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Trois vaccins gratuits ont été ajoutés au calendrier des vaccinations de routine recommandées chez les enfants. Il s'agit
de vaccins contre la varicelle, la méningite à méningocoques et les maladies à pneumocoques.
Les enfants peuvent recevoir, dès l'âge de deux mois, une série de quatre doses de vaccins conjugués contre les
maladies à pneumocoques.
Le vaccin contre la varicelle sera offert aux enfants de cinq ans n'ayant jamais eu cette maladie ainsi qu'aux personnes
de tout âge à risque élevé.
Le vaccin conjugué contre les méningocoques de souche C est dorénavant offert aux enfants de douze ans, aux
personnes ayant entre quinze et dix-neuf ans et aux personnes de tout âge à risque élevé.
contre la varicelle enfants d'un an nés depuis le 1er la varicelle et ses complications (à
septembre 2003 savoir les infections cutanées
d'origine bactérienne)
enfants de cinq ans qui n'ont
encore jamais eu la varicelle
conjugué contre les enfants d'un an nés depuis le 1er maladies invasives à
méningocoques de souche C septembre 2003 pneumocoques, y compris la
méningite et la méningococcémie
enfants atteints du virus du sida (septicémie méningococcique)
nés depuis le 1er janvier 2002
Pour savoir si votre enfant est admissible, communiquez avec votre médecin, infirmière ou infirmier praticien
ou bureau de santé publique.
Notes internationales
Introduction
Maladie Année
Variolea 1798b
Rage 1885b
Typhoïde 1896b
Choléra 1896b
Peste 1897b
Diphtériea 1923b
Coqueluchea 1926b
Tétanosa 1927b
Tuberculose 1927b
Grippe 1945c
Fièvre jaune 1953c
Poliomyélitea 1955c
Rougeolea 1963c
Oreillonsa 1967c
Rubéolea 1969c
Anthrax 1970c
Méningite 1975c
Pneumonie 1977c
Adénovirus 1980c
Hépatite Ba 1981c
Haemophilus influenzae type ba 1985c
Encéphalite japonaise 1992c
Hépatite A 1995c
Varicellea 1995c
Maladie de Lyme 1998c
Rotarivusa 1998c
a
Vaccin recommandé pour l'immunisation universelle des
enfants américains. Dans le cas de la variole, la vaccination
systématique s'est terminée en 1971.
b
Vaccin développé (c.-à-d. premiers résultats publiés sur
l'usage du vaccin).
c
Usage du vaccin autorisé aux États-Unis.
Impact du vaccin
Orientation future
Les vaccins représentent l'une des plus grandes réussites de la
science biomédicale et de la santé publique. En dépit de
percées remarquables, le système d'immunisation américain
doit encore faire face à plusieurs difficultés. L'infrastructure du
système doit parvenir à mettre en oeuvre de façon efficace un
calendrier de vaccination de plus en plus complexe. On estime
que 11 000 enfants naissent chaque jour aux États-Unis et
chacun doit recevoir entre 15 et 19 doses de vaccins avant
l'âge de 18 mois pour être protégé contre 11 maladies
infantiles(6). En outre, on prévoit que de nouveaux vaccins
contre les pneumocoques et les méningocoques, l'influenza, le
virus para-influenza, le virus respiratoire syncytial et diverses
maladies chronique feront bientôt leur apparition sur le marché
(p. ex., ulcères gastriques, cancer causé par Helicobacter
pylori, cancer du col utérin causé par le virus du papillome
humain et cardiopathie rhumatismale consécutive à une
infection due aux streptocoques du groupe A). Les chercheurs
procèdent actuellement à des essais cliniques de vaccins
destinés à prévenir l'infection par le virus de l'immunodéficience
humaine, qui est la cause du sida.
