Les Groupes Electrogenes Calculs Puissances Bricolsec PDF

04/08/2016 LES GROUPES ELECTROGENES Calculs Puissances BRICOLSEC
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BRICOLSEC > ÉNERGIE > LES GROUPES ELECTROGENES Calculs Puissances
09 janvier 2008
LES GROUPES ELECTROGENES Calculs Puissances
Les groupes électrogènes (GE)
1 Le principe
2 Les différents problèmes Rechercher
2.1 Les moteurs électriques
NEWSLETTER
2.2 Le problème de l'impact de charge email M'abonner
2.2.1 L'impact de charge
2.2.2 Comment réduire l'impact de charge DIVERS
2.2.3 Le démarrage en fréquence Bonjour
2.2.4 La compensation du cosinus Phi
INFOS Rapides
2.2.5 Les puissances Actives et Apparentes
3 Les catégories de groupes RETOUR ACCUEILS
3.1 Les groupes de secours bricolsec
3.2 Les groupes EJP
lokistagnepas
3.3 La vitesse de rotation des groupes
3.4 Le refroidissement
3.5 L'installation
4 Calcul de groupes (deux exemples)
4.1 Ex 1 : Puissance d'outillage pour une puissance groupe
4.2 Ex 2 : DEUX moteurs de 130 KW cos Phi 0.83 Tri 400 V Id/in=4
5 Quelques particularités
5.1 L'inverseur Normal/secours (INS)
5.2 Les résistances de dissipation
5.3 La gamme des puissances
5.4 Limites des démarreurs électroniques
6 Conclusions
Si vous arrivez directement sur cette page par un moteur de recherche, vous pouvez avoir accès à la table des
matières et à chaque article, en page d'accueil. L'accès se fait par l'un des deux liens en tête de colonne de droite
>
Préambule
Pour ceux qui ont connu le grand verglas de 1978, ils se rappelleront combien l'électricité est utile
surtout en plein hiver, quand les pylônes électriques sont couchés dans les champs…et qu'il n'y a
plus d'électricité.
Alors en chauffage tout électrique (la sagesse n'était pas encore au rendezvous !), j'avais été
obligé d'acheter un groupe électrogène que j'ai conservé, car il m'est parfois utile. J'ai pu tourner
ainsi à 2 KVA dans deux pièces pendant 8 jours. Cela a permis aussi la sauvegarde du congélateur
et aussi ceux de quelques voisins.
Cependant tous les congélateurs n'ont pu démarrer pour les raisons que l'on va exposer ciaprès.
Cet article concerne aussi bien les grands groupes électrogènes que les petits, tout n'étant qu'une
question d'échelle.
1 Le principe
http://bricolsec.canalblog.com/archives/2008/01/09/7458142.html 1/19
1 Le principe
Un groupe Électrogène (GE), c'est un MOTEUR THERMIQUE essence ou diesel suivant les
puissances et un ALTERNATEUR (Générateur de courant alternatif). C'est le principe général
auquel il faut adjoindre quelques éléments de régulation de vitesse, (ainsi qu'un nombre
impressionnant d'accessoires éventuels).
En effet c'est de la vitesse de rotation que va dépendre la fréquence du courant alternatif.
Sur les petits modèles, de moins de 10 KVA, il s'agit toujours d'une régulation mécanique qui
garantit assez mal la fréquence. C'est un système à masselottes qui va directement régler
l'admission des gaz. Ce sont très souvent des moteurs refroidis à air.
Sur les gros modèles, il y a un module électronique qui est en mesure de régler beaucoup plus
finement la fréquence. Par gros modèles il faut entendre au dessus de 10 KVA et jusqu'à 2000 KVA.
(Ils sont en general refroidis à eau).
Cette dernière valeur représentant ce qu'il y a de plus gros dans la catégorie des "groupes". Il y a
bien entendu plus important, et des salles de 3 ou 4 groupes sont fréquentes (Supermarchés en EJP
par exemple ou hôpitaux en sécurité et/ou EJP).
Un groupe électrogène est avant tout l'assemblage d'un moteur et d'un alternateur, et on retrouve
des marques de moteurs thermiques très connues comme Yanmar, Berliet, Cummins, Perkins,
Renault, Volvo, Dorman, Deutz, Lombardini, Caterpilar etc…
On retrouve aussi de grandes marques d'alternateurs comme Leroy Somer, Mecalte, Unelec,
Markon, Petbow, MagnetiMarelli, Stamford, Alsthom etc…
Pour les petits groupes, c'est une production intégrale très souvent (Honda et autres). Pour les
grandes puissances, ce sont principalement les ensembliers qui s'en occupent avec Sdmo, alsthom,
Caterpilar, Electro Diesel, avec certains ayant déjà l'un des métiers à leur carte (très souvent des
motoristes).
2 Les différents problèmes
Il faut connaître la destination du groupe, et en particulier si il aura des moteurs électriques à
alimenter.
Le problème le plus important étant effectivement le démarrage des moteurs électriques.
2.1 Les moteurs électriques
Un moteur électrique classique peut consommer jusqu'à 7 fois son Intensité nominale (In) au

