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1- Définition
La Théorie des âges a été formulée par le « père » de l’astrologie conditionaliste J.P.Nicola [1], qui a
établi une correspondance entre les durées de révolution des planètes (cycles) et les différents stades
de développement de l’être humain. Cette théorie a été explicitée par plusieurs astrologues
conditionalistes, dont R.Pellard [2] et B.Blanchet [3]. Ce dernier écrit dans [3] :
« En comparant le cycle sidéral de chaque planète aux différentes acquisitions de l’être humain au
cours de son évolution, il doit être possible de retrouver et compléter les caractéristiques prêtées à
chaque planète par la tradition astrologique d’une façon empirique et intuitive. »
Cette correspondance entre cycles planétaires et stades de développement de l’être humain est
double puisqu’elle concerne :
- leur durée : celle des révolutions planétaires comparée à celle des stades de développement de
l’être humain,
- leurs caractéristiques : celles des fonctions planétaires comparées à celles des fonctions acquises
pendant les stades de développement de l’être humain (fonctions physiologiques, intellectuelles,
psychologiques, etc.).
Selon la Théorie des âges, chaque planète a son temps fort, son stade, durant la vie d’un individu.
Cette théorie se fonde sur la prédominance de chacune des planètes lors de son premier cycle (voir
Fig.1 et 2).
On peut ainsi distinguer les stades de développement ci-dessous, corrélés avec la durée de révolution
des planètes :
- le stade lunaire : le 1er mois
- le stade mercurien : de 1 à 3 mois
- le stade vénusien : de 3 à 7,5 mois
- le stade solaire : de 7,5 mois à 1 an
- le stade martien : de 1 à 2 ans
- le stade jupitérien : de 2 à 12 ans
- le stade saturnien : de 12 à 29 ans
- le stade uranien : de 29 à 84 ans
- le stade neptunien : de 84 ans à 165 ans
- le stade plutonien : de 165 à 249 ans.
La Théorie de âges établit donc que :
- pour connaître la signification astrologique de la Lune (i.e. de la fonction lunaire), il convient
d’observer le développement de l’enfant pendant la durée du stade lunaire, c-à-d sur la période de 0 à
1 mois (durée du cycle lunaire),
- pour connaître la signification astrologique de Mercure (i.e. de la fonction mercurienne), il convient
d’observer le développement de l’enfant pendant la durée du stade mercurien, plus précisément sur la
période de 1 à 3 mois (c-à-d commençant à la fin du 1er cycle lunaire et se terminant à la fin du 1er
cycle de Mercure),
- pour connaître la signification astrologique de Vénus (i.e. de la fonction vénusienne), il convient
d’observer le développement de l’enfant pendant la durée du stade vénusien, plus précisément sur la
période de 3 à 7,5 mois (c-à-d commençant à la fin du 1er cycle de Mercure et se terminant à la fin du
1er cycle de Vénus)
- etc…
Remarques :
- chaque planète est bien sûr présente dans notre thème, et influente, dès la naissance. Et selon
J.P.Nicola, une planète dominante n’attendra pas, pour agir, le temps où son cycle, selon la Théorie
des âges, l’emporte sur les autres. Mais elle s’exprimera d’une manière moins nette, tributaire de
l’âge… Ainsi certains enfants sont saturniens, même si le vécu de cette fonction planétaire se
structure surtout à l’adolescence…
- concernant Neptune et Pluton (on aurait ajouté Uranus il n’y a pas si longtemps, lorsque la longévité
de l’être humain était bien inférieure à 84 ans), on ne peut totalement intégrer les apprentissages de
leurs fonctions compte tenu de leur durée de révolution. La Théorie des âges est donc plus délicate à
appliquer pour ces planètes. Toutefois, comme il est dit dans la remarque précédente, elles se
manifestent quand même dans la vie et les attitudes des êtres humains avant la fin de leur cycle (165
ans et 249 ans !).
