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REMERCIEMENTS
INTRODUTION
SOMMAIRE
REMERCIEMENTS
INTRODUTION
Chapitre I : PRESENTATION DE LA SOCIETE D’ACCUEIL
II - Présentation de COSUMAR
1- Profil
2- Dates clés
3- Implantations
4- Chaîne de valeurs
5- Produits et co-produits
6- Gouvernance
7- Indicateurs financiers
CONCLUSION
5 | Rapport de stage 2012/2013
PRESENTATION DE LA SOCIETE
D’ACCUEIL
Chapitre I Dans ce chapitre nous proposons une présentation
du :
II - Présentation de COSUMAR
1- Profil :
2- Dates clés :
9 | Rapport de stage 2012/2013
3- Implantations :
4- Chaîne de valeurs :
10 | Rapport de stage 2012/2013
5- Produits et co-produits :
6- Gouvernance :
Le Conseil d’Administration
7- Indicateurs financiers :
12 | Rapport de stage 2012/2013
Chapitre II SUCRE :
SANTE ET NUTRITION
13 | Rapport de stage 2012/2013
C’est le sucre raffiné, sa saveur est douce, il est très soluble dans l’éther, il ne
peut entrer en fermentation alcoolique qu’après inversion en glucose.
Les cristaux de saccharose de haute pureté sont entourés d’un film d’eau mère
de basse pureté, adhérent à ces cristaux et contenant la plupart des impuretés.
Certaines impuretés se trouvent cependant incluses dans le cristal lui-même.
Le sucre ou saccharose
Les cendres
Les sucres réducteurs ou glucose
Le non sucre organique
L’eau
Le Carburant de la Mémoire
Les glucides ont un effet bénéfique sur l’humeur et la mémoire. Des études ont
prouvé qu’un petit déjeuner riche en glucides améliorait les performances de la
mémoire chez l’enfant et l’adolescent.
Le Carburant du Cerveau
Carburant de nos cellules et de notre cerveau qui utilise a lui seul 1/4 de l’apport
quotidien. Le glucose est indispensable à la vie. Source de glucose et donc
d’énergie dans l’activité intellectuelle et physique, le sucre est vecteur
d’équilibre, de goût et de bien-être.
15 | Rapport de stage 2012/2013
ETUDE GENERALE DU
Chapitre III RAFFINAGE DU SUCRE BRUT
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Le raffinage est le procédé qui permet d’obtenir à partir du sucre brut, un sucre
raffiné le plus pur possible et une mélasse contenant le maximum d’impuretés
venant du sucre brut et le minimum de sucre.
Le sucre brut constitue la matière première de la raffinerie, il est stocké dans les
grands magasins "silos" dont la capacité est de 75000 tonnes.
Le sucre brut est transféré vers la station d'affinage grâce à des bandes
transporteuses en passant par un servo-balance pour déterminer le poids à
l'entrée, un aimant pour éliminer les métaux ferreux, et un tamis pour isoler les
grosses impuretés.
2- Empâtage et refonte :
Comme tout produit brut, le sucre contient des impuretés aussi bien internes
qu’externes.
L’empâtage vise quant à lui à éliminer les impuretés externes. Au cours de cette
première étape, le sucre passe tout d’abord dans des empâteurs où il est mélangé
avec de l'eau sucrée saturée.
Le sucre dégagé de sa gangue est dit affiné, mais l’affinage n’a aucune action
sur les impuretés incluses dans le système cristallin. Pour attaquer ces impuretés,
il faut défaire le système cristallin il subira par la suite une fonte.
La refonte est réalisée avec des eaux sucrées à brix 15 ou 16 ou les eaux
condensées. L'eau de refonte ne doit pas être contaminée par des bactéries
susceptibles d'infecter la chaîne de fabrication. L'eau doit être propre et neutre et
ne doit pas apporter des cendres..
La refonte est réalisée dans deux bacs, avec recyclage sur échangeur de
température pour avoir 72 à 76°C.
Cette refonte est mélangée avec la refonte du sucre roux des bas produits pour
constituer la fonte commune. Dont les caractéristiques sont en moyenne de
pureté 99.2 à 99.5, brix 63 à 65 et une coloration de 400 à 800, les fortes
colorations proviennent de la refonte des bas produits.
3- Traitement de la refonte :
Le gaz carbonique extrait des chaudières (un mélange de CO2, l'excédent d'air
de combustion et des fumées acides SO2) est chaud subit un lavage à l'eau pour
enlever les impuretés et pour neutralisation avant aspiration des pompes à gaz.
