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PACES - Année 2015-2016

UE 3 : Organisation des appareils et systèmes : aspects fonctionnels et


méthodes d'études
Concours blanc du 28 avril
Durée de l’épreuve : 1 heure

Vérifiez que votre fascicule comporte 15 pages et 50 QCM.


Pour chaque question, répondre vrai ou faux à chacun des items.
Pour chaque QCM, il peut y avoir 0, 1 ou plusieurs propositions vraies.

La calculette est interdite.

Ce fascicule est imprimé recto/verso.


Q1- En conditions normales, la pression moyenne dans l’aorte est d’environ 100 mmHg,
la pression moyenne dans la veine cave est d’environ 1 mmHg, le débit cardiaque est
d’environ 6L/min.

A. La veine cave appartient à la circulation pulmonaire.


B. La résistance systémique est 8 fois plus élevée que la résistance pulmonaire.
C. La résistance mécanique de la grande circulation est d’environ 13.10 4 Pa.m3.s-1.
.

D. Si suite à une maladie systémique, la résistance vasculaire de la circulation


systémique est multipliée par 3, il faut que la pression moyenne dans l’aorte passe à
environ 300 mmHg pour maintenir le débit cardiaque à 6L/min.
E. Si, à partir des conditions normales, suite à une pathologie cardiaque, la pression
moyenne dans la veine cave est multipliée par 10, la pression dans l’aorte doit alors
être de 200 mmHg pour maintenir le débit cardiaque à 6L/min.

Q2- Un liquide réel s’écoule avec un débit Q dans un tube de diamètre d. On appelle Nr le
nombre de Reynolds.

A. Si Nr vaut 5000, on a un écoulement turbulent.


B. Pour d donné, Nr augmente si Q diminue.
C. Si Nr passe à une valeur de 1000, l’écoulement est laminaire.
D. Pour Q donné, Nr diminue si d augmente.
E. Nr augmente si la vitesse d’écoulement du liquide augmente.

Q3- En auscultant le cœur d’un patient à la recherche d’une valvulopathie, vous entendez
un souffle après le pouls.

A. Il s’agit d’un souffle systolique.


B. Il peut s’agir d’une insuffisance pulmonaire.
C. Il peut s’agir d’un rétrécissement mitral.
D. Il peut s’agir d’une insuffisance tricuspidienne.
E. Il peut s’agir d’un rétrécissement aortique.

Q4- A propos des différents types d’artères :

A. L’aorte est une artère musculo-élastique.


B. Une artère élastique pure peut passer de l’état d’élasticité à une contraction forte dès
qu’elle est mise sous tension.
C. Les artères musculaires pures permettent la régulation des débits locaux.
D. Pour une contraction donnée des fibres musculaires, si la pression artérielle
augmente fortement l’artère, peut se spasmer.
E. Le rayon d’équilibre diminue avec l’âge.

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Q5- A propos du vieillissement :

A. Le tonus vaso-moteur des artères est plus efficace avec l’âge.


B. La capacitance augmente avec l’âge.
C. Le travail des artères diminue avec l’âge.
D. La proportion de collagène est moins importante dans les artères d’un enfant que
dans celles d’une personne âgée.
E. La zone élastique des artères est plus importante avec l’âge.

Les QCM 6 et 7 constituent un seul exercice.

Q6- On considère une artère de diamètre d1. Suite à une sténose, son rayon est divisé de
par 3. A quelle vitesse v2 s’écoulera le sang dans la partie sténosée ?