Il est intéressant de signaler le lien entre la psychogénétique (*) et la Théorie des âges : les
psychogénéticiens (parmi lesquels J.Piaget) ont en effet observé le développement de l’être humain
(de l’enfance à la maturité) et cette observation les a conduits à adopter un découpage du temps
humain en séquences qui recoupent quasi-parfaitement les durées de révolution des planètes. Ils ont
donc involontairement découvert la Théorie des âges, confirmant ainsi les significations planétaires
(alors qu’ils n’étaient pas astrologues…).
(*) Psychogénétique : étude de l’acquisition progressive par l’enfant des formes de la pensée, de
l’action et de la sensibilité
1- Le stade lunaire
Qu’observe-t-on en regardant un nouveau-né pendant le 1er mois de sa vie ?
Le bébé n’a aucune conscience du moi (les psychologues parlent d’adualisme initial) : il vit dans un
état d’indifférenciation entre lui-même et le monde extérieur (il n’y a aucune frontière entre ces deux
mondes), de symbiose, de communion avec son environnement, d’osmose avec sa mère.
Il est tellement accordé à son environnement qu’il ne saurait percevoir une réalité distincte de la
sienne propre [3] : le sein qu’il tête fait partie de lui-même (et réciproquement, la mère allaite un enfant
qui est une partie d’elle-même). La mère s’adapte tellement à l’enfant qu’elle lui permet d’avoir
l’illusion que son sein fait partie de l’enfant.
Toutes les perceptions sensorielles (visuelles, auditives, tactiles, buccales, nasales) sont confondues,
indifférenciées, globalisées (les psychologues parlent de perception amodale).
Le bébé est dans un sentiment de sécurité, de confiance (c’est la confiance primitive, donnée par la
mère, qui va conditionner sa future confiance en lui-même et en la vie).
Il y a prédominance des besoins vitaux élémentaires, de la vie végétative et des activités réflexes
naturelles : dormir, manger. Il est dans un sentiment de plénitude lorsque ses besoins sont satisfaits
et de manque intégral lorsqu’ils ne le sont pas… Le sommeil et donc le rêve accaparent la majeure
partie du temps. Il y a hyper-sensibilité à l’état d’équilibre ou de déséquilibre général [2].
2- Le stade mercurien
Qu’observe-t-on en regardant un nourrisson pendant les 2ème et 3ème mois de sa vie ?
C’est un âge d’éveil : celui des premiers échanges, nombreux et variés, avec le monde extérieur.
L’enfant quitte l’état lunaire d’indifférenciation, il se détache de l’unité fusionnelle, sa curiosité s’éveille.
Il observe son environnement (êtres et objets) avec un regard étonné, émerveillé et interrogatif, il
s’éveille à une réalité reconnue comme extérieure. Sa motricité progresse : il a une meilleure maîtrise
des mouvements de la tête et des yeux.
Il apprend à repérer les premiers signes, à déchiffrer les premiers messages ou indices (par
exemple : maman prépare le biberon, c’est donc l’heure du repas…).
C’est le début de la communication verbale et de la sociabilité : bébé a un goût prononcé pour la prise
de contact, il attire l’attention et engage la conversation par le biais de gazouillis insignifiants mais
communicatifs [2]. Il sourit à n’importe qui et le sourire est devenu un comportement social qui signifie
l’accueil, la disponibilité, l’ouverture [3].
Il a le goût de la nouveauté, du changement : il passe facilement de bras en bras, de rencontres en
rencontres. Hormis avec sa mère, il n’a pas de relations privilégiées : il aime à être changé d’endroit
et de position pour voir du nouveau [2].
Le jeu (avec sa mère) est important ; tout est ludique, gratuit, improvisé.
3- Le stade vénusien
Qu’observe-t-on en regardant un enfant dans la période de sa vie qui va du 3ème mois à 7 mois
et demi ?
