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I. PRÉSENTATION
La formation dispensée en TP se donne pour but un bon niveau expérimental qui valide
et enrichit le niveau de connaissances théoriques du cours, au travers d'un savoir faire
développant l’initiative et la rigueur et tendant vers l’autonomie.
Les TP, sont une occasion où une initiative plus grande est laissée aux étudiants avec, par
exemple, la rédaction d’un compte rendu lors de la séance. . Il s’agit de TP tournants réalisés en
binômes
II. OBJECTIFS
Permettre à l’élève de bien assimiler les acquis théoriques, et de faire naître chez lui la
curiosité et l’initiative.
Exécuter un protocole expérimental.
L’ensemble des travaux pratiques tournent autour des notions déjà vues en cours telles
que :
- lois de l’optique géométrique : propagation de la lumière ; réflexion et réfraction.
- Mesure des indices, des longueurs d’onde, on relève des spectres, on vérifie les lois du
prisme.
→ Les tableaux complets des résultats de mesure, qui doivent contenir toutes les
valeurs mesurées, les moyennes éventuelles et les incertitudes correspondantes ;
→ Les résultats de l'expérience: il s'agit des résultats numériques avec leur précision,
ce qui nécessite un calcul d'erreur et un calcul d'incertitude ;
→ Une conclusion
2
CALCUL D’INCERTITUDE
Il est attendu en TP que vous sachiez faire un calcul d'incertitude complet (incertitude de
mesure due à l'appareil, erreur de lecture sur une règle, erreur de digit sur un appareil
numérique, erreur systématique, incertitude de réglage, …). Toute grandeur mesurée doit être
comparée à une grandeur attendue (théorique ou tabulée) aux incertitudes de mesure près.
G G G G G
G dx dy dz du dv
x y z u v
On effectue une majoration (on se place dans le cas le plus défavorable) en prenant la valeur
absolue de chaque terme :
G G G G G
G x y z u v
x y z u v
3) Théorèmes élémentaires :
- Somme ou différence G = u + v ou G = u – v :
3
Généralisation : de la même manière, on montre que : Si G = A.u + B.v (A et B sont des
constantes sans incertitude), alors :
G = Au +Bv
G u v
B C
G u v
Remarque : Quand on somme les incertitudes, on se place dans le cas le plus défavorable : on
tient compte du cas (possible mais très peu probable), où toutes les erreurs sont maximales et
vont dans le même sens, donc s’ajoutent. Ceci conduit à une surestimation de l’incertitude.
Ici , la fonction G fait intervenir à la fois des sommes et des produits. Donc on ne peut utiliser
les théorèmes élémentaires vus ci-dessus, il faut différencier :
étape 1 : on différencie la fonction G :
étape 2 : on regroupe les termes (en oubliant cette étape, on peut éventuellement omettre de
faire se compenser certains termes et surestimer l'incertitude) :
étape 3 : pour obtenir l'incertitude absolue, on prend la valeur absolue des différents termes :
x u G
- Exemple 2 : G( x, y, u ) , Calculer
y u G
Dm A
sin( )
Exemple 3 :pour une longueur d’onde donnée, l’indice n est donnée par n 2
A
sin
2
n
Calculer connaissant ∆Dm, et ∆A
n
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INCERTITUDE SUR LA PENTE D’UNE APPLICATION AFFINE
Les incertitudes absolues ("de lecture" et/ou calculées) doivent être en principe
représentées sur les graphiques demandés. Pour cela, on construit, autour de chaque valeur
la plus probable de y, un rectangle d'incertitude, de côtés 2.δx, 2.δy.
La courbe (ou la droite) la plus probable doit passer dans tous les rectangles
d'incertitude (fig.1).
Fig.1
Il en est de même de la courbe théorique, sauf dans des cas spéciaux que nous
n'aborderons pas ici.
Fréquemment, une grandeur physique est déterminée à l'aide de la pente d'une
application affine.
La question est : comment déterminer la "meilleure" application affine passant par une
série de mesures ?
