ctKMMrft.
109,
triMete.
SomuM des M'jfomt des tercte* <<t<etit et
110. Barycentre F du périmètre d'an
<i!. Re)ttte<tentretepe!atFet!Meefcteteida«!r!t<
99
toi
!<M
tOtMMnëgttttf.
112. Barycentresdu périmètK! d'un triangle, en regardant un eOté
<0t
JE.f<f<iM««o- /Maires ~c~~tMM~t.
tt~CMgenértt.
113. Produit det ai)*<a de dent polygone*. –CM d: deux trit)]j;te<. to3
précédente. t«.;
triangle.
115. Remarque mr la <t<<Mt!on
petygonet.
116. Pseadt~entre d'on aaemblagede
117. Cas d'an
ttS.MaMhXémt.Ahed'MmoMhMra).
te~
toS
to6
)«<'
ptettton <ymM!que.
S«ti<[M.
M9. Produitdes tttrM d'M petygoBeet d'an )!)MM!tter*h &t-
t0~
bar;Matre:
120. Théet~me de
Addition du traducteurau no t'M Qae!qa<tpMp~étt* des
107
'"S
tnhtnnotttqoe.
J&wn!MM<w~ae~MM~aet(«MU
121. Rappoft
MhttmoctqaM. n
<!e C<eB)<'<)')'c<tt/«fMBM.
))<
)M.ngatetiaMMe<
122. Foïmutw TetMtvM aux rapports
U2
t
t'inSni.
eat.même*
124. Points correspondantsde ceux à
Ptttt
<3
125. Pointe se correspondant à
tï6. Detenninttion des centres d'invertion. t
t27. Propriété* des point; M correspondant & Mt-mètnM.
n5
d'tnYenion.
< t!;
t!o. Relation eatM les points M correspondant à eux-mêmes et
semblablea.
p)tn.
tM centres 116
129. Cas des a~te* )6
130. CM où les centresd'tMert!onM!netdent. m
t3t. Relations entre Mïpo!nMd'nn ))8
m. ConttdéMtioMsur l'usage de la méthode des eqnipoMtnee*. tt8
tV* PAMtt!. AttUCATM!" enttttM A tA MEOHtE DES COntttS.
ff~BMtMt'rM.
133. Représentation
134. Représentation
<I*<mee<wbe.
po!nt.
du mouvement d'un
t<8
tM
M5.PMtédëtdet<ttcat&emptayer. m
parabole.
Ttngente.
t!6. Éqoipottencede la
t38.Soct-ttneente.
137.
vecteur.
JP~f<t<0&.
m
tM
n!
peaant. n~t~
t39.Anste de la tangente et du rayon
t40. Mouvement parabolique d'ca point
t4t.Kormtte.–Sou<-nonntte.
tt! III
de la courbe.
t43.D<tetoppée.
conrbure.
Transport de l'origine
142.
t44. Rayon de
au sommet ta5
127
ù
i'
normtta.
Tangente.
Z/Kp<e.
t45. tqulpollence do t'eHipte. 117
t46. Propriété de ta
t47. Premier théorème d'Apo!!«niM. t~
129
148. Second théorème d'ApoHo)t!m<,et propriétéde la tangente.. t!o
constante.
t49. Trouver les foyors, connaissant deux diamètres conjngttee. t3)
t50. Deteription de MHpM,par un point d'unedroite de tonpteur
t'hyperboie.
Addition du traducteur <n n" 152 ÉMde de
t39
133
t33
d
~&)Me.
cyctotde.
!M.!MriTeedet' t~
153. Génération et équipollence de la
y
normale. t.
conttdérë.
155. Tangente et
dé~etoppëe.
)56. Aece)oration du mouvement
f3x
imparfahe.
)3o
ta7. Rayon de courbure, et <3:)
courbe.
iM. Développée
Quadrature.
)59. Trajectoires orthogonales d'unecyctolde glissant sur sa base.
160. Rectification de la
)6t.
tj{o
tjjtc
tjr
t~
J*Mt/t)n<t ~fn~feM'.