Le bébé apprend à coordonner vision et préhension… : il se sert de ses mains et de sa bouche pour
prendre, tâter, éprouver, explorer et ressentir la texture et la matérialité des êtres et des choses [2].
Sa sensibilité aux odeurs, sons, formes, couleurs, se raffine. Sa sensorialité et sa sensualité se
développent : il tête désormais par plaisir et « demande » les caresses [2]. Quand sa mère parle, il est
sensible à la musicalité de sa voix.
C’est un âge où s’enrichit la gamme des émotions de l’enfant, où se nuancent ses expressions
émotives et affectives [3]. Il recherche un échange affectif avec son entourage.
Il devient sensible à son impact émotionnel : il apprend à utiliser les signes et messages qui
déclenchent chez autrui la tendresse. Il sait pouvoir obtenir satisfaction s’il exprime ses émotions, ses
désirs. Le sourire mercurien était gratuit, le sourire vénusien fait du charme : il vise à produire un
effet, à obtenir quelque chose [3].
L’affectivité et la sociabilité sont devenues sélectives : il n’est pas avare de démonstrations d’affection
mais il réserve ses sourires et gazouillis à ceux qu’il connaît déjà et envers qui il éprouve un sentiment
de sympathie immédiate (ses choix sont affectifs).
La fonction vénusienne en astrologie
4- Le stade solaire
Qu’observe-t-on en regardant un enfant dans la période de sa vie qui va de 7 mois et demi à un
an ?
L’enfant acquiert la position verticale.
Il se reconnaît dans l’image de lui reflétée par le miroir [3]. Il prend conscience de son identité et
devient sensible à l’image de lui que lui renvoie son entourage [3] (en priorité sa mère). Le Moi se
construit lorsque l’enfant s’identifie à une image extérieure [3].
Il fait tout ce qu’il peut pour attirer l’attention sur lui, jouer un rôle, être le centre d’un cercle admiratif
de ses exploits [2], acquérir un personnage social : il répète les comportements qui font rire, qui lui
valent récompenses, assentiment et estime. Ceci l’aide à prendre conscience de son identité.
L’enfant veut capter l’attention de son entourage avec des regards, des gestes, des vocalisations, il
montre du doigt l’objet auquel fait référence la conversation (la communication est intentionnelle), ses
attitudes sont sous-tendues par une volonté, tendues vers un but : l’activité intentionnelle progresse.
Il y a une relation absolue, sans partage, entre la mère et l’enfant : la mère est un repère, un modèle,
une référence absolue. Elle a une fonction « miroir » sur laquelle insiste beaucoup le psychologue
Winicott.
5- Le stade marsien
Qu’observe-t-on en regardant un enfant dans la période de sa vie qui va de 1 à 2 ans ?
C’est l’âge de l’apprentissage de la marche : l’autonomie du mouvement va lui permettre de faire des
expériences. Et l’amour de sa mère lui donne l’assurance suffisante pour oser conquérir le « monde ».
Il apprend en faisant, en expérimentant toutes les sources possibles de sensations (son corps, les
objets et les situations). Il se découvre et découvre le monde grâce aux expériences vécues.
Il déborde d’activité, il est sans cesse en mouvement. Il fait l’expérience - souvent douloureuse - de la
résistance des personnes et des objets. Il veut vivre sa vie, faire ses expériences. Il est dans l’« ici et
maintenant », il est plongé dans l’immédiat : le stade marsien se vit au « corps-à-corps ».
Il est peu disposé à croire maman sur parole (« Touche pas, c’est chaud ! »…) [3] : il aime ou déteste
mais uniquement après avoir vécu l’expérience, pas avant.
Il a un vif désir d’autonomie qui se heurte aux interdits de l’adulte et à sa propre maladresse, d’où ses
colères fréquentes.
Il découvre qu’il doit faire face à l’environnement par ses propres moyens : sa mère n’est plus le
référent et il n’est plus le centre du monde… Les objets désormais ont leur réalité propre, objective,
indifférente à la sienne. Il découvre la réalité de ses limites.
