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Conférences récentes :
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1997 Rapport présenté à l’ENSEA ; Etude de Générateurs Haute Tension
Formation :
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1970 Baccalauréat série C, Lycée Eugène Delacroix de Drancy
En 1970, à l’âge de 17 ans, j’ai obtenu mon baccalauréat C avec la mention Bien, préparé au
Lycée Eugène Delacroix de Drancy.
En octobre 1972, j’étais reçu au concours chimie de l’Ecole Normale Supérieure de la rue
d’Ulm, ce qui confère l’équivalence DUES et le statut d’élève fonctionnaire stagiaire.
En 1974, j’avais la maitrise et l’AEA de chimie, avec deux mentions bien (en
chimie organique et chimie physique) et le certificat de physique « vibrations –
phénomènes de propagation ».
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Le Professeur Marc Julia, Directeur du labo de chimie organique de l’ENS Ulm,
nous faisait en supplément son C4 de stéréochimie.
Ensuite, pour mon DEA et ma Thèse de Doctorat de 3ème Cycle, on m’a proposé
un stage au CEA – CEV – Centre d’Etudes Militaires de Vaujours, pour étudier la
synthèse possible de N-nitro borazènes, à partir de l’article initial de T. Hirata
au Picatiny Arsenal, New Jersey, USA.
J’étais externe et habitais Drancy, or, Vaujours est aussi dans le 93, donc pas
très loin par la N3.Le climat était agréable, et je me suis vite adapté.
J’ai travaillé à mon DEA puis à ma Thèse de juin 1974 à septembre 1975,
J’ai fait de nombreuses synthèses, et fait faire des analyses par infra-rouge,
microanalyse et couplage chromatographie en phase gazeuse – spectrométrie
de masse, ces dernières au laboratoire du Pr. Basselier à l’Université de Paris VI
– Jussieu.
Le problème est que j’étais timide, gauche, et bègue. Difficile pour l’agrégation,
j’ai trouvé une solution basée sur Journal of Chemical Education.
2)je pensais que l’alchimie devait avoir un sens. Pour moi, le catalyseur de
projection devait avoir des propriétés quantiques, liées aux modes
longitudinaux des courbures de bandes au voisinage des interfaces, et être
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sensible aux électrons libres émis par émission thermoionique, d’où l’emploi
d’un isolant diélectrique, cire ou papier, ce qui peut avoir aussi d’autres
interprétations. Ce modèle m’a servi par la suite, et mène à des théories genre
Z.P.E de Harold Puthoff, dont j’avais acheté et commencé d’étudier le livre
« électronique quantique en vue des applications ».
Ceci m’a permis d’Être admissible aux épreuves écrites, mais je n’ai pas réussi
l’oral.
Bien sur, il restait encore à mettre en forme et soutenir ma Thèse de 3ème Cycle.
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Au CEA, mes chefs de laboratoire étaient Maurice Ceccaldi, avec lequel j’ai
commencé à étudier la construction d’éléments de spectromètres infra-rouge,
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et Jean Pierre Leicknam, dont j’ai présenté les travaux à la 4ème Conférence
Internationale de Photosynthèse à Reading, UK, en septembre 1977.
Au début, nous avions les séminaires du Pr. Michel Magat de la Faculté d’Orsay,
mais il est mort, son action n’a pas été suivie, et j’ai laissé la chimie.
Il faut dire que le DRA – SRIRMa du Pr. Etienne Roth développait beaucoup
d’appareils spéciaux pour nos mesures, c’était une méthode de
fonctionnement usuelle.
Robert Capitini m’a donné un laser à rubis LA632 CSF de 4 Joules à 694,3
nm avec verre saturable, je m’en suis servi pour mes expériences suivantes.
Le Pr. Lucien Guibé utilisant des détecteurs à super-réaction pour la RQN, j’ai
d’abord essayé, sans résultat, de détecter un signal induit par laser dans un
échantillon de chloroplastes d’épinard, fournis par l’équipe du Pr. Eugène Roux
du Département de Biophysique,avec un oscillateur RF à super-réaction équipé
d’un 161T1 .
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Ensuite, j’ai remplacé le MOSFET MFE122 de mon oscillateur RF par un JFET à
plus faible bruit, 2N3823/4416, et ai fait une première observation d’effet
photothermodiélectrique en temps réel de chloroplastes dans une matrice de
paraffine, à 4,6MHz. Effet purement thermique, avec une constante de temps
de l’ordre de 2 secondes, et sans grand intêret, qu’on m’a fait publier dans CR
Acad Sci Paris, 1978.
Ce qui permet une mesure à l’échelle microseconde, avec des circuits TTL.
Mon chef de Section, Jack Sutton, qui n’avait pas pris très au sérieux l’étude du
lyzosyme, ne voulait pas que ce soit « un défi électronique ».
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3)l’effet retardé disparait par recuit à température ambiante et trempe, sauf si
l’on ajoute de la gramicidine, agent ionophore.
A l’époque, je ne disposais que de moyens de calcul très limités, alors que mes
collègues aux laboratoires plus riches avaient des DIGITAL PDP11 en Fortran.
Moi, j’avais ma calculatrice Hewlett Packard HP25, un Kit Exorciser 6800 MKII à
685kHz, avec une carte télétype et une carte interpréteur Basic de 4 kilooctets.
Cette électronique a fait l’objet d’un rapport, non diffusé, et d’un petit brevet.
https://www.google.com/patents/EP0032852A2?cl=en