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Réalisé par : Mlle Zeroual ilham


Encadré par : M khalid ech-
ech-chouay
Service : Instrumentation
Option : Génie Electronique
Période de Stage : Du 01/08/2009 au 31/08/2009
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Il est bien entendu qu’une formation donnée ne pourrait être


complète qu’après avoir un exercice pratique, c’est dans ce
cadre qu’a la fin de ma 2éme année à l’IGA, j’ai décidé de
passer un stage pratique dans un organisme public ou privé.

De ce fait, j’ai eu le privilège de passer un stage d’un mois


dans la section instrumentation, automation et métrologie chez la
centrale laitière site El jadida.

C’est un monde plein d’activité, d’enthousiasme ou la pratique


joue un rôle impératif, c’est le monde du travail qui diffère de
celui des études.

En effet ce stage m'a appris beaucoup de choses telles que :


La manière d'affronter les gens, l'acquisition de l'information,
la précision, la compréhension, la vigilance, la résistance au
stress, l'intervention …
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Emotion, joie, et fierté m’aiment en dédiant cette expérience


professionnelle à:

• ma très chère Maman pour ses sacrifices et pour


son soutien moral pendant toute ma vie.

• Ma chère tante et mon adorable cousin Ismail que


j’aime énormément

• Mon ami Mohamed hassani pour son soutien, ses


aides et sa patience

• M khalid Ech_chouay pour son soutien et son


chaleureux accueil.

• tous mes formateurs et formatrices de l’institut


Supérieur des Génies Appliquées(IGA):M BESAOUD
et M BEN SAIDI qui ont déployé tous leurs efforts
pour que je puisse passer ma formation dans les
meilleures conditions.

• Et sans oublier mes amis de stage ainsi que mes amis


de classe
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Avant d’entamer mon rapport de stage, je tiens


à remercier non seulement par nécessité, mais par respect et
gratitude profonde la contribution réelle et censée des
responsables de la direction de centrale laitière pour m’avoir
permis d’accomplir mon stage au sein de cette entreprise.

J’exprime mes sincères remerciements également à M


khalid Ech_chouay le chef d’équipe de l’atelier instrumentation,
Qui m’a prêté main forte pour accomplir les taches dans des
bonnes conditions.

Je tiens également à remercier tous les instrumentistes :

• Mr. Saadeddine mostafa


• Mr. Toumi said
• Mr. Faraj abedlouahed
• Mr. Belaouej abdelkder
• Mr. Chahil Mohammed

Je présente mon profond respect à M khalid


hmama le Responsable de la maintenance d’usine

Je tiens aussi à remercier tous ceux qui ont participé de


près ou de loin au bon déroulement de mon stage.

« Merci a dieu »
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Le premier chapitre du présent rapport est consacré à la présentation


de la centrale laitière, du service d’affectation, du procédé de fabrication.
Dans le deuxième chapitre je vais traiter le volet gestion du projet tout en
citant les taches auxquelles j’ai pu participer. Le troisième chapitre va être
consacré à l’étude technique du projet. Et pour finir, un quatrième et
dernier chapitre présentant mes perspectives, mes améliorations une
conclusion de ce projet et l’annexe.
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Chapitre I :

Présentation Générale
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1. présentation de la centrale laitière :


Créée dans les années quarante, Centrale Laitière est pionnière de l’industrie laitière au
Maroc. Dès 1953, l’entreprise devient partenaire du groupe Danone, référence mondiale avec
qui elle partage les savoir-faire. Centrale Laitière devient filiale en 1981 du Groupe ONA.
Centrale laitière innove de façon continue en créant des produits sains et équilibrés qui
répondent aux besoins et aux attentes du consommateur.

Sa production dépassant les 547 000 tonnes de lait et de Produits Laitiers Ultra Frais
(Desserts, Boissons, Yaourts et Fromages) par an.

Avec 2200 collaborateurs, 4 sites de production (Salé, El Jadida, Meknes et Fkih Ben
Salah), 112 000 éleveurs laitiers à travers tout le Maroc regroupés en 850 centres de collecte
répartis en 6 zones Tadla, Haouz, Doukkala, Chaouia, Gharb - Loukkos et Saiss - Zemmour.et
ses 55 000 points de ventes desservis quotidiennement par 500camions de distribution (20
agences commerciales) centrale laitière est le premier producteur national du lait conditionné
et de produits laitiers frais.