Si l'on veut tirer pleinement profit des vaccins, il faudra que les
parents reconnaissent qu'ils sont un moyen de mobiliser les
défenses naturelles de l'organisme et être plus disposés à faire
vacciner leurs enfants. Les professionnels de la santé doivent
être au fait des plus récentes innovations et recommandations;
les approvisionnements en vaccins et le financement des
programmes de vaccination doivent être plus sûrs, en
particulier dans le cas des nouveaux vaccins; les chercheurs
doivent se pencher sur des questions de plus en plus
complexes entourant l'innocuité, l'efficacité et l'administration
des vaccins et consacrer plus d'énergie à la recherche de
nouveaux modes d'administration des vaccins; et, enfin, il
faudra exploiter de façon plus efficace les technologies de
l'information pour favoriser l'administration des vaccins selon
les calendriers prévus. En outre, le système d'administration
des vaccins doit être étendu à de nouvelles populations
d'adolescents et d'adultes. Chaque année, des milliers de cas
de grippe, de pneumococcie et d'hépatite B potentiellement
évitables sont observés dans ces populations. Nombre des
nouveaux vaccins seront destinés à ces groupes d'âge. Le
système d'immunisation américain doit englober ces
populations afin de prévenir de façon optimale la maladie,
l'incapacité et le décès.
Références
Le vaccin contre l’influenza (la grippe) est aussi recommandé pour les enfants de plus de 6 mois.
Ces vaccins ne sont pas tous couverts par les régimes d’assurance-maladie des provinces et des
territoires.
• Le vaccin 5-en-1 (aussi désigné DCTP-Hib), le vaccin DCT-polio ou le vaccin Hib : Ces
vaccins protègent votre enfant contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la polio et le Hib.
• Le vaccin RRO : Ce vaccin protège votre enfant contre la rougeole, la rubéole et les oreillons.
• Le vaccin contre l’hépatite B.
• Le vaccin dTca pour les adolescents : Ce vaccin protège contre la diphtérie, le tétanos et la
coqueluche.
• Le vaccin contre la varicelle
• Le vaccin contre le pneumocoque : Ce vaccin protège contre les infections causées par le
Streptococcus pneumoniae, y compris la méningite (une infection du cerveau), la pneumonie
et les otites.
• Le vaccin contre le méningocoque : Ce vaccin protège contre les maladies causées par les
bactéries à méningocoque, y compris la méningite et la septicémie, une grave infection du
sang.
• Le vaccin contre le VPH : Ce vaccin protège les filles contre divers types de VPH responsables
du cancer et des condylomes (des verrues génitales).
• Le vaccin antirotavirus : protège votre bébé contre le rotavirus, la principale cause de grave
diarhée chez les bébés et les jeunes enfants.
Vous devriez aussi parler à un médecin des vaccins qui peuvent protéger votre enfant pendant les
voyages.
• Si votre enfant fait une réaction allergique à un vaccin, comme des troubles de la respiration,
une grave enflure de la peau ou de la bouche, parlez-en à votre médecin avant le vaccin
suivant.
• Après l’administration d’un vaccin, vous pouvez observer une rougeur, une enflure ou une
douleur à l’endroit où l’aiguille a pénétré dans le bras ou la jambe.
• Certains enfants font de la fièvre après un vaccin. Demandez à votre médecin ce que vous
devriez administrer à votre enfant pour soulager la fièvre ou la douleur.
• Si votre enfant est très malade au moment prévu pour qu’il reçoive un vaccin, parlez-en à
votre médecin.
• Si votre enfant a une grave allergie aux œufs (urticaire, enflure des yeux, du visage ou de la
bouche), il faut lui administrer le vaccin contre la grippe seulement sous une étroite
supervision. Le vaccin est fabriqué dans des œufs de poulet.
Comment puis-je réduire la douleur au minimum?
Les vaccins peuvent faire mal. Pour réduire la douleur, vous pouvez :
Si votre enfant pleure ou est irritable après l’administration du vaccin, vous pouvez lui donner de
l’acétaminophène.
