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TN16 - - Biran WANG

Projet du TN16

Etudier en china et en France


Etude d’après une enquête
Biran WANG – GP05

A07

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TN16 - - Biran WANG

Remerciement
Je souhaite remercier Mme. H.Schenzer, pour l’aide qu’elle m’a apporté, et la
pédagogie et sa disponibilité dont elle a fait preuve. De même que M. J.Pateaur qui a
eu l’amabilité de me guider.

Je tiens également à remercier tous les étudiants chinois qui ont consacré leur temps
pour répondre l’enquête.

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Sommaire
Remerciement........................................................................................................1
Sommaire...............................................................................................................2
I. Introduction générale......................................................................................3
A. Le système éducatif chinois.....................................................................................3
1. L'enseignement avant université............................................................................................3
2. Le concours d'entrée à l'université.........................................................................................4
3. L'enseignement supérieur......................................................................................................5
4. Les études supérieures à l'étranger........................................................................................7

B. Le système éducatif français....................................................................................8


1. L'enseignement primaire........................................................................................................9
2. L'enseignement secondaire..................................................................................................10
3. L'enseignement supérieur....................................................................................................11

II. Valeur, mentalités et comportements............................................................12


A. Comparer le règlement scolaire.............................................................................12
1. Règlement de l'école en France............................................................................................12
2. Règlement de l’école en Chine.............................................................................................13
3. Commentaire........................................................................................................................14

B. Difficultés rencontrées en France...........................................................................14


C. Hypothèse.............................................................................................................14
III. Analyse de l’enquête..................................................................................15
A. Identification.........................................................................................................15
B. Les difficultés.........................................................................................................15
C. Propositions...........................................................................................................21
D. Informations complémentaires..............................................................................24
IV. Conclusion.................................................................................................26
V. Annexe--Enquête sur les études en Chine et en France...................................27
A. Votre identité.........................................................................................................27
B. Les difficultés.........................................................................................................27
C. Les propositions.....................................................................................................29
VI. Bibliographe.....................................................................................................31

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I. Introduction générale

A. Le système éducatif chinois

1. L'enseignement avant université

Le système scolaire chinois comprend des garderies, des maternelles, des écoles
spécialisées pour les sourds et les muets, des « key schools », des écoles primaires,
des écoles secondaires (comprenant des écoles d'agriculture et professionnelles), des
écoles pour les enseignants, des écoles techniques et plusieurs institutions d'études
supérieures (collèges et universités généraux ou spécialisés).

L'éducation préscolaire, qui débute vers l'âge de trois ans et demi.


La Chine compte approximativement 341 600 écoles primaires, 99,3 % des jeunes de
7 ans fréquentaient l'école primaire. Le curriculum comprend les cours de Chinois et
de mathématiques (environ 60 % du temps d'enseignement pour ces deux notions),

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d'éducation physique, de musique, d'art, de sciences naturelles et de morale et


société. L'anglais comme langue seconde est introduite vers la 3e année.

L'éducation secondaire en Chine est divisée en deux parties, les niveaux juniors et les
niveaux seniors. Le niveau junior compte 3 niveaux et débute vers l'âge de 12 ans ;
quant au niveau senior, il compte 2 à 3 niveaux et débute vers l'âge de 15 ans. En
2006, plus de 60885 104 000 'middle schools' (régulières et techniques) comptaient
environ 51 millions d'élèves.

Le programme comprend des cours de langue chinoise, de mathématiques, de


physique, de chimie, de géologie, de langue seconde, d'histoire, de géographie, de
politique, de biologie, de musique, d'arts et d'éducation physique. Au niveau junior,
les mathématiques et la langue chinoise comptent pour 38 % du curriculum et la
langue seconde pour 16 %. Au niveau senior, 50 % du curriculum est en sciences et
en mathématiques et 30 % en langues.

Les écoles professionnelles visent à remplir les besoins de la modernisation. Les


écoles secondaires régulières donnent même des cours, tels qu'en industries, en
services, en affaires et en agriculture, afin de faire la promotion des métiers
professionnels. Près de 3 millions d'étudiants au niveau technique.

