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Communications orales / La Revue de médecine interne 30 (2009) S36–S76 S47

CO031 s’associent à des manifestations auto-immunes, la plus fréquente étant la der-


Phénotype clinicobiologique du syndrome des matomyosite [1–3]. Nous rapportons 3 observations de MIAM associées à des
antisynthétases anti-PL7 positif : à propos de 8 cas manifestations auto-immunes cliniques et biologiques diverses.
B. Hervier a , E. Hachulla b , O. Benveniste c , B. Wallaert d , L. Musset e , Patients et méthodes.– Le diagnostic de MIAM était posé sur l’analyse histo-
F. Puisieux f , P. Arlet g , Z. Amoura h , S. Dubuquoi i , M. Hamidou j logique et immunohistochimique (anticorps anti-CD68, anti-CD4, anti-CD20,
a Service de médecine interne, CHU de Nantes, Nantes, France anti-CMH1 et anti-C5b9) des pièces de biopsies musculaires et des fascias
b Service de médecine interne, hôpital Claude-Huriez, Lille, France adjacents.
c Service de médecine interne du Pr-Herson, hôpital de la Salpétrière, Paris, Cas Clinique.– Un patient de 68 ans est adressé pour l’exploration d’un œdème
France scléreux des 4 membres, évoluant depuis 9 mois. On note dans ses antécédents
d Service de pneumologie, CHRU de Lille, Lille, France une leucémie lymphoïde chronique traitée par 3 lignes de chimiothérapie, en
e Service de laboratoire d’immunologie, CHU Pitié-Sapétrière, Paris, France rémission, une sarcoïdose et une thyroïdite de Hashimoto. Le patient se plaint
f Gérontologie clinique, CHRU de Lille, Lille, France de crampes et de myalgies et l’examen retrouve des signes cutanés évoca-
g Service de médecine interne, hôpital de la Grave, Toulouse, France teurs de dermatomyosite. Une patiente âgée de 68 ans est hospitalisée en 2006
h Service de médecine interne, groupe hospitalier Pitié-Salpétrière, Paris, devant la survenue d’un syndrome œdémateux généralisé avec myalgies. La
France biologie retrouve une hyperéosinophilie à 13 % et une hypoalbuminémie. Le
i Service de laboratoire immunologie, CHRU de Lille, Lille, France bilan auto-immun retrouve un anticoagulant circulant. Une fasciite à éosino-
j Service de médecine interne A, Hôtel Dieu, Nantes, France philes est suspectée. Une patiente âgée de 41 ans consulte en 2002 pour des
myalgies associées à des dysesthésies des extrémités avec une sensation de
Introduction.– Le syndrome des antisynthétases (SAS) associe myosite auto- « double peau ». Elle a pour antécédent une maladie de Basedow traitée par thy-
immune, pneumopathie interstitielle diffuse et auto-anticorps anti-ARNt roïdectomie en 1993. Les ACAN sont positifs à 1/1200 d’aspect moucheté.
synthétases. Plusieurs spécificités d’anticorps ont été décrites, dont les anti-JO1, L’IRM cérébrale retrouve des hypersignaux de la substance blanche. Dans
les plus fréquents. Les anti-PL7 sont quant à eux plus rares et les particularités l’hypothèse d’une sclérose en plaques, une ponction lombaire est réalisée et
cliniques et biologiques de ce SAS sont moins connues. s’avère normale. Pour chacun des patients, la biopsie musculaire pratiquée
Patients et méthodes.– Nous avons pu colliger de façon multicentrique devant l’incertitude diagnostique a révélé des infiltrats macrophagiques carac-
8 observations : 2 hommes et 6 femmes, d’âge moyen 55,6 ans au diagnostic. téristiques de MIAM. Les lésions étaient diffuses et persistantes sur 2 biopsies à
Résultats.– Dans 7 cas, il existait une pneumopathie infiltrante diffuse (de type distance chez 2 des patients, malgré le traitement. Nos 3 patients n’avaient pas
PINS dans 6 cas), de sévérité variable (dyspnée NYHA I à III). Dans 5 cas il exis- de déficit musculaire et les taux de CPK étaient normaux. Les traitements, res-
tait une atteinte musculaire, de type polymyosite lorsque la biopsie musculaire pectivement par immunoglobulines intraveineuses et corticothérapie ont permis
était réalisée (4 cas). Une altération de l’état général avec fièvre survenait 3 fois. une amélioration clinique.
