Вы находитесь на странице: 1из 12

Sujet : CROISSANCE ÉCONOMIQUE ET

INTERNATIONALISATION DE LA PRODUCTION.

La croissance économique est un élément essentiel dans une société. Elle


constitue le principal facteur de cohésion sociale d’une société. C’est
également un facteur de développement. La croissance économique s’est
principalement assise sur une augmentation du commerce mondial et une
internationalisation de l’économie.

La croissance est « l’augmentation soutenue pendant une période


longue d’un indicateur de production en volume » selon François Perroux.
L’INSEE retient comme indicateur de production le produit intérieur
brut. L’évolution de cet indicateur va permettre d’étudier la croissance.

L’internationalisation de la production appelée aussi «


Transnationalisation » résulte de l’accroissement des flux
d’investissement et de la multiplication des implantations à l’étranger.
L’internationalisation de la production est une composante de l’
internationalisation de l’économie, elle joue un rôle très important dans la
croissance économique de chaque pays. Là où il y a des échanges
commerciaux internationaux, il y aurait de la croissance.
L’internationalisation de la production fait références aux délocalisations
de production.

L’effet global de l’internationalisation de la production sur la


croissance économique est significatif. Ce rapport entre
internationalisation et croissance fait naître des interrogations quant aux
relations que ces deux phénomènes entretiennent entre eux.

Ainsi, il est légitime de se demander : Quelle est la relation entre


croissance économique et internationalisation de la production ?
L’internationalisation de la production favorise t-elle la croissance
économique en France ? Quels problèmes peut-elle générer ? Le
commerce international induit-il la croissance? Quelles sont les
conséquences de cette croissance économique dans un pays ?
Il sera intéressant d’étudier les rapports entre croissance économique
et internationalisation de la production (I) avant de mettre en exergue
les incidences de l’internationalisation de la production et plus
généralement du commerce international sur la croissance économique
dans un pays (II).

I. Les rapports entre croissance économique et internationalisation de la


production.

La croissance économique et l’internationalisation de la production


sont deux phénomènes liés de près. Puisque la croissance est due à une
augmentation de la production (A) et que l’internationalisation de cette
production tend à augmenter cette dernière (B), alors
l’internationalisation crée de la croissance.

A/ La croissance économique : résultat de l’augmentation de la


production.

Alors que l’économie évoque sans cesse le terme de croissance, il va


falloir éclaircir cette notion quant à sa définition (1) et mettre en
lumière les différents facteurs qui permettre d’accroitre la croissance
économique dans un pays et à l’échelle mondiale (2).

1.Définition et mesure de la croissance.

Le terme croissance vient du latin « crescere » qui veut dire


croitre, grandir. La croissance économique désigne la variation de la
production de biens et de services dans une économie sur une période
plus ou moins longue. Sur une période longue, on parle de croissance
tandis que pour une période courte, on parle d’expansion. Elle s’oppose à
la récession ou à la répression.(DÉPRESSION) La croissance est un
processus fondamental de l’économie et particulièrement des économies
contemporaines. C’est un phénomène récent qui date du début de
l’industrialisation avec l’apparition de nouvelles ressources notamment
minérales (mines) et énergétiques (pétrole, gaz, charbon…). De surcroît,
le progrès technique a également jouait (JOUÉ) un rôle important.
Selon François Perroux (1903-1987), économiste français, la
croissance est «l’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs
périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit
global net en termes réels». Il existe deux types de croissance, d’une
part, la croissance extensive qui désigne l’augmentation des quantités de
facteurs de production. Par exemple la culture de nouvelles terres ou
l’ouverture de nouvelles usines. Dans ce cas, il y aurait des créations
d’emplois. D’autre part, la croissance intensive qui désigne
l’augmentation, au moyen de gains de productivité, de la production à
volume de facteurs de production identiques. Dans ce cas, il n’y a pas
nécessairement de créations d’emplois.

