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Bernard ANSELMETTI
B D
E
Arbre
(a)
A
Avril 2014
1
PREAMBULE
2
PLAN
Dessin de définition
3
DESSINS DE DEFINITION ET DE CONTROLE
4
EXEMPLE DE COTATION D'UNE PIECE
Les surfaces de mise en position de la pièce sont désignées par le système de
références ABC.
Toutes les dimensions nominales sont définies par le modèle CAO.
Une seule zone de tolérance "générale" positionne toutes les surfaces de la pièce
par rapport aux autres pièces du mécanisme.
Zone de tolérance
1 A B C centrée sur ABC
8,05±0,05
C
E
ø12±0,2
B
Cette cotation est complétée pour certaines surfaces qui imposent une meilleure
précision afin d'assurer les exigences fonctionnelles (montabilité et positions relatives
des jonctions, aspects, performance…). 5
COTATION D'UNE PIECE EN TABLEAU
A ø12±0,2 E
La cotation doit être
C 8,05±0,05 simple, avec peu de vues.
1 A B C
6
PLAN
Dessin de définition
7
BASE DE LA COTATION FONCTIONNELLE
La surface primaire est celle qui supprime le plus de degrés de liberté en rotation.
Exception : une sphère est primaire, si elle bloque les 3 translations.
a
B
D
E A B C est le système de références principal
b
B D E F est un système auxiliaire
9
IDENTIFICATION DES JONCTIONS D'UNE PIECE
10
COTATION DES JONCTIONS
Cotation interne de la jonction
avec b. Jeu M
2x
Cotation interne de la
t D E L FL Øt L D E L F L
jonction avec a
Jeu M
G H
A
Cotation interne de la
t A B C
jonction principale
D
Jeu M
B E
Position de la jonction
avec b par rapport à la Øt L A B L C
C
jonction avec a
Jeu L Øt L A B L C
Position de la jonction
avec a par rapport à la t D E L F L Position de la surface F
jonction principale. fonctionnelle par rapport
Jeu L à la jonction avec b.
Jeu L
11
TOLERANCEMENT GENERAL
Toutes les surfaces de la pièces sont définies par le modèle nominal (CAO).
La tolérance générale localise chaque surface par rapport au système de
références principal.
1 A B C
12
DESIGNATION DES EXIGENCES FONCTIONNELLES
Jeu (dans une liaison avec jeu uniquement)
Distance entre les surfaces d'une liaison lorsqu'elles sont écartées.
=> jeu mini entre les états virtuels au maximum de matière
=> jeu maxi entre les états virtuels au minimum de matière
Distance
Distance maxi ou mini entre 2 surfaces appartenant à 2 pièces différentes
- cas 1 : au pire des cas permis par les jeux.
- cas 2 : en situation rapprochée (si les efforts extérieurs ont tendance à
rapprocher les surfaces sous l'effet des jeux).
- cas 3 : en situation écartée (si les efforts extérieurs ont tendance à écarter
les surfaces sous l'effet des jeux).
- cas 4 : en soumettant certaines pièces à un effort dans une direction donnée13
PLAN
Dessin de définition
14
COTATION DES JONCTIONS
15
HYPOTHESES DE CHAINES DE COTES 3D
Il est possible de définir les références de multiples façons. Cependant, les définitions
doivent permettre le calcul tridimensionnel des chaînes de cotes.
Un système de références est créé sur les surfaces réelles de mise en position de la
pièce, puis le modèle nominal de la pièce est posé sur ce système de références afin de
définir les zones de tolérances dans lesquelles se trouvent les surfaces d'appui des
autres pièces et les surfaces fonctionnelles.
Dans la suite, les hypothèses seront très simples, mais suffisantes pour établir les chaînes
de cotes au pire des cas, voire en statistique.
Les études plus fines imposent de connaître exactement la géométrie des deux pièces en
contact (avec les écarts en tous les points) , ce qui n'est pas l'esprit de la chaîne de cotes
fonctionnelles, car les pièces sont inconnues et interchangeables.