A. 𝑣2 = 𝑣1
𝑑2 2 ∙𝑣1
B. 𝑣2 = 𝑑1 2

𝑑1 2 ∙𝑣1
C. 𝑣2 = 𝑑2 2

D. 𝑣2 = 3 ∙ 𝑣1
E. 𝑣2 = 9 ∙ 𝑣1

Q7- En comparant les résistances R1 et R2 des parties saine et sténosée on s’apperçoit


que :

A. 𝑅1 = 𝑅2
B. 𝑅1 = 81 ∙ 𝑅2
C. 𝑅2 = 9 ∙ 𝑅1
D. 𝑅2 = 81 ∙ 𝑄1
𝑅
E. 𝑅2 = 811

Q8- La pression artérielle d’un patient est égale à 60 mmHg au niveau de la tête. Quelle
est la pression sanguine approximative au niveau du pied situé 1,8 m plus bas :
(Accélération de la pesanteur g = 10 USI, densité du sang d = 1)
A. 1000 Pa
B. – 1000 Pa
C. 34 000 Pa
D. 26 000 Pa
E. 28 000 Pa

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Q9- Un segment d’artère de résistance mécanique R1 nécessite une puissance P de 24 W
pour imposer un débit Q égale à 180 ml/min au sang le parcourant. Cette artère est
𝑹
pontée par un vaisseau de résistance 𝑹𝟐 = 𝟓𝟏 :
La nouvelle puissance P’ pour mobiliser le même débit est environ :

A. 4 W
B. 5 W
C. 24 W
D. 48 W
E. 120 W

Q10- Madame Dupont, 55 ans, arrive aux urgences après un accident de la route. Voici les
résultats des gaz du sang : pH = 7,35 ; Pa(CO2) = 48 mmHg ; [HCO3-] = 24 mmol/L.
D’après ces résultats Madame Dupont présente :

A. Une alcalose métabolique partiellement compensée.


B. Une alcalose respiratoire totalement compensée.
C. Une acidose métabolique non compensée.
D. Une acidose respiratoire non compensée.
E. Une acidose mixte partiellement compensée.

Q11- A propos des résultats de Madame Dupont, l’étiologie la plus probable à son
problème est :

A. Une acidocétose diabétique.


B. Une hyperventilation due à une ventilation assistée mal exécutée.
C. Des vomissements très abondants ayant précédés le problème.
D. Une hypoventilation due à une affection de la cage thoracique ou une affection
pulmonaire.
E. Une tétanie lors de l’accident.

Q12- A propos de la thermorégulation

A. La loi d'Arrhenius permet de décrire la variation de la vitesse d'une réaction chimique


en fonction de la température.
B. La loi de Wien qui permet de décrire la variation de la vitesse d'une réaction
chimique en fonction de la température.
C. Les ectothermes ont un faible métabolisme. Ils ne peuvent pas augmenter leur
température par rapport à la température ambiante.
D. Les endothermes ont un faible métabolisme. Ils ne peuvent pas augmenter leur
température par rapport à la température ambiante.

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E. Les reptiles et les amphibiens sont des endothermes.

Q13- A propos de la température centrale

A. Lors d’une hyperthermie, seule la température de l’écorce augmente, car elle


absorbe l’excédent de chaleur.
B. La température buccale est inférieure d’environ 0,4°C à la température rectale.
C. Le rayonnement IR émis par le tympan est le reflet de la température périphérique.
D. Les thermomètres à mercure sont utilisés préférentiellement.
E. Chez l’homme au repos la température est physiologiquement d’environ 37°C (+/-
0,5°C).

Q14- A propos de l’organisation de la thermorégulation

A. L’hypothalamus antérieur est activé par la diminution de la température, il permet


une réponse au froid.
B. L’hypothalamus postérieur est activé par l’augmentation de la température, il permet
une réponse au chaud.
C. La thermorégulation repose sur un concept de température centrale de consigne.
D. Les antipyrétiques comme l’aspirine augmentent la synthèse de prostaglandines.
E. Lors de la montée thermique pendant la fièvre, on peut observer une
vasoconstriction cutanée et une augmentation du métabolisme chez le patient.