2. Le concours d'entrée à l'université

La compétition pour accéder à l'enseignement supérieur est sévère. Dans les


dernières années du lycée, les élèves concentrent leurs efforts sur la préparation du
concours d'entrée à l'université: le "gaokao". Un échec au gaokao signifie bouleverse
les perspectives d'avenir d'un jeune Chinois. Sur les 5, 27 millions à s'être présentés
aux épreuves du gaokao en 2002 (les autorités chinoises prévoient un nombre
supérieur à 8 millions pour 2005), un peu plus de la moitié ont été admis dans une
université. Les réformes initiées en 1999 tendant à élargir l'accès à l'enseignement
supérieur se heurtent aux limites de la capacité d'accueil des établissements et du
budget consacré à l'éducation.

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Commandée par la forte demande d'études supérieures des jeunes générations


chinoises, la réforme actuelle du gaokao porte à la fois sur le contenu des épreuves
et sur la modernisation du système d'inscription des futurs étudiants.

Dans sa forme initiale, le gaokao se compose de trois


épreuves fondamentales: chinois, mathématiques,
anglais. Une des formules expérimentées et à l'œuvre
par exemple à Canton, Pékin et Shanghai est la
formule "3+1", dans laquelle s'adjoint une épreuve de
synthèse à orientation soit scientifique (physique,
chimie, biologie) soit littéraire (histoire, géographie,
politique).

L'objectif est de permettre au candidat de s'orienter


vers un domaine de spécialité. La mise en œuvre de
ces expérimentations est décentralisée, ce qui fait que
dans l'état actuel les modalités du gaokao varient
selon les provinces, voire selon les villes.
En outre, la note minimale d'admission est fixée au niveau provincial (ou municipalité
ou région autonomes), en fonction des priorités locales de développement. Il en
résulte une situation complexe et de grande disparité où les conditions d'équité
entre les candidats à l'échelle de la Chine sont discutées. D'autant plus que pour
recruter leurs futurs étudiants, les universités se réfèrent exclusivement à la note
obtenue au gaokao.

3. L'enseignement supérieur

L'examen national d'entrée à l'université n'admet que 13% d'une classe d'âge. La
volonté politique affichée est d'accroître ces effectifs pour atteindre, à l'horizon 2010,
15% d'une classe d'âge. Cet objectif a d'importantes répercussions sur la politique de
construction des établissements et sur le recrutement des enseignants.

L'augmentation devrait bénéficier plutôt aux formations techniques (elles ont gagné
5 points en deux ans) puisque désormais les étudiants partent seuls à la recherche
d'un emploi et que les besoins actuels sont forts dans ces domaines. À travers la
généralisation de formations supérieures techniques, en deux ou trois ans, une
nouvelle frange d'étudiants issus de l'enseignement général ou spécialisé accède à
l'université.
Une forte proportion des étudiants qui n'accèdent pas à l'université se tourne vers
des diplômes d'autodidacte: plusieurs millions par an s'inscrivent à des cours du soir
et à des examens spécifiques.

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Il y a 1225 établissements supérieurs. Pour les formations supérieures initiales, on


distingue :
- les formations courtes professionnelles en deux ans (dazhuan, Bac+2, en instituts
professionnels) ;
- les formations générales et professionnalisant en trois ans (dazhuan, Bac+3, en
universités ou en instituts professionnels) ;
- les formations générales en quatre ans (benke, Bac+4, uniquement en universités,
qui correspondent aux licences.
- les formations en trois ans qui suivent le benke (shuoshi, bac+7, qui correspondent
aux masters) ;
- le doctorat (boshi, bac+10, qui correspondent aux doctorales).

Pour ce qui est du personnel enseignant, on distingue :


Il n’y a pas de grande école en Chine, mais le Ministère chinois de l'Éducation a
identifié, dans un certain nombre d'établissements, des filières d'excellence qu'il
intitule « disciplines clés d'État » (State Key Specialities).

Le gouvernement a lancé aussi en 1994 le "Programme 211" afin de promouvoir 100


universités d'excellence pour le 21ème siècle, qui bénéficient d'un soutien accru de
la part du Ministère et des provinces.
Les dix meilleures universités de Chine se sont regroupées en une association pour
acquérir, d'ici vingt ans, une dimension internationale de premier plan. D'autres se
regroupent, fusionnent, pour atteindre le seuil critique de reconnaissance
internationale. Ces réorganisations sont un préalable au contrat signé entre l'État et
les établissements.