Ayant des mesures ( x1;y1 ) ; ( x2;y2 ) ; ... ; ( xn;yn ) avec forcément des inexactitudes et
sachant par la théorie qu'elles définissent une droite, quelle est la "meilleure" droite
"passant" par ces points ?
Sur le graphique ci-contre, n = 7.
Clairement la droite 1 est trop inclinée.
Clairement la droite 2 est trop basse.
Mais la droite 3 est-elle la "meilleure" ?
a= ,
b= –a
5
où et
Exemple avec n = 5
xk yk
0,50 0,67
2,01 2,58
2,97 3,85
5,04 6,41
8,94 11,81
=5,064
où
a=
b= –a =
Fig.4
y = 1, 31.x - 0,06
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TP N°1 : Goniomètre à prisme
I. Etude Théorique du prisme
1. Le prisme
Le prisme est un milieu transparent d’indice n, délimité par deux dioptres plans non
parallèles.
La section principale est triangulaire
Les formules du prisme sont : · sin (i) = n.sin (t ) ( le prisme est placé dans l’air )
· sin (i ') = n.sin (t ')
· A = t + t’
· D = i + i’ - A
Pour i et t, l’orientation est trigonométrique, pour t’, i’ et D l’orientation est horaire
A est positif
Dans la situation du schéma, tous les angles sont positives (cas le plus courant)
2. Conditions d’émergence
Sur la face d’entrée, il existe toujours un rayon réfracté, mais sur la face de sortie, il y a
possibilité de réflexion totale.
Remarque : il y a symétrie des résultats entre i et i’, cette symétrie est due au principe du
retour inverse de la lumière (Les deux milieux extrêmes étant identiques).
7
3. Variation de D avec l’indice n
Pour i et A fixé, si n augmente t diminue donc t’augmente d’où i’ augmente. Il y a donc
augmentation de la déviation avec l’indice n.
L’indice dépend de la longueur d’onde si le milieu est dispersif. n est une fonction
décroissante de 0. (Loi de Cauchy)
Rouge
Jaune
Vert
Violet Bleu
4. Variation de D avec i
L’étude détaillée de la fonction D(i) est hors programme, mais sera quand même traitée.
Recherchons pour A et n fixés, le ou les extremums de la fonction D(i).
D = i1 + i'1 –A = i'1 + i1 – A
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Au minimum de déviation (unique ) i1 = i'1 donc t =t '= A/2
Au minimum de déviation, la bissectrice de A joue le rôle d'axe de symétrie.
5. Variation de D avec A
En étudiant la fonction D(A) pour i et n fixé on montre que la déviation est une fonction
croissante de A
6. Le spectro-goniomètre
Un spectro-goniomètre sert à la détermination des caractéristiques de prismes en verre :
Détermination de l'indice de réfraction, angle du prisme, mesure angulaire du minimum de
déviation et à l'étude de spectres (objet du présent TP).
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3. Description du goniomètre à prisme
Le goniomètre est un appareil de mesure d’angle de déviation. Le modèle à prisme utilise un
prisme pour dévier la lumière (il existe aussi des goniomètres à réseau, non étudiés cette
année).
La figure ci- dessus montre les différents éléments constituant le goniomètre à prisme :
– Le collimateur permet de produire un faisceau de lumière parallèle à partir du
rayonnement émis par la lampe spectrale.
– La plate-forme mobile est posée sur un disque fixe D gradué. L’horizontalité de ce disque a
été réglée à l’avance, vous n’avez pas à vous en occuper. Les graduations sont au demi degré,
de 0° à 360°, plus un vernier au 1/60e de degré. Vous avez donc une précision de 2 minutes
d’arc (rappel : 10 = 1/60).
– Un prisme de verre d’indice n et d’angle A de bonne fabrication (pour la précision).
– La lunette de visée à l’infini est mobile pour pouvoir recevoir le faisceau lumineux dévié
par le prisme.
Le goniomètre est un instrument assez fragile qu'il convient d'utiliser avec soin :
• Les surfaces optiques ne doivent pas être touchées (surtout pas avec un crayon !) ; ne pas essayer d'essuyer
sans précaution une trace.