Q15- A propos des échanges thermiques :

A. Tout corps chaud émet obligatoirement un rayonnement électromagnétique.


B. L’index de Wind Child explique que l’effet de refroidissement du vent est environ
proportionnel au carré de sa vitesse.
C. L’index de Wind Child explique que l’effet de refroidissement du vent est environ
proportionnel à la racine carrée de sa vitesse.
D. Contrairement aux hommes, les chiens ne peuvent pas suer.
E. La sudation est stimulée par la voie sympathique.

Q16- A propos des réactions physiologiques au froid et à la chaleur :

A. Le frisson est une contraction musculaire saccadée sans mouvement, au rythme de


20 à 30 par seconde.
B. Le frisson est un réflexe très important chez le nouveau-né.
C. En cas de chaleur excessive l’organisme cherche à augmenter au maximum sa
thermolyse en augmentant le débit sanguin au niveau des muscles.

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D. En cas de chaleur excessive, l’organisme va stimuler sa sudation grâce à
l’acétylcholine.
E. Dans une pièce fermée, plus l’index d’hygrométrie est fort, moins la température
centrale diminuera.

Q17- Concernant les proportions d’eau dans l’organisme :

A. Dans les conditions normales de température, et avec une hydratation suffisante, on


élimine 1,5 litre d’eau par jour via les urines.
B. 2/3 de l’eau totale est située dans le compartiment extracellulaire.
C. 3/4 de l’eau du compartiment extracellulaire est située dans le compartiment
extravasculaire.
D. L’osmolarité s’exprime en osm/kg et dépend de la température.
E. Une femme possède plus d’eau dans son organisme qu’un homme.

Q18- Chez un homme adulte sain de 70kg :

A. L’eau du compartiment intracellulaire représente 14 L.


B. L’eau du compartiment extracellulaire représente 14 L.
C. L’eau du compartiment extracellulaire représente 28 L.
D. La régulation de ces volumes est indépendante de la gestion des entrées et des
sorties d’eau.
E. La régulation de ces volumes est dépendante de la gestion des entrées et des
sorties d’eau.

Q19- A propos de la composition ionique des compartiments liquidiens :

A. La pression oncotique est la pression osmotique générée par les molécules de bas
poids moléculaire comme les protéines.
B. La pression oncotique du plasma humain est d’environ 26 à 28 mmHg.
C. La concentration en sodium du plasma est d’environ 140 mM.
D. La concentration en potassium du plasma est d’environ 140 mM.
E. Les protéines du plasma humain ont un rôle important dans les mouvements d’eau
entre les compartiments liquidiens.

Q20- A propos de la répartition de la masse sanguine et des débits sanguins :

A. La circulation systémique contient plus de 80% de la masse sanguine.


B. Environ 60% de la masse sanguine se situe dans les artères et les artérioles.
C. Le foie reçoit environ 1,35 L/min de sang, c’est un débit élevé qui s’explique par le
rôle de filtre du foie.

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D. Au contraire les muscles en période de repos reçoivent un débit beaucoup moins
important.
E. La surface de section des capillaires de la grande circulation est plus importante que
celle des capillaires de la petite circulation.

Q21- A propos des principes généraux d’hémodynamique :

A. En cas d’hémorragie, la vitesse de jaillissement du sang dépend de la vitesse du


sang dans le vaisseau.
B. Le pouls correspond à une onde de pression se propageant sans transport de
matière et à grande vitesse.
C. Le long de l’arbre artériel, au fur et à mesure de la progression dans les artères de
gros calibres, l’onde systolique devient plus étroite et plus pointue.
D. Le long de l’arbre artériel la pression différentielle augmente tandis que la pression
moyenne diminue.
E. Le compartiment Windkessel convertit un débit intermittent cardiaque en débit
continu en périphérie.

Q22- Un prisme ayant une base de longueur B = 6 cm est taillé dans un verre dont le
pouvoir dispersif dn/dλ = 1,5.10-5Å-1 pour une longueur d’onde moyenne de 450 nm.
Après dispersion dans le prisme, on cherche à observer distinctement deux raies
lumineuses.

