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et Telecommunications
Rabat
2018/2019
TEZNINE Ayoub
MESKAOUI Abdekrim
Table des matières
I TP1 1
1 Dispersion chromatique 2
I INTRODUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
II BUT DE MANIPULATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
III ETUDE THEORIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1) Fibre Optique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2) Présentation générale du logiciel COMSIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
3) Dispersion chromatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
4) Budget optique -portée d’une fibre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
IV PARTIE SIMULATION : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1) 1er partie : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2) Partie 2 : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
3) Partie 3 : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
V CONCLUSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
II TP2 10
III TP3 19
1
TABLE DES MATIÈRES
2) Partie II : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
3) Partie III : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
IV CONCLUSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
IV TP4 24
2
Table des figures
3
TABLE DES FIGURES
4
TABLE DES FIGURES
Introduction générale
La fibre optique grâce aux performances avantageuses qu’elle permet, est utilisée de plus en plus à
l’intérieur des réseaux de télécommunications. Avec le boum de l’internet et des échanges numériques son
utilisation se généralise petit à petit jusqu’à venir chez le particulier.
Du fait de leur besoin, les opérateurs et les entreprises ont été les premiers acquéreurs de fibres op-
tiques. Elle est particulièrement apprécié chez les militaires pour son insensibilité aux IEM (Interférences
électromagnétiques) mais aussi pour sa légèreté.
Il faut cependant distinguer les fibres multimodes et monomodes. Les fibres multimodes sont réservées aux
réseaux informatiques à courtes distances (datacenter, entreprises et autres) alors que les fibres monomodes
sont installés pour des réseaux à très longues distances. Elles sont notamment utilisées dans les câbles sous-
marins qui relient une partie des continents. En arrivant dans les habitations via le réseau FTTH, la fibre
optique apporte une révolution dans les télécommunications directement aux particuliers.
5
Première partie
TP1
1
Chapitre 1
Dispersion chromatique
I INTRODUCTION
Comme bref historique, les télécommunications par fibre optiques, dont le développement a sensiblement
débuté il y a 30 ans, ont connu plusieurs révolutions.
La première étape a été marquée par l’invention du laser au début des années soixante, puis la mise au
point de fibre optiques à très faibles pertes vers 1970.
par Les années soixante-dix ont vu ensuite la réalisation de diodes laser performantes(diodes GaAs,InP).Ces
avancées ont permis la conception puis la réalisation des premières liaison point à point mono-longueur
d’ondes.
2
II BUT DE MANIPULATION
L’objectif de cette manipulation est d’étudier le contexte général de la fibre optique par l’utilisation de
logiciel COMSIS, afin de manipuler leur différents paramètres (la longueur, la longueur d’onde, le début
D,..).
Cela demande de leur part une bonne connaissance des différents mécanismes et éléments des liaisons
(émetteur, amplificateur optique, détecteur, etc...), ce séance de TP est donc l’occasion de fréquents retours
sur des pointes du cours.
3) Dispersion chromatique
Si on injecte en entrée d’une fibre optique une impulsion lumineuse de couleur blanche, son spectre
contient toutes les lumières allant de l’infrarouge à l’ultraviolet.
3
Hypothèse : On suppose que le milieu n’est pas linéaire et que son indice optique n1 varie en fonction
de la longueur d’onde (n1 augmente quand la longueur d’inde diminue).
-Rouge (650 nm) = grande longueur d’onde devant bleu (470 nm), soit : n1= petit
En sortie, on constate que l’impulsion s’étale, c’est le phénomène de dispersion chromatique.
IV PARTIE SIMULATION :
Dans cette partie on va faire quelques simulations de différentes caractéristiques de la fibre optique par
logiciel COMSIS.
1) 1er partie :
On utilise une source DL se forme des impulsions de début D, ainsi un F.O de longueur L=50km et un
connecteur e.
4
Figure 1.4 – Schéma de bloc du F.O
Résultat :
voici les résultat de simulation
Figure 1.5 – les différentes courbes relever à partir des trois points
Commentaire :
On remarque que à la sortie on a une dispersion et une atténuation par rapport aux signal d’entre.