démarrage (Id). Ce courant est en retard sur la tension, cosinus phi oblige. Mais l'alternateur du
groupe DEVRA le fournir.
Il y a différents types de moteurs qui n'ont pas tous le même Id/In. Je pense qu'il faut prévoir le
pire en ce domaine et prendre cette base pour le calcul lorsqu'on ne connaît pas le type de moteur.
Une très grande proportion de moteurs sont aujourd'hui de type asynchrone à cage et ont un Id/In
de 7
Comment régler ce problème pour ne pas monter trop en puissance de groupe ? Il y a les
démarreurs électroniques qui sont capables de réduire jusqu'à 2.2 In l'intensité de démarrage. Cela
est très souvent nécessaire notamment sur les gros moteurs de pompes ou de groupe de
réfrigération : (moteurs de 130 KW pour les plus courants).
A l'époque il y avait des démarreurs de tous ordres, étoile triangle, électrolytiques, avec
résistances statoriques. On pouvait alors atteindre des rapports Id/In de l'ordre de 3.5 à 4. Ceci
était tout de même un certain plus. Tout cela a quasiment disparu aujourd'hui.
Certains moteurs avec volant d'inertie représentent de redoutables problèmes lorsqu'il faut les
démarrer avec des groupes électrogènes, car l'impact de charge dure très longtemps (voir ci
dessous).
2.2 Le problème de l'impact de charge
2.2.1 L'impact de charge
Toujours dans le fil de discussion du démarrage des moteurs électriques, alimentés par un GE,
celuici ne va pas pouvoir passer de 0 KVA à sa puissance nominale instantanément. Il y a donc
une règle (empirique) d'admettre que seulement LE TIERS de la capacité en puissance d'un
groupe peut être donnée instantanément.
Ainsi un groupe électrogène de 100 KVA ne pourra donc "encaisser" INSTANTANÉMENT que 33 KVA
dans un temps très court. (Il pourra bien sûr fournir ses 100 KVA après quelques secondes).
Quel est le risque de ne pas respecter cela ? Le moteur va faire comme pour votre voiture si vous
démarrez frein à main serré…Il va caler ! (En effet cela s'explique par le temps nécessaire à la
commande d'alimentation en carburant pour donner la puissance requise)
Cela étant le plus grave, car si toutes fois "la bête" est de bonne composition, la fréquence va
sortir de son cadre de tolérance, avec des conséquences parfois importantes, notamment sur les
appareillages électronique et les moteurs dont la vitesse représente une importance essentielle
(variations de pression en pompage avec coups de bélier par exemple)
Il est évident que l'impact de charge prend toute sa dimension lors du démarrage des moteurs
électriques connectés au réseau de l'alternateur.
2.2.2 Comment réduire l'impact de charge
Le même problème se conjugue lorsque l'on souscrit un abonnement de puissance à EDF, lorsqu'il y
a plusieurs moteurs puissants, il est nécessaire de démarrer chacun en décalé, de son voisin, pour
limiter les impacts de courant au démarrage. (protections qui sautent)
Il faut donc faire des démarrages EN SÉQUENCE, de façon à ce que le démarrage d'un moteur
électrique se fasse toujours après la phase de démarrage du précédent, (en général quelques
secondes).
Cependant avec les démarreurs électroniques, les temps de démarrage peuvent être "allongés" à
plusieurs dizaines de secondes. Il conviendra d'y prendre garde dans les temporisations.
2.2.3 Le démarrage en fréquence
Lorsqu'on n'a plus d'autre solution possible et que le groupe existe, il subsiste la solution de la
dernière chance qui est le DÉMARRAGE EN FRÉQUENCE. Dans cette méthode, le moteur est
connecté, et le groupe est alors démarré avec sa charge connectée. L'ensemble va prendre
progressivement sa vitesse et sa charge.
Ce mode ne convient que pour certaines applications pour lesquelles le couple demandé reste
faible dans les premiers instants du démarrage et que la fréquence variable ne présente pas de
problème trop gênant.
2.2.4 La compensation du cosinus Phi
Lors de l'utilisation d'un groupe électrogène, les compensations de cosinus phi réparties doivent
être déconnectées, car les condensateurs sont de véritables courtscircuits au démarrage. Cela
se réalise normalement automatiquement lorsque la compensation est dite globale, puisque les
temporisations sont en général suffisantes pour éviter ce problème.
Pour les compensations réparties, il y a lieu d'examiner au cas par cas en fonction des puissances,
et de se rapprocher des fabricants de groupes.
2.2.5 Les puissances Actives et Apparentes
Les puissances électriques de groupes sont toujours exprimées en puissances apparentes (voir
article sur les puissances). En effet les courants supportables par les alternateurs sont bien réels et
ne correspondent pas seulement à la partie active mais à la résultante qui est la partie apparente
!
3 Les catégories de groupes
3.1 Les groupes de secours
Ces groupes représentent une partie importante du parc installé. Ces groupes toujours de forte
puissance et refroidis par eau (en circuit fermé dans 95% des cas) (hôpitaux, fromageries,
piscicultures, élevages de poulets, industries chimiques…)
Ce qui caractérise ces groupes est leur possibilité de démarrer instantanément sans casse.
Au fait pourquoi casseraient –ils ? Simplement parce qu'un groupe froid se détériore rapidement si
on lui demande une charge immédiate. (C'est comme votre voiture qui couche dehors en plein
hiver, si vous "tirez" trop fort à froid, il y a arrachage de métal chemises / pistons !)
Ces groupes de secours sont donc préchauffés par des résistances thermoplongées dans le bloc
moteur. L'eau de refroidissement est simplement maintenue vers 60° par chauffage électrique du
réseau pour éviter ce problème (environ 4 KW).
Cela évite donc l'arrachement des particules de métal sur les cylindres et fluidifie l'huile moteur de
lubrification.
3.2 Les groupes EJP
Ces groupes sont la conséquence de la tarification EDF, et ne fonctionnent que l'hiver sur les 28
jours de plus forte demande d'électricité. Les supermarchés, les hôpitaux et des industries sont les
principaux utilisateurs de ces groupes qui allient souvent "l'utile et l'agréable" (secours et EJP).
En effet à ce jour il n'y a plus de nouveau contrats EJP et par le jeu des coefficients de la
tarification EDF, l'opération groupe EJP seul n'a plus beaucoup d'intérêt uniquement pour le coût,
car il est nécessaire de comprendre que ces puissantes machines ont un coût d'entretien annuel qui
est loin d'être négligeable.
3.3 La vitesse de rotation des groupes
La vitesse de rotation des groupes varie en fonction

du nombre de pôles de l'inducteur. Très souvent, les
petits groupes sont des alternateurs 3000 Tr/mn
bipolaires, alors que les plus gros sont presque
toujours des 1500 Tr/mn en tétra polaires.
Il me parait évident de dire que plus ça va vite, plus
c'est délicat ! La fatigue du matériel est plus
importante (force centrifuge, frottements et usure).
Il faut remarquer que les grands groupes sont
toujours des moteurs Diesel pour de nombreuses
raisons, et qu'ils sont toujours refroidis à eau.
3.4 Le refroidissement
Les grands groupes sont toujours établis à partir de moteurs thermiques refroidis à eau. Ils sont
souvent avec "radiateur attelé" mais le bruit cumulé du ventilateur et du moteur dans la salle reste
alors assez insoutenable sans protections auditives. A remarquer qu'un radiateur attelé
(hélice entrainée par le moteur) tire sa puissance du moteur thermique.
Dans ce cas la salle doit être insonorisée (et en protection antifeu). Les entrées et
sorties d'air sont réalisées à l'aide de pièges à sons.
Ces pièges à sons sont constitués de baffles sur lesquels les différentes fréquences du
spectre engendré vont s'amortir. Le passage d'air de refroidissement est ainsi assuré et
le bruit est réellement extrêmement atténué. (voir article "Le silence du pompage de
l'eau" qui traite des pièges à sons)
Lorsqu'il n'y pas d'autres possibilités, des aéro

refroidisseurs en terrasse, offrent une alternative,
avec des ventilateurs très basse vitesse peu bruyants.
Le coût en est sensiblement plus élevé, et cela est
souvent mis en œuvre dans les zones de centre ville
ou résidentielles. Les coûts d'installation en sont
augmentés.
Ces aéros sont alimentés par le réseau électrique
secouru. Dans certains cas, il y a lieu de maintenir
par un onduleur la rotation de ces aéros après l'arrêt
du moteur du GE, pour éviter la montée en
température du bloc moteur.
3.5 L'installation
Le coût de l'installation est un élément important dans le prix total, car les accessoires et
problèmes à gérer sont multiples. Manutention spéciales, grutage, maçonneries diverses, cheminée
Inox, Inverseur Normal Secours (INS), Disjoncteur différentiel, citerne fuel, pompe à fuel,
télésurveillance, couplage au réseau EDF, aérorefroidisseurs, citernes, pompes, gestion du bruit
en agglomération (cas des cliniques et hôpitaux).
Création de massif en béton destiné à supporter le GE.
4 Calcul de groupes (deux exemples)
Il faut bien entendu regarder l'emploi qui va en être fait, et évaluer essentiellement la puissance
des moteurs électriques à alimenter. Les charges capacitives sont également concernées (voir ci
dessus § 2.2.4).
Les règles de calculs sont aussi bien pour les petits groupes que pour les plus gros. J'aurais
tendance à dire encore plus pour les petits, car les performances sont souvent commercialement
exagérées.
4.1 Ex 1 : Puissance d'outillage pour une puissance groupe
Pour le particulier, la question se pose souvent ainsi : Qu'est ce que je vais pouvoir alimenter

avec le groupe de x KVA ?
Un exemple de petit groupe de 3 KVA monophasé 220 V 3000 tr/mn
Quel petit outillage portatif peuton mettre sur ce groupe ?
Première règle 1/3 de puissance d'impact, soit 3/3=1 KVA (ce qui correspond à un courant de
1000/220=4.54A)
Si l'on considère un rapport courant de démarrage / Courant nominal de 4 par exemple, on va
pouvoir démarrer seulement une puissance de 1000/4=250 VA !
Non, non, il n'y a pas d'erreur. Mais dans la pratique on accepte pour ces petites utilisations un
impact de charge non pas d'un tiers mais franchement de 1. "On dira que cela se débrouille" !
(La variation de fréquence importante dûe à l'impact de charge n'aura en général pas d'influence
sur l'utilisation qui est en général un outillage electroportatif).
Ainsi, on sera plus enclins à dire que la perçeuse de 3x250 VA =750 VA démarrera à coup sûr.
Là où il faudra être prudent, c'est pour le congélateur par exemple, car ces groupes compresseurs
sont assez particuliers et ne démarrent pas s'ils n'ont pas le bon courant.
4.2 Ex 2 : DEUX moteurs de 130 KW cos Phi 0.83 Tri 400 V Id/in=4
Calculer la puissance du groupe nécessaire au fonctionnement simultané de deux moteurs et au
démarrage NON simultané (en séquence) des 2 moteurs.
Pactive=U*I*cos phi*rac3
Pour plus de simplicité repassons par les puissances apparentes :
Papparente= U*I*rac3
Dans notre exemple, la puissance apparente est de 130/cos phi=130/083=156 KVA
Quelle est la puissance instantanée nécessaire à UN démarrage ? (Sans impact de charge)
= Papparente*Id/In=156*4= 624 KVA
C'est la puissance apparente instantanée nécessaire au démarrage normal du moteur de 130 KW,
mais à cause de l'impact de charge dû à l'impossibilité du groupe électrogène de prendre la totalité
de sa puissance instantanément, cette puissance va encore devoir être augmentée de ce facteur
1/3 soit :
624*3=1872 KVA.
Et tout cela ne concerne qu'un seul moteur auquel il faut ajouter le fonctionnement du deuxième