7- Le stade saturnien
8- Le stade uranien
9- Le stade neptunien
La théorie des âges n’est plus adaptée mais essayons d’identifier nos comportements
neptuniens au-delà de 84 ans.
On est un peu ailleurs, déjà parti, peu motivé par l’ici et maintenant : « la représentation est terminée».
L’heure n’est plus de dire, de démontrer, de prendre position : plus de projets, de buts, d’intentions.
C’est l’heure de s’ouvrir à l’au-delà de l’existence, aux mondes invisibles …
On a la certitude absolue de mourir [2]. La date est indéterminée mais inéluctable : « Le plus prévu
des événements est paradoxalement le plus imprévisible » nous dit le philosophe V.Jankélévitch. On
l’accepte sans savoir où l’on va parce qu’on ne maîtrise rien.
A l’heure de notre mort, on a le sentiment ou l’évidence de l’inutilité et de la précarité de nos savoirs,
de nos valeurs [3], des projets auxquels on attache tant d’importance, et que nous laissons pourtant
inachevés…
La fonction neptunienne en astrologie
La fonction neptunienne confère la capacité à s’ouvrir aux mondes invisibles et à communiquer avec
les êtres qui y habitent (les défunts, les êtres angéliques, …).
L’invisible devient visible : actes manqués, gestes irréfléchis, amplification des signaux subtils,
voyance, médiumnité, télépathie, intuition …
On est manipulé ou guidé, comme tenu par des fils invisibles à une réalité elle-même invisible … La
fonction neptunienne sensibilise à la présence agissante d’un essentiel invisible. Ce peut être la
providence, le hasard ou la nécessité, Dieu ou le diable, l’inconscient ou les « ondes cosmiques », le
code génétique, le karma ou des influences occultes, nos aspirations profondes ou des voix
célestes… [3]. On est porté, transporté, poussé, agi par ces réalités neptuniennes qui échappent à
nos sens comme à notre entendement, et dont nous ne percevons que les effets [3].
On est indécis : on vit sans décider, sans vouloir, sans s’investir, sans s’engager, sans prendre
position, sans projets. A quoi bon décider puisque pour l’essentiel, tout se décide ailleurs, hors de
portée de nos facultés de conceptualisation [3].
On est indécis mais déterminé [3] : on ne sait préciser ce qui nous motive, ce qui nous détermine
(l’intuition, la foi, le ressenti diffus des forces subtiles en œuvre, notre vouloir le plus profond, notre
inconscient, une injonction muette, une nécessité interne…) mais notre détermination est profonde.
Pas besoin d’expliquer, de se justifier, de rationaliser, de démontrer ce qui ne peut l’être : Neptune est
permissif, incite au « laisser-faire », à vivre comme ça se présente (« on verra bien… »), il invite à
ressentir et donner à ressentir, à suggérer…
Les événements nous détrompent dans notre présomption de savoir, de maîtrise…
10- Le stade plutonien
Comme pour le stade précédent, la théorie des âges n’est plus adaptée. Mais essayons
d’identifier les influences plutoniennes qui se manifestent à l’âge de la vieillesse.
Si l’on considère la durée de révolution de Pluton, on peut prendre de la distance vis-à-vis de cette
échéance : où en serons-nous dans 249 ans ?
Côté corps, c’est la disparition absolue et inéluctable de l’individu en tant qu’être de chair. Les vers ou
les flammes ont tout nettoyé. Au mieux, il ne reste plus qu’un squelette (… symbole de la mort) [2].
Côté âme, c’est l’inconnu : le néant, le paradis, le purgatoire, l’enfer, la réincarnation ? Aucune
réponse certaine…
Qui tire les ficelles ?