Concernant la mesure de la croissance, elle est effectuée par


l’utilisation d’indicateurs économiques. Le plus courant et le plus utilisé et
le PIB (produit intérieur brut) ou PNB (produit national brut). Il offre
une mesure quantitative du volume de la production. La parité du pouvoir
d’achat est également utilisée. Certains proposeNT même d’utiliser
l’indice de développement humain. Cependant, l’indicateur du PIB est
vivement critiqué. La première critique est qu’il mesure mal l’économie
informelle qui englobe l’économie familiale, l’économie conviviale et
l’économie clandestine. En effet, par exemple, il ne mesure pas l’activité
de production domestique (ménage, potager,…). Selon Alfred Sauvy
(1898-1990), un économiste et sociologue français, « il suffit de se
marier avec sa cuisinière pour faire baisser le PIB». La seconde critique
est que cet indicateur ne prend pas en compte la richesse possédée par
un pays. Il en résulte que cet indicateur n’est pas toujours pertinent.

2.Les déterminants de la croissance.

Les facteurs de la croissance économique sont multiples. Il existe


plusieurs types de déterminants à la croissance économique. C’est Xavier
Sala-i-Martin (né en 1963), économiste libéral catalan et spécialiste de
la croissance, qui précise qu’il n’y a pas qu’un seul déterminent simple de
la croissance. On peut citer, par exemple, parmi les déterminants, les
richesse naturelles, l’environnement extérieur, la population, les
innovations, l’investissement, la connaissance et le savoir, les cohérences
du développement et bien d’autres encore. Le niveau initial d’un pays
serait également un déterminant de la croissance, En effet, plus un pays
est riche au départ, moins il va croître rapidement et inversement. C’est
le processus de convergence conditionnelle. L’extension des libertés
économiques est également une condition de la croissance, on pense
notamment à la liberté d’entreprendre, la liberté des personnes et des
biens. De même, avoir une économie de marché est source de croissance.
Les pays ayant eu une économie de marché (dans laquelle les biens et les
services sur la base des prix relatifs grâce aux mécanismes de l’offre et
de la demande) en opposition à une économie planifiée (au moyen d’un
plan qui fixe les objectifs de production sur une période donnée) ont eu
de meilleurs résultats.

La qualité du gouvernement d’un pays et ses décisions jouent


nécessairement un rôle au niveau de la croissance économique de ce pays.
L’efficience des institutions et (EST) également très importante tout
comme l’efficience des marchés, la reconnaissance de la propriété privée
ou en encore l’Etat de droit; ce sont même des éléments essentiels à une
bonne croissance économique. Enfin, Angus Maddison (1926-2010),
économiste et historien britannique, a dégagé plusieurs processus qui
permettent d’augmenter la production et donc la croissance économique.
Il s’agit de la conquête ou la colonisation d’espaces fertiles et peu
peuplés, de l’innovation technologique et institutionnelle, du commerce
international et des mouvements de capitaux. Il est possible d’établir le
constat suivant, l’internationalisation de la production est un déterminant
de la croissance. Dés lors que la production s’internationalise, il y a
augmentation de la production, et il y a donc croissance économique.
C’est le développement économique d’une société contemporaine.

B/L’internationalisation de la production: facteur d’augmentation de la


production.

L’internationalisation s’inscrit dans le phénomène de la mondialisation


et plus particulière de la mondialisation économique qui désigne
l’accélération, à l’échelle mondiale, des échanges de biens et de services.
L’internationalisation de la production est un phénomène qui doit être

éclairci (1) avant d’être mis en relation avec les notions plus larges de
commerce international et de délocalisations (2).

1.La teneur de ce phénomène d’internationalisation.

L’internationalisation de la production s’insère dans le processus de


mondialisation. Il s’agit pour les firmes multinationales de vendre et
d’acheter à l’étranger mais aussi de répartir leur production dans
différents pays en fonction des divers avantages qu’ils leur procurent. Il
faut distinguer mondialisation et internationalisation, selon Guy Rocher
(né en 1924), professeur de sciences sociales, « l’internationalisation se
réfère aux échanges de diverses natures, économiques, politiques,
culturels, entre nations, aux relations qui en résultent, pacifiques ou
conflictuelles, de complémentarité ou de concurrence.»

