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L’ histoire inédite des gens de colline

CHITTAGONG HILL TRACTS


La perception et la réalité

Maher Islam

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 1


Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 2
CHITTAGONG HILL TRACTS
La perception et la réalité

Maher Islam

Traduit par

Mohammed Ataur Rahman

Professeur
À l’Alliance Française de Dhaka,
L’université de Dhaka

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 3


Première publication
en mai 2019

Publié par
Monirul Hoque

Ananya
38/2 Banglabazar, Dhaka
anannyadhaka@gmail.com
www.ananya-books.com

© Tania Ahmed

La Couverture
Mirza Md Nurun Ala Noor

Composer
Tonni Computers
38/4 Banglabazar, Dhaka

Impression
Panini Printers
14 / 1 Tanugong Lane, Sutrapur

Prix : 275.00
ISBN 978 984 432 7634

Le distributeur aux Etat-Unis


Muktadhara 37-69, 74 St. 2nd floor, Jackson Heights, NY -11372

Le distributeur à Kolkata
Naya Udyog
206, Bidhan Sarani, Kolkata-700006, Inde

Le distributeur en ligne
http: // rokomari.com/ananya

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Dédié à

Tania Ahmed, ma chère épouse, à qui je suis vachement reconnaissant


pour sa sacrifice, son soutien et ses encouragements,
sans elle, ce livre ne serait jamais accompli.

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Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 6
La Préface

J’avais toujours une fascination particulière pour les incidents se sont produits à
Chittgaong Hill Tracts (CHT). Ce n'est pas simplement pour la beauté naturelle. En
fait, je ne pourrais que faire attention aux événements périodiques sur les gens
opprimés et privés d'une grande partie (CHT) du pays. Je crois que chaque être
humain a une sympathie spéciale à n'importe quelle victime d'inhumanité et de
menace à l'existence. Pourtant, plus tard, un peu extrêmement j'ai remarqué que
beaucoup plus de ce qui est mis en évidence sur CHT, sont restés cachés dans
l'obscurité. Effectivement, une grande partie de vérité a été cachée. Au contraire,
une réalité partiale a été techniquement démontrée avec une série de propagande et
de mensonges avec lesquels la vérité ne peut pas garder le rythme à la course de
révéler en réalité.
Quand j'ai continué à observer la gamme d'affaires à CHT, un tas de questions
m'ont fait beaucoup réfléchir. Premièrement, de jeunes générations entières d'une
grande partie du Bangladesh sont forcées à grandir avec la haine et l'abomination
envers le pays et ses gens. Deuxièmement, environ la moitié des gens de CHT, les
Bengalis, tombent victims à la privation continue et aux indifférences sans
n'importe quelle raison. Troisièmement, il y a des gens de notre société qui sont
tout à fait vocales contre les problèmes particulières de torture et de privation, mais
mystérieusement et étonnamment, sont trouvés silencieux sur les mêmes autres
questions concernant l'humanité qui touchent une grande partie de la population de
cette région. En plus, certains talk-show et les personnalités de droits de l'homme,
parlant en faveur des gens de Tribu de CHT se trouve une bonne façon à être
identifiée comme bien cultivé. Malheureusement, soutenant des intérêts
d'organisations de colline et d'opposition aux Bengalis, l'Armée du Bangladesh, le
Gouvernement du Bangladesh et détestant le pays du Bangladesh est devenu une
pratique régulière de certains gens ingrats particulièrement à CHT. Donc, en tant
que citoyen et membre de société, c’est-à-dire, un sentiment mélangé de
frustration, la résponsabilité et la sympathie humaine générale aux gens qui m’ont
donné une source d'inspiration à cette initiative. La plupart des parties de cette
écriture, publiées dans de différents médias à des moments différents, ont été
possibles car j’ai eu l’opportunité de regarder des choses avec une grande attention
et vigilance.
Lorsque j’écrivais, je n'ai jamais pensé à les publier comme un livre, mais j’avais
une intention de révéler la vérité en réalité qui restait longtemps dissimulée en
raison de la propagande. Une vision professionnelle m’a permis de tenter de jouer
un rôle positif à n'importe quelle capacité, dans le cadre d'une coexistence paisible

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 7


des Bengalis et des gens de Tribu à CHT. Donc, en plus des derniers
développements, les histoires passées doivent être présentées pour exposer la vérité
originale au citoyen conscient et, surtout, la jeune génération de CHT qui ont été
affectés au pire en raison de la propagande abominable. Il est remarqué que la
grande partie de CHT liée à la publication est contrôlée ou influencé par les
associations de tribales ou les peuples tribaux.
Il y en a des tas de publications mais l'authenticité de leurs informations n'avait
jamais été évaluée ni tenue compte. Au contraire, une demande unilatérale était
toujours exposée avec aucune raison justificative. Mon effort était, donc, de
logiquement et neutrement démontrer de différents faits, un scénario, des
informations et un point de vue pour arrêter des mensonges qui prédominent en
tant que vérité indépendante. Je voudrais laisser tout le jugement auprès de mes
lecteurs érudits. Il est naturel que toutes les réductions peuvent être amélioré.
Donc, les commentaires des lecteurs, leur acceptation et leurs critiques
constructives sur le livre seront bien accueillis.
Je tiens à remercier et exprimer ma sincère gratitude à tous mes collègues,
partisans et Fondation de Recherche de CHT de m’encourager et de favoriser avec
les données et les informations menant à la publication de ce livre.