La densité de son réseau de distribution permet à chaque marocain de trouver, en tout


endroit et à tout moment, ses produits laitières préférés. La centrale laitière a fait avec ses
clients le véritable levier de son développement

Le succès de la centrale laitière et sa prépondérance s’appuie sur un savoir-faire


reconnu, une innovation continue en matière de produits laitiers, une connaissance des
attentes des consommateurs, la compétence de ses ressources humaines et la modernisation
continue de son outil de production ainsi qu’une contribution avec le centre de recherche et
développement de Danone qui lui a permet une expertise dans le domaine de la nutrition et la
santé.

1.1 Historique de la centrale laitière :


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1.2 Objectif de la centrale laitière :


En tant que licencié du groupe DANONE, la centrale laitière est leader national dans le
secteur laitier. Sur le plan mondial, centrale laitière occupe le 7éme rang parmi les
implantations industrielles affilées au groupe DANONE.
En ce qui concerne les objectifs de la centrale laitière, on peut en citer cinq :
• Assurer l’approvisionnement en lait de bonne qualité :
Depuis sa création, elle n’a pas cessé de mobiliser, pour les besoins de la production
laitière, les moyens considérables pour la promotion de l’élevage.
A ce titre, elle y participe activement par :

- la distribution l’aliment de détail..


- la mise en place de bac de réfrigération.
- la prime de qualité de lait.

• Moderniser sans cesse l’outil de production :


La modernisation permanente de ses unités de productions permet de garantir à la société, une
maîtrise parfaite des processus de fabrication à l’aide des technologies les plus avancés.

• Améliorer en permanence la qualité du produit :


Depuis la réception des matières primaires jusqu'à l’emballage, les produits sont soumis à
des contrôles rigoureux. Au sein de chaque unité de Production, les laboratoires veilles au
respect des normes internationales en terme de qualité et d’hygiène.
Un partenariat avec DANONE, leader mondial de l’alimentation, lui permet d’accéder aux
dernières innovations dans le domaine laitier.

• Assurer l’approvisionnement réguler du marché :


Disposant d’un réseau d’agence couvrant le territoire national, la centrale laitière maîtrise
parfaitement se distribution avec un parc de 190 camion qui parcourent prés de 10 millions de
kilomètre par an.
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• Satisfaire le consommateur par la diversité des produits :

Les yaourts, Danone aromatisé, , Danup,


Salé Raibi …
Lait pasteurisé , le lait uht, Assiri,Moufid jaybi
El Jadida Lben,Beurre,Bledina et poudre de lait
Meknès Les fromages frais : Jokey, Danino, lait pasteurisé

Fkih Ben Saleh Lait pasteurisé et poudre de lait

1.3 Les étapes marquantes :


Centrale Laitière est pionnière de l’industrie laitière au Maroc. Dès 1953, l’entreprise
devient partenaire du groupe Danone. Centrale Laitière devient filiale en 1981 du Groupe
ONA. Avec une production dépassant les 500 millions de litres de lait par an, Centrale
Laitière est le moteur du secteur laitier dans son ensemble. Avec quatre sites de production,
17 agences commerciales et une distribution dans plus de 50000 points de vente, Centrale
Laitière a fait de la proximité avec ses clients le véritable levier de son développement.
L’entreprise détient 60% des parts de marché.

1.4 Fiche technique :

Centrale laitière est une société faisant partie du groupe O.N.A

Centrale laitière Société Anonyme


Au capital de : 940200.000 DH
191. boulevard zerktouni, twin centre, tour
Siége social principal :
Casablanca
El Jadida – Salé –– Meknès –
Usines :
Fkih Ben Saleh.
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Tanger – Safi – Marrakech – Agadir –


Agences commerciales : Kenitra –Fès -El Jadida- Tetoaun-Meknes-
Casablanca- Oujda- Fkih Ben Saleh.

Production et commercialisation des produits


Activité :
laitières

Chiffre d’affaire : 4 483,6 Mdh

N° d’imposition de la patente : 31400660


N° d’identification : 1620058
Registre commercial : Casa 269 777
CNSS : 1 978 850
Téléphone : 0623 95 81 87

1.5 Chiffre d’affaire 2008 :

Chiffre d’affaires : 4483,6Mdh


Part de marché Lait : 59,8%
Part de marché PLF : 60,7%
Effectif : 2453
Investissements : 353,8 MDH

2. centrale laitière El Jadida :


2.1 Lieu de stage :
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Figure N°:1

Figure N° :2
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2.2 Présentation de l’usine :

L’usine d’El Jadida a été crée en raison de la forte production de lait dans la région de
Doukkala, afin de collecter le lait des coopératives, d’améliorer la situation économique et
sociale de l’agriculture et de satisfaire les besoins du Maroc dans le domaine laitier. Celle ci
est qualifiée dans la fabrication du Lben et de Assiri, de beurre et du lait en poudre pour la
production industrielle, envoyé à salé.