16
LIAISON SURFACIQUE Référence
P
a
17
LIAISON SURFACIQUE
Hypothèse : la référence B de la pièce b reste dans la zone de tolérance de la pièce A
Les éventuels dépassements ou interpénétrations sont jugés très peu probables et
sont généralement négligés (pour en tenir compte, il faudrait ajouter un terme égal à la
somme des tolérances de forme des 2 surfaces en contact).
t1b B
t1b/2
droite d'analyse
écart maxi
F
b
b1
t1a/2
H maxi ?
b
b1
B
t1a A surface
nominale
P B
a1
a
a1
a
zone de tolérance de localisation
A
Influence
Même hypothèse, mais il y a un effet angulaire :
t1b B droite d'analyse
écart maxi
L F
b1
b H maxi ?
t1a/2
b1
L.α
t2a
surface α
B
nominale
t2a A B P
a1
t1a A E
a1
a
α= t2a
E
A
Translation :
Effet de la rotation
PRISE EN COMPTE DU PORTE-A-FAUX
Tolérances
Localisation tL Etendue E Distance L M
Orientation to
B
Ecart e
Surface
nominale
tL to Droite
d’analyse
50
H maxi ?
Hypothèse classique :
Sans jeu : L'axe de référence de l'arbre reste dans la zone de tolérance de l'axe
réel de l'alésage.
Avec jeu : le déplacement est maximum lorsque l'alésage et l'arbre sont dans leur
état virtuel au minimum de matière.
LIAISON SANS JEU
Il n'y a pas de modificateur (les définitions sans modificateur ne s'appliquent qu'aux liaisons
serrées ou auto-centrantes)
cylindre cône rainure
Axe de référence
Zone de tolérance
Dans le modèle de chaîne de cotes, on suppose que l'axe (ou le plan médian) de référence
reste à l'intérieur de la zone de tolérance de l'axe (ou du plan médian) de la surface d'appui.
La liaison est très efficace pour orienter la pièce. Elle est donc généralement primaire. En
secondaire, elle est normalement très courte par rapport à l'étendue de la surface primaire.
Il est difficile d'avoir un modèle de chaîne de cotes plus précis, car les deux pièces se
déforment lors de l'assemblage.
22
MODELISATION DU SERRAGE ENTRE 2 PLANS
Support infiniment rigide Pièce étudiée (compressible)
z
z Mi(xi,yi,zi)
y y Chaque surface élémentaire
Fi en Mi de la pièce subit une
x compression qui génère un
effort Fi dirigé vers l'intérieur
2R
x de la pièce.
Fi
x,y,z représente le repère mesure rouge de la pièce étudiée qui devrait normalement se
confondre avec le repère bleu du support.
Le repère rouge est situé sur le plan médian de la pièce.
z y
z En pratique, sous l'effet des compressions, la pièce va trouver
y son équilibre avec une translation w suivant z et 2 rotations α
x et β autour de x et y.
Dans le repère bleu de la pièce support, on a :
x z'i = zi + w + α.yi – β.xi
EQUILIBRE STATIQUE
Hypothèses : L'effort est nul avant compression (pour z=zi).
Les points du plan médian xy ne sont pas affectés par la déformation (déplacements
supposés nuls)
Aire Si Fi
Mi(xi,yi,zi) Dans le plan supérieur, la compression est z'i - R. L'effort
appliqué est Fi = -k.si.(z'i-R) = k.si.(R-z'i)
Plan médian
non déformé
Fi Dans le plan inférieur, la compression est -z'i - R. L'effort
Aire Si Mi(xi,yi,zi) appliqué est Fi = +k.si.(-z'i-R) = -k.si.(R+z'i)
Exemple : pour R=10, z'i = 10,1, Fi = k.si. (R-z'i) = -k.si. 0,1 (dirigé vers z-)
et pour z'i=-10,1, Fj = -k.si. (R+z'i) = k.sj.0,1 (dirigé vers z+)
La méthode des moindres carrés est très bien adaptée pour des liaisons
parfaitement symétriques en imposant un palpage selon une grille de chaque côté.