Âge au Diphtérie Hib1 Rotavirus7 Rougeole Diphtérie Hépatite Varicelle4 Pneumocoque Méningocoque Grippe VPH6
moment Tétanos Rubéole Tétanos B3 conjugué5
du vaccin Coqueluche Oreillons Coqueluche
Poliomyélite
Naissance première première entre 6
2 mois X X enfance : X enfance (2 ou et
de 2 à 3 3 doses avant 23 mois
4 mois X X doses X 12 mois ET (1 à 2
première
6 mois X X entre 6 et X une dose de doses)
enfance
12 mois 32 X X X rappel entre
ou
semaines 12 et
18 mois X X X2
de vie 23 mois)
entre 4 et ou
X X2
6 ans et
entre 9 et
X adolescence X
13 ans
entre 14 X
et 16 ans
Remarques :
1. L’Haemophilus influenzae de type b (Hib) exige une série de vaccins. Le nombre exact des
doses et le moment précis de leur administration varient selon la marque de vaccin utilisée.
2. Deux doses du vaccin RRO sont administrées dans toutes les provinces et tous les territoires.
La deuxième dose du vaccin RRO est administrée soit à 18 mois, soit entre 4 et 6 ans. Si
l’enfant a dépassé l’âge auquel le deuxième vaccin RRO est recommandé, la deuxième dose
peut être injectée de 1 à 2 mois après la première.
3. L’hépatite B exige une série de vaccins. Dans certains territoires de compétence, ces vaccins
sont administrés plus tôt.
4. Ce vaccin est administré en 1 seule dose aux enfants de 1 à 12 ans et en 2 doses, à 1 mois
d’intervalle, aux enfants plus âgés. Il n’est pas recommandé aux enfants de moins d’1 an.
5. L’âge auquel on offrira le vaccin à votre enfant par l’entremise du programme de vaccination
provincial ou territorial dépend de votre province ou territoire de résidence. Les enfants plus
vulnérables à l’infection par le méningocoque devraient recevoir le vaccin conjugué contre le
méningocoque de groupe C lorsqu’ils sont bébés et le vaccin MCV4 à 2 ans. Tous les enfants
devraient recevoir une dose de rappel du vaccin MCV4 ou du vaccin conjugué contre le
méningocoque de groupe C vers l’âge de 12 ans.
6. Administré seulement aux filles. La deuxième dose est administrée 2 mois après la première
et la troisième, encore 6 mois plus tard.
7. Votre enfant aura besoin de 2 ou 3 doses selon la marque de vaccin administrée. Les doses
sont administrées à au moins 4 semaines d'intervalle.
Renseignements supplémentaires
Ces renseignements ne doivent pas remplacer les soins et les conseils médicaux de votre médecin. Ce dernier peut
recommander des variations au traitement tenant compte de la situation et de l'état de votre enfant.
Le vaccin 5-en-1
Vous pouvez protéger vos enfants contre 5 maladies en leur donnant 1 seul vaccin. Le vaccin 5-en-1
protège les enfants contre :
1. la diphtérie,
2. le tétanos,
3. la coqueluche,
4. la poliomyélite (polio),
5. le Hib.
Au Canada, la plupart des enfants se font administrer le vaccin 5-en-1 à l’âge de 2, 4, 6 et 18 mois.
Votre enfant recevra une dose de rappel du vaccin 4-en-1 entre 4 et 6 ans. Le vaccin 4-en-1 protège les
enfants contre :
1. la diphtérie,
2. le tétanos,
3. la coqueluche,
4. la polio.
Votre enfant n’a pas besoin de recevoir de dose de rappel du vaccin contre le Hib s’il a déjà reçu les 4
doses du vaccin 5-en-1.
Votre enfant doit recevoir tous les vaccins au bon moment. Demandez à votre médecin ou à une
infirmière de vous donner un carnet de vaccination pour vous rappeler les dates auxquelles votre enfant
a été vacciné.