Au niveau industriel, l’année 1990 a été marquée par le début de travaux d’installation de
la ligne de séchage du lait à l’usine d’El Jadida d’une capacité de 10000 L/h. Celle-ci n’était
prête à fonctionner qu’à la fin de l’année 1991. Elle permet à la centrale de sécuriser et de
développer ses approvisionnements laitiers.

Aujourd’hui cette usine contribue à la demande par la production de :


- 300.000 L/jour de lait pasteurisé.

- 170.000 L/jour de ASSIRI.

- 15.000-25.000 Kg/jour de beurre

- 200.000 L/jour de lait UHT.

-30.000 L/jour de leben.

Dans le cadre de la centralisation des usines, la centrale laitière a réaménagé l’usine UHT
de Casablanca vers l’usine d’El Jadida.

2.3 quelques indications :

Adresse: Quartier Industriel, route de Marrakech Km 2, El Jadida.


Tél.: 023-34-01-01.
Fax : 023-34-01-37.
set web : www.centralelaitière.com
Superficie: 5 hectares.
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2.4 L’organigramme organisationnel :


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2.5 Les différents ateliers :

Beurrerie

Réception

Tour séchage
Lait pasteurisé/
Assiri et Leben

Atelier UHT

• La réception du lait.
• La beurrerie.
• Lait pasteurisé.
• ASSIRI/LBEN.
• La tour de séchage.
• UHT.

3. Les Différents Procèdes de fabrication :


3.1 Atelier Réception Lait :
Le traitement du lait dans la réception passe par plusieurs étapes :

 Arrivée du lait :

Dans des citernes de convoyage matière première, les citernes sont pesés à l’entrée grâce au
pont bascule (une balance), puis on prélève des échantillons à partir des différents
compartiments de la citerne. Ces échantillons seront analysés dans le laboratoire (température,
acidité, extrait sec, matière grasse ; protéines) pour déterminer la destination du lait contenu
dans la citerne correspondante.
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 Dépotage (dégazage, filtrage, comptage) :

Aspiration du contenu de la citerne à l’aide d’une pompe, ensuite le lait passe par un dégazeur
(pour éliminer le gaz du lait afin que ce dernier puisse occuper tout le volume dans les
conduites) et un filtre pour éliminer les impuretés, enfin le lait est stocké dans un TLC (tank
lait cru).et TLT (tank lait thermisée).

 Thermisation :

Le lait est soutiré du TLC pour subir un traitement de thermisation à l’aide d’un échangeur à
plaques comprenant trois parties : une zone de chauffage du lait par l’eau chaude, une zone
d’échange entre lait froid et lait chaud et une zone de refroidissement du lait par l’eau
glacée.

 Ecrémage :
C’est une opération qui intervient au cours de la thermisation, elle s’applique
au lait réchauffé à 45°C. Il s’agit d’une séparation du lait et de la crème
cylindro-conique, tournant à grande vitesse (voir schéma d’écrémeuse).
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Le lait est introduits à la basse au centre du bol, sous l’action de la force centrifuge, les
globules gras se dirigent vers l’axe de rotation et Sont entraînés à l’aide d’une turbine vers la
sortie de crème. Le crème. Le lait, plus lourd, se dirige vers la périphérie du bol d’ou il est
entraîné vers la sortie du lait écrémé. Grâce à la présence d’un empilement D’assiettes
tronconiques à l’intérieur du bol, le lait est réparti en couches minces ce qui rend l’écrémage
plus facile.

10 : Couvercle du bâti
11 : Cyclone à sédiments
12 : Moteur
13 : Frein
14 : Réducteur
15 : Circuit d’eau de manoeuvre
16 : Arbre creux du bol

 Standardisation :
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Réglage du taux de matière grasse du lait selon sa destination, en mélangeant la crémé et le


lait écrémé à des proportions déterminés. Le lait ainsi standardisé retourne au thermisteur
pour être chauffé à 80°C. . Après avoir été Thermisé et standardisé, le lait est stocké dans des
TLT (tanks lait Thermisé), Chaque TLT contient du lait ayant des caractéristiques données
correspondant à sa destination.

3.2 Atelier de la fabrication de la Beurrerie :

Fabrication du beurre se fait à partir de la crème (380g/l de MG), qui a été séparée du lait, en
passant par les étapes suivantes :

 Pasteurisation :

Elle se fait dans un pasteurisateur de crème (échangeur à plaques), constitué de trois (mêmes
principes que le thermisteur).