Les autres signes du SAS (Raynaud : 1 cas, Polyarthrite ou arthralgies inflam- Discussion.– Nous rapportons 3 observations de patients au terrain auto-immun
matoires : 3 cas et Hyperkératose fissuraire des doigts : 2 cas) étaient plus rares. chez lesquels la biopsie musculaire était compatible avec le diagnostic de MIAM.
L’immunofluorescence indirecte sur cellules Hep2 était souvent faiblement posi- L’hétérogénéité des tableaux cliniques et la persistance des lésions dans le temps
tive, avec une fluorescence cytoplasmique typique décrite dans 5 cas. D’autres en font une entité anatomopathologique dont l’interprétation par le clinicien reste
spécificités d’anticorps pouvaient être retrouvées : SSA-60 (1 cas), SSA-52 délicate.
(3 cas), Scl70 (1 cas) : sans signe de Gougerot-Sjögren ou Sclérodermie sys- Conclusion.– Les MIAM sont un type de myopathie inflammatoire idiopathique
témique. Une fois l’échocardiographie mettait en évidence une HTAP modérée. associé à des manifestations auto-immunes, probablement sous-diagnostiqué. La
Le suivi moyen des patients était de 35 mois. Six patients étaient traités par meilleure caractérisation des MIAM sur le plan histologique devrait permettre
corticoïdes, associés dans 5 cas, à 1 voire 2 immuno-modulateurs. Au terme du de mieux comprendre la signification de ces lésions et l’attitude clinique qui en
suivi on pouvait considérer qu’il y avait une stabilité clinique dans 6 cas et une découle.
aggravation dans 2 cas (dont un décès). Références
Discussion.– Ces observations confirment que les atteintes pulmonaires et mus- [1] Bassez G, et al. J Neuropathol Exp Neurol 2003;62:464–74.
culaires sont prédominantes au cours du SAS-PL7. Dans les observations [2] Verity MA. Best Pract Res Clin Rheumatol 2007;21:1051–70.
rapportées jusqu’alors, l’atteinte musculaire au cours du SAS-PL7 semblait [3] Carrera E, et al. Neuromuscul Disord 2006;16:468–71.
être modérée. La présente série montre pourtant que l’atteinte musculaire, bien doi:10.1016/j.revmed.2009.03.057
qu’inconstante, n’est pas toujours sensible aux différents traitements immu-
nomodulateurs. D’autre part, en dehors d’un cas où la recherche d’anticorps
anti-Scl70 était positive, il n’y a aucun argument, comme cela a pu être rapporté CO033
au cours d’autres séries de SAS-PL7 positifs ou au cours d’autres SAS, pour un Facteurs prédictifs d’une néoplasie sous-jacente chez les
syndrome de chevauchement avec la sclérodermie systémique. patients souffrant de dermatomyosite : à propos d’une
Conclusion.– Le SAS avec anti-PL7 semble présenter peu de particularités cli- cohorte rétrospective de 121 patients
niques par rapport au SAS avec anti-JO1. Il est cependant nécessaire de mettre en L. Fardet a , M. Gain a , A. Kettaneh a , P. Cherin b , P. Morel c , M. Rybojad c ,
place un suivi prolongé pour évaluer plus précisément le pronostic, notamment J. Cabane a
pulmonaire, de ce SAS. a Service de medecine interne, hôpital Saint-Antoine, Paris, France
b Service de medecine interne, groupe hospitalier Pitié-Salpétrière, Paris,
doi:10.1016/j.revmed.2009.03.056
France
c Service de dermatologie, hôpital Saint-Louis, Paris, France
CO032
Les myopathies inflammatoires avec abondance de Introduction.– Par rapport à la population générale, le risque de néoplasie est 3
macrophages (MIAM), maladie ou syndrome ? à 6 fois plus élevé chez les patients souffrant de dermatomyosite (DM). Dans ce
A. Benyamine a , E. Masson a , C. Fernandez b , N. Ené a , A.M. Grapperon a , contexte, il serait intéressant de connaître des facteurs cliniques ou biologiques
J. Serratrice a , B. Coulibaly b , D. Figarella b , P.J. Weiller a prédictifs d’une néoplasie sous-jacente chez ces patients.
