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LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE POUR LES NULS – Ces fichus 15°C de température terrestre

moyenne supposément dus à l’effet de serre.

INTRODUCTION

LE GIEC, les réchauffistes, qu’ils soient fourbes ou de bonne foi, les pouvoir publiques et leurs
égéries, la presse mainstream chantent tous à l’unisson la même chanson, encore et encore. La
partition de cette chanson est simple, simpliste même, aussi le plus grand nombre trouvant les
explications acceptables, les acceptent. Pourtant la chanson est dissonante et complètement fausse
et c’est ce que j’aimerais pouvoir démontrer simplement ici.

Puisque celles et ceux qui contestent la théorie du réchauffement climatique sont considérés comme
des clowns, restons donc dans le sérieux et justement le consensuel alors même que l’argument du
« consensus scientifique » nous est régulièrement jeté à la figure.

Donc, et c’est le plus rigolo, je vais me contenter d’utiliser des données officielles, à savoir des lois de
la physique simples, acceptées et universelles, parfois du niveau collège, et des données le plus
souvent extraites du très officiel Wikipédia. Je ne me réfèrerai ni à des articles, ni à des études
produites par les climato-sceptiques ou climato-réalistes, celles-ci subissant trop souvent attaques et
moqueries déplacées.

C’est parti !

LA THESE DU GIEC

Prenons comme point de départ la thèse du réchauffement ou changement climatique. Elle repose
sur le principe de l’effet de serre (que l’on doit nommer plus exactement « forçage radiatif »), cet
effet de serre étant supposément le principal phénomène produisant ou conservant de la chaleur, un
moteur thermique en quelque sorte. Et ce moteur a son propre carburant : les gaz dits à effet de
serre. Le modèle général que l’on nous présente est donc que plus il y a de gaz à effet de serre, en
particulier le CO2 (dont le très vilain pas beau CO2 d’origine anthropique), plus ça chauffe et donc
plus la température augmente. Cela parait simpliste mais ce n’est que cela. Alors, afin de ne pas finir
grillés ou submergés sous les eaux, on (nous) demande de réduire les émissions de CO2 afin que la
température globale n’augmente pas, ou plutôt n’augmente plus autant. On nous fixe même un
objectif précis (c’est très malin) : ne pas dépasser 1,5°C d’augmentation.

Au-delà, et je vous prie fortement d’inscrire ceci en gras-souligné dans un coin de votre tête, on
argumente le bien-fondé de l’existence de l’effet de serre en nous disant que sans lui la température
moyenne de la Terre ne serait pas de 15°C mais de moins 18°C (aglagla !).

Il est relativement simple de démontrer que tout cela est faux mais pour cela il faut reprendre les
choses à la base, mettre à plat quelques fondamentaux que personne ne conteste.

QUELQUES NOTIONS DE BASE

La Terre est entourée d’une enveloppe constituée de gaz et de particules que l’on nomme
atmosphère, celle-ci étant constituée de plusieurs couches. Celle qui nous intéresse particulièrement
est la plus basse : la troposphère. Elle s’étend sur une épaisseur variable d’environ 10 à 15 km (des
pôles à l’équateur), de la surface du sol à la tropopause, la limite qui sépare la troposphère de la
stratosphère.

D’autre part, la Terre comme tout corps est soumis à la loi de gravitation universelle de Newton.
C’est cette gravité qui empêche notre atmosphère de s’échapper vers l’espace et qui nous maintient
sur le sol (ainsi que quelques Shadocks perdant leur temps à pomper encore et encore), ceci grâce à
notre poids ou plus exactement notre masse. Les gaz et les particules atmosphériques ayant une
masse, il subissent donc la force de gravité de la Terre.

C’est ici que l’on peut introduire la notion de pression atmosphérique, c’est en quelque sorte le
« poids » de l’atmosphère résultant de la force de gravité de la Terre. Retenez également cette
notion de pression car elle est fondamentale.

Lorsque l’on prend de l’altitude, par exemple pour escalader l’Everest ou a fortiori si l’on est un pilote
de chasse, on a besoin d’un masque à oxygène pour respirer. Ceci indique que plus on monte, moins
il y a d’oxygène, donc moins l’atmosphère est dense, c’est-à-dire moins il y a de gaz. Comme il y a
moins de gaz, la pression atmosphérique diminue avec l’altitude, jusqu’à devenir nulle lorsque l’on
sort de l’atmosphère terrestre et que l’on arrive dans l’espace, et bien sûr lorsque l’on échappe à
l’attraction terrestre.