Toute variation par rapport à ces consignes génèrent une incertitude de méthode.
RECHERCHE D'UNE SOLUTION EXACTE
Pour deux plans face à face avec des contours différents et/ou des palpages quelconques,
il faut appliquer les relations complètes :
Σ si.(ξi .yi) + w. Σ si.yi + α. Σ si.yi² - β. Σ (si.xi.yi) = 0
Σ si.(ξi .xi) + w. Σ si.xi + α. Σ (si.xi.yi) - β. Σ si.xi² = 0
Σ si.(ξi) + w. Σ si + α. Σ si.yi - β. Σ si.xi = 0
x,y,z représente le repère mesure rouge de la pièce étudiée qui devrait normalement se
confondre avec le repère bleu du support.
z
y
z En pratique, sous l'effet des compressions, la pièce va trouver
y son équilibre avec une translation w suivant z et une rotation
x β autour y.
Dans le repère bleu de la pièce support, on a :
x z'i = zi + w – β.xi
EQUILIBRE STATIQUE L'effort est nul avant compression (pour z=zi).
Aire Si Fi
Dans le plan supérieur, la compression est z'i - R. L'effort
Mi(xi,yi,zi)
appliqué est Fi = -k.si.(z'i-R) = k.si.(R-z'i)
Fi
Aire Si Dans le plan inférieur, la compression est -z'i - R. L'effort
Mi(xi,yi,zi) appliqué est Fi = +k.si.(-z'i-R) = -k.si.(R+z'i)
Exemple : pour R=10, z'i = 10,1, Fi = k.si. (R-z'i) = -k.si. 0,1 (dirigé vers z-)
et pour z'i=-10,1, Fj = -k.si. (R+z'i) = k.sj.0,1 (dirigé vers z+)
x,y,z représente le repère mesure rouge de la pièce étudiée qui devrait normalement se
confondre avec le repère bleu du support.
z z y
En pratique, sous l'effet des compressions, la pièce va trouver
y son équilibre avec deux translations u et v dans le plan xy et
x 2 rotations α et β autour de x et y.
Dans le repère bleu de la pièce support, on a :
x ρ'i = ρi + (u+βzi).cos θi + (v-α.zi ). sin θi
EQUILIBRE STATIQUE L'effort est nul avant compression (pour z=zi).
La compression en Mi est ei = ρi – R.
Par contre, en faisant varier le rayon de ∆R, les équations évoluent ∆R .Σsi.cos θi.
Si la répartition des points est uniforme sur toute la surface, si est constant et Σcos θi=0.
En effet, la recherche d'une solution exacte est sans doute inutile pour de multiples raisons :
- la déformation de la pièce dépend des défauts de la pièce complémentaire, ce qui est
impossible à intégrer car la pièce complémentaire n'est pas connue lors de la métrologie.
- la déformation n'est sans doute pas uniforme en raison des épaisseurs variables des pièces.
- Les algorithmes "exactes" imposent de tenir compte des contours complets de chaque
face, ce qui rend impossible une métrologie simple sans connaître le modèle CAO.
- Les algorithmes "exactes" ne sont pas disponibles aujourd'hui sur machines à mesurer et
risques d'être très difficiles à valider
En pratique, les liaisons par serrage sont rares et principalement assurées par des cylindres
pleins ou des liaisons parallélipédiques simples.
L'hypothèse requise de répartition uniforme des points pour assimiler les relations générales
à la méthode des moindres carrés peuvent être requises dans le préconisations de mesure.
