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DROIT BANCAIRE

Référence : Loi 103-12 relative aux établissements de crédit (24 décembre 2014)

Banques participatives : art 54+

I. Les produits alternatifs

Les banques participatives peuvent procéder au financement de la clientèle à travers notamment les
produits ci-après :

1) Mourabaha

Il s’agit de tout contrat par lequel une banque participative acquiert un bien meuble ou immeuble en vue de le
revendre à son client à son coût d'acquisition plus une marge bénéficiaire convenue d'avance.

La durée peut atteindre 25 ans, et le prix de vente au client est calculé sur la base du coût de revient de l'immeuble
que supporte la banque (prix, frais, taxes...).Le prêt peut couvrir la totalité du prix de l'immeuble.

La capacité d'endettement de l'emprunteur est cependant plafonnée à 40% de ses revenus.

Possibilité de remboursement par anticipation sans pénalité + Inscription d'une hypothèque en premier rang pour
la banque + souscription à un contrat d'assurance décès et invalidité dont la prime est comprise dans la mensualité.

2) Ijara

Il s’agit tout contrat selon lequel une banque participative met, à titre locatif, un bien meuble ou immeuble
déterminé et propriété de cette banque, à la disposition d'un client.

Deux formes :

- Ijaratachghilia= location simple ;

- Ijaramontahia bi-tamlik= location au terme de laquelle la propriété du bien loué est transférée au client selon les
modalités convenues entre les parties.

Le produit s'adresse à la fois aux particuliers et aux professionnels et peut également financer 100% du bien en
question. La durée du contrat varie entre 10 ans et 20 ans au maximum.

3) Al Moucharaka :

C’est un contrat ayant pour objet la participation, par une banque participative, à un projet, en vue de réaliser un
profit.Les parties participent aux pertes à hauteur de leur participation et aux profits selon un prorata
prédéterminé.

Deux types :

- MoucharakaTabita: les parties demeurent partenaires jusqu'à l'expiration du contrat les liant ;

- MoucharakaMoutanakissa : la banque se retire progressivement du projet conformément aux stipulations du


contrat.
Autres caractéristiques :

La banque avec le concours des autres partenaires procure le financement total qu'exige le projet. Tous les
associés, y compris la banque, ont droit de regard sur la gestion du projet.

Tous les associés y compris la banque se réservent le droit de surveiller la bonne marche de l'opération et
de se retirer si les perspectives ne lui paraissent pas satisfaisantes.

4) Moudaraba

Il s’agit de contrat mettant en relation une ou plusieurs banques participatives (Rab el Mal) qui fournissent le
capital en numéraire et/ou en nature et un ou plusieurs entrepreneurs (Moudarib) qui fournissent leur travail en
vue de réaliser un projet.

La responsabilité de la gestion du projet incombe entièrement aux entrepreneur(s).

Les bénéfices réalisés sont partagés selon une répartition convenue entre les parties et les pertes sont assumées
exclusivement par Rab el Mal, sauf en cas de fraude commise par le(s) Moudarib, se mauvaise gestion, de
négligence ou de violation de stipulations du contrat.

5) SALAM

Tout contrat en vertu duquel l’une des deux parties, banque participative ou client, verse d’avance le prix intégral
d’une marchandise dont les caractéristiques sont définies au contrat, à l’autre partie qui s’engage à livrer une
quantité déterminée de ladite marchandise dans un délai convenu.

6) ISTISNA’A

Tout contrat d’acquisition de choses nécessitant une fabrication ou une transformation en vertu duquel l’une des
deux parties, banque participative ou client, s’engage à livrer la chose, avec des caractéristiques définies et
convenues, fabriquée ou transformée, à partir des matières dont il est propriétaire, en contrepartie d’un prix fixe
dont le paiement s’effectue par l’autre partie(moustasniî) selon les modalités convenues.