A. Plus le pouvoir de résolution est bas, plus on distinguera les raies.


B. Plus la distance entre les raies est faible, plus on les distinguera.
C. Les deux longueurs d’ondes doivent être séparées de 0,05 nm.
D. Les deux longueurs d’ondes doivent être séparées de 0,5 nm.
E. Il s’agit d’un système dispersif.

Q23- Un faisceau lumineux d’intensité I0 arrive avec une incidence i = 33° sur une surface
en verre plane, séparant l’air d’un milieu d’indice absolu n = 1,5.
Aides au calcul : sin(19) ≈ 0,33, sin(27) ≈ 0,45, sin(33) = 0,5.

A. L’angle de réflexion est de 33°


B. L’angle de réflexion est de 45°.
C. L’angle de réfraction est d’environ 19°.
D. L’angle de réfraction est de 27°.
E. Le faisceau lumineux incident entre dans un milieu plus réfringent.

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Q24- On place un objet haut de + 2 cm, 4 cm après une lentille divergente dont la distance
focale est de 5 cm. On obtient une image

A. Plus petite.
B. Réelle.
C. Virtuelle
D. Plus grande
E. Droite

Q25- On considère un réseau de 10 cm de long dont le pas est de 20 micromètres.

A. Dans un millimètre on peut compter 50 traits.


B. Dans un millimètre, on peut compter 500 traits.
C. On peut compter 5 000 traits sur ce réseau.
D. Plus le pas est grand, plus l’interfrange est grand.
E. Plus le pas est élevé, plus il y aura de traits.

Q26- Soit une lame à faces parallèles dont l’indice de réfraction n vaut 2. On considère
pour chaque face un coefficient de réflexion R = 0,1 et un coefficient de transmission
T.
A propos d’un rayon d’incidence normale sur cette lame dont l’intensité est I0 :

A. Chaque face de la lame transmet 70% de l’intensité incidente.


4𝑛
B. On peut écrire 𝑅 = (𝑛+1)².

C. 81% de l’intensité incidente est directement transmise par la lame.


D. Après 5 réflexions au sein de la lame, le rayon réfléchi a un angle de 30° par rapport à la
normale.
E. Après 2 réflexions au sein de la lame, l’intensité transmise à travers celle-ci vaut 𝐼𝑡 =
𝑇 × 𝑅² × 𝐼0

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Q27- Soit A1B1 l’image de AB par la lentille L1 de centre optique O1 et foyer image F1, et
une lentille L2 de centre O2 :

A. L2 est une lentille convergente.


̅̅̅̅̅
B. 𝑂 1 𝐴 = - 4 cm
C. O1F1 = - 2 cm
D. Z est l’image de B1 par la lentille L2.
E. L’image de A1B1 par la lentille L2 est droite.

Q28- A propos du microscope et de la loupe :

A. On cherche préférentiellement à obtenir une vision à l’infini.


B. Pour calculer le grossissement commercial, on considère que la distance minimale de
vision distincte vaut dm = 50 cm.
C. La puissance d’une loupe est égale à la vergence de sa lentille divergente.
D. L’image formée par une loupe pour un objet situé sur son foyer objet est virtuelle, droite
et a un plus gros grossissement.
E. Dans un microscope, il faut que l’image intermédiaire se situe sur le foyer image de
l’objectif pour avoir la vision à l’infini de l’image finale.

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Q29- Soit un réseau par lequel on fait passer une lumière monochromatique de longueur
d'onde 𝟖𝟎𝟎 𝒏𝒎. On sait que le réseau mesure 𝟒 𝒄𝒎 et contient au total 1 000 fentes.
On place un écran à 𝟓𝟎 𝒄𝒎 de ce réseau :

A. Le pas de ce réseau est de 10-2 m.


B. Le pas de ce réseau est de 4.10−2 m.
C. L’interfrange vaut 10−2 m.
D. L’interfrange vaut 4.10−5 m.
E. Un réseau peut être utilisé soit par transmission, soit par réflexion.

