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Note sur la lecture du livre Les Bouts de

Bois de Dieu
April 1, 2014 15ai Leave a comment

Compte Rendu du roman: Les Bouts de Bois de Dieu

Aissatou Jassi

Mme Ba

IB Littérature Française

13 Mars 2014

LES BOUTS DE BOIS DE DIEU,OUSMANE SEMBENE

1. Présentation

– Titre : Les Bouts de Bois de Dieu

– Genre : Roman moderne (elle rappelle des scènes d’un film)

– Auteur : Ousmane Sembene est un cinéaste et écrivain sénégalais né en 1923 a


Casamance. Il a fait ses études dans a l’école coranique. Il immigre à Marseille en 1947 et y
travail comme docker. Il devient membre de la partie communiste et militant contre la guerre
de l’Indochine et pour l’indépendance de l’Algérie. Il part étudier a Moscow la
cinématographie au studio Gorki et commence à réaliser des films au début de 1960.

– Edition : Press Pocket

– Date de parution : Le livre a été publié en 1960, la date qui marque le détachement du
Sénégal de la Fédération Mali et la proclamation de son indépendance.

– Nombre de pages : Le livre contient 415 pages en tout.

– Nombre de chapitre: On retrouve 10 grands chapitres dans ce roman.

2. Thèmes

Les thèmes soulignes dans cet œuvre sont les suivants :


– La position de la femme dans la société sénégalaise.

– L’injustice de la colonisation : l’exploitation des africains par les européens

– Le syndicalisme

– La solidarité de la société sénégalaise

– La vie dans la société Sénégalaise : la polygamie

– Le racisme

– L’inégalité des gendres qui va changer au cour de l’histoire

– La décolonisation

3. Les personnages:

Ibrahima Bakayoko : il est le protagoniste du livre. Bakayoko est un malien, il est militant
syndicale et délégué des roulants. Il est le père adoptif d’Adjibidii et est fils de Niakoro. Il a
l’art de parler et est bien aime par les hommes. Il n’est jamais à la maison et semble être
amoureux de Ndeye Touti. Il est très direct et n’a peur de rien. Il parle bien le toubabou et est
passionne de la lecture. Il est ferme et n’est pas du tout sensible. Il pense qu’il faut continuer
la grève jusqu’au moment où les français accepteront leurs revendications.

Assitan : elle est la veuve du frère de Bakayoko, épouse de Bakayoko et mère Adjibidii. C’est
une femme douce et très réputée dans sa communauté. Elle est soumise à son mari et respecte
les vieux.

Adjibidii : elle est la fille d’Assitan l’épouse de Bakayoko. Elle est très studieuse et parle très
bien le français. Adjibidii est curieuse et aime bien accompagnée son père adoptif au
rencontre syndicale. Elle est respectueuse et aide sa mère à la maison.

Niakoro Cisse : C’est la mère de Bakayoko, elle est souffre toujours de la perte de son mari et
de son fils. Elle pense qu’Adjibidii ne s’occupe pas d’elle. Elle n’aime attendre la langue
française par la bouche d’Adjibidii et n’aime pas la voir aller aux conférences. Elle semble
complique comme dame mais est très instructive.

Bakary : c’est le vieux du village qui est respecté par tout le monde et est aussi un militant de
la grève.

Maimouna : c’est l’aveugle de Thiès, elle est grande et grosse. Elle a perdu un de ses
jumeaux à la cour de la grève, et ne parle jamais de leur père. Elle est mendiante et est ami
avec Dieynaba la vendeuse de repas. Comme toutes les autres femmes, elle a fait la marche de
Thiès jusqu’à Dakar. Elle ne semble pas être heureuse dans sa vie.
Fa Keita : Il est le directeur des poseurs de rails et le mari de Fatoumata et deux autres jeunes
filles. Il est ami avec Niakoro et Adjibidii. Il est discret et est bon conseille. Il n’aime pas la
violence et il est bon croyant.

Tiemoko : il est militant de la grève, et devient plus tard porte-parole des travailleurs dans son
secteur car Bakayoko était absent. Il est très ami avec Bakayoko mais n’est pas aimé par
Adjibidii. Il ne sait pas s’exprimer devant un public et est très tempéré. Il se concentre sur la
lecture près de la fin du livre pour mieux s’exprimer. Il est soucieux et a peur des fois que les
affaires tournent mal.