moteur soit cette fois seulement 156 KVA puisque les deux démarrages ne seront jamais
simultanés, soit 1872+156=2028 KVA
(Il est inutile de repasser par les courants puisque les proportions sont respectées).

Même exercice avec démarreur électronique à 2.2 In
Puissance de démarrage=156*2.2=343 KVA
Puissance groupe avec impact de charge= 343*3=1029 KVA
Soit 1029+156 =1185 KVA
On a ainsi presque divisé par 2 la puissance du groupe électrogène ! et le coût est pratiquement
divisé par 2 aussi. Le démarreur électronique étant environ 20 fois moins cher que l'écart de prix.
5 Quelques particularités
Le stockage du fuel pour les grands groupes ne peut pas dépasser 500 l dans le local, pour des
problèmes évidents de risques d'incendie. Une citerne est donc à prévoir, en extérieur, (avec son
contrôle de fuite).
Les coups de poing sont bien entendu obligatoires pour raison de sécurité.
Le pompage du fuel se réalise habituellement par aspiration, il ne faut donc pas que la citerne soit
à plus de 8 mètres plus basse que la pompe (Pb pression atmosphérique).
La pompe à fuel doit remplir automatiquement la nourrice du groupe située dans le châssis du
groupe.
Un groupe électrogène de grande puissance est une machine qui engendre des trépidations
importantes et les câblages des différents éléments sont à réaliser impérativement en fil multibrins
(en non comme certains électriciens du tertiaire les réalisent en fil rigide ! pannes assurées !)
Le bruit doit être traité de façon efficace par l'adjonction de pièges à sons, aéros, doubles pots
d'échappement et silencieux éventuellement.
Les relayages en cas d'EJP doivent permettre le démarrage automatique du groupe.
Un groupe préchauffé est capable de prendre le premier tiers de sa charge totale au bout de 8
secondes en général. Il y a donc une coupure générale d'au moins 8 secondes dans les
fonctionnements en secours "traditionnels".
Le pot d'échappement peut être simple ou double pour respecter les niveaux sonores imposés. Ces
pots sont raccordés à l'échappement moteur par un soufflet compensateur de dilatation, souple,
capable d'assurer l'étanchéité et de compenser les dilatations ainsi que les vibrations.
Une cheminée inox double paroi est souvent nécessaire pour évacuer en toiture les fumées. A
noter à ce sujet la présence obligatoire d'un réceptacle à condensats, qui je crois, ne peux plus être
rejeté directement à l'égoût, car le souffre du fuel aidant, ces rejets de condensation sont
pratiquement de l'acide sulfurique !
Le démarrage des grosses machines est réalisé comme sur les voitures par des démarreurs de
forte puissance 12V 24 V voire 48 volts. Les batteries "ouvertes" qui les alimentent sont d'une part
maintenues en charge floating sur le secteur EDF pour pouvoir assurer un démarrage en secours.
(A noter que la durée de vie d'une batterie est de 5 années environ et maximum).
Un alternateur 12 ou 24 volts ou 48 V assure la recharge des batteries d'autre part, lors du
fonctionnement. Des démarreurs à air comprimé sont également optionnels en deuxième sécurité
démarrage.
Les pots d'échappement ou silencieux peuvent avoir plusieurs niveaux d'atténuation du bruit. La
chaleur dégagée par ces éléments d'échappement est importante, et dans le cas de refroidissement
par aérorefroidisseurs, il sera cependant nécessaire d'évacuer les calories du moteur et d'une
partie de celles de l'échappement, par une ventilation complémentaire.
Dans certaines applications il peut être nécessaire d'assurer le préchauffage de l'alternateur.
Certains groupes sont à refroidissement à eau perdue ! C'est un peu dommage mais c'est une
économie en investissement. (La puissance mécanique prise pour le ventilateur est ainsi disponible
en KVA et le bruit est largement plus faible)
Enfin dans le cadre de centrales à plusieurs groupes, une élévation de tension en 20 KV dès la
sortie d'alternateur permet les couplages ainsi que des mesures globales d'énergie pour la revente
et le couplage au réseau 20 KV EDF.
5.1 L'inverseur Normal/secours (INS)
En cas de retour de l'énergie du réseau, il est nécessaire
qu'il n'y ait pas de conflit entre les deux sources d'énergie
(Réseau EDF et Groupe). Aussi les deux énergies arrivent
sur les branches d'un inverseur appelé "Normal/Secours"
ou INS. La sortie unique de cet inverseur va sur
l'installation réceptrice.
Des liaisons d'automatismes en amont de l'INS et dûment