• Le tétanos est causé par une toxine (un poison) qu’on trouve dans la terre et la poussière.
• Si le tétanos pénètre dans une coupure, le poison peut se répandre jusqu’à la moelle osseuse
par le sang, en remontant les nerfs par les muscles. Les muscles peuvent se bloquer ou subir
des spasmes (devenir très raides). C’est très douloureux.
• Les premiers muscles touchés sont ceux de la mâchoire. Une personne atteinte du tétanos peut
être incapable d’avaler ou d’ouvrir la bouche.
• Si le poison atteint les muscles qui aident à la respiration, la mort peut survenir très rapidement.
• Les enfants qui survivent au tétanos peuvent avoir des troubles permanents de la parole, de la
mémoire et de la pensée. Même si un enfant a déjà eu le tétanos, il peut l’attraper une nouvelle
fois.
• Le vaccin contre le tétanos protège les adultes et les enfants. Demandez à votre médecin ce qu’il
faut faire pour recevoir ce vaccin, afin de vous protéger vous aussi.
• La coqueluche est causée par des germes qui pénètrent dans la gorge et les poumons.
• Les enfants peuvent tousser si fort et si longtemps qu’ils sont incapables de respirer.
• Les bébés qui attrapent la coqueluche peuvent avoir des convulsions et tomber dans le coma.
Environ 1 nourrisson sur 400 meurt de pneumonie ou de lésions cérébrales (des dommages au
cerveau).
• Les enfants plus âgés qui attrapent la coqueluche ont de graves quintes de toux pendant 2 à 3
semaines. Au total, la maladie peut durer de 6 à 12 semaines.
• Hib signifie Haemophilus influenzae de type b. Malgré son nom, le Hib n’a rien à voir avec la
grippe (influenza).
• Le Hib est un germe qui se manifeste dans le nez ou la gorge et qui peut infecter presque toutes
les autres parties du corps, comme les poumons, le cœur, les articulations, les os et la peau.
• Le Hib peut causer une maladie très grave, la méningite, lorsqu’il infecte le liquide et la paroi du
cerveau et de la moelle osseuse.
• Sans traitement, tous les enfants atteints d’une méningite à Hib meurent.
• Même traité, environ 1 enfant sur 20 atteints d’une méningite à Hib meurt.
• Environ 1 enfant sur 3 qui survit vent à la maladie subit des lésions cérébrales.
• Après n’importe quel vaccin, on peut remarquer une rougeur, une enflure ou une douleur à
l’endroit de la piqûre, dans le bras ou la jambe.
Pour obtenir des renseignements détaillés sur la vaccination au Canada, lisez Les vaccins : Avoir la
piqûre pour la santé de votre enfant
Ces renseignements ne doivent pas remplacer les soins et les conseils médicaux de votre médecin. Ce dernier peut
recommander des variations au traitement tenant compte de la situation et de l'état de votre enfant.
Dans d’autres cas, l’hépatite B rend les gens très malades. Ces personnes font de la fièvre, sont
fatiguées, perdent l’appétit et font une jaunisse (leurs yeux et leur peau deviennent jaunes). La maladie
peut durer des semaines ou des mois. La plupart des gens guérissent et sont immunisées (protégées)
pour la vie. Quelques-uns deviennent des porteurs. Plus on est jeune au moment de l’infection, plus
l’infection risque d’être présente pour la vie.
Les porteurs peuvent transmettre le virus à d’autres et courent un très grand risque de cirrhose,
d’insuffisance hépatique (des maladies du foie) et de cancer du foie. Certains porteurs ont besoin d’une
greffe du foie, et d’autres meurent de leur maladie hépatique.
Il n’existe pas de moyen de guérir l’hépatite B, mais des traitements permettent parfois de réduire la
quantité de virus dans le sang et les sécrétions organiques. Ils peuvent aussi prévenir certains des autres
problèmes causés par la maladie.