L’internationalisation est l’action d’internationaliser c’est-à-dire de


faire en sorte que plusieurs nations soient concernées.
L’internationalisation s’applique aux échanges. Ces échanges peuvent être
de différentes natures, économiques, politiques ou bien encore culturels.
Selon Michael Porter (né en 1947), célèbre professeur ayant notamment
enseigné à Harvard, il existe quatre types de stratégies
d’internationalisation misent en œuvre par les entreprises, l’orientation
stratégique internationale, l’orientation stratégique globale, l’orientation
stratégique multinationale et enfin l’orientation stratégique
transnationale.

En économie, il s’agit d’une stratégie de développement d’une


entreprise au-delà de son marché national. Si l’entreprise implante des
unités de production dans un autre pays, on parlera d’internationalisation
de la production. Elle va développer son activité au-delà de son
territoire national, il s’agit d’une stratégie de croissance hors du marché
national contrairement à une entreprise nationale. La production est
quant à elle, l’activité économique qui apporte de la valeur ajoutée par
création et fourniture de biens et de services. Elle est donc créatrice
de produits et par conséquent de valeur ajoutée.

L’internationalisation de la production apparait ainsi dans les années


60, surtout à partir des États-Unis, qui est considéré comme le pays à
l’origine du processus d’internationalisation, vers des pays à moindre coût
de main-d’œuvre. Dans ce phénomène d’internationalisation de la
production, cette production va se faire à l’étranger, d’où le
développement du commerce international et l’augmentation des
délocalisationS, phénomènes qui sont tous issus de la mondialisation
économique.

2.Le processus d’internationalisation de la production lié au commerce


international et aux délocalisations.

Le processus d’internationalisation de la production est une étape


permettant le commerce international, ce dernier se définissant comme
un échange de biens, de services et de capitaux entre pays. Le
commerce international comprend toutes les opérations sur le marché
mondial et notamment l’opération de production. Il englobe également les
opérations d’exportation et d’importation. L’exportation étant l’action de
vendre à l’étranger une partie de la production de biens ou de services
d’un espace économique. En opposition, l’importation est l’entrée dans un
pays d’un bien ou d’un service provenant d’un autre pays et produit dans
ce pays. Ces deux flux sont liés depuis le phénomène de la mondialisation
économique. Ce sont là des moyens d’internationalisation.

Puisque le processus d’internationalisation de la production consiste à


implanter des unités de production dans un autre pays, ce phénomène est
donc à l’origine des délocalisations de production qui sont de plus en plus
nombreuses.

Entre 2003 et 2005 en France, une entreprise industrielle sur 10


s’est implantée à l’étranger soit en délocalisant son activité tout entière,
soit en implantant seulement des nouveaux sites à l’étranger sans
diminuer la production en France. Une délocalisation peut être définie
comme le transfert d’une activité réalisée en France vers un pays
étranger pour une production identique. Plus précisément, cela consiste
en un transfert d’activités, de capitaux et d’emplois en des pays
bénéficiant d’avantages compétitifs comme par exemple une main d’œuvre
peu couteuse, des ressources naturelles plus accessibles, une
réglementation plus attractive, un personnel plus compétent ou encore
des débouchés plus intéressants.

Selon Francis Grignon (né en 1944), homme politique français, il est


très complexe de définir les délocalisations. Selon lui, « la délocalisation
consiste à changer de lieu une unité de production », de plus, « la
délocalisation désigne le recours à la sous-traitance », enfin la
délocalisation serait « la création d’une nouvelle unité de production à
l’étranger plutôt que sur le territoire national ».

L’objectif principal est de produire moins cher et de produire plus


avec la possibilité de vendre sur le marché local. Les délocalisations ont
particulièrement touché la filière de l’habillement et les entreprises du
secteur automobile ces dernières années.

II.Les incidences de l’internationalisation de la production sur la


croissance économique.