4. Les études supérieures à l'étranger

Le nombre d'étudiants partis à l'étranger a doublé entre 2000 et 2001, atteignant


près de 84 000 étudiants en 2001. Le constat que les possibilités offertes par
l'enseignement supérieur chinois est limitées, le désir d'une plus grande ouverture,
la possibilité d'une carrière plus intéressante et mieux rémunérée, la perspective
d'une mobilité internationale est les principaux éléments qui incitent la jeunesse
chinoise à étudier à l'étranger. La combinaison de ces différents facteurs conduit à
supposer que le nombre d'étudiants chinois désireux de partir à l'étranger va
continuer de croître rapidement au cours des prochaines années. Cela s'explique par
l'impossibilité pour les établissements supérieurs de répondre favorablement aux
attentes des lycéens qui sortent ces dernières années en nombre croissant des
établissements secondaires. Les demandes d'élèves sortant directement du lycée et
désireux de poursuivre des études en France devraient croître considérablement d'ici
deux à trois ans.
Afin d'augmenter le taux de retour des étudiants chinois partis à l'étranger (41%
actuellement), les provinces et les municipalités proposent des conditions attractives
pour leur réinstallation : logement, nouvelles infrastructures éducatives, création de

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parcs spécialisés dans les sciences et les techniques, exonérations d'impôts pour les
entreprises ayant fortement investi, ouvertures de classes bilingues pour leurs
enfants qui ne maîtriseraient pas suffisamment la langue chinoise. L'adhésion de la
Chine à l'OMC, et par conséquent l'espoir d'un développement économique rapide,
rend également le retour au pays plus attractif.

Face à l'ouverture grandissante de la Chine, la jeunesse chinoise, qui connaît une


nette amélioration de son pouvoir d'achat principalement en zone urbaine, souhaite
allonger la durée de ses études. Le système chinois héritier d'un modèle très sélectif
et restreint par des questions de budget, a du mal à répondre à une aussi forte
demande. Les études à l'étranger sont considérées par beaucoup de jeunes comme
un moyen de remédier aux limites actuelles du système éducatif chinois.

Source : http://www.amb-chine.fr

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B. Le système éducatif français

Le système éducatif français est marqué par un fort centralisme national. Depuis
1967, l'instruction y est obligatoire de 6 à 16 ans. Elle est dispensée dans toutes
sortes d'établissements scolaires, relevant pour la plupart du ministère de l'Éducation
nationale, et parfois au sein de la famille dans le cadre légal de l'instruction en
famille.

Les effectifs totaux d'élèves et d'étudiants atteignent 15 millions, c'est-à-dire qu'un


quart de la population suit des études. Le budget de l'éducation nationale y
représente 7,1% du PIB.

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En primaire, les élèves ont en moyenne 26 h de classe par semaine (moins pour ceux
qui ont la semaine de 4 jours ou un Contrat Éducatif Local, mais cela est compensé
par moins de vacances). En collège, les élèves ont 26 à 29 h de cours, et en lycée
environ 34 à 35 h (mais cela dépend des options qu'ils ont choisies). Les professeurs
de collège et de lycée doivent effectuer par semaine (selon leur statut) 18h de cours
pour un certifié, 15 heures pour un agrégé, augmentées des heures supplémentaires
inscrites à l'emploi du temps et certaines heures spécifiques (gestion du réseau
informatique, gestion de laboratoire scientifique, heure de vie de classe...). On
estime qu'une heure de cours implique une heure de travail personnel (préparation
du cours, correction de copie, documentation etc.)

Le coût annuel moyen d'un collégien français atteint 7 401 euros et a augmenté de
33 % entre 1990 et 2004 ; le coût annuel moyen d'un lycéen est d'environ 10 000
euros, et les dépenses ont augmenté de 50 % sur la même période.

Le système éducatif est divisé en plusieurs niveaux : primaire, secondaire,


professionnel, apprentissage et supérieur. Il faut prendre également en compte la
formation continue.