163.
t65.
t66.
Cas de
procédé.
courbe.
t6!. Genératite des applications de la méthode des équipollences. tj3
Trouver la développée d'une
tM. Autre
coordonnées orthogonttes.
Exemple de la spiraletoetrithmtque.
t~
ti'
!~5
)t6
t67. Construction géométrique du rayon de courbure t46
t68. Nouvelle expression du rayon de courbure t48
t69. Déterminer l'ordre du contact de deux eourbM. t.i8
ItO. Exemple d'une parabole et d'une cireonferenee.
t7). OMu!<tt!on dedem mourements.
courbe.
f.i9
)3o
172.
tM.
Cereteotcatatear d'une
courbe.
De<~toppée imparfaited'une
donnée.
t5'
'.)'
ptétédeM.
t74. Déterminerune courbeparallèleIl une courbe t5~
'5~
cercle.
Ï75. GenérattMtion du proMème
donnée.
!*?. Détermitterles développantes d'une courbe 'i4
t77. Rayon de courbure de la développante. o4
t78. Développantedu
M.
t79. Direction de la droite MW qui divise par moitié la corde
inSniment petite paraHète a la tangente en
courbedonnee.
ÏSO. Parabole ayant un contact du troisième ordre Mec une
'55
'56
'S?
quetconque.
t8t. Exemple de la dë'tetoppanMdu cercle <?
Addition du traducteur au n* t8t Extension 4 une courbe
parattètet.
182. Cas des coordonnées
t83. Exemple de la spirale logarithmique
159
tHo
<6t
conrbcdonnëe.
tM. Conique ayant un contact du quatrième ordre avec une
cercle. t<
tS5.
ptraUètet.
Exemple de la déïetoppanta du
!o7.E'[emptMd!'<-<!M.
t86. Cas des coordonnées
t63
'64
courbe*
irariaMe.
t88. Enveloppe d'un ayatème de
189. Changement du paramètre
'64
t6j
)66
t90. Probtemo sur les enveloppes, relatif à t'eUipte.
précèdent. 0
t6<!
t91. Rentarquea sur la solution du problème t(!S
t92. Trajectoires obliques des ellipses concentriqueset confocales )<i8
t" pttM
t. '<e~o~tt* oblique.
cMtbepiMe.
Addition* dtttttda«e<nt <m n" M!
d'un t;<tèmedecourbes planes. M. Dèretopptmted'une
mêaMprobtéme. 170
t93. Solution directe dn
)M. Génération de la courbe obtenne.
courbe.
t95. PteprtA<~dhertet de la même
1;1
t~~
<~
<h:e.
Trouverla courbe dont la tangente en un point quelconquea une
htXM~ne.
inclinaison égale aux } de celle du myon
Trouver le centre de gravité d'un are de
teeteuf.
tpitt)e
un point
)';4
'~5
~7
tettttMt.
homogène.
Mouvement d'an corps peMat dans an mMea
DetpotnMneMh.
JTrouTer t< ehainette
t~y
t~8
t;8
Gen<h'<ttm<tonde<coo)'donne«Mpo!<itee. <8t
ERRATA.
<&< /«M ;j
tty, ligne au lien t
<t8, Ngnre 32, pour le foyer le plus bat. au lieu de F, /<Mt F,.
t35, ligne 3, au lieu de homothétiques,&<M semblables.
ligne au lieu <~ KMM'.
13S,
<3' ligne t~, au lieu a~ <;) <&<-< KMK'.
lisez ex <
t3;, ligne dernière, CM lieu <<'< rayon, <«M ramun.
t3q, note, ligne dernière, r<'MM'M<~ ainsi la fortxutc
A~:tj.R~e}.A.<B.
) ligne 6, ajoutez devant le second membre
tto, ligne 5 en remontant, aa lieu de tP/, lisez < y'.
tjt, ligne tt en remontant au lieu de la retatiot* du, lisez la
relation (4) du.