a Service de médecine interne du Pr Weiller, CHU de la Timone, Marseille, Patients et méthodes.– Nous avons conduit une étude rétrospective dans un ser-
France vice de dermatologie et un service de médecine interne. Les dossiers médicaux
b Service d’anatomie pathologique, CHU de la Timone, Marseille, France de tous les patients souffrant de DM et vus dans ces 2 services sur une période
de 13 ans ont été analysés. Le diagnostic de DM paranéoplasique a été retenu
Introduction.– Les myopathies inflammatoires avec abondance de macrophages chez les patients souffrant de DM et chez qui une néoplasie avait été diagnosti-
(MIAM) sont une entité récemment et peu décrite dans la littérature, distincte quée durant l’année ayant précédée le diagnostic de DM ou durant les 5 années
de la myofasciite à macrophages [1]. Dans un certain nombre de cas, elles ayant suivies ce diagnostic. Une association entre des données démographiques
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(âge, sexe) cliniques (durée d’évolution des symptômes cutanéomusculaires au 36 (r = 0,12 ; p = 0,60), le HAQ (r = −0,03 ; p = 0,91), le MACTAR (r = 0,12 ;
moment du diagnostic de DM, type d’atteinte cutanée, atteinte pulmonaire) et p = 0,66), ou l’Eva préjudice esthétique (r = 0,33 ; p = 0,15). Le score SF-36
biologiques (taux de lymphocytes/leucocytes, de CRP, d’enzymes musculaires, était inversement corrélé avec le HAQ (r = −0,64 ; p = 0,001), mais pas avec le
de FAN, de complément) relevées au moment du diagnostic de DM et le risque MACTAR (r = −0,46 ; p = 0,05), ni avec l’Eva préjudice esthétique (r = −0,34 ;
de néoplasie était recherchée grâce à un modèle de Cox. p = 0,12). Le MACTAR était faiblement corrélé au HAQ (r = 0,48 ; p = 0,046).
Résultats.– Durant la période d’intérêt, 121 patients ont remplis les critères Il existait une association significative entre l’activité de la maladie et le score
d’inclusion (âge moyen : 51,6 ± 14,9 ans, femmes : 69,5 %, durée moyenne de SF-36 (p = 0,03), le HAQ (p = 0,03), mais pas avec l’Eva esthétique (p = 0,24),
suivi : 42 ± 33 mois). Le diagnostic de DM paranéoplasique a été retenu chez ni avec le MACTAR (p = 0,71).
29 de ces patients (24 %). Les néoplasies fréquemment mise en évidence étaient Conclusion.– Notre étude-pilote montre pour la première fois que la qualité
ovariennes (n = 7), ORL (n = 6), pulmonaires (n = 5) ou mammaires (n = 5).En de vie est sévèrement altérée au cours de la PCA. Le handicap fonctionnel est
analyse multivariée, un âge > 50 ans (RR : 7,65 [2,47–23,74]), un début brutal modéré, mais le préjudice esthétique et le retentissement de la maladie sur les
de la symptomatologie cutanéomusculaire (RR : 3,41 [1,14–10,18]), la présence activités de la vie quotidienne sont importants.
