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Les applications

Infogérance => Système informatique massivement externalisé, dont le SIG


Déménagement des serveurs physiques (homologation+production)
Renouvellement des plateformes (upgrade logiciels ESRI/Windows Server/SGBDR/Hyperviseur/VM)
Urbanisation définitive pour l'intégration du SIG d'entreprise (client léger+client lourd)
Changement d’architecture

METHODOLOGIE
1. Les moyens de recherche pour le recueil d’information
Pour recueillir des informations liées à notre thème nous allons nous appuyer sur diverses sources qui
sont : les sites internet, des blogs d’administrateurs système et réseaux certifiés Microsoft, consulter
des livres et des vidéos formations tous traitant des thèmes sur la migration des serveurs, des systèmes
d’exploitation serveur 2012 et 2016 de Microsoft.
Nous avons recours aussi à des administrateurs système qui partagent leurs expériences en entreprise
sur différents projets de migrations qu’ils ont effectués.

2. Démarche de traitement de l’information


Dans un premier temps nous allons recueillir toutes les informations sur les termes clés de notre
thème (serveur, Os server Microsoft, Migration…)
Ensuite nous allons trier, classifier et séparer ces informations en fonction des différentes parties de
notre projet.
Enfin nous allons éliminer les doublons, et toutes informations non pertinentes

3. Les Références
Sites et Blogs
https://docs.microsoft.com/en-us/windows-server/identity/ad-ds/deploy/upgrade-domain-
controllers#supported-in-place-upgrade-paths
https://docs.microsoft.com/en-us/windows-server/get-started/installation-and-upgrade
https://docs.microsoft.com/en-us/windows-server/get-started/installation-and-upgrade#upgrading-to-
windows-server-2016
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/installation-and-upgrade
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/server-role-upgradeability-table
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/system-requirements
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/2016-edition-comparison
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/server-2016-activation
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/recommendations-moving-to-server2016
https://www.it-connect.fr/chapitres/domaine-arbre-et-foret/
https://www.alphorm.com/tutoriel/formation-en-ligne-windows-server-2016-maitrisez-les-nouveautes
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/server-basics
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/server-application-compatibility
https://docs.microsoft.com/fr-fr/windows-server/get-started/server-role-upgradeability-table

Formation
Alphorm.Formation.Windows serveur.2012.R2
Alphorm.Formation.Windows serveur.2016.Maitrisez.Les.Nouveautés
L’essentiel de Windows Server 2016 par Claude Couderc

Livres
Windows Server 2016 : Les bases indispensables pour administrer et configurer votre serveur par
Nicolas Bonnet

Windows Server 2016 : Installation, gestion du stockage et des traitements par Nicolas Bonnet

Migration Windows Server 2003 : ils essuient les plâtres et


témoignent
Par Yann Serra
Le 10 février 2015
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Applications incompatibles, annuaire qui migre mal, prestataires


toujours prêts à surfacturer, l'inéluctable migration des serveurs
Windows 2003 est loin d'être une sinécure. Retour d'expérience.

Article mis à jour en bas de page


A partir du 14 juillet prochain, Microsoft cessera de livrer des correctifs de
sécurité pour la famille Windows Server 2003. « Le problème est
exactement le même que pour Windows XP l'année dernière. Tous ceux
qui utiliseront encore le système après la date butoir exposeront leur
informatique aux attaques et aux prochains virus », lance Louis Lépine,
directeur associé de l'intégrateur 1fogénie.

Au moins une entreprise sur six en France maintiendrait encore en


opération des serveurs sous Windows 2003. « Ce n'est pas qu'une
question de négligence. Windows Server 2003 est maintenu
volontairement pour des raisons de compatibilité des applications »,
explique Yves Tapia, architecte Solutions chez Avanade, une SSII
spécialisée dans les produits Microsoft. Et la situation dépasserait le cadre
des applications serveurs. Selon Yves Tapia, plusieurs entreprises auraient
contourné le problème de la compatibilité ascendante entre XP et Windows
7, en exécutant à distance les vieilles applications clientes sur des serveurs
Windows 2003, dont le noyau NT5 est identique à celui de XP. « Certains
de nos clients ont ainsi maintenu en vie jusqu'à 500 applications Windows
XP grâce à Windows Server 2003 », souffle-t-il.

Contourner le problème des applications incompatibles

Avant d'abandonner Windows Server 2003, il faut au préalable s'assurer de


la compatibilité des vieilles applications avec un Windows plus récent.
Microsoft propose à cette fin de télécharger gratuitement un outil de
validation des applications : l'Application Compatibility Toolkit (ACT). Celui-
ci déploie des agents sur les « vieux » serveurs Windows 2003, puis notifie
les incompatibilités rencontrées dans une base SQL à part. Les problèmes
les plus fréquents viennent d'applications qui naviguent sur le réseau en se
servant des protocoles désuets WINS, IAS, DFS ou SMB. En cause aussi
celles qui stockent leurs données en dur dans la base des registres ou
dans le répertoire Windows, alors que ce n'est plus possible. « C'est une
spécialité des applications conçues à l'aide de WinDev par de petits
éditeurs pour les services publics et les PME », accuse Louis Lépine !
Citons également les applications écrites pour Java 6, alors que les
derniers Windows n'acceptent que du Java 7, voire uniquement du Java 8
à partir de 2016.