1. L'enseignement primaire

Il se divise en trois cycles et se déroule souvent dans des établissements différents. À


l'école maternelle où l'élève passe trois ou quatre ans (il a alors entre 2 et 6 ans) en
toute petite section, petite section, moyenne section et grande section. La
scolarisation à deux ans est très variable selon les régions et les zones (plus
fréquente dans les ZEP).

La fréquentation de l'école n'est pas obligatoire mais l'instruction de l'enfant l'est à


partir de six ans et ne concerne donc pas les élèves de l'école maternelle, sauf ceux
nés en début d'année, pour la grande section.

À l'école élémentaire appelée parfois abusivement primaire, l'élève reste cinq ans (il
a alors entre 6 et 11 ans). Les classes sont le cours préparatoire (CP, cycle 2), le cours
élémentaire niveaux 1 (CE1, cycle 2) et 2 (CE2, cycle 3), le cours moyen niveaux 1
(CM1, cycle 3) et 2 (CM2, cycle 3).

À l'école primaire, qui regroupe des classes de niveaux maternels et élémentaires,


l'enfant peut passer 9 années, de 2 à 11 ans (il s'agit en général d'écoles rurales).

Le cycle 1, cycle des apprentissages premiers, concerne les élèves de TPS, PS, et MS.
Le cycle 2, cycle des apprentissages fondamentaux, concerne les élèves de GS, CP et
CE1. Le cycle 3, cycle des approfondissements, concerne les élèves de CE2, CM1,
CM2. À noter que la grande section est à cheval sur deux cycles.

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2. L'enseignement secondaire

L'instruction est obligatoire jusqu'à 16 ans. Elle peut être donnée dans une école
d'État, dans une école privée sous contrat, ou privée hors contrat ou encore en
famille. L'enseignement au collège dure 4 ans, dans les classes de sixième,
cinquième, quatrième et troisième. La sixième correspond au cycle d'adaptation, la
cinquième et la quatrième au cycle central, et la troisième au cycle d'orientation. Le
Diplôme national du brevet est remis, après examen, aux élèves ayant acquis les
connaissances générales du collège. L'enseignement continue au lycée
indépendamment des résultats de ce diplôme.

Dans un lycée général et technologique, l'enseignement dure 3 ans, dans les classes
de seconde, première et terminale. La seconde générale et technologique constitue à
elle seule le cycle de détermination, on l'appelle également seconde de
détermination car on y prépare son choix de baccalauréat (la série). La première avec
l'année de terminale correspond au cycle terminal. À la fin des ces 3 années, les
élèves passent le baccalauréat général ou technologique.
Au lycée professionnel les élèves peuvent préparer un CAP en deux ans. Ils peuvent
aussi faire une seconde professionnelle puis une terminale BEP (Brevet d'études
professionnelles) pour passer l'examen du BEP.

Après ce dernier il est possible de rejoindre un BT (Brevet de technicien), remplacé


progressivement par les baccalauréats professionnels (BP), en deux ans, ou une
première professionnelle et une terminale professionnelle pour passer le
baccalauréat professionnel ou bien de suivre une première d'adaptation en vue
d'une terminale et d'un baccalauréat technologique. Depuis quelques années, il est
possible de préparer le baccalauréat professionnel en 3 ans après la 3e à l'endroit où
la spécialité existe.

Comme au primaire, on retrouve les différentes formes de scolarisation :


• La scolarisation en milieu ordinaire, avec ou sans aménagement (matériel,
auxiliaire de vie scolaire).
• La scolarisation dans un dispositif d'intégration collective au collège : les UPI
(Unité Pédagogique d'Intégration). Celle-ci fonctionne comme une CLIS au collège.
Des UPI en lycée professionnel commencent à voir le jour.
• La scolarisation au sein d'un établissement spécialisé (de type IME, ITEP)
permettant une prise en charge globale. Dans ces établissements, une pré-
professionalisation peut avoir lieu.

3. L'enseignement supérieur

Le premier diplôme universitaire est le baccalauréat. Une fois obtenu, l'élève devient
étudiant et peut alors choisir des études courtes et obtenir, en deux ans, un Brevet

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de technicien supérieur ou un Diplôme universitaire de technologies dans un secteur


spécialisé du tertiaire ou technologique.