L'eau de lavage est alcalinisée par l'ajout PO4Na3, le gaz passe à travers un ou
plusieurs laveurs en série avant d'être envoyé aux pompes à gaz pour être refoulé
aux carbonatations.
19 | Rapport de stage 2012/2013
3-2- Filtration :
Elle est pratiquée à une température de 85 à 90°C, par réchauffage du sirop sorti
carbonatation. Le Brix du sirop à filtrer est de l'ordre de 64 à 66%.
3-3 La décoloration :
La commune filtrée bien qu’elle est limpide et d’une pureté de plus de 99, la
cristallisation ne donnerait pas encore de cristaux parfaitement blancs à cause
des matières colorantes n’ayant pas pu être enlevées par la carbonatation ou
retenues par filtration. C’est pourquoi, l’on procède à la décoloration de cette
commune filtrée par son passage à travers des résines anioniques fortement
basiques qui assurent 80% d’adsorption et 20% d’échange ionique. Les colorants
sont principalement des non sucres d’origine organique que l’on peut classer par
groupes :
4- Evaporation :
Après décoloration sur résine, le sirop obtenu appelé raffinade, a une pureté
d’environ 99,1% et un Brix de 60 à 65%. Cette raffinade sera concentrée par
élimination d’une partie de son eau dans un corps évaporateur à double effet
appelé CEFT (Corps évaporateur à flot tombant). La vapeur qui circule à 125°C,
à travers des faisceaux tubulaires, cède sa chaleur latente par conduction à la
raffinade, l’eau est ainsi évaporée et la vapeur condensée. Cette évaporation se
fait sous vide partiel pour abaisser le point d’ébullition de la raffinade et éviter
la caramélisation du sucre. La raffinade concentrée sort de l’évaporateur avec un
Brix compris entre 70 et 75%.
5- La cristallisation :
C’est le dernier et le plus délicat parmi tous les postes de la raffinerie, elle a une
influence profonde sur le sucre et sur le rendement. La cristallisation est une
opération de séparation et de purification. Elle a pour but d’extraire, avec un
rendement aussi élevé que possible le sucre dissous dans le sirop sous forme
cristallisé. Les non-sucre sont concentrés dans une solution épuisée : la mélasse.
La cristallisation s'effetcue dans des cuites fonctionnant sous vide, appelées
cristallisoirs, chaque jet de cristallisation retouve les même étapes : cuisson,
malaxage et turbinage.
5-1 La cuisson :
Alimentation et concentration
Le grainage
Lors de la montée, la cuite est toujours alimentée avec la liqueur jusqu'à atteindre
un niveau de 60% du niveau du cristallisoir tout en évaporant l'eau contenue dans
la solution. Ceci a pour but de maintenir la sursaturation pour faire grossir les
cristaux jusqu'à la taille voulue. En effet, le sucre de l'eau-mère diffuse vers les
cristaux du fait de la sursaturation.
Le serrage
Une masse cuite serrée jusqu’à 90 Brix devient une pâte épaisse circulant de plus
en plus difficilement dans les tubes du faisceau. Il ne faut pas dépasser une
certaine limite, au-delà de laquelle le serrage apporte plus d’inconvénients que
d’avantage : destruction de sucre dans les tubes ou la masse pâteuse de
surchauffe, formation de colorants nuisibles à la qualité du sucre, risque de
formation de poussières gênantes pour le turbinage, coulée de la cuite difficile.
Il faut rincer abondamment, ce qui fait perdre une partie du bénéfice attendu du
serrage.
La coulée
Le malaxage
Turbinage
Pour séparer les cristaux de sucre de l’eau mère visqueuse, on utilise l’action
énergique de la force centrifuge.
Pour être efficace, ce clairçage à l’eau dissout nécessairement une petite couche
de sucre pur des cristaux. L’égout produit a donc une pureté plus élevée que
l’égout extrait pendant la première phase. C’est pour cela qu’on appelle égout
riche par opposition à égout pauvre. Il est donc intéressant de séparer égout
pauvre et égout riche et de les recueillir dans deux bacs distincts.
Pour réduire cette humidité, on fera appel à un tambour sécheur qui grace à un
courant d’air suffisamment chaud transformera le liquide qui entoure le cristal
en vapeur qui sera extraite du sécheur.
C’est l’humidité libre qui disparaîtra au séchage, et l’humidité liée si elle est en
excès diffusera lentement à travers le cristal ce qui peut occasionner lors du
stockage en vrac des sucres blancs des prises en masse ou des formations de
conglomérats qui peuvent compromettre la conservation du sucre.
23 | Rapport de stage 2012/2013
CONCLUSION