• Le prisme utilise est en verre fragile et coûteux : ne plus le toucher une fois posé sur la plate-forme
tournante ; faire très attention, lorsqu'on manipule dans la pénombre et que l'on tâtonne pour accéder à une
vis de réglage, à ne pas le faire tomber.
• Les axes mécaniques peuvent être bloqués en position par des vis (vis du collimateur ou de la lunette afocale
sous le plateau gradué, vis du support du prisme) : il ne faut alors jamais forcer la rotation à la main (usure
des paliers, jeu prématuré causes d'imprécisions) et desserrer les vis avant de déplacer les instruments.
• La lampe spectrale utilise une ampoule à vapeur de mercure ou sodium coûteuse et fragile. Ces lampes sont
longues à se mettre en température (10 min) et ne doivent pas être rallumées juste après avoir été éteintes.
→ Ne pas l'éteindre pendant la manipulation et la laisser allumer pour le groupe suivant.
Pour régler la lunette, réglez d’abord l’oculaire (principe du réticule). ( le prisme enlevé du
disque) et visez un objet lointain (à l’infini). Vérifiez la qualité du réglage en avançant et
reculant la tête, ce qui ne doit rien changer à l’image.
La lunette afocale permet de voir nets des objets à l’infini
La lunette
3. Réglage du collimateur
Le collimateur sert à fabriquer un objet à l’infini, il est donc constitué d’un objet (fente) et
d’une lentille convergente. Où doit être placé l’objet par rapport à la lentille ?
Éclairez le collimateur directement avec une lampe spectrale ou même la lumière extérieure.
Pointez-le avec la lunette de visée (prisme enlevé !). Ajustez le réglage du collimateur jusqu’à
ce que l’image par la lunette soit nette.
Déplacer la lampe pour bien éclairer le collimateur ensuite diriger la lunette vers le
collimateur (par rotation). Ouvrir la fente du collimateur de ½ mm environ et l’éclairer par la
source S utilisée. Déplacer par tirage le tube porte-fente de manière à observer dans la
lunette une image très nette de la fente, en particulier sur les bords. Refermer ensuite presque
complètement la fente, l’oeil restant derrière l’oculaire. Amener l’image à être confondue
avec le trait vertical du réticule et s’assurer de l’absence de parallaxe. La supprimer s’il en a,
en retouchant légèrement la tirage du tube porte-fente.
Repérer sur le vernier l'angle lorsque l'image de la fente est confondue avec le trait vertical du réticule.
Fente
Source
Le collimateur
ECHELLE FIXE
VRNIER =ECHELLE
MOBILE
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6. Pour s’entraîner
11°24’ 7°24’
17°9’ 17°27’
5°12’ 9°18’
7. lampe spectrale
Objectif
Par la mesure de l’angle de déviation pour plusieurs longueurs d’onde (donc pour chaque
raie) du mercure, vous allez pouvoir déterminer la courbe D = D(i).
Eventuellement, on déterminera la la déviation minimale pour chaque raie de spectre.
Connaissant l’angle au sommet du prisme on peut déterminer l’indice du verre n() suivant la
formule déjà établie :
Dm( ) A
sin( )
n ( ) 2
A
sin( )
2
On pourra aussi vérifier que n() suit bien la loi empirique de Cauchy :
B
n ( ) A
²
III. Manipulations
Si ce n’est pas déjà fait, mettez en place la lampe à vapeur de mercure (Hg)et attendez qu’elle
soit chaude. Réduisez la largeur de la fente du collimateur.
1. Mesure de l'angle A du prisme
Par auto collimation sur les deux faces du prisme.
Faites tourner le plateau de manière à ce que le sommet du prisme pointe vers le
collimateur. Alors, la lumière issue du collimateur se divise en deux rayons réfléchis
Attention à ne pas vous tromper de sommet !
Réglages préliminaires.
* Régler très soigneusement le goniomètre selon la méthode décrite par votre professeur.
* Déterminer avec précision la valeur de l'angle A du prisme qui va être utilisé dans la suite
(l'angle correspondant à l'arrête du prisme).