Doudou : le secrétaire de la fédération des cheminots. Il est jaloux de Bakayoko n’empêche


qu’il l’admire. Il n’était pas très confiant sur son engagement envers la population. Il est aimé
par tout le monde car il avait donné une grande leçon à Isnard. Il est trop maladroit, et fait
beaucoup de promesse à la population.

Daouda : il est appelé beau gosse et est amoureux de Ndeye Touti qui est amoureuse de
Bakayoko ce qui explique sa jalousie envers cet homme. Il est un militant de la grève et est
l’ami des jeunes filles de Dakar. Daouda est aussi apprécié par sa communauté. Alioune perdu
toutes espoirs de gagner la bataille et ceci mélangé avec le fait que Ndeye Touti ne voulait pas
de lui, lui ont poussé à quitter le combat.

Ndeye Touti : c’est une intellectuelle très belle et ambitieuse. Elle apprécie la vie des colons
et les envi. Elle était en couple avec un homme qu’elle n’aimait pas : Daouda car elle n’avait
Dieu que pour Bakayoko qui ne semblait pas du tout intéressé par elle.

Penda : C’est la fille de la coépouse de Dieynaba la vendeuse. Elle est rebelle, elle n’est
jamais à la maison mais est respectueuse. Par contre elle n’était pas bien admirée par les
femmes car elle faisait ce qu’on appelait de la prostitution civilise : « elle couchait par ci et
par la ». Elle ne s’intéressait pas à ce que les femmes pensaient d’elle, elle avait un caractère
de lionne et était respectait par les hommes car elle ne se laissait pas faire. Elle a supporté les
hommes pendant la grève, elle était la première a décidé de marcher avec les hommes. Elle
était très dévoué par son objectif de soutenir les hommes. Elle mourut vers la fin du roman,
lors de la confrontation des militaires et des femmes qui marchaient pour assister au meeting
qui se tenait à Dakar.

Dieynaba : C’est la dame qui vend les repas aux ouvriers, elle était très gentil et s’occupe très
bien de l’aveugle Maimouna et de son bébé. Elle était veuve et est la mère adoptive de Penda.
Elle est aussi la mère du petit Gorgui l’apprenti qu’elle perdu plus tard dans l’histoire.
Ramatoulaye : C’est la coépouse de Houdja Mbaye, et la tante de Ndeye Touti et la sœur du
notable de Dakar : El Hadji Mabigue. Elle détestait a mort les « blancs » et soutenaient les
hommes. Elle passe son temps à tourner dans la ville pour retrouve de quoi pour sa famille
mais aussi pour ceux qui n’avait pas de moyen. Elle est très responsable et battante. Elle a
interdit à son frère de ne pas venir à ses funérailles parce que celui-ci était de mèche avec les
blancs et ceci la rendait fou de rage. Elle a semé la pagaille des jours et des jours dans la ville
de Dakar après avoir tué le mouton de son frère.

Houdja Mbaye : c’est la mère d’Anta et de « Greve », elle menait une vie très douloureuse
car elle était veuve mais aussi il y’avait la grève. Elle se sentait mal de ne pas bien s’occuper
de ses enfants. Houdja Mbaye n’était pas en bonne sentait, elle manquait de lait pour nourrir
son bébé. Elle soutenait Ramatoulaye dans sa bataille avec son frère et les blancs. Elle mourut
à la suite d’un incident qui s’est produit à cause de Ramatoulaye.

Diarra : contrôleur de Dakar Niger, père de Sadio et oncle de Tiemoko. Il est l’un des
premiers militants à résigner de ses fonctions car il a était amadoué par les blancs. Il avait très
peur de sa vie car les grévistes voulait le kidnappe pour le tue. Alors il avait une armée de
gardes pour le surveiller. Apres tout il fut attrapé et juge par ces collègues.

Balla : c’est un militant de la grève et il est soudeur. Balla est l’époux de Mariame Sonko.

Dejean : c’est le directeur des bureaux de Dakar, Niger et Bamako. Il était venu de France
pour faire fortune, et il était marie. Il était trouble par la grève qu’avait entamé les grévistes et
était près tout faire pour que les travailleurs reprennent mais sans pour autant les accordes
leur demande. Il était très colérique et n’aimait pas du tout les noirs. Il voyait les travailleurs
comme des enfants qui se plaignaient pour tous. Il a était capable de stopper la grève de 1938
mais il lui sera impossible d’arrêter ce mouvement qui était né.