de lésions nécrotiques cutanées (RR : 4,13 [1,22–13,95]) et/ou d’un érythème doi:10.1016/j.revmed.2009.03.059
péri-ungueal (RR : 2,83 [1,05–7,68]) ainsi qu’un taux bas de la fraction C4 du
complément (RR : 3,08 [1,27–7,46]) étaient significativement associés au risque
de néoplasie sous-jacente chez les patients souffrant de DM. CO035
Conclusion.– Si l’âge élevé au moment du diagnostic de DM et la présence de
Corrélation entre l’atteinte neurologique périphérique et
lésions de nécrose cutanée ont déjà été associés au risque de néoplasie sous
jacente chez les patients souffrant de DM (1-3), le grand nombre de patients les marqueurs sériques d’activation lymphocytaire B
inclus dans cette étude nous a également permis de mettre en évidence une rela- chronique au cours du syndrome de Sjögren
tion entre taux bas de C4 et néoplasie. Nous émettons ainsi l’hypothèse que D. Sène a , M. Jallouli a , D. Saadoun a , M.C. Diemert b , Z. Amoura a ,
la nécrose cutanée et l’effondrement du taux de C4 reflètent une vascularite L. Musset b , J. Haroche a , J.C. Piette a , P. Cacoub a
a Service de medecine interne, groupe hospitalier Pitié-Salpétrière, Paris,
sous jacente. Dans ce contexte, des études anatomopathologiques comparant
l’importance de la vascularite cutanée et/ou musculaire entre les patients souf- France
b Service d’immunochimie, groupe hospitalier Pitié-Salpétrière, Paris, France
frant de DM classique et les patients souffrant de DM paranéoplasique pourraient
permettre de préciser les mécanismes physiopathologiques de ces 2 formes de
Objectif.– Déterminer la corrélation entre le type de neuropathie périphérique
myosites inflammatoires.
et le profil immunologique sérique à partir d’une cohorte monocentrique de
Pour en savoir plus
120 patients ayant un syndrome de Sjögren (SS) défini.
Ponyi A et al. Cancer-associated myositis: clinical features and prognostic signs.
Patients et méthodes.– Cent vingt patients ayant un SS défini ont été inclus
Ann N Y Acad Sci 2005;1051:64–71.
(107 SS primaires). Les données cliniques et immunologiques ont été analysées
Basset-Seguin N et al. Prognostic factors and predictive signs of malignancy in
selon la présence ou non d’une neuropathie périphérique et selon la présence
adult dermatomyositis. A study of 32 cases. Arch Dermatol. 1990;126:633–7.
de marqueurs immunologiques sériques d’activation lymphocytaire B chro-
Sparsa A et al. Routine vs extensive malignancy search for adult dermatomyositis
nique (l’hypergammaglobulinémie [HyperGG], le facteur rhumatoïde [FR], la
and polymyositis: a study of 40 patients. Arch Dermatol. 2002;138:885–90.
gammapathie monoclonale et les auto-anticorps [FAN, anti-SSA]).
doi:10.1016/j.revmed.2009.03.058 Résultats.– (1) Caractéristiques de la population étudiée : 106 femmes (88 %),
âge au diagnostic 48,8 ± 14,9 ans ; xérostomie 84 %, xérophtalmie 92 %, BGSA
CO034 III/IV 75,5 %, anti-SSA/SSB+ 70 %, FR+ 57 %, cryoglobuline 14 %, gamma-
pathie monoclonale 15 % ; HyperGG 58 %. Une neuropathie périphérique était
La qualité de vie est fortement altérée au cours de la
présente chez 24 patients (20 %) dont 18 neuropathies sensitives pures (NSP)
polychondrite chronique atrophiante : résultats d’une (75 %) et 6 neuropathies sensitivomotrices (NSM) (25 %). (2) Les patients ayant
étude-pilote portant sur 23 patients une NSP (n = 18), comparés à ceux sans neuropathie périphérique (n = 96),
L. Arnaud , J. Haroche , N. Costedoat-Chalumeau , Z. Amoura , J.-C. Piette étaient caractérisés par un âge plus avancé (54 ± 14 vs 47 ± 15 ans ; p = 0,07),
Service de médecineinterne, hôpital de la Pitié, Paris, France une xérostomie (100 % vs 80 % ; p = 0,04) et une atteinte cérébrale (17 % vs
3 % ; p = 0,049) plus fréquentes, un taux de gammaglobulines plus bas (11 ± 3
Introduction.– La polychondrite chronique atrophiante (PCA) est une connec- vs 17 ± 8 g/L ; p = 0,0002) et une fréquence moindre d’hyperGG (22 % vs 68 % ;
tivite rare, susceptible d’altérer la qualité de vie (QDV) des patients en raison p = 0,00045), de FR (33 % vs 62 % ; p = 0,03), de FAN (50 vs 92 % ; p < 10−3 )
du préjudice physique et psychique qu’elle peut entrainer. L’objectif de cette
et d’anti-SSA/SSB (50 % vs 74 % ; p = 0,05). En analyse multivariée, la NSP
étude-pilote était de décrire la qualité de vie au cours de la PCA et d’étudier ses
restait significativement associée à l’absence d’hyperGG (OR = 4,7 ; p = 0,04)
déterminants.