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Outre les règles régissant les produits de financement prévus par les dispositions de la loi, toute banque
participative peut également offrir à sa clientèle tout autre produit sous réserve de l’avis conforme du Conseil
supérieur des Ouléma conformément aux dispositions de l’art.62 de la présente loi
II. Le rôle du CAC dans les établissements de crédit (art 99+)

Les banques sont tenues de désigner 2 CAC après approbation de BAM, sauf lorsque le total bilan est
inférieur à un seuil fixé par BAM (1 CAC). Les modalités d'approbation de la désignation des CAC par les
établissements de crédit sont fixées par circulaire du wali de BAM.

Durée mandat 3 ans renouvelable une fois seulement. Il faut, ensuite que 3 années s’écoulent pour
reprendre le mandat de CAC pour le même établissement. (art 101)

Parmi les nouveautés de la NLB, le renforcement du contrôle des établissements de crédit qui est assuré
par BAM mais aussi par le commissaire aux comptes, dont les missions ont été élargies :

Les commissaires aux comptes des EC ont pour mission:

• De contrôler les comptes conformément aux dispositions du titre IV de la loi n°17-95 relative aux sociétés
anonymes;

• De s’assurer du respect des mesures prises en application des articles 71(règles comptables), 76 (règles
prudentielles : liquidité, solvabilité, équilibre financier)et 77(contrôle interne).

• De vérifier la sincérité des informations destinées au public et de leur concordance avec les comptes.

Les rapports établis par les CAC sont communiqués à BAMet aux organes dirigeants de l’établissement selon
desmodalités fixées par BAM.

Les CAC sont tenus de signaler immédiatement à BAM tout fait ou décision dont ils ont connaissance au cours
de l’exercice de leur mission qui constitue une violation des dispositions législatives ou réglementaires qui leur sont
applicables et qui sont de nature notamment : (art 104)

• à affecter la situation financière de l’établissement contrôlé ;

• à mettre en danger la continuité de l’exploitation ;

• à entrainer l’émission de réserves ou le refus de certification des comptes.

BAM peut demander aux commissaires aux comptes de lui fournir tout éclaircissement concernant les conclusions
exprimées dans leurs rapports ainsi que tous les documents ayant servi à cette fin. (art 105)

BAM peut mettre à la disposition des CAC les informations estimées nécessaires à l’accomplissement de leur
mission.
III. Les prérogatives du conseil supérieur des Oulémas

Le CSO est une instance de conformité (Art 62+)

Parmi les principaux apports de la nouvelle loi bancaire, Instauration d’un cadre législatif introduisant les banques
participatives en faisant appel exclusivement au Conseil Supérieur des Oulémas pour donner ses avis de
conformité.

Le Conseil supérieur des Ouléma créé par le dahir n° 1-03-300 du 22 avril 2004 émet des avis tels que prévus par les
dispositions de la loi bancaire.

Les banques participatives doivent adresser au Conseil à la fin de chaque exercice un rapport d’évaluation sur la
conformité de leurs opérations et activitésaux avis conformes du CSO. (art 63).

Ce document portera sur trois principaux points : la conformité de l’activité avec la sharia, la collecte de la taxe
islamique (zakat) et la purification des revenus illicites de la banque.

Les relations des banques islamiques avec le CSO seront gérées à travers une fonction créée à cet effet.

En effet, conformément à la NLB, Les banques participatives sont tenues, en vue de s’assurer de la conformité aux
avis du Conseil, de mettre en place une fonction chargée de :

- Identifier et prévenir les risques de non-conformité de leurs opérations et activités


- Assurer le suivi et l’application des avis conformes du Conseil supérieur des Ouléma et d’en contrôler le
respect
- Veiller à l’établissement et au respect du manuel des procédures.
- De recommander l’adoption des mesures en cas de non respect des conditions imposées pour la
présentation au public d’un produit ayant fait l’objet d’un avis conforme du CSO.

Les conditions et modalités de fonctionnement de la fonction de conformité sont fixées par circulaire du wali de
BAM.

Parmi les autres attributions du CSO, la conformité de tout produit islamique proposé par les banques
participatives est prononcée par le CSO.
IV. Les garanties : cautions personnelles et réelles

Une garantie (ou sûreté) est un moyen dont dispose le créancier (banquier prêteur) pour s’assurer du paiement de
ses droits (remboursement des prêts).