L’internationalisation de la production est un facteur de croissance, il


faudra expliquer en quoi ce phénomène induit la croissance économique
dans un pays (A). La croissance économique, bien qu’il s’agisse d’un
phénomène permettant le développement d’un pays sur le marché mondial,
a autant de conséquences négatives que positives (B).

A/L’internationalisation, facteur d’augmentation de la croissance.

L’internationalisation accrue de la production, de la distribution et


de la commercialisation des biens et des services forment le commerce
international, ce phénomène a des répercussions importantes sur la
croissance économique (1). Il existe encore des différences entre les
pays quant à leur participation à ce commerce international et par
conséquent quant à leur croissance économique (2).

1. Une source de croissance économique.

Il apparait évident que l’internationalisation de la production, le


commerce international plus largement et les délocalisations de
production en particulier, constituent des facteurs de croissance
économique. Le commerce international a largement évolué depuis ces
deux dernières décennies. En effet, on estime que le volume du
commerce mondial est aujourd’hui 14 fois supérieur à ce qu’il étais en
1950. Les échanges commerciaux internationaux ont principalement
évolué dans les pays développés et les nouveaux pays industrialisés ; ces
échanges ont ainsi favorisé leur croissance. En opposition, les pays les
moins avancés qui n’ont pas connu une telle augmentation des échanges
n’ont pas eu leur croissance favorisée. La théorie du commerce
international, qui comprend deux branches, l’une fondée sur la pensée
classique de David Ricardo (1772-1823), économiste anglais, l’autre qui
s’inspire des outils de l’organisation industrielle et de l’économie
géographique, est de plus en plus lié à la théorie de la croissance.

L’internationalisation de la production va de pair avec


l’internationalisation de la consommation. En effet, on constate une
uniformisation des goûts pour certains produits ou services à l’échelle
mondiale. Cela renforce davantage l’impact de l’internationalisation sur la
croissance économique. Si la population consomme plus, il y aura
davantage de demandes et par conséquent, il faudra produire plus, ce qui
engendrera de la croissance économique; tout est lié. Cependant, des
différences persistent entre les pays, qui n’ont pas le même poids face à
l’internationalisation et à la mondialisation, quant aux conséquences de
ces dernières. Néanmoins, au niveau mondial, le bilan de la croissance
économique est plutôt positif.

2.Des différences entre les pays.

Les rythmes de croissance peuvent être très différents d’un pays à


l’autre, d’une région à l’autre, cela étant du à la variation de certains
indicateurs de croissance. En effet, si la croissance est toujours très
faible en Afrique, elle a progressé très fortement en Asie où elle
dépasse même la moyenne mondiale. Au regard de ces résultats,
l’explication est la suivante : l’Asie, et principalement la Chine est un
pays au cœur du commerce international, ce qui expliquerait
l’augmentation de la croissance sur ce continent en opposition avec
l’Afrique qui participe peu aux échanges internationaux. Il y a deux
types de conséquences de l’internationalisation et de la multiplication des
délocalisations, celles dans les pays subissant les délocalisationS et
celles dans les pays bénéficiant des délocalisations, elles sont
complètement différentes. Pour les pays subissant les délocalisations, les
principales conséquences sont : accroitre la compétitivité des entreprises
résidentes et abaisser les prix des biens de consommation ce qui
favorisera le pouvoir d’achat des ménages, conséquences qui sont
positives.

À cet égard, David Ricardo, dans son Essai sur l’influence des bas
prix du blé sur les profits du capital, montre que la baisse des prix des
céréales permise par leur production à l’étranger permet de réduire les
coûts salariaux et donc de favoriser l’industrie et par conséquent la
croissance économique. Les autres conséquences concernant ces pays
subissant les délocalisations sont : générer des licenciements, créer un
moyen de pression sur les conditions de travail et entrainer la faillite de
certains sous-traitants de l’entreprise délocalisée, ici les conséquences
sont négatives.