et à l’absence de FAN (OR = 32 ; p = 0,0045). (3) Les patients ayant une NSM
Patients et méthodes.– Nous avons réalisé une étude de transversale de QDV chez
(n = 6), comparés aux patients sans neuropathie périphérique, étaient caractérisés
23 patients consécutifs atteints de PCA suivis dans notre centre, ou membres de
par une présence plus fréquente de cryoglobuline (67 % vs 12,5 % ; p = 0,005),
l’association francophone contre la PCA (AFPCA). La QDV et ses déterminants
de gammapathie monoclonale (67 % vs 13,5 % ; p = 0,007) et de LNH B (67 %
ont été étudiés par les scores SF-36 (QDV), HAQ (handicap fonctionnel), MAC-
vs 4 % ; p = 0,0002), et à une fréquence moindre d’hyperGG (17 % vs 67 % ;
TAR modifié (gêne dans les activités de la vie quotidienne), et par une échelle
p = 0,02). En analyse multivariée, la NSM restait associée à la présence d’un
visuelle analogique (Eva) mesurant le préjudice esthétique lié à la maladie. Les
LNH B (OR = 23 ; p = 0,04). 4) Les NSM, comparées aux NSP, étaient plus sou-
patients autoévaluaient l’activité de la PCA par une échelle semi-quantitative à
vent associées à une cryoglobuline (67 % vs 6 % ; p = 0,006), une gammapathie
4 points. L’analyse statistique a été réalisée à l’aide du coefficient de corrélation
monoclonale (67 % vs 6 % ; p = 0,006), un LNH B (67 % vs 11 % ; P = 0,02) et
de Spearman, et du test de Kruskal-Wallis.
à des taux plus élevés d’IgM (1,6 ± 0,7 vs 0,98 ± 0,49 g/L ; p = 0,05).
Résultats.– Les scores de QDV ont été étudiés chez 23 patients (19 femmes,
Conclusion.– Les neuropathies périphériques associées au SS sont caractérisées
3 hommes, âge médian : 50,7 ans, extrêmes : 20,0–74,7 ans). L’activité globale
par des profils immunologiques distincts : (1) les neuropathies sensitives pures
de la PCA était décrite par les patients comme : nulle (4,3 %), faible (21,7 %),
sont l’apanage des patients n’ayant pas de marqueurs immunologiques sériques
modérée (52,1 %), forte/en poussée (21,7 %). La valeur médiane du score SF-36,
d’activation lymphocytaire B (FAN, anti-SSA, FR, hyperGG) ; (2) les neuropa-
de sa composante physique et de sa composante psychique étaient respecti-
thies sensitivomotrices sont associées des signes francs de lymphoprolifération
vement de 34,1 (4,4–75,0) ; 24,4 (1,4–73,2) et de 33,4 (2,0–71,2). La valeur
B (cryoglobuline et gammapathie monoclonale) et doivent faire rechercher un
médiane des scores HAQ, MACTAR (n = 18), et de l’Eva préjudice esthétique
lymphome B sous-jacent.
(n = 22) était respectivement de 0,75 (0–2,50) ; 22/30 (10–28/30) et de 6 (0–10).
Il n’existait pas de corrélation entre la durée d’évolution de la PCA et le SF- doi:10.1016/j.revmed.2009.03.060

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