Intermède :

Votre humble serviteur se sent un peu couillon de ne pas avoir pris en compte plus tôt la notion de
pression, ici la pression atmosphérique donc. En effet, on n’entend parler que de température dans
le cadre du réchauffement climatique, et à ma connaissance, quasi jamais de pression
atmosphérique. Je suis d’autant plus couillon que mes études de géologie générale avant ma
spécialisation en paléontologie n’ont cessé de me faire savoir que la température et la pression sont
liées comme les doigts de la main. Par exemple les roches cristallines, plutoniques ou
métamorphiques, sont toutes constituées d’éléments qui cristallisent dans des conditions
particulières de température ET de pression.

Et cette liaison intime entre température et pression n’a rien de nouveau depuis les travaux de Gay-
Lussac et sa célèbre loi du même nom. Pour simplifier à l’extrême disons que cette loi de la
thermodynamique démontre qu’il y a proportionnalité constante entre pression et température.
Exprimé sous forme algébrique cela donne : P1/T1 = P2/T2 où P1 et P2 sont deux pressions et T1 et
T2, deux températures.

Fin de l’intermède - Revenons à nos moutons.

On a donc vu que la pression atmosphérique et la force de gravité décroissaient avec l’altitude.


Qu’en est-il de la température ?

C’est beaucoup plus complexe et irrégulier, aussi on ne peut dire que la température diminue avec
l’altitude bien que globalement cela ne soit pas entièrement faux car de la température moyenne à
la surface de la Terre de 15°C on arrive au froid glacial de l’espace. Disons pour faire court et simple
que la température évolue de différentes manières en fonction de la couche atmosphérique
considérée. Dans la troposphère, elle diminue régulièrement avec l’altitude, dans la stratosphère elle
est constante puis augmente, dans la mésosphère elle re-diminue globalement. Peu importe, ce qui
compte est à nouveau ce qu’il se passe dans la troposphère.

CALCULS THERMODYNAMIQUES

Tout ceci ayant été posé, commençons les festivités. C’est ici que je vais tenter d’expliquer un peu
mieux et en détail les calculs thermodynamiques expliquant la température moyenne de 15°C.

Prenons une couche de l’atmosphère et plus précisément de la troposphère d’une certaine


épaisseur. Pour sa limite inférieure, partons du sol, de l’altitude 0 donc. La pression atmosphérique
est de 1013 millibar (ce que l’on mesure avec un baromètre). Pour sa limite supérieure, sachant que
la vapeur d’eau est importante dans les processus climatiques, prenons l’altitude au-delà de laquelle
l’eau n’est plus sous forme de vapeur. En effet puisque la température diminue avec l’altitude, il y a
une limite au-delà de laquelle l’eau n’est plus sous forme de vapeur mais obligatoirement sous forme
liquide ou solide (glace). Pour la petite histoire les nuages sont constitués d’eau liquide ou solide
ainsi que d’aérosols. Ne confondons donc pas nuages et vapeur d’eau. Ce point se situe grosso modo
à quelques kilomètres du sol dans une zone de la troposphère où la température est d’environ -20°C
et la pression atmosphérique d’environ 530 millibars.

Sachant que le couple pression atmosphérique – température varie avec l’altitude, donc de la base
de notre couche troposphérique (sol) à son sommet (top) on peut introduire une loi physique : le
gradient thermique adiabatique. Derrière ce terme barbare se cache une définition bien plus simple :
c’est la variation de la température avec l’altitude qui ne dépend QUE de la pression atmosphérique.

On retrouve donc ici le lien étroit entre pression atmosphérique et température et l’on remarque
que cette loi physique n’a pas besoin de ce fichu effet de serre.

C’est ici que l’on retrouve également cette fameuse formule thermodynamique que j’ai introduite
dans un post précédent. Elle exprime tout simplement le gradient thermique adiabatique dans
l’épaisseur d’une partie de la troposphère que nous avons précédemment choisie et qui s’étend
entre la surface et le top :

La formule est : T/T0 = (P/P0) R/μ/(Cp + |Ch|)

où R =8,314 (constante universelle des gaz parfaits qui est le produit du nombre d'Avogadro et de la
constante de Boltzmann), μ = masse molaire de l'air, Cp et Ch les capacités thermiques massiques
constantes des gaz parfaits. Bref, pour faire simple l’exposant R/μ/(Cp + |Ch| est égal à 0,19.