protégées permettent de connaître l'état des sources
d'énergie disponibles. De ces informations, les
automatismes vont décider de l'arrêt ou de la mise en
marche du groupe et des corrections de fréquence et de
tension.
Dans le cadre de l'EJP, les heures étant prévues, il peut y
avoir basculement sans arrêt de fourniture d'énergie (il subsiste toujours le temps de commutation
de l'INS qui n'est pas négligeable et de l'ordre de quelques 1/10 de seconde)
De même lors de l'arrêt du groupe, il y aura toujours une petite période de fonctionnement sans
charge pour s'assurer d'une fin réelle. Ceci permet également la réduction de dissipation thermique
lors de l'arrêt avec radiateur attelé.
De nombreuses temporisations sont ainsi utilisées pour palier les retours ou absences d'énergie
réseau.
Ces inverseurs INS sont mécaniquement interverrouillés pour éviter les problèmes de deux
sources d'énergie qui pourraient éventuellement se trouver en courtcircuit en entrée. (Dans ce
type de secours, il n'y a jamais synchronisation des réseaux mais seulement des phases pour que
tous les moteurs tournent dans le bon sens).
Attention cependant à l'électronique des onduleurs qui peuvent ainsi commuter sur défaut secteur.
Si, comme dans le cas de certains sites sensibles, hôpitaux, armée, la microcoupure de l'INS n'est
pas acceptable, il existe des groupes sans coupure de technologie totalement différente.
Convertisseurs électromécaniques associés à des onduleurs à faible autonomie et GE.
5.2 Les résistances de dissipation
Un groupe de grande puissance ne peut pas tourner à vide pour des problèmes de mécanique
moteur (glaçage des chemises d'après les motoristes), et il lui faut un minimum de puissance
consommée. A cet effet, dans le cas de fonctionnements possibles sans charge, il est nécessaire de
prévoir des résistances électriques de dissipation d'énergie. (La puissance mécanique est d'abord
convertie en électricité par l'alternateur et oblige ainsi le moteur thermique à une charge).
Je crois me souvenir qu'il faut au moins un tiers de puissance en charge moteur.
5.3 La gamme des puissances
La gamme des puissances a une forte dynamique puisque les plus petits groupes font environ 600
VA et sont juste capables de fournir l'éclairage.
Les plus gros de l'ordre de 2000 KVA, car cette taille correspond à des besoins réels, ainsi qu'à la
fin de gamme des moteurs de série de grande puissance et il ne faut pas oublier le transport de
ces énormes machines parfois mises dans des containers insonorisés en extérieur.
Il y a également la nécessité d'utiliser les moteurs existants, qui ont fait leurs preuves. Des
puissances supérieures entraînant des frais de maintenance beaucoup plus importants, et se
rapprochent alors de la production continue d'énergie, ce qui n'est plus le sujet.
Enfin, il faut pouvoir dans le cas de plus grandes puissances traiter le problème des échangeurs de
température (radiateurs, aéros) avec des sections de tuyaux du domaine des métalliers ou
serruriers locaux. En effet tout le monde ne peut pas traiter des sections importantes !
5.4 Limites des démarreurs électroniques
Les démarreurs électroniques sont très appréciés car ils permettent des prodiges techniques au
niveau de la limitation des courants de démarrage des moteurs.
Ils autorisent de réelles économies au niveau des puissances nécessaires au démarrage des
moteurs. Mais il y a cependant un revers à la médaille. La partie fonctionnelle d'un démarreur est
réellement parfaite. Démarrage en vitesse linéaire, à couple constant, à couple croissant, suivant
une loi prétablie... Enfin presque tout est possible, y compris le freinage pour l'arrêt, et la reprise
au vol en rotation libre !
On en a presque oublié le moteur ! Sur les installations d'eau les temps nécessaires peuvent
dépasser la minute notamment lors des arrêts. Si le démarreur est pratiquement capable de
réaliser ces temps de démarrage ou d'arrêt, il n'en va pas de même des moteurs.
Les vieux moteurs qui fonctionnent parfaitement en direct, sont trop sollicités par les démarreurs.
IL est nécessaire d'écouter "la plainte" de ces moteurs quand les temps s'allongent...
Aussi je recommande en fonctionnement sur le réseau EDF de laisser des valeurs de consigne à
peine meilleures au démarreurs spécifique en place.
Il est par contre nécessaire d'avoir un programme spécifique prenant en compte l'ancienneté d'un
moteur, dans le cas de groupe électrogène. Il devrait même je crois être possible de programmer
à distance le choix du programme de démarrage et d'arrêt.
(cela concerne les moteurs de puissance >40 KW)
6 Conclusions
Ceci est un aperçu des groupes électrogènes, qui devrait permettre les premières approximations
de coût, notamment en pompage de l'eau ou en groupes de froid.
Dans le cas des groupes de petite puissance pour les bricoleurs, il n'était pas inutile de rappeler les
problèmes d'intensité de démarrage d'un moteur…
Cela évitera bien des déconvenues d'artisans qui ne regardent que l'aspect Puissance en Watts en
régime continu, alors qu'il faut tout prendre en compte.
A noter que l'on peut aussi non seulement installer en fixe mais louer ces machines auprès de
sociétés spécialisées.
Dans toutes ces interventions ne jamais oublier l'accessibilité (obligation de casser parfois des
cloisons des portes ou des murs).
Ne pas oublier non plus les raccordements qui ne se font pas avec du "fil de câblage" mais avec de
gros câbles multibrins, et pour lesquels il y a souvent nécessité d'utiliser des pinces hydrauliques
de sertissage des cosses de raccordement.
La conclusion ne sera pas complète si l'on ne dit pas un mot sur le contrôle de bon fonctionnement
par la nécessité de réaliser un basculement réel avec INS, régulièrement au moins tous les 3 ou 6
mois, ainsi qu'un démarrage MENSUEL du groupe seul.
Ne manquez pas non plus de lire l'article sur l'énergie.
L'énergie est une denrée rare et chère et il y a lieu de l'utiliser à bon escient. Les groupes
électrogènes font partie des appareils qui seront d'ici quelques décennies un luxe du fait de la
rareté des combustibles fossiles. Ils devront être utilisés seulement en secours et non plus en EJP.
L'EJP est appelé à être remplacé progressivement par les énergies renouvelables.
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Commentaires sur LES GROUPES ELECTROGENES Calculs Puissances
erreur
Monsieur
J'ai bien lu votre note de calcul de puissance de GE et je crois que vous avez fait une
erreur
Salutations
Posté par patrick, mardi 02 septembre 2008 | Recommander | Répondre
Re Erreur ?
Bonjour,
Errare humanum est ...!
Encore fautil me dire sur quoi porte l'erreur.
Meilleures salutations
bricolsec
Posté par bricolsec, dimanche 07 septembre 2008 | Recommander | Répondre
nourrice groupe
Bonjour,
Est ce qu'il est obligatoire que la nourrice d'un groupe électrogène alimente le moteur
du groupe par gravitation (sans pompage). Comment doit on calculer la capacité: Est
ce vrai que c'est la consommation d'une journée.
Posté par adel, samedi 25 octobre 2008 | Recommander | Répondre
Re GE
Bonjour,
A priori et sous réserves de modifications que je ne connaîtrais pas, il n'y a pas de
règles précises sur ce sujet.
Habituellement on alimente la réserve (nourrice) qui est insérée dans le châssis d'un GE.
Cette alimentation, suivant l'altitude de la citerne principale, est alimentée par une pompe ou
non.
Ce qui est sûr, c'est que la réserve ne doit pas dépasser 500 litres. Habituellement c'est le
groupe luimême qui aspire le carburant dans cette réserve du châssis. (Entre les deux IPN).
Cette limitation est due essentiellement au risque de feu dans le local. Le GE possède ses
propres circuits pour être capable d'aspirer à hauteur du sol. (Je pense pour des hauteurs
"normales" de 2 à 3 mètres maxi).
Il est exact que cette réserve représente en valeur moyenne la consommation d'une journée.
Il est cependant bien évident que suivant la puissance du groupe et sa charge, la
