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Ou la légende du Lupeux.
Cette courte aventure (mésaventure ?) peut avoir lieu n'importe où, n'importe quand, mais est
plutôt destinée à des débutants. Elle les fera s'interroger (nous l'espérons) sur leur nature.
Introduction.
Doucement, elle s'éteint et se couvre de son grand linceul blanc. Finie la folie des ses éclats
roux, finie la danse de sa robe de feu dans le vent, fini tout cela... la campagne est morte, l'hiver
est là. La Caravane, traversant les étoiles de cristal qui tombent doucement de ce ciel immaculé,
arrive aux portes de la grande ville. Le Veneur a été très clair : Prudence ! La troupe ambulante
passera les mauvais jours derrière les remparts de la cité.
Quelques spectacles chez le seigneur paieront sa protection, mais il faudra que ceux qui le
peuvent trouvent un travail pour ramener de quoi subsister. Il est donc impératif de faire bonne
impression et de ne pas créer de problème dans les premiers jours.
Un à un les chariots passent le pont-levis et sont inspectés de fond en comble par des gardes trop
heureux de pouvoir un peu bouger par ce froid de canard. Sur la place principale, où le seigneur
a désiré voir s'installer les comédiens, les enfants s'attroupent déjà, attendant une cabriole, un
tour de magie, un ours muselé...
Mais bien vite le problème est là : Il n'y a pas de travail pour tout le monde et l'argent manque.
Note : La recherche d'un travail peut être jouée ou abandonnée par le Veneur. En effet, elle
n'apporte rien à la suite et les affres de la recherche d'un emploi n'ont rien de bien réjouissant.
Elles peuvent rappeler de mauvais souvenirs à certain, on a fait mieux pour dépayser. Bien vite
une solution s'impose à tous, douloureuse, dangereuse, mais incontournable. Il faut, pour un
moment, disperser la Caravane !
Le Veneur lui-même se rend à cette évidence et il charge les plus anciens d'entre les voyageurs
d'accompagner vers les villes les plus proches des groupes de 4 ou 5 personnes. Ils y trouveront
du travail et un gîte pour l'hiver. Évidemment vos questeurs forment l'un de ces groupes. C'est
accompagnés de Gilles qu'ils quittent la Caravane.
1. Au delà du délire
Alors que les remparts de la cité disparaissent derrière l'hypnotisant rideau de flocons, Gilles
annonce l'endroit où il compte mener ses nouveaux protégés en deux jours de marche. C'est un
grand village derrière des remparts qui se nomme Sainte Catherine. Il y a passé une nuit, il y a
bien longtemps, et y a trouvé à l'époque très bon accueil. Le seigneur des lieux devrait encore se
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nommer Simon de Candor si rien n'a changé. Mais on ne sait jamais avec toutes ces luttes entre
petits seigneurs. Une fois révélé tout cela, Gilles s'enferme dans un silence que seul un vent
hurlant et fouettant vient interrompre. Il marche vite, perdu dans ses pensées et sans se
préoccuper des autres. Le soir, le voyage déjà dur s’avère alors cauchemardesque. Le vent se
mue en tempête, le paysage disparaît et Gilles ne devient qu'une ombre grise parmi les ombres
grises. Il faudra courir derrière lui et le faire revenir à la réalité pour qu'il se rende compte que
ses compagnons ne suivent plus du tout. Rapidement il décide de faire halte pour la nuit, à l'abri,
dans un petit bois. Mais même sous la protection des arbres, le froid transperce les pauvres
habits des voyageurs. Le feu, comme de bien entendu refuse de prendre, et pour achever le tout
des hurlements de loups s'élèvent un peu partout autour du camp. Bref des émotions en
perspective. Si les Questeurs ne font rien ou ne peuvent rien faire, Gilles s'enfonce dans la
tourmente en conseillant de réussir à faire un feu au plus vite.