Konate : c’était le secrétaire syndical de la section de Bamako, et il était un peu instruit.


Konate est un homme très vigilant qui aime la justice car il pense aux conséquences des faits
avant de passer à l’acte. Il ne voulait pas qu’on tabasse Diarra, de peur que les militants
baissent les bras après avoir vu la punition qui sera inflige à Diarra.

Alioune : c’est le secrétaire syndical de la section de Dakar, il est ami de Daouda. Il aimait
taquiner les gens et ne respecter pas vraiment les règles de sa religion. Il était toujours
accompagnes de Deune et d’Arona

Bineta et Mame Sofie : Elles sont toutes les deux les épouses de Deune. Elles s’tendaient très
bien même si elles étaient des rivales. Comme toutes les autres femmes, elles étaient prêtes à
tous faires pour donner à manger à leurs petits. Mame Sofie elle s’est battue avec le vendeur
d’eau pour avoir de l’eau ; Bineta, elle partait comme d’habitude avec Ramatoulaye à la
recherche d’aliment.

Hadrame : c’était un maure et il était aussi boutiquier. Les français lui ont défendu de vendre
ou de prêter aux familles des grévistes de quoi manger. Même avec les tous les charmes
qu’avait sorti Rama pour qu’il lui donne du riz mais il a refusé de peur d’être puni par les
colons.

Sadio : c’est le fils de Diarra et le cousin de Tiemoko. Il n’était d’accord du fait qu’on punit
son père pour avoir lâché la grève. Mais ne pouvait rien faire pour son père. Il avait très honte
de l’injustice qu’avait fait son père mes ressentait toujours de la pitié pour celui-ci. Même si il
était un peu fâché de son père à cause de la honte qui lui a infligé mais il l’a fini par lui
pardonner.

Aziz : était le commerçant syrien de Thiès, lui aussi a été acheté par les colons donc il ne
vendait ni ne prêtait rien au gens. Mais avec toujours beaucoup de surprise, Penda et les
apprentis avaient réussi à lui soutirer du riz sans qu’il le sache.

Isnard, Victor et Leblanc : étaient des collaborateurs de Dejean au Dakar-Niger. La grève ne


les avait pas faire pas, ils pensaient tous comme Dejean que ça allait se terminer si toutefois
ils coupent les vivres aux grévistes. Leur plan s’avérait bien parce que les travailleurs
commençaient à laisser la prise mais c’est à cause de leurs femmes qu’ils ont maintenues.
Quand ils ont vu que ; les choses empirer chacun a essayé de ramener les travailleur au
travail. Il pensait tous que s’ils arrivaient à acheter Bakayoko ou Doudou, leur problème sera
règle. Isnard et LeBlanc avaient en commun ce mépris si grand qu’ils ressentaient envers les
noirs et se croyaient supérieurs a eu. Mais Isnard lui ne valait plus rien devant les thiesois
depuis que Doudou a refusé son offre.

Sounkare : c’était le gardien chef au dépôt de Thiès, lui il n’était pas en grève et était ravis du
peu de riz que lui fournissait ses patrons et riait de la souffrance qu’avait a traversé ses
camarades de travail pour manger. Mais le mal est que les gens avaient finis par l’oublier
quand lui, il l’avait besoin d’eux car son ravitaillement était fini. Il a fini par mourir.

Samba Ngoulou : il était aussi un militant de la grève. Il est très curieux et était celui qui
vendait le journal. Il tenait beaucoup à ce que les ouvriers ne laisser pas la prise. Il parlait a
tous les ouvriers, chaque instant pour qu’il ne baisse pas les bras. Il était le père des deux
jumeaux de Maimouna ce que personne ne savait.

Boubacar : il était forgeron et faisait partie aussi de la grève. Il n’a pas fait les bancs mais est
malin quand meme.il était très ami avec Samba.

Beatrice : c’est la femme d’Isnard et c’est une grande raciste. Ces sentiments envers les noirs
ne changèrent pas au cour de l’histoire.

Bernadini : il était gardien chef du camp des détenus et n’apparut presqu’à la fin du roman. Il
était en retraite de son poste de sergent-chef coloniale et amenait les prisonniers à faire leur
promenade. Il est plutôt bavard et méchant. Il se prend pour un dur même si il est vieux.