Deux types : Les sûretés personnelles et Les sûretés réelles.

* Le patrimoine du débiteur constitue le gage général des créanciers.

* Le privilège est l’avantage que la loi confère à un créancier d’être préférés aux autres créanciers concurrents.

I- LES SURETES PERSONNELLES : cautionnement (reposent sur une personne « physique ou morale »)

Le cautionnement résulte d’un acte juridique unilatéral par lequel une personne, la caution, s’engage vis à vis d’un
créancier, à le payer en cas de défaillance de son débiteur

* Le cautionnement ne confère aucun privilège sur le patrimoine de la caution.

Conditions de validité du cautionnement :

Forme : doit être écrit (authentique ou SSP)

Fond :1. consentement (exempt de tout vice tel le dol, l'erreur et la violence) 2. Capacité 3. L’objet et la cause doivent être
valables et licites.

Les effets de la caution :

* Si la caution décède avant l'échéance, le créancier a le droit d'agir immédiatement contre sa succession(ayants-
droit).

* Celui qui a payé au lieu et place du débiteur principal aura recours contre le débiteur (subrogation).

* Lorsque plusieurs personnes ont cautionné la même dette par le même acte, et en cas d'insolvabilité du débiteur
principal, le créancier n'a de recours contre chaque caution que pour sa part et portion (privilège de division)

Extinction :La caution s’éteint par le paiement et la compensation.

Caution simple :La caution bénéficie de 2 privilèges : A. Privilège de discussion : Il faut d’abord que soit recherché
le débiteur principal pour paiement (saisie, vente) B. Privilège de division : En cas de pluralité de caution, chacun
est recherché pour sa part et proportionnellement.

Caution solidaire : Quand c’est stipulé, la caution solidaire anéantit les privilèges de discussion et de division, et
permet au créancier d'avoir un recours contre la caution pour la totalité de l'obligation et ce dès que le débiteur
principal refuse d'exécuter la prestation objet du contrat.

Lettre de confort (ou d’intention) : généralement fournie par une maison mère à sa filiale.

II- LES SURETES REELLES :

Le gage : Il consiste pour le débiteur à remettre à son créancier un objet mobilier que celui-ci fera vendre pour se
payer, si le débiteur n’exécute pas son obligation.
* La nature de la créance garantie détermine le caractère civil ou commercial du gage;

* Pour être efficace, le gage doit être opposable aux autres créanciers. Cette opposabilité s’obtient sous deux
conditions:- La rédaction d’un écrit avec une date certaine; et La dépossession du constituant.

Le gage avec dépossession :

* En cas de défaillance du débiteur, le créancier a le droit de se faire payer sur la base de la chose qui fait l’objet du
gage, et ce, en respectant les formalités prescrites par la loi (7 jours après vaine notification, et vente aux enchères
publiques des objets donnés en gage).

* Exemples de gage commercial : Nantissement de marchandises ; Nantissement de titres et bons de caisse ;


nantissement d’espèces ; Nantissement d’effets de commerce.

Le gage sans dépossession :

* Immobilier : hypothèque (reine des sûretés) = droit réel immobilier + privilège

Conditions : Ecrit + Enregistrement (30 jours) + Inscription en CF (6 mois max)

Durée de validité : illimitée

Il existe quelques cas d’hypothèques mobilières (Navires, Aéronefs).

* Nantissement du matériel d’équipement et d’outillage

Conditions : Ecrit (30 jours à compter de la livraison) + Enregistrement (30 j) + Inscription en registre spécial au
Greffe du tribunal 1ere instance (20 jours de l’acte).

Durée de validité : 5 ans sauf renouvellement une fois de 5 ans

* Nantissement de Fond de commerce

A défaut de désignation expresse et précise dans l’acte qui le constitue, le nantissement ne comprend que le non
commercial, le droit au bail, la clientèle et l’achalandage, à l’exclusion des marchandises.