Q30- Un rayon d'intensité 200 cd se dirige sous incidence normale dans l’air jusqu’à un
milieu d'indice de réfraction n = 2.
Le rayon réfracté vient frapper une deuxième interface, toujours sous incidence
normale, dont on sait que l’intensité de réflexion est de 0,6. Quelle est l'intensité du
rayon traversant les deux couches?
Aide au calcul : 8/9 ≈ 0,90

A. 20 cd.
B. 36 cd.
C. 60 cd.
D. 72 cd.
E. 96 cd.

Q31- A propos des lasers :

A. La lumière émise par effet laser est monochromatique, possède une faible
convergence ainsi qu'une cohérence spatiale et temporelle.
B. Le laser utilise le phénomène d'émission spontané (ou induite) caractérisé par une
désexcitation déclenchée par un photon externe d’énergie 𝐸 = ℎ𝜈 .
C. L’utilisation d’un laser de classe 4 nécessite une protection optique.
D. Les lasers à rubis appartiennent à la catégorie des lasers accordables.
E. Le laser peut être utilisé médicalement à faible intensité pour atténuer les rides.

Q32- Une clinique de détatouage reçoit de nouveaux lasers d'une puissance de 3 MW et


émettant un faisceau sur une surface de 0,1 mm². Pour un effet photomécanique
optimal dans les tissus irradiés, et donc détatouage efficace, la puissance surfacique
du laser doit être comprise entre 𝟏𝟎𝟗 et 𝟏𝟎𝟏𝟐 UI. Concernant les propositions
suivantes :

A. Le laser reçu est conforme à la norme.


B. Le laser reçu n'est pas conforme à la norme.
C. Puissance surfacique et intensité sont synonymes.

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D. Le laser reçu est probablement un laser YAG.
E. Pour un laser de très faible intensité, l'effet privilégié dans les tissus sera un effet
photochimique.

Q33- A propos de la classification d'Erlanger et Gasser :

A. Les fibres Aβ joue un rôle dans la somesthésie.


B. Toutes les fibres A sont efférentes.
C. Toutes les fibres B sont efférentes.
D. Les fibres C sont de petites fibres myélinisées.
E. Les motoneurones α sont impliqués dans les réflexes somatiques.

Q34- A propos de la classification de Mitchell:

A. Les fibres rapides permettent la régulation du métabolisme et de la sensation de


douleur.
B. La classification de Mitchell concerne les fibres afférentes musculaires.
C. Les fibres Ia sont les seules à avoir un rôle dans le tonus musculaire.
D. Les fibres II ont une terminaison en bouquet.
E. Les chémorécepteurs et les nocicepteurs musculaires sont innervés par les fibres IV.

Q35- A propos du système nerveux autonome :

A. L’innervation du muscle lisse et des glandes sécrétoires est assurée par le système
nerveux autonome.
B. Les neurones postganglionnaires du système parasympathique sont beaucoup plus
longs que les neurones préganglionnaires.
C. L'unité fonctionnelle est constituée de 2 neurones en série entre le SNC et l'organe
cible.
D. Le système parasympathique a un contingent thoraco-lombaire.
E. Le système parasympathique distribue aux glandes lacrymales.

Q36- A propos du système nerveux autonome :

A. La stimulation des récepteurs nicotiniques entraine une hyperpolarisation


membranaire.
B. L'acétylcholine est le neurotransmetteur du système parasympathique.
C. La noradrénaline est majoritairement présente dans les glandes médullosurrénales.
D. La stimulation des récepteurs β1 entraine une tachycardie.
E. La stimulation des récepteurs β1 entraine une vasoconstriction.