 La maturation :

Après pasteurisation la crème passe dans une cuve de maturation et reste pendant 10 h à une
température de 12°C, pour réaliser son acidification.

 Le barattage :

Il a pour but la destruction de la suspension globulaire dans la crème en rendant la matière


grasse sous forme de phase continue et la séparation de la plus grande partie non grasse
(babeurre). Se fait dans une machine (contimab) munie d’un cylindre de barattage à l’intérieur
duquel tourne à une grande vitesse un batteur. A l ‘aide d’une pompe, la crème arrive au
batteur, à la sortie de ce dernier on a une séparation entre le beurre et le babeurre.
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 Le malaxage :

Il permet de souder les globules gras entre eux et disperser la phase aqueuse à l’intérieur de
la matière grasse. Il est réalisé dans la machine grâce à un malaxeur ; il s’agit d’un cylindre
dans lequel tournent lentement (à une vitesse de 50 tours/min) et en sens inverse deux vis
d’Archimède qui compriment le beurre et le conduisent au travers de filières d’où il sort sous
forme de ruban .

 L’emballage :

Le beurre est emballé manuellement dans des sachets en polyéthylène puis mis dans des
cartons de 5kg. Ces cartons sont mis dans en palettes ces dernières sont stockés dans une
chambre froide à 6°C.

3.3 Atelier lait pasteurise :


Atelier dans lequel le lait est fabriqué, pasteurisé berlingots de 500g, ceci est fait en deux
étapes principales :

Le pasteurisateur utilisé est géré par un système automatisé relié à un ordinateur, ce dernier
est mis dans la salle de contrôle et utilisé par un opérateur qui commende l’exécution
opérations (liés à la phase de production du pasteurisateur et celle de son nettoyage).
L’écrémage se fait dans une écrémeuse, le lait écrémé retourne vers le pasteurisateur pour
continuer son chauffage avant d’être mélangé avec la crème qui a été homogénéisé par un
homogénéisateur à haute pression qui agit par :
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**Une dépression brutale qui provoque l’expansion des globules et dispersion de la matière
liquide qu’ils contiennent.

**Un laminage qui provoque la déformation des globules gras.

**Un choc qui provoque la pulvérisation des globules.

 Le conditionnement
Le lait est soutiré du tank tampon (25000L) pour passer vers les machines de
conditionnement, elles sont subdivisées en :
Deux lignes de TETRA PAK : chaque ligne contient des machines pour l’emballage Berlingot
(carton+ polyéthylène) avec une cadence de 3200 l/h par machine :

*** TETRA 1: contenant quatre machines E, F, G et H.

*** TETRA 2 : contenant deux machines A et D.

3.4 Atelier UHT :


Le lait stérilisé UHT (lait stérilisé traité par Ultra Haute Température) : lait dont la
conservation a été assurée par l’emploi d’un traitement un procédé de chauffage direct ou
indirect, en flux continu, appliqué en une seule fois de façon ininterrompue pendant un temps
très court à une température de 140°C, ce traitement doit avoir pour effet de détruire ou
d’inhiber totalement les enzymes, les micro-organismes et leurs toxines dont la présence ou
la prolifération pourraient altérer le lait ou la rendre impropre à la consommation humaine. Ce
traitement hermétiquement clos, étanche aux liquides et aux micro-organismes et permet de
soustraire le lait à toute influence défavorable de la lumière.

Pour réussir la stérilisation, le lait cru qui y est destiné ne doit pas contenir plus de 100000
bactéries aérobie mésophiles /ml et doit être stocké à moins de4°C.

Traitement : réalisé à l’aide d’un échangeur à plaques (à trois zones d’échange), deux
tubulaires et un chambré. Il y a présence de deux circuits un pour le passage du lait et un
autre pour le recyclage de l’eau.

On a trois installations de traitement : l’installation UHT1, l’installation UHT 2 et


l’installation UHT3 les trois sont automatisés et équipés d’une de régulation automatique.

Pour mieux comprendre ce process de fabrication voici l’organigramme suivant :


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3.5 Atelier Assiri / Lben :


La fabrication du produit ASSIRI passe par deux étapes principales:

Le traitement :

o La pasteurisation : le lait thermisée et standardisé à 12g/l de matière grasse est


pasteurisé dans le pasteurisation da la salle TETRA à une température de 92°C.
o La maturation : le lait pasteurisé est transvasé dans des maturations (TM) à double
paroi munie d’un agitateur où il subit un ensemencement par une souche de ferment
lactique thermophile. Le produit obtenu est appelé masse blanche.
o Refroidissement : la masse blanche passe dans un refroidisseur (échangeur à
plaques) et elle est refroidie, puis elle est stockée dans des tanks tampons(TT).

o Préparation du sirop : Après sa préparation, le sirop passe vers un pasteurisateur


ou sa température atteint 96°C, puis il est refroidi et stocké dans un bac tampon.