<5t, ligne 4 en remontant, au lieu de 6~, lisez <63.
fj3, ligne f~ en remontant, au lieu de lisez <*D(.
o~, ligne au lieu de déretoppëe~,/<M! dévetoppante').
f 56, ligne Il, au lieu <~ ~-i- &'<M j!
tj8, iigne 7 en remontant, at<~<«</< 't6), /Mej: (tf.
t6~, ligne o en remontant, au lieu de (t9 &Ms fM\
'?tt ~B"e 3 en remontant,au lieu <& (e -r )*, /tt<'< (c -<- <
t;6, ligne 9, au lieu de CM. r A < /'w OM A r~
EXPOSITION
MtA
MÉTHODE DES ÉQUIPOLLENCES.
AVANT-PROPOS.
fie. 1.
n_ K C
,t
(*) Le nom p)M simple de somme ~mf'<~t<e sera celui que nous
emploierons <« cenéMt! mais il est bon que le lecteur Mche que tt <[ë-
nomination de composée-équipollente, o'it ventit à la rencontrfr,pM<ed<'
exactement la mArne it(jMOc<nioa.
métrique exprime ta résultante des forces appliquées au
point 0, et respectivement équipollentes (c'est-à-dire
égales, parallèles et dirigées dans le même sens) avec OP,
PQ,QR.
6. Pour construire la somme géométrique des droites
AB, DC, EF, on mènera, par un poiatO quelconque, la
droite OP équipollente à AB; puis !a suite PQ équi-
poitente à DC, et QR équipollente à EF; OR sera la
somme géométrique cherchée.
Il est facile de démontrerque, dans quelque ordre que
l'on disposeles unes à la suite des antres les droites équi-
pollentes aux droites données, on obtiendra toujours la
même droite OR. En prenant autrement le point arbi-
traire 0, on trouvera, pour somme géométrique, une
autre droite, qui sera toujourséquipollente à OR.
Si les droites étaient toutes parallèles, leur somme
géométriquene serait autre que leur somme algébrique,
obtenue en tenant compte des signes.
Il en est de même de
puisque
et
(6)
En mbsdtotmt dans (4)< (5), (6) les valeurs (t), (a),
(3), nons verrons que réquipoMence
(7)
comprend les deux conditions
c'est-à-dire
Réciproquement,
Applications.
2.4. Toute formule d'Algèbre identique exprime un
théorème sur des quantités, lequel peut aussi être consi-
déré comme un théorème relatif à plusieurs points situés
en ligne droite. Telles sont les onze premières propo-
sitions du second livre d'Euclide. Je ne crois pas que,
avaut moi, on e&t pensé à étendre tous ces théorOnea aux
points d nn plan. Cela résulte du théorème ci-après, qui
est une conséquenceimmédiate des principes de la mé-
thode des équipollences i! présente un premier et remar-
quable exemple de l'usage de cette méthode pour arriver
directement, et sans constructions gëon'étriques, à nn
grand nombre de théorèmes qu'il ne serait pas facile d'é-
tablir autrement. Il est vrai que de tels théorèmes, dans
toute leur généralité, sont trop comptiqués pour mériter
d'attirer l'attention, et, en les linntat't à des cas simples
et particuliers, on tombe sur des théorèmes déjà connus:
car it est fort improbablequ'une vérité simple et ~!ëmen.
taire ait échappé aux recherches de tant de géomètres.
THÉORÈMEûÉStHAI.. Toute ~fO~ne~ des ~OMt~
d'une droite donne MM <Aeo~Me re/a<{~ aux points
<MM p/a~ par /e seul cA<!H~emeM<des e~<M~OK~eM
~M~o//eHeet.
25. Prenons pour exemple la formule a!gébriqne
cf qui peut se vérifier comme nous l'avons dit aux n°* < i
et 25. Par suite (24)
on a ce théorème
Si <e proeMt de deux cdtés opposés AB, ID est égal
au produit des deux autres BI, DA, la somme des an-
BAI, IBD, DIA, ADB, successivement compris entre
les diagonales et les ed~j est égale à deux droits.