• le sang,
• le lait maternel,
• le sperme (le liquide qui s’écoule du pénis pendant les relations sexuelles),
• les liquides dans le vagin.
Il peut se transmettre :
• par des contacts directs avec du sang ou des liquides contenant du sang;
• pendant les relations sexuelles;
• par le partage d’aiguilles entre personnes qui s’injectent des drogues;
• par des aiguilles infectées dans un magasin de tatouage;
• lors du perçage des oreilles ou d’autres parties du corps;
• de la mère à son enfant pendant la grossesse ou l’accouchement;
• par le partage d’une brosse à dents ou d’un rasoir (lorsque du sang est entré en contact avec
l’objet).
• Les personnes qui ont eu une réaction allergique à une dose précédente du vaccin ne devraient
pas le recevoir de nouveau. Les réactions allergiques provoquent une enflure du visage ou des
lèvres, de la difficulté à respirer ou une baisse de la tension artérielle.
Pour obtenir de l’information détaillée sur les vaccins au Canada, lisez Les vaccins : Avoir la piqûre pour
la santé de votre enfant.
Renseignements supplémentaires :
Mars 2007
Les vaccins sauvent des vies et préviennent les maladies. Ils protègent les enfants contre des maladies qui les
privent d'une vie productive. La difficulté, dans le monde en développement, tient surtout à leur distribution et à
leur administration aux personnes qui en ont besoin. Vaincre cette difficulté est l'objet d'efforts assidus des États-
Unis et de la communauté internationale depuis plus de 30 ans.
TRADUCTIONS
• English Español Українська - PDF عربي
DOSSIER CONNEXE
Santé mondiale
Élever le niveau de santé dans le monde
Dans ce numéro
Généralités
• Avant-propos
Les vaccins sauvent des vies et préviennent les maladies. Ils protègent les enfants contre des maladies
invalidantes et des maladies qui les privent d'une adolescence épanouissante et d'un âge adulte
productif. Lorsque des enfants en bonne santé arrivent à l'âge adulte pour devenir des citoyens actifs,
leur pays ne manque pas d'en bénéficier.
MIKE LEAVITT
Ancien ministre de la santé
Les virus et les bactéries ne cessent de muter, de s'adapter et de se propager. Il n'est donc pas suffisant
de créer un vaccin efficace pour vaincre une maladie une fois pour toutes. Il vaut mieux mettre en place
une infrastructure qui permette la mise au point de vaccins et la découverte de nouveaux traitements.
Étapes décisives
Il se livra, en 1796, à des expériences pour établir le rapport éventuel entre la vaccine, la variole chez la
vache, et la variole chez l'homme
Ses découvertes en 1881 permirent de mettre au point des vaccins contre la tuberculose, le choléra, la
typhoïde et la rage.
Une utilisation vigilante, suivie et coordonnée des vaccins de Jonas Salk et Albert Sabin a maintenant
éradiqué la poliomyélite dans la plupart des pays.
• L'éradication de la poliomyélite
Depuis 1988, une seconde campagne a été lancée pour débarrasser le monde d'une autre maladie
mortelle, et, une fois de plus, un vaccin promet de faire disparaître un virus qui a causé tant de
souffrances.
Réalisations
L'alliance GAVI s'efforce de fournir l'élan et les ressources nécessaires pour que les vaccins soient
administrés à tous les enfants du monde.
Une campagne lancée par plusieurs partenaires pour réduire de moitié la mortalité due à la rougeole en
l’espace de cinq ans a atteint son objectif.
• Grâce aux « journées de tranquillité », la vaccination se poursuit
Les trêves pendant une guerre civile permettent de réaliser une campagne de vaccination.
Le Réseau national d’information sur la vaccination offre des renseignements sur les risques et
l’innocuité des vaccins.