Si, par contre, quelqu'un décidait d'affronter ce maelström de neige et quelle que soit sa forme, il
devra alors à réussir des exploits de survie. En effet, outre les bourrasques et les branches des
arbres qui tombent, arrachées, une meute de loups d'une taille impressionnante (plus de 100
têtes !) rôde et cherche une quelconque nourriture, quitte même à s'entredéchirer. Il semble au
curieux qu'une sorte de rage exacerbe tous les sens et rend folles les bêtes !
La situation est critique, mais, pire encore, le questeur lui-même sera atteint par cette nervosité
aiguë et cette envie de bondir toutes armes dehors ! Il reste à espérer que Gilles soit présent pour
le calmer, même si lui aussi lutte pour ne pas subir de transformation incontrôlée !
Toujours est-il que le meneur du groupe revient au camp complètement bouleversé, et décide de
retourner de son côté voir le Veneur pour l'aviser de ces troubles (qu'il n'explique pas).
Il donne l'ordre aux Questeurs de joindre Sainte Catherine au plus vite, dès qu'ils sont reposés,
quant à lui il part de suite, promettant de revenir. Les questeurs se retrouvent alors seuls... et
peut-être que ce sera ça, leur problème !
Espérons aussi qu'un feu aura réussi à prendre, car la horde attaque sans doute à un moment de
la nuit, mais fuit les flammes. Sinon, il faudra passer un bon bout de temps dans les arbres, sous
les assauts furieux du vent et du froid.
Le lendemain la tempête a perdu de son intensité et la horde géante a disparu. Sur la feuille
vierge du paysage matinal, il n'y a plus trace de la folie nocturne. Rien. C'est dans la neige
jusqu'à la taille que le groupe doit continuer.
Vers midi, alors que les compagnons se restaurent un peu, un grognement retentit de derrière un
gros rocher : un loup. L'animal, la bave à la gueule, est surpris grattant le sol et rognant une
racine. Dès qu'on l’approche le monstre charge et combat jusqu'à la mort. La racine qu'il tentait
d'arracher en vain est en fait les restes d'un pied humain enterré ici.
*L'église.
Là, c’est déjà plus instructif.
L'église elle-même est très récente : 60 ans tout au plus. À vous de la décorer suivant l'époque
dans laquelle vous situez votre histoire. Mais la crypte est le lieu d'exactions dont nous ne
pouvons taire l'existence plus longtemps. En effet une personne un peu curieuse y trouve tout un
arsenal et des objets de chimie dignes des plus grands magiciens. Il y a 2 barriques dont l'une
vide et l'autre pleine. Si un personnage respire au-dessus de la vide il est d'abord attiré puis pris
de soubresauts et ne peut contrôler ni sa rage ni sa nature de lycanthrope ! Les mêmes
symptômes qu’observer précédemment se manifestent, mais beaucoup trop forts cette fois ! Il
semble que ce produit soit responsable des transformations.
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La seconde barrique produit exactement l'effet inverse. C'est un puissant répulsif ! Aucun des
personnages le sentant une fois ne peut à nouveau supporter l'odeur ! Il y a aussi un livre en grec
rempli de formules. En première page figure le nom du propriétaire : Jezäl ! Mais pas de traces
de l'apothicaire. Une très fine observation révèle que l'une des lourdes dalles a été récemment
déplacée. En s'y mettant à 4 on peut la soulever et trouver le corps du vieil homme. Ces ongles
arrachés montrent, qu'apparemment, il a été enfermé vivant dans ce trou et que, sans succès, il a
essayé de gratter la terre !
*La procession.