consommation va varier de façon importante.
Il est important de faire attention à ce qu'une citerne principale en charge sur une nourrice
de châssis ne puisse pas se vider en cas de défaillance d'une vanne ou électrovanne.
Mes connaissances sur ce sujet sont de plus de 10 années, et la législation a pu évoluer…
lokistagnepas.
Posté par bricolsec, samedi 25 octobre 2008 | Recommander | Répondre
j ai un groupe de 250kva neuf et en bon état mais ile fonction pas bine avec des
onduleur de.au momenet de coupure de courant il démarre mais bine mais il ne repond
pas rapide par la charge (chute de tension phN 160V) comme va faire pour résoder ce
probléme
N.B le groupe utilsé pour alimentation des onduleur en cas de coupure de courant
Posté par imad, samedi 23 mai 2009 | Recommander | Répondre
RE imad
Bonjour,
J'envisage plusieurs voies de recherches concernant ces problèmes de
dysfonctionnements:
Le groupe doit être calculé pour que l'impact de charge ne représente qu'un tiers de sa
puissance : Dit rapidement, si vous avez besoin de 100 KVA il vous faudra un groupe de 300
KVA.
En deuxième lieu, vous devrez calculer votre puissance APPARENTE en KVA et non la
puissance Active en KW.
(Le groupe doit générer aussi le réactif !)
En dernier point, je vois peutêtre aussi un problème dû à l'emploi des onduleurs. En effet
les onduleurs assurent en plus de l'alimentation de vos appareils, la charge des batteries.
Ces onduleurs ont également lors de la coupure à charger les condensateurs des redresseurs,
ce qui est une surcharge ponctuelle qui peut affecter la tension de sortie durant un court
instant.
Il s'agit là de phénomènes transitoires qui doivent être pris en compte pour que la tension de
sortie reste dans des limites acceptables.
Voir également si ce sont des onduleurs online ou offline ? Tri/mono ou Tri/Tri.
En termes très simples, le courant de charge des batteries doit aussi être pris en compte.
Enfin si c'est du triphasé, comme la puissance le laisse supposer, surveiller l'équilibrage
dynamique des phases.
Voyez également mon article sur les potentiels et équipotentielles sur le blog frère
lokistagnepas.
Voir également du côté des onduleurs si il n'y a pas de limite inférieure de tension en
dessous de laquelle la fonction d'ondulation est maintenue.
Il me semblerait utile de faire des enregistrements courants et tensions pour pouvoir tirer
des conclusions fiables. (Constantes de temps en particulier)
bricolsec/lokistagnepas
Posté par bricolsec, samedi 23 mai 2009 | Recommander | Répondre
info puissance confirmation
J'ai un groupe eletrogene
j'ai mesuré en sortie
380V 105A COS 0,8
J'ai un moteur qui sécroule il fait 65CV
Que faut il comme puissance en réalité??
Car je viens de faire mon calcule
PUI Réel 69KW
PUI Moteur 87KW
Est ce cela
Par avance Merci
Posté par KIKI 92, mardi 30 juin 2009 | Recommander | Répondre
Re KIKI92
Bonjour,
Désolé, pas vraiment d'accord...
Puissance apparente =380*105*Rac(3)=69 KVA (OK)
Puissance active moteur= 380*105*cos phi*Rac(3)=55 KW (pas d'accord).
(En effet la puissance active moteur ne peut pas être plus grande que la puissance
apparente).
65 CV=65*0.736= 47.8 KW (puissance active)
Pour deux raisons majeures, il est normal que le groupe s'écroule, j'explique à nouveau :
Il y a le démarrage du moteur et sans information de votre part Id/in=7 de base. On va tout
de même supposer que vous avez un démarreur statorique avec Id/In=4
Il y a ensuite l'impact de charge, en d'autres termes le groupe ne peut absorber en
instantané qu'environ 1/3 de sa puissance nominale (de groupe). C'est à dire que pour que le
groupe ne cale pas et que ses performances électriques soient dans des "limites tolérables",
il faut multiplier par 3 la puissance du groupe...(Je sais c'est énorme !)
Votre exemple :
Puissance moteur 65 Cv soit 47.8 disons 48 KW
Puissance apparente 48/cos phi=60 KVA (Le GE doit fournir aussi le réactif)
Puissance moteur au démarrage 60*Id/in=60*4 =240 KVA
Puissance due à l'impact de charge sur le GE =240*3=720 KVA.
Il me semble donc que votre calcul n'est pas correct ! Relisez bien cet article et faites
attention aux différents types de puissances actives, réactives, apparentes.
Tout en rappelant que en triphasé
P=UI*rac(3)*cos phi avec pour U la tension composée soit 380 ou 400V.
D'autres articles aident à mieux cerner ces problèmes :
Les démarreurs électroniques :
http://lokistagnepas.canalblog.com/archives/2009/01/26/12233478.html
Monophasé ou Triphasé :
http://lokistagnepas.canalblog.com/archives/2008/05/30/9377723.html
C'est la raison pour laquelle les démarreurs électroniques qui permettent des Id/in de 2.2 au
mieux sont extrêmement importants quand il y a des Groupes électrogènes.
bricolsec
Posté par bricolsec, mercredi 01 juillet 2009 | Recommander | Répondre
retour d'info
Bonsoir
Merci pour la réponse dans un premier temps
pour se qui est des données
SORTIE Alternateur
380 V
105 A
Cos 0.8
Moteur Thermique
65 CV au volant moteur soit 88 KW
Est il bien dimenssionné?
CCombien faut il pour bien réagir
Bonne soirée
Posté par KIKI 92, mercredi 01 juillet 2009 | Recommander | Répondre
Re KIKI92
Bonjour,
Je crois que l'on ne se comprend pas...
1 cheval vapeur= 0.736 KILOWATTS
Comment pouvez vous me donner 88 KW alors que la puissance thermique est de 65 CV ?
Je pense que vous divisez 65 par 0.736 alors que vous devez MULTIPLIER par 0.736 ce qui
donne seulement 47.84 KILOWATTS
Désolé je ne peux aller plus loin tant que cela n'est pas éclairci pour vous, et à partir de là
mon commentaire précédent s'applique très exactement : IL faut 720 KVA (avec une
imprécision sémantique de ma part il faut lire "Avec en plus, la puissance due à l'impact de
charge soit ...720 KVA)
bricolsec
Posté par bricolsec, jeudi 02 juillet 2009 | Recommander | Répondre
Remplacement moteur
Bonjour ! Je dispose d'un groupe de 40kva avec un moteur deutz 4 cylindre. Il date de
1954. Cependant, son moteur est en panne, ne trouvant pas de pièce, peuton le
remplacer par un moteur de voiture de 1L9 turbo diesel de 80ch, sachant que
l'alternateur tourne a 1500 tmn, bien sur, en l'acouplant avec un réducteur. Car, on voit
toujours les groupes avec des moteurs de grosse cylindré. Merci
Posté par Thierry, mardi 02 mars 2010 | Recommander | Répondre
Re Thierry
Bonjour,
Les moteurs Deutz sont très connus du monde des GE. Veuillez prendre contact avec un
fabricant Français de GE connu dont le nom est SDMO. Voyez aussi Aggreko et Béalas. Vous
risquez de trouver chez eux des pièces ou du moins d'avoir les bonnes adresses.
En ce qui concerne les échanges éventuels de moteur thermique, il faut regarder si le moteur
que vous projetez d'accoupler ne peut pas l'être en direct, avec un simple accouplement
amortisseur.
Pour cela il faut avoir la puissance correspondante vers 1500 Tr/mn. À Cela, je ne sais pas
répondre…
Sachant que 80 CV font une puissance de 58 KW, avec un peu de chance, à 1500 tr pour un
diesel, vous pourriez avoir encore une puissance "acceptable".
Au lieu de monter un réducteur, cela vaut la peine de creuser le sujet, et au pire de disposer
même d'un peu moins de puissance.
Je reste toutes fois sur la solution initiale de réparation du moteur en place comme solution
idéale.
bricolsec
Posté par lokistagnepas, mercredi 03 mars 2010 | Recommander | Répondre
Remplacement moteur
Bonjour !! Merci pour votre réponse. En ce qui concerne le moteur, il a été récupéré
sur une voiture. Donc son couple et sa puissance sont un a régime largement au
dessus de 1500 tr/mn. C’est pour cela que je parle de réducteur. De plus, le deutz été
très capricieux à démarrer, très bruyant, alors je me suis dit que vu qu’il est en panne, de le
remplacer par un moteur plus récent !! Etant donner que j’été déjà en possession d’un
moteur, cela aurai été fait a moindre frais !! Reste à savoir si cela est possible. Sinon, on
trouve des moteurs de voiture plus puissant que celui que je dispose a des prix très