2) Partie 2 :
Pour cette partie on fait la combinaison de 4 sources DL, afin de manipuler l’influence de la
longueur L et le début D.
D’après COMSIS on relève les différentes courbes des sources, e et la sortie (OUT).
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Figure 1.7 – la réponse de puissance des entées
L’existence du problème de la dispersion chromatique car au début (à l’entrée) on quatre impul-
sions, mais à la sortie on constate qu’on a sept impulsion. C’est à cause de la dispersion chromatique
au niveau de la fibre.
On fait varie la longueur L de 5 à 50 avec un pas de 10 :
6
Figure 1.9 – la réponse de puissance des entées et OUT
on fait un zoom
7
Figure 1.10 – Elimination du phénomène de la dispersion chromatique
3) Partie 3 :
Dans la troisième partie on va utiliser une autre source dont les caractéristiques suivantes :
- Séquence-binaire-psodo-aléatoire : début B =10000mbit/s, Longueur de registre =15.
- Convertisseur impulsion-Gaussien.
- A l’aide de logiciel Comsis, on relève les séquences des signaux aux points e et OUT, dans différentes
langueur L.
- Dans deuxième temps on va fixer la longueur L et fait varier le début.
8
Figure 1.12 – séquences des signaux à la sortie de la F.O
V CONCLUSION
Notre simulation sur le logiciel COMSIS, nous a permis d’apprendre l’utilisation de ce logiciel
pour simuler certains systèmes de télécommunications optiques, et de bien confirmer notre étude sur
les différents formats de modulation en fonction de différent type de codage.
Enfin, les modulateurs externes présente une sensibilité bien inférieure que les modulations directe
aux effets non linéaires, et permet d’améliorer les performances de transmission au-delà de 10Gbit/s.
9
Deuxième partie
TP2
10
Chapitre 2
Compensation des pertes
I BUT DE MANIPILATION
L’objectif de ce TP est d’étudier de méthode de compensation :
-la compensation avec fibre avec dispersion négative
-la compensation avec amplificateur optique.
II ETUDE THEORIQUE
1) Fibre Optique avec dispersion négative
Ce sont des fibres qui sont conçues pour avoir de fortes dispersions négatives grâce à des modifi-
cations de leurs paramètres opto-géométriques.
fibre à deux ceours concentriques :
Il est possible, par l’emploi de fibres à profil d’indice de réfraction particulier, comme les fibres à deux
ceours concentriques d’obtenir à une longueur d’onde donnée une dispersion chromatique fortement
négative.
Figure 2.1 – Profil d’indice de réfraction d’une fibre à deux c ?urs concentriques
11
Ces fibres présentent un c ?ur central de faible rayon, dont l’indice de réfraction est important, et
un c ?ur externe plus large entourant le premier et d’indice beaucoup plus faible.
Cette forte dissymétrie entre les deux c ?urs constituant la fibre optique est essentielle car elle
permet d’obtenir un comportement singulier de la fibre.
La figure suivante représente les évolutions des indices effectifs du mode du guide élémentaire
formé par le c ?ur central et la gaine (points) et du mode de la structure composée par le c ?ur
externe et la gaine (triangles)
On constate que les indices effectifs de ces deux modes sont égaux à une longueur d’onde donnée.
Il y a couplage entre les deux modes. Selon une approche super-modale, le mode fondamental de
la structure complète (trait plein) est une combinaison des modes des deux structures élémentaires.
L’indice effectif de ce mode subit une très forte inflexion autour de la longueur d’onde de couplage.
Figure 2.2 – Évolution de l’indice effectif (trait plein) en fonction de la longueur d’onde.
Figure 2.3 – Évolution de la dispersion chromatique en fonction de la longueur d’onde dans le cas d’une
fibre à deux c ?urs concentriques.
12
La dispersion chromatique qui intervient comme la dérivée seconde de l’indice effectif du mode
de la structure est alors fortement négative à 1550 nm Ce type de profil permet donc d’obtenir
théoriquement une dispersion chromatique fortement négative de l’ordre de -5000 ps/(nm.km).
2) Amplificateur optique
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1) 1er partie :
Résultat :
On a choisi trois points de mesure
- P(e) : puissance a l’entre
- P(l) : puissance de sortie de fibre
- P(e) : puissance de sortie
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Figure 2.8 – la réponse en puissance de la sortie
2) Partie 2 :
15
Figure 2.10 – la réponse en puissance de la sortie
Commentaire :
C’est le même cas précèdent, on remarque qu’après la première fibre il y a une dispersion mais en
utilisant la fibre de compensation on a réussi à compense cette dispersion.
3) Partie 3 :
Dans cette on a réalisé le schéma ci-dessous qui comporte une source aléatoire suivie d’un conver-
tisseur impulsion -Gaussien, dont le but de sumiller le cas réal de la F.O.
- Séquence-binaire-psedoaléatoire : début B =10000mbit/s, Longueur de registre =15.
- Convertisseur impulsion-Gaussien a pour caractéristiques suivantes :
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Résultat : On a choisi trois points de mesure :
- P(e) : puissance a l’entre
- P(l) : puissance de sortie de fibre
- P(e) : puissance de sortie
4) Partie 4 :
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Figure 2.15 – la réponse en puissance de la sortie
Commentaire : On remarque que le signal de sortie est amplifié et ça à cause de l’amplificateur
optique.
IV CONCLUSION
Dans ce TP on a utilisé de dispositive pour compense les pertes :
-fibre avec dispersion négative qui ne permet de compense la dispersion chromatique.
-l’amplificateur optique qui nous permet de amplifie le signal.
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Troisième partie
TP3
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Chapitre 3
Réalisation d’un cahier de charge
I BUT DE MANIPILATION
A la suite de dernier TP (TP2) qui est consacré sur la compensation de la dispersion chromatique,
on va faire une simulation d ?une liaison optique à l’aide de cette dernière par l’utilisation de notre
logiciel COMSIS.
Cette manipulation a pour but de réaliser une liaison de la fibre optique présente une source
psodo-aléatoire suivie d’un convertisseur super-Gaussien à partir d’un cahier de charge bien focalisé,
afin de déterminer les performances de cette liaison.
II CHAIER DE CHARGE
Notre étude sera consacrée sur la détermination des performances d’une liaison par fibre optique
de longueur L= 80km, une longueur d ?onde de ? ? = 1550 nm, et qui présente une source psodo-
aléatoire à puissance d’entrée Pe = 0 dBm, un début D=10 Gbits/s.
Pour réaliser cette on utilise deux types de F.O, l’une G652 caractériser par un coefficient
d’atténuation ? =0.3 dB/km et une dispersion chromatique df ibre = 20ps/nm.km.L0 autredetypeaunedispersio
0.8dB/kmetunedispersionchromatiquedf ibre = −80ps/nm.km.
1) Partie I :
Dans la troisième partie on va utiliser une autre source dont les caractéristiques suivantes :
- Séquence-binaire-psodo-aléatoire : début B =10000mbit/s, Longueur de registre =15.
- Convertisseur impulsion-Gaussien.
- Convertisseur impulsion-Gaussien.
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Figure 3.1 – Schéma de bloc du F.O
- A l’aide de logiciel Comsis, on relève les séquences des signaux aux points e et OUT, dans
différentes langueur L.
-A partir de la figure ci-dessus, on remarque bien qu’elle présente les deux phénomènes de l’affaiblis-
sement et la dispersion chromatique, qu’ont souhaitons de les amélioré.
2) Partie II :
Dans cette on a réalisé le schéma ci-dessous qui comporte une source aléatoire suivie d ?un conver-
tisseur impulsion -Gaussien, dont le but de faire une simulation du cas réal de la F.O.
- Séquence-binaire-psodo-aléatoire : début B =10000mbit/s, Longueur de registre =15.