L'université propose des formations dans tous les domaines en vue d'obtenir une
licence (Bac+3), un master (Bac+5) ou un doctorat (Bac+8).

Enfin de nombreuses grandes écoles proposent des formations exigeantes et un


diplôme prestigieux à bac+5. On peut y accéder directement après le bac ou après
deux années de classes préparatoires et un concours.

Source : http://fr.wikipedia.org

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II. Valeur, mentalités et comportements

Ce que les jeunes Français apprennent Ce que les jeunes Français apprennent
- Socialisation précoce : les copains - La vie de groupe
-Transmission de connaissances par - Le respect de l’enseignant et des
l’enseignant personnes âgées
- Formation de l’intellect - La persévérance et la rigueur
- La théorie, la logique et la réflexion - La formation du caractère
- Le style et l’éloquence - La compétition
- L’importance des diplômes et du rang - Le devoir envers la société et les parents

Source : EI03

A. Comparer le règlement scolaire


1. Règlement de l'école en France
1 / le cour
 Ne pas monter sur le talus, même en hiver quand il y a de la neige.
 Chaque classe doit penser à ranger le ballon après avoir joué avec.
 Chacun doit ranger le matériel qu'il a pris pendant la récréation (cerceaux par
exemple).
 On n'a pas le droit de jouer avec les vélos.
 Respecter l'espace du terrain de jeu.
 Ne pas aller dans le coin du sautoir sans la présence d'un adulte.
 On ne jette pas de papiers (goûters ou autres) dans la cour, ni dans les
couloirs, ni dans les WC.
 Respecter l'affiche du jeu de ballon (une semaine au pied et une semaine à la
main).
 Respecter le planning du terrain de jeu de ballon.
 Ne pas inviter d'autres classes sur le terrain de jeu car il y aurait trop de
monde.
 Respecter le drapeau vert qui nous autorise à lancer des boules de neige.
 Le matin, ranger son cartable, sur la fenêtre dans le coin cartable prévu.

2/ Les couloirs et les toilettes


 Ne pas jouer dans les toilettes
 Ne pas circuler dans les couloirs ou les classes pendant la récréation.
 Ne pas entrer dans le gymnase pendant la récréation.
 Ne pas courir dans les couloirs et dans les escaliers.
 Respecter le côte12 fille et garçon des toilettes.

3/ La politesse, le respect des autres

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 On ne crache pas par terre, c'est sale et c'est impoli.


 Ne pas se disputer en récréation et taper ses camarades.
 Le matin, au portillon, on attend que l'enseignant l'ouvre, on ne se bouscule
pas pour le franchir et on dit « bonjour ».
 Ne pas faire de cloche-pied aux autres, c'est dangereux et on peut se blesser.
 On ne veut pas entendre d'insultes ou de gros mots.
 En cas de non respect de ce règlement, je pourrais être puni par les maîtres
ou maîtresses.
 Si je recommençais plusieurs fois, mes parents seraient avertis par une lettre
dans le cahier violet.
 Si ça ne suffisait pas, mes parents et moi serions convoqués avec mon maître
et le directeur.

2. Règlement de l’école en Chine

1. Aimer mon pays, aimer mon peuple, aimé le parti communiste.


2. Observer les lois, respecter l'ordre public.
3. Féru de science, affectionner l'étude , étudier avec diligence , aimer
rechercher,participer les bonnes activités.
4. Ménager la vie, faire du sport, prêter attention à l'hygiène.
5. Etre fié, avoir confiance en soi,prendre une bonne habitude.
6. Participer activement au travail manuel, être diligent, économe et sobre, faire
ce que l’on peut faire.
7. Respecter les parents, professeurs et les aînés, être poli.
8. Aimer la classe et la collectivité , s’aider les uns les autres, se soucier des
autres.
9. Etre honnête et consciencieux.
10. Aimer la nature et l’environnement.

3. Commentaire

Le règlement français est plus détaillé, plus précis, il se vise à la personne, avec un
ton amical. Le règlement chinois est très abstrait et simple, et reflète une valeur de
collectivité.