A l’instar de l’hypothèque, le rang des créanciers gagistes est déterminé par la date de leur inscription au RC.

Formalité : Ecrit + signatures légalisées + Enregistrement (30 j) + Inscription au RC (délai 15j depuis établissement).

Validité : 5 ans si non renouvelée.

III- LES SURETES NEGATIVES

* Interdictions conventionnelles d’aliéner un ou plusieurs biens (immeubles) ou d’hypothéquer ou de nantir (fonds


de commerce)

* Le débiteur s’engage à ne pas modifier son patrimoine, ni à aggraver son endettement en s’abstenant de
contacter de nouveaux emprunts (garantie à moindre coût)

* Le prêteur peut exiger un droit de regard ou d’information voire le maintien de la participation d’un actionnaire
de référence dans le capital de la société financée.
Créances en souffrance
Sont considérées comme créances en souffrance, les créances qui présentent un risque de non recouvrement total
ou partiel, eu égard à la détérioration de la capacité de remboursement immédiate et/ou future de la contrepartie.

Les créances en souffrance sont, compte tenu de leur degré de risque de perte, réparties en trois catégories :

 les créances pré-douteuses,


 les créances douteuses
 et les créances compromises.

Sont classés dans la catégorie des créances pré-douteuses :


1) les encours des crédits amortissables dont une échéance n’est pas réglée 90 jours après son terme (*) ;
2) les encours des crédits remboursables en une seule échéance qui ne sont pas honorés 90 jours après leur
terme (*) ;
3) les loyers des biens donnés en crédit-bail ou en location avec option d’achat, qui ne sont pas réglés 90 jours
après leur terme ;
4) les encours des crédits par décaissement et/ou par signature consentis à des contreparties dont la situation
financière ne peut être évaluée faute de disponibilité de l’information ou de la documentation nécessaires à cet
effet ;
5) les encours des crédits par décaissement et/ou par signature dont le recouvrement total ou partiel est,
indépendamment de tout impayé, susceptible d’être mis en cause en raison de considérations liées à :

- la capacité de remboursement du débiteur (déséquilibre persistant de la situation financière, baisse


significative du chiffre d’affaires, endettement excessif,…),
- des événements qui concernent les principaux dirigeants ou actionnaires (décès, dissolution, mise en
liquidation,…),
- l’existence de problèmes de gestion ou de litiges entre les associés ou actionnaires,
- des difficultés au niveau du secteur d’activité dans lequel opère la contrepartie.

Sont classés dans la catégorie des créances douteuses :

1) - les soldes débiteurs des comptes à vue qui n’enregistrent pas, pendant une période de 180 jours, de
mouvements créditeurs réels couvrant au moins le montant des agios imputés à ces comptes ainsi qu’une partie
significative desdits soldes débiteurs ;

2) - les encours des crédits amortissables dont une échéance n’est pas réglée 180 jours après son terme ;

3) - les encours des crédits remboursables en une seule échéance, qui ne sont pas honorés 180 jours après leur
terme ;

4) - les loyers des biens donnés en crédit-bail ou en location avec option d’achat, qui ne sont pas réglés 180 jours
après leur terme ;

5) - les encours des crédits par décaissement et/ou par signature consentis à des contreparties déclarées en
redressement judiciaire ;

6) - les encours des crédits par décaissement et/ou par signature dont le recouvrement total ou partiel est,
indépendamment de tout impayé, incertain compte tenu de la dégradation de la situation de la contrepartie du fait
des considérations évoquées au paragraphe 5 de l’article 5 ci-dessus ou pour toutes autres raisons.