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Q37- A propos du système nerveux autonome :

A. Le système parasympathique se distribue aux vaisseaux des muscles squelettiques.


B. Les muscles squelettiques ont une innervation parasympathique.
C. Les glandes eccrines sont innervées par des fibres cholinergiques.
D. Le contingent crânien du système parasympathique se distribue en grande partie par
le nerf vague.
E. Le système sympathique a une action globale coordonnée par le système nerveux
central.

Q38- Concernant la régulation de la pompe cardiaque :

A. La cellule du nœud sinusal se dépolarise spontanément et donne le rythme de


contraction grâce au potentiel de pacemaker.
B. L’autorégulation intrinsèque permet d’ajuster le volume d’éjection systolique aux
variations de remplissage ventriculaire.
C. En cas de défaillance, le nœud auriculo-ventriculaire peut être relayé par le nœud
sinusal.
D. La régulation extrinsèque repose sur des afférences représentées par les systèmes
nerveux sympathiques et parasympathiques.
E. Les barorécepteurs sont situés au niveau de la crosse de l’aorte et des bifurcation
carotidiennes.

Q39- Concernant l’anatomie fonctionnelle du cœur :

A. La contraction ventriculaire aspire les feuilles valvulaires alors que la relaxation les
refoule.
B. La pointe du cœur est formée essentiellement par le ventricule droit.
C. Le plan valvulaire constitue le squelette fibreux du cœur.
D. Le mouvement des valves est purement passif.
E. La paroi du ventricule droit est plus épaisse que celle du ventricule gauche chez
l’adulte.

Q40- A propos de l’hémodynamique cardiaque :

A. Le volume télé-diastolique correspond au volume minimal dans le ventricule.


B. Le facteur principal des pressions auriculaires est la contraction ventriculaire.
C. Le volume d’éjection correspond à la somme du volume télé-diastolique (VTD) et du
volume télé-systolique (VTS).
D. Le ventricule gauche multiplie la pression sanguine par 100 pour lutter contre les
résistances artérielles.

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E. La communication interventriculaire isolée entraine un shunt gauche-droite car la
pression à gauche est supérieure à la pression à droite.

Q41- A propos des battements cardiaques :

A. Chez le sujet jeune, la fréquence cardiaque augmente à l’expiration.


B. La variation de la fréquence cardiaque avec la respiration s’explique principalement
par une variation de l’activité tonique parasympathique.
C. La fréquence respiratoire maximale vaut 220 – âge (en années).
D. Plus l’individu est petit, moins son cœur battra vite.
E. Chez l’enfant, la fréquence cardiaque est généralement d’environ 100 battements
par seconde.

Q42- Concernant les équilibres acido-basiques :

A. Le système tampon acide carbonique/bicarbonate est un système dit ouvert


s’éliminant facilement.
B. Le système hémoglobine est responsable de 60% du pouvoir tampon de l'organisme.
C. Le système acide carbonique/bicarbonate est le principal système tampon du liquide
extracellulaire.
D. Le système tampon phosphate disodique / monosodique est le système tampon
principal du liquide extracellulaire.
E. Le système tampon phosphate disodique / monosodique constitue la réserve alcaline
de l'organisme.

Q43- A propos des solutions tampons

A. Le pouvoir tampon diminue rapidement quand le rapport de la concentration en acide


sur la concentration de sa base conjuguée s’écarte de l’unité.
B. Le pouvoir tampon d’une solution est le nombre de moles d’acide fort ou de base
faible que l’on peut ajouter à 1L de cette solution avant qu’elle ne subisse une
variation d’une unité de pH.
C. Le potentiel de membrane de l’électrode est proportionnel à la température absolue
en degré Celsius.
D. Un acide faible est complètement déprotoné dans l’eau.
E. Un acide fort est complètement déprotoné dans l’eau.

Q44- Soit une solution aqueuse contenant 2.10-3 mol.L-1 d’H2CO3 (acide carbonique) et
3.10-2 mol.L-1 d’HCO3- (ion hydrogénocarbonates) sachant que :
pKa (H2CO3/HCO3-) = 6,1 ; log (3) = 0,48 ; log (1,5) = 0,18 ; log (15) = 1,18.