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Faites tourner le plateau de manière à ce que le sommet du prisme pointe vers le
collimateur. Alors, la lumière issue du collimateur se divise en deux rayons réfléchis
Attention à ne pas vous tromper de sommet !
La visée des deux images réfléchies conduit à deux angles α 1 et α2. Montrez que leur
différence est égale 2A.
Déduisez-en A et donnez l’incertitude sur cette mesure.
Mesures de i et D.
* Quand i = 45°, faire tourner la lunette dans le sens négatif et pointer l'image orange de la
fente par réfraction (ne pas utiliser les images ayant une autre couleur). Noter la position L
de la lunette.
La différence L - Lo donne la déviation D pour i = 45° ( Fig.3).
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* Faire varier l'angle d'incidence en tournant l'alidade liée au plateau et au prisme : en
tournant celui-ci de +5°, on aura i = 45° - 5° = 40° ; en tournant l'alidade de -5°, on aura
i = 45° + 5° = 50°.
Rechercher l'image orange de la fente par réfraction et noter la valeur de la nouvelle
déviation. (fig. 3)
* Augmenter la valeur de i par pas de 5° jusqu'à 85°, noter chaque fois i et D.
Opérer par pas de 1° entre 85° et 90° (élargir la fente au besoin).
* Revenir à la position i = 45° et faire varier i par pas de 5°. Au voisinage de i0 , procéder
par pas de 1°.
EXPLOITATION :
* Faire un tableau consignant les valeurs de A1 , i , L , D
* Tracer le graphe D = f(i) (échelle 2 mm pour 1°)
* Comparer D(90°) et D(io) (io est l'incidence pour laquelle le rayon émergeant est rasant)
* Donner la relation théorique reliant D(90°) et D(io) et celle permettant de les calculer en
fonction de A.
* Déterminer graphiquement l'intervalle dans lequel peut varier i pour que D - Dm ≤ 1°
* Evaluer ΔD = ΔL +ΔLo
Tableau 1:
(nm)
couleur
Dm
n
∆n
2. Conclusion
Donnez le graphe de n() ainsi que les valeurs de A et B pour le verre constituant le prisme.
Commentez la validité de la loi de Cauchy pour ce matériau.
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TP N°2 : Focométrie1
I. Introduction
La focométrie est l’ensemble des méthodes de détermination expérimentale des
éléments d’un système optique centré dans l’approximation de Gauss, à savoir pour les
lentilles minces, des rayons peu inclinés par rapport à l’axe optique et faisant des angles
petits par rapport aux normales des surfaces des lentilles.
La distance focale est la plus importante des propriétés utilisées pour les lentilles et
systèmes de lentilles. Dans ce TP, celle-ci sera déterminée par deux méthodes différentes:
relation de conjugaison
Autocollimation
1. Théorie
Une lentille convergente L donne d’un objet AB, une image A’B’. La lentille
convergente est caractérisée par :
Lentille convergente
1 1 1
OA OA OF
AB OA
G
AB OA
On compte positivement les grandeurs suivant l’axe horizontal OF’, soit par exemple
OF f , OA p (ici, p<0), ou encore OA p , avec cette fois p>0.
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2. Montage
On veut faire sur l’écran une image AB réelle de l’objet réel AB . On utilise pour cela une
lentille L convergente.
OBJE T
A’
A F O F’
L ECRAN
3. Manipulation et mesures
Reprendre le montage avec une lentille L de focale f ‘=+200mm et projeter une
image nette sur l’écran.
Noter les positions de l’objet, de la lentille et de l’écran, en déduire les valeurs de
p OA et de p ' OA ' .
Vérifier les formules de la lentille L (origine au centre).
Quelle incertitude a-t-on sur les mesures de p et de p ' .