Une longue file de bons chrétiens passe les portes de la ville et se dirige vers un des nombreux
bois du Fief. En ordre, chantant louanges et appelant à la rédemption, le curé ne cache pas sa
joie. Car immédiatement après lui, tenant un encensoir, Clotilde avance en pleine prière les yeux
pleins de larmes. Il est inutile de tenter d'approcher l'une ou l'autre. La première est hermétique à
toute manifestation de l'extérieur (les voies du Seigneur sont impénétrables.) et le second, pris
dans son propre jeu, délire trop pour comprendre quoi que ce soit. Les autres sont eux aussi
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ensorcelés par l'entrain du prêtre et déjà des scènes de mutilations se voient ici et là dans le
cortège - Bertin, le premier, marche pieds nus dans la neige. Une telle débauche de religion, de
prières, d'icônes embrassées et d'émanation d'encens devrait rendre un peu méfiants les
personnages ou les ensorceler eux aussi... Toujours est-il que pendant tout le voyage ils
ressentent un profond malaise et leur nervosité s'accroit jusqu'au point de rupture, mais sans
jamais le dépasser. Quelque chose proche d'eux déclenche à nouveau cette attirance et cette
envie de céder à la bête. Au bout de deux bonnes heures de difficile marche dans la neige,
certains avancent à genou pour faire pénitence, le cortège hurlant arrive dans une grande
clairière au centre de laquelle trône une petite chapelle. Tous tombent à genou et déjà le père
Grégoire, écumant, exhorte la foule à expier ses fautes. Il se dirige alors vers le petit bâtiment de
pierre grise et ouvre la porte ferrée pour que tous puissent voir la statue de Sainte Catherine des
Loups. De Sainte Catherine ils ne voient alors rien, mais un loup gigantesque bondit hors de la
chapelle !
La foule hurle mais le loup, une fois arrivé sur la neige, titube, apparemment blessé, et
lentement, se dirige en grognant vers la seule personne transie de peur qui n'a pas bougé :
Clotilde.
Mais occupons-nous des personnages. Car à partir du moment où le loup a bondi et jusqu'à ce
qu'il atteigne la fille de Simon, la rage tant redoutée les submerge comme jamais. Un peu de
perspicacité les fera alors changer d'emplacement car, à ne pas en douter, c'est l'encensoir de
Clotilde qui répand la dangereuse fragrance, celle qui provoque tant de rage chez eux. De plus
dans la bousculade et la panique il faut un self-control hors du commun pour ne pas céder.
Le père Grégoire jubile car devant les yeux de tous le loup se dirige vers Clotilde et s'affaisse à
ses genoux. Il grogne une ultime fois et rend son dernier souffle. Le curé hurle alors au miracle
divin ! Et la foule en transe devant un tel phénomène tombe en pleurs autour de la jeune
miraculée, pour qui s'en est trop et qui s’évanouit.
Aussitôt le prêtre demande qu'on la ramène au plus vite, s'empare de l'encensoir et dit à deux
gardes présents de prendre le loup comme preuve du miracle. Tient, au fait, d'où sortent-ils ces
deux là ? Personne ne s'en inquiète dans la foule, alors...
Mais si on les observe Bien on voit que l'un d'eux porte sous son gant une grosse bague. Le Père
Grégoire semble l'avoir lui aussi remarqué et en est fortement contrarié. Le retour se fait dans
l'allégresse générale et tout le monde est invité à prier dans l'église pendant qu'on prépare un
bûcher pour brûler le loup. Une fois en ville, la chasse arrivant une heure après le cortège, les
personnages ont tout loisir pour agir.
Le loup est surveillé par l'un des deux gardes qui l'ont ramené. On peut, avec un minimum de
ruse, le distraire un moment pour examiner l'animal. La bête est morte d'une flèche dans le flanc
qui a été soigneusement coupée pour ne pas dépasser. Le soldat à la bague, lui, est à l'église et,
sur un ordre sec du père Grégoire, a retiré le bijou pour le mettre dans sa bourse : un fin
observateur aura vu la scène.