abordable, ce qui n’est pas le cas pour la réparation du deutz !! Merci
Posté par Thierry, mercredi 03 mars 2010 | Recommander | Répondre
info
je voulrais avoir les formules pour obtenir le resultat en KVA par rapport a la formule I
=P/U svp parce que je ne comprends pas votre explication jusqu alors merci de votre
indulgence
Posté par djakis, lundi 08 mars 2010 | Recommander | Répondre
RE djakis
BONJOUR,
Il y a deux éléments qui vont demander une puissance plus importante :
L'impact de charge qui fait que l'on ne peut pas demander plus de 30% de charge
instantanée
Exemple pour un GE de 100KVA on ne peut pas passer de 30 à 100% de puissance mais
seulement de 30 à 60% (les % sont aussi des KVA dans ce cas)
Dans cet exemple il faudrait un GE dont 30% de la puissance représentent 70 KVA c'est à
dire 233 KVA.
L'impact du au démarrage d'un moteur. Ainsi cela dépendra du type de moteur et du
rapport Id/In courant de démarrage sur courant nominal. Pour être puriste il faut repasser
par les puissances, car le cos Phi varie, mais par sécurité on ne le fait jamais.
Il faudra donc prendre cette puissance complémentaire pour qu'elle passe dans l'impact de
charge.
Les deux coefficients sont en principe à multiplier. C'est pour cela que l'on a intérêt à utiliser
des démarreurs électroniques.
(Suivant les utilisations, il y a aussi des possibilités de démarrage en fréquence).
bricolsec
Posté par lokistagnepas, lundi 08 mars 2010 | Recommander | Répondre
Re..
Bonjour !! Autre question, existetil des systèmes tout fait de régulation du régime
moteur en relation avec la fréquence de l'alternateur ? Merci
Posté par Thierry, mardi 09 mars 2010 | Recommander | Répondre
Re Thierry
Bonjour,
Je n'en ai connu qu'une qui était le MICS appelé maintenant MICS TELYS.
Rechercher ce site, vous aurez certainement toutes les infos de la marque.
Salutations
bricolsec
Posté par lokistagnepas, mardi 09 mars 2010 | Recommander | Répondre
Fonctionnement
Bonjours, je voudrais savoir comment fonctionne un groupe electrogène de forte
puissance (400kVA) car le principe est bien compris un moteur thermique qui entraine
un alternateur. Mais je voudrais savoir comment est alimenté l'exitation de la machine
synchrone en fonctionnement alternateur ?
Merci
Posté par StAr, jeudi 06 mai 2010 | Recommander | Répondre
RE thierry
Pour obtenir le puissance apparente (VA ou kVA) il suffit juste de faire S=U.I.racine 3
(VA)
Et la puissance active P=U.I.cos phi.racine 3 (W)
P=U.I et utilisé pour du continu
U=Tension composée
I=Courant nominal
Racine 3= Pour du triphasé
cos phi=Facteur de puissance (<1)
Posté par StAr, jeudi 06 mai 2010 | Recommander | Répondre
Re StAr
Bonjour,
Pour le premier message, c'est l'automatisme de régulation et de mise en route du
groupe qui est chargé de régler le courant de l'inducteur, dans un alternateur.
Une "machine synchrone" est : un moteur synchrone, ou un alternateur puisque la
réversibilité est totale.
En d'autres termes un alternateur est aussi un moteur synchrone.
Cependant le démarrage du moteur synchrone est délicat, car il ne peut donner un couple
important qu'après avoir été synchronisé sur le réseau.
En général il y a une excitatrice (courant continu) en bout d'arbre, chargée de créer le champ
magnétique sur les pôles du rotor.
Pour le deuxième message, c'est tout à fait exact, pour la puissance apparente en KVA,
puisque avec cosinus Phi ce sera la puissance active en KW et sinus phi pour la puissance
réactive en KVAR.
Auraisje dit une bêtise dans un des articles ?
bricolsec
Posté par bricolsec, jeudi 06 mai 2010 | Recommander | Répondre
produire de l electricite gratuite
je vois par votre exposé que vous connaissez le sujet j ai une idée pour produire de l
életricité gratuitement à partir d un groupe électrogéne j ai acheté un nouveau groupe
électrogéne pour le transformer mais tout prototype demande du temps des
investissements ;je suis pret à partager mon idée d invention avec un investisseur
Posté par aguado josé, lundi 10 mai 2010 | Recommander | Répondre
Re José
Bonjour,
Désolé, mais je ne peux vous suivre dans votre développement, mais je vous souhaite
bonne chance.
bricolsec
Posté par bricolsec, mardi 11 mai 2010 | Recommander | Répondre
Re
Désolé d'avoir employé le terme "machine synchrone" je voulais bien dire par la
"alternateur". Et non tu n'as pas dit de bétise c'était juste pour donner un peu plus
d'informations.
Et merci pour les informations.
Posté par StAr, lundi 17 mai 2010 | Recommander | Répondre
Re doubyy
Bonjour,
Suite à une question posée à tort dans un article généraliste et donc mal dirigée, voici
la réponse concernant l'utilisation d'un GE pour un poste à souder Genesis 245 TLH.
Le premier point est que je ne connais pas spécifiquement cet appareil. Je me réfère
seulement aux principes généraux qui dirigent les calculs de GE.
La règle générale est simplement de dire qu'il faut faire tous les calculs en KVA (ou courants
apparents ce qui revient au même) et non en puissance active, car les courants même
déphasés existent (ce sont les courants APPARENTS)!
Il faut donc étudier avec le fabricant l'évolution du courant du poste à souder lors du contact,
puis lors de l'arc entretenu. Il faut aussi voir quel serait l'impact au niveau réduction du
courant (ou chute de la tension) en termes de difficulté d'amorçage si le courant ne peut pas
atteindre sa valeur nominale.
Il y aura certainement à ce stade des compromis à trouver...
Le fabricant est certainement le plus apte à répondre, même directement à cette question. Je
pense qu'il pourrait même vous préconiser directement la valeur du groupe donnant les
meilleurs résultats, sans risques, et pour le coût mini.
Pour poursuivre "en solo" sans l'aide du fabricant, il faut que le courant de courtcircuit lors
du contact de la baguette de soudure, ne représente pas plus de 30% de la capacité du
groupe. (risque de caler le groupe)
Pour le reste, en vous aidant des calculs présentés, c'est à vous de continuer.
A noter que l'impact de 7 In pour moteurs n'existe pas, mais doit être remplacé par l'impact
du contact lors du pré amorçage (contact avec la baguette).
(je ne sais pas exactement à quel moment le courant est le plus important, et c'est peut être
lors de l'arc entretenu ? De plus il n'est pas impossible qu'il y ait des phénomènes de
résistance négative...?)
Voyez donc le fabricant du poste à souder, c'est toujours préférable, d'autant que d'après le
nom du poste ce doit être je suppose un modèle électronique avec alimentation à découpage,
alors il est hautement préférable de demander conseil au fabricant, car l'électronique n'a pas
la solidité d'un bon vieux transfo 50 Hz avec shunt magnétique !
Encore un conseil n'allez pas chez le marchand, car il est comme tous les marchands,
vraisemblablement un incompétent notoire, seulement intéressé par le chiffre d'affaires.
Envoyez donc un courrier (pas un mail) directement au fabricant.
Sachez aussi qu'il existe des Groupes électrogènes spécialement conçus pour la soudure à
l'arc.
Pour la bonne tenue technique du blog, et le plaisir de tous, postez vos messages dans les
articles concernés Merci.
bricolsec
Posté par bricolsec, vendredi 10 septembre 2010 | Recommander | Répondre
Simple
c'est super simple et trés intèrèssant
Posté par hichem, vendredi 12 novembre 2010 | Recommander | Répondre
vitesse du moteur pour groupe electrogene
bonjours a tous , je viens d acheter, un groupe electrogene de 12 kva tri, du
leroisommer, accoupler a un moteur bicylindre diessel de 27 cv refroidissement a air
de marque VM, demmarage par demmareur electrique 12volts, c est un groupe de
chantier , il n y a pas de cadran pour le voltage , ni pour la vitesse du moteur ,
ma question et !!! pour avoir 50 hertz, et avoir du 220vlots ,ou 380 volts , a quelle vitesse
mon moteur doit il tourner , merci , a vous tous ,
daniel
Posté par ATTOSS19, jeudi 23 décembre 2010 | Recommander | Répondre
Re ATTOSS19
Bonjour,
Bien que je ne dise pas explicitement que tel groupe est un 1500tr/mn ou 3000 tr/mn,