A. Le pH de cette solution est d’environ 6,28.


B. Le pH de cette solution est d’environ 7,28.

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C. H2CO3 est l’espèce majoritaire dans cette solution.
D. Le pH de cette solution varie dès l’ajout d’une petite quantité d’eau.
E. En présence de 3.10-3 mol.L-1 d’H2CO3, le pH de la solution est de 6,1.

Q45- A propos du titrage de l’acide acétique par une solution d’hydroxyde de sodium.

A. Le point d’équivalence est atteint lorsque pH = pKa.


B. Au point d’équivalence on ne retrouve plus d’acide acétique.
C. Le pH varie brusquement à la fin de la neutralisation.
D. Au point d’équivalence, le pH est acide.
E. Au point d’équivalence, le pH est neutre.

Q46- On considère une solution aqueuse d’acide acétique (CH3COOH) de concentration


égale à 10-2 M.
pKa (CH3COOH) = 4,76.

A. Le pH de cette solution est 3,38


B. Le pH de cette solution est de 4,38.
C. L’augmentation de 2 unités de pH correspond à une concentration 100 fois plus forte
en ions H3O+.
D. Une solution de CH3COOH à la concentration de 10-1 M possède un pH de 4,88.
E. Une solution de CH3COOH à la concentration de 10-4 M possède un pH de 5,38.

Q47- On utilise un spectromètre RMN ayant un aimant de 2,4 T. Le rapport


gyromagnétique du proton est 𝟐, 𝟔 ∙ 𝟏𝟎𝟖 𝑼𝑺𝑰 et celui du phosphore est de 𝟏, 𝟏 ∙ 𝟏𝟎𝟖 USI.
On utilisera 2π = 6,2.

A. Dans cet aimant, la fréquence de résonnance du proton est environ 60 MHz.


B. Dans cet aimant, la fréquence de résonnance du phosphore est environ 42 MHz.
C. Dans cet aimant, la fréquence de résonnance du proton est environ 100 MHz.
D. Pour un aimant de 4,8T, la fréquence de résonnance du phosphore est environ 24
MHz.
E. Pour un aimant de 4,8T, la fréquence de résonnance du proton est environ 120 MHz.

Q48- Concernant les temps de relaxation du proton en RMN :

A. Pour un tissu biologique, ils dépendent des proportions d’eau libre et d’eau liée qu’il
contient.
B. Ils ne sont pas affectés par la présence de pathologie.
C. Les temps T1 et T2 sont égaux dans le cas de l’eau liée.
D. Le temps T1 correspond à la relaxation dans la direction de B0.
E. Les temps de relaxation de l’eau liée sont inférieurs à ceux de l’eau libre.

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Q49- Lors de l’examen IRM du cerveau d’un patient dont la masse est 1,5 kg :

A. Le taux d’absorption spécifique est défini comme le rapport entre la puissance de la


radiofréquence reçue par le cerveau et sa masse.
B. Le taux d’absorption spécifique est défini comme le rapport entre la masse du
cerveau et la puissance de la radiofréquence qu’il reçoit.
C. La puissance maximale utilisable lors de cet examen est 3W.
D. La puissance maximale utilisable lors de cet examen est 6W.
E. Le taux d’absorption spécifique maximal admis lors de cet examen est de 4 W/kg.

Q50- A propos du cycle cardiaque :

A. Les cavités cardiaques homologues se contractent l’une après l’autre.


B. A certaines phases du cycle, toutes les valves auriculo-ventriculaires et artérielles
sont ouvertes en même temps.
C. La diastole ventriculaire est le facteur principal de remplissage ventriculaire.
D. Pendant la systole ventriculaire, la pression ventriculaire est supérieure à la pression
artérielle.
E. On retrouve un même débit sanguin dans les cœurs droit et gauche.

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