Il y a cinq ans, un prêtre rencontra cinq hommes sur le chemin qui le menait à sa nouvelle
affectation : Sainte Catherine. Il fut égorgé et, pendant la nuit, les hommes enterrèrent le corps
dans une ruine. Ils avaient été engagés par le seigneur du fief voisin pour infiltrer la garde et
affaiblir la confiance régnant entre Simon de Candor et ses gens. S'ils réussissaient, leur
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employeur leur confierait la gestion du fief, après un prompt assaut sur la ville et l’élimination
des Candor. N'étant que des mercenaires de passage, personne ne les reconnaîtraient. Ils ne
savaient pas, à ce moment, qu'ils enterraient le corps dans un lieu réputé maudit et où jamais ils
n'oseraient retourner par la suite... le moulin du diable.
Leur chef se présenta comme le père Grégoire et introduisit ses hommes dans la garde en
racontant une vague histoire de sauvetage contre des brigands qui en voulaient à son sac.
L'ennemi était dans la place.
Mais tout de suite Simon se méfia du prêtre. En effet, Jezäl, son médecin de famille, qui
connaissait le latin, lui avait affirmé que l'homme faisait énormément de fautes et se trompait
fréquemment dans la liturgie. Mais une personne empêchait toute intervention directe : Clotilde.
Pieuse au possible, elle passait plus de temps à l'église qu'au château, et renseignait sans le
savoir le fourbe. En cinq années, un jeu de lutte d'influence entre Simon et le prêtre déchira la
ville en deux. Puis, de guerre lasse, Simon décida de s'occuper de son fief en ignorant le curé.
Sans le savoir, il allait pourtant lui assener un méchant coup en annonçant la rénovation du
vieux moulin. Le père pris peur et redoubla ses attaques contre le seigneur, sortant toutes les
vieilles légendes et autres croyances sur le lieu maudit.
Ne comprenant pas ce regain, Simon, exaspéré, manda une délégation religieuse pour juger ce
curé si peu coopératif. Bien sûr, le messager envoyé était un des complices de ce dernier. Il
accomplit le voyage, les prêtres furent amenés dans un piège et pour ne pas qu'ils soient
identifiés, on les rasa, les tua et on enterra leurs corps. Le garde n'avait plus qu'à revenir et à dire
que la délégation avait un peu de retard et qu'il les devançait de quelques jours. Ainsi l'identité
de Grégoire était sauve. Mais le garde vola aussi la bague d'un des curés (gravée à son nom et à
sa fonction). Puis on kidnappa Jezäl, on le tortura, et on l'obligea à faire un produit capable
d'attirer, ainsi que d'exciter les bêtes sauvages et, de plus, apte à les repousser. Le vieil homme
obtempéra et on sait ce qu'il advint de lui par la suite. Il ne restait plus qu'à rappeler à nouveau la
malédiction du moulin et d'accuser Jezäl d'avoir tout fomenté pour que la pression soit assez
forte. La nuit de l'arrivée de la troupe, les complices tuèrent les gardes et ouvrirent les portes (Ils
étaient couverts de produit répulsif) au signal lancé par le prêtre (les cloches).
Puis, le miracle fut le coup de pouce du destin pour le plan du Père. Ses hommes, devançant le
cortège, attirèrent et blessèrent grièvement un vieux loup. Ils l'enfermèrent dans la chapelle. Il
aurait dû être mort à l'arrivée du cortège et l'encensoir ne devait qu'attirer les loups sur Clotilde
pour porter un dernier coup à son père : La mort de sa fille.
Mais il rendit son dernier soupir, à la surprise générale, devant l'encensoir. Le faux religieux
sauta sur l'occasion et nous allons voir à présent comment il compte l'exploiter, si on lui en
laisse la possibilité.
Un sinistre et unique hurlement lupin fait alors redoubler de prières toutes les personnes
présentes. La foule, menée par Simon, l'épée au clair, se dirige, murmurant les litanies, vers les
grandes portes. Tous montent sur les remparts et le géant sort, décidé, pour défendre sa ville.