{T, P} sont la température et la pression de notre couche à sa base, donc au sol et {T0, P0} sont la
pression et la température de notre couche à son sommet, donc au top.

Sur Wikipédia on retrouve cette formule sous une forme plus simple mais contrairement à nous qui
prenons en compte la vapeur d’eau, elle concerne de gradient thermique adiabatique sec (T/T0 =
(P/P0)r/Cp.

Exprimée de manière plus simple avec notre couche la formule donne :

Tsurface/Ttop = (Psurface/Ptop)0,19
Pour calculer la Tsurface, un peu de bidouillage algébrique : on multiplie les expressions situées des
deux côté du signe « = » par Ttop (c’est du niveau collège).

A gauche on a à la fois « multiplié par » et « divisé par » Ttop donc cela se simplifie (disparait). Il ne
reste donc que Tsurface (ce que l’on veut calculer).

A droite on a donc Ttop x ((Psurface/Ptop)0,19).

On arrive à ce résultat :

Tsurface = Ttop x ((Psurface/Ptop)0,19).

On peut passer maintenant au calcul, ce que l’on nomme « application numérique ». Mais il faut
d’abord convertir les degrés Celcius en degrés Kelvin car ce sont ces derniers que l’on utilise en
thermodynamique. 1 degré Kelvin = 1 degré Celcius + 273, 15.

La température au top est de -20°C + 273, 15 = 253,15 que l’on arrondit à 255 (cela ne change rien
puisque l’on cherche un ordre de grandeur).

La pression atmosphérique au top est de 530 millibars.

La pression atmosphérique au sol est de 1013 millibars.

Tsurface = 255 x (1013 ÷ 530)0,19 = 255 x (1, 911)0,19 = 255 x 1,131 = 288°K (arrondi)

Pour repasser à des degrés Celcius cette fois-ci, on retranche donc 273,15.

288 – 273,15 = 14,85 °C donc environ 15°C.

CONCLUSIONS

Que peut-on en conclure ?

En utilisant le gradient thermique adiabatique qui ne dépend QUE de la pression atmosphérique on


retrouve cette fameuse température moyenne théorique de 15°C.

Donc l’origine de cette température est donc la pression atmosphérique et, contrairement à ce que
l’on nous affirme, cela n’a RIEN à voir avec l’effet de serre. En des termes plus scientifiques, on ne
peut mettre en évidence la signature de l’effet de serre dans la température moyenne théorique de
la Terre, celle-ci étant induite UNIQUEMENT par la pression atmosphérique.

S’il y en a encore qui doutent, allez donc voir sur le très officiel Wikipédia à la rubrique « Atmosphère
normalisée ». Précision : hectopascal c’est la même chose que les millibars pour la pression
atmosphérique, peu importe donc.

Je vous recopie la définition : « L'atmosphère normalisée définit des température et pression


normales (TPN) qui permettent de s'affranchir des variations de ces deux paramètres selon le lieu et
le temps considérés. Ici, le terme « normal » renvoie à « norme » (valeur arbitraire de référence
acceptée par consensus), et non pas à « habituel ». Au niveau de la mer, l'air est « normalement » à
15 °C et à 1 013,25 hPa. »
Répétons : Au niveau de la mer (notre altitude 0) l’air est « normalement » (théoriquement) à 15°C.
Même Wikipédia nous confirme que l’effet de serre n’a rien à voir, donc il n’agit pas et donc toute
cette mascarade de gaz à effet de serre et de vilain pas beau CO2 n’est qu’une invention.

Merci d’avoir tenu jusqu’ici.

LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE POUR LES NULS – Ces fichus 15°C de


température terrestre moyenne supposément dus à l’effet de serre.

Comme c'est plutôt long car aussi explicite que possible, ce ne sera pas un texte mais un PDF
à télécharger et à partager sans compter.

https://fr.scribd.com/document/426668552/Le-Rechauffement-Climatique-Pour-Les-
Nuls?secret_password=cdVQavc6XJI3UvChSZRr

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