Sont classés dans la catégorie des créances compromises :


1) - les soldes débiteurs des comptes à vue qui n’enregistrent pas, pendant une période de 360 jours, de
mouvements créditeurs réels couvrant au moins le montant des agios imputés à ces comptes ainsi qu’une partie
significative desdits soldes débiteurs ;
2) - les encours des crédits amortissables dont une échéance n’est pas réglée 360 jours après son terme ;
3) - les encours des crédits remboursables en une seule échéance qui ne sont pas honorés 360 jours après leur
terme ;

4) - les loyers des biens donnés en crédit-bail ou en location avec option d’achat qui demeurent impayés 360 jours
après leur terme ;

5) - les encours des crédits par décaissement et/ou par signature dont le recouvrement total ou partiel est,
indépendamment de l’existence de l’un des critères de classement susvisés, peu probable du fait de considérations
telles que :

- la perte, par la contrepartie, de 75% ou du tiers de sa situation nette, selon qu’elle est constituée,
respectivement, en société anonyme ou sous une autre forme de sociétés, lorsque l’assemblée générale
extraordinaire ne s’est pas réunie, dans les délais légaux requis, pour décider de la continuité de l’activité ;

- l’introduction d’une action en justice, à l’encontre de la contrepartie pour le recouvrement des créances,

- la contestation, par voie judiciaire, de la totalité ou d’une partie des créances par la contrepartie,

- la cessation d’activité ou la liquidation judiciaire de la contrepartie,

- la déchéance du terme ou, en matière de crédit-bail ou de location avec option d’achat, la résiliation du
contrat

Le provisionnement des créances en souffrance

Après la constations par la banque de l'existence de créances pré douteuses, douteuses ou compromises, elle
procède au provisionnement de celles-ci à hauteur, respectivement de 20%, 50% et 100% de leurs montants, au
minimum, avec déduction des agios réservés et des garanties présentées, et ce suivant des quotités et selon la
nature de ces garanties.

Ratios
Ratio de solvabilité

• circulaire 25/G/2006 du 25 décembre 2006 relative au coefficient minimum de solvabilité des


établissements de crédit)

• rapport entre les fonds propres et les risques pondérés et ne doit pas être inférieur à 8%.

• Référence essentielle pour apprécier la situation d’une banque

• « Les établissements sont tenus de respecter en permanence, sur base individuelle et/ou consolidée, un
coefficient minimum de solvabilité défini comme étant un rapport minimum de 8 % entre d'une part, le
total de leurs fonds propres et d'autre part, le total de leurs risques de crédit et de marché pondérés ».

Ratio de liquidité :

• rapport entre les disponibilités et les concours dont l’échéance est à court terme et les exigibilités à court
terme

• circulaire 31/G/2006 du 5/12/2006 relative au coefficient minimum de liquidité des banques


« Les banques sont tenues de respecter de façon permanente un coefficient minimum de 100%
entre:

- d’une part, leurs éléments d’actif disponibles et réalisables à court terme et engagements par
signature reçus

- et, d’autre part, leurs exigibilités à vue et à court terme et engagements par signature donnés

• Directive n° 31/G/2007 du 13 avril 2007 relative au disposition de gestion du risque de liquidité

• Le risque de liquidité est défini comme étant le risque pour l’établissement de crédit de ne pas pouvoir
s’acquitter, dans des conditions normales, de ses engagements à leur échéance:

• Deux sources majeures peuvent générer un risque de liquidité:

• L’incapacité d’un établissement de crédit à se procurer les fonds nécessaires pour faire face à ses
obligations inattendues survenues à court terme, notamment un retrait massif de dépôts et un tirage de
lignes hors bilan

Financement d’actifs à moyen et long terme par des passifs à court term

Ratio de division des risques

• Le but de ce dispositif est d’éviter une concentration excessive des risques pris sur un même client

• circulaires n° 03/G/2001 du 15/01/2001 relative au coefficient maximum de division des risques

• n°57/DCEC/2001 du 21/05/2001 relative aux modalités pratiques de déclaration des risques égaux ou
supérieures à 5% des fonds propres

• les établissements de crédit sont tenus de respecter en permanence, sur base individuelle et consolidée, un
rapport maximum de 20 % entre d’une part, le total des risques encourus sur un même bénéficiaire
affectés d’un taux de pondération en fonction de leur degré de risque, à l’exclusion des risques encourus
sur l’État, et d’autre part, leurs fonds propres nets.

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