Face à lui, une meute impressionnante, silencieuse, attend. Un cri d'effroi parcourt l'assemblée.
Au milieu des loups une silhouette, immense, immobile, attend le guerrier. Si on observe le Père
Grégoire on le voit allumer nerveusement une première boule d'encens - c'est le produit faisant
fuir les bêtes. Il redonne celle de la procession à Clotilde. Il semble aussi impressionné que les
autres, quelque chose arrive qu'il ne le contrôle pas. Simon continue d'avancer rapidement, son
ombre se dessinant sur une surface neigeuse illuminée par la lune glacée.
La forme avance à son tour et sort de la meute pour s'arrêter à quelques mètres du géant. Il lève
une main, dit quelques mots incompréhensibles, car trop déformés par le vent, et le colosse
s'affaisse devant lui, endormi. Mais ça personne ne le sait.
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Le père Grégoire, cachant mal sa peur, descend des remparts entraînant de force Clotilde. Il est
complètement désorienté. Il la pousse hors de la ville, alors que la silhouette et la meute se
déplacent en silence vers les portes. Il ferme avec ses complices ces dernières. La jeune fille
avance à son tour, poussée par les prières d'une foule qui ne comprend rien. Pendant ce temps le
religieux se précipite au bûcher et l'allume.
La masse lupine continue inexorablement sa marche vers les portes et la future martyre. La
forme humaine se précise alors aux yeux des personnages : C'est le Veneur !
Il se tient face à Clotilde, coincée entre les portes refermées de la ville et la meute géante. Sans
un mot il s'approche et l'enveloppe dans son grand manteau noir. Quand il reprend sa route vers
les portes elle se trouve dans ses bras, endormie. Une fois devant les grands battants il les fixe
de ses yeux d'acier et ils s'ouvrent. Ce que les gens ne peuvent pas voir des murailles, c'est
quatre hommes nus tirant les mécanismes d'ouvertures et disparaissant dans l'ombre pour ne
laisser que les traces d'aigles ou d'hiboux qui s'envolent. Ils iront ensuite aider ceux qui
commencent à étouffer sur le bûcher. En silence le Veneur se dirige vers la place centrale où
brûle le loup mort - et peut-être les frères et sœurs de la caravane. Là, sur le parvis, les quatre
gardes et le curé, terrifiés, attendent armes en main. Le Veneur repose alors le frêle corps,
endormi, sur la neige et d'un geste large envoi sans un mot l'encensoir de Clotilde aux pieds des
cinq complices. Aussitôt la horde se jette sur eux, leurs cris à peine couverts par les
grognements des bêtes. Puis, une fois le calme revenu, incompréhensiblement, le Veneur pousse
un grand cri de douleur, puis très théâtralement s'écarte du lieu où se tient Clotilde. Celle-ci se
réveille et, voyant fuir celui qui l'a vaincue peu de temps avant, elle entonnera une prière à voix
haute, semblant à chaque nouvelle parole vaincre un peu plus le démon. Pensez aux vampires
des vieux films se faisant surprendre par le soleil ou une croix. Peu à peu, elle le fait sortir de la
ville, et sous les yeux de tous, au nom de Dieu, le fait fuir dans la forêt avec sa meute hurlante.
Elle rejoint son père inconscient et reste en prière toute la nuit pour qu'il revienne à la vie. Ce
qui, comme de bien entendu, arrive.
Les personnages auront été invités à fuir discrètement ou sont emportés par les Chevaliers venus
avec le Veneur pour le plus grand numéro de domptage de la Caravane depuis bien longtemps.
Note : Si vos joueurs ont mis à jour les machinations du prêtre, ou ont habilement joué avec les
produits, peut-être n'aurez vous pas à faire intervenir le Veneur. Dans ce cas il vient les chercher
tout simplement en affirmant qu'il est trop dangereux de rester prêt d'un produit capable de les
trahir.
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Annexes
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