Par conséquent,
Tato~Mz. Si BL est ~«t~oMeH~ à CD, l'équi-
pollence suivantea lieu
la relation précédente
donnera
Alors l'équipollence
ctaasH
Ntg.tO.
Construisons successivement
par t/
médiates des définitions. Lorsqu'on aura à multiplier
on obtiendra parce que, pour former un
produit (16), il faut ajouter tes inclinaisons u, v. Le pro-
duit de V par donnera ou le coefficient t, en di-
visant l'unité par/, on aura Donc
RÈGLE VL Le r<MHMM le calcule ~~CMeMeKtCOtKme
se e<c«/<e en ~/ge~ ~"<Mt<!gMOM'e t.
Si. REM.E VÏI. Pour former la conjuguée (?)
~'«Me expression quelconque contenant le ramun, il
faut changer les signes de tous les exposants de
Ainsi la conjuguée de ~°AB est ""cj.AB; celle de
2~ est < celle de est = t'.
semblablement,
et les équipollences
sAP~-AC-t- AC'AC+cj.AC.AB:cj.AB.
on anra
Procédés géHéf<H(.C.
Pro&&ntM ~fe~.
69.PROBt.EME.– CoH.t/f«tteMHtrMHgA? CHX (~?g. t4)t
<:OKM<!<M<tM< la base CB, KM <!M~ <Ï~<ïC6H( CBD <'f MM<'
M/<ï<MM ~« tM(wte~ degré
'e.'4.
\?"
deux iaconnaes u. Au moyen de la règtc on élimine
rapidement le point X, et l'on a requipotleacc
C B
Fig. t6.
et
A.C~AD-CD.
Pœous
Posons
e'CD_
e~M"~P.
et prenons AD pour o~tee des Inclinaisons. AC sera etprtmM par
t cj.AB, pakqm! AD est MMectrieedo BAC; et nous
aurons
Multlpliant par ?*
Ajoaton!.(;)et('
,)
Le premier membre (re~e~ et !e terme (t-t--) AD out une tM)i
naison natte. Donc (règle tt)
AU-~t'AO.
Cette droite AU se constmira donc en formant le
Des éqaipoUcnces
On trouve pareillement
en posant
TROISIÈME PARTIE.
Formules trigonométriques.
90. Pour qui connait les expressions imaginaires des
lignes tngonométnqaM et se rappelle (48) que le ra-
man (indiquant une droite égaie à t'unité et d'inclinai-
son -t- go degrés) se calcule précisément comme le signe
t, il sera très-facile d'entendre ce qui va suivre.
Je puis donc procéder rapidement, et commencer par !a
résolution d'un triangle dont les côtés ont pour lon-
gueurs a, b, c, et dont les angles opposés sont A, B, C
·
J_ «
`.,
(~.
ay) dont
tM c6tés sont a, &, c, < l'angle Intérieur compris entre
les côtés a, & ait pour valeur B, et que A soit la valeur
des deux angles opposés compris entre les côtés A, e <'t
a. En considérant les inclinaisons mutuelles des
côtés, on voit que la regte ï donne t'cquipoUence
a At es *</<
On éliminera B, en multipliant membre à membrf
réquipottence
< *&-(&-Ci <
par sa conjuguée. On obtient ainsi
(<&f)(t*+t-*)~«'+<
d'où l'on peut déduire (93) les valeurs de cos A, sin A,
A
;tn 2
96. Si u est l'inclinaisonde la droite LM sur AB, on a
LM AB <* gr. LM gr. AB,
et, multipliant (52) par AB cj. AB'&gr* AB,
(t) q. AB. Ml gr. AB gf. LM t*.
~BLcj.BL–BMcj.BM
–ALq.AL-t-AMcj.AM.
Ainsi nous aurons (S2)
(~ a gr. AB gr. LM cos M~gf~ A M -t-gr* BL g<~ AL gr'BM.