Maher Islam
le 25 avril 2019

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CONTENUS

Compensation pour le projet Hydroélectrique de Kaptai :


la Victime de Politique 11
Déploiement de l'armée et l’installation des Bengalis à CHT :
Rétrospectivement 22
Société et État : l'Otage aux Collines 36
Où seulement un Chien était Vivant!!! 44
la Disparition de Kalpana Chakma : une Analyse de Contexte 55
le Cas Curieux de Kalpana Chakma :
Enlèvement ou s'enfuyant ? 60
Seulement c'est possible à la Colline de Chittagong! 69
La Peur d’agitation Fausse 72
Le Canard d'or ou « d’enlever » ? 79
État, Souveraineté et État Contre le Paradoxe de Propagande 83
Armée du Bangladesh à CHT : Coupable jusqu'à preuve d’innocent ? 90
La Simplicité des Gens de Colline : Est-ce un jouet pour quelqu’uns ? 96
une Histoire de Deux Soeurs : la Propagande et la Faiblesse de l'Ère Numérique
104
Propagande à CHT : l'Autre Côté de la Pièce 109
protester contre enlèvement: Humain, Politique ou Commercial ? 118
assassinat de Rohingya : l'Utilisation Fausse de Facebook et l'Abus bengalais à
CHT 125
Croyances Personnelles Et médias 136
Coupable ou Innocent ? 141
Larmes de Colline : la Violence Contre les Femmes de Tribu à CHT 149
Religion : un Instrument pour Saisir le Terrain à CHT 157
la Politisation de Violence Contre les Femmes à CHT le 162

Appendice 175

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Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 10
COMPENSATION POUR LE PROJET HYDROÉLECTRIQUE DE
KAPTAI : LA VICTIME DE POLITIQUE

Afin d'utiliser la rivière Karnaphuli pour profiter aux gens et contrôler les
inondations irrépressibles dans sa cuvette plus basse, les Tests de probabilité de
Construction de remblai avaient été tenus : d'abord, pendant 1906-07 et de nouveau
en 1922. À sa continuation, un rapport préliminaire a été publié en 1940. Par la
suite, le rapport détaillé du Projet d’énergie de l'Hydroélectrique à usages multiples
de Karnaphuli avait été fait en 1952 (Chakma, 1993).

On a jugé les cinq avantages suivants du projet :

a. Développement de l’énergie.
b. Irrigation et drainage.
c. Lutte contre l'inondation.
d. L'augmentation du navigability du fleuve et
e. Avantages pour collecter les ressources de forestières.

Le liver, Chakma Jatir Itibritto (la Chronique de Chakma) par Sri Biraaz Mohan
Dewan, publié en 1969, informe que le Gouvernement pakistanais a formé un
sous-comité en 1955 pour accomplir la réhabilitation efficacement des victimes en
raison de la construction de Digue Kaptai (le Projet d’énergie hydroélectrique). A
cette époque-là, le Chef de Cercle de Chakma Tridib Roy (connu comme Chakma
Raja) était le président du comité. Quelques autres responsables gouvernementaux
et non- gouvernementaux étaient aussi là dans ce comité. Dewan a dit :

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 11


«Le sous-comité a produit un rapport détaillé auprès de l'autorité de réhabilitation
des personnes sans abri. Par conséquent, le Département de Forêt a dû libérer
quelques terrains de Kasalong, Rainkhiang et une partie des régions de Forêt de
réserve de Thega afin de réhabiliter les réfugiés. Raja Bahadur a visité les régions
de réhabilitation à l’époque, encouragé les réfugiés et communiqué avec le
gouvernement afin de créer les opportunités de plus pour les personnes sans abri.
Et ainsi le problème a été résolu. Et avec l'effort ultime du Gouvernement du
Pakistan oriental, en ce moment, une ambiance pacifique y a été établie >>
(Dewan, 2005, p. 152).

C’est à noter que, lors de la réimpression de ce livre par Dewan, le Chef de Cercle
Chakma Debashish Roy, a déclaré :

« On peut affirmer que le livre est. un effort pionnier dans la réduction de l'histoire
de cette région ›› (Dewan, 2005, Aveemat).

J’en suis sûr que les lecteurs peuvent deviner l’acceptabilité du livre. J’essaie juste
de mettre en place le fait que le gouvernement pakistanais de l’époque a vraiment
pris des mesures afin de réhabiliter les victimes en raison de la construction de la
Digue Kaptai. Et les mesures ont été mises en oeuvre sous la direction du chef du
Chakma (Raja), Major Tridib Roy lui-même. Des mesures appropriées de
réadaptation a entraîné dans une « ambiance paisible » , dans cette région, à cette
époque-là. Il vaut la peine aussi de noter que le sous-comité avait été formé avant
que la construction de la Digue Kaptai a commencