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PW~c~pes d~~è~re
Hachette
Paris 1861
t~M
PRMOPES
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~1,
D~ALGËBRE
PARE.-E. BOBILLIER
~!<C<t!!<
4).tt)!t)t t.'tenK ro).TTt<;H!t)MCt,
CHttAUEtt
Ct H t.&CXMf'MO.fXtt!)),
tM)M€MH'tttS tTOMtM fMftSMtUtt t)t!MtctXteU!*M tcuLH
tMftttttU!! C'~Me t:T MtTtM! X)! <:tttH)tte ET O'~SCtM,
ttOHS!t))t M MÂT)tt))m~'H ttte)t).tt t
tttXfM t)! ft.t'ttH't!! tf:mtMte<.
Me.. n'.
1/
ÈOTMN
CINQUIÈME
PARIS
et C' libraires, MeMerre-SttDnin, K:
L. HACHETTE
MAHET-BACMtJER, libraire, quaidM Ao:U5tin<,BSi
LACROtX-COMON, libraire,qmi Ma~ii), iB;
VtCTex
OALMONT, libraire,quai detAugtMtiM,~9.
iaCt
.I.I'e:'&M~
?*(?<M<t)~<Nt)t df tt-t 6Kt'«)y(rt)M ftt'efM <<<.
M,( (t~no(M)'f,
Mf-(t f~MM fM<f<'At)'f. ~T/<- f
COURS
COMPmM ~M~TRtB,
PAR E.'E. BOBtt.UEX,
Adoptepar h MinUtrc
<t<rA~icuhurf,du CNmncree
0 t)e!tTntv.io~pubtiM
MURLESKCOLES
tMPKMALHS
U'AKTSET M~TtERS,
Les )!gore!<,
au Mmbt'ede ~i00. ):ontintcreaMc!dans te tc~tc.
Se <r<!t<t'<
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~o ~< !'M:<Mnt'i
«'AniitoM
A <'«*
A CMhMM.Mtt-MOMM,
ChcxM"" BoB)).t.tE«,
<diteut',rue dit Grenier-it-Sc),
6;
Henri I~f<MT,i)npritt)et)r.)ihrnire,
fMed'0)'feMi),K-<0;
– M~mx,)ibM)f<
p)Medu Marehf-tu-B~;
– DoMo,tibfture,rue d'Orfcoi);
– CcoT, tibttur' ptoccde )'tMte)-de.Vi[t<
Et ehMtout les principotti:)!brtire-
MÂM:M.
– w. n'Ht.St)mxMT.
CesPRtNCtpBs
c'ALGËBRE ontété spécialement
rédigés
pourmes ëteves;j'espèrecependantqu'Uspourrontêtre
de quelqueutititHà ceux qui entreprendrontl'étudede
cettesciencesansle secoursd'un professeur,et mêmeà
ceuxqui, plusavances,se proposerontde revoirce qu'ils
ontapprisprécédemment.
Ilssontdivisésen trois Livres.Je mesuisefforcéd'y
comprendretoutce qu'il estessentielde connattrepour
suivreavecquelquesuccèslescoursde Géométrie analy-
tiqueet de Mécanique
rationnellequi m'étaientconfiés,
en me prescrivant
toutefoisdene pasdépasserks bornes
del'enseignementdesËco!osd'Artset Métiers.
Le premierLivrecontient!aThéoriecomplètedesopé-
rationsalgébriques;
j'y aijoint,en formede supplément,
unedémonstration
tout.à-fait de!aformule
eMmentairc du
Binômede ~cM'<<w. Le deuxièmeet )otroisième,traitent
dela résolutiondesproblèmeset deséquationsauxquelles
ilsconduisent;te dernier,decertainsprocèdesque fournit
l'algèbrepourabrégerle calculdesnombres.
J'ai choisiparmites démonstrations
qui me sont con-
nues, cellesqui m'ont paru les plus claireset les plus
simples.Je me suisattachasurtoutà mettre beaucoup
d'ordredansla distribution
des matières,et &énoncertes
résultatsavecune précisiongéométrique, bien convaincu
que cetteméthodeestla pluslumineuseet la pluspropre
hâterles progrèsdoscommençants.
LIVfŒPIŒMtEn.
M~ATKMS AMËBRM~ES.
CUAi'n'iU:I'iU:MlËR.
HM'MNSBB&UMNtrAtHZS.
ï. But de <rc.
est une sciencequi apprenda résoudresanstâ-
'). L'ALf:f;BttH
tonnements et d'unetuanicrcgénéraleles probterncsrelatifsaux
nonbres.
Pour parvenirce doub)eLut,ona inm~nc )"derepmsentet'
lesnoHtbrcapa!'deslettres; 2" d'inftifjue:' qui les
les npcfations
lientet les diversrapports dont ils sont susceptibles par des
~)M s~'e'rt'«/)'
2. !.f5 /e<~Msont trcs propresMreptïscntcrtes nombres
d'unentanicre~encm)c,car, ne jouissanld'aucunevaleurpar-
ticutiurc,cUuspeuventprendretoutescellesqu'onjugeapropos
de leur attribuer.Les pronicresa, &,e, etc., serventordinai-
rementà désignerles quantitésconnues,et les dernières. y,
etc., ù designerdes quantitésinconnues;maisil ne faut pas
perdrede vue que chaque lettre exprimetoujoursun certain
nombred'unitésabstraitesou concrètes.
3. Lessignes de t'idgebresonten petitnombreet d'un usage
fréquent.Voiciles principaux
<}-indique l'additionet signifier. JEMm/~eo-~ s'é-
noncea ~M
2"–indique la soustraction et signifieMOtM.Exemple:c–&
s'énonce«MOtMb;
<
2 PRINCIPES
nA J _J
3" X et. sont les signesde lu et signifient
multiplication,
mtt/<t~~ par. Ezemple a x 6 ou a b s'énoncea multiplié
par b.
Plussouventonindiquela multiplication entreplusieurslettres
en les mettantsimplementles unesa la suite desautres.Ainsi
les expressionsa&, <!6c,a~ s'énoncentcommeelles sont
écriteset remplacent a x b, a X b X c, a X b X c X d. On
doitavoirle soinde rétablirtes signes
lorsqu'ondonneauxlettres
a, < c, d desvaleursnumériques car il est visible le
que pro-
duit de plusieursnombresne ~'obtient en les écrivantles
pas
uns )a suitedes autres;
4" placéentredeuxquantitésMarquela divisionde la
pre-
mièrepar la secondeet s'énonced<w<f
par. Onemploieaussi,
pour désignercetteopération,le signe–au-dessuset au-des-
sousduquelon écritle dividendeet te diviseur.
EMM~e a b
a
ou signifie <?:<?'par b. Le derniersigneestte plususité;
8" = est le signede l'égalitéet s'énonce
égale.Lesquantités
à
placées gaucheetà droitedu signese nommentpremieret se-
coMc! membre.Exemple io–y== a- i signifiero moMM
7
égale a plus t; 10–.y est le premiermembre,et a4. t fo
second;
6"> et< sontlessignesdel'inégalité et signifientplusgrand
pluspetit que.Ex. !o>3, y< s'énoncent10 oplus
grandque 3, y ~Mpetit que ta. On peut remarquerque le
plus granddesdeuxnombresest toujoursplacédansl'ouverture
du signe.
4. Actuellement,pour éclaircirautantquo possiblela défini-
tion quenousavonsdoanéede l'algèbre,proposons-nous le pro-
blèmesuivant Trouverdeuxnombresc!oM< ~MMesoit ao
et la d~reKCe6.
Représentons par x le plusgranddesdeuxnombresinconnus,
et pary te pluspetit,nousauronsen vertudo l'énoncé
Le plusgrandnombrex augmentédu plus
petity égale ao;
Leplusgrandnombreit diminué du pluspetity égale6;
Cequi,à l'aidedessignes,s'écritainsi
~caao, e–~6.
B'AMÊBM. 3
Egalitésdont nous allons tirer les valeursdes inconnuesx
et y.
Pour obtenirl'inconnue ajoutonsmembreà membreles i
deuxégalités.c -) y – 20, ~–y ==6 nousaurons
?-)-+?–~==9o-)-6,
ou az~z6 en observantque</–~==n. Lesquantitésa~ et a6
étantégales,leurs moitiésx et t3 lesontaussi donc= t3.
Afinde déterminery, retranchonsa*de chaquemembrede
l'égalitéa!-)-y==20, et dansle résultats/esM–-a?, rempla-
consz par t3, ce qui produity ==ao– t.i, ouy==y.
Losdeuxnombresinconnussont donct3 et et en effet
t3-}-y==ao,et t3–y-~6.
Ceseulexemplesuffitpourfaireapercevoir toutJepartiqu'on
peut tirer des signesalgébriques,lorsqu'onles manieconvena-
blement leur brièvetérapprochanten quelquesorte les pen-
sées,permetd'ensaisirplusaisémentl'ensemble, et conduita la
solutiond'un grandnombrede problèmesauxquelson n'aurait
pu s'éleveren arithmétiqueque par des tâtonnements plus ou
moinslongs.
8. Unsecondavantagede t'aigëbresur l'arithmétique consiste
dans les moyensqu'elle fournitde présenterles résultatssous
uneformetout-a-faitgénérate.Tantquel'onemploiedesnombres
pourexprimerles données,ils se meientet se fondentpourainsi
direles unsdans les autrespar l'effetducatcut;lesrésultatsne
conservent aucunetracedes opérationsque l'on a faitespoury
parvenir,et ne peuventêtre utiliséspourrésoudreles questions
de mêmeespèce.Maisque l'on désigneces donnéespar des
lettres,cetInconvénientdisparaît,et l'onretrouvedanslesrésul-
tats touteta généralité,toute )a partieessentielledu raisonne-
ment.
Afinque l'onpuisse entrevoirdes à présenttoute!a fécondité
de l'algèbreenvisagéesousce nouveaupointde vue,reprenons
le problèmeprécédentdont nous généraliserons ainsi l'énoncé
Trouver deux nombres dont la MtMMe soit a et la dt~-
feneeb.
Soittoujoursx le plusgranddes nombresinconnuset t~le plus
t PHMCtPM
!'–axiX7r-aX7'==t-.4+.==85.
2<. 7/o~re des termesd'un po/,t(OM)e est t'K~e'retX carit
estvisiblequecetordren'influeen riensuriesvaleurs
numériques
qu'il peut acquérir,forsqu'cnremplace ses lettrespar desnom-
bres ainsi~–aa&+s&'=–<!6+o'
~'==~a-.aoA.
22. Lorsqu'onse sert des signes
ufgcbriquM pour indiquer
desopérationsù effectuersur les polynotties, afind'uvitertoute
fausseinterprétationet pourfaireentendreque ces signespor-
tentsur t'ensemMe des tt'nxMdontils sont conpo~cs,on ren-
ferme chaquepolynome dans une paTM~MC. Ainsi pour indi-
quer tes quatreopérations de Farithotetiqueentrelosdeuxpoty-
nomes<t'–aa&–6'et–o~-3at–R~,onM'it:
~'–Mt –6~ -)- (–a'-r3a&–a~)
(a*–M&–&')–(–a'-)-3s&–a~)
(a*– aa&– &') (–0' -j-3a<'–a~)
~'–M~–~): ;–j-3a&–a~)
Cetteprécautiondevientinutile
quandon emploiete second
signede la division,qu'i)suflitalorsde pt-otongcr do manicre
le
qu'ildépasse dividende et le diviseur.
n ~–20~–&' ,l' 1 d'
divisiond ddeuxpolynomes
des 1
'1-a -2
–a'-i-~–N~
précédents.
Sià l'unede ces quantitéson substituait un n.ûnotne,on de-
ymitsupprimeren m~no toups ta jMrenthcso
correspondante.
Par exemple,veut-onindiquerque 5a doit ctre
muitipnepur
-c'-i-3<:&–a&\ on écrit ua(–j.–).
f'ALOÈBBE. 9
-M<~–
CHAPITRE
II.
A!)CtTM)!<
ETSOUS'TRACTtO!)
M,GÉNUQUE8.
I. Réductiondestermessemblables.
II. ~<M<~o~
a~&Me.
111.~o«~n!e<o/ta~c&?'<e.
CHAPITRE
III.
MULTtPDCATKM ALCHBtUQtiE.
1. ~Mtp~Ca~'OM
des WOKOMM.
des po~noM~.
II..VM~{<'<!<<ott
)" exemple</<!
multiplication.
3of'a&'c'3~ mu)tip)icnnde.
~M~~5~ tnuttiptiMtcur.
tM~'c'SM~'c'tHac' f'prûduitpnf'tio).
tSa~j-to~~ i~*c' 2°produi<.purtic).
taa'~c'4-8a&c'taac~-)-)<!&' ) nrodmttotal.
-)-iot-'<)-i5f< )'
D'AMtBM. <7
~–3(~+<–~< multiplicande.
–5~ +-ao&&'
multiplicateur.
–toa~-t- i5a~'–5~(-to<t'~ J'
-t-4< 6a~ )-aa' produitspartiols.
–a<+3s~"–o6"+~ )
–tos~ -)- tg<–8a'–~a'~
1
+~5«&"+.~ produittotal.
j
DÉ)to?!MRATtox. D'abord,si tous les termesdes deux facteur:
sontpositifs,commedansle <" exemple,on pourra raisonner
ainsi multiplier3ab' -}-a&'e'-)-3c~par ~ae*+ 5~ c'estpren-
dre 3<t-a~c* ~-3c' autantde foisqu'i)y a d'unitésdans~ae',
plusautantde fois qu'ily ena dans 56', donc
(3a&{-c'+3~) (~c'+5&')
==.(3a~-{- a&'e'+3c')~c' + (3<t6'c'
+ 3c~ 5~'
actue![ement, pour fairele produitde 3o&*+3~e'-{-3~ par
4<t< ou celuide 3a~~)- at'c' 3c''par 5b',il fautévidemment
ajouterles trois produitsque l'on obtienten multipliant3ab',
zf c-, ac-
a~c', par4ae' ou Sf,
3e~par~oc* 56', uOCC
donc
3a&'X4<te'+a~<
(3~+~+3~ (~'+5.) == 3ab' X 5b' zb`c'
X M' + 3e~ x 5&'
cequi démontrela règlede la multiplicationpourdes polynomes
composés de termespositifs.
Supposons maintenantquetes deuxpolynomesse composent
en partiede termesadditifset en partie de termessoustractifs,
auquelcas(n*36) ils sontde la formeM–N, P-Q; Met N dé-
signantlessommesdestermespositifset négatifsdu premier,et
P et Q tessommesdes termesanaloguesdu second.Il est clair
d'abordque le produit(M–N) (P-Q) est égalà M–N pris P
foisdiminuéde M– N prisQfois;et qu'onconséquence (M–N)
(P-Q) = (M–N) p-(M–N]Q. Afind'obtenirte produit ,.n-
2
8
18 PMNCtMS
{M–!i)P,remarquonsquesi le multiplicande étaitM,le produit
seraitMP;maiscommece muttipticunde est M–S, le produit
esttropgranddo XP ou KP;donc(M–X)P-MP–NP. Ondé-
montreraitparte m~meraisonnement que(M–0==M<~–?!Q.
Substituantces valeurs dans te produit cherche, il vient
(M.) p–Q)==)tp–M'–(MO–KO, ou en faisant la
soustraction(M–IS) (P–Q)==MP–~P–MQ-)-KQ. On
voitainsique l'onest ramenéà opérersur des polynomesM,N,
P, Q,donttousles termessont positifs,on affectanttoutefoisles
produitsobtenus,des signesconvenablesce qui est en toutcon-
formeà la règleénoncéeau commencement dece numéro.
"A'+AB
-AB-B*
ona donc(A+ B)(A–B) ==A–B'.
Yoicidesexemptes.
(to-~y) ([o–y! ça to'–~== !oo–~== 5t.
eten eBet:
(to+y)(to–y)=-tyx3==5t.
~a+6&) f5<!–6&) = (5<!)'–(M)'==K5<t'–36~
(-3e' !t6'e)(-3<t'–a&'<;)=(-3e')'–(a&'e)'==9<t~–4&<e'.
(a+&) (o-&) 'a~&')=~&') (e'-j ~e<–6..
Réciproquement A'–B* = 'A + B 'A–Bj carcetteëgatitë
n'estantrechosequolaprécédente
donton a changélesmembres.
&M!H~M
t3'–/=='t3-j-~ 't3–y)==Mx6==tao.
a-~=.o- (\/a-
((t~–'a– '== ~-}-e–6) (<t+&-e-}.~==aeX
a6 ~4o~.
V.Ce<~tec'M<~'(M'~Mme~.
cequipermettrade récrireainsi
/6~& a" -p'–3~t5~<r f–5c–a&e)a+~–
par rapportaux puissances
onbienen ordonnantles parenthèses
décroissantes
de &,
(a~6~a'-{- –+<u~a~-(-aAc–5~a-~&y.
Ces transformations résultentévidemment de ce que, pour
formerle produitd'un polynomepar un monome, il fautmutti-
pliersuccessivement
tousles termesdu polynome par lemonomo
(n*44).
Si dansles parenthèses,il y avaitplusieurstermesanectës
d'unemêmepuissancedo la lettre il faudraitordonnerles
parenthèsespar rapportà unetroisième
lettrec, et ainsidesuite.
Lespolynomes ordonnésparrapportà deuxouplusieurslettres
U'ALGÈBM. M
Mnomment ~M<m<<<~eomp~M.Onpeutencore, comme nous
l'écriture
allonstefairevoir,abréger decessortesd'expressions.
49.PoursimpiiBer unequantitécomplexe, CM faitprêcher
e/«t~«e yo)'<M~t~ des/acteMr<Mwm~r~MM e<littérauxcom-
t!!MM< <OMS ~M~)t!Mqui M?)<MK/tt'nt~f, « OM les
primee)tmême temps danscesdtj~c'yeMts
<e)*mM.EnsimptiBant
parceprocédé )epotynomedu n"précèdent
(a~-4<+6&)e'+!.-+ t5&o' 1 1.
;a&c–5e;<6''–&\
J t
ontrouve
<" fa~ !-M;a~!.<&& nt + X3, a'
==a~<&-j-3c';
2. f~,36~ -}-,56',o'==M'~ -&-)-3&' x~s'=3&5~
3" (–a&e–5e,<t== <'(–&<'–5;<
4" ~=&'x<Xi=~(<t);
cequiteramené àtaforme
~-2~e~3~5)o~-e'- -at -5)<t-}-<(&- i).
80.Enûnonestdansl'usagedefaireensorteque /)femter
termedec/ta~Mepore!t</<~e Onseserta ceteSetdu
soitpo~<«/.
principesuivant<Mpro<fMt: de~«;c/<tc<<Mrs
M'es<pasa~e're'
~o~t/M'oM c~tOMyeeKmême ?eHt~<eïst~MM desdex~/ac<e«M.
Card'après ht régiedessignesexposée dans!a muitiptication
(n"42),ona
+oX-r-<a< -)-oX–<'==–a<
–<ïX+6==–< –<tX–<'==-t-<
d'oùi!estfacile
deconclure
-)-oX+A=-–o~-< -LaX–~==–<tX+6.
Cequ'ilMiaitdémontrer.
Envertudeceprincipe, 3&'(–&-)- -y.s"==–3&'f~– 5': a',
c(–a~– 5)a'==–<'aA;5.<et!o poh'nomc quenousnous
sommes proposéd'ordonnerdevientparcesnouvelles transfor-
mations
a&3) a'- 3<(&-5) e' c ~+ 5 a -)- (A- :).
8!.Ded<'MfjM~MomM ordoKMe': ~MpMMMHce~
~Mt))SM< ~e-
CfoMMa<M <<M~me ~«re,celui<fo!t<pfenKer «rmeM<
22 MMCtPM
o~M<~<~< la plus Aa<t<e puissantede cettelettre estregardé
commele plus ~t'a~K~. Dedeuxnombresordonnés,commenous
l'avonsdit tn"4*!),le plusgrandesttisib!entent
celuiquirenferme
la plushautepuissancede to. Paranalogieona étenducoprin-
cipeauxpolynomes quoiquesouventil se trouveen
algébriques,
défautlorsqu'onsubstituedesnombresaux lettres.Ainsi,algé-
briquementparlant, a' – 3a' t~ -t- t > «' yft-{-to;
cependantcette inegatite,commeil est faciledos'enconvaincra,
est fausselorqu'onsupposea= 3.
VL.~oM<o~e
d'ordonnerdans NM<«!~«?e<<OM.
3' ET<mp~demultiplication.
~-3a'&–+5f
–M'-)-
–~o~+6A «~+~ a'-tof a'
JL~ G' +~~<! a
6«, +~ +~'
+
-a
+
M
)
«
eo
3 CI
? ft
& <, M
Il
oC'I «Ci jL
r£ + t
~+.a
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1'1 J'
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1 &
24 PRINCIPES
S'il existaitdes lacunesdans lesexposantsdu muttipticande,
on pourraitencoreemployer les mËtoesdispositions
pourvuqu'on
laissâten blancles placesque devraientoccuperles termesman-
quants.
Enfin,on peutremarquerquo toutce qui précèdes'applique
égalementau cas oulesdouxpotynonesseraientordonnéspar
rapportaux puissances ascendantesd'unelettrecommune.
53. LestermesM~MMaMproduit de <<e polynomesor-
donnés,sont ~e<t!c~tt~au produit des premiers termesdu
MM~~HeaM~e et du multiplicateur,et l'autre au produit des
dernierstermesdecesm~M ~M(!~<t<Enportantlesyeuxsur
les deuxmultiplicationsprécédentes,
on voiten effetque la pre-
mièreet la dernièrecolonne,no contenantchacunequ'un seul
terme,ne donnentlieuà aucuneréduction.Ainsi(3" exemple)
o~ x aa', 5&'x &'
et (4*Mea~e)
a&t-t;'a~=(~t)<Xa&a\a~<'–H)=–a~–a)x–&.
Ceprincipe,sur lequelnousfonderonsla règledo la division
des polynomes, n'a visiblement
lieu que dansle casoù lescoeffi-
cientsdesmêmespuissancesde la lettre principalesontréunis
dansdes parenthèses;au reste, il n'estqu'uncas particulierdo
ce principebeaucoupplus générât.Les termesea~MM du
produit de plusieurs polynomes ordonnésselonles puissances
ascendantesou descendantesd'une lettre eoMMtMK~ sont
égaux aux produits des preHttefsel des derniers termesde
<<Mt~ <M facteurs.
84. Leproduit de deuxpolynomescomposés, l'un de ta ter-
mes,et l'autre de n, a au motKsdeux termes,et aM plus mn.
4'*Ceproduita au moinsdeuxternies,puisqueparmiles termes
d'un produiteil y ena toujoursau moinsdeuxqui ne subissent
aucuneréduction(n*53). J~. (o')-<) 'a–a'–& 1.
S*Ceproduitne peutavoirplus de )?? termes.En effet,dans la
suppositionqu'aucundo ses termesne soitsusceptibled'être
réduit, chaquetermedu multiplicateur no peuten donnerque
au produit; les n du multiplicateurne pourrontdonc produire
P'~t.GÈBM. 28
IV.
CHAPITRE
NYtStOK ALCÉBMQUE.
ï. Divisiondes mottomes.
56.Ladivisiondes monômesexige,commela multiplication,
dequatrerèglesrelativesaux lettres, aux coe~
ta connaissance
cM!t<s,auxexposantset auxsignes,que nousallonssuccessive-
mentexposer.
S7.RÈCLE DESLETTRES. ~e Consisted fK~r~C!' dans/e di-
o«/et!~ leslettres<fK~~MeM~' qui lui Mti<commM?:M eta m~<-
querM'm~eMeM< la divisionpour leslettres<fM
</<')!Me!<
AroM-
~'Ma!M<i'w~?)~.JÏj;.a~:(<==~,c/'c:
M=-oV/e'c'=-
Enen-et, o&:c==~=&,
o <:&c:M=~==~,
Mo
~n ==t~
o~' a~ == puisqu'onne changepas la valeur
d'unefractionen divisantsesdeuxtermespar le mêmenombre.
88.R{:<:t.Ë
DES noEFt'tCtEXTS.
Leco('~c/e?:<
</x~Mo~'e~K
est ~a<
aMMe~c<eH<~M~M~<!H~e ~tc~ar le eo~C!'eM~MA'c(M!<r.
Ex.6<!t '.)o== ~te
Carsi l'onfaisaitta preuve,le cocfïicientdu dividendeserait!e
produitdu coefficient du diviseurpar celuidu quotient(n"40).
Or,si l'ondiviseun produitpar l'un de ses facteurs,on doit
-<
2<! PMSOPM
avoirpourquotientl'autre.Doncle <!oe~'ea< du quotient as
~i<~au coefficient <<?<f<))tWet!f~,
etc.
59.RÈGLE UES EXPOS.~MS.
i'e.r~0!t< d'XKe~«!*e~M~COK~tM
du quotientestt~o<~a t~ettce desexposantsde la même
~«re <<e)Md<o~eM<<e e< <<n)Me«f.
E~.6a~'c aa'~3a'~e, <t"&e'a''&c'== a"A'c'
Enenët,lediviseurmultipliépar le quotientdevantreproduire
le dividende, d'unelettrequelconque
l'exposant du dividende est
égalà lasocunedes exposantsdela mêmelettredansle diviseur
etlequotient(n"H). Maissid'untoutcomposé dedeuxparties,on
retranchel'unedeses parties,onobtientpourrestel'autre.Donc,
l'exposantd'unelettre ~x~cot~Me du quotientest égal, etc.
60. RÈGLE DES stGSES.
Lequotientprend<esigne quand
le dividendee<le diviseuront le mêmesigne,et le signe i.
~{tattdils sont designesdifférents.Ainsi
-}-<!&}-a ===-}-&,–o&:–a'=-
-)- a& – N==– &,– a~ -{- <! es – t.
Cesquotientssontvisiblement exacts,carcesontlesseulesquan-
titesqui,multipliéespar leursdiviseursrespectifs,reproduisent
lesdividendes correspondants(n*42).
6). Voicidesexemples dela divisiondesmonômes
II. De l'exposanto.
H!.Théoriedes exposantsnégatifs.
J~eM~M
e-L, cr fa- '(<ao)-==,
(<t–o/ a'–i)a-~3
2* L'égalitéA" fait voir que A" est le quotientd'une y
divisiondontle dividendeest l'unitéet dont te diviseurest A". ~)
Or, si l'ondivisele dividendepar ta quotient,ondoitretrouver
le x
diviseur,doncA"= –. Rc. (a+ a~)'-=.
Il serafacileactuellementd'évaluerun nombreattected'unexpo-
santnégatif.Soitpourexemple5"\ on remarqueque 5"'= j
..ç
mais5'===5x~X 5==ia5, doac5"'== –?. Soit encoreto~
on&to'"==–j o maisto~==to.to.!o.io.to=-=tooooo;donc °,
t
t o"~ ==––––– == 00001.
lOOUOt)0,
On peutencoreconcturodece principequetout nombredéci-
malpeutêtreordonnésuivantles puissances
décroissantes
de 10;
car, soitprispourexemplele nombre2~9,~8, on pourrale f
mettresousla forme
e<Tet f =. c- donc
En X mais 1
~° YC a°'t°e"
c~" 'r'!
mais
F=' substituant
;'J. ~° – ~°
Y JL –
c''<f c'~t s' e'e''<
Aumoyende cettetransfomation, toute expressionfraction-
mirepeutse mettresousformeentièreet réciproquement.
~=~.
68. Zaf~~ ~oM)«~t'pJ'<M<toM fe<a«~ aux exposants,
démontrée(n°41)dansle casoùils sontpositifs,convient~e-
/<?<?<aux exposantsnégatifs.Ainsi
<t"'X~==e" <t-a"=<r""+' a'Xa-=<
En effet
En 4°amXa`°=a'°X · =
~p=~a"
etfet <° o°'Xa'"= <t"X
2"<î-"xa°==-~Xa''==~==a°-°'==a-~+'
3°M a"a"°~
~K x = –==:&°' °,
~–––c
i
~o''==~=~=~
_r._
~e~~e de division exacte.
Dividende. Diviseur.
t5<~– <}-t3a'aa<ï'–tac-j-S 3a'–a<5.
t5~-toa'+25a' Quotient.
-t'" Reste.90'– a' -j-aaa'–taa-a 5<t' + 3< – ac-j- t.
()~– Ha'+t5a*
2'Reste.. – 6<t'+ ya'–tM-j-5 5
– 6<j- 4«'–'o~
3" Reste. 7"3a~se+5 5
3s'– ao+5
A*Reste. o
D'AM~BM. 3<
Exemplede cftWtOK
avecreste.
Dividende. Diviseur.
3a<- A– a~' -)- ~af 3< oA+ b'
~+<––
("Reste. –M'&–~a'6'+~o&' o'–~oA–
-)<&+?<6'
2'Reste. –Ha&'
–3a~+~&'
3' Etdernierreste, ~a&j &'
~.MtM~e divisioncomplexe.
Dividende. Diviseor.
3'~t)<r~-3A-o' j~ ft'~ o+t ~a'i
3~+t.a' -3~' 3< ––.––––
Quottont.
<"Reste. (~–t;a–}-o-j-t i ~a'-t-a-i
~'–t;a'e't)o
2' Reste. -(&4-).&e-t-i
_(<)- !;<+~+!
3' Reste. o
V. Remarquessur la divisiondespo~McatM.
Onvoit<huM cecasparticulier
quele coeNcientdot'un quel-
conque destermes
du quotient
t +ae-{-3<t'-j-5a'+8ot<+otc.
égalelasomme desdeuxtermes
descoeuicients précédents,
cequi
permetdele continuer
comme ilsuitsansfaireaucuncalcul
ï+aa+3<~5a'+8~+t~+at~~+etc.
B'AMÈBM. 3!;
7t. toM~M<edtCtdtMde « diviseursont Aomo~M,
quotientest Aorno~nee<d'un degré égal d /<t<!t~f«Kedu
degrésdu ~«n</Md< etdu diviseur.Tous/M restessont aussi
homogènes et de m~Medegré~«e dividende.Soientm et m
lesdegrésdu dividende et du diviseur,le < termedu quotient
résultantdela divisiond'untermedu degrém par un termedu
degréMestdu degré?–?. Leproduitdu diviseurpar le <"
termedo quotientsera donc n" 48) du degré + ? –? oum,
et parconséquent le <" restequi provientdu dividendediminué
dece produitseraaussi un polynome homogènedu degrém. On
démontrerait dela mêmemanièreque le secondtermedu quo-
tientestdudegrém–tt, et le 2" resteun polynome du degrém,
et ainsidesuite.
Cetteloipeutservirà vérifierles exposantsdu quotientdans
lecasoù ledividendeet le diviseursont homogènes. Nouscite-
ronspourexemplela 2*divisioneHectuée dansle (n"70).
?S. Unpolynomene ~M<dire exactementdivisiblepar un
autre polynome indépendantde la lettre suivant laquelleil a
été ordonné,~Me(or<~Me <oM&les eoe~<teH<s de celte lettre,
<~tM premier, sont exactementdivisiblespar le second.
Pour fixerles idées, représentonsles deux polynomespar
A~-t-Ba'-}-C<t+D et P; A,B, C,Det P étant des expressions
indépendantes de a; et cherchonsle quotientde la manièreac-
coutumée. Ontrouvepour résultatp a' + o*-{- a-}- it
P P P l'
fautdonc,pourque lescoeNcientsde ce quotientsoiententiers,
queA,B,C, D soientexactementdivisiblespar P. C. Q.F. D.
Ainsile polynome ~'–i':e*-)-~–a-j-ft–t)' n'est pas divi-
siblepar &-)-1,à raisonde ce que6–i, f6–t)' ne sontpasdi-
visiblespar&-)-! maisil est divisibleexactementpar &–t, et
l'ontrouvele quotient'&-{-t)o'<t-r-–t), en observantque
~-t t-t '&–!)'
-–-c=û-t-t,
6– t ,––==t, -T––-==e–
&–t &–t
76.Engénérât,te faitseuldela divisionpeut apprendre
si un
polynome estexactementdivisiblepar un autre. Cependant,
dans
certainescirconstances,on peut prévoirque la divisionest
86 PRINCIPES
OMMCtC) cc&tco t)u*mmc, pme~oop'o,tvta~uc<uutïtucuuo
étantun monôme, fediviseurest un polynome,ou bien lorsque
le diviseurrenfermedes lettresqui ne se trouventpasdans le
dividende. Car,dansle <" cas,le quotientne peut être un tno-
nomeni un polynome, puisquesi ceh était, (nuitip)iëpar le divi-
aumoinsun Mnon)e(n"
seur,il reproduirait 64),et dansle second,
il n'existepasdepolynomes qui, multipliéspar te diviseur,don-
nentun produitindépendantde certaineslettresde ce diviseur.
V.
fRACTtONS
UTTÈRALES.
t. Origine<<M/~<te<tpM.
Lorsquelesdeuxtermesd'unefractionlittéralesont ordonnés =_
par rapportà unelettre commune,on la considèrecommeplus
grandeou pluspetiteque l'unité,suivantque le numérateurest
atgébriquement plus grand ou plus petitque le dénominateur
M« ~–3o*A–f a–K&
(n° B<);ainsi, –.–~– > Dans le premier
ai-62 "i~<
a o.
cas, on peutenextrairelosentiersen y appliquantles procédés
connuspour les fractionsnumériques.8'it s'agit, par exemple,
~),< s
de !afraction ondiviseo~–3o't–&' par a'–A',
––
on a pourquotienta–3& et pour resteo~'– ce qui permet
de t'écrireainsi
o&'–~ ou A'fo–~
'+ o .!&+
Désormaisnous désigneronssous le nomde /h!<'<«Mt, toute =
expressionfractionnaireplus grande ou pluspetiteque l'unitéi
et lorsquecetteexpressionsera essentiellement
plus petite que
l'unité,nous lanommeronsfractionproprementdite.
8!. Lecalculdesfractionsa!gebriquesétantabsolumentsem-
blableà celuidesfractioMnumériques,nous nouscontenterons
d'enrappelericilesprincipalesrègles.
<*Pourajouterplusieursfractionsdonnées, /oM<lesréduire
au.mêmea~KMHMK~eMf (onmultipliea cetenet lesdeuxtermes
de chaquefractionpar le produit des dénominateurs de toutes
tesautres;,el prendreensuite<asommede ~MMMMMt<'ra<eKM,
en l'affectantdu dénominateurcoM)K«tt. ~emp/e
e e e s~ &cy Me o<t-&c/(-Me
~+3+~+~-<=––~––.
0'M.aÈBM.
2" Pourretrancherunefractiond'uneautre, «~M <Mavoir
ramenéesau M~Me dénominateur, on soustraitle numérateur
de la premièrede celuide la seconde,et on affectela
rencedu <<~)omtt«!<et<f commun.~emp~
o -t t
a-~ !oj~' (<{.& (o+~'–a–t,*
a–A o+& e'–t* a' a'–t*
!a+t+<!–<s~a-).<'i 4a6
e.r~––––?I~-
3"Onfaitleproduitdeplusieursfractions, enm~~M< leurs
numérateurset leurs dénominateurs séparément.~e~/e
a b c abc
a–&" o+& a'-t-A' fo–a-~t;!a'-t-t';
abc abc
(a'-t'){.'+~r'o<I~'
4" Pourfairela divisiondes fractions,on multipliela /ree-
<«)?<ftt~ea<<e par la /f<M<tO!t <H<;Mew renversée;ou bien
encore,si colaestpossible,ondivisenumérateurpar ttMm~o-
~M!'c<dénominateur par dénominateur.EzeM~~M
<t't .J<'l~[a'+t__ a<–t
o~–e~, (o'-&) (a'+~ o'–t"' P
0~ a b
e'–t e+t a–t
IV.Changement
qu'éprouveune fractionlorsqu'onretranche
unem~e quantitéde sesdeuxtermes.
-~–remporte sur
Supposons en premierlieu a<: auquet cas&– a estpositif; ¡
suivantque sera <ou> A–Asera positifou négatif,d'oùil
suit ~'<MM /'rac~<)Kp!'opfe!neM< <M<ecfo« oud~ro« <t)tt<'oM<
~<e f<Mtf«!'aKc&ede SM<~e<te <<ft!te<
«tmom~p~ yfM~
ou plus jM«(~«eson ~omtH<t<eMf. Ainsi,
5 .5–15 –to to 5 5–3 a
– < –– ou –:r- ou -?-; et – > ––y ou
ta ta–15 –a o ta ta–o ()
Supposonsmaintenant<t>&, c'est-à-dire A–a négatif;z sera
positifounégatifselonque k sera > ou < &,ce qui permetde
conclure ~«'«Mmom~e/)'a<:<tOM<M<r< ero« ou~cfo« MM<Mt<
que fo)t~<MM~<!t< de<M~MM<M~tM WtMONt~fe ~<Mp<~ ou
plus grand que son ~enoMMO~Mr. E~tM~~
ta ta–3 a ta !:–15 –3 3
ous; et -,– > ou –– ou bten –.
–5 <
5–o a 5 -,–s-
5–15 –to !o
CHAPITRE
VI.
FORMATION
DES PUISSANCES.
I. G<~<!H<
La ~MMMMe <?d'UMquotité,comme noust'avonsdit
(n'9), estle produitdem facteurs
égauxà cettequantité.
On
indiquecetteopérationenrenfermant
la quantité
dansune pa-
renthèseà laquelleondonnepourexposant ledegrédela puis-
sance.Ainsi
(3<t'6)~3a'6x 3a'bX3<Mx3< x3o'&,
(<t'–3&c)~==jo'–36c)[&'–3te)(<t'3&c),
u a a a
'a l~
(~~x~. 6'
t4 MUNCtPM
En général,(a-}-A+c -(- <~ etc.)*,indique!a puissance m du
polynome a-}-c-~ -f-etc.
85.La multiplicationdonnele mo~M d~o~r ««'fM-
Mf<meM< touteslespuissances<<'wne MjffeMtoM quelconque. En
effet,par définition,lecarred'unequantitéestla produitdacette
quantitépar cité-même;le cube,le produitdu carrepar cette
quantité;la puissance,le produitdu cubepar cettequan-
tité, etc. En général,en multipliantune puissancequelconque
d'unequantitépar cettequantité,onformera la puissance suivante.
Si ta puissance&développer était négative,on la ramènerait
au développement d'unepuissance au moyendu principe
positive
du (a"66).
86. Notrebut, dans ce chapitre,sera d'indiquerquelques
procédéspoursimplifierlecalculdes puissances des nombreset
desquantitéslittérales,et en mêmetempsdefaireconnaîtreplu-
sieursrésultatsdontnousferonspar la suiteun fréquentusage.
dMMMR&rM.
II. Sur les ptttM<MCM
MI.Toutesles pMMMMCMd'unefractiontf~we<~<
sont~~M~tMM.
ÏV.Sttf <M~MMOMeM
<<MMMMMWM~.
96.Pour ~ofatefMMe~MwaiMe~entttM~e <wt monome,
<</a<t<~M<f son eo~<H< ce«e ~MtMatteeet mM~~r
<etM<MMpoMtt<< par M!t<< E.test~<M
(3<t~'e;~3V-==a43e'°~,
a'c".
(~ e~<r==~e"A'c'
Soiteneuet!omonômeC<~&danslequelC indiqueun coefBcient
RNmenquequetconqae; on a
(C<)'==C<XCa~=C'<(CaP~)'=C'a"'&txC<t'=C<
1 (Ca''&)<- C'X C~C<a< etc.
en continuantainsi, on trouveraitvisiMement que cetteM con-
vienta toutes!espuissances.Doncengénérât(Ca')"'=C'°<t'
97. ?*<Mt<MpMMMtMM ya~M <<«Me y<«MK~p<Mt<H)e ou
<t~<!<toe<o!t<post(MM.Cequipeuts'écrireainsi, (+A)*'°==A""
(enremarquant que aMpeutreprésenter tous les nombrespairs,
"t puisque en faisantsuccessivement m=o, m==t, ot=*a,
:,) m==3, etc., am deviento, s, 6, etc.); en enet fn*
96),
,1
*i
48 msapBa
(~A)""=.[(iA)'r. or+A~+A==A'et -Ax-A~.A', donc
(±A/-A' et (+A)"'==(A\=A" C. Q. F. D.
~etMp/M (–5:<==6~, (-M0~==64<&
98. Toutesles puissancesimpaires d'M~equantité ont le
signeda <?<«e ~«att<<<<ou atgebriquement (+A)" iA"°+'.
(L'expresstonaMt-t-tdevenantt, 5, 7, etc. lorsque('onfait
M==o,Mt-==t, M=='?, m==3, etc., peut servir &représenter
tous les nombresimpairs).En effet(+A)"j:A)""xiA;
mais (n"97) (iA)"" ==A" doncti A)""+' À'" x ±A, oo
(+A,iA""+'. C. Q. F. D.
Ex: (-5)'-=-ta5, (-3<t'––943<& <
99. ~epttMMttce ni d'wttproduitégale<<produit dMpMM-
sancesm de <<KM les /<!e<eMM.En euet, soientA,B, C, D. etc.,
plusieursexpressionsquelconques,monomesou polynômes,le
produitA~BXCx etc. pouvantêtre considérécommeun mo-
nome,onaura
(AXB:<Cxetc.]'"==A'"xB''XC'°~D"X.etc.C.(?.F.jP.
Y.fo)~M!~OM
du Caff~des pO~ttOMM.
VI.Formationdu cubedespolynomes.
n'At.G<~M. 5<
En changeantdans ce dernierrésultate en e-}-<<,
on formerait
lecubedu quadrinomea-e- et ainside suite.
CHAPITRE
YH.
I. Principesfondamentaux.
~=8, parceque8~64,
(~=~;
en gênera),quelque soitle nombreP, on a en vertude la défi-
nition(t/P;' = P.
«2. ~PNsctpB.Zecarré d'unnombrecompOM' de d~aMM
et d'unités contientles trois parties suivantes <" carré
des dizaines;2" le doubledesdMawMMM~~e'per~MMM~
3°le carré desunités. Cestrois parttMexprimentrespective-
mentdes centaines,des dizaineset des unités. En eSet,dési-
gnonspar a et & les dizaineset les unitésd'un nombreP, en
sorteque P=a.to-}-&, carnnt les deux membresde cette
égalité,nousaurons (n'~00;P~a\too-)-Mt.to-}-&' ou
p*==a' centaines aa6 dixainesj- &'unités. C. Q. F. D.
& t34'===!(t3o-)-i{!'==i6goo-~to~o-t-)6= tyc)56,
valeurque l'ontrouveeffectivement en élevant)3~ au carre.
«3. 2' PMNOPE. /.a racine eerreea'«tKtomtfcentier, par-
tagé en tranchesde ac)Me&eN de droiteà gauche(ta<"
trancheà gauchepeut n'avoirqu'unseulchiffre;,coM<<eK<aM«!~
de c~~re~ que ce nombrea ~e tranches.Ainsit~B! a un
chitfre,t~'9.83en a deux,t~'ta.ot) ena trois,etc.Remarquons
encffetquelescarrésde t, 10,too, étant t, too, oo.oo, etc.
<" les nombresd'une tranchequi tombententre t et <.00, ont
pourracinedesnombrescomprisentre t et <o.c'est-à-dired'un
seulchiffre;2" les nombresde d~uxfranchesqui tombententre
t.oo et t.oo.ooont pour racinesdes nombres comprisentre10
et 100oudodeuxchiffres,etc.
O'AtGÈME. 83
Généralement, soit P un nomttrecomposéde Mtranches,t~" P
ne peut avoirplus ni moinsde Mchiffres.<"Sit~tTreofermait
plusde n cttifïres,cetteracinevaudraitau moinsl'unitésuiviede
? zérosou ton (n*88 On aurait donc F==ou to"et en
élevantau carré,P==ou> to' ce (juiest contrela supposition,
puisqueto"*étantl'unitésuivieden tranchesdedeuxzérosest
un nombrecomposéde n 4-1tranches. 2" Supposons que P
contiennemoinsde n chiffres,auquelcascette racineest plus
petiteque le moindrenombrede Mchiffresou to°" on aura
t~P<: to" et en carrantP< to* ce qui est également
contrela supposition,puisque <o' étantt'unitë suiviede .<"
ft –-1tranches de deuxxéros.est te plus petit nombrecomposé
`
de <ttranchesti!suit de là quet~'P doitnécessairement rënfer- i
mern chiffres.C. Q. D.
68.39 8a
–––
tb a 1
-9
5
«6. Soitencoreà extrairela racinecarréedu nombrede trois
tranchesR8.3t).ag.Cetteracineayanttroischiffres(n"<3), con-
tientdesdizaineset dosunités,et son carré68.3g.agsecompose
de trois parties(n° dontla première,le carrédesdizaines
exprimantdes centainesne peut se trouverque dansles deux
premièrestranches68.3g; extrayantdoncla racinede 68.39,
ce que l'on sait faire, le résultat8a (nO~6) représente
lesdi-
zaines cherchées;actuellement joignantà n5 restedecetteex-
traction,la troisièmetrancheag, le nombret t5agestla somme
C'ALCÈBM. 66
desdeux dernièrespartiesdu carré de la racine;or, le double
desdizainesmuttiptiépar les unitésne peutse trouverquedans
lesdizainesnSa de ce nombre,et par conséquentsi l'ondivise
t t5a par a fois8a ou 164,te quotientexprime les unités.La
racinecarréede (?.99 est donc8ay. Pourobtenirle reste,il
fautsoustrairede t<5a<)les deuxdernièrespartiesdu carréde
la racine,qui résultentévidemmeat dela multiplication
de t6~
par 7; en effectuant,on trouvepourproduitt <5at)et pourreste
o; l'extractionest doncexacte.Voicile tableaudescalculs
(!8.3Q.!<Q– 8M
4~
t 6a
t < 5~9
9
S4?
uoo
== ce qui résulteévidemment de ce
algébriquement
que
~)"(~7'"T'
<38. Pour extraire !a racine carréed'une fraction, it faut dis-
tinguer trois cas <° /eï ffeM.ctermes (fe cette /')'ac<<OMMM! des
carrés ~ar/ot~; 2°/e ~'ttOMt'Ka~M~MK~ est MScaffe'~<!r/at<;
3" ~oMMs~M!' M'M<pas «? carré par/a<<.
DansJepremier cas, o~ <.<'<MK racine carrés chacun
des ~M.e <erMM de ~<t~'a<<t<!Mao~ E:Mm~e
.~36'36~
'at 6
taT
Dans !e second,CM e<M~ /a fee~e carrée <!MKMm~'a~My
petiteque–,
n puisque<< n
Enfin,dans )e troisièmecas, on rend le dénominateurMM
carréparfait, en multipliantles deux termespar le dénomi-
nateurOM par tout aM~etjOM&re remplissantle M~e but, et
l'on opèreet~x~ecommenousvenonsde le dire. Ainsi,
< t/~
T-~
'V-T--
$x.
jtj.. .ai – = ~~7 –– -=-~M.
.t– à!t moins
–.== motnsde -–1
7 49 7 700 yoo
<29.Pour extrairela racinecarréed'une fractiondécimale,
on écrità la suite le nombrede zéros convenablepour
oM'e~e
renferme d~M; fois autant de décimalesque l'on veut en o&-
tenirà la racine, on supprimela virgule, et l'on cherched
moins d'une unité près la racine carrée du MOM~fe entier
!<<<aM<;enfin, OKséparesur la droite d<trésultatle nom-
bre de eA~'Mde'etmaM~ dont on est convenu.E.f.Pourdéter-
miner/'5,~y avecquatrefiguresdécimâtesou à 0,000: près,
onajouteà ce nombrecinqzéros,on supprimela virgule,onex-
traith racinede S~tyoooooa uneunité près,et sur ladroitedu
résultata3~ on séparequatredécimales,ce qui donnea,3a~.
Représentons par F la fractiondécimaledonnée,et pur n le
nombrede chiuresdécimauxque l'onveut obtenirà la racine.
Si par l'additiond'un certainnombrede zérosnousfaisonsen
sorteque F contienne aMchiffresdécimaux,et si nousnommons
P le nombreentierrésnttant(te)a suppression (lela virgule,nous
p i~]j~
auronsF== d'où r F ==– ce quiprouvequ'enextrayant
10 la
62 CMNCttM
la racinedoP à une unitéprès,et en séparant? déciméessur
sa droite,onaura/'F & près.
10
<30. Pourobtenirla racinecarréed'une fractionordinaire
enfractiondécimale,<7<x~<dela réduireeMfraction décimale,
et de pousserl'approximation
jusqu'àce que l'onait /ro<«'~le
doubledu nombredeschiffresdécimauxque l'on oeM< avoird
la )'<MMte.Onopère<M!tt<t commeon ~'adit dans le~wm~o
YH!.
CHAPITRE j
EXTRACTIONCE LA KAONE CUBIQUE t~HS NOMBXES.
ï. Principes/<Mt~<MM«t<<KM'.
433. <" PaMCtpE. Le cubed'un nombrecomposede dizaines
etd'unitéscontient <"~6cubedes d'Mat<tM; 2" triple carré
desdizainesmultipliépar lesunités; 3" triple des dizaines
multipliépar <ecarré des unités; 4° cubef<MMM~M. Ces
}<M()'c parties e;tpnMem< re~)M<~<MMK des mille, des cett-
Eaines,des(fMOtHM et des «xt~. Représentons par a et &les
dizaineset lesunitésd'un nombreP et étevonsau cubetesdoux
membres de l'égalitéP = a. t o -)-1, nousaurons(n"<05)
P' tooo -3a*&oo-(-3<tt'.to-)-~
ouP~==a~ N)tMe-r-3e*& ce~att~-t- <ft~tnM-r-&' unités.
C. p. F. D. Exemple
5y' = (5o-{-y)~==t a5ooo-)- 5a5on-)- y35o -)- 3~3===185igS.
<34. 2*PttiNCtpE. La ya~KecMt~tted'un nombre<?(«!'se
compose<f'<!w<atK de cAt~M,que ce nombrefeM/efmede<raM-
eAesde troiscM~rMen a~ott!de droite ~<tMC&e fiapremière
tranchea gauchepeut n'avoirqu'un ou deux chiffres).Ainsi
/~5 a un seulchiure,~g8.5a3 en a deux,/~y76~5.3o8 en
a trois,etc.; eneffettescubesde t, !o, 100,etc, étant t, 1.000,
t.ooo.ooo, etc., observonsque <° les nombresd'unetranche
tombantentret et t.ooo ont pour racinedes nombrescompris
entret et <o,c'est-à-dired'unseul chiffre;2° les nombresde
deuxtranchestombantentre t.ooo et tooo.oooontpour racines
64 pa~ctpBs
desnombrescomprisentre to et tooou de deux chiffres,etc.;
on pourraitd'ailleursgenératisercette démonstrationcomme
nousl'uvonsfuitpourla racinecarréedansto !.n"~3).
JïiKMjMe.
6y.4tQ.t43 _4°7__
64
34. 48
6~.000
34'")' 4~~
~.4'9''4'~
0
<38. Delà résultele procédésuivant,pour extraitela racine
5
M fMNCtMM
"'10 1
cubiqued'un nombreentier;on le partage en tranchesde trois
chiffresde droite à gauche,e<~'oaextrait la racine cubique
duplusgrand cubecontenudansla première<amc/ted gauche.
C'M< premierchiffrede la racine cherchée.
Aureste dela premièretranche, on joint le premiercAt~e
de la secondetranche, e<~'oîta<pMe nombreainsi /brm~
yaf triple carré du premier eAt~e obtenu.Le ~wo<<eH< est
/f ~eeoMa chiffrede la racine.
On M<M<rat< desdeuxprewt~M tranchesd gauche,le cube
des deuxpremierseAt~rMde la racine, on joint au fMte <
premiere&t~*ede la troisièmetranche, et <*<w ~t~Mepar le
triple carré des deuxpremierscA~M de la racine, a/!Ma'ea
obtenirle troisième.
On continueat~t ;'M~M*e ce l'on ait abaissé<oM<Mles
~<KtC/tM du nombreproposé.
/'5'ti,etc.
V. E!c<)*ac<t<Mt
de la racine eMM~we
desfractions.
VI.E;P<f<!<!<«Mt
de la racine C«M~tede, nombre8OCtM~~M.
CHAPITRE
IX.
DESRACINES
EXTRACTION DESEXPRESSIONS
ALCÉBRtQUES.
CHAPITRE
X.
THÉORtH
HESHAOtCAUX
KTDESEXPOSANTS
<<ACT)0!<NAmËS.
<69.Pour terminer)a théoriedes opérationsatgcbriques, il
nousreste&exposrrles règlesà suivrepourleseueetuersur les
radicaux; on appelleainsitouteexpression recouvertedu signe
)/; et suivantqu'unequantitérenfermeou ne renfermepas
des termesde cettesorte,on dit qu'elleest irrationnelleou !'o-
<tOttMe~e.
I. Identitédesradicaux e<desexposants/rac<ton<!at)'M.
Réciproquement
a'==/'?, (<t-a~'=~
r, _jL 1 ·
,a5'
SoitencoreMpressiona q &"
O'AMÊBBE. 79
~.I.J._A1_-
les -1..
enréduisant _al.
au même 1_
exposants ona
dénominateur,
-& e -"a
<t''t "==o<'°&
JE. i_
donc a~ '==/<t'<
ou t'
a"&b
°=~~
à causeque (n"66; a't"==
II. Propriétésdesradicaux.
!~)~=~ a i- b a b
<'74.Pour faire Mr<M'un facteur de dessousun radical Jtf
degrém, faut e~ extraire racine m' ainsi,
m m
/'a'"t''==eP/
m t~I t M
En etfet, /'<t'~&<=a t" = a''&" = a''
ou /'64oS, ft~,
Ensuivantla reg!ogenerate,l'indicecommunauraitété a x
4 X6
ou/}8.
V. 7{a~;caMt'
~em~e~M.
< 82.Onappeitefa~'eawz«'mMe~Mceuxquiontmêmeindice
et mêmequantitésousle signeradical,quetsquesoientd'aittears
< a
leurseoefEcients;telssont3<5<!&–c~5a~.
< 83.Pour reconnaître
si deuxradicauxsontsemblables, ~/aM<
«Mp~ef au moyen~M ~/M dea(n" <77et <78) on trouve
< <
ainsique les radicaux/a~ et /8<t'qui paraissentdissem-
btabtesau premierabord,se réduisentà 31~a&et a ~'2?' et
par
sont
conséquent sembiaMes.
<84.Fatre la ~«o~MMdesf<!f!te<t<M' <e~<<!& c'estréunir
plusieursradicauxsemMaMes cotnbinësparadditionet soustrac-
tion,en une seuleexpression ne renfermant qu'unseulradical.
Pourfairecetteréduction,ot~oce <~HM (o<M
MMopere~A~e
les eoe~CteK~ fa~MOMJ j-em~/at/M, et on /'<e« du ra- Il
d<M~ commun.Ainsi,le polynome irrationnel
< 9 i
3e' t~aft~ – a~ /'a<& –5 ~ac't – ae' ~a~t- 3 rM'A
se réduita
<
– – –
(3<t* a<~ 5 a(!}-3) ~a<t'&ou (&' – aat – a) ~a~'
VI. ~fM<(t<Mtet ~<MM<fae<Mtt desfa<<tMM. a
<88.Pour fairel'additionet la soustraction desradicaux,
on ~M
~n< ~MWM<!<<ï<M~e o«~M, eoM ~MM)'Mpeo<(/s
D'JttOÈME. 83
CMdes ~t!M <*ot)~atM<, ~e/o~</«'oM f<M< lesajouterOMlesre-
~ro?tc/<e)'
OK/ftf/<<«e /<treW«c<<oM desra~tcax.r$ent~<t6fe~.
A';reM~/c<<'a</</f(<on.
) j
3a/~&–t'+(–KA/-<<a&')
a
-)-(/ a& -6/'a&'–~ c)~3a/ ~–~a'a&'–a~
0 J s
+a< '&'+: H&–0/~–c~~<f–!t&-t-t)t~a&'
t
-{- (–~ + M&c-6)/ -e== ~a -a&+1)~' !<&
a t
t –a aa~ –a&c 3) ~P – i~c.
~e~/c de ~aMM$<raet<ott.
a < a
~a~–a<t'J!–(tC/'aF-5a'r.3,a~–i:t b
< <
–9C~'o<)-3a~/A=={3a–2c~a<)-3a~A.
TH. ~M~<ea~'oM<~ fa(/:ea«.r.
~86. <" l'ourfairele produitde ptusieursradicauxdomême
indice, on mK~<e entre c//M /oK<Mles ~<<s«<<'<c's p<a<'e'es
sous /e~ )'a<~<caM.E,
et on a~'ec<cle /?ro</t«<
du fa~<'<'<coM<-
?«?. AinsiqueitesquesoienttesquantitésA,B, C,D, etc.,
m m m fK m
VtH.Dt~MMW
des r<t<!t<!aM!c.
/3==)/==~=:9,
a <
r~==t~, aa 6 e
e
~F
Va-b :Vatb=
~a'j~= t~~ = ~a~&.
o-t-6 =Va-h..
2° Si lesradicauxà diviseront des indicesdifférents,
on /M
~Mt< au M~e tMJtce,et ~o~ o~< commee~a o~< ~f<
dt<. Exemples
Il
a o Il .r¡¡r
\/a:~==~=~,
10 10
V2ab!: Vï¡b= V-4a'b6:V a~b5= ~4~=. =
/'M?:y'4~== a6 e
(aa)~)~!6o<)6e~=!6(t<xa<!&MF=3a<MF.
X.E.c<)'ac<<ott
des fa<tMe< ~te<!«w.
E~tM~ <<«f~oe~.
< t
t!=.' a Il
t/~5a&=t~5a~ ~3a~3e~
BiMM~Mdu 2'*pfOC~.
)
~~a~~M~ ~=8e~=/'IlM~
<90.Il résuttedu premierprocédéque
m
l`A=V-'A, ~~==
~A~A, 1' V"A= r~=7A; l~=trïl, etc.
e~.
d'oùl'onconclut,en renversantt'égatité,
~(~'–')')~X~t; i
3. (/)'<+'~ (/-–!]~'Xr-'==/'–'Xt~==-t; i
4. ((/-–,)W~(~)'1+'Xr-t–––! X/'–!==-
Celapose,soit&formerla <4*puissanceoe ;/–a, on remar-
queraque
/*–e'=')/'o/–
et queparconséquent(y–-a)" == ~'o/* (/*–!)";
or, (/<!)'~==~a",(tr–t~==-
puisque étantégala 3-}-a estde la forme4?~- donc
(/-–o~-=-tre".
la régiedu n"488 auraitdonné
([~- a)" /'plo~ ==j,
<93. Noustermineronscet article en présentantquelques
transformations qui reviennentsouventdans les applications.
(a+A~) (a–t~)=?'––!)'o'-}-
(o.+o/'–t)' + (e-& /'–t)'= <t'+ae&(/1 –&'
-t-~–a<!&{/*– i–t'== &(a'–j.
(a~)*–(<ï––,)'-r(e ~-t ~.a––t)
(a;-t-A/'–t–o-(-A/ –!) ==a<!X9&–t ==~96~'–
ti~–! _f'±)-~–!)' t–~at~–t
t~'–t (,(,–,) t-(-t)
– a/'–t
2 –~
M PMNCtPM
XII.Calculdes ejf~oMK~
/foe<totKtat!'M.
<94. tM f~<et fe<a<tTM
OMf~pMa~ M<t<M pOM<t/<ou
M~«<t/S<'<MtM<OMM)<
~a~W~t< «MJF
~OMM~/faettonMetfM.
Ainsi,
« p M~- p m j~ <a–.t
a"X<!Ï==a" 7~a?:a')s=o? 't,
"s e –j~
=:/ 0'*<ep =.. a <==:?"
y n)\t /n _\t a__ M
3° Ca (II~a°'~am)~
)' ==
3" ~a' 0 am°--a
==~ a'"==e °s
.< °* m
4'~ a'==~ ~o"==!a''=.a"
~95.Ectin il est évidentque <M<M~M~~M eoMCMMMMtt
eMj;e~oMM~ <MeomMtetMM!'at~M, puisqu'onpeut leur subs-
tituerdesexposantscommensurables qui en diu&rentd'unequan-
tité plus petiteque toute qmntite donnée; l'esprit d'analogie
conduitmêmeà admettreces règlesdans!e casoù tes exposants
seraientimaginaires.
SUPPLÉMENT
AU VI.
CHAPITRE
D~OM<fe<tOM
~m<M<<Mfe
de la formuledu Dinome
de ~<M<<w.
(e+&~
t.a.3
~j.L.
t.a t.a + ~L
t.a.3
t.a.3
a< o' a' &' a &<
(e+~< & f
t.a.3. °"t.t.3.t.a.3 t't.si.a'! !.a3*~t.a.3.
etc.
D'oùt'en peut conclurepar analogie,quelquesoitle nombre
entierat,
(a-}- a"' a'
:.a.3..)M +
!.a.3..tK !.a.(w–t) t
a* &' ?"+'
t B~.<?–a) !.a' t.a.(M–?-}- t.a.(?–
a°" &' a' 6"
t.a.«t–tt) t.a.tt" t.a t.a.(tH–a)
6-'
i.a.(wt–t) t.a.m'
Lespointstiennentlieu de termesintermédiaires et l'expres-
90 PMKMPM
~m–n ~j-
sion ––;––-t ––– est nontmëoterme o~e'fet du fa)to
t.a.w–Kj t.ti.M
?t-)-i, parcequeen posantH o, M <, H==!<,?' 3, etc., on
obtientsuccessivement les différentsterniesdont ce deveioppe-
mentestcompose.
ABnde dissipertes doutesqui pourraientrestersur ta tcgi-
timitHde fa loi genemieù tuquenenous venonsde parvenirpar
!'tK~«'(tOM,nousa!)onsfairevoirque, cette ~o<a lieupourle
~o~emeM< de e~ese fert~e ~a/eme<t(pour ce-
.a-!&
t.a.(m+~
MuttipHons ù cet efîetles deuxmembresde t'ëgatite(Bjpar
'a 4- ~+'
<{- te premier membre devient-~––'–et s{, pouroviter
t.a.t?t
les calculs,nous nousbornonsit considérerdans le secondle
termequi est affectade &°après !a multiplication,on trouve
qu'ilprovientde
am_p am_r
~-Xa+, b~r Xb3
!.2.(<tt–t!) !.&? !.3.?–?-}-)) t.a.–
etqu'it estegatuù.
')?–?+!) –––,––––'–- ––––
!rn -+?––:––––i–' '–––
t.a..(m–?-)-!) t.a. t.a.(a~M-]-~ t.a.
~m-o+t
ou bienenfinà (m-)-!)––,––––' –––.
t.s.–M-r'i) !.&?
prudent
précédent' 1 f !ra- ) a~°^~` b°- on trouve
f& 4- c'
L-i– A'
'–––<
est –––;––f donc le termegénéra!de
t.a.tt i.a.jM–r) !.3.f
·
(a+&+e)" o" ~°' c'
ost bien
1.2.m
!.a.m J ( a.(m–M) ) t.a.(?–)') ou
;.a.f
–––<t'' .––– & –––c' en posant ta–tt'=ae,«–)'==~ g
!.a. !.a. t.9.f
et en observantque M-–K-)-'M–f=p-~ et par conséquent
M==p+~-t-f.
En changeantc en e-t-d, on trouveraitde mêmeque le terme
'–'–-–'–– ––– '–– ––
°'
cënérat
de
t.a.nt
est –––.
t.a.<'
t.a. !.9.t.a.
p -)-g )f -}-<étantégalà m, etc.; do ta il estfaeitodedéduire
une règtefortsimplepour la formationdes puissances despoly-
nomes.
LIVRE
SECOND.
KtsMtjneM
DESPROBLÈMES
ETDESÉQUATIONS.
CHAPITRE
NreïMNa t&tt.ïMtNAtHza.
J. Résolution
des problèmes.
II. ~'o~<M!t
généralessur les équations.
ni. Transformationdeséquations.
et par suitel'équation
deviennent-~–, – ~–, –L,~L,
donnéedevient
tSr !8.)! a!o ao.f
3o 30 'To" '3o"'
ou, en supprimantte dénominateur commun,
t5.r–t8;f-{-!uo'=!ao.r.
Soit, pour deuxième exemplel'équation
3t.c c'.f c <t*.<'
'4.+~='3~
Le plus petitmultipledes dénominateurs /}< as& 6b, 3b'
est visiblement
tao' et les quotientsque l'on obtienten divi-
sant !M'~ successivement par ces dénominateurssont 3b',
P'ALO~BM. 09
(M, aa'& ~o'; multiplionsdonc les deux termesde chaque
fractionpar le quotientcorrespondantet le termeentier
par
tao~it vient
J~~L-jL~ )aa~'
t9a'&' tM'tHo'&tM'~ Hta~'
et, en omettantle dénominateur commun,
= ~–tM'
()<f–6a&e'.t--(-aa'A'0
Soitpourdernierexemplet'ëquation
~x' .-i x, 1
a~iL==-i~.
.i 1 :t-i'
ellese changed'aborden
a~t-))(~-– ~~–~ ~-(-tt
~'+') ~'–') (~t-t-–t. ~t)(.f–tj'
puis en
3.r".t-+t)(.C–,–(.c- ==~
d'où,en effectuant
lescalculsindiqués,
x- t
a~–a~–i-{-~==.f-{-t,
équationdu7' degré.
2<5.Si l'équationdonnéene renfermequ'un seuldénomina-
teur, il est simplede multiplierses <<<<<;t
membrespar ce
dénominateur.Ainsi,pourchasserle dénominateurdel'équation
.T
–teaa.r-t-.), on multiplietous ses termespar y, ce qui
donne.f–y== t~.e-{-35.
CHAPITRE
II.
4+~1
où l'inconnuex est liéeaux nombres/{, 5, z, 3, par addition,
M<M~ae<tOM, multiplicationet division; onendéduit
4en retranchant4 desdeuxmembres, ==
–5 y;
en y ajoutant5,
-==ta;
3'*en les divisantpar a, ~=6;
A"en les multipliantpar 3, .c==t8.
Pour vérifier,remplaçons;c par t8 dans t'équationdonnée;
elle devient
t
a.t8
q-f-–––5==!! ou !!==!
x--r+J=5-j. –.
~–––
faisantsubirù cettedquationles quatretransformations énoncées
ci-dessus,on trouve
') ~a~. Rc– + H= 3o–3.c
2' trans. 6~–z-}-3~==3o–6;
3' trans. 5~=~;
4* <raM!.a!==~'ou~==.
Substituant, pour faire[a vérification, à B dans t'equation
donnée,il vient
a4 a.a.1 1 5 a~ t3 -7-. t3
-7'––+f=5––ou-7-==
a 5.3 u.a 5 5
Soitencoreproposéde résoudrel'équationlittérale
&c
]'–a~ c/j'
'-r=-T-!
<< de
on en tire
< <raM.~–a~e~~ee-t-e/j;
2' <raM.~–<==a</e-}-Ace;
3' <r<!M. c/')j' =='a~ + ~)c (a)
M f-Ace
e
~aM$.f =
4" trans,:e ==––––.
ae <Y
r'
220.Leséquations'a) sontévidemment des conséquences
im-
médiatesde l'équationdonndR;[)onrexprimercettecirconstance,
on dit qu'ellesreM<<!M<danscelle-ci.
En gênerai, deMj ~Mattnm )'eK<cH< <'Mt)edans {'aM<fe,
ellespeuventse déduire
iors'ju'j,par quelquestransformations,
l'unede l'autre.
D'AK~BM. <03
équationqui fournit
< ~a?M.u~–aa!=' tuxu; ~<tt<t.3~-==t0!<o;
2'~a?M.E))eeste<ectuée; 4'<!M..<'<=3~);
Ce«e ~e~oMHe a donc 3.{u/)*.
223. PnoBLf:ME. Quel ~e atoK~oM~/'«? et <'<tM<fe!' </o-
maM~e«Mfils d son p~e. ~.epère répond Voeredye est ac-
<weMemeM< tiers dMmien, e<il y a six ans qu'id en était le
quart; déterminerl'tige dechacun.
Soit.e rage actueldu fils; celuidu pèreest 3x; il y a six ans,
le fils avait?–6 ans et le père3x–6; maisà cetteépoque!'&go
du fils étaitle quartde celuidu père;donc
3~6
iE–b==:
–.–;
d'ou
1 <r<!M~.– 2~} ==3.c–6 2' e<3' fr<nM.a;==18.
Le fils a donct8 ans et le père3. t8 ou 5~ans.
224. PaoBLÈME. Une ~er<oK!te <((tft(a~e rencontre de.
pauvres, e< <'<«< donner à c/««WM mais elle O'oMee,
après avoir comptéson arye)t<,qu'il lui faudrait 5 /f. de
plus; <«<!ooMKalors X a chaque~aM~reet il lui reste
a /r. oia~emoK<fe combienil y <n)<M< de pauvrese<com~'M
cette personnepossédait.
On peut prendrepour inconnuele nombredes pauvres ou
celui des francs.
Soitx le nombredes pauvres;si chacunrecevait4 fr., les
x pauvresrecevmient fr.; maisil manque5fr. pourque cette
distributionsoit possible doncle nombredes/)*aMM est ex-
primé par ~–5. Actuellement, chaquepauvrerecevant3 fr.,
tes pauvresreçoivent 3x fr.,et, a raisonde cequ'il restea fr.,
le MomA~e du francs est aussiexprimépar 3.t'-{- ëgatantles
expressions~.r–3, 3~-}-~quidésignentune mêmequantité,il
vient
~–5.=3;f+9,
B~GÈBM. ~06
1
équationd'où l'ontire
<"<faM<.E))eesteîfect.2'<r.~–3t==5+a;
3"= y.
Il <ttw< <~ttc7 pauvres,etc<«epefMttMe a3 /f
DOM~at<
puisque~–5=4.y–5~=K3..
2" Soity le nombredesfrancs;si cettepersonneavait5 fr. de
plus ou (y+5) fr., ellepourraitdonner4 fr. tt chaquepauvre
donc le -nombre
Montre de pauvres
~««WMest ~-1-~ si elle e!)eavait
avait2a fI',de
fr de
4
moinsou (~–a) fr., il ne lui resteraitrien
après avoirdonné
3 fr. à chacund'eux donc m~menombreest aussi
représente
M'–'x
par ~–- de résultel'équation
y-j-5 ~–a
on en déduit
< MM. 3y-)-t5~8; 3' (MM.–y==-a3;
2' ~CM~. 3y–8; 4. ~a~.
On trouvedonc,commeprécédemment, que cettepersonne
possédait23 Fr. et ~M't(y ocet<y paMWM, car
'/+5 5 !t3-~5
7.
4 "7-
288. PaoBLÈME. Un avare range ses écuspar piles <fet i
écus «t~/Mt en reste i; il formealors des
piles de t3 e'e<M
« il lui en reste 9, maisil a de~ piles de MtOtK< coM&Ma
<< <<'ee«<?
Soitx le nombredesécusde l'avare;~Li
11 exprimele nom-
bre despilesde11écus,et celuidespilesde t3 écus;or,
~-S
le premiernombredoitsurpasserlesecondde2 donc
-c–t
–– ~=; A-–u
––g _i_n.
') i3
équationqui fournit
~<!tt<.t3j- – = ,j;-gg~86; 3' <fass.M==Mo;
3' <mM. 3.c– <t.r==
–gg~.a86; 4' ~<!M.a- too.
L'avarea donc too écus.
<(? PXMCtPEe
336.Pttoet.ÈMti.
t/4 por<tcx~'e)'a 35~fr. dontil retire M /)-.
(<'<n~r~, CMfaisant valoir «Mepartie au 5 pour MtKee
<'(«t<fe(Hty quellesMtt<ces (<ex;c parties?
Soitx la premièrepartie; l'autreest 35~--x; les sommesx
et 35~–y renferment-
t00
et
)00
centainesde ffttMs,et
placéesau 5 et au 7 pourcent, ellesrapportent
consëquemment,
annuellementl'une et on ajoutantles
)oo l'autre ~)100 `
intérêtsdeces deuxsommes,on doit visiblement retrouverl'in-
térêttotal donc
5x 7'35/!–.c')
–– '-20'
tou t––––L==ao;
too
équationd'où l'ontire
<fnMM.5.r-a~8–c=aooo; 3'<raMî. -a.);==–~8!
2"<)'aMï.5.c–y.f==aooo–a~8; 4'~<tM$..)f'='a39.
Ainsi,la preM~repartie est 23g/r. e<l'autre 35/{–a3gou
tt5/r.
227.PROBLÈMB. On donneà un ouvriert /r. y5 c. par jour
lorsqu'il travaille; mais, chaquejour qu'il se repose,on lui
fc«eH<o 80 e. pour sa nourriture.Au bout de ay jours,
il reçoit3; /f. 9'i pour soldede son compte.On demandele
nombrede jours (te travail et le nombrede jours de repos.
Si l'on désignepar .cle nontbrede joursde travail,le nombre
dejoursde reposseraay-;r l'ouvrierauragagné,y5.< fr. sur
tesfjuetsondoit lui retenirpoursa nourriture0,80. (By–.r) fr.
ëg:dantdonc la diuërencede ces deuxexpressionsà la somme
3i fr, <)5qu'il reçoit,il vient
t,y5..t'–0,80. (ay–.r)==3t ,g5;
et, en multipliantpar too pourfairedisparaîtrelesfractionsdé-
cimales,
ty5;c–8o[a7–.t) ==3<g5ou ty5.<-–a(6o+8o.c=3t()5.
Résotvattt cetteéquation
4" O'MX.Elleest effectuée; 3* < a55a;-=5355
2* <MM.ty5~-)-8oA'==2t6o-}-3)g5; 4*<f<MM.<=at.
D'AMÈBM. «H
rowerw a donc <f<tM!t/~jMn<~tt< a t ~o«M e< ~'M< fcpo~
~enJ(tM< ay–a ) OMM~OM~.
228. PaoBLÈMK. /.a<omm< <~Mdeux d'wK Mom~M e~<
c/t<e<
ta; e(, ett y <t)'o«<M< t8, OK otftetit pour somme «M ttom~e
com~OM dM M~MM c/«~'M, m«M ~«w «? or<<~ f~oerM.
Quel e~< ce ttOMt~~P
Soit ~'te chiure des unités; celui des dizaines est ot
ta–.f,
ce nombre vaut lofia–.c -)-;c; si l'on y ajoute 18, !a somme
t o( t B–j -)-:<!r8 doit être composée de a- dizaines et de z–e
unités, et par conséquent doit égaier donc
tox'-}-!x–.f;
!Mo–to.r-)-<['4-t8==to.)--4-tx–iB;
d'où
t" (r<M! Eito est eCectuee. 3* ~<!K~. – t8~-==–ta6;
2*<f.–t0.f-j-a'–to.c-c==t9–tito–18; 4''(f..f==y.
Le chinro des unités étant
7, celui des dizaines est ta–you
5; ~e nombre demaM~~ est donc 5y.
229. PttOBLÈME. ~e'K~o/ oe«< <f<~OM)' WM~<tM~( eom-
posé de i t64 hommes <M Aa~t//oH carré à cetXt-e <:<~e,
~e'-{-)M–3R-==n(~ ou taa;–3R==!t(~;
équation du premier degré, d'où l'on tire .); )oo; ce ~c')!cr<!<
<<o<<(/ot)c mettre too AommM f/<a~e fct)~.
230.
Pxom.f:ME. ~cAt//(! oo ~tr /bM ~/M <'i<e
t/M'MKe tortue
~<t a MKc ~'eMe ~'aeoMee oo- <Mt à ~Me~e <~<<Mce <a ren-
<!OK~era-<7?
Soit x te nombre de tienes doit parcourir
qu'Achille pour at-
teindre ta tortue; cette dernière aura fait alors ~–! 1 lieues et
)'on aura t'équation
A-== to(.<;–t) OU.f == to~-– 10;
<M PMNCtPES
d'oùl'ondéduitj-= de lieueou .<!==!' ~c/o'~eatteindra
donc la Mf«<eaprèsavoirlàit t'
Ce proMemo,dontl'énoncéest au moinsridicule,était fa-
meuxdansle tempsoù les philosophes grecsseplaisaienta re-
vêtirdes apparences de la véritéles assertionsles plus absurdes.
Voicile sophismequ'eaiptoyait Xénona son égard « Lors-
qu'Achilleaura parcourula premièrelieue,la tortueaura faitun
dixièmede la lieuesuivante krsqu'AchUto aura parcouruce
dixième,latortueaurafaitlecentièmesuivant;et ainside suite
doncAchillen'atteindrajamaisla tortue.»
Ceraisonnement conduitévidemment à uneconclusion fausse;
maisoù peche-t-it? C'estce queZénondemandait.
Remarquonsqu'Achille,avantde rencontrerla tortue, par-
courra un espaceexprimépar la série indéfiniede termes
''t"r!i'T7:-t'TT.?'-)'ctc.; cet espaceau premiercoup d'ceit
paraîtinfiniet c'estcequirendleraisonnement qui précèdeassez
spécieux;maisil en est autrement,carcettesérieéga!evisible-
ment <t ut etc., fractiondécimalepériodiquedont la valeur
est y. Nousretombons doncainsi sur la solutiond'abordob-
tenue.
Lit 2'
La 20 partie
ca~e a-x=a-
ma ==.
===
m-j-tt -+
m-t-M
Pour faire une application de ces formules (6), posons a~ ?
t~,
m n = 3 et substituons; elles donnent
tx M
=a;
f4
~+~+~==a; in
équation d'où ron tire successivement
<" <ra)M. M~-t-MiB+~iB== ma 3* <r. (m-)-M-{-~).e--=ma
2'
21,t-ratu.
<ra<M.Elle
E))e est effectuée;
euëctuee; 40 –~–.
w+M+p
~.p ? ma Ma
Le 2" pe~e
–<? -= M
–. –.–––
M-w+p -= m~-M+p
––––.
“ M e ma ea
to 3" M!'<<e ==
La 3° –~––– == –-Z-––.
w m m-i-M-t-p ?-)-?-)-p
Supposant o=-.3o, M)===),nc=a, p et substituant, ou
trouve
<" ~ar«e = 5, 2' p<!f<M== !o, 3" partie == i!
< )
-~–j-+~
équationqui, étant résotue,donne!e==. ~-i~l; on en dé-
c–a
duit aisément~-&=-±~.
a e–e
V.Exe~ctCM.
to 8 ~3~.
2-+~ ~==..6~.
30
~––––
<o c a/–c~
'r '<TF~-
342. Paoa~ME. </?<armée ayeK<été ~~at<c, de quart est
resté sur <ee~amp bataille, les deux OtmyMt~Mont été
faits Prisonnierset t~OOO AOMMMS, gui égaient reste de
~'arm~, ont pris la fuite. Decombien<('/tOtKWM <'<t)'Mtee
~<M<-
elle composéeafett</a &a<<!<~< Rép..ce=<~oooo hommes.
243.PMBt.ÈME. TroisOM~MyaMemM~pOMf ~a~<me)t<
d'une pauvrenièce,formentune boursecommunede 1~0 /î'.
Le premier donnece yM't~e«<;/e deuxièmedonne<<'OM /bts
autant ~«e ~MMef; /e troisièmeautant que lea deuxau-
trea on demandece que chacuna fourni. Rép.le premiera
donné t8o /)' <!eM~t'~e 5~o/r., e< ~OMtcmeyaofr.
244.PxomÈME. Unepersonneengageun domestiquepour
un att e<lui prometpour salaire /f. et un habit de~trce;
au bout ~e y mo~, domestiqueMr<,feeo~ pour ses gagea
5~ /Y.f<garde son ~<!&t<; c'e<at<~fe'eM~mett< ce qui lui re-
tenait <îcom&teM <<e~<e$<-t< M<t~? Rëp.~==:ya/f.
245. PROMÈME. Une~e~oMM,ayant doublé CMjeu /'<«*-
~eH<qu'ellé possédait,donnetoo /f. aux paMer~; ~K<fe-
main, ayant o't~Mce ~«t lui restait, elleleur donneaoo /r.;
le <«~<!M<!etMttt,
a~<m< quadrupléce restait, elle~Mf
aoMMe 3oo /)' lui rosiealors <aMntwequ'elleavait ooottt
de ~'o«e~.Quelleest cetteM~WK?Rdp..c -= too /)*.
246.PROBtÈME. 1;1&
AotMMe estsof(t dee~Mlui aoectanacef-
«6 PMftC!PM
tain ttow&ye de <OMM pour faire des emp!e«et. première,
d~<ttMla moitiéde ses louis « la moitiéa'wM;d la deux-
~?0, dépensela moitiéde ce qui lui resteet la moitiéd'MM
~ottts; <<t<rotSt~e, ~an'M~eme!t<; t<feutre chez lui, a~a~<
<ow< dépensé.Quelle est la dépense<o<a~?Rëp.== y /oMM.
247.PttOBt.ÈMR. Uncott~et/composédea personnesf!y<!K< d
eAoMO' entre trois caH~a~, premier obtientb voix de
plus quede second,et le secondc voix de plus que /e trois-
ième. Co~MMcAocMM <<~ et(de eot~ Rép. le premier a
réuni –– voix; le second,-––; le <fOM~M~
a–b–ac
3
248.EMBLÈME. Be~r frères héritentenw~e temps<'M~de
a /f. <<<'aM<)'cde b /f. Zepremier a!fFmeM<e chaquejour son
bien dec fr., tandis ~Me second diminuele tien de d fr.
dans combiende ~'oMM premier sera-~ m fois plus riche
?Me McoMd?Rëp. ic==-
md-j-c
249.PMBt.ÈME. UMjardinier, ayaM< ~<aM(~ des arbres en
carréplein, a a arbres de fM~; <7MM< e~ me«!'c«? arbre
de plus d o/ta~Merang, de sorte (lut daforme.carrés ait ?«-
jours He~;mais pour cefa lui en mat~tteb. Com&tett avait-
il d'abordmis d'arbres à chaquerang Rép.x = ~+b!
CHAPITREni.
MCONNUE8.
III. J~M<M<MMt
de plusieurs problèmesdonsles donnéessont
numériques.
262.PMBt.RME. Unparticulier qui n'a que despiècesde 5 /f.
et a /f. ee«<payer 53 fr. en t6 pièces, Combien<!ot<
donnerde piècesde 5 e<de pt~cMde s fr. P ?
Soitx le nombredes piècesde 5 fr. et y celuidespiècesde
a fr.; t'énoncefournitimmédiatement
i!t-i/==t6, 5t-==53;
de la premièreéquation,on tire ~==!6–.e; et, en substituant
cettevoleurde y dans la seconde,on trouve
5a!+3(t6–<)~=.53 ou 5.e+3x–a.r==53,
d'où l'ondéduit aisément~===7;portantce résultatdans l'ex-
pressiony= t6–.c, ona y<==!Q.
Ceparticulier doit doncdonner 7 pièces(/e5 /)'. et 9 pièces
<tea francs.
863.PMBtÈME. Deuxfrères dm~etK, ~tt<M – de sonbien,
7
Rtl'autre d«steM.Zadt~e~ee de~ex~d~etMM esta3y/r.
D'AMÈBM. 4M
et la MMtmede ce qui leur fe<~ est aaao /r. ~e~ ~«t~X
leurs biens?
et par suite
!0!E–3()==a.c-t, d'où.?=='&.
Substituantx -=5 dansy= a.c + t. on trouve n.
Il y <!cot<
dOMC 5 joueurs,el ils ont /<!<< < parties. Lesva-
leurs.==5 ety==)i vérifientles équationsdu problèmesans
satisfaireà sonénoncé;en elfet, puisquete premierjoueura
gagnéto partieset le seconda. le nombredespartiesjouéesne
peutêtre pluspetitque ta, et ne peuteonséquemmont égaleri ).
Ceproblème est donct<t<o~<e.
Si l'on résoutle mêmeproblème, en remplaçant les données
39, i, to, a, par ceties-ci 5, 7, 3, il devientsoluble,et
l'on trouve.B==ta, y ==
268.PMBLÈME. Cttm<tf'«tMd Mttd <" t6 &OM<ttMe< de vin
de CAam/xt~e,7 de ow Bourgogneet to </e<'fM~ot'<
pour 80 /r. 2° 8bouteillesde vinde Champagne, 9 de MMde
Bourgogneet 5 detMtd'/lr&oM pour 5! /r.; 3"6 bouteillesde
«Mde Champagne, 3 dePtt!de Bourgogne e<a devin d'Arbois
pour 39 fr. Combieneo<eMMe bouteillede e~Me espècede
rw ?Y
Soientx, y et ;ï les prix respectifsd'unebouteillede vinde
Champagne, de vinde Bourgogne et de vind'Arbois;nousfor-
meronsimmédiatement lestroiséquationssuivantes
!&B+yy-t-roj:==8o,
~+9y +5~==5<,
6.e4-3y+a~==99.
Pouréliminerx, il suffitderetranchersuccessivement lesdeux
dernièresde la première,après les avoirmultipliéespar a et
par 5, ce qui donne
–n~'==–a9, ––==–65;
l'une de cet!es-cifournit)/==a, et, en substituantdansl'autre,
on trouve.z==3,5o.Portantcesvaleursdex et de~-dansl'une
des équationsinitiales,onen déduitx- i.
Ainsi,la bouteillede vinde Champag'ne'co4ee 3 /)'. 50 celle
de vin de Bourgogne,a el celledevin d'Arbois,t fr.
266.PnoBLÊMB. Legouverneurd'uneplace<M<~eMtrouve
d la (e<ede trois détachements/'w de ~eModte~,l'autre de
D'AtCMM. <27
3~-}-o~5.a?-t-o,y3..)'==ay()3.
a {
la seconde et ia troisième
Multiplions par 0 0 afin de
par -L,
chasserlesfractionsdécimâteset de simplifier;M systèmed'é-
quationsdevient
~+y- ==ayo3,
~{-a!-)-~=='!8oa, (j)
~-t-36o4;
éliminantsuccessivement x entre la premièreet les deuxautres,
il vient
9;);–eng~ !f-t-3)'t==~ao8;
éliminanty entrecesnouvelleséquations,ontrouve
'7*==99"' d'ou.B==583,
et, substituantcettevaleurdans l'uned'elles,j''=!:a65. Portant
enfinx-==583~~==t65 dans l'unedeséquations(j),onen con-
ctut~==689.
7~' avait ~oKe583grenadiers,a65wMyeMM,et (?<)/w<t-
~MM.
<M PRINCIPES
<' à –
égates et –L livres;deia résultel'équation
p p
~y =c ou t
–– <t.c-)-==ep.
p p
La résolutiondes deuxéquationsprécédentes conduitauxfor-
mules
b c _c–'o a
~-A'='a~a~
C'està peuprès de cettemanièrequ'Archimède résolutle e~-
~~f< problèmede la couronnede Ht~oK,roi de ~MCMM.
L'histoirerapporteque ce dernier,ayantdonné18fivresd'or
il un ouvrierpour fabriquerune couronne,soupçonna,lors-
qu'elle lui fut apportée,qu'ellen'était que d'argent recouvert
d'uneépaissefeuilled'or; Archimèdo, pours'en convaincresans
Fendotpmager, pesadans l'eaucettecouronne,t8 livresd'or et
t8 livresd'argent,et trouvaque leurspoidsy diminuaientres-
Y.JF-ro'ctCM.
272. RésoudresMcccMtceMeHt par lestrois procédésd'éli.
nttMO«OMlesde<M f'~Ma<<'oH~
tM'–35~==, G(M.{-at~==5.
-L7 3.+
Rép.
~3~4a7''
373.Résoudrelestrois e'~M<t«ottN
a.–~==c, <~r–~=c, ax–&.c=='c.
Rëp.~==–
(t–& ~==–r, ~==–r.
a–A <t–&
274.PnoBLÈME. On a~'c't)5.~ fr. pour da t'ascoMde 22
militaires,tant O~tCte~ queMtM-O~CteM, raison de y5ofr.
par c/<a</Meo~ctefe<de 341/'f. par e/<a~«e M<M-o~c<e)*. CoM-
6tCK~'ctpot(-t< d'o~tCtMe<de so<M-o~ic<eM? Ilép.Il avait
5 o~tCMM et ty MM~-o~Cte~.
275.P~~OB~{:Ë. Deuxjoueurs e<aH< <<'ttt~a~e
force, le plus
/b?'<yoMc 5/)'. MK<re3/< après 13parties,le p/M?/ft!'&<e
doit au plu fort 3t /r. Combien<(ae«Ma-<-î/~a~Mede par-
<tM? Rép.Leplus /br<a gagnéra parties e<le plusfaible t.
276.PttOBLbtE. Pierre et Paul ont eAacMM «? certainnombre
d'écus.'SiPierredonneutt deses f'cMsd PaM~, ils en ont ew-'
tant l'un que fox~e mais si Paul donne«? des siens 4
Pierre, ce dernieren a deuxfoisp/!M~Melui: combienPierre
et Ps<~OK<-<~ <f<M? Rcp.Pierre a 7 écusc<PeM~5.
277.PBOBLKMË. Un mare/taK~n'a que <~cM;c espècesde ~M,
l'un à i3 MMt litre e<<'OM<ey S0!«' <'OMm<K< ~0<< les
Me'/eK~er pourfaire 2.~<<t'Mdeft'Kd~Mus ft<)'e?Rep.Ce
mélangedoit dire composéde 8 litres du ew f3 sous, et
de t6 litres de celuid 7 sous.
278.PMOBtÈME. ~Mepersonne<aM<p<ac<f5aa fr. e/ ~u)/r.
d deMJC «tM-cdifférents,retire <tH!tMe~cmc)t< de la p~m~fe
somme18 /f. ~o de plusque de la seconde.St e~e «)< placé
C'ALC~BBE. <33
m. _·s~_
la secondea« tK~<etaux que la première,e<la ~ren~e au
même taux que la seconde,cette dertt~re lui rapporterait
)o fr. &) de p~<sque l'autre. ~«e~ suiteces deux (ow~P
Itép, Le premier taux est 7 fr. e<le j!ecoNa!/f.
279. t'HOHt.ÈME. Ona trois lingots dans cltacttn</M~Ke~ il
entre de l'or, de l'argentet du CM~re.L'alliage du premier
est tel ~«e, sur 16 onces,t~ CHo 7d'or,8 d'argent e( i de
cuivre. Z~aMS second,sur 16 oncesil y ena 5 d'or, 7 d'ar-
~<M< et 4 de cuivre, Dans le troisième,sur tGunces,<7~en a
a d'or, <)d'argent et 5 de cuivre.On demandece qu'il faut
prendre de c/t<'cMK de ces trois lingots pour en former un
sur 16
<jf<<t,
quatrièmequi,
~Ma<r<eme t6 OMCM,
onces,contienne 4 0?4ces
co!t<!enMe d'or, 10
OMce~-y; y-~
CHAPITRE
IV.
BMCMStON
UESPROBLÈMES.
ï COM<W!'<:<M?M
générales,
283. Nousavonseu occasionde remarquer,dans les deux
chapitresprécédents,que les valeursdes inconnues,tiréesdes
équationsd'un problème,ne convenaient pas toujoursà son
énoncé.Pourpeu que l'onréttéchisse, on expliqueaisémentcette
circonstance; en effet,il est manifesteque les valeursdes in-
connues, déduitesd'un systèmequelconqued'équations,ne
peuventgénéralement vérifierque lesconditionsqui y sont ex-
primées si donccertaines conditionsont été omisesou ne sont
pas susceptibles d'êtrerenduesatgébriquement, ces valeursne
pourronty satisfaire,et le problèmeserainsoluble.
Quela naturede la question,parexempte,imposeà l'unedes
inconnues, la conditiond'êtrepositiveou enmre ou biencelle
d'êtreplus grandeoupluspetiteque tel ou <e<nombredonné
(a35),(a3y)et ~64); aucunedecesconditions ne sauraitêtretra-
duiteen algèbre,et par suite,les équationsdu problèmene sont
qu'uneexpression incomplète de son énoncé la valeurde cette
inconnue,si toutefoislesdonnéesn'ontpas été préparées,pourra
doncêtre ~a<<pe ou fractionnaire ou bien sortir des li-
mitesassignées,et cetteseulecirconstance suturapourrendreia
questioninsoluble.
Les considérations précédentes nous permettentde poseren
principequeles valeursdes wcoKMMM, tirées des équations
d'un problème,ne o<W~eM< généralementque les conditions
~w Ma<~reM~M.
Lesquestions qui conduisent àdessolutionsnégatives,méritent
0'At.GÈBM. <3S
JI~I__ .n n
surtoutd être examtnéesavecsoin nousen feronspar consé-
quentl'objetd'un articleparticulier,donttout le restedu cha-
pitreoffrirado nombreusesapplications.
coups iM~eweMe?
Sans soit besoin de faire de nouveaux
qu'il calculs, i) suffit de
changer, dans les formules nous venons de
auxquelles parvenir,
les signes des quantités b et d
qui ont pris des acceptions opposées;
donc & et d – b et
remplaçons par –d, it vient
(–~–(–A)c
1: = _oc-(–
y-
a-–6) a–'–~
ou
&C–C< f,c+<<
<t+& o-)-6
c'est aussi à quoi t'en comme it sera
parvient, facile de s'en
assurer, en resotvant directement ta question.
Si d est > Ac, !a voleur de x est
négative; celle de y reste
po-
sitive, mais elle n'en est pas moins inadmissible en ef!et, de t'inë-
gatité hypothétique <~ >.&< on déduit aisément Ne+<<>ac+tc
~c-L~
c'est-a-dire
"-d' ce qui est t. impossible.'bl
y>c,
e~
~A~B–––––R–––––
a- ~'=~ M
ad j o
0 o
~== –- Mc= –rdonMnt~== –,o «== –;
o–&' a–<' o
Énoncésde quelquesquestionsfe/o<tOM
au ~ro&~medes
courriers.
292. PMBL&MË. Un~'prur poursuit <M<t~re qui a sur lui
une avancede d le ~chef /<!<< M «!)<?,tandis que le
lièvrefait n pas, et p MM«~a~K<q pas. Combienle ~re-
Mtef/<<<< de sauts avant J'a«e<Mjre second,et combien
ce <<<t'M<ef
fera-t-ilde pas avant (<fe a«e<M<i'9
Rép.Lelévrieret )elièvreferont
l'un sauts, l'autre-– pas.
m~–np m~–Mp
393.Pao8t.ÈMK. Lesot~Mt~ej: d'une )H<Mt<femarquentMMdt:
à quellesheureseo!MCt<!eroK<e<?
J!~).Ellescoïncideront
t a 3
à i heure –, t heures–, 3 heures– 19 heures.
n n tt
M4.PMBLÈM6.~Me«e< heuresles aiguillest<'Wtemontre
sont-ellesdirectemento~o<eeï?
Ettëssontdirectement opposéesà – heures, t heure
CHAPITRE
Y.
DISCUSSION
GÉNËnALE DUPRENtEK
DESÉQUATtONS DEGRÉ.
!I. ~MCKMt'W
</eNeyMattOK.!
f!deuxt'KCOMKMM.
305.Toute~Ka<<oK a« premierae~t'c'a
à deuxinconnuesest
de la /bt'M<ax+by== c; a, b, c étant desMomoresentiers po-
~< oMKc'ya~ En effet,aprèsenavoirchasséles denomina-
tem's,on peuttranspose)'dans le premiertnctnbretes termesaf-
fectésdes inconnues,etdansle secondmembretestermesconnus;
désignantalorspar a la sommedes eoetBcients de f, par & la
sommede ceuxde~, et enfinparc la sommedestermesconnus,
cetteéquationprendrata formeannoncée.
306.PROBLÈME. 7MM«cft'elesdeuxéquationsgénérales
a.t!-}-~e=:c, a'j-=c'. (a)
Nousemploierons de preferemole procédéd'éliminationpar
additionet soustraction.
Chassonsd'abord. et à cetouet, mul-
tiplionsta premièreéquationpar& coefricient de dansla se- =
conde,et la secondepar b, coetticient de ,r dans la première;
nousaurons
<+~-=~ &0'.C-}-&~==&C'
et, en retranchantcesnouvelleséquations,
(<–~<t'<-==c&<'c', (b' d'où j-==~I~ eo oe (c)
Soustrayantmaintenantla premièredes équations(a) de la
seconde,après les avoirmultipliéespar a' et par a; it vient
1 ==de'- de, cal
(<t&–<,o'
(«Y- y6W ac'- ça',
ca, fdi
(d.~ d'où
dou J' ==<!&–tft (e)
Lavaleurde r auraitpu se déduirede celledo<Bd'une ma-
nièrefort simple.Remarquonspourcelaque ~M~M<!<<otM (a)
ne changent~O.t,lorsque,sans toucheraux aCMK~,<)?rene-
place a par b, x par y et ~c~foyMemeM~ La formule(c),qui
enest une conséquence, jouit dela mêmepropriété;elle devient,
moyennantles mutationsindiquées,
ta'–oc' ac'–ea'
bieny a~–~ 1
~-==–~––
&a'–a& oubtcn~'==-r,–.–f*
en multipliantte numérateur et ledénominateur par–t, et en
écrivantlostermespositifsles premiers.
tt'ALGÈBM. ~3
1 !1__ I.\ _f n n n .f
Lesformules(c)et (e)vérifientles équations'a', car, commeon
pourras'en convaincre,on trouve, après la substitution,c==c 0
etc'==c'.
Appliquonscette théoriejt la résolutiondes équations
3~–==–5, 7.t'+.r=-~o;
atin de les identifierauxéquations(a', posonsa ===3,/'=–s,
c==–5, a'==y, A'==t,c'c='o; et substituonsdansles for-
mules(c)et (e; noustrouverons
I 5
~(–5)Xt–(-aJXo~–'iXt
:1'1=
3Xt-(–s)X7 3Xt-f-aX7'" '7'
III.DMOM~tOW
des équationsà trois inconnues.
3" CAS.
Sio==oet A'==o,on a a.'==– les (~«««OM(i) MK<
Mdf~efMMf'Cetteassertionsera fondée,si l'ondémontre que
lu troisièmeest une conséquence desdeuxautres.Lacondition
A==oou <!).-)-<<'M-~d"x=o fournit
,“_ ~.+<<'M.
-–,T''
et si l'onsubstituedans l'équation~o,qui rdsuttedes deuxprc-
nneres,envertu do rhypothescu~o, on trouveef]ectiveinent
lutroisièmeéquationo".c-<c"j; ==<<
Considérons actuettetnentlestroisretittions
<)L~-a'M-{-a"N~=o, tL-(-))-N'==o, eL-)-e'M-t-e"K==o; fp)
on déduitde ta premièreet de la troisième,en regardantN
commeconnue
c'a'–s'e" ae"-M"
M==:–,––
t..=–;––y
C<t'–<tC' CO--UC'x; [q)
substituantcesvateursde Let de x dans l'égalitéde condition
~L-{-d')t-~<<"N~=o, etchassnnttedcnominatcut', il vient
Mc'<<t'c")-)-(ac"–ca")+(r(<-a'-a<K=o,
ouBN==o,enobservantque la quantitécomprisedansta paren-
thèsecarréen'estautrechoseque )c numérateurde y.
Onobtiendraitparcittetoentcx=='oen remptacant,
danst'equa-
C'AtG&BBE. <63
1 .·· ,u~- .I.
tiou o==o, ).et Mpar leurs Videurs,tiréesdes deux promicres
retations'p.
LeséquationsBx=-o,ct<==o qui résuttentdela coexistence
des
deux hypothèsesrelativesau troisièmecas, fournissent)t===o,
c==o,exceptedanslescirconstances oùx==o.~«Mc
particulières
se présente&oM/s/byme –
si /'MKedesttiCOMMMe~ ~«.c
autres serontye'?tefa<emeH<de la M~me/o!'me.
Les réciproquesdes trois cas précédentspeuvents'établirù
l'aidedes raisonnementsquenousavonsemployés pourles équa-
tionsu deuxinconnues.
Concluonsde /oK~cetteaK(f~e que,selon~M6les<-«/<'MM
des inconnuesx, y, z sont ~<!M,infinies0!tindéterminées,le
~MC des trois équationsqui a fourniesest(/C'<CMM<M~
<~OM~~eOM tM~e?'mtK~ réciproquement.
320. H nousresteà examinerle cas singulierde x==o, dans
ces
lequel.f==-°-==-
o 0 ~==:0 pour interpréter résultats,
nousremonterons aux équationsdonnées.
En vertu desrelations~), on a d'abordL= o, M o et il
s'ensuit
&'c"–c'A"~o, c&"–Ac"==o, <'<–c&'==o; (r)
multiplionsles deuxdernièreséquations'i, par f et rentptarons
et' par <'e',et" par bc", euesprennentla forme
M-+- !Gd-f-c,a).~d,
(j ax-f- '~+c~==~, a.f+ u=d,
ax-(-- w==~,
C<t-{-C'(~+M==C<< (s) ou ca'T-(-C'M==C<< (f
¡ CO"~+C"M==C~
f C.t"a--)-C"}-M;==Cc!
en posant~{-c.ï==«. Cestroisdernièreséquationssontvisibtc-
mentincompatibles
(8M).~.<!KO<a«oM–<tt~Me<<o!!c<c~<Me
<M/)OM<&</t~.
possibles,lorsquel'uned'e))es,
l,eséquations(t; sontcependant
desdeuxautres;
par exempteta première,est une conséquence
de celles-cion retire
~'c"-c~" e'o'd" ·
~'= is ~== r ("~
7e'a" -W~V"
PRtSOPM
substituantdansla première,chassantte dénominateur
et trans-
posanttouslestermesdansle mêmemembre,il vient
o~'e"-c'<<")}-c(<d"–(t")-d<c"-<<j==o ou B=o;
cettedernièreéquation,muttiptiëepar donne&H=!0,et en y
remplaçant&e'par c&'et &c"par et", elledevientcc==o,d'ou
c=o, en admettantque c ne soitpasnul. Ona donc<==-
Ï – ~c~' ca'–ac'
~–60" ~"a&&?~
et cesvaleursvérifientla troisième,car aprèsta substitutionet
<(!t! t'MSCtPM
y ==! on en retire
3~+5 t:~+aj 3</+5 !5y+aS
a to a to
d'oit ~° t5y-}-a5-==t5y-~a5; 2" t5y–t5y==H5–a5; 3"(]==o.
a~–3~/==5, to~–t5~/==ay;
d'oit l'on déduit, il l'aide des formulesgénérâtes,T ==
y= Enlesrésolvantdirectement,
on trouve
3~4-5 tf'v-j-a? (jt 3!t-5 ==.J–~
t5)/4-a7
;i:–: _~L- x =, –~L_
a to a to
d'ou<" tu)/-{-aj==t5)/+ay; 2° !~–!5~=:<y–a5; 2"o==&.
Pour reconnaîtrel'identitéde ces caractères,il suf!Hde chas-
ser lesdénominateursdansles expressions
o A
a;=- et ~==
o n
cequi donne
o.X=o ou <)==0, f.f==AOU«==A.
M'AMÈMHE. 4(!7
IV. Conclusion.
3a /)'.p<tt<
<)'oM~Me, MOMceaM reste;et ainsi de «tt<e
– <~
J'W~M'<!<t <<CM«e?',CMNM~MM~NM~ ~0~'OMM dea /h
LesJ!~o~«tom du <e~«meH< il se trouve
ayant f'<e'<!M<'M'M,
que le &<eM a été partagé ~e/f~et~ entrelois les ~')'t<<ef<
quel est &«?du père, la part de c/K!~«e enfantet le Mow~e
des eM/OH~P
Soit x le biendu père et la part de chacundes enfants
t'ënoneédonnete moyend'évatueren x la sommequi reviental
chaquehéritier,et, en égalantchacunede cesparts a~ on par-
vienta autant d'équationsqu'il y a d'enfants;or, !onombredes
enfantsétantinconnu,celui des équationsdu problèmel'estpa"
rei))ement pourque cette questionsoit possibtoet déterminée,
il fautdoncquetoutesces équationsse réduisent&deux,à l'aide
desquelleson puissetrouver et r, et c'estprécisément cequi
arrive.
Cherchons, pour le fairevoir,la part du ~< enfant ellese
composede po fr. etde la – partie de ce qui reste,lorsquel'on
a retranchéde les quantitésp&et fp –!)~, dontla dernièreest
la sommedes p- parts précédentes.Ona donc
pa-r- ––'–––=– ==r ou p(oM–(t–y)=~–~–a',
aprèsavoirmultipliépar tt et transposédansle secondmembre
les termesqui no renfermentpas p. ActoeHement, si l'on fait
p==t,y==a,~==3. on aura l'équationrelativeau < 2',
3" enfant.Or,il estmanifestequ'a toutesleséquationsobtenues
ainsi, on peut substituerles deuxsuivantes
<Mt–<t–r==o, ~–~–a:==o,
puisqu'alorslesdeuxmembresde chacunedeviennent zéro on
en retire
~'==<t(M–l),.f==y(tt–t) ou ;C==(~H–t)*;
le nombredesenfantsétant multipliépar égale?–t, en
vertude l'équation
~==!/(K–<). Supposanta= 100, M==to,et
substituantdauscesformules,ontrouve
~c=stoo.t)'==8too, ~==!too.t)==goo,
–==g.
D'ALGÈBRE. <(?
CHAPITREVI.
ET PROBLÈMES
ÉQUATIONS t)USMOKtt
M(!KÉA UNESEULE
INCONNUE.
327.Ondistinguedeuxespècesd'équationsdu seconddegré,
les Équationsincomplètesou </ew~ termes,et ies équations
fom~M ou a trois germes.
Leséquationsincomplètessont cellesqui ne renfermentque
des termesanectesdu carré de l'inconnueet des termestout
5y*
connus.E~m~e-=! t – a;
4
LeséquationscomplètesrenfermentenoutredestermesaBëc-
tésde la premièrepuissancede l'inconnue. Exemple
~+.f ~'–t
'"3"4"-
328. Onappellefae~ted'une équationduseconddegré,et en
générald'uneéquationquelconque,toute expressionqui, substi-
tuéeà l'inconnue,vérinocetteéquation.
I..R~O~M<tOtt
e<discussiondes équationsincomplètes.
~==+ ou <== et
< /4<j=='< o ou et .)'=-– a
331. Lorsqu'on extraitla racinecarréedes deuxmembresde
f'équation~'=='j',on devrait,ù la rigueur, auecteraussi la ra-
cinedu premiermembredu doublesigneplus ou mo<M;ce qui
donnerait
-J:
formulequi, par les diversescombinaisonsdes signes-}-et –,
comporteles quatresuivantes
-C==/'?, .C==––t/'?, ––==~, –TCS––
maiscelaest inutile,car, en changeantles signesdes deuxder"
nièreséquations, on retombesur lesdouxpremières.
332.ToM~e ~«o~'ott<'He<MM~f/e ~x .McoM<~ degré~K.c ra-
M?!M Me~e)«eMavait' davantage.En en'ct,l'équation.t*'=~
ou ~–~==0 peutse mettresousla forme
;~–)*==o,ou bien souscelle-ci, 'x'–t/t-~]==o,
en se rappctantque la dinerencodescarrésdo deuxquantitésest
égaleit leursommemuttiptiéepar leur différence;or, le premier
membre,étant Je produit de deuxfacteurs,ne peut être annulé
qu'enégalantl'un ou t'nutroa xéro;cetteéquationéquivautdonc
auxdeuxsuivantesdu premierdegré
U'AMiKttRË.
.r–y:=tj, j--( {/ <jf==o,d'ouit'=- y, .<'==– y.
Nousretrouvonsainsiles vatcursdejt'tobtenues maiscepro-
cédé nousapprenden outreque ce sont les seulesqui puissent
vérifiert'ëquation'==:y.
333. DtMtNstox )? t.AMHML'LK~=-< JI fautdistingue)'
<o« cas celuiou est celuiou =-o celuienfinouil
est négatif.
)" CAS.Si est positif, les deux racinessontréelleset de
signesdifférents;comtMe~i~Mfa&~M ou MMomtMeM~MfoMM, selon
queq est ou n'estpas un carréparfait.
&-eHt~e.L'équationa;'==36, dont lesecondmembre3()
est il la foispositifet un carréexact,a deuxracinesréellescom-
mensuraDes. CesracinessontG et– f!.
2*Fx. L'équation ir*= 5, dontlesecondmembre5 est positif
sans être un carre parfait, doitavoirpourracinesdeuxnombres
reetset iucommensurabtes; onentire effectivement
a*==;~}/*5 ou j*==!a3(! et;B=–a~3G.
a o.oot près; on conçoitquecesvaleursnesatisfontà l'équation
a.==5 qu'approximativement.
3*'CAS.Si ~o, h)formuledevient-r==~o; consëquemment,
lesracinessontégalesCK~eelleset f!~pro.L'ëquationse réduit
alorsa T'==oou~.y==o,formequimetenévidence lesdeuxracines.
3' CAS. Siq estMc.t/0~tes deuxracinessontimaginaires(158),
etl'équation x=q est t'~oMt'Me,carquelquesoitle nombremis
il ta piacede x, il ne peuty avoirégalitéentrelesdeuxmembres,
lepremierétantessentiellement positif,et le secondétantnégatif
par hypothèse.
ï.esdeuxracinesde t'cquation~~=–8), donttesecond
membre–8t est négatif,sontimaginaires.Onen déduiteneffet
i!'==±/'–8t~ on, en vertudu n° -)60,;r==~g/'–[~
II. jRMO~M~Ott
des <M<!<MMM
complètes~Msecond~t'e.
33< j'OM/c
~M«/toaeoMp~~e f/MMeo?)~
degrée.t déla forme
A'*-j-):=: car, chassantjcs dénominateurs,
transposantdans
fMKaftsa
nnauw.moa
;r'-j-~==~,ou ~-)-==~,
~+~+-
'– it chaquemembre,afin de rendre
ajoutonsen conséquence
le premierun carré parfait, et en mêmetempsde maintenir
t'équation,nousaurons
+~ +y.
-~)'=~
C'ALCÈBM. H!}
~~==+~~7d'OU.==-±~
cetteformutoéquivautaux deux suivantes
–s+~~n.
otsa tradurtionenlangageordinairefournitla règleénoncée.
Si l'on substitue la formuletrouvéea -r dans t'equation
w'p.E==~, it vient
9
(-~t~)'+.(-~t/~)=,
en
et, dëve!oppant les catcutsindiques,
Ii l" p' Ii s
t/ + -). j:, ~'w-
équationqui se réduità l'identité~=-=y.
Appliquonsd'abordcetterégieà l'équationdu n" 33<
-a?*)~=!:t;
nousen tirerons,en remarquant quep ==~et == a i,
~==–~±~(-+a. ou..==-a±~+9!;
or, ~+at==x5 et a5'==5;donc~=-–a~5 ou Mon,en iso-
lantces valeurs,.r==–9-)-5=='i et Les
:c==–a–5==–
nombres3 et –y, commeil est îaeitodes'en assurer, satisfont
chacunséparément&l'équation.E*c==at; ce sont par con-
séquentles racinesde cetteéquation.
Prenons,pour deuxièmeexempte,t'équatton
< 5 t–a<*
~=-5-!
chassantd'abordlosdénominateurs, nousaurons
3o;c'–6<M-a5==3–H.);
et, transposant–6.c' dans te premiermembreet a5 dans ]e
second,
36~'–6o.f==–az
<T~ MttNCtPRS
.t~ 1_ 1 no,
divisanttousles tonnespar et dégageantx desoncoeNcient,
il viententin
3o il 5 Il
i-8 0,=~
Appliquonsmaintenantà cette équationla méthodeexposée
f;
au commencementde ce n°, en observantqu'ici ~==–– et
11
q ==–n; nous trouverons
x- ~t/*«)/«+t/'t (/<)tt
ilru.Y-b: 1~-u-i-v~i;j
'(~ T.TFT
~u-l.,
336. i) est facilede remonter
de!a forotuie
(l
–±~~+7 pour
ir l'équationd'où
M d'oir on l'a
!'n tirée.t)
tirée.IlllffsulTït
suffitpourcela
celade
de suit'fe
suivreune
marcheinverse,c'est-à-direde fairepasserio terme– dans
le premiermembreet d'éleverensuiteau carré; ce qui fournit
''–H)')+'=-'r+..
d'ou t/ =='-1~ 4-<?;
''v y
<70 rntnMfM
MMCtfM
-V
–~t~~ 4
338. Toute ~Mo<Mt! MMsecond a< a ~esjf racMtM e< Me
équation de ta première,
e'–t'-)-~(o-)==o, o'–c'(s–<!)==o;
équations qui, en vertu du n* 46, peuvent s'écrire ainsi
o-{.)-p=:o, a-t-c+p==o,
d'où, en retranchant, &–c==o, ce qui est contraire à )a suppo-
sition. Donc toute e'<)'«a«OM,etc.
~=(-~+ t/~)(-.&).
ou, parce que te premier facteur du second membre est ta somme
O'~CÈBM. <t!
l' 1 1 n
desdeuxquantitésdontle secondfllctourexprimela différence,
.'=H'-(t~)'(~+,)~.
3t0. PMB).ÈMK. Fonxef<meéquationdu secondd~t'e ~<
les racines<oM~< a et b.Si l'onsupposele coefficient
de x' égal
à t'unie –(a-~) et –<:<'sontévidemmentle coellicientdu
secondtermeet le membretoutconnu(339) l'équationdeman.
dëeesten conséquence
~<=–s&;
on trouveen effet,en résolvantcetteéquation,~-=a aet.c=&.
On peutencorevérifierce résultat,en y mettantaiterMttvemeot
a et <'au lieude.f, ce quidonne
a'–(o-{-&)<t'==–aA, &'–(e-&)&==–a&,
équationsqui se réduisentl'uneet l'autreà –<t6c='–<!&.
Ainsi,l'équationdontlesracinessont et –5 5est
/a Il i3
'3 io
'o
X–5 ou <
-c–( x o–5t~==– a!t-r== T.
3A<.PnocLÈMB. Uneéquationdu seconddegrée'<<!t)< ~ott~c,
/bfmer«tt<!CM~e<~M<!<M!t dontlesracinessoient~a~ <!celles
la première,prises en signescontraires.Soit~-{-p.r==~q
Féquationdonnée, et a, <' les deux racines, en sorte que
<t-~=–~ eto&==–y.Lesracinesde l'équationcherchéeétant
– a et -b, !e coeMcientdesera exprimépar –(–&– ~)~=
a-6== –~ et le membreconnupar–(–a) (–t)==–s~=~.
L'équationdemandée estdonc;t-'–~== de làil suitque,pour
les signesdes racinesd'une C~MN~'OS
C/<aM~ef du secondde-
gré, <7<«~< dec/tat~er signe<<M dusecondterme.
eoe~c<e<tï
IV.Résolutionde y«e~«Mpro&~)M~t.
a V
~=z+~a~~z~a~zi3 a" a
et, en dédoublant
les racines,
.c=:~––e~~
y+3 a y-.3
.f==~––==a.
=2.
a
Les nombres5 et a satisfontl'unet l'autreù la conditionde-
mandée,car
5'-{-io==35==y.5, 9'-}-to==~==y.a.
343.PROBLÈME.personneachèteun <«<'<!< qu'elle«M~,
<~Me~Me tempsaprès, pour 2 louis <!ee~eow~, elle perd
autant potn' !oo que le cAMa<Mavait <o~. On demande
eoMt~MelleJ'<MW< acheté.
Désignons par x la sommecherchéeevttuéeen louis;puisque
sur 100louiscettepersonneperdx, sur i louiselleperd ––,
100
et par conséquentsur z louis elle éprouveune perte égaieà
.c*
– .ifou –; cetteperteest aussiexpriméefpar a:'–at
100. t00 or, f
donc
––!=).c–a out!*==ooj'–a oooubien?'– t oo;==–at oo;
t00
équationdu seconddegréd'où l'ontire
a; == 5o j~/ s5oo–Btuo'=*3o -oo==5o ao,
ou bien et a-==5o–ao~3o.
.t;==;5o-}-ao==yo
on tiredecettedernière
t/63'-5.?65 63+/44 3 ta
63
-~==-5-± ~––=––~––=-5-
d'où
ou :c
.~+t/<, 2a eet $=
~'+~'ï~
a– /{ a
Leradicalétantplusgrandquel'unité,la secondevaleurde x
est négativeet doit être rejetée.Quanta h première,elle ne
O'ALG&BMK. <(M
sera visiblementMnusstMcque dansle cas où '-]-8<t seraun
t.
carréparfait.
Si l'onfait o==m, la fonnutedonne-t==y; si l'on suppose
a==~, t-]-8a ou 33 n'est pas un carre exactet la questionest
insoluble.
348.PMB<,KM)5 On <~M!~pa/'fa~cr 36o /f. entre wt cef-
tain nombrede personnes;quatre d'entre elles se <rowMt<
absentes,et celte circonstanceaugmentela ~Mo<<-par< des
autres de 3 /f. Combiendécati d'abord y atotf de parta-
~eaMM?
Soit x ce nombrede personnes;si ellesassistaienttoutesau
36o cC
partage, chacune recevrait–; mais puisqu'ilen manquer,
le nombredes partageantsn'est plusque e–/{, et par suite,la J
~4. <~–9\
.'=-±t~' -7-–'7-–et;c==- )~t/"
a &-)-a et x.~ B\ V &+a~ T-–.
I,orsquet est o, auquelcas la quantitésoumiseau radical
est négative,les racinessont imaginaireset )o problèmetmp(M-
sible.La pluspetitevaleurque l'on puisseattribuerà &est donca;
danscettehypothèse, la formuleprécédentedonnex= c'est-
à-direque le nombreestdivisépar moitié, ce qui d'ailleursest
évident.
Lorsque&est > a, le radicalest une expressionréelleplus
petiteque t'unite; conséquenxnentles deux racinessont posi-
tives, la première> et la seconde< et en outreleur
a a
sommeest égale &a; elles représententdonc.les deux parties
cherchées dunombrea, ce que l'on pouvaitprévoir car, si la
questionétaitdo nouveautraduiteen algèbreen prenantpour
inconnuela deuxiemopm'tie,ou retomberaitévidemment sur t'c-
u'ALo&MR. 483
-~t' .l!t-L--J!~tt~ t" <«~ .tt
(<:–~)'==a~, oubien~'–He+~–a*;
d'ont'ondeduit
~=a-t-~K"(<rp~y;'
tesdeuxvaleursdey sontpositives;maisla premièreétantplus
grande que a, doit être rejetee portant la secondedans
«'=- iooox et effectuantle carréde a-)-1, onobtient
a;=='iooo(s-{-<'–/ ~}-aa<').
On peut déduirede cetteformuleune valeurde x suuisam-
mentapprochéeet d'un usagefort commode si l'ondéveloppe
a cet effet!o radical,en observant quele tempsa nese compose
ordinairement que do quelquessecondes,et que, par suite, la
fraction-r- ou – est assezrpetitepourque
t t l'on rpuisseen né-
& 100
gligerles puissancessupérieuresn la troisième(90); on trouve
t~T~i–r t/<~ </ a' t o~
~A+~=&
~+~
t a' «
~~a-y~J,
et, en substituantdansla valeurdex,
.[c=J~°a*(t– ?-), oubien e==t5e'(t–o,o~.a\
a& f/
en remplaçantla lettreb par lafraction -~–qu'ellereprésente.
Si l'onsupposea=='3",on obtient,a un piedprès,
;=='t5.3'(t.–o,o3.3)==ia3.
V. Eyerc<cM.
3'5~'+~==4.r;
4M MWMPM
4° ~=t,G48.==-o.9.5.
'~rr=='~
5"~–&r=-.58; ~);==3+y/t'.
6"
~M+.)-+M+t)=o;~=~ a"'L a-b
383. PaomÈMR. Décomposer le nombreta CM(/e«.tparties,
telles que la sommede leurs cubes soit 3yo. Rep. Ces(<e«~
parties Mtt<y e<3.
35t. PMB<.ÈME. Trouver<" le nombrequi, a«~mea<~<<e sa
ra~tte ea~e, donne jfox)' somme~a; 2" le nombre qui,
f~MtMM~ de st! ya~ae carrée, donnejMo«freste ~a. Mp.
<<-==36; 8".<-=~.
3S&. PaOBLÈME. ~M'MtM<f fSCtMM ~Mtt<MM
iB*p.C-j-~==o, dgns ~X~e p et q sont des quantités
tMcoMMMM, MC/«!M< que le trinome ~j-pf~
valeur ~!<m~r~Me 14, quand on suppose.t'e=5, et la valeur
X~quandon fait ~==y.Rép..);=== t +ya.
356. PROBLÈME. Exprimerque les équations!t'pi'==y,
.f*+~r==~' ont une racine cowMMKe. Rép. L'équationde
conditioncherchéeest ~–<y'j*-)-p(?–~(~–)=~(~'t'pT'
387. PaoBLÈMe.yrot~er un rectangledontla différencedes
c<!<~soit a et dont la ~xr/acesoit b. Rép. Ces cOtéssont
e+~'a' –a+t~T~
a a
388.PROBLÈME, La ~Mf/oee ~'MMrectangleest de 3gt mètres
carrés <tl'on augmentait<t<t<j'Me c0~' d'w ttt~fe, la ~ttr/oce
serait ~a m~Mscarrés. ~xe~ sont lescôtésde ce ~ec/oM~/e p?
Rép. ZMc<!<e's .!0)t<a3 et )y mètres.
359. PMttt.ÈME. Déterminerles côtés du triangle rectangle,
~«t a polir contour t mètres, et pour «M'/oee6 mètrescarrés.
Rép. Les c<i<M MM< 5, e<3 mètres.
360. PROBLÈME. On (!t.~oseune armée composéede a<n()<
hommes,en trois bataillonscarrés <!ceK<fe~p~eM~; le e<e'
du premier carré renfermen) hommesde plus ytdecelui du
second, et celui du secondat hommesde plus quele côté
U'AMtÈBftB. <87
d<t~ot~me on demandecom6~N. il a d'/tom~Msur le
côté de chaquebataillon.Ilép./a too hommes<Mt'/< cdtédu
premier, H( <!tf e<i<e (tusecond,e<(josur celuidu <roMthm.
361.P«OBLÈM< OnftpNf<<~t ~0/'< entre«MCef<OW MOMt-
bre de peMOKMe~, e<36o /)'. entre les M~)Mpersonncset 4
«!<()*«. C/«!c«t«de cellesqui ont participéaux deuxpartages
a reçu 56 /r. On demande le nombrede cesdernières.
RÉp..r==6.
362, PMBt~ME. On a un certain nombrede plans dont de
rapport au nombredespott)~d'intersectionqu'ils/oMn!we)!<
M< BK.Os demandele nombrede ces plans, MeAoK~M'~
n'enexistepas de parallèdeani plus de <roMconcourantau
mdmepoint. Rep.<cr=t3.
363. PMBt.ÈMti. J?eM.r ~<M~MM, <NM<porté entr'elles
deux 77 Q;M/tau mo)'<<e', en reviennent «fec des sommes
égales.Si chacuned'ellese«<oes~M ses a'M/~Mfle mêmepied
~Mel'autre s oeM~M les siens,la premièreaurait reçu 5 /f. Go
et la seconde3 i5. Combiene/«!CMmeaM~eMe 9
<f'ŒM/&?
Rép.44 et 33.
364.PnoBt.ÈMH. Un<oM~ea<t plein de liqueura trois oW~ees
A,B, C; il peut ~eviderpar les trois orificesetMemMe en 6
heures;par l'orifaceB seul,il seviderait dansles trois~«ar~
du temps~t< mettraitd se viderpar A seul; et par C, dans
un temps~t<test p~Mgrand de 5 AeMrM quele tempspar B.
Ondemandeettr.ombiende tempsle tonneau M videra par
c/tacMMe de ceso:<oe)'<MrM ~are'mett~ Rép.Les trois temps
inconnussont ao, t5 e<2o /teMfM.
3C8.PROBLÈME. Onremetà «HAatt~<terdeuxbilletssur la
m~mepcrMnttc;le premierde 55o /y. payabledatts mo~,
le second</eyxo/)'. p~a~/e dans woMci il donnepour le
tout une sommede )aoo /)'. CMdemandequel est le <SK.c
(Mume~ ~e/'tK<~)'~<
d'aprèslequelcesbilletsontété escompter.
Rép. Ce~t«' est de t3 /f. ay.
366.PaoBm))E. f/Ke~MtmepOMf'tfet)~ tooo/)'.paf<oye«'~e
sommee)t deuxparties~t'eMefait valoir <!desùt(c't'~<s d)~c-
!'€??, et dont elleretire en <o«t? /'r. 5y Melle faisait va-
loir la premièrepartie OMm~Mte <a«.cque la seconde,elleeM
t88 PMNCn'M
fe~ef<K<M /)'. 5o <tM~~<, e<si elle /aM<tt< eof~o~la M-
cottde s~ w~tneh!tt;<!
~xe~~ewt~re, t'e~e~aWter~o<'<erot(
<MHtMe~em~« 33 /f. t)3. Os (~mM<<e
les ~«.c <at<~~'t'M<e'
Mp. 5 et y.
CHAPITRE
Vif.
BtitCUSStOK
DESËQUATtONS
KTMESPHO~MM
OUSECOf)))
ORMRÈ.
x'-+-px-q.
~~– ~+~+
x'-i"'Px'i' "i ql
~j
ou bien In
r
a-j-p;y=~-)- –f ~j
et, parceque le derniermembreest la diNëreneo
de deuxcarrés,
~–~(~- +
~~)~+~- ~~);M
i'ëquation.c'-j-p.r–~==0 peutse mettresous
conséquemment
la forme
o,
('+~)(~+~p~
c! i'on ne peuty satisfairequede deuxmanio'es
~en -t-
posant .t.– ~~==o,d'ou.B-=-~
2"enposant.e+S~ ~=(,,(!'ou~
~t-9!
do ta décodentla regtepour résoudreles équationsdu second
degréet le théorèmedu n" 335.
B'ALOÈBM. <M
368.Sil'ondésignelesdeuxracinesde l'équationa!)-j9.f–~==0
paraetA,onaura
o==–~–-{- &*='– – ''V'h'?<
'y,
et, en retranchanttourà tour cesdernièresde t'egatitca''=s<
~~+~ +
~z~ ~r~
substituantles premiersmembresaux secondsdans l'équation
identique(a),il vient
.);)-p;f–<y==(:c–e) ·
(fc–&).
Ainsi,le premiermembre~'MHe ~Ms~ott du seconddegré,
dontle coe~e)'eM< ~Mcarré de l'inconnueest /~H«<fc<dontle
secondmembreest j;e'ro,est t~e~MeweM<égal au produit
dedeuxfacteursbinomesdu premierdegré, <att< pour ~erMe
commun<'<)tCOMKMe, et ~OM~CCOtM~ termes les racinesprises
en signescontraires.
369.Si l'ondévetoppo le secondmembrede l'équationprécé-
dente,on trouve
.c'-{-~–~==~–(<)-&).r-a~,
identitéqui nepeut a~'oirlieu, à moinsque l'onait
~==–(0-~), –~==oA;
ce sontles relationsdun" 336.
370. PMBL&ME. Décomposerle trinomc second degré
~t-Hj-j-K en deux facteursdu premier degré.
Résolvons à ceteffetl'équation
-T~ 2G M
soienta et &cesdeuxvaleursde x, nousaurons(33S)
~==~.)(.),
et, en multipliantpar L,
M!'+M.t'+N==L (;t-–<t) (a'–~). (c)
~6 cmctMa
37<.S'il existeentreles troiscoofMentsL, M,N h) relation
M'==~L,)aformu)oj)))sereduita Ii
M M
1\1
jp=,–~–~o-o, d'où
d'OU (t==t==–
HL a).'
l'identité(c)prendalorsla formo
~-)-+K==L~+-~)';
et, en extrayantta racinecarréedes deuxmembres,il vient
""1
~=±~(.+ ` ~-)~±
2L' (.~+ xV=L
~).
Doncde <fMOMe est «Meaf~~af/a~, ~xaK~le
L.<+M.c-t-N
carré du coe~cte)t<
du termemoyenest c~st ~a(y~ foM <e
produit des coefficients
M~mM.
U. DMW~Mttdes ~CM)M.
––– a
<
celuioù la soumiseau radical,estyot~M;
quantité-
celui où elleest nulle; celuienfinoù elleest ~<!<tce.
CAS.Lorsque -t-~q est positif, les deuxracinessont
réelles, eoMMCtt~Mt'a~M ou tMcoMWMMKfa~M, suivantque
cetteexpressionest oun'estpas un carréexact.
Cepremiercas offre<foMMW~: 't" y positif;2°~=so;
3" q négatif, maisplus petit, indépendamment des signes,
que
< Faft~. Si <j;est positif,on a
~ona
a
¡
~+?etparsuite~->+~
lesdeux racinesprennentdoncle signe de leur premierterme
-– \1 de là, il suit quelorsquele membretout connuestné-
~o~ et pluspe~, abstractionfaite des signes,quele carré de
la moitiédu coefficient du secondterme, deMrracinessont
réelleset de w~mesigne,positivessi cecoe~!c<eM( estnégatif,
tt~o<«)ess'il et<po~<t/
Onpeutparveniraux résultatsprécédentspar une voiequ'il
neserapas inutilede faireconnaître.Si l'onreprésentelesdeux
racinespar a et b, on a, commeon le sait,
at==– a-)-&==–p;
or, <° si est positif, tesracinessontde signescontraires,at-
tenduque leurproduit–y est négatif; la seconderelationfait
voiren outre que la racine,numériquement la plusgrande,a
le mêmesigneque –p. 2"Si y==o, tes relationsdeviennent
<!&===
o et o-(-&'==–p, ce qui permetde conclureque l'une
desracinesest nulle et que l'autreest -p. 3" Si est négatif,
lesdeuxracinesont le signede -p; puisqueleur produit -q9
est positifet queleursommeest -p.
<9S fMNOPM
n
Faisonspasserle terme– dans le premiermembredo lu
formule
-±~~?,
et étcwnsau carré(333),il vient
.B==–S~o==–
a a ~==–S~o==–
a a'
consëquemment, si le oc~t~'e e<MMHtM<~<!<<e<MMM~'t~e-
ment égalau carré dela moitiédu coe~ct~< du secondterme,
les deux racinessont <~M eM<f'e//M « cettem~memoitié
prise en ~~e contraire,
L'équationx' -~pj;~=~ devientdanscettesupposition
(.+!)(.+!)-.
sontégaiesentr'eHeset a – ou 3; i'équationdonnéepeut se
mettresousla forme;))'+<H'+t)'='o,et par suite souscelle-ci
(~3)'=o.
8' Exemple.!C'–9a;==–5. '<"Lesracinessontimaginaires,
carle secondmembre–5 est négatifet a une valeurabsolue
III. DtMWMtOtt
des problèmesdu McoMd
degré.
a (<<==~ M
'(J~T
et, en effectuant
les calculsindiqués,
e~'–a<}-<!ip*==&.f*ou (a–e'–9<t<~==–-o<< 'Q
équationd'oùl'on a tirédansle n" 336
d.Va ~<' a
~e-~6' t~UpT
On peut parveniraux mêmesrésultatsfort simplement, ea
extrayantla racine carréedes deux membresde l'équation(e)
deta résultent
~a.(<<–:e)==-~6..o et \/a.a–o.:c==+\/6..e;
changeantlesmembresde placeet faisantpasserleterme–a.<
dansle premier,il vient
~i~)..==~ d'oux=
~'a~b
Pour faire une applicationde cetteformule,posonsd<=~8,
a==~9, &=a5, et substituons,en observant que ~~9*'='y,et
/T?==5, noustrouverons
7.48
ou .e==a8 et a;==t68.
7~~ J -ess-~T
LesdeuxpointsC et D, to)s queAC=28 mètreset AD==168
mètres,satisfonten conséquence a la conditiondemandée
(*).
-?i~F~
2 4
tant que q est les deuxpartiessontréelles;ellessont
<~-~–
égales,si q ==-S- enfin,lorsqueest >- ~–, ellesdeviennent
imaginaires, et le problèmeest impossible.
Pourprouvercetteimpossibilité, indépendamment desthéories
précédentes, des ~MM!
il sufïttdefairevoirquele pfo<f!<t< parties
~'«tt nombrep ne peut dire plus grand ?Me yxe~t'
qui exprimele carré de la moitiéde ceitoHttre.Si l'ondési-
entreles deuxportiesdunom-
gne a cet effetpar d ladifférence
brep, la plusgrandeserareprésentée
par h pluspetite
pa,.&(5),ett'onaura(46]
\a'a/\&
~+~=~ z~ 4 4
or, il est manifestequece produitest d'autantplusgrandquela
différence d est plus petite, et quesa plus grandevaleur~-cor-
~–==.e'-}-–a~-)-a)' ou
.c'–p.r==:–
équationqui fournit
2- If 3 â2 3
on peuten conclurequeceprobtèmeest M~o~t~, puisqueles
valeursde l'inconnue
sontimaginaires,
quel quesoit d'ailleursJe
nombredonnép.
CHAPITRE
VIII.
XÉSOf.UTtON
DtiQUELQUES
ÉQUATIONS
DEDECRÈ
SUPÉMEUR
AUSECOND.
-±~±~+.)..=~
la premièreformulerésoutl'équationproposéequandm
estpair,
et la secondequand mest impair.
DtscussMN. Elle dépendvisiblementdo cellesdes équationsà
deuxtermeset des équationsdu seconddegré.
204 Mi\cïM8
e~ i~t~.t- t.
Supposonsd'abordquo tMsoit un nombre pair, auquel cas
m
~==+~0'! 4 Il y aura quatrevaleursrcct)cs,égtuesdcuxàde))x
et de signescontraires,si les valeursde j' sont réelleset posi-
tives 3"il n'y aura plus que deuxvateur~réottesde signesdif-
férents,si l'unedes valeursde est positiveet l'autrenégative;
30il n'enexisteraaucune,si les valeursde sont toutesdeux
négativesou imaginaires.
Dansl'hypothèseou m est un nombreimpair,et ob l'on a
m
.c==/y; <"Si~ a deuxvaleursréelles,x a aussideuxvaleurs
réellesde mémosigneque eeXesde~ 2" il n'y a pas de racines
réelles,lorsquelesvaleursder sontimaginaires.
~~Z±~, -B',
et, en tirant les valeursde/<et de h,
~~J~~ a ~+~f~±'~±~\ x
ce qui démontrele lemmeénoncé.
Cetaposé,si l'onfaita==o et &==t. auquelcasl'expression
o-t-T se réduita ~7 ou \~–t, ontrouve
+ h= +
~=±~' !L /<==±~ ¿;
/'–A==±a(a~–i)==+M~R~r~,
et, en posant ao =p et )t&==y,
ra
~==p~
ce qu'il fallaitdémontrer.
LIVHETROISIÈME.
j
THËOME il
BBS BBPM6MSSMS
PMOmoM. EfBBS
N8AMÏBBB.
CHAPITRE
I.
RAPPORTS
ETPROPORTtOKS
PARB!FFÈRE!<C<
I. Rapportspar a~reMce.
.I:.mé.nMl
mentantou en diminuant sesaeM-c
san iisem.
termesd'«Mem~mequan-
Ie.wrv,ee Â%msin snArr.a .em~
H. Proportionspar <!t~'MtM.
c
~f-c
a
~<!+~+C.+< w <
t08. Dans une suite de ro~o~ égaux, la moyennedes
antécédentsest d moyenne(lesconséquentsconame «Haa~
cédentest d son conséquent.Soitla suite
<t.6 c.~ e. tJ,
composéede mrapportségauxà r; ona
a–&==?', c–d==f, e–==r,t–<==)',
et, en ajoutantces m équations,
(~<+<) -(~+/H)=~
divisantles deuxmembrespar m, substituanta r torapporta. &
et auxsignes et = un et deuxpoints,ontrouve
a-i-c-e.d b-ct mr. d a.G.
a+c-t-<–+~w ~+</}-+~ m
III..Rt'<rc«'M.
409.PMBLÈME.
Déterminerx dans les~Mt-reMOM
3.5: a.9:.e.t5, y..y:8.t2,
a*.9 t5.y, – 3.5.f, a.e.tt, – !f.6.y.
Rep.<<'a-==<);2".e==8; 3" a-~n; A"==iy; 5<'f~7;
6".c.=6,5'; '?"~==5.
~0. PROBLÈME. yroMce!' une moyennearithmétique1. entre
8 et ta; 2"M<re3,ty ao; 3" entre 5, G, !o, 12 et at.
Rép. <c=to;2"=t3,333. 3'.)-==to,8.
A«. PROBLÈME. La sommedes termesd'une e~M-~t~e'~nce
est to, cellede leurs carrés M(30, enfin ~M)'produit est a~
trouver cette~tt~Kce. Rép. t .a 3.
4~. PROBLÈME. Deuxjoueurs d'égaleforcecosoteM~eM~ que
celuiyw aura gagné le premier trois parties rccevraa /f. de
d'autre; e< que, s'ils seséparent avant ~Mele sort ait décidé,
le jeu sera réglé conformémentd leurs chancesd'alors. Ott
C'AM~BM. 2~
demattaecombienll~
e 1 y1
pre~tef joueur <f<wo recevoirdu <eco?ta
<dans ~o//tMe oule premieraurait deux parties et le se-
co!t~une; 2° dans celle où ~~?'eM!'cfaurait </eM.);~a)'<<M et
le secondaucune; 3" enfin ~)«; celleoH
~'enner aurait
«ne partie et le secondaucune.
9° x
li.ép. a Q~x. r 39
3a
Mp.~=~2'3'.=-~
4<3.PnoBLÈME. ?')'oMyo«eM~ ~a/e/f~ee coM~'eMMett~Ke
celui qui gagnerale premier trois parties Mcew'aa
/f. de
c/«tCtt!t<<M<~«tw<tM<f€<; après avoir fait trois parties, dont
deux ont été gagnéespar le premierjoueur e<MMe par le se-
ils
cond, règlentle jeuen ayant égard d leurs chancesrespec-
<??. Ondemandele yaw ou la perte de eAacwt.
CHAPITREII.
RAPPORTS ET t'MPOMTtOKS PAR QUOTIENT.
ï. J!appon<pa<«o~<.
t<4. On appellerapport géométriqueou par quotient, ou
simplement,rapport, le resuttat de la comparaison de deux
quantitéspar voiede division.Soit ==)', r sera le rapportdes
deux termesa et &.
4<5.Onsépareordinairement l'antécédenta du conséquentb
pardeuxpointsquel'on Énonce.M<à, ou bien,d/t~c~ar, comme
on l'a vuau commencement de cetraité; desortequea b signi-
fiea est à b, ou a <f:'eM~
par b.
4<6.Un rapportest MceMcd'un autre,quandil est composé
des mêmestermes,pris dans un ordre différent.ï.c rapportin-
versede a b, parexemple,est & a.
~2 PBtNOPM
Le rapportdirect<t étant r, le rapportot<w~ & a estégal
a Car,si l'on désignepar r' te rapportinverse,on a
~t'
et, en muttiptiantceségalitésmembreit membre,
rro ~b d'où
~~=". d-our-=~.
4t7. Onne changepoint un rapport en Mt!<~tp/«tM<
ou en
<!tMMM~ ses deux <e~t~M
par la m~e quantité. Autrement,
on a, quelque soitm,
0:&==M<t:M&, 0:t=~–.
? Mt*
ce qui résultedece qu'un rapportn'estautrechose qu'unefrac-
u
tion dont !o numérateurest l'antécédentet dontte dénominateur
est io conséquent;et, decequeTonn'afterepoint une fraction,
en multipliantou en divisantses deux termespar la même
quantité.
En général, les reg)esrelativesau catcutdes fractionssont
aussi applicablesà celuides rapports.
418. Un rapportest dit eompo~quandil est le produitde
plusieursrapportssimples.
4~9.Z.'em~e~eM< et te c<MH~MMt< d'un rapport composé !<
MM<~aM<!OM.CprOf<MîM~M <!)(«'Ce~K~ e<des conséquents
rapports s<mp<M dontil e!<formé. Ainsi,te rapportcom-
posédes troisrapportsa b, c d et e estaXcXe &Xdx~
En effet,soient set <cestrois rapports,et multiplionsentre
ottesles troiséquations t
<– c e
~&
il vient
r7CsXt.r aXcXe.-aXeXe 6XdXl~
~X<==~==<!XcXe:MX/
O'AUi~BM. 2t3
420.Onappellepro~or~cK~eoM~f~tteoupar quotient,ou
bien encore,~Mt-<~o<tMt<, l'égalitéde doux rapports.Soient
a t =:y et c d = r, les deux rapportségauxa 6 et c d
constitueront
une proportionpar quotient,que désormais,pour
abréger,nousnommerons simplement proportion.
42<. Pourécrireune proportion, on séparesesdeuxrapports =
par quatrepoints que l'on énoncecomme de manièreque
a c d signifiea est « b commec est d d, et équivauta
i'ëquation-==!
equatlon
On emploie,pour désignerles termesd'une proportion,les
mêmesexpressions quepournommerceuxd'uneequi-dif!ërcncc.
(Voyezfen" 398.)
422. D<Hts toute p~of<t0!t, le produit des e~<f~es est
égalà celuides mt~'eM.Carta proportiona 6 c d peutse
mettresousla forme(4'M)
« c
T"'d
et, en chassantles dénominateurs, on trouve
aX<<==&Xc.
423. Réciproquement, quatrequantitésMM< en ~fo~or«oM
lorsquele pro~M~dese~mM e~ égal A celuides mqreN~.
Soienta, t, c et d quatrequantitésliéesentreellospar l'égalité
aX<<==~Xc.
Divisons lesdeuxmembrespar bX d, nousaurons
aX~_&Xc
&Xd"tX~'
et, en supprimantle facteurd communaux deuxtermesde la
premièrefractionet le facteur6 communaux deuxtermesdo la
seconde,
d'ou(4~) a & c d.
PMKOtfM
it~ t~ f <
Ainsi, les quatre nombres5, < 1 et 8, étant tels que
5 X 8=~ x m, constituenttitproportion5 10:8 maisles
quatre nombres5, 8, 7 et to no sont point~t'o~or/tottt)~,
attenduque 5 X tu est< 8 X 7.
424. De lù résultehntnëdiatement que « ~'<Mtdes extrémes
e~<ptus ~<M«< ait plus ye<t(que !'<wdes moyens, <'a<t(fe
extrêmesera plus petit ot<p/t<agrand yxel'autre moyen.
428. CM~CM<, M?Ktroubler une proportion,disposerses
termesde huit manièresdifférentes.Carle produitdes extrêmes
resteégalà celuidesmoyens f lorsqu'onintervertitl'ordredes
extrêmes 2" lorsqu'onintervertitl'ordre desmoyens 3" lors-
qu'on met lesextrêmesà la placedesmoyenset réciproquement.
Conséquemment, si a et d sont les extrêmesd'uneproportion,
b et c ses moyens,onpourral'écriredeshuit manièressuivantes
~a:t::c:<<; 8'a::d:e;
2'<6::<<t; 6"&:d::a:e;
3''a:c::A:(<; T'c:a::d:6;
4°<e::&:a; 8''c:d::a:&.
426. PaoBLÈME. Troistermesd'une proportionétant ~o~M~,
déterminerle <j'Ma<f~me. H peutarriverque le termeinconnu
soit un extrêmeou un moyen.
<° ? termeinconnuest«? ~me, on l'obtient<M<Mpt-
Mt~ le produit des tMqyeM par ~'M~~meconnu.En e<!et,de
h proportione b c d, on déduitx (<== b X c, d'où
<,=~et~ e
d <x
!2°Si le termeinconnuest un moyen,on l'obtienten dMt-
«tM<le produit des extrémespar le M~'en eoMKM. Carde la
proportiona b c d, ontire &X<?'=='axd, et parsuite
aXd a>Cdd
~~etc=~.
e &
427.Donc deuxproportionsOK< trois ~fMMcommunset
disposésde /eweMema~rc, ~M<!<)'~aMt~mM$oM<e'~oM~.
428. Une proportioncontinueest celledontles moyenssont
égaux.Tellecsta: t: r.
U'AMÈBMK. 2<C~j
s m
~–~r
~j
Soientmaintenantmquantitésa, 6, c, nous aurons,en
vertude ce qui précède,
~<.X<X~(~~+:+~"
et, en extrayantla racinen~ desdeuxmembres,
.r a+b 4 o. +1l
~X~X<<
d'où
V. ~Mt<e
de rapports~<!M<p.
YÏ. Exercices.
CHAPITRE
III.
PROGRESSIONS
PARt'tFFÉKENCË.
I. Définitione<notation.
II. F<M'MM<M/bMjam<mM~M.
F
467. f* PoMMOLE. Un t~me ~~eoM~tM<f~M<fe~<Mt
par différenceest égalau premier,plus autant de fois la fa~-
son qu'il y a determesavant/«t. Soientr la raisonet <tett~*
termedela progression
-a.6.c.a.e.j.& .1
onaura(463)les?– t équations
6'=!a+f,c==t-t-f, f!=='c-}-f,&==~-)-)'==~-}-)',
et, en les ajoutant,
~c.+a+.+A-H=a+~e+.+&+(?-)<
d'où,en supprimant testermesb, c, d, k communsauxdeux
membres,
<==a-}-(!t–!)f;
ce qui démontrele principeénoncé.
Si l'onfaitdanscetteformulett==t,M==3,=3,tt=='4'"
0'At.GÈ)))t)!. 227
d'oh
d'ou
a-==~-{-t''==!C-}-=?(<< =~-{-a.
Lesecondmembrede l'équation(e) so composedoncde n bi-
nomeségauxà a+ <,et conséquemment ellese réduit&
M ==(o+/)?, d'où e=' ?.
(')
<" Exemple.La sommedestermesde la progression
– 5.8.u.t~.ty.ao.a3.a6.a9.3a,
dont les termesextrêmessont 5 et 3a, et dontle nombredes
5-4-3a
termesest to, est égale&f–– ). to==i85.
2' Exemple.Si l'on proposaitde sommerles 21 premiers
termesde la progression– 5.11. qui a pourpremierterme
i5 et pour raisontt–t5c=– on observeraitd'abordque
!e 2<*termeest égala i5 ~-aoX-– 4 =-–65, puis,onen con-
cluraitquela sommecherchéeest a t ==–5a5.
(-*–––j.
469.La sommedes n premte~ttow6fMM<t<«r<~ M<égaleà
°'°' 2 carles n premiersnombresï, a, 3, n forment
une progression dont les termesextrêmessontet
par différence
n, d'auil suitque
“ !-4-~ tt(~-)-t)
!+a+3~+~===~–~–j~==.
Ainsila sommedes tooo premiersnombresest égaleà
tOOO.tOO!!== <
––––– 500500.
a
470.La M~HMe des n premiersnombresimpairs«< égaled
n'. Carlesmpremiersnombresimpairst, 3, 5, y. constituent
uneprogression qui a pour premiertermet, pour
par différence,
raisona et pour dernierterme <-}-(?–t).a!=aM–t; donc
t
,3~.5~}-(~).=~ '+~==K. ?==?'.
Ainsi,la sommedes 100 premiersnombresimpairsest égaleà
too*=atoooo.
D~GÈBM. 229
A7t. Insérerm
r tn rnftVPne îtftthm<Et!fn~<: entre
moyensarithmétiquesûntfa dnnr deuxfto~~t~~o
quantités,
c'Mt y t'nto'co~erm termes,de manièreque le ~ys~mede ces
m-{-a termescom<<<Me une progressionpar différence.
4'72.PMBL&ME. Insérerm moyensarithmétiquesentre les
deux quantités a et 1. Cettequestionconsisteévidemmenta
trouverta raisonr d'uneprogression par diuërencecomposéede
m-t-a termes,et ayantpourtermesextrêmesles quantitésa et
Or, leterme étantdu rangw+a, estprécédédeM-t termes;
et, en vertu de la premièreformulede ce paragraphe,on a
l'équation
<'=a-t-(m-~t)f, d'où fe=.––
m-E-r
ainsi,la raison eAercA~e est égale à la ~re~ee des deux
quantités<!oMtt~M, diviséepar le nombredes moyensà M~-
rer, plus un. Actuellement,pour obtenirles m moyens,il ne
s'agttplusquede substituercettevaleurder danslesMexpres-
sions
c+r, a-~af, <t+3r. a+mt'.
Si l'onsuppose)?=' it vient<*= –~ et !e moyende-
2
mandéestégalà
~–c~a-H
a a
Exemple,Soit a insérer 7 moyensarithmétiquesentre les
nombres3 et tg; on aura f'== ==*-==aet les 7
y+t 8
moyenscherchésseront5, y, 9, Il, t3, t5, ty.
473.La moyeMMe on<A!M<Me entretous les termesd'MMe
progressionpar f!t')'Mtce est égale/o moyenneaft</tm~-
que entreles deux «n~M e-~r~M. Ce qui résulteimmédia-
tementde l'équation
1
a
~d'ourontire-L==~. <t a
2:i0 t'KtftOPKS
111.~'o~MM~Mf/M~fo~MtOK~ ~or</t~rct)<'e.
~K'(a~<-)'–8~
a
Lorsquel'expression ~-)-f)'– 8~ est négative,les valeurs
des inconnuessont imaginaires et te problèmeest impossible;si
elle est positive,il y a, algébriquement payant,deuxsolution?;
toutefoisil nefautpointperdrede vuequet'o~doit rejetercelles
qui ne correspondent point & des valeursentièreset positives
do tt.
Si l'on pose~=='a,<<='atet <i=tao, les résultatsprécédents
donnent <*M!== !3,0~=–; 2" <t==to,a==~. Cesdeuxsolu-
tionssont admissibles.
4~7.PMBLÈMt! !IÏ. Déterminera et r, cotMMtMM~n et s.
L'équation(g) fournitd'abord
a<–<?
.==––––;
ensuitel'équation(f)par Metéliminanta, on parvient
muttipUant
&celle-ci
~==B<+M(tt–t)t-, d'Oùr -L
~–tj
478. PMBL&ME IV. Déterminera e<s, connaissanti, n et r.
Il fautprendrela valeurde a dans (f)et la substituerdans(g),ce
qui donna
~~(~ ~)
479. PaoBL~MEY. Déterminer1et n, eo<ttMtMMM< a, r et s.
En suivantunemarchetout-à-faitsemblable
&celledontona fait
usagepour résoudrete problèmeH, ontrouve
f – aait~ff– ao)' -)- 8~
3f
~– –fi/'(r–9a)'+~'r
3
Si l'on fait <t <= f ==3 et ~==yo,cesformulesfournissent
<"tf==y, ~==19;3" <==–aa; la deuxicmesolu-
~cs–6-
tionestévidemment inadmissible.
2M ft<)"iCtCM
480. Pxost.HME
Pxoat.HME VI. ~<ermtM<f )e<
) r,
)',connaissant
eoMOO!'MaK<a, rn <fs.
En procédantcommedansle proMeme H!, on obtient
aa pM a(;–<t?t)
""–~–' ~T~i~T'
48<. PaoBt.&Mt! VU. Pe'<o'M(M~e~s, coM~ftw«M< a, n ct r.
L'inconnue<sedéterminepar la premièreformulo
~==a-)-(!t–t)r,
et, en portantcettevaleurdans la seconde,on a
(~+("- ') r)
“- –––––––
~==
f
1. (.
expressionemployée fréquemment pour sommerune progression
par diuërencedonton connaîtle premierterme, la raisonet io
nombredes termes.
Soit, pour exemple,a sommerles ta premierstermesde la
progression 5. on auma 5, f==~,~==!12, et par
suite
;aX~+nX4) `
~==-–––-–––––.ta~a4.
a <
t82. l'ROBLÈME VIII.Déterminern et r, eoMs~ett~a, 1 et s. '(
Ou tirede (g)
M
n – .–~–
s+<
mettantcettevaleurdans (f), puis,résolvantl'équationrésultante “
relativement t r, on trouve
~-a'
(~a)(~-s)
ao–<t-j-<)IF x.!–o-
483. PROBLÈME IX. Déterminern e<s, connaissanta, 1 et r. r~
Il
La formule(!) fournit
~-<! /–o4~
M–t-=–~–, p doutt==––~––:
et, en substituantdans (g), il vient
,==~±~mi~.
ar
t8t. PttOBLÈMt!X. M<ftM<Ke)' r e<s, connaissanta, <!<
n.
Les équations(f)et (g)donnerontimmédiatement
r==jL-l ~+~
M– a
D'AMÈBHB. 233
iY.JEiferctce~.
CHAPITRE
IV.
PROGRESSIONS PAR QUOTtENT.
I. JM/!tM<t<W
e<<t0«t<t0!t.
II. F<)!'MM~M
fondamentales.
800. FoxMOLE. Un terme quelconqued'MMCprogression
par quotientest égal au premier, tMM~~<t<f
par la raison
236 ftUNCtpM
,:m.a
élevéeà1- la --« ,d ,i. '.4011_1)4
puissancemarquéepar le nombredes termesqui le
J.
,t.L-
<–~
ainsi,la raison cherchées'obtient en M<ro</a<ttdu rapport
desdeuxyMaM<t<~ 1eta la racinemarquéepa)' le nombredes
moyeM~tttM'rer,p~M<w.La misonf étant déterminée, tesw
moyenssontvisiblement
ar, ar', ar\o)'
Si l'on supposem = t, il vient
7
M8 MMXMpM
et le Moyendemandeest
` = V'cid.
r==t/X/t900
––==~a5b=a; a;
5 t/"TP
doncles y moyenscherchéssont !o, ao, ~o, 80, t6o, 3ao et
6~0.
SOA. La Moy~KMe ~fopof<<oMMC~ eH~etous~M<ermM d'~tte
~oyeMtOMpar ~o<<en~M<égale f! la moyennep!'o~of<t(M~
Ne~eentre /M<enMM eir~~m~.En cuet,si )'oureprésentepar r
la raisondeia progression
–<&:<<< 1,
ona leséquationssuivantes <
a==< &==«)',c'==o7' d==a~==a)~
et, en faisantleur produit,
etc~==<tXafX<!f'Xcf'X. X<
==aXoXeX. XaX'-Xf'X~X. X~
ou bien,en observantque t +a-{-3-{- +(M–1)==L'
nf«-t)
a<'<'<<==a"r
si l'on extraitactueUementla racinedu degréM,il vient
n_ n–t
~oM.a)' *=/'<tXar~==/~
111.ProyrM~MM~er~<o«en<<.<M!'oMM)!<M
d ~M~
-==o-)-or-{-a!)-o~+<!r<-}-
1-1'
elleproduit
~==a+<!+a-{-<i(-}-<t-==Qo,
résultatqui a déjà été établiailleurs.
Soitencorefait f==– elledevient
==o–o-a–.a-{-a–
ici, t'ena évidemment
s,=a, ~==0,~j==a,N,=0, mais)'é-
quation(b;, se changeanten
r.-s" (--I)p,
'–(-i)'.
apprendque l'erreurcommise
estalternativement
-~Let–
a a
C'ALGÈBHE. 24)
ft
808.Si la raisont'est numériquement plusgrandeque t'unite,
auquel cas la progressionest croissante,le secondmembrede
t'equation'b et par suitele premierL–~ croît, abstraction
fuitedes signes,en mêmetempsque !( de sortequ'en posant
tt==w, cette différencesurpassetoute quantitéimaginaire.On
voitdoncque dans cettehypothèse,lessommes
diffèrentde plus en plus de t'cxpressiont., qui ne saurait alors
êtreconsidérée commeleur limite.H s'ensuitque ta sommedes
termesd'uneprogression croissante,prolongéea t'innni, est elle-
mefncinfinie.
809. On peut employerla formuleprécédente pourréduireen
fractionordinaireune fractionpériodiquedonnée prenonspour
exemplela fractiondécimaleo.yyy. nous aurons
0,7~==~}- -.1. TlUU 7 '~· -1.. Z
O 77" t0 -L~L.j-==2.–-L~=
)00 + 1000 tO (1- t0/) = t/Z
En général,soitp un nombreentiercompose de n chiffres,et
considérons la fractiondecimatepériodique o, ppp. nousau-
ronségalement
~+~+~(-;?)=~-
Cequi conduità la rcgte connue,laquelleconsiste,commeon le
sait, &diviserla périodepar un nombrecomposé d'autant de 9
qu'ellecontientde chittres.
IV. PfO~KM~«)'/M~t'0~feMtO!Mp<M'
quotient.
,=="
8<6. PnoBUiMB VI. JMen~t~' r e<s, co«tK!!M<tK<
a, 1 n.
Ontired'aborddo l'équation(c)
a-*<
M'AMKBM. 243
si ensuiteou substituedans l'équation(d),il vient,après avoir
n-t
n)t)ttip)iëpar~«,
"'< "t 7<7
~(~a)==~a/-<t, d'o!. ~== ~<
t/'<-r« a
SH. Lepremiertermea, fa raisonr et la sommet de tous
lestermesd'une progressionparquotientdécroissante a t'infini,
étantliéspar la rctation
a
't–f
on pourraëgatonent,lorsqu'onconnaîtradeux de ces quantités,
déterminerta troisième.Do ta résultenttrois questionsqui sont
resotuespar les formulessuivantes
V.B.reretCM.
M,.<
324.PaoBLÈM)!. D~efMtttef e~mett~ <f)tMeprogression
par quotient,cotttt<t<Mo?t<f Komtredes ~rmMa )) 2° la
Mtoye?tMepro~or(<ot<Ke~e tu eK«'eles termesde f<!?<~
impair;
3° ?ttoye<me m' entre les <erMMde rang
/'fo~ot'(<oMHe«e
patr. Rép.En conservantles notationsdocechapitre,on a
~-J" M" M ?"–<?""
m" 'M" 1 ''==,it" ~M"(?-?')'
823. Démontret' quesi ~'OMm~re M~menombrede moyens
~opo~<ottMe~entre MM~ termes (fMMe p)'oyreM<oMpar e
quotient,coMt~M deM.r~«.c, <'<tMew&~ de ces<et'MMe<
desMo~eM~t~e'r~constitueuneprogressionMH~xe..
CHAPITRE
V.
TMÈOME OKS LOOAtUTMMES.
I. Notionspréliminaires.
soitle nombreJ'dn..I:dnfJ.u
représente n. himunllnn :dnnl:nnn
par y, t'equationidentique
M==a'°'
dont on ferasouventusagepar la suite.
S28.Supposons que, dans l'équation;='a~, on fasse pas-
ser y successivement partous les étatsde grandeuret que,par
un procédéquelconque, onparvienneà calculerles valeurscor-
respondantes dox; l'ensemble desvaleursdey et de x consti-
tuerale ~<~me de logarithmcsdont la baseest a.
Commeon peut répéterla mêmeséried'opérations en attri-
buanta la basea tellevaleurque l'on voudra,il s'ensuitqu'il
existeMMe t'ttt/e' de systèmesde logarithmes.
829. Z.'MM)'~ ne ~e)f<~e prise ~ow base <<'«?systèmede
~aW(/<MtMcar,en faisantvarierx danst'équation'= t*, on
obtientconstamment </'==t ainsi, t'unitéaurait une infinitéde
logarithmes, tandisque lesautresnombresn'enauraientpas.
830. Dans tout ~~mc <fe/oy<!W~<mM, le logarithmede
/'MM!'<eest égald xéro; car, quellequesoitla valeurde !a base
a, ona !<==?,d'oùl'ontire, ù cause de la définitiondes loga-
rithmes, f=o.
83~. Dans<o«< systèmede /oyar(</(MM, le ~a)'t<Amedela
baseest égalà l'unité; car, quellequesoit!abasea, on a a==a',
d'oul'on conclutlog « t.
832. Nous distingueronsdeux cas relativementaux divers
systèmesdologarithmes<"Il celui oA la base est plus grande
que ~Mttt<C; 2°C~Mtoù la baseest plusp6<Kp que l'unité.
Nousn'examinerons pointlessystèmesde logarithmesà bases
négatives,attenduqu'ils sont rarementemployéset qu'ilspré-
sententdesdifficultés étrangèresauxéléments.
833. CAS. Danstout systèmede logarithmes,dontla &<Me
est ~/<Mgrande?M<! ~«M'yc '<"les logarithmesdes NOM~M
plus ~fan~ ~xe~«tM<e' <<)?<~o«<t/~et ~'<!M~M< /~<M grands
que ces Kom&MMn< plusgrands eM~-m~me~, en sorteque le
logarithmede ~'M~Htest égal à l'infini po~{<t/2"les loga-
rithmesdesMomtre~ ~<Mpetits que ~«n<e MM<w~< et
~'aM~)t<p~ ~f<!K~,0~<)'a<'<<OK (aite des signes, que ces
~0 PMKOfKa
HOM&fM ;MM< plus~<(<jt,<tt M~e que le ~ort'<AMede ~'o
esdégal <'<K~K< K<ya<<
I" Si l'on faitsuccessivement
~n=tt),~<==), J'==:K,~==3,<*== OC,
danséquation y==o', on trouvepour )cs valeurscorrespon-
dantes
y==!=t, ~==«*==<==:o*==ac;
a
on donc,en vertudola définitiondeslogarithmes,
t=0, ~<t=~ log «'.=='.),~0!~c=.3,Jo~OO'=W;
d'oùil suit que les nombrescomprisentre t et a, a et a", a' et
<t~ ontleurs logarithmescomprisentreo et et a, a et
3. cequi prouvela premièrepartiede t'énonce.
2"Si l'onpose,dansla mêmeéquationy = a',
.<!==0,jf==–t, ipse–a, ~==–;}, J!=s–<?,
on obtientpoury, en observant que a"*==!a les valeursdo-
croissantes
!/=='. ~==' !~==y' y==y.=-==<
d'oùl'on conclut
lesfractionscomprises
conséquemment, entre t et
et-
–Tj-et–j- ont leurs togarithmescomprisentre o ot–),
–: et –?, –a et –3. ce qui prouvelu deuxiento
partie.
S3t. 2"CAS.Danstout ~N~Mede logarithmesdont la base
M<p/tM~e~eque /'M!H(~:~Mlogarithmes<<M MOMt&fM plus
grands que /'«tM~sontM~a<t/te<f<'<ïM<aM< plusgrands, <t~-
traclion /<!<<<dessignes,quo ces«om~M M~<~M~grands,
en Mf<e~Me logarithmede ~M/?M) M<<~ ~tK~Mttte~a~
les ~oW(Ame.!des nombresplus petite que <'MMt<~ Mttt
positifs e<<<*SM~<tM<glu grands que ces ttom&fMsont plus
petits, en sorte quele logarithmede zéro est égal <!~H/~t
~o~~
U'At.GKMtK. X47
nm r~
hnettct.st l'on pose
~"a;==o,.f==– t, ~==–a, ~===–3. ?==:–M,
2'C==0,J'==t, .f==M, .='j.<-==«?,
dansl'équation=a*, on trouve!M)
° 1 1 1 r
<~==,~==~y==~,y==~==~,
2''y=='t,~==a, y-~o', ~==a'=s*==o,
d'oùl'ondéduit,par la définitiondeslogarithmes,
~==<o~y–/oyy'. (a)
Arrêtons-nous
un instanta ta discussionde ce résultat;si l'on
supposed'abord)/'==' iltvient
u'AmiiMM. 249
si </est < logy est < )/' et log est négatif ce qui
s'accordeparfaitement avecl'énoncédu n°833.
Dansle cas où ta baseest plus petiteque l'unité,on obtient
aisémentdes résultatsabsotumentcontrairesaux précédentset
conformes a ceuxdu n° 834.
On démontrela réciproque, en renversantles membresde
l'équation(a),ce qui donne
~j!/–==~ J
539.Le <o~aW~mc d'une expression/)'<!<'<<oMsa<'fe
est 'ya<
QMlogarithmedu MM)K~<ï<eMf diminuédu logarithmedu.dé-
MOM!<H(!«Mf; car, unetelleexpressionestéquivalente
au quotient
d'unedivisiondontle dividendeest le numérateuret dont ledi-
viseurest le dénominateur.
MO. Le logarithnaede la puissanceni d'une ~!MM~<c est
<~f[<m /bMle <oy<n'«/tttte de cette~Ka?)<~c.
Réciproquement, si <'<wMM/t<)'~elogarithme<<')<Me ~Man-
<«e'par m, le ~od'w<< est ~a~ au /oya!'Mmcde la ~!<MM)tce
mde cette <j'!<aK~/e.
Si l'on eièvoilla puissancem les deux membresde l'identité
y= aw V,
~==~ (b)
il vient
t
=='0. ")"==: a"'h~
y,
d'oitl'ontire (526)
log y'"c=~ log y et m y c=~ y'
SU. 7.e~o~aW~me de la farMe M'~J'wKe~MftKttt'est cya<
aMlogarithmede cette~<aK~ ~tft'~po)'m.
Réciproquement, si ~'oMdivisele logarithmetf'KMe
~MOH~r'
~SO PMtSCtPEB
par tn, <e~«o«c?!< est <~a<au <oyfo'<Mme
de ? racote M~"(/e
Cf«t!yM«M«~.
EneHet,si t'on extrait la racine m~ des douxtnefnbfesdo
t'cquation(b), on trouve
m m h~~
~=~f==M-T,r~ >
d'où résultent
~et~ m M r ?
S42.Voicideux exemptespropres n faire concevoirle
parti
que l'onpeuttirer desrégiesprécédentes
9 d
~5~T~ Ciclt 9 C~di 5
log o-i-? &'–~c'–/og
5
log o-t-a b-3 /(~ e–~ ft
ù
f
7 log «+4 ==<o~~+~ A<
== <'<– ~C'=.
t~c'
543.Leslogarithmesde quatre ~<MM<~en
pfopof~oMpar
quotient <'oK~<«Men( une Car, en mettantla
e'</M!-<~t~re)tce.
proportiona b c d sousla forme
a ce l
T==-
et en prenantles logarithmesdesdeux membres,il vient
log log ou a– &==/oyc–~ d;
d'où l'on peutconclurei'equi-din'ercnce
~F~~F~
S44.Leslogarithmes<fe~M$«;MM quantitésen progression
par quotientforment<(t)<p~fe~:OKpar a~e'feMee.Soitr la
raisonde la progression
–<&:c:(/:e e:
U'At.diiMK.
on aura
L'équation(c)peuts'écrirede la sorte
~==-~+')+/
ce qui donnenaissanceil un nouveau
genrede logarithmes,car
on peut .-egardc..-(“-]-,) coanne!a caractéristique du loga-
rithmede la fraction, et r comme sa partiedécimale,et alorsla
caractéristiqueseulese trouvenégative;pour ne
cesnouveauxlogarithmes point-confondre
avecceuxqui sontentièrement
on est convenude placerle signe au-dessusde la négatifs,
ca.-aet6risti~
que supposons,pour fixerles idées,que ta
caractéristiquesoit
-3 et la partiedécimale
0,4567865,on écrira3'456';865 et
cetteexpression équivaudra a–3+o,~865.
582. Si FoKmultiplieOM l'on divise une
<Mw<e quantité par
~M de n zéros,le ~<n.«/ ou dit,quo-
tient sera égal au ~~n</tMtede cette~~od<tt<
~~«(e- a~meM~ "? ou
<~MKM~(/en<M!!<M.
Réciproquement, si <'o~a«~tet(fc ousi ~o~ (/tmt)mele
~ftf/tMe d'une<jf)MH<t<e' de n «M«e~la sommeou le reste sera
égal au ~aW<e de cette~KaH~cmultipliéeou ~e
<'MK«e~«:<e de n <;t~o~. pan
En effet,en représentantcottoquantitépary, onIl
<~XtO")=.~+<o"==~
~0''=~
loti
284 PRINCIPES
et, en transposant
tes membresde choqueéquation,
~-K==~X t«"),
~=~JL
~53. De)u résulteque let /o~(tW~<mM~<Mlest<omAfM
~'cttp/M OM<'la m~mc~(tff<c(/e'e;'ma/c.Car,en supposantque
l'onait /.38==),G;f);836,il s'ensuit(S52)
~38o==!5~8~C,38oo==~f.y()y83(i,38oou==~5~8:<6,
U,8==o,5~836,o,38==t,5~836,o38====~579y836,
CHAPITRE
VI.
CONSTRUCTIONET USAGE DES TABLES DE LOQARtTHMES.
L nombref<a~<aoMttc,<roMf<t'
son logarithmeet r~<-
~fO~«~M~<<.
55t. <" PaoBLÈMË. ?'ro!t)'e~'
le /o~an<A)Ked'un nombredans
un systèmedonné.Soienta la base,Alenombredonnéet son
logarithme;on auraà résoudrel'équatione.)~oK<M<t'e//<!
a*==&; (a)
supposonsd'abordquel'onait a> t et b> ou a < t et &<
auxquelscas,ainsiqu'onFa vudanslest)°*833et 634,lu valeur
dez est positive. Onfera;<'==o,.c'==t,a;n=:a,==3, jusqu'à
ce que l'onparvienneà deux puissancesconsécutives MetM-}-t 1
de a, qui comprennent le nombreb.
Si a est > t, on aurales inégalitésb> a"et < a' ou,en
remplaçantb par a*. <~> a"et o~«[°+' de là récitent celles-
ci ;c:>Metz<K-)-
Sia est< onauraau contraire<'<a''ett>a"+', ou, a*<a°
et a* > a°+' de ta résultentencore(90,j;j>tt et .<tt -}-1.
Ainsi,danstousles cas, on pourraconctm'e, a uneunitéprès,
~==m cettepremièrevaleurde est évidemment tropfaible,
Pour en obtenirune plus approchée, on pose;B==M-}- il
o'Af.&Èexf!. 2SS
est essentielde remarquerquefa vaicurinconnuede .f doit être
ptusgrandequet'unite,car, si )'onavaita-'<(<, il s'ensuivrait
et
>' .<!>?-)-), ce qui est impossibie;substituantdans
l'équation(a),it vientsuccessivement
<t"+y==~ <t".a7~~ <;?=,JL.;
< OU
(6 a'/ ==9
a t==a
puis, en observantque est <a, mais que
f~' est > 9,
?"===t d'ou z't=a- -<==3eti<;c=t-}- L'erreurcommise
~J'4 3
ou ~=4. 3'
\9 3/ ~8~
d'où l'ontire, en négligeantles fractions,;["==!a, attenduque
/()\' /Q\'
< que on a par conséquent
18) § J est >
288 MHNOfM
“, t1 3 ,) 3 5
S 5 t3
~'+.+'+'~==T
5
~'+'=-5'=='+73-
a 5
L'erreurne peut s'élevera t -t- 7 – t -jtj ou M
&
Soit a;"==a-r- -7 on trouve,en substituantet on remarquant
~(~
/4 8t\~ o /a56~' t)
~.+~=~==~
ta 3t ,3't ta
a;c=!a4-t –== –. 1 -B===t+ :–==!-{-
y ta ta ,;t
L'erreurestalorsmoindreque t + – – -r ou –; ainsi,
.)t tj <~o3
en réduisantla fraction en décimales,ona
t9==!,38.
8S8.8' PnoBLÈME. <7M e<a~<donnédansMM
/o~<tn'</M!te
dèmecoMMM, déterminer<enombre~!<tlui correspond.Si l'on
metce logarithme sousla formed'expression fractionnaire
irré-
ductible,il pourraêtre représentepar ou – et n
-"L par
étant deuxnombresentiers),suivantqu'il serapositifou négatif.
Celaposé,soienta la basedonnéeet r le nombrecherché,on
aura, dansle premiercas,
m a
y==a"'==)~'s";
et dansle second
~B t
~-==a ==T––.
/'aS
D'ALG&BKE. j~Sg
S'! sagtt, par exemple,de deterininerle nombre
w.m .v.· 1-
y qui cor-
nu
respond (ogarithmet, t~ du systèmedont ta baseest M on
obsorveque
ifM& <)
),~j=-–– ==-
<uoo 8
ctttsensuit
t_
</==a'==~9"==/'ut2==a,.8.
886. J~or~Me !!omA~ ett~~ a b ~OH<
coa~o~ des
Mt~M/<«!~M~prem<e~ e<~Me/eM?'A- e~o~aK~ /b<-meM< une
sM«ede fa~0!'<segawj, <o~a)-K/tme de b, )-e<a(t/'M
lu &aMu,
M<commeMMra&/eces eoM</<«btM Me~OH< juo<M<~-cmM~,ce
est
~a)-«/(Me MContmeM.mra~/e. Pourle detnontrer,cherchous
les relationsqui doiventsubsisterentrea et b, pou)- le
que log.&,
pris dans)a basea, soit commensurable, c'est-à-diredelu forme
– Nousauronsd'abord
n
m
&==<t°, d'où &"= a" M)
or, tout facteurpremierde &,divisantf, diviseaussio"'pt par
suite a (94);on prouveraitdela mêmemanièreque toutfacteur
premierdoa se trouvedans & on voitdoncdéjà que Jesdeux
nombresa et Adoiventêtrecomposés desmêmesfacteurspremiers.
Soient~, ces facteurspremiers, et
P"t ?". f" leursexposantsdansa et en sorteque
e==,pp'
substituantdans (d),il vient
pp"°~==:
Cetteegatitdne peut avoirHeuà moinsque les
exposantsde
q, r. ne soientégauxdans lesdeuxmembres eneffet,si
les exposantsde p, par exemple,étaientinégaux, on pourrait
diviserpar la plus hautepuissancede ce facteur,et l'onobtien-
drait une équationdont l'un dos membresseraitentieret dont
l'autreseraitfractionnaire,
ce qui est absurde.Conséquemment,
ona
~"t~p'wt, <)'"?== ~'<n, f"~=?-'t)t.
260 PMXOPE8
~tt.i'-
a-outon ure
J~L~~ ~1–~L
M' '"K "M'
et par suite
Pt
p f/" y"
==.
p' r -7-=~T.=~–r (n
857. Lorsquela base est le produit de p~Mt'e«M/<tc<eMf<
premiers~M~ ~fcMt'crepuissance < il n'y a, parmi les
nombreseM<t€M, ~Melespuissancesde cettebasequi aient des
<o~orK/nnM coHtWMMMra&~s 2" les logarithmesde cespMM-
MMee~ Mt<< des nombresentiers.En en'et,ona par hypothèse
p'c=.==f'==~ <t===~~f.
et de là, à causedela suite (fj et de l'équation(ej,1
n
p/==<j,
~g -r' b-=p~"qp"r,=(pqr.)P",
&==~t-p"==(pyt.)P",
ou bien
/'=< d'OU~&~p".
Ainsi, dans le systèmedontta baseest to==aX~ losloga-
rithmesdes nombresentiersautresque t, !o, too, tooo.
sont incommensurables.
<
'==~ 'X-
Conséquemmcnt, lorsqu'ona une tablede ~an</(MM~<a-
<<cctKeM<à MKe certaine base,on peut en déduire«Metable </e
logarithtnesrelativementà unebase ~Me/eott~Ke, e~ <~tCMaM<
2M! ftttSCtfM
~<t~f(n</<MMde la ~femM)'etable par le ~(t)'t'</tM)e de la
MOMre/<e basepar rapport d l'ancienne.
n~
~j~ ,==<Xi;
w y
en
et, substituantdanslesdeuxsuites,
~y+", y+an. ~-t-ma ou Y, (g)
~y, y)- y)." ou Y, (h)
on obtiendrales valeursdes termesdontellessont composées.
Celaposé,observons quela sommedesm différences,
~–y.y'–yf, y~–~f' yr"–)"
entre les m + termes de la deuxièmeprogression,considères
deuxà deux,estégaleà yf–i/ ouY–y, et que par conséquent
la moyennearithmétique entretoutescesdifïereDces est ~H~-
m
.ou a. Or, en les mettantsousla forme
~–'),~–')~-(''–t)t'(r-))'°'
on voit immédiatement qu'ellesconstituentune progressionpar
quotientdont !a raisonest encorer de là il suit que leur
moyenneRest compriseentrela plusgrandeet la plus petite,
et que l'ona
(f–!) <n, (i)
j'(f–t)f*>R, d'où y(r–t)>R,
attenduque Yest >y)'°"
Actuellement, si l'on imaginedeuxprogressions par différence
ayantpourpremiertermer et pourraisonsY(f – t ) et~-(f– t
il est visiblequedeuxtermescorrespondants danscesdeuxsuites
comprendront les termesdu mêmerangdans(g)et ~h) donc,en
appelantjr la différence entre les termesdu rangM-1 dans les
dernières,on aura
~<[~+MY()'–!)]-[~+~ {)-–!)],
M~ PMMtPM
l_!
ou bien, en réduisant
~<M(v–~)~–t' (j)
Déposonstestermesde (g)et de (h)dansun ordreinverse,de
manièreque les termes précédemment du rang ? + <soientdu
rangm–tt-t-t puis, imaginonsdeuxnouvelles progressionspar
ditïérence,ayantpourpremiertermey et pourraisons–y(f–t)
et –Y.–'); deuxtermescorrespondants danscottes-cicompren-
dront encoreteb termesdu mêmerang dans cettes-tà, et par
conséquent,il viendra
< [ï--(Mt–(f–.)]-[Y-(M~Y~,) 1
ou, en effectuantles catcuts,
~<(~-K)(Y-~)(r-.). (k)
Ajoutantles inëgaHtés(j)et (k) membrea membre,on a
3~<:m(Y–)(r–t);
or, de l'inégalité(ij on déduit, en remplaçantn par
y–.y
~==- (t)
– désignentévidemmentdes nombres
et plus petits que
l'unité; il est visibleque la proportion
d (~
n:
t)'ALOÈBM. 265
t.l_JL'
équivautà t'ëquation
–))</=t-Ddd ouacejic-c) -'==';
M M y
il sutBradoncde démontrerque la di~rence entre les deux
membres– et S décroît à mesureque r augmenteet quec
diminue.
Remarquons à cetetïetqu'envertudu n"838 leséquations~)
peuvents'écrirede cettemanière
~==~,
et, en représentant par a,
!aLasc
ad, ~=. a 9 d,
y
ou bien encore,si l'onchasselesdénominateurs,
< <t\q dtp
~=V"~ j-'==yo')''==j- i
(<). ( <)
ce qui nousapprendque est le ;t-~ termed'uneprogression
par quotient,dont le premiertermeest et dont le ?- t*
termeest y".
Or, si l'on conçoitune progressionpar différencecomposée
de y-1 termes, et ayantpour termesextrêmesr et sa
raison sera expriméepar -*––– et son p +1" terme par
~(/<
et, en remplaçante-"– et~'– par o et "~c,
Ht t) !)* Mt C t)
.–D–c<–, ou, -–.–<:–,
? (n)
M
aprèsavoirdivisépar o; ce qui prouvebien que la différence
de
a estd'autantmoindreque est plus grandet que o est
q
pluspetit.
SC6 MUNCX'ES
Mu. PROBLÈME.Déterminerles limitesdes erreurs qua foM
peut comMe~'een /f<M<tK<
MM~/ede la pro~ortto~(m)d<(M°
~ecfWe~. Ceserreursproviennentvisibtcmcntde ce que l'ony
suppose == ceqm n'a lieu, commeon vientdo le vuir, e
que par approximation.
<"Supposons d'abordque les différences
n, c et soient
M
connues,et qu'ils'agissede calculer-S- d; la proportion(m)four-
'<
o
D'ALGÈMM. 267
données,etqu'it s'agissede déterminer- n. La proportion(m)
~=~:<
q ?q
et que la tablene donneque le premierou les deux premiers
chiffressignificatifs
de la différence
d, il s'ensuitqu'engénéral
on ne sera certainquede l'exactitude
de la premièredécimale.
W.a3
~<==~'65–y==it,f~83~–o,8.;5oQ8u4
==t,3y:!385go.
2°<.
~=/.45t–~tCit3~!<,65~y6u–3,Bto3t85
==–o,55(n<{ao.
Si la caracléristique
de ce dernierlogarithme
devaitêtreseule
négative,onferaitusagede la règlesuivante,dans laquelleon
désignesousle nomdu eom~'me~ d'unnombrele restequel'on
obtienten le retranchantdo to le logarithmed'une /fat~oK
e~tégalCMlogarithme<<M augmentédu complé-
ttW)M~a<exr,
m<K< du logarithmedu <f~tomtt)a<e«?',moins dix «a~M.En
effet:
=~–<==< .~+ 'c'–<–'o=.}-eoM~.
d~,=l.y--l.rr~d.,r-lo-l.y'-IO~I.,r-f.comp. l.lo.
<–.o.
Celaposé,puisquecomp. t6!t3=t o-3,K o3185==6,y8g68
S,
il vient
o
~T='4'"+<'o~6a3–to
==a,65~65 +S,y8968t5– )oo
='9,443858o– to==– + o,~3858o==7,~3858o.
670. PMBh&MK. ~OMtO-,a!(moyendesM~M, nombre
qui correspondà un /oyan~()Me donné.I) fautdistinguertrois
cas celuioù ce logarithmeest positif;celuioi) il est négatif;
celuienfinousa caractéristiqueest négative
et sa partiedécimale
positive.
67<. CAS.ï'fOMW ?0~~ qui correspondà «M~a-
rithmepositif.Supposons d'abordque lacaractéristique
dunom-
brodonnesoitégaleà troisunités
Si ce logarithmeest exactementdansla table,on trouveà côté
!enombrequi lui correspond.
S'ilen est autrement,il est comprisentredeuxlogarithmes
consécutifs.Le nombrecherche,tombant entrelesdeuxnombres
entiersauxquelsces logarithmes appartiennent, est doncégalau
pluspetitdecesnombresjointà unefraction quel'ondétermine,
en calculantle quatrièmetermede)aproportion suivante(864)
370 pMxctpEs
q; élattb.
Si pour 1.
la 1~*ir.,oâ»..
rld"I.t1Iu.
J"u,1.
différencede f/M-e/o~afK/tmM co?MM!«<
a MH< «tt;~ de </t'j~')'<'Mce
et~'e les noMt&res entiers correspon-
dants, com&tem, powr la d~~Mce <<M plus petit de ces loya-
ft</<me< à celui qui est ~MKe, aura-t-il de <<<~<t'6Mce entre
les nombresauxquelsils a~«WtCWte!!< ?P
Si !a caractéristiquedu logarithmedonné n'est point trois
unités,on la rendtelleen t'augmentant ou en ta diminuantd'un
nombred'unitésconvenableon trouve, commeon vient de le
dire, le nombrequi correspondau logarithmeainsi prépare;
puis, on transportela virguled'autantde rangs vers la gauche
ou versta droiteque l'on a ajoutéou retranched'unitésau lo-
garithtneprimitif(56ï;.
Soità déterminerlenombredontle logarithmeest
~,Co8yoy8
je diminue d'abordla d'une unité, ce qui donne
caractéristique
3,6o8yoy8;or, ce derniertombeentre les logarithmesconsé-
cutifs3,6o8633oet 3,Go8y39t) qui correspondentaux nombres
~061et ~oSa;doncle nombrecherchéest égal à 4o6; joint à
une fractionqueje désignepar x; actuellement,on a
~o6a–<{o6t'='o,o,oooto6g
~o6t~f)–~o6t~3,6o87078–3,6o8633o ==0,0000~8,
4o6a–~o6!==t, ~'6t-+~–4o6tc=.r,
et par conséquent
0,000t0&) t 0,0000~8 x;
proportiond'où l'on tire
0,0000~8 ==
7~8 c°'%9 o"
ou b'en0,7a 0,00, près.
0,00010
.00.069o69 u&~10
Ainsi, 3,6o8yoy8==~o6t,y; augmentantle premiermembre
d'uneunité,et supprimantla virguledansle secondmembre,il
vicnt<{,6o8yoy8==~o6t7,ce quiapprendquele nombrecher-
chéest ~06)y, à uneunitéprus.
o'72.2" CAS.yrcMtXfle nombrequi correspond<!un loga-
fMBte négatif. On ajoutea ce logarithmeautantd'unitésplus
quatrequ'ily en a danssa caractéristiqueon obtientdela sorte
un logarithmepositifdontla caractéristiqueest trois; on déter-
minele nombrequi lui correspond,et l'on transporteensuiteta
C'AM~BBK. g7)
virguled'autantt de rangsversla gauche nuet'ena aioutéd'unités
Kaucheque ajouted'unités
au logarithmedonne.
Soit, pour exemple,le logarithmenégatif–a~MMot~;j'y
ajoutea-}-~ ou 6 unités,ce qui donne3,5~3tg86;or, celoga-
rithmecorrespondau nombre3~3, à une unitéprès; doncle
nombrecherchéest o.oo~ à un tnittioniefnc
prés.
573. 3' CAS.Trouverle Mom&re .~M< co~e~oH<< à un loga-
f«/tM<dont~tcarac~W.~MeestK~a~eeetla partie <<tc<m<e
~OM'M.On y ajouteautantd'unitésplustroisqu'ily en a dans
sa caractéristique; on a ainsi un logarithmepositifdontla carac-
téristiqueest trois.Oncherchele nombreauquelil appartient,et
l'ontransportela virguled'autantderangsversla gauchequel'on
a ajoutéd'unitésau logarithmeproposé.
Soitte logarithmea,358ta53 j'y ajoutez-}-3ou5 unitéset
j'obtiens3,358ta5X,logarithmequicorrespond au nombreM8t,
a uneunitéprés.Doncle nombrecherchéesto,oax8:, a un cent
millièmeprès.
V. B.FM'etCM.
MA.PMBLÈME.
Déterminerpar la méthodedu n° S8t, les
/o~rt~<me~desnombres!3 c< f~M systèmedontla base
esty.Rép.~t,3t.2"–o,ao.
S75.PaonLÈME. Trouverpar /a règledu K"658, le nombre
qui a pour ~<</t)Me <,3y5dans /e ~<~tc dont la base
17.Rép.49, tg.
676.PROBLÈME. J~oMoef,/'e«/e destables,le ~aW</<Me
3,at5 <faM /e~~me dont la baseest t.~a.Rëp.a,t533y~6.
877.PMBLÈME. !"fOMw,<<M'aedes<aMe~, /e~aft/Ame~<e<-
mal, 4°de t6458; 3° de o.oo~S~ 3"de a,535353. f de
257– 8' de Rép. <"4,at63yyt 2"–3,8366299 ou
3~te33yot 3" o,4o4o385 f a, S"– o,S!a6o8tou
~8739.9.
578.PaoBLÈME. Trouver, à l'aide destables,le Momtt'equi
272 pMuctPEs
correspond,<"au logatithmedécimal4.s6y9Ha3;
2' a – a,5y83138 3° a 3,4670899.
Rép.4. <8539;2° o,ooa6.;o5;3'0,00x93~.
CHAPITRE
VII.
APPLICATIONS DE LA THÈOKtË CES LOCAMTUMM.
==a,6Gt8tay-}-(),o6338~–toc=.n,~5f98.~==~.o,o53na.
et par suite 86~9==o,u53na.
Mt. FoMMATtot OESpNssANCEx. Onmu)tip)ic)e togarithnte
du
nombredonnépar l'exposantde ta puissanceque l'onveutcal-
culer,afin d'obtenirle iogarithftx;de cettepuissance(MO);on
chercheensuite&que!nombrece togarithtneappartient.
'f~. /.3'~== ~.3==tyX o,~y)ata5==8,n fo6ta
==/.tagt~oooo;
consequemment3"==ta9~oooo.
r q r
2'
/(~-)'==y(/.35+cc~J.6a-to)
==y (: ,5/}4o68o/{-(- – to; = y(–j-o,y5 t6y635)
8,aoy6o83!
'=="y+5,a6ty344 ==~t73~==<.o,ot8}!y. ¡
35
d'où
resutto(–) ==o,ot8ay.
e=~.5,t5ta.
donc 36ay=s5,t5ta.
t
t3,8a3go8?5–t~ ==
==–––z––L t.~844.-a- .,9~844.
~o,g43ya.
t
par conséquent)~' n '=='0,~7!
48
2*~ PRMOPRS
Kot e*t~t~)-t«t-j~t
683. Soit a déterminer te 4* terme de ta proportion
35():!y::aMï:
en prenant les on aura
logarithmes, (M3) t'equi-diftërenee
~56Jty:<sMt.
d'où
d'on l'on tire
~=<.t7+~.a56t–<.356~t,a3o4<;89+3,4o84o96
–a,55t/{5oo==a,o8y.{o83 =='~ taa.a~
et par suite .<'=='!aa,ag.
684. Soit ~nHa à trouver une
moyenne proportionncHe entre
les nombres et 53a; on auM
9, 8y (845)
~9X8~+~d~a
o,Q54a4a5 t+t,9395t9a5+a,y:5gn 63
=t,8y3aa44=.683.
d'où l'on conclut !a moyenne
que cherchée est ~,683.
a'=A,
dans laquelle a et & désignent des quantités données si t'on
prend les logarithmes des deux it
membres, vient
'T7'°o~45o<)8.
886. Soit, en second à tirer
lieu, !a valeur do x dans
~~«0-
<<o)t exponentielle (ht second ordre
<t~e==c;
e!)e devient, en les logarithmes et en
prenant regardant &'comme
l'exposant de a,
c
&<!=~e e ou &
M~O
U'ALCÈMOB.
~,),)- t.. < ~t
Si l'on prend de nouveaules logarithmes,on trouve, après
avoirdivisépar
a
x ~og'<'–o~
log G
N87.En traitant~xe~'oM e~oKeK«e//e<<M ~o<~Me o?'~
a~=d
commeles précédentes,
on ondéduit
x log (~ <!– <!)- A
~< c
cetiesdes ordressuivantsse fësotventëgaiementpar le ntone
procède.
688.Fil s'agissaitde résoudrauneéquationde la forme
a'"+"e=~
on prendraitencorejes logarithmesdesdeux membreset l'on
aurait
(?.?-(-?) <t==~<c-j-~) 6,
équationdu premierdegréenjr, qui fournit
&–M/o~ a
Ht~<!–p log A'
889. Prenons,pourdernierexemple,l'équation
tM*-)-tt<ir*==A;
multipliantd'abordpara"et observantque a*x ?*== a''==t, il
vient
m (a*)'-{-M==:~<
cettenouvelleéquationestduseconddegréen tant que l'on con-
sidèreascommet'inconmo on en retire
~-Ai~4'~
2m
puis,en prenantles logarithmes,
et en divisantpar log a,
a=/)~–t(f–t);
prenant ensuite les logarithmes de !a et transposant,
première
nous aurons
~–~+<! a <
1= '1 ~(~–<+a]–/o.</a
=
f r
/oy f'
892. PMBLÈME IX. D~e~Mer n e< r, <'omM<M<tM<a, 1 e< s
On déduit de (b)
i
~== et par suite )'=/o~ ($-.0)–
~o~ s log “
n = 1+
~f r
~~(.!–s,–<oy(j;–
693. tMM.&Mt! X. D~efouMef n s, eotH)OMMM< a, e< r.
On tire imtnédiatement de l'équation (b)
~–o
1'-1 i
D'ALO~BM. 877
si ensuiteon prendles logarithmesdesdeuxmembresde (a), on
obtient
~==:~s-H<t– t)~f, d'en
to~l=loya-f-(n--i)loyr, r4- + logl"loya
d'oll ?==)
logr
IV. CtfM«0~a'<M<
Y. J~erctOM.
~p.
Rép. ;r t::=
~<&) »
log b log a
604. PnoBLÈME. Un po!'<tc«/<er a un tonneaude a litres de
OMtil en tire chaquejour un litre qu'il remplacepar «Mlitre
d'eau on demandeaprès combiende j'oM!'$le tonneaune
contiendraplus que b litres de tin. Rép.
b
x~.=, log o–~
/OF s–/o~ (a–i)
608. PROBLÈME. Deux eo~e$renferment le premier a litres
ae MKet le seconda litres a'eaM on a deux mesures a'MM
litre chacune,que ~'oMp~oK~e en mêmetempsdans l'un e<aaM~
l'autre pour les remplir; après quoi l'on versedans chaque
o<Me le liquide extrait de l'autre combienfaudra-t-il a'op~-
rations de ce genre pour que /e~)'eM!tereaMfeM/efMtea m
litres d'eau. Rép.
log m–/o~ Ht–a)
log a–<o~ (a–a]
LIVRE1"
CHAPITRE 1~.
A'O~OM</M'~MM//M~M.
1. Butdet'Atgebre. t
Il. De quelques autres notttiom de t'ttgtbre. 8
111. B"difMrentetetp<tce<dequMtit<< 0
tY. SMr)etqutnt)t)!tn<gative! 9
CHAPITRE H.
~<!OM el ~OM~~e~oM a~e&r~MM.
1. B~ducticndMtefmettemMtbtM. «f
H. AMit!ono)gAb)-iquc.
ttf. SouttMOieoat~brique. <S
CHAPITRE 111.
~M/C~OM ~~n'~MC.
1. MuhtptieittiondetmonemM.
tt. Mu))ipticot)ondMj)t)ynemM. 10
t!t. Sur te produit de p)ttticur:pe<yao)))MhemogAt)M. <8
IV. Surte produitde la Mm)nededeuxquantitéspar leurditî&renM. <8
V. Ceque c'est qu'ordonner. ~9
Yt. Avottoge d'ordonnerdam la multiplication. S2
CHAPITRE IV.
D/~tOH algébrique.
f. DivitiendMtnenomet. g)!
Il. Det'expoMnto. M
Tt)e<)riedetexpeMnt<Mej;<tti)< 97
tV. DMtionde<pctyooa)M. M
284 TABLEDESMA'ftÈHM.
P<~M.
V. Kemarquci sur la divition des poiynutoe" 33
VI. Sur la difKrcneedes puissancesm de deux quantité* SU
CHAPITRE V.
~rac~OM /<~a/M.
1. Ori~inede<fraet!o))< 38
tt. Réductiondes fractionsà )eurp)ut<impieexpreMion. 39
H). Cakutde~fraetioM. 40
)V. ChM~ementqu'éprouvo une fraolion terMju'onretranche une
tnemequantitedetetdeM termes. <i
CHAPITRE VI.
Formation ~M /)M/M<!WM.
1. Ge<)eM))te' <3
Il. Sur les puissancesdes nombre! ~4
111. Toute! les puissances d'une fraetioMirréductible<ot)tirredue-
tib)e< <C
tV. Surte~puiMMee~de! monomes. <7
V. Formationdu carré des potynomes. <8
VI. Fortattiottdueubedo~potyttomes. M
Vn. Sur les puissanoosde degré supérieur au trebietnc. {ti
CHAPITRE VII,
1. Principethodamentaax. 89
Il. Extractionde la raeineearrcede<nombres entiers SS
ttt. Remorques surla regtopreeedente. 97
IV. Extractiondela racinecarréeparapproximation. o7
V. Extractiondela racinecarréedesfraction' 00
V). Extractiondola racinecarréedesnombreseomptexm. M
CHAPITRE Vin.
CHAPITRE
IX.
Extraction <~ racines </M <a'~M«o~ algébriques,
paon.
pf)~<.
L )i)ftrMtio))de!M<;it)Mdettt)ot)omM. 71
t). Extractiondela racioecarréedet polynomcs. 7<
111. E)ttroet!en<)e)arae)))oeuhiqMedetp<)t)'t)en)M. ?0
CHAPITRE X.
?V~oWe </M radicaux et des e.C/)OMM~fractionnaires.
t. Identitédesradicauxet des exposantsffoetionnaifet. 77
Il. Propriété.de. radicaux. M
Ut. Simp)if!taHottd.c!ftdiotu;t. 80
IV. MdMtie))de<fedic))ux"umé<ne indice. 81
V. R<)diet0)[ten)bta)))e< M
VI. Additionetsouslraotiondos t'edteoux. 88
VU. Mulliplleationdesradicaux, M
Vm.OiYioondett'editau)! 84
IX. Formationdes puissancesdes radicaux. 8t
X. Ettr<teHond«tt'eeinMde<fadietUit. 8!!
XI. SartetrttdictuxttMgmaiM! 80
XH. Meutdesexposaut'frtcHonmit'e! 88
UVRE!
CHAPITRE r.
Notions ;M'<<M«MHrM.
t. M<e)M)!oudetprobtemM. 93
t!. M
Notion.glln6rolo. sur lus IIquolions.
ttt. TraMforntttioMdeseqMtieM. 97
CHAPITRE
CHAPITRE I!
7~'Ma~o~ et~o&~MM ~M~cM~ f/<y~<Mf< inconnues.
t. ÉquMi~MdupMmietdey<td<)tt)tit)etnat!M. ~7
tt. Équationsdu premier degré & trois tt un plus grand nombre
d'inconnue. 121
Ut. Résolutionde plusieurs problèmesdont les donnéos'ont nu-
mt!ri<)tte' <2t
!V. R<Mtt)tionde pttttiMM prebMntMdonttM deandMsont t)g<-
briquos. <S8
V. EMMieet. M3
CHAPITRE IV.
Discussion des problèmes.
t. CM'id~ratiM~g&n~rtttM. i~
Il. Sur)<motHtioMn~atiMt. )M
Mt. PMbtëmedotceurfieM. <S9
IV. AutMprobttme.
V. Pfob)AtaeM)')e<atti)tget. ~0
CHAPITRE V.
Discussion ~~ra~ des ~M~M< du premier <
CHAPITRE V!.
CHAPITRE VII.
Discussion dell <~M~/OM et des ~'O~MM du second degré.
1. Autre tnan~fe de présenter la théoriedet équations du second
deaX. i88
Il. DiteuMiondMretine! <M
t)t. DittMtioKdes problèmesdu Meonddegft. i96
CHAPITRE VU!.
7!~oA«<oMde ~w~MM~~t'oM de degré <M~/<Mr<M<second.
1. ItquOliousAdeui termo. 1 'II. t02
)t. &}Utt!tnt)'<M)))Me'paf)am<thedadu«ee))ddegr< 203
))t. Touteracine ue de6r<pair d'unequantiténégativee<tde toforme
p~T. 206
LIVREIII.
CHAPITRE
I".
Rapports ~;M'0/K)~t'<MM/!W<A~'CMP<
RepporttpafdttKrettce. S06
H. Proportion*pe)'<)!<f)!renee. 307
M. EMreieM. 210
CHAPITRE H.
/<M'~ et proportions par ?MO~M<.
t. Rapportspar quotient. 9Ht
n. Propo)'tieneptr<juot!<)nt. M5
tH. Sytt~medepfopetlioM. 8)?
!V. Changementsqu'on pem foiredans une propeftiox. 8i9
V. St)ttedtrappo)'b<'gtt)x. 2M
Yt. EïereieM. 2M
CHAPITRE t!I.
P<'O~~M«!K<par <&~WMC.
t. D<aniHoaotMttt!on. 29)t
Il. Fet'tnHtMfcndonontttef. S20
TABLE DES MATIÈRES.
t)t. j
P''e'e<tUt-)e)progfe!i)0)Mpt)'d!mf()nee. SS
IV. "M* OM
CHAPITRE
CHAPI'fRE IV.
1V. 1.
¡
PrO~CMtO/M par ~MO~~
Miaitien et notation. gg~ i
Il.
~tMf<tme)ttatet. gg)}
t!). P''eyMioMp<rquetient~e)'ei)MotMt t'iMn«i. 858
IV. Pt~b~mMsur )« pfo~feMiontpor quotient. 2~
~eicm. n~g
CHAPITRE V.
TA~oWedes /o~afM<MM.
~P~Nit)ti<'M. n~/
Il.
~<'t'<et)«j;)trithmM. H
ttt. Du systèmede logarithmesdont la base est <0
2m ï
CHAPITRE VI. }
Co~/WCf<OKF< MMyc f~ ~&/<'< de {
~<f~'<AMM.
1. Un nombre étant denne, trouver son
logarithme et rdcipro-
'jUtment. g~
C.Mtru<i);.nd..ttb)Md<))ogtt-tth)nM. SCO
Ht.
P't!pMM)tt!h&)'M))godMtebte! ano
!V.
UM~dMt.ht.
V. il;
~L.
CHAPITRE V!I.
ftN DE LA TABLE.
Il
3i