Avec la fonction plutonienne, on prend de la distance vis-à-vis des évidences, des idéologies, des
événements, des affects : tout est relativisé, jusqu’à la dérision parfois, rien n’est si grave, si
important, si dramatique. L’essentiel est ailleurs [3]. On n’est plus impliqué, ni même réellement
présent, rien ne semble pouvoir nous toucher. On est à la fois sceptique et lucide : on s’interdit de tout
à fait adhérer, de se prendre pleinement au jeu, d’y croire tout à fait parce que l’on sait que toute
vérité ou explication est partielle, superficielle, réductrice. Au positif, on a la capacité de dédramatiser
ou encore de vivre des relations authentiques, parce que la distance bien vécue peut permettre une
présence plus intense, parce que l’on capte les enjeux profonds de toute relation ou situation.
Au négatif, la fonction plutonienne génère de l’angoisse : notre existence s’inscrit dans une dimension
qui la dépasse…
On sait répondre à la question « qui tire les ficelles ? » : l’essentiel se passe le plus souvent en
coulisse, derrière le décor ou l’écran des apparences, de l’autre côté du miroir, sous l’opacité des
discours [3]... Cela nous rend inquisiteur puisque que l’on soupçonne toujours une intention cachée,
une manœuvre secrète, une réalité plus complexe, une raison plus essentielle et plus profonde… La
fonction plutonienne nous donne la capacité à maîtriser les énergies subtiles, à peser sur la volonté
d’autrui ou sur le cours des événements, insidieusement, discrètement, puissamment [3]. Certains
peuvent même être qualifiés de manipulateurs.
Et de même que la mort désintègre notre corps de chair (bien avant la fin du stade plutonien), on peut
illustrer le côté désintégrateur mais transformateur de la fonction plutonienne, avec deux citations très
positives de C.R.Payeur [4] :
« Pluton amène une transformation radicale de l’être, permettant d’accéder aux dimensions les plus
profondes de son être pour ensuite les transcender. »
« Avec la violence d’une bombe atomique, Pluton déstructure, désintègre et anéantit cette
conscience empreinte de finitude et de vulnérabilité, pour amener l’homme à une dimension nouvelle
et encore inconnue. Les convictions, les certitudes, les acquis, aussi nobles soient-ils, s’effondrent
sous le feu terrible de cette planète … Pluton bouleverse l’individu dans ce qu’il a de plus profond et
intime, ramenant à la pleine lumière les couches les plus primitives de sa conscience. Mis à nu, il se
retrouve alors face à sa Vérité qui lui serait autrement demeurée inconcevable. En conséquence, il
peut dès lors se diriger vers une autre réalité. ».
11- Conclusion
En mettant en évidence l'existence d'une corrélation entre les périodes de révolution des planètes du
système solaire et les différentes phases d’évolution psychologique et intellectuelle de l’être humain,
la Théorie des âges permet de comprendre simplement les significations astrologiques des planètes,
grâce à l’observation « in vivo » des différentes acquisitions de l’être humain au cours de sa vie.
Par sa simplicité, elle constitue une approche intéressante pour présenter les fonctions planétaires,
tant à des débutants qu’à des astrologues déjà aguerris. Cette approche enrichit les significations
attribuées aux planètes par la tradition astrologique, sans les contredire. Mentionnons aussi qu’on
peut avantageusement lui adjoindre une autre grille de lecture très pertinente et très originale des
influences planétaires, qui est celle proposée par le modèle RET de l’école conditionnaliste (présenté
dans la revue 3 7 11 de décembre 2015) : c’est cette approche combinée qui est retenue notamment
par B. Blanchet dans [3] et Richard Pellard dans [2].
Références
[1] Jean-Pierre NICOLA : « La condition solaire », Éditions traditionnelles, 1963
[2] Richard PELLARD, « Manuel d’astrologie universelle », Éditions Dervy, 1987
[3] Bernard BLANCHET : « L’homme astrologique », Guy Trédaniel Editeur, 1994
[4] Charles-Rafaël PAYEUR : « Uranus, Neptune et Pluton », Éditions de l’Aigle
N° 83 SEPTEMBRE 2016