- Convertisseur impulsion-Gaussien a pour caractéristiques suivantes :
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Figure 3.4 – Schéma de bloc du F.O
Résultat :
3) Partie III :
Cette partie a pour but d’éliminer les affaiblissements et de réduire la dispersion chromatique
par compensation DCF, pour cela on utilise le schéma de bloc suivant : Cette liaison comporte trois
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Alors LDCF = 6.665km.
Concernant les AOPs EDFA ont les paramètres suivantes :
- Gain = 30dB
- Puissance de saturation = 7dBm
- Facteur de bruit = 7 dBm
- La longueur d ?onde = 1550 nm
Résultats :
Figure 3.7 – la comparaison entre le signal de puissance s’entée avec celle de la sortie
-D ?après les résultats de la figure ci-dessus, on a bien réussi à attendre notre cahier de charge, car
on va bien qu ?y a une compatibilité entre les deux signaux.
IV CONCLUSION
Durant de cette manipulation, nous avons fait des simulations sur le logiciel COMSIS, afin d ?at-
teindre à notre objectif qui est basé sur l ?élimination de les affaiblissements et de réduire la dispersion
chromatique par une compensation DCF, avec bien sûr de suivre notre cahier de charge qui a été
proposer
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Quatrième partie
TP4
24
Chapitre 4
Etude d’une liaison WDM
I BUT DE MANIPILATION
Le progrès technologique a permis l’émergence de la technique de multiplexage en longueur d’onde
(Wavelength Division Multiplexing ou WDM), qui permet de combiner plusieurs canaux sur le même
signal optique, chaque canal utilisant une longueur d’onde différente. Notre objectif durant de ce TP
est la liaison entre deux stations, l’une émettrice à base des émetteurs psodo-aléatoire et l’autre
réceptrice (OUT), afin de transmettre plusieurs signaux de ”couleurs” différentes (ou canaux) en
même temps grâce à notre logiciel COMSIS.
II PARTIE HISTORIQUE
1) Principe de multiplexage en longueur d’onde(WDM)
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Le multiplexeur a un double rôle. Il s’agit d’abord de changer les longueurs d’onde des signaux
entrants en utilisant des transpondeurs, et ensuite les multiplexer sur un seul support physique.
Lorsque des signaux clients arrivent au niveau du multiplexeur, il est possible qu’ils aient la même
longueur d’onde, même s’ils proviennent d’émetteurs différents (c’est le cas de SDH ou tous les
signaux sont envoyés sur une seule longueur d’onde de 1300 nm ou 1550 nm). Etant donné qu’il est
inacceptable de transmettre deux fois la même longueur d’onde sur un même lien optique au risque
d’interférence, c’est le transpondeur qui se charge du changement des longueurs d’onde.
Les transpondeurs constituent les interfaces d’émission et de réception des signaux optiques dans un
système WDM. Leur fonction consiste à transformer un signal client (SDH, PDH, Ethernet,...) en un
signal optique associé à une longueur d’onde WDM. Une fois les signaux optiques définis, ils seront
multiplexes sur un signal WDM qui est transmis sur le support physique. Ce signal peut subir des
amplifications et régénérations pour faire face aux atténuations possibles tout au long de la liaison
optique.
La technologie WDM définit trois types de n ?uds optiques qui peuvent être déployés dans un
réseau de transport optique : - Les multiplexeurs terminaux optiques (Optical Terminal Multiplexer
ou OTM) :
Ce sont les équipements de base pour la conception d’un système WDM. Installes aux extrémités
des fibres optiques, ils permettent de rassembler/dissocier les différentes longueurs d’onde.
Les OTMs sont utilisés à l’entrée du réseau WDM ou‘ ils assurent l’accès pour les signaux pro-
venant des autres réseaux clients tel que SDH, Ethernet, IP/MPLS, DSL, etc. - Les multiplexeurs à
insertion/extraction optique (Optical Add Drop Multiplexer ou OADM) :
Ces équipements sont utilisés pour insérer (à l’origine) et extraire (à la destination) une ou
plusieurs longueurs d’onde sur une liaison WDM acheminant une pluralité de canaux optiques ayant
des longueurs d’onde différentes.