LIAISON SANS JEU : LOCALISATION + ORIENTATION
∅ 0,04 A E =40 L =40
∅ 0,2 A
∅…
tL = 0,2
to = 0,04
50
B ∅ 0,2 B
E =40 L =40
La tolérance de parallélisme limite l’angle
0,2
0,04
A
Ecart maxi = 0.5 × tL + to L/E
LIAISON AVEC JEU
L'alésage et la référence de l'arbre sont au minimum de matière.
Il faut ajouter une orientation car il y a un porte-à-faux et un effet angulaire dans la liaison.
∅20
{0,07} L A
∅19,8
{0,15} L A
50
B ∅ 0,2 B {0,05} L
34
LIAISON AVEC JEU
L'état virtuel au minimum de matière est une surface de même type que la
surface nominale. L'état virtuel doit être dans la matière.
∅ 19,7
∅ 20,3
∅ 0,2 B {0,1} L
Dans le modèle de chaîne de cotes, on suppose que l'état virtuel de la référence reste à
l'intérieur des états virtuels en position et en orientation de la pièce d'appui.
35
LIAISON AVEC JEU : LOCALISATION + ORIENTATION
∅20 ∅19,8
{0,07} L A
{0,15} L A
B ∅ 0,2 B {0,05}
50
∅19,7 e = JVL /2 + L. α
e = 0,3 + 0,011 × 40 = 0,74
A
Ecart maxi = 0.5 × JVL + JVo L/E
SYNTHESE
Les défauts de forme des surfaces de liaison sont bien pris en compte
dans ce modèle (non négligés). La surface (avec ses défauts de
forme) doit respecter l'état virtuel au minimum de matière.
37
PALIER HYDRODYNAMIQUE
Le comportement de ce type de liaison est mixte :
La montabilité est assurée grâce au jeu entre les état virtuel au maxi matière
38
PLAN
Dessin de définition
39
RESUME DE LA METHODE CLIC
40
TABLEAU DE MISE EN POSITION DU CARTER Carter (c)
Vue suivant V
V
jeu
F C
La mise en position est décrite
Embase (e) D A
sous forme d’un tableau dans le
dossier d’analyse fonctionnelle.
E B
Schéma de la jonction
3. Surface de mise A c B c C c
en position
Serrage Serrage
4. Type d’interface contact Pion 3,99±0,01 Pion 3,99±0,01
5. Type d’entité jeu jeu
de liaison Plan Cylindre 2 plans // sym
6. Surface D e E e F e
d’appui
Pièce d’appui Liaison Liaison Liaison
primaire secondaire tertiaire 41
PRINCIPALES ENTITES DE POSITIONNEMENT
Plan
Surface Cône
discontinue
Plans
coplanaires
Surface
continue
Cylindre Cylindres
parallèles Sphère
Cylindres (θ >180°)
coaxiaux Taraudages
parallèles θ
Plans
Filetage Groupe de Plans
parallèles
symétriques parallèles
Taraudage symétriques
42
COTATION TYPE DES ENTITES
Entité primaire Entité secondaire Entité tertiaire
Plan A t A C t A B
t B
t A (2) t A B (2)
2c 2c
Plans coplanaires 2c
t A t A B
t (2)
t A t A B (2)
A
B C
[∅a] M A [∅a] M A B
M
Cylindre
L
(2)
A B C
Cylindres coaxiaux 2c 2c
2c
{t} M {t} M A {t} M A B
{t} M A {t} M A B
A (2) (2)
B C