(Voir paragraphe 3.3), il faut je pense considérer qu'à cette puissance de 12 KVA (TRI),
il s'agit bien d'un groupe 1500 Tr/mn en 50 Hz.
De toutes façons vous devrez d'abord faire des essais avant de brancher quelque chose...
(Si il n'y a aucune régulation électronique, il doit peutêtre y avoir un asservissement
mécanique direct ?)
bricolsec
Posté par bricolsec, jeudi 23 décembre 2010 | Recommander | Répondre
vitesse du moteur pour groupe electrogene
bonjours a vous tous , la regulation du moteur et faite sur le moteur , car sur le
moteur il y a un system d acceleration par un un levier qui monte de zero a 90°,
comme un rapporteur , et qui ce bloque par une molette ,
Posté par ATTOSS19, vendredi 24 décembre 2010 | Recommander | Répondre
BONJOURS A TOUS ET BONNE ANNEE 2011 ?
DANIEL
Posté par ATTOSS19, lundi 03 janvier 2011 | Recommander | Répondre
panne petit GE
bonjour, je suis ennuyé avec un GE zeus 2200 dont la partie mécanique fonctionne très
bien (un petit essence refroidi par air), mais il ne produit plus d'electricité ! que doisje
vérifier, tester en priorité ? (fusible ok, disjoncteurs ok) il y a un rotor, un stator, un
régulateur GTDK (composé d'un condensateur) et 2 charbons dont j'ignore le rôle !
merci de m'aider
Posté par ju, vendredi 11 mars 2011 | Recommander | Répondre
Re Ju
Bonjour,
Je ne connais pas spécifiquement ce type, mais dans un alternateur il y a normalement
des bagues, qui amènent le courant continu aux bobinages du rotor.
Le régulateur a peutêtre un problème et les charbons portent peutêtre mal sur les bagues ?
(voir si il y a du courant)
Il est difficile de se prononcer sur un matériel dont on ne connaît pratiquement rien.
Je crois qu'il faut remonter les circuits et vérifier que le rotor est bien alimenté en courant
continu.
Si ce n'est pas le cas alors voir le régulateur et peutêtre ce condensateur dont j'aimerais
bien voir la position dans le contexte. ?
Si tout cela est bon, alors il faudrait suspecter le stator.
Vérifier également toutes les connexions (absence d'oxydation et serrage). Sur ces machines
qui vibrent, les fils électriques trop rigides ont souvent tendance à casser...
C'est malheureusement les seules indications que je peux donner sur l'instant.
bricolsec
Posté par bricolsec, vendredi 11 mars 2011 | Recommander | Répondre
merci pour la réponse, effectivement j'ai lu que le rôle des charbons est d'alimenter le
rotor, d'ailleurs en testant le courant à la sortie des balais(charbon) je n'ai rien du tout
(alternatif continu ?) quelle tension devrais je avoir ???
Posté par ju, vendredi 11 mars 2011 | Recommander | Répondre
Re Ju
Bonjour,
Vous ne lisez pas bien les réponses que je vous fais, et c'est dommage, car j'essaye
d'être le plus précis possible.
J'ai parlé dans ma réponse précédente de COURANT CONTINU pour le rotor.
Je ne connais pas précisément la tension qui peut être nécessaire, mais c'est avant tout un
COURANT CONTINU magnétisant (courant d'excitation) qui assure l'aimantation des pôles.
Pour de petites machines je pense que cela peut varier de 0.2 A à quelques ampères.
Naturellement la tension d'excitation correspondante dépend de la résistance des bobinages
rotoriques.
La tension ALTERNATIVE de sortie de l'alternateur dépend directement du courant continu
d'excitation du rotor.
Contrôlez donc en statique que vous voyez une faible résistance du rotor au niveau des fils
sur le régulateur (Comprenant le contact des charbons)
Après c'est un problème d'alimentation ou de régulateur et je ne peux savoir, c'est à vous de
chercher.
Faites attention tout de même lors du fonctionnement, car l'alternatif 220 V peut apparaître
sans prévenir si il y a des problèmes de contacts...(C'est aussi dangereux que le secteur 220
V. !)
bricolsec
Posté par bricolsec, samedi 12 mars 2011 | Recommander | Répondre
impact de la charge sur la puissance du moteur
bonjour, je dois optimiser la production électrique de 2 groupes diesel qui alimentent
en continue une industrie chimique mais je ne comprends pas bien le fonctionnement
des groupes. J'ai bien lu l'article et j'ai quelques questions à poser:
estceque la puissance active délivrée par un groupe dépend de la puissance de l'installation
à laquelle il est connecté?
la vitesse de rotation du moteur estelle une caractéristique d'un groupe i.e. estelle
invariable?
Estce que lorsqu'on parle du régime, il s'agit de cette vitesse de rotation?
lorsqu'on dit que la consommation spécifique dépend de la charge du moteur, qu'entendon
par charge du moteur?
pouvezvous avoir des liens où je pourrais trouver la courbe d'évolution de la consommation
spécifique en fonction de la charge; tout ce que j'ai réussi à trouver jusqu'ici c'est plutôt
fonction du régime. Or je suppose que pour un moteur donné, le régime est constant (du
moins je crois).
Merci d'avance.
Posté par ecorcia, jeudi 31 mars 2011 | Recommander | Répondre
Re ecorcia
Bonjour,
Puissance active groupe et installation. Il y a des relations, mais c'est beaucoup plus
diffus comme réponse.
Si le secours est total, il faut des groupes capables de fournir cette puissance, mais il faut
aussi que les groupes puissent donner les pics de puissance sur d'éventuels démarrages de
moteurs. Dans tout cela il faut aussi voir statistiquement ce qui peut arriver en même temps.
La réponse est donc mitigée.
A cela il faut ajouter qu'en général on ne réalise le secours que sur ce qui est dangereux ou
vital pour le process, car les groupes coûtent cher en consommation (Et en maintenance !)
La vitesse de rotation est une caractéristique INVARIABLE d'un groupe. Cette caractéristique
dépend uniquement du nombre de pôles de l'alternateur. (4 pour les grandes machines en
général soit une vitesse de 1500 tr/mn pour un réseau à 50 Hz). Cela signifie que la partie
moteur thermique qui entraîne l'alternateur devra donner son couple et sa puissance
maximum à cette vitesse particulière.
"Le régime" (de rotation) peut effectivement être cela, mais là aussi, "régime" est un terme
ambigu, car cela peut aussi sousentendre le régime de fonctionnement et donc la charge de
fonctionnement en fonction du temps. (Par exemple 1000 KW en permanence durant 2 heures
puis plus rien avant le lendemain ou la prochaine panne secteur)
(En industrie chimique, cela peut être la fin d'une distillation avec tous les auxiliaires et les
sécurités. Très souvent il y a même de très grandes salles de batteries avec onduleurs pour
protéger l'outil de production en cas de défaut de démarrage de groupe).
La CHARGE d'un groupe représente la puissance électrique qu'on lui demande de fournir.
Cette puissance est intégralement transmise à la partie moteur Thermique avec toutes les
pertes en plus ! c'est donc ambigu également car c'est à la fois la charge du moteur
thermique mais AUSSI celle de l'alternateur (par la puissance électrique demandée). Il y a
parfois lieu de préciser si l'on se place du côté motoriste ou du côté utilisateur (Ce dernier
cas étant le plus courant)
Enfin pour la dernière question, je n'ai pas de courbes, mais il faut voir les grands
fabricants, qui donnent en général les consommations en L/heure pour une charge donnée
(chercher sur Internet car je préfère rester "libre").
Lorsque vous parlez régime, il peut s'agir de la vitesse de rotation, mais n'oubliez pas que ce
régime de rotation est FIXE. Donc ce n'est pas sur ce sujet qu'il faut se baser mais sur la
PUISSANCE DEMANDÉE qui fait plus ou moins consommer de carburant.
A ce niveau, il y a toujours une nourrice intégrée dans le soubassement du GE dont le volume
doit permettre quelques heures de fonctionnement. La limite maximum légale est de 500
litres pour ce réservoir intégré. Un remplissage automatique est normalement prévu à partir
d'une citerne extérieure et d'une pompe auxiliaire (si nécessaire) pour assurer la non rupture
de carburant et la continuité du fonctionnement.
Je pense avoir répondu à l'ensemble de vos questions