Les OADMs sont principalement conçus pour la construction d’anneaux et sont utilisés dans les
réseaux d’accès et métropolitains. - Les brasseurs optiques (Optical Cross Connect ou OXC) :
Ces équipements assurent la fonction de brassage dans les réseaux optiques WDM. Lorsque dans
un n ?ud les longueurs d’onde provenant d’une fibre sont de multiplexées, l’OXC permet de remplacer
une ou plusieurs de ces longueurs d’onde par d’autres, issues d’une autre fibre, avant de les multiplexer
vers une fibre sortante du n ?ud.
réseaux WDM sont en mode connecté. Lorsqu’une connexion doit s’établir entre une source et
une destination, un chemin à travers le réseau doit être assigné à cette connexion. Ce chemin est
appelé circuit optique et est connu sous l’appellation anglaise ”lightpath”.
Le circuit optique est identifié par une suite de fibres allant de la source à la destination. Ce
circuit est parfaitement déterminé si la longueur d’onde utilisée sur chacune des fibres traversées est
connue. Cet ensemble de données constitue le routage du circuit optique.
Cependant, l’affectation de longueurs d’onde doit satisfaire une contrainte forte : deux circuits
utilisant la même fibre ne doivent pas utiliser la même longueur d’onde. Chaque circuit optique
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doit avoir une longueur d’onde différente de celle de l’autre circuit. La Figure ci-dessous montre un
exemple de plan de routage de circuits optiques dans un réseau WDM.
Il existe plusieurs systèmes WDM. Ils adoptent tous le même principe mais se différencient uni-
quement par le nombre de canaux (longueurs d’onde) utilisables dans une fibre. Le multiplexage
WDM est caractérisé par l’intervalle minimum entre deux longueurs d’onde accessibles.
Cet intervalle est exprimé en nanomètres (nm) ou en Gigahertz (GHz). Si cet intervalle est inférieur
ou égale à 0, 8 nm (soit 100 GHz), nous parlons alors de multiplexage DWDM (Dense WDM). Des
expérimentations ont même et effectuées avec des intervalles de 0,4 et 0, 2 nm ou 160 canaux peuvent
être utilisables dans une fibre.
Dans ce cas, nous parlons de multiplexage UDWDM (Ultra Dense WDM). La Figure ci-dessous
illustre les différents systèmes WDM en fonction de l’espacement. Tableau 1 : les systèmes WDM.
27
lumineuses aux stations des fibres optiques.
Pour cela on utilise le schéma de la figure ci-dessous qui est composé de quarte sources lumineuses
de types psodoa léatoiredesdif f érentsdébutsderetardde10GHzsuivideslaserssystèmesdontlalongueurd0 onde
D’après ces informations qui ont illustré depuis de la figure ci-dessus on constate que :
- Par l’utilisation de différents débuts binaires sur les différentes voies à partir de la technique de
l’optique lors du multiplexage en longueur d’onde aux débuts et aux formats des données, on voie
bien qu’on a un multiplexage des longueurs d’ondes à la longe de F.O.
- Les signaux issus des diodes laser sont visualisés dans le temps et analysés spectralement (densité
de spectrale de puissance des signaux optiques en sortie des diodes laser) dont la figure ci-dessous.
- Le spectre optique du signal issus du multiplexeur permet d’illustrer la superposition qui opérée par
multiplexage en longueur d’onde. La largeur spectrale des signaux optique est visible sur le spectre
de ce signal multiplexé.
- En sortie de fibre optique, la forme de spectre est modifiée par les propriétés de dispersion chroma-
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Figure 4.6 – les différents signaux observer à chaque OUT
IV CONCLUSION
Durant de cette manipulation, nous avons fait des simulations sur le logiciel COMSIS, afin de
communiquer des chaines de communication par fibre optiques à l’aide de la technique de multiplexage
des différents longueurs d’ondes (WDM).
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