(1) Pour une liaison serrée. (2) La position remplace l'orientation si la surface est parallèle à la référence. 43
Entité primaire Entité secondaire Entité tertiaire
Surface discontinue 3c 3c
3c
t t A t A B
(1)
A (1) B C (1)
Surface t A t A B
t
continue
A (1) B (1)
C
(1)
Surface 4c 4c 4c
bilatérale {a} M {a} M A {a} M A B
A B C
∅
∅
20°
44
Entité primaire Entité secondaire Entité tertiaire
Plans parallèles
2c 2c
décalés 2c
15
A
15
t t t A B
15
A B C
Plans [a1] M
[a] [a] M A B
(1) [a2] L
M A
parallèles B C
[a] M A [a] M A B
symétriques A
(2) (2)
Groupe de 4x 4x 4x
Plans [a] M [a] M A [a] M A B
parallèles
symétriques A B C
Sphère [S∅a1] M
[S∅a2] L (1) [S∅a] M A [S∅a] M A B
A
B C
[∅a] M A [∅a] M A B
Locating pas de
[∅a] M A [∅a] M A B
locating en
primaire (2) (2)
B 45
C
Entité primaire Entité secondaire Entité tertiaire
Groupe 2x 2x
2x
Cylindres [∅a] M A [∅a] M A B
[∅a] M
B C
A 50 50
50
x
serrés [S∅a1] M
x
2x [S∅a2] L
P
x
2x [S∅a2] L
P
2x [S∅a2] L
P
∅t ∅t P A B
∅t P P A
50 50
50 C
A B
A B C
50 50 50
Groupe Taraudages
avec vis
x
x
x
2x Md 6H-6H 2x Md 6H-6H 2x Md 6H-6H
P
P
P
∅t P
∅t P A ∅t P A B
50 50 50
A
B C
46
Entité primaire Entité secondaire Entité tertiaire
Md x p, 6g - 6g
Filetage Md x p, 6g - 6g ∅t A Md x p, 6g - 6g ∅t A B
∅t A ∅t A B
(2) (2)
A B C
Taraudage Md x pas, 6H - 6H
Md x pas, 6H - 6H ∅t A Md x pas, 6H - 6H ∅t A B
∅t A (2) ∅t A B (2)
A B C
Taraudage
Md x pas, 6H - 6H
Md x pas, 6H - 6H ∅t P A Md x pas, 6H - 6H ∅t P A B
avec vis
∅t P A ∅t P A B
(2) (2)
B C
P x P x P x
A
47
EXEMPLE : JONCTION PLAN / PLAN
Cotation des entités primaires
E A
D
Embase (e)
A
t
A t
48
EXEMPLE : JONCTION PLAN / PLAN
Cotation des entités secondaire
E A
D
Embase (e)
B t A
t A
t A
A t
49
EXEMPLE : JONCTION PLAN / PLAN
Cotation des entités primaires
E A
D
Embase (e)
A
t
t A
D t A t
50
EXEMPLE : JONCTION PLAN / PLAN
Cotation des entités secondaire
E A
D
Embase (e)
B t A
t A
t A
B
E
t D
D t A t
51
REGLE 1 : LIMITATION DES SURFACES
Zone partielle
A1
0,05
trait
mixte
fort
∅30
A1
52
REGLE 2 : ORIENTATION OU POSITION
∅t La spécification de position remplace l'orientation s'il est possible de
A
∅t mettre une cote encadrée entre la surface tolérancée et une référence
A
perpendiculaire parallèle parallèle à B
=> orientation => position
∅t A A t A
t A
? B
?
∅t A A B
A ?
A A A
[∅a1] M A
t A [a2] M A B [Øa1] M
[∅a2] M A B [∅a1] M
B
B C
10
t C
A
B
[∅a1] M A
[∅a2] L
Cote implicite "0"
50
A
53
REGLE 3 : CHOIX DU SYMBOLE
La spécification d’orientation est généralement une perpendicularité.