B. Difficultés rencontrées en France


Les étudiants chinois rencontrent pas mal de difficulté en france. Globalement, en
études ; en communiquer avec les autres personnes, y compris les enseignants, les
étudiants, les personnes dehors, etc. ; et dans la vie quotidienne.

C. Hypothèse
On a fait plusieurs hypothèses, pour toutes ces difficultés, comme ci-dessous :

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D’abord, évidement, la culture et la langue sont les deux premières sources de la


difficulté.
En suite, vivre en France, est assez cher, l’argent est une source de difficulté
inégalable.
Et puis, la nourriture, le manque de repères pourraient les sources de difficultés
aussi.
Les enseignants et les camarades sont plus la même, cela pose aussi des difficultés.

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III. Analyse de l’enquête
Avec toutes les hypothèses, on a pu créer une enquête, qui a compris trois parties,
identification, difficultés rencontrées et la proposition.

Dans la partie difficultés rencontrées, on a posé certaines questions sur la culture, la


communication et les différences au niveau de l’enseignement.

Et la partie proposition, on a essayé de proposer quelques propositions utiles pour


les étudiants, et pour l’utc.

A. Identification
On a reçu en totale 39 réponses, avec 20 réponses de filles, et 19 réponses de
garçons. D’après l’étude statistique, les étudiants se répartissent dans trois cycles, et
sont autour de 20-24 ans.

B. Les difficultés

1. Quelles difficultés aviez-vous rencontré quand vous êtes arrivé(e) en France ?

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Les difficultés rencontrées sont comme l’hypothèse qu’on a fait, la langue, la culture,
sont plus répondu. Mais aussi, la chine est un pays en voie de développement, vivre
en France, il y a des problèmes de financement.

2. Quelle difficulté vous a le plus gêné ?

On voit bien que la langue est toujours la plus dur pour les étudiants chinois. C’est
parce que les chinois ont toujours peur de perdre la face, n’osent pas de s’exprimer
dans la publique.

3. Avez-vous eu des difficultés ou malentendus en communiquer avec les


Francophones ?

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Presque tous les étudiants ont eu des difficulté en communiquer. Heureusement, on


est optimiste, plus que moitié de gens croient cela va de mieux en mieux.

4. Croyez-vous avoir une bonne connaissance de la culture française ?

5. D’après vous, la connaissance de la culture française est-elle indispensable pour


vos études en France ?

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Le résultat montre que les étudiants chinois savent que la culture française est très
important pour eux, mais malheureusement, cette fameuse culture n’est pas
beaucoup connu en Chine.

6. Trouvez-vous qu’il y a des différences au niveau de l’enseignement entre la


France et la Chine ?

7. Avez-vous connu des surprises en travaillant et en vivant en France?

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Beaucoup de surprises, c’est normale quant on vive dans une culture totalement
différentes, mais c’est aussi une opportunité inoubliable.

8. Qu’est-ce que vous faites quand vous être libres?

Un gros problème est montré, la moitié d’étudiants préfèrent communiquer avec les
PCs, les vidéos, qu’avec les personnes, la culture quand ils sont libres. C’est vraiment
très important, si quelqu’un devant le PC toutes la journée, comment peut-il
s’intégrer ?

9. Comment trouvez-vous vos collègues/camarades français ? (En général)

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10. Est-ce que vous aimez travailler en équipe ?

11. Est-ce que vous vous sentez rejeté(e) de temps en temps en vivant en France ?

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Avoir peur de perdre la face, toujour ce problème. Surtout dans une ambiance
étrangère.

12. Avez-vous des amis francophones?

C. Propositions

1. Qu’est-ce qui pourrait faciliter l’intégration ?

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En Chine, les cours sont enseigné en chinois, en France, les cours sont enseigné en
français, c’est très claire, et évident, mais cela pose un gros problème. Parce que le
cours de la langue française, on n’apprend pas la langue mathématique, physique,
etc. même « +, -, x, / ». Quand on au cours spécial, on ne comprend toujours rien.
Donc les cours spécial de mise à niveau sont indispensables.

Comme les étudiants chinois sont arrivé en France juste un mois avant d’entrer au
TC, c’est un peu court.