Par suite,
R,
perpendiculairement un côté de l'autre en parties égales;
A est le centre du cercle circonscrità R~ Rjt
(5) stnA.PA+sutB.PB+sînC.PC-~o.
Nous pourrons exprimer les relations (t), (a), (5), en
disant que le centre du eere&! circonscrit, le point de
rencontre des ~roM hauteurs et le centre du cercle in-
scrit sont let &<!r~ceK~<?~ des sommets du triangle,
<cc<M de co<~?et~H~ rc~fct~tneM~ /'ro/'o~MHMe/~
aux produits ~.f .«Mt<.t par les c<M!HMy, aux f~eMte.~
oitau.r .«f!<M des <:Kg'/M opposés
t~:s arcs BC,CA, A!) du cercle circonscritÉtant divisés
par moitié en A' B* C~, !e centre P dn een-tc inscrit t
B. 7
A'B'C' P est donc, par rapport à ce triangle, ce
qu'est H par rapport à ABC, et, par suite, la rela-
tion (3) nous donne
(6) RP RA" + RB" + &C".
Si l'on n'avait pas voulu profiter de ces faciles cons!-
derations géométriques, les formules du n° 101 nous
eussent conduit directement à l'équipollence (6), à la-
queUe on peut donner la forme
A"P~C"B''t~B"C",
C", B' A"' étant les points diamétralement opposés à
C", B~, A". Ces points, de même que C~, B' A'1
divisent aussi en parties égales les arcs AB, CA, BC, ft
l'on trois autres points P,, P,, P~, équidistants des
a
côtés du triangle ABC, et qui sont les centres des cercles
Le premier membre doit donc être equipoHent à son coH'
juguë
t6ABC.LMN.A-–(ABcj.AC-cj.AB.AC)
X(LMcj.LN–cj.I.M.LN)
~.ABct.ACct.MLLN+c).AB.AC.LMc!.I.N
–ABc).AC.LMcj.M-cj.AB.ACcj.I.M.L!t
~(ABcj.LM+cj.AB.Mt)
X(ACcj.I.N-t-cj.AC.LK)
–(ABcj.LN+ej.AB.Ly)
X(ACcj.LM-i-cj.AC.LM)
(gt'AM + gr'BL gr~AL gr'BM)
X (gr'AN + gr'CL gr'AL –gr'CN)
((;r'AN + gr'BL gr' AL gr'BN)
X (g)-'AM + gr'OL gt'AL p-'CM).
Dans le développementdu dernier membre, les termes
dépendantdes côtés AB, LM se réduisent aux deux seuls
gr'AL gr'BM gt~AMgr*BL,
triangles distincts en <<Me& le polygone peut ~t~
divisé, ces masses étant situées aux centra des cercle,
eMCO~Mr/<.<à ces triangles, au lieu l'dtre aux bary-
centres de ceux-ei.
A ce point remarquable, qui n'a été, à ma connais-
sance, observepar personne,j'ai donné le nom de pseudo-
ee~n*.
H7. Supposons, par exemple, qu'un triangle ABC
soit divisé en trois triangles GBC, GCA, GAB, dont les
aires soient a, y, d'ou résulte que l'on a (100)
xGA ~-pGB-i-~GC'o;
le pseudo-centredu triangle ABC, c'est-à-dire le centre R
de son cercle circonscrit, sera aussi le pseudo-centre de
l'ensemble des trois triangles, c'est-à.dire sera le bary-
centre des centres R,,Rt, R, des cercles circonscrits à
GBC, GCA, GAB, aSectés des coefficients numériques,
ou masses, «, j3, 7; cela revient a dire qu'on aura
<tRR.+ ~RR,+'yRRj,~o.
~(AB+BC+CD+DA)(MN-t-PQ+.).
On le démontre en prenant pour aire du multilatéral
la somme des trianglesRMN,RPQ, ayant pour sommet
commun le pseudo-centreR du polygone ABCD.