Pour une autre orientation de la surface, mettre une inclinaison
Orientation :
Position :
54
REGLE 4 : CHOIX DU MODIFICATEUR
S'il y a du jeu, mettre un modificateur M (la montabilité est critique au maxi matière)
Sol 1 : Pour les cylindres ou les plans face à face, dimension de l'état virtuel au M :
6x
6x
∅ 0,04 A A ∅ 0,2 A A B 55
REGLE 5 : P PROJECTION SIMULANT UN ELEMENT SERRE
Mettre un modificateur P avec la longueur projetée au dessus-du cadre , sur tous les
éléments recevant un pion serré ou une vis serrée.
jeu
Zone fonctionnelle
pour la montabilité
12
10
Le diamètre porte
sur le trou réel
10
12
D
P
P
[Ø9,95] M [Ø9,99] L
M8x1,25 6H-6H
∅ 0,04 P D ∅ 0,2 P D E P
E 50
E P désigne la référence
La perpendicularité E représente la surface créée sur la zone projetée
porte sur la projection réelle du trou de E
de l'axe
56
REGLE 6 : CRITERE D'ASSOCIATION D'UNE REFERENCE
Critère par défaut
- pour un plan ou une surface "tendue" (si toute les normales sont comprises
dans un cône d'angle 30°) : minimax extérieur matière (Chebychev tangent)
- pour une liaison avec du jeu, il faut mettre un modificateur M .
- pour une liaison avec serrage ou auto-centrante : Moindres carrés
57
REGLE 7 : DISTANCE VARIABLE DANS UN SYSTEME DE REFERENCE
Par défaut, les références d'un système de références sont en position relative
parfaite.
0,2 A 0,1 A B
Calle B
47
10
R25
L'orientation est
assurée par la vis, 0,05
indépendamment de
la position du plan
A
58
CAS DES PIECES MINCES
A A
t A
e e±t/2
La cotation en localisation est basée sur une pièce indéformable, avec un plan de
contact modélisé par le critère minimax.
Dessin de définition
60
COTATION ENTRE JONCTIONS
Jonction avec Pièce b
la pièce b (G H)
jeu Jonction avec
D la pièce a (D E F)
G H
A
Jonction
Pièce a
Principale
(A B C)
jeu B jeu
E
C
F jeu
61
MAILLON ENTRE JONCTIONS AUXILLIAIRES
Si les écarts des 2 jonctions induisent la même défaillance, créer une
localisation entre les 2 jonctions.
Pièce b
Interférence
Écart engendrant
pignons/roue.
la même collision. Collision
Jonction
Principale
(A B C)
Pièce a
Vérification :
Découpage
=> création d'une
de la pièce
localisation
62
POSITION RELATIVE DES JONCTIONS
Mettre un minimum de matière pour toutes les liaisons avec du jeu.
2x
t D E L FL Øt L D E L F L
G H
A
Position de la jonction t A B C
avec b par rapport à la
jonction avec a D
B E
C Øt L A B L C
6x
Øt L A B L C
Position de la jonction
avec a par rapport à la t D E L F L Position de la surface
F
jonction principale. fonctionnelle par rapport
à la jonction avec b.
63
COTATION DES ASSEMBLAGES VISSES
Ajouter les 2 localisations des trous et des trous taraudés pour toutes les
fixations par vis.
Diamètre maxi vis +
Condition de passage de la vis localisation du taraudage
6x
Dvis [Ø8,2] M A B [Ø40] M
Distance
mini Systèmes de
Centreur
10
références de
plaque avec jeu
la jonction
mini nul
carter (c) 6x M8x1,25
∅ 0,2 P D E [Ø40] M
P 10
Tampon de contrôle
12 mini
ø8
1 A B C
65
COTATION COMPLEMENTAIRE
B
0,2 A B
0,5±0,15 0,5±0,15
2c
A [∅18] M [∅ 17,9] L
0,05 A
[∅18,1] M A B C
66
PLAN
Dessin de définition
67
ECHELLE DES DEFAUTS DE SURFACES
L'ondulation et la rugosité
Rugosité
sont des défauts périodiques
plus fins traités dans les
Ondulation normes ISO 1302 : 2002
Orientation de la surface par rapport à A
0,02/Ø2 A B dans toutes les zones de diamètre 2 mm
0,2 Forme de la surface
0,1 // A Forme de la ligne dans les plans // à A
Ligne 0,4 A
Position par rapport à A
Zone Ø2
mobile
68