Concernant les pays bénéficiant de ces délocalisations, les


conséquences sont généralement très positives puisqu’elles permettent de
créer de nouveaux emplois, augmenter le niveau de vie dans ces pays et
même rééquilibrer le partage des richesses. L’internationalisation et les
délocalisations de production, même si elles entrainent des conséquences
positives, sont toujours très mal perçues par les population dans le
monde entier et surtout dans les pays développés qui sont les premiers à
les subir au profit de pays en développement et particulièrement le
continent asiatique.

B/ Les conséquences « en demi teinte » de l’augmentation de la


croissance.

L’internationalisation de la production et la mondialisation toute


entière stimulent la croissance économique ; cette augmentation de la
croissance a elle même des conséquences ; si à première vue elle a un
impact positif sur les pays et individus (1), elle peut avoir quelques
effets pervers, si l’on y regarde de plus près (2).

1.L’impact positif de la croissance économique.

La croissance économique a un impact important sur le niveau de vie


de la population. De surcroît, puisque la croissance engendre un
enrichissement de la société, à long terme, elle peut faire reculer la
misère matérielle. On constate une augmentation du niveau de vie.
Néanmoins, ce constat n’est pas toujours vrai puisque si la croissance
démographique augmente en même temps que la croissance du PIB, il n’y
aura pas nécessairement une élévation du niveau de vie. La croissance
augmente les importations ; cela s’explique par le fait qu’il y a une
augmentation des revenus, donc il y a par conséquent (EXPRESSION
MALADROITE) plus de demandes de biens de consommation, ainsi il faut
importer davantage. Ce phénomène tend à développer le commerce
international.

La croissance économique et le commerce international sont deux


phénomènes interdépendants puisque les échanges internationaux sont
porteurs de croissance et l’augmentation de cette croissance permet de
développer davantage le commerce international. Le constat est très
positif. Les investissements augmentent également puisqu’il y a davantage
de moyens. De plus, on constate une hausse et une modification de
l’emploi. Concernant l’emploi, la tendance est aujourd’hui plutôt négative.
En effet, si la croissance économique peut être créatrice d’emplois, elle
ne parait pas suffisante pour remplacer le nombre d’emplois supprimés
suite aux délocalisations. Les résultats sont contrastés.
2. Les effets pervers de la croissance économique.

La croissance économique a certaines conséquences néfastes pour


l’homme et la société toute entière, On pense notamment à la pollution
et aux atteintes à l’environnement et à l’accentuation des inégalités
sociales.

D’une part, l’environnement a été très touché depuis la Révolution


industrielle. Puisque la croissance est l’augmentation de la production, il
a fallut créer de nouvelles infrastructures et consommer des ressources
naturelles non renouvelables pour produire davantage. D’où l’augmentation
de la pollution et l’apparition du phénomène du réchauffement climatique
qui est une inquiétude majeure dans notre société et le monde tout
entier.

Ainsi, d’un point de vue environnemental, la croissance a des effets


négatifs puisqu’elle engendre la dégradation de notre environnement et
l’épuisement des ressources naturelles non renouvelables. À long terme,
elle aura des effets sur la santé des populations, ce qui est déjà le cas
en Chine.

D’autre part, la croissance engendre de plus en plus d’inégalités


notamment entre les pays riches et les pays pauvres, entre ceux qui ont
une place dans le commerce international et ceux qui n’en ont pas. Selon
les anti mondialistes, la croissance ne profiteraient qu’aux riches. Or,
les pays intégrés au commerce international et dans lesquels il y a de la
croissance économique, voient la situation de leur riches comme de leurs
pauvres progresser ce qui est encourageant face au poids de la
mondialisation.

Enfin, pour conclure, (REDONDANT)il convient de dire que la


croissance économique provient de l’échange international et permet le
développement d’un pays. Ainsi, pour répondre à notre question, la
croissance économique est liée à l’internationalisation de la production.
Au regard de la croissance économique, le commerce international, les
délocalisations et plus généralement la mondialisation profitent à certains
pays mais restent des sources d’inquiétudes et de débats face à leurs
effets pervers. L’internationalisation reste un phénomène complexe qui
alimente le débat public entre ses partisans et ses détracteurs.

Вам также может понравиться