(*'i H ftcMe.en effet, de voir que, ~U'aire est nulle, tneomtne '&
<Mt
momentsest nulle par rapport it un point quelconque, de sorte que
toutes les conditient d'cqaiHbre sont remplies.
(A'o~ da T'f<!<h«M~.)
St U/, MM', NN' sont df< droites égales et pafntMtet aux côtés BC,
ÇA, AB d'un triangle, les deux triangles LMX, t/M'N' taront mcme
barycentre; c'est une conséquence!mmédiat<* de ce qui précède.
2. SoientABC <m <rMa~,0 N<M<M( yac/toN~Mf.~t /'f<)) m~M Lt.'A AO,
MM'A BO, ti?i' CO, « yt<'<M< appelle G /< 4ar~-cf~~<' da ~/<t~<' AM~
(r, celui <& triangle LMN, G', ~e< du triangle L'M' K', /<Kre OCC, (~
<f) a «<t ~«tfa/Mop'amMtt.
4. 1.a propriété da n" 2 pt'Mt recevoir eneote une extension aasM iote-
te~MMe:t
.~MfMt
A, B,C, M;) ~) .tffmf </e ~K'tnM de t~t c/-<f G
A', B', C'(.. «a~ttfme t<r/'m'N<t (<'« 'Mf'me nombre, de t<tt~cf/«r< G'i
U.MH',tiS' une t<'r« de droites M~M<'«(W))«o< ~a~mB<M<« &
AA'.ttB'.CC'
G,
G~
A* tar~M))<r<da ~ttn<e des ~M'xt! L,
/e ht~ycmffe du ~«me ~« points M', t.
?,!(,
y,
tarare GG'&~C, sera un ~-a~/ogr<U!t)M.
Car LL' A AA' peut t'~erire
A" A,
a. ~otmt
A, un ~tt~e
de 0 ~)oMM ta~ *n /)<<m.
G & ta)y«-)t~<-e <<< <oM CM /X)t'))M{
G- eettH de «t
potHM, m'M'a~ le )*oMt A,.
2~~aM G, &&, et< A'M)M<AAt')ra<A A, A:A,; &c««f<* A
Kmt'Kta~e «t G, « fapfto't A* ~')Kt7«M<&
C'
nous appellerons rapport multiples. Donc
Connaissant tous les doubles
.J z-l rapports p–.Tt'
m ~t~
L-o.AU
..1
tout autre rapport multiple sera <?e<MtM/Me par MMeybr'
mule analogue à
QUATRIEME PARTIE.
Fre/M/Ma<ff~.
(') En effet, !-) xne droite jMmUHf il OA coupe MB en tt. H MHtt <)<
OP~OA, P~<&OB;
par suite
(3; SO~Ot'.
propriété connue de la tangente à la pa)'abo)<
~39. Y~irant MG, qui forme avec la tangente MT un
angle pga! a Finfiinaison de .MT sur OA, une portion
de AIG sera exprimée (i(i) j'ar
M&(MT!' OA 4~'OA -<- ~OB + ,?(0! OA
et l'on aura
OG OM -}- !(T.
ttt. La droite
(5) NM-~OB+(OB,aOA
fait a~ ce la tangente
MT~~OA-t-OB
un angle égal à celui que forme OB avec OA (16).
Ayant PM <OH, on a aussi
(6) PN~-(OB)':20A~OF,
< 'cst-à-du e que. en menant du pied P de ordonnée une
droite équipoHente à la constante 20F, on obtient un
point de la droite M~ ci-dessus.Si t'angle AOB est droit,
cela nous donne la propriété connue de la sous-nor-
mate P.
14* En changeantForigine 0, nous pouvons tout ra-
mener au cas où l'angle AOB est droite ce qui rend les
calculsplus simples. Si, en clfet, C est nu point de la pa-
rabole, de telle sorte que
OC~e'OA-t-fOB,
nous aurons
CM~f–e')OA-t-)OB
~–e)'OA-)-'<–fj(2<-OA+-OB),
equipotteuce de même forme que
OM-~OA + <OB,
ce que l'on reconnah évidemment en changeant t–c en
<,et teOA-t-OB en CB. I! sera toujours possible de
donner à c une valeur telle que arOA+OB soit per-
pendiculaire à OA.