RESSOURCES COMPLÉMENTAIRES
Perspectives
KENT HILL
Les États-Unis se sont engagés depuis longtemps à aider d’autres pays à tirer parti des avantages des
vaccins et oeuvrent de concert avec la communauté internationale à cet effet.
• Un vaccin à la fois
WENQING ZHANG
L’OMS coordonne le suivi à l’échelle mondiale des flambées épidémiques de la grippe saisonnière, et
également de la grippe aviaire, en vue de produire des vaccins permettant de prévenir ou d’atténuer une
maladie qui touche chaque année des centaines de millions de personnes de par le monde.
STANLEY PLOTKIN
L’inventeur du vaccin contre la rubéole prévoit divers progrès en matière de vaccins pendant les
premières décennies du XXIe siècle.
Les vaccins sont effectués par un médecin. Votre médecin de famille est le meilleur interlocuteur pour vous
conseiller ou pratiquer cette vaccination.
- respecter, pour chaque vaccination, le nombre et les intervalles entre les injections ;
- faire inscrire par le médecin, dans le carnet de santé de l'enfant, le nom du vaccin et la date de vaccination.
Les mentions ainsi portées lisiblement et complètement ont valeur de certificat de vaccination.
Les vaccinations mentionnées dans le calendrier vaccinal sont effectuées gratuitement dans les services de
vaccination du secteur public (Centre de Protection Maternelle et Infantile, service municipal ou départemental de
vaccination par exemple). Renseignez-vous auprès de votre mairie ou du Conseil général de votre département.
Elles sont remboursées à 65 % par la Sécurité Sociale quand elles sont pratiquées dans le secteur privé
(cabinets médicaux).
La vaccination contre la fièvre jaune ne peut pas être effectuée par votre médecin traitant : vous devez vous
rendre dans l'un des centres de vaccination habilités à effectuer la vaccination antiamarile et à délivrer les
certificats internationaux de vaccination contre la fièvre jaune.
Consulter la liste des centres
La vaccination contre la rage est réalisée tantôt par un médecin traitant (cas de la prévention avant un voyage)
tantôt par un centre anti-rabique spécialisé (cas d'une contamination possible, par exemple morsure).
Mode d’emploi.
Il s’agit d’inoculer :
Le produit final est toujours complété par une substance toxique et souvent
hautement anergisante baptisée adjuvant de l’immunité genre mercure, aluminium,
ou autre poison violent, faute de quoi il apparaît totalement inefficace. Cette
inoculation se fait au mépris de toutes les règles de prudence habituelles préconisées
pour les traitements médicaux.
Elle est réputée inoffensive et toujours efficace par principe, sans que jamais la
moindre étude épidémiologique sérieuse n’ait été effectuée... (curieusement, les
diverses moutures sont fréquemment remplacées par de nouvelles, moins
dangereuses et réputées plus efficaces).
Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes : il faut être initié ou
chercher avec opiniâtreté pour soulever un petit coin du voile ! Même les grands
professeurs et les médecins ne savent pas... Lorsqu’un professionnel réclame des
éclaircissements à l’Institut Pasteur-Mérieux, on lui répond, sans rire : " Secret-
défense ! "
Les premiers vaccins mis au point par Louis Pasteur lui-même, comme celui de la
rage, étaient en fait des organes d’animaux malades broyés et inoculés directement
(moelles épinières de lapins enragés dans ce cas précis).
Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés le plus souvent sur des
cultures de cellules animales ou humaines (I.V.G.), cancérisées artificiellement (on les
baptise alors gentiment immortelles, quand il ne s’agit pas de cellules d’emblée
cancéreuse (lymphomes). C’est-à-dire qu’on fait pousser les virus vaccinaux sur ces
milieux. C’est, dans tous les cas, le jus de culture de ces cellules cancérisée qui est
inoculé aux patients, après filtration et traitements éventuels pour atténuer ou tuer
les virus.