2. En ce qui concerne des cours spéciaux, quels types de cours souhaitez-vous ?

Les étudiants attendent le différent type de cours, il y a que 5% de personne qui crois
ces cours sont inutiles.

3. Avez-vous besoin d’aide des étudiants francophones, à l’UTC ?

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4. D’après vous, combien de temps faut-il pour s’intégrer dans la vie française ?

5. Qu’attendez-vous de l’UTC ?

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Les étudiants chinois attendent plutôt les aides d’enseignants, c’est tout à fait
normale. Car en Chine, on dit : « même si quelqu’un est ton enseignant pour juste
un jour, tu devrais le considérer comme ton père toute ta vie ».

En plus, avant d’entrée à l’université, les enseignants jouent un rôle très important
pour les élèves. Parce que les élèves passent tellement de temps à l’école (au moins
12h par jour). Les enseignants non seulement font des cours, mais aussi enseignent
comment se conduire en homme.

D. Informations complémentaires
Il y a quelques réponses complémentaires qui sont complétées par les étudiants,
comme ci-dessous :

Quelles difficultés avez-vous rencontré quand vous êtes arrivé(e) en France ?


La solitude, un manque d’amitié, difficile à s’intégrer dans le cercle des étudiants
français

Qu’est-ce qui pourrait faciliter l’intégration ?


1. Apprendre le langage des jeunes (Largo=), Lire les journaux, regarder la télé, les
films, Ayant facilement accès aux médias publiques…après l’intégration se fera tout
seul (lorsque une fois on parle vraiment comme eux. Le cours de langue dans les
salles sont nécessaires mais ne peut remplacer la vraie vie)

2. oser à s’exprimer, aller aux soirées étudiantes. Le plus dur, ce n’est pas la langue,
mais l’attitude de s’intégrer volontairement

Aviez-vous d’autres propositions? Précisez, SVP !


Il faut pas rêver de pouvoir vivre un exactement comme les français eux-mêmes,
lorsque dans le font on vient d’une autre culture. Chaque personne a sa propre
caractère, une publicité disait que « Avoir un caractère c’est déjà conserver une
identité forte». Et l’identité des chinois c’est la culture chinoise.

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Vivre en France, c’est comme regarder un film français. Tu peux apprécier un


personnage sans se forcer de faire comme lui. Bien sur pour mieux comprendre les
petits fins passages dans le film, il vaut mieux regarder la version originale que la
version traduite. C’est pourquoi nous devront apprendre le Français, le français
pratique, c’est à dire l’oral, familiale, parlé par les étudiants de nos ages…
Ce que nous apprenons dans les salles, c’est la Français écrit, rien à faire avec la
française familial.
Apprendre à juger moins et écouter plus. C’est important dans la vie à l’étranger. La
France est vraiment un pays magnifique. A la fois charment à l’apparence et
séduisant dans le font. Les voyages peuvent aider aux étrangers d’apprécier la beauté
du pays et de sa nature, l’amour pour la cuisine/film/art/musée/sport/politique/etc.
aide à aimer ce pays dans le fond et à découvrir un patrimoine sous une autre
forme…
C’est très intéressant de participer à votre enquête, bon courage, et merci d’avoir
penser à cette idée ! Bonne réussite !

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IV. Conclusion
La plus part d’étudiants chinois sont enfant uniques, et sont surprotégés, chez eux, ils
sont des petits empereurs, petites empeseuses, toutes la famille sont autour d’eux.
En plus, la chine est un pays collectivisme. On parle beaucoup de « la relation ».
Quand on vient en France, tout est changé. C’est normale d’avoir un sentiment
perdu.

Mais plus qu’on sent perdu, on doit moins se laisser aller au désespoir. Il faut
chercher la solution soi-même, et savoir adapter le changement.

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V. Annexe--Enquête sur les études en Chine et en France

Objectif :
Dans le cadre de l’UV TN16, nous réalisons un sondage sur les études en Chine et
en France. Cette étude permet de connaître la situation d’étudiants chinois à l’UTC,
de bien accueillir les nouveaux étudiants chinois. Pouvez-vous nous consacrer
quelques minutes pour répondre. À ce questionnaire ?