Le conditionnement :

Le mélange de la masse blanche et sirop se fait au niveau de la trémie située au dessus des
machines de conditionnement. Le dosage des quantités dans les sachets ou les briques, et
l’injection du colorant et de l’arôme voulu à des quantités bien déterminé.

3.6 La tour du séchage :


L’Unité dans lequel se fait la fabrication du lait en poudre à partir du lait écrémé reçu de la
salle de réception. Le lait en poudre est fabriqué en plusieurs étapes :

Soutirage du lait écrémé : après confirmation des résultats de la matière grasse, acidité,
ESD, et stabilité au laboratoire.

Préchauffage : le lait écrémé est chauffé dans un échangeur à une température de 80


+/- 1°C.

La concentration: elle a pour but l’évaporation d’une partie de l’eau dans le lait, on
utilise des évaporateurs à plusieurs effets du type thermo compresseur. L’évaporation se fait
sous vide pour diminuer le point d’ébullition, ainsi on évapore à 72+/-2°C, le lait passe dans 4
effets et sort du quatrième effet à 48+/-2% de MS.

Le stockage : dans un bac de 1000L à une température de 58°C+/-2°C.


Atomisation et séchage: le lait concentré est soutiré, vers l’atomiseur (dans la tour de
séchage) ou il est finement pulvérisé à contre courant l’air et la poudre fine qui se dégage puis
le tout passe dans des cyclones pour récupérer la poudre fine, une partie de celle-ci sera
recyclée et l’autre sort avec l’air.
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Fluidisation : transport de la poudre avec l’air à travers un lit fluidisé, à90+/-10°C, puis
refroidissement de la poudre à 20+/-2°C.

Passage dans le tamis : pour isoler la poudre fine.


Ensachage : conditionnement de la poudre dans des sacs de 25Kg.
Palettisation : mettre en palettes 40 sacs.
Stockage : à température ambiante.

3.7 La Zone énergie :


La zone énergie est un élément indispensable pour le fonctionnement des chaînes de
production de la centrale laitière comme dans toutes les industries a l cimentaires qui exigent
des conditions thermiques (chaleur et froid) en phase de Production. Cette zone assure la
production de vapeur et d’eau glacée en plus de l’air comprimé.

Production de vapeur :
La production de la vapeur est assurée par l’intermédiaire de la chaudière le fournit la vapeur
à une grande pression régulée mais aussi son faible coût Puisqu’elle utilise l’eau adoucie et le
transforme en vapeur. L’eau adoucie est traitée dans une bâche alimentaire équipée d’une
pompe osseuse, mais avant son arrivée à la bâche alimentaire l’eau passe par un adoucisseur
équipé d’un jeu d’électrovannes par régénération se fait en Étapes :

- dé tassage de la résine retombée


- rinçage de la résine
- aspiration du Na cl

L’eau destinée à alimenter la chaudière entre à l’aide d’une pompe d’alimentation. Il y a aussi
un clapet anti-retour qui sert à empêcher tout passage de la vapeur dans le circuit d’eau. La
chaudière chauffe l’eau qui entre dans des tubes de 5cm de diamètre et qui entourent un Trou
de 40cm de diamètre traversé par la flamme qui pénètre grâce à un brûleur. Le brûleur est un
ventilateur équipé d’un moteur dont on commande la marche et l’arrêt par un servomoteur,
son rôle est de souffler l’air ambiant à L’intérieur de la chaudière pour permettre une
combustion complète.

Le combustible est le fuel lourd n°2 utilisé principalement dans les Chaudières, il doit être
réchauffé à une température convenable avant sa Combustion soit par la vapeur soit par des
résistances chauffantes.