Effectuer plusieurs mesures( au mois 10) du couple (OA, OA ') compléter au fur et à mesure le
tableau de mesures suivant en précisant les unités dans chaque colonne.
x0 xA xA’
P P '
Estimé l’erreur ainsi d’ou provient l’imprécision ?
p p'
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Compléter le tableau suivant :
P(cm) -
P’(cm)
1 1
(m )
P
1
(m 1 )
P'
1
( )m 1
P
1
( )m1
P'
Tracer la courbe :
p’= g(p) pour p<0 (objet réel), montrer que les points expérimentaux sont situés sur une
hyperbole dont les asymptote sont approximativement des droites.
Tracer la courbe :
,
Déduisez-en f et donnez l’incertitude sur cette mesure.
Conclusion
B
A
F O
miroir
Li plan
2. Manipulation
Faire, sur le compte-rendu, la construction optique de l’image B de B.
Comment qualifier l’image AB finale. Que vaut le grandissement ?
La distance entre la lentille et le miroir a-t-elle une importance ? Vérifier ceci.
Accoler un miroir plan à la lentille (derrière la lentille !).
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Déplacer l’ensemble jusqu’à ce que l’image obtenue par réflexion dans le système
miroir / lentille se forme dans le plan de l’objet (sur l’objet lui-même ou sur un écran
placé dans le même plan).
La place du miroir a-t-elle une importance (éloigner raisonnablement le miroir sans
déplacer la lentille) ?
De quelle distance peut-on déplacer l’ensemble {lentille + miroir accolé} sans que
l’image ne cesse de paraître nette ? Cette distance constitue la latitude de mise au
point, l’évaluer (plusieurs manipulateurs).
Donner la valeur de f de la lentille convergentes.
Quelle incertitude a-t-on sur cette mesure ?
Questions :
Quel peut être l’intérêt de cette configuration, d’un point de vue pratique ?
Quelles sont les caractéristiques de l’image ?
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TP N°3 : Focométrie 2
1. Principe
D
A A’
A A’
On fait d’un objet réel ponctuel A une image réelle A avec une lentille convergente de focale
f . On note D la distance objet-image. On montre (il faut savoir le faire ! voir TD) que D
doit vérifier la condition D 4 f et que pour D 4 f donnée il existe deux valeurs de
p OA possibles, ces positions étant symétriques. On note d la distance entre les deux
positions correspondantes de la lentille. La focale de la lentille utilisée est alors donnée par
le formule de Bessel :
D2 d 2
f
4D
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Calculer ∆f’/f’en fonction de D,∆D,d et ∆d
Calculer ∆f’/f’et donner f’= f’± df’
1. Principe
Une première lentille auxiliaire convergente L1 est disposée de manière à donner de
l'objet A une image à l'infini. Une seconde lentille auxiliaire convergente L2 est disposée à la
suite de L1 à une distance supérieure à sa distance focale f2'. L'ensemble donne de A, une
image A’’ sur un écran.
On place la lentille divergente Li étudiée (focale f’) dans le plan focal objet de L2.
Pour obtenir une image A" de A, la distance entre les deux lentilles de L1 et de L2 doit être
supérieure à la focale f 2 . On place la lentille Li à étudier dans le plan focal objet de L2. On
déplace alors l’écran pour avoir une image nette. On mesure D F2A (c’est une mesure
algébrique).
montrer qu'il faut alors déplacer l'écran d'une distance D telle que
Remarque : Cette méthode est générale pour les lentilles divergentes mais s’applique aussi
pour les lentilles convergentes.
A
F1 F2 F’2
L1 L2
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E E’
A
F’i F1 F2 F’2 A’
L2
L1 Li D
f 2 2
f
D
2. Mise en œuvre
Mesurer rapidement la focale f 2 de L2 par autocollimation.
Placer L1 par autocollimation. Placer L2 derrière L1 à une distance supérieure à f 2 .
Placer l’écran pour avoir une image nette. Noter sa position. Vérifier la valeur de f 2 .
Pour les trois lentilles inconnues : placer Li en F2 , déplacer l’écran pour avoir une
image nette et noter la nouvelle position de l’écran. En déduire D et f .
Faire plusieurs mesures en déplaçant chaque fois l’objet ou la lentille L1.
Estimer l’erreur faite sur D‘
Calculer ∆f’/f’ et donner f’= f’± df’
conclusion
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