A. Votre identité

 Votre sexe : ¤ masculin ¤ féminin


 Votre age : ¤ - de 20 ans ¤ 20 à 24 ans ¤ +de 24 ans
 Votre niveau d’étude actuellement :
¤ 1er cycle (TC) ¤ 2ème cycle (Branche) ¤ 3ème cycle (Ph.D)
 Est-ce que vous avez fait des études universitaires en Chine
¤ Oui ¤ Non
 Depuis combien de temps êtes-vous en France:
¤ - d’un an ¤ un an ¤1 à 2 ans ¤ 2 à 3 ans ¤+ de 3 ans

B. Les difficultés
13. Quelles difficultés aviez-vous rencontré quand vous êtes arrivé(e) en France ?
A : la langue
B : la culture
C : l’argent
D : le manque de repères
E : D’autres, précisez-les, SVP !____________
(Vous pourriez choisir plusieurs!)

14. Quelle difficulté vous a le plus gêné ?


A : la langue
B : la culture
C : l’argent
D : le manque de repères
E : D’autres, précisez-les, SVP !____________

15. Avez-vous eu des difficultés ou malentendus en communiquer avec les


Francophones ?
A : souvent
B : oui, mais ça va de mieux en mieux

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C : quelquefois
D : pas souvent
E : jamais

16. Croyez-vous avoir une bonne connaissance de la culture française ?


A : Oui B : Non

17. D’après vous, la connaissance de la culture française est-elle indispensable pour


vos études en France ?
A : absolument indispensable
B : nécessaire
C : il n’y a pas beaucoup de liens entre les deux
D : inutile

18. Trouvez-vous qu’il y a des différences au niveau de l’enseignement entre la


France et la Chine ?
A : non
B : peu
C : beaucoup
D : énormément

19. Avez-vous connu des surprises en travaillant et en vivant en France?


A : oui, beaucoup
B : oui, mais pareil qu’en Chine
C : oui, moins qu’en Chine
D : non

20. Qu’est-ce que vous faites quand vous être libres?


A : sport
B : cinéma
C : être devant le PC
D : penser à ma famille et mes amis
E : rien

21. Comment trouvez-vous vos collègues/camarades français ? (En général)


A : très gentils et serviables
B : assez gentils
C : comme ci comme ça
D : indifférents, ne s’intéressant pas à nous
E : méchants

22. Est-ce que vous aimez travailler en équipe ?


A : oui, c’est un bon moyen pour mes études et mon français
B : ça va, mais il y a trop de travail en équipe

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C : non, j’aime plutôt travailler individuellement


D : aucune idée

23. Est-ce que vous vous sentez rejeté(e) de temps en temps en vivant en France ?
A : oui, je crois beaucoup de Français sont anti-chinois
B : oui, il existe une certaine xénophobie
B : non

24. Avez-vous des amis francophones?


A : oui, beaucoup
B : quelques amis très gentils
C : pas beaucoup
D : non

C. Les propositions

25. Qu’est-ce qui pourrait faciliter l’intégration ?


A : Arriver 3 mois en avance
B : Sensibilisation culturelle
C : Cours spécial de mise à niveau
D : D’autres, précisez-les, SVP !____________

26. En ce qui concerne des cours spéciaux, quels types de cours souhaitez-vous ?
A : cours supplémentaires de la langue (LA91-94 n’est pas très adaptés pour mon
français)
B : cours sur la culture et l’actualité françaises
C : cours de la spécialité
D : cours de la communication

27. Avez-vous besoin d’aide des étudiants francophones, à l’UTC ?


A : oui, souvent
B : oui, quelques fois
C : on s’entre aide
D : non

28. D’après vous, combien de temps faut-il pour s’intégrer dans la vie française ?
A : - de 6 mois
B : environ 1 an
C : 1 an à 2 ans
D : 2 ans et plus

29. Qu’attendez-vous de l’UTC ?


A : des enseignants

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B : de l’administration
C : autres. Précisez, SVP !

Avez-vous d’autres propositions? Précisez, SVP !

Nous apprécions votre participation, votre temps et vos opinions ! Bon courage et
bonne chance à vous tous !!

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VI. Bibliographe
1. Cours d’EI03
2. http://www.amb-chine.fr
3. http://fr.wikipedia.org

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