A partir de ce rapport, on peut tenter de contourner les problèmes de


compatibilité en installant l'outil Compatibility Manager, livré avec ACT, sur
un serveur Windows dernier cri. Compatibility Manager sert à simuler,
application par application, paramètre par paramètre, un vieil
environnement Windows Server 2003. « Mais entre les tests, les essais de
configurations, voire les demandes à l'éditeur de réécrire son application
pour les nouvelles versions de Windows Server, nous avons parfois mis
plus d'un an à remplacer un Windows Server 2003 par un système plus
moderne », se désole Christophe Decombe, directeur technique à la DSI
d'Alten, entreprise pourtant spécialiste de l'ingénierie et du conseil en
technologies. A date, il lui reste toujours deux serveurs Windows 2003 qu'il
n'arrive pas à éradiquer de son datacenter.

En 2013, Gartner et IDC s'étaient accordés sur l'importance de ne pas


attendre le dernier moment pour migrer les applications de ses serveurs
Windows 2003. Plus facile à dire qu'à faire. Car parfois, la migration
s'avère impossible. Micael Dos Santos, responsable de la cellule
production à la DSI de l'organisme de formation Demos, en a fait l'amère
expérience. « L'éditeur de l'application de CRM qui nous pose aujourd'hui
un problème de compatibilité a disparu. Nous avons renoncé à la bidouiller
pour qu'elle fonctionne sur autre chose que Windows Server 2003. Avant
juillet prochain, nous la remplacerons par une autre, qui fait à peu près la
même chose sur Windows Server 2012. Et, dorénavant, nous n'achèterons
plus nos applications que chez les éditeurs qui ont pignon sur rue, »
décrète-t-il, désabusé.

Une migration pas toujours simple pour Active Directory

Une fois l'inconvénient des applications incompatibles réglé, reste à migrer


les services de Windows Server 2003 vers Windows Server 2012 R2. En
général, la procédure est simple : on installe 2012 R2 sur une machine
vierge (physique ou virtuelle), on indique à ses outils de migration de
dupliquer la configuration et les données d'une machine Windows Server
2003 dont on précise le nom, puis on dé-commissionne ce dernier du
réseau dès que le système 2012 R2 devient pleinement opérationnel.
« Selon la quantité de données à transférer, l'opération prend entre dix
minutes et deux heures, en dehors des heures ouvrées », se félicite Micael
Dos Santos.

Sauf que, parfois, la migration du service Active Directory échoue. Le cas


se présente généralement lorsqu'une entreprise a voulu personnaliser les
attributs des schémas Active Directory, afin de créer des silos de serveurs
(il s'agissait manifestement d'une pratique d'administration à la mode dans
les années 2000, lorsque deux entreprises fusionnaient et qu'il fallait dès
lors faire coexister deux systèmes d'information). Or, ces schémas
personnalisés ne sont pas correctement pris en charge par l'outil de
migration de Windows Server 2012, comme expliqué, par exemple, dans
la fiche pratique de Windows Networking.

Pour éviter le problème, il faut nettoyer la base d'AD de toutes les


références cassées qu'elle contient avant d'effectuer sa migration. « Mais
seul Microsoft peut le faire ! Il faut avoir un contact privilégié chez eux, lui
téléphoner. Alors, une armée de leurs consultants débarque pour faire
remonter notre annuaire chez Microsoft, où leurs ingénieurs le nettoient et
nous le rendent », témoigne Christophe Decombe d'Alten. Le coût de
l'opération serait de 10 000 euros par site de l'entreprise.

Pour réduire la facture, l'intégrateur 1fogénie a cherché une moulinette


dans le domaine public qui permette de faire le ménage dans les attributs
personnalisés des schémas AD. En vain. « Parfois, le plus simple est
encore de demander à quelqu'un de ressaisir à la main sur Windows 2012
R2 toutes les entrées du vieux serveur AD », lance Louis Lépine. Et
d'ajouter que, dans le cas d'une fusion entre deux entreprises, il faut
d'abord migrer les AD de chacune sur la même génération de Windows,
puis les fusionner. Ce qui double le risque de défaillance.

Une prestation en quatre étapes


Si les procédures précédentes découragent l'entreprise, il est toujours
possible de confier la migration des machines Windows Server 2003 vers
2012 R2 à un prestataire. L'offre commerciale se décline en quatre étapes :
inventaire de l'existant (quels serveurs avec quelles applications sont
concernés), évaluation de la situation (ce qu'on peut migrer, ce qu'il faut
remplacer), définition des systèmes cibles (devis pour des serveurs
Windows 2012 R2 correctement configurés) et enfin, migration (installation
des nouveaux systèmes avec récupération des anciens services et
données).

Ces prestations étant habituellement facturées au coût horaire, la note


grimpera très rapidement dès qu'il faudra résoudre un problème de
compatibilité ascendante. « Le prix est un frein supplémentaire à la
migration. Les comités exécutifs comprennent rarement pourquoi il faut
investir dans le changement de quelque chose qui marche très bien en
l'état. Cela explique pourquoi beaucoup d'entreprises ont attendu et
attendront le dernier moment », appuie Christophe Decombe. Reste qu'une
faille non corrigée dans l'un de ses systèmes Windows Server 2003 peut
avoir des conséquences économiques encore plus lourdes.

Mise à jour :
Suite à plusieurs commentaires émettant des réserves sur les problèmes
de migration Active Directory, nous avons apporté une précision. Le cas se
présente généralement lorsqu'une entreprise a voulu personnaliser les
attributs des schémas Active Directory, afin de créer des silos de serveurs.
Une pratique d'administration à la mode dans les années 2000, lorsque
deux entreprises fusionnaient et qu'il fallait faire coexister deux systèmes
d'information. Or, ces schémas personnalisés ne sont pas correctement
pris en charge par l'outil de migration de Windows Server 2012.

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