Ces cellules cancérisées qui servent à fabriquer les vaccins doivent être en très grand
nombre : en effet, chaque dose vaccinale renferme des quantités invraisemblables de
virus ! 700 000 au moins pour une dose de vaccin antipoliomyélitique par exemple.
Or, les fabriquants de vaccins produisent des milliards de doses ! Pour augmenter le
rendement, on nourrit donc les cellules immortelles qui servent à la culture des virus
avec du sérum de veau, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif.
Or, ce sérum de veau comme tous les produits bovins est susceptible d’être
contaminé par des Prions, qui sont des micro-organismes encore plus frustes que les
Virus. Ils seraient responsables de maladies effroyables comme l’Encéphalite de la
Vache Folle, ou la maladie de Creutzfeld-Jacob (démence abiotrophique) : en fait, il
est probable que c’est plutôt l’aluminium utilisé comme adjuvant de l’immunité qui
soit responsable de ces dégénérescences nerveuses. Ces maladies évoluent après de
longues incubations (trois à cinq ans en moyenne) et ne peuvent être diagnostiquées
qu’à l’autopsie, ce qui permet d’éviter tout rapprochement malheureux entre ces
pathologies (ou avec d’autres maladies neurologiques comme la maladie de Alzheimer
ou le syndrome de Parkinson par exemple) et les vaccins. D’autant plus que les veaux
donneurs sont tués avant l’âge adulte, donc avant que l’on puisse poser le diagnostic
de maladie à prions. Ce risque est tellement évident qu’il est INTERDIT par la
législation française d’utiliser le moindre produit d’origine bovine pour la fabrication de
médicaments injectables !
Le Jus de culture.
Le Jus de culture obtenu est manipulé quelque peu avant l’inoculation. On le filtre,
puis on atténue ou on tue (soit-disant) le virus selon le type de vaccin, avec des
produits très toxiques, comme le méthotrexate (chimiothérapie lourde) ou le formol. Il
faut savoir qu’il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. l’Institut Pasteur
Mérieux parle d’une pureté de 99 %, et l’OMS de 90 à 95 % (Rapport Technique 760 -
1987). De toutes façons, personne n’ira jamais contrôler les affirmations gratuites de
nos sacro-saintes institutions vaccinales.
Enfin, une nouvelle technique réputée plus économique vient tout juste d’être mise au
point : le Génie génétique. Des enzymes et des fragments de gènes issus de virus
effroyablement cancérigènes (virus SV 40 qui pourrait être responsable de cancers
chez les animaux - ou virus du papillome bovin en particulier - obtenus là encore en
quantités industrielles grâce à des contaminations de cellules cancérisées et nourrie
avec du sérum de veau) sont - par tâtonnements - mélangés au jus des cultures
cellulaires (toujours cancérisées la plupart du temps - à l’exception de l’Engerix B ou
du petit dernier hb-vax dna qui sont préparés sur des cultures de levures végétales),
pour lobotomiser ces cellules et en faire des cellules-usines et esclaves. Elles pourront
ainsi fabriquer des protéines capables de déclencher la fabrication des fameux
anticorps...
• soit par des prions si le Sérum de Veau a été utilisé pour la fabrication du
vaccin (ou si l’on a utilisé d’autres milieux de culture bovin, comme le BCG qui
est cultivé sur de la bile de bœuf),
• soit par des virus connus ou inconnus encore, plus ou moins effroyables.
4. Par inoculation de micro-organismes plus ou moins mal connus encore, ils vont
pouvoir déclencher de nouvelles maladies infectieuses (genre Ebola), réveiller des
cancers latents, ou générer des maladies effroyables dites auto-immunes (sclérose en
plaques par exemple).
5. Ils risquent de venir modifier le capital génétique des ovules ou spermatozoïdes, et
donc de déclencher la naissance d’enfants monstrueux dans la descendance
immédiate.
Dr Scohy Alain,
7 route de St Médiers
30700 Montaren