bricolsec
Posté par bricolsec, jeudi 31 mars 2011 | Recommander | Répondre
merci
bonjour, et merci pour les réponses, c'est beaucoup plus clair maintenant.
Je tiens juste à préciser que même si les groupes coûtent chers, ils ne sont pas utilisés
en secours mais c'est la SOURCE PRINCIPALE d'électricité dans cette industrie
(raffinerie de pétrole). le réseau national fluctuant énormément, c'est plutôt lui qui est utilisé
en SECOURS au cas où les groupes auraient des problèmes.
Lorsque la puissance demandée (donc côté utilisateur) varie, la puissance mécanique varie
également. Quel est le paramètre du moteur thermique qui varie: estce le couple ou bien
c'est la vitesse de rotation de l'arbre? Et qu'estce qui fait varier la consommation de diesel:
estce le débit d'injection ou la vitesse d'ouverture des soupapes?
Merci d'avance.
Posté par ecorcia, jeudi 31 mars 2011 | Recommander | Répondre
Re ecorcia
Bonjour,
Tout n'est pas parfaitement compris, mais il suffit de se rappeler que la vitesse ne peut
être que CONSTANTE (vitesse de l'arbre) pour garantir la FREQUENCE.
Donc c'est le couple qui augmente par l'injection plus ou moins massive de carburant.
La régulation est là pour évaluer le décalage de phase (et la fréquence) pour compenser
immédiatement par le réglage d'injection de carburant.
(Les soupapes n'ont rien à voir)
bricolsec
Posté par bricolsec, jeudi 31 mars 2011 | Recommander | Répondre
Bonjour monsieur,
commment détermine ton le calibre d'un disjoncteur de groupe électrogène ? Ex:
Puissance 70 kva pour une intensité nominale de 101A? peuton utliser un disjoncteur
de 400 ou de 700A?
Merci!
Posté par albert, samedi 18 juin 2011 | Recommander | Répondre
Re albert
Bonjour,
Je ne suis pas spécialiste électrotechnique, mais je pense que les disjoncteurs des GE
sont toujours déterminés pour le courant nominal. (j'ai toujours chiffré pour les GE des
disjoncteurs au calibre de sortie).
Cependant chaque moteur doit être équipé de son Magnétothermique qui va autoriser l'appel
de courant de démarrage et contrôler l'absence de surcharge.
Les contrôles de courants de démarrage (Id) de moteurs sont temporisés quelques secondes
pour permettre le démarrage sans coupure.
Utiliser des disjoncteurs de puissance supérieure conduit à supprimer de fait le contrôle de
surcharge du GE et pourrait donc conduire à la destruction de l'alternateur par échauffement
des enroulements.
A vérifier cependant car je ne suis pas prophète !
bricolsec
Posté par bricolsec, samedi 18 juin 2011 | Recommander | Répondre
groupe électrogéne
bonjour j'ai des problèmes avec mon groupe électrogène depuis bientôt un an et je
croix que ce groupe a été mal dimensionner svp aidez moi
Posté par MAURICE SAHA, lundi 29 août 2011 | Recommander | Répondre
Re MAURICE
Bonjour,
Je ne refuse pas d'aider, mais encore fautil que je sache QUELS sont les
PROBLEMES...!
Merci de les indiquer icimême : Groupe, puissance GE, puissance utilisation et
caractéristiques moteurs etc...et d'une façon générale tout ce qui peut être utile pour
déterminer ce qui "cloche".
bricolsec
Posté par lokistagnepas, lundi 29 août 2011 | Recommander | Répondre
Excellent article.
Bonjour,
Je tenais simplement a vous remercier pour la clarte de votre article qui me permet de
me remettre " dans le bain " de l'electrotechnique et des generateurs.
Cordialement.
Posté par Ben, samedi 24 septembre 2011 | Recommander | Répondre
Re Ben
Bonjour,
Avec quelque retard car j'étais absent, je voulais remercier pour ce commentaire
"gratuit" que j'apprécie toujours beaucoup, car c'est par pure sympathie.
Comme on dit souvent il est toujours plus agréable de recevoir des compliments que des
coups de bâtons !!!
Merci et meilleures salutations
bricolsec
Posté par lokistagnepas, mardi 27 septembre 2011 | Recommander | Répondre
Dimensionnement d'un groupe
Comment calculer la puissance d'un groupe qui doit prendre en charge une pompe de 4
kW et de débit 20 m3/h. Cette pompe est trempée dans un forage à une profondeur de
60 m et qui doit déverser dans un petit château d'eau surélevé de 15 m. La marche est
continue. càd 24h/24h.
Posté par BNAS, mercredi 19 octobre 2011 | Recommander | Répondre
Re BNAS
Bonjour, c'est la première des politesses lorsque l'on sollicite un conseil !
Consultez donc cet article…
http://bricolsec.canalblog.com/archives/2010/06/08/18190847.html
Je veux bien être indulgent, mais cet article indique précisément comment aboutir à cette
puissance...Je ne peux pas faire le travail à votre place, en premier lieu parce que je n'en ai
pas le temps matériel ni la responsabilité effective.
En deuxième lieu vous ne donnez aucune des indications nécessaires à ce calcul, c'est à dire
le courant d'appel au démarrage Id et/ou si un démarreur électronique est présent.
Seule la marche continue, est une indication utile qui vous obligera à prévoir une
alimentation avec pompe de reprise en citerne de carburant pour ce groupe.
Il y aura tout de même des périodes d'arrêt nécessaires à l'entretien mécanique du groupe
au terme d'un certain nombre d'heures préconisées par le constructeur.
Ce groupe n'aurait à priori aucune nécessité d'être préchauffé puisqu'il n'est pas en secours
immédiat.
bricolsec
Posté par lokistagnepas, mercredi 19 octobre 2011 | Recommander | Répondre
Dimensionnement d'un groupe
Merci d'avoir répondu à ma question.
Posté par BNAS, mercredi 19 octobre 2011 | Recommander | Répondre
bien
c'est bien fais ce cours ;
je veux voire les composantes nissisére pour les groupes électrogènes
Posté par snani ali, jeudi 08 décembre 2011 | Recommander | Répondre
Re snani ali
Bonjour,
Désolé je ne comprend pas ce que signifie :
Sorry I do not understand this question :
"composantes nissisére "
Je ne peux pas répondre !
bricolsec
Posté par lokistagnepas, jeudi 08 décembre 2011 | Recommander | Répondre
s auto alimenter gratuitement
s auto alimenter en énergie éléctrique.
comment, avec un groupe éléctrogéne!
idée : alimemtation du generateur par un moteur eléctrique.
on pourraient se passer des centrales éléctiques,dans tout les cas pour les habitations
familliales.
si je reste aussi vague , c est que je croi a mon idée .
j ai besoin de personnes compétentes comme vous,d une équipe de recherche et un
investiseur.
ceci est une lettre a la mer
Posté par josé, dimanche 25 décembre 2011 | Recommander | Répondre
Re José
Bonjour,
Beaucoup trop vague pour que cette idée présente un intérêt immédiat, car il manque
la puissance dont vous comptez avoir besoin mais surtout la source de l'énergie
électrique qui entraînerait l'alternateur du GE. (Convertisseur tension/tension ou groupe
léonard)
(Vent, soleil, biogaz, avec ou sans cogénération ?...?)
(Tout ceci bien entendu dans un cadre familial).
D'autre part, les faibles puissances d'entrées amènent toujours à des solutions statiques de
conversion, où les pertes mécaniques sont éliminées, mais dont la fragilité est accrue.
Désolé, il faut plus d'éléments techniques avant d'envisager sérieusement une réalisation,
même prototype.
bricolsec
Posté par lokistagnepas, dimanche 25 décembre 2011 | Recommander | Répondre
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04/08/2016 LES GROUPES ELECTROGENES Calculs Puissances BRICOLSEC

Un moteur électrique classique peut consommer jusqu'à 7 fois son Intensité nominale (In) au

La vitesse de rotation des groupes varie en fonction

Lorsqu'il n'y pas d'autres possibilités, des aéro

Pour le particulier, la question se pose souvent ainsi : Qu'est ce que je vais pouvoir alimenter

Et tout cela ne concerne qu'un seul moteur auquel il faut ajouter le fonctionnement du deuxième

Des liaisons d'automatismes en amont de l'INS et dûment

puissance, Broyat de branches et Microampère heure Mesures sur les petits Mesures sur un

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Pour le particulier, la question se pose souvent ainsi : Qu'est ce que je vais pouvoir alimenter

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