Changeant t en at, nous pouvonsen outre rendre égales
les deux droites qui sont muhipliées par tl et par h et,
les prenant pour unité de longueur, on peut donner à
FequipoUenee de la parabole la forme plus simple
(7) CH~f'-t-
Dans ce cas, le foyer est donne par
f:F~):4.
la tangente en M par
(8~ ~r'
t't la normaie par
9) MK~ (~.3,
FiC. 3t.
OP.OS A (OA)'.
Pro~rMt~ <A' /a ~nM't~ M~i/brmM< aMe MT Mn «)~/<' << <4 AOB.
La drette Mtt A MT. <? OA A OB + OB i
OA forme Mec la txn-
)!<*nte t'anete conttxnt AOR. Soit K' M A MN. t) Tiendra
(5~ OM-~i'MAOX'A OA–.f(OB~OA ~)-OA–~OEA''EA.
ri )'on fnrmc te trion);)': ROK ')ir<'<'tFt))<;nt !:t'n))').)h)f « .\OK.
<tnaanss<
P~&t~OPAx EO,
et les deux triangles OPN', AGE sont hc.mothéMquM.
Si OA, OB sont les axes, NMN' eslla normale, elle coupe dans un
rapport constant t'abKttM OP.
DKMM~<~«M</tf~w&, tt/or~nKt <f'~po/<un<e<. Si l'on a
(OF)'AOA[OA-(OB~:OA;AOA(OA-CE) AOA.EA.
c't'st-i<-<)irpqn<' !'<'x<ntriritc est moyfnnc pr")M'<'ti"nn('))t' <'ntr<* AO, U'.
<t
''t par!)))''))':) )a ))i-t'<'trir<' <)~ )'!)nj;)<'
t) est trés-facile de les interpréter (jéomëtriqttement,en remarquant
que ML est une paMUA)e & un <U&metM transverse, limitée à une M]f)n'
ptote,U-, et t-'M! des ptMtMexau diamètre conjugué, limitées aux
dem asymptotes, et Q Je point milieu de Mt.
/Mftty<-<e«wMmtC<!«'yaM. Dans le mouvementexprimé par
Ce mouvement est donc celui d'an point r<otu<~ par un centre fixe
'n raison de la distance.
En se reportant aux formules
Mn)titt)mnt la premier** fquipoXcnce par cj. R, t:< Mconde par t< et rc-
trancbant, on obtient
\<').K.&].AR.
(Y~~f/t<7'fftf/"t'w'
auquel cas la courbe S est développée imparfaite de la
courbe M.
1S9. Comme nouvelle application de notre méthode
et de la manière très-simple d'exprimer une cycloïde,
recherchonsla trajectoire orthogonale de toutes les po-
sitions que prend la cycloïde, en se mouvant parallèle-
ment à sa base. Ces cycioïdes, en nombre inuni, sont
expriméespar
(6)J OM~T-w–
T étant le paramètre de position qui distingue l'une de
l'autre les cycloïdes égates.
L'équipoHeace(6) exprimera aussi la trajectoirecher-
chée, si t est une telle fonction de T, qu'elle indique sur
chaque cycloïde le point où celle-ci est rencontrée par !a
trajectoire. La tangente à la trajectoire sera par suite ex-
primée par la dérivée de (6), prise par rapport à t, dé-
rivée que nous désigneronspar la caractéristique(0. La
tangente (DT -f-1 -+-1* devra en outre (pour que l'on ait
une trajectoire orthogonale) être perpendiculaire à la
tangente t + 6* ( 155 ) de chaque cycloïde. Donc
(BT+t-+-6' doit être parallèle à -t-t/ c'est-à-dire
que l'expression
'~T+t~<')(–vt')*&(t+t-(~–a~y ('+-
doit être équipollente à sa conjuguée, ce qui donne
.~=-a,
où
–f 2~;
par conséquent, toutes les trajectoires orthogonales cher-
chées sont exprimées par
OM~f–
c'est-à-dire sont d'autres cyctoïdes égales aux premières,
et ayant leurs bases sur la droite AQP.