Pierrot : Il était envoyé par l’administration pour superviser Dejean mais lui il voulait
connaitre les noirs. Il ne les méprisait point mais ses collègues lui disaient toujours qu’ils
perdaient son temps en essayant de se rapprocher des noirs. Il a très vite découvert que ses
collègues étaient des gourmands.

Arona : il était militant de la grève et était ami avec Idrissa, Daouda et Alioune. Il est simple
mais était un peu nonchalant.

Idrissa : il était aussi militant de la grève. Lui comme tous les autres grévistes avaient un peu
peur de la tournure que pouvait prendre cette grève. Mais avec le discours de certains d’entre
eux il tenait bien le coup.

4. L’espace

Cette histoire se passe sur trois grands lieux : Dakar, Bamako, Thiès. La plupart des
évènements se passe à Thiès. Comme dans un film un passe d’un épisode qui se passe à
Bamako : a Koulouba d’un autre qui se passe à Dakar. La grève commence à Bamako avec la
rencontre syndicale des grevistes.

5. Le temps
L’histoire prend cour du 10 octobre 1947 au 19 mars 1948. A cette époque les colons
contrôlaient l’Afrique, les cheminots travaillaient pour eux et recevaient un salaire misérable.
La grève dure 5 mois et quelques jours.

6. Résumé / intrigue du Roman

Le roman les Bouts de Bois de Dieu de Sembene Ousmane est un œuvre qui relate l’histoire
des 20 milles cheminots de la ligne Dakar-Bamako qui ont menés une grève le 10 octobre
1947 pour revendiquer leurs droits d’employer. De Thiès, Bamako à Dakar la grève était le
principal sujet de discussion des habitants. Tenant comptes de l’échec de la grève de leurs
pères, les ouvriers ont forge un solide mouvement syndical des ouvriers avec des dirigeants
raffines. La force de ce mouvement éveilla la peur de l’administration française qui tente de
rendre les choses plus dures en coupant les vivres aux ouvriers qui ne travaillaient plus. Avec
le soutien des femmes, les cheminots ont pu mener leur guerre à bout et ont obtenu ce qu’il
désirait. Au cour de votre lecture vous découvrirez les réalités de la société africaine et
l’injustice de la colonisation.

7. Le style et techniques d’écriture

Le style d’écriture du roman est moderne. Le roman est écris sous forme de scenario. On
retrouve différents nom de lieux qui constituent différents épisodes dans livre mais qui se
rattachent tous sur l’intrigue. Le temps dominant dans ce roman reste toujours le passe car
cette histoire nous est racontée par un narrateur omniscient la plupart du temps. On retrouve
de courts dialogues dans quelques passages du roman qui sont marqués par des tirets et non
par le nom de la personne qui est un peu confuse pour moi. La description des paysages est
pittoresque. L’auteur utilise un technique cinématographie qui se réfère au cubisme un art qui
vient de Picasso. Ceci est le fait de juxtapose des scènes en rapportant la technique
cinématographie dans la littérature. Une description des mouvements qui se passe dans la
scène. La narration est dominée par le dialogue des personnes. Ainsi dans son livre par
exemple il décrit le paysage, un groupe de personne et puis une spécifique personne.
L’utilisation des langues locales pour inclure la culture sénégalaise et malienne dans le roman.
L’humour est intense dans le livre, et on voit l’humour à travers les personnages. L’auteur
utilise deux niveaux de langue : la langue courante mais aussi la langue familiale.

8. Appréciations personnelles

Je n’aime pas ce livre mais quand même je trouve que le style d’écriture du roman est quand
même intéressant. J’aime comment il a introduit de différents personnages blanc pour refléter
la colonisation et comment tous les blancs ne pensait pas de la même sorte. J’admire le
personnage de Bakayoko, ça se voit bien que c’est le héros du roman avec toutes les lignes
qui ne sont consacrés que sur son image. Ce que je n’apprécie pas c’est le fait que la lecture
est un peu ennuyante car les mots sont plutôt complexe et n’évoque point trop d’émotion. La
caricature des lieux est des fois très subtils et pas trop intéressants. Je n’aime pas du tout
l’épisode final du livre, il est vague. Je pense que l’auteur pouvait mieux faire.

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