La régulation de la température du fuel est assurée par un thermostat qui Commande le


fonctionnement de la résistance chauffante. Il y a aussi la Régulation de la pression de vapeur
par le moyen d’un pressostat qui commande marche et l’arrêt du brûleur, ce pressostat a 2
consignes min et max, si la pression est inférieure à la consigne min le pressostat ordonne la
marche du brûleur et si elle est supérieure à la consigne max elle ordonne son arrêt. Il y a
Aussi la régulation du niveau d’eau dans la chaudière qui est assurée par Sondes et relais de
niveau, la sonde du niveau haut commande la marche et l’arrêt de la pompe tendit que celle de
niveau bas et celle de sécurité commande la marche et l’arrêt de brûleur.
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Production d’eau glacée :


L’eau glacée est utilisée pour le refroidissement du lait depuis son dépotage
Jusqu’à son conditionnement dans le but de le garder frais.
Pour sa production on utilise l’eau glucose qu’on refroidit à une basse Température à l’aide
d’une installation de froid composée de 5 compresseurs, 2 Condenseurs évaporateurs, 2
détendeurs et 2 réservoirs de fluides frigorigènes.

Compresseur : Son rôle de refouler le fluide frigorigène aspiré du réservoir vers le


Condenseur, le fluide aspiré est comprimé par un premier piston et il est Ensuite réfrigéré
avant d’être de nouveau comprimé par le piston suivant la compression à très haute pression
dégage beaucoup de chaleur, ce qui provoque l’augmentation de la pression mais aussi de la
température ce qui change son état physique de liquide en vapeur.

Pour revenir à l’état liquide, le fluide doit passer par un condenseur évaporateur.

Condenseur évaporateur : Son rôle est de condenser le fluide frigorigène pour le rendre à
l’état liquide, le fluide passe dans des plaques qui sont en contact avec l’eau et l’air soufflé
par un ventilateur, cette action permet de refroidir le liquide ce qui change son état physique
en vapeur. Mais il faut encore régler la pression du liquide (vapeur) par un détendeur avant
son entrée à l’échangeur.

L’échangeur : Il y a deux types d’échangeurs, multitubulaires et à plaques leur principe est le


même, ils sont traversés par le fluide frigorigène et l’eau glycolique en même temps et en sens
inverse (à contre courant),ce qui provoque un meilleur échange thermique

Production d’air comprimé :


On l’utilise l’air comprimé afin de réaliser plusieurs tâches mécaniques puisque l’air est un
fluide compressible, il permet d’emmagasiner de l’énergie qui sera transmise à différents
dispositifs par le biais d’un réseau de distribution parfois très complexe. Par ailleurs, l’air est
le seul fluide qui possède l’ensemble des principales caractéristiques que l’on doit considérer
lors du choix d’un fluide pour la transmission de l’énergie servant à alimenter différents
dispositifs :

*Un faible coût.


*Une toxicité nulle.
*Doit être compressible pour l’emmagasinage
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4. Le Service d’accueil :
o Description du processus maintenance section Instrumentation et
métrologie :

Le processus maintenance section Instrumentation, Automation & Métrologie s’occupe de la


maintenance du matériel d’instrumentation et d’automatisme de toute l’usine d’EL JADIDA.
Ça d’une part, d’autre part, il s’occupe de la métrologie des équipements de process et l’étude
et suivi des travaux neufs.
Il contient un responsable et 5 techniciens (Instrumentistes) .Ils se chargent des taches
suivantes :

1) Métrologie :
Vérification et étalon des instruments de mesure sous métrologie (température, de pression,
niveau). Par comparaison à un étalon, l’exactitude des données par l’instrument ou l’appareil.
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Quelque appareil utilisé dans la métrologie:

• Four d’étalonnage pour la température AOIP FC150 :

De conception robuste et ergonomique ces fours permettent d’étalonner, sur site ou en


laboratoire, tous types de capteur de température ainsi que des chaînes de mesure, des
transmetteurs ou des thermostats. Son afficheur LCD haute résolution, facilite son

• balance manométrique pour la pression et le niveau :


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2) Procédure de maintenance :

1. Objet :
Donner une description des différents modalités de planification,de réalisation et de suivi de
la maintenance des équipements (préventive et corrective).

2. Domaine d’application :
Dans toutes les opérations techniques permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un
état spécifié ou en mesure d’assurer un service déterminé avec un coût optimum.

3. Définitions :

3.1. Maintenance préventive :

Maintenance ayant pour objet de réduire la probabilité de défaillance ou de dégradation


d’un bien ou d’un service rendu.les activités correspondantes sont déclenchées selon :
• Un échéancier établi à partir d’un nombre prédéterminé d’unités d’usage ;
• Et/ou des critères prédéterminés significatifs de l’état de dégradation du bien ou du
service ;

3.1.1. Maintenance systématique :

Maintenance préventive effectuée selon un échéancier établi à partir d’un nombre


prédéterminé d’unités d’usage.

3.1.2. Maintenance conditionnelle :

Maintenance préventive subordonnée au franchissement d’un seuil prédéterminé


significatif de l’état de dégradation du bien.

3.1.3 Maintenance prévisionnelle :


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Maintenance préventive subordonnée à l’analyse de l’évolution surveillée de paramètres


significatifs de la dégradation du bien, permettant de retarder et de planifier les interventions.

3.1.4 L’organigramme de la maintenance préventive :


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3.2. Maintenance corrective :

Ensemble des activités réalisées après la défaillance d’un bien ,ou la dégradation de sa
fonction ,pour lui permettre d’accomplir une fonction requise,au moins provisoirement.

3.2.1 Maintenance palliative :

Activités de maintenance corrective destinées à permettre à bien d’accomplir provisoirement


tout en partie d’une fonction requise.

3.2.2 Maintenance curative :

Activités de maintenance corrective ayant pour objet de rétablir un bien dans un état spécifié
ou de lui permettre d’accomplir une fonction requise.

Le résultat des activités réalisées doit présenter un caractère permanent. Ces activités
peuvent être :
• Des réparations ;
• Des modifications ou améliorations ayant pour objet de supprimer la (ou les)
défaillance(s).

3.2.3 L’organigramme de la maintenance corrective :


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4. Responsabilités :

Le responsable de maintenance valide la planification de toutes les opérations de maintenance


proposées par les contremaîtres maintenance.
Les contremaîtres sont responsables du suivi de l’application des plannings de maintenance .
Les chefs d’équipe maintenance et les techniciens sont responsables de la réalisation et de
l’enregistrement de l’ensemble des interventions.

5. Résumé :
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Chapitre II :

Généralité sur les onduleurs


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1. Qu'est ce qu'un Onduleur? :


Un onduleur est un dispositif d'électronique de puissance permettant de délivrer des tensions
et des courants alternatifs à partir d'une source d'énergie électrique continue. C'est la fonction
inverse d'un redresseur. L'onduleur est un convertisseur de type continu/alternatif, il permet de
protéger des matériels électroniques contre les aléas électriques. Il s'agit ainsi d'un boîtier
placé en interface entre le réseau électrique (branché sur le secteur) et les matériels à protéger.

Cette appareil fonctionne comme un micro générateur vous permettant d'obtenir l'électricité
nécessaire pour sauvegarder vos données bureautiques et fermer vos applications en cas de
coupures subites. On peut résumé ses principales fonctions comme suit :

o Une alimentation de secours en cas de coupure d'électricité :

Dès que l'onduleur détecte une coupure brutale d'électricité, ses batteries prennent
automatiquement le relais et alimentent l'ordinateur pendant une durée correspondante à
l'autonomie.
L'autonomie est variable et dépend de la consommation des appareils qui lui sont connectés.
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Comme un véritable générateur de secours, cette sécurité donne le temps à l'utilisateur


d'enregistrer les documents ouverts et de sortir des logiciels sur lesquels il travaille sans perte de
données.

Perdre les modifications sur un document Word depuis la dernière sauvegarde ce n'est pas
forcément très grave, mais éteindre brusquement un ordinateur pendant une saisie sous un logiciel
de gestion commerciale ou de comptabilité, cela peut détériorer les fichiers et vous obliger à
lancer des traitements de réparation (rechaînage, ré indexation, etc...).

o Une source d'électricité propre :

Avoir une source d'électricité propre c'est obtenir une onde sinusoïdale parfaite de 50Hz pour
une tension de 220v, ce qui n'est pas forcément le cas sur le réseau E.D.F.

En effet, l'électricité peut subir plusieurs types de perturbations :

1) Les parasites

2) Les variations de tensions (sur tensions ou sous tensions) :


Elles sont provoquées par des appels de courants importants à la mise sous tension de gros
équipements électriques (machines outils, poste à souder, etc...).

3) Les variations de fréquences :


Elles sont plus rares et sont provoqués par exemple par le passage sur un groupe électrogène.

4) les micro-coupures :
Véritable organe de secours, sans lui la moindre coupure d'électricité peut provoquer de grave
dommage à votre ordinateur et vos fichiers tel que des plantage, des écritures incorrecte des
données sur le disque dur, des pertes de données en mémoire, etc.

Bref l'onduleur est un outil d'une grande utilité voir même indispensable pour les
professionnels.

2. les types d’Onduleur :


Pour faire simple, il existe 3 grands types d'onduleurs sur le marché :

1) Les onduleurs Off-Line


2)Les onduleurs In-Line ou Line interactive
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3)Les onduleurs On-Line

2.1 Les onduleurs Off-Line :

Les onduleurs Off-Line sont les versions de première génération et ne sont


pratiquement plus produites.

De conception ancienne, ce type d'onduleur commute sur le circuit de secours, c'est à


dire qu'il passe en mode batterie lorsqu'une chute de tension est relevée.

Le temps que met l'onduleur pour passer sur le circuit de secours s'appelle temps de
commutation.

Ce type d'onduleur dispose d'un temps de commutation relativement long suivant les
cas (<6ms), ce qui peut poser certains problèmes suivant les environnements à
protéger.

De plus, les onduleurs Off-line ne propose pas de fonction de régulation de tension et


la plupart du temps ceux-ci se limitent au filtrage des parasites et aux baisses de
tension.

Enfin le signal de sortie n'est pas une sinusoïdale mais souvent une onde P.W.M.
(Pulse Width Modulation).

On retrouve souvent ce type de dispositif sur les stations de travail bureautique.

En résumé on dire que les onduleurs Off-Line son des outils de première gamme qui
ne dispose pas de fonctionnalités avancées et manque de réactivité et de stabilité.

2.2 Les onduleurs In-Line ou Line interactive : (Gamme ALPHA


d'UNITEK)
Les onduleurs In-Line ou Line interactive sont également des onduleurs à commutation
mais ils sont dits intelligents.

En effet, il dispose d'un système commandé par micro processeur dont le but est
dediminuer le temps de commutation (<2ms) et de réguler la tension de manière à simuler
en sortie une onde sinusoïdale parfaite.

Ils sont en général dotés d'un booster qui évite de solliciter les batteries lorsqu'une chute
de tension est observée.
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Concrètement, le booster permet d'économiser sur la durée de vie des batteries.

2.3 Les onduleurs On-Line :(Gammes DELTA & OMEGA d'UNITEK)

Les onduleurs On-Line régule la tension en continue car les batteries sont montées en série
entre un chargeur/redresseur et l'onduleur.

Dès lors, il n'y a plus de commutation (=0).


Avec cette gamme d'onduleur, on obtient une réactivité quasi parfaite, un signal parfaitement
pur et régulé et une protection optimale de vos données et applications en cas de coupure
subite.
Utilisable dans tout type de station de travail, ce mode de protection est le plus efficace, mais
également le plus coûteuse.
Pour résumé, on peut aisément diviser ces trois catégories d'onduleur en série d'entrée de
gamme pour les off-line, milieu de gamme pour les in-line et Haut de gamme pour les on-line.

3. Caractéristiques de l'onduleur :

La durée de la protection électrique fournie par un onduleur est exprimée en VA (Volt-


Ampère). On considère généralement que pour une protection électrique correspondant à une
coupure électrique de 10 minutes, il est nécessaire de se doter d'un onduleur ayant une
capacité égale à la puissance de l'ensemble des matériels raccordés à l'onduleur multiplié par
un coefficient 1,6.

Lors du choix d'un onduleur, il est également important de vérifier le nombre de prises
électriques qu'il possède.

Enfin, les onduleurs possèdent parfois une connectique (USB, réseau, parallèle, etc.)
permettant de les relier à l'unité centrale, afin de permettre de commander son extinction en
cas de panne de courant prolongée et ainsi sauvegarder l'ensemble des travaux en cours.

Il est à noter également que les onduleurs ne protègent pas les connexions téléphoniques, ainsi
un ordinateur connecté à un onduleur ainsi qu'à un modem risque de voir ses composants
endommagés si la foudre frappe la ligne téléphonique.
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4. les onduleurs utilisés dans l’usine :

4.1 onduleur Réception / UHT :

C’est un produit de MGE UPS SYSTEMS, la gamme COMET EXTREME, modèle


« TOUR » de 12 KVA .
La protection modulaire pour les salles informatiques, réseaux Internet et télécom.

Dimension en mm
(H×L×P)
Module électronique 443×216×465
Module batterie 443×173×465
Dimension en kg
Module électronique 22
Module batterie 48
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• Performances et fiabilité inégalées


- Technologie on-line double conversion
- De 84 à 264 Volts sans utiliser les batteries
- Certifications CE/UL/TÜV GS et ISO 14001
• Extrême disponibilité
- By-pass automatique
- Fonction Hot-swap
- Redondance
• Communication avancée
- Large choix de solutions de communication
- Solution-Pac, logiciel d'administration locale et à distance
- UPS-Driver, logiciel de personnalisation
• Simplicité
- Installation et intégration faciles
- Interface de communication simple et complète
- Warranty+, 3 ans de garantie totale
• Flexibilité et évolutivité
- Autonomies de 10 minutes à 8 heures
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