Pnt&&Me< généraux.
et si la tangente
<&<=0t,
c'est-d!re qu'on peut donner à 1 éq)npo!tence la forme
+ ~-Si~-MW,
(RM '~(B~-MT
(&'M'~(&M'r+ ~(B~- -T- Û&MW,
(B'M~O'~MT + ~-0' -t- 3(6~(Ï)'~)MW,
les droites 5fT, MW étant considérées comme <hces d<u;
les seconds membres.
Par suite, se rappelant que MT~ <BM, lorsque y = o,
on devra avoir
CE~-=t,
puis
(t5) <a'M~M+MW,
étant la valeur que prend CB) torsque y == o.
Finalement
(6'M <(BM 3?MW.
Substituant, dans cette relation, la valeur de MW
donnée par (*S), on aura
(t6) ~M+3~0'M~(<B~3~(BM.
Cette équipoMence servira à déterminer q, pour en
substituer ensuite la dateur dans
MW-~y~M-t-M.
On voit donc que cette droite MW est la même que
celle du numéro précédent.
soitparat)c!e &OM.
La valeur de q, donnée par la relation (t8), est la
même que celle donnée par la relation (t~) du n" 179;
et, par suite, la droite MWdela relation (ty) a la même
direction que cette dela relation (iS), (179).
(A'ote~tt 7'7-<t~<«'«tt~.)
i9t. Selon mes principes pour la classification des
courbes(fo~'ie ~<'MO:re surla e&M~cattOK des cûMr&e~
du troisième ordre, Société italienne, t. XX\ ), la der-
nière éqaipollencc exprime une espèce de courbe algé-
brique rahonHe~/e (en appelant ainsi celles que j'avais
d'abord appelées eoMr&e~ algébriques ~'or~e &a~ceM*
trique). Cette courbe est du sixième ordre et de la qua-
trième classe elle peut être dite ~raCM~<<&présentant
quatre points de rebroussement,situés aux extrémités de
deux ~<Mne~'M de yMM~nM?, conjugués entre eux.
Dans le cas où OA, OB sont perpendiculaires, on a
cette tw<ete particulière, dans laquelle les diamètres de
symétrie sont perpendicn!aires entre eux; ces courbes
sont des développées d'ellipses.
Si les droites OA, OB, outre qu'elles sont perpendicu-
taires, sont de plus égales, la courbe est de cette forme
particulière qu'on peut appeler <é<MCMtp~e Megtt/~re.
Dans ce cas, elle est en Ht&tne temps l'enveloppe de la
droite PQ de longueur constante qui se meut à l'intérieur
de l'angle droit AOB, et celle des eUipses concentriques
dont la somme des axes est constante. Son équipoMence
(eu posant gr. OA -t- gr.OB == t) est
OM cos'r -t- s!n'T.
~~(<'+t~(~–t-~)*
~T'+-r' v
et semblablement
EXERCICES DtVEns.
7~o<t'w courbe dont la tangente <M an point ~a<M/«e M
a e~ef~f/M~~O/tégale aux </<'M/ da ~/0<! tX'fMa)' OU.
La condition du problème est immédiatementexprunée par
fa relation
< étant la ma<se de la Hgne entre les deux extrémités que corn*
prend i'iotegrate.
Soient AMB l'arc donné de spiraietoganthmiqMe et 0 le pôle.
Posons
Posons
DM~<M~/&~5.
~OM~OM~
+ b oA doB.
a MX -+- b NX = c,
nous trouverons
-i'r
<<t(MXc;.MXf~,
<Mett«.-)ttttt)m«t~MCTBŒB-~HJtM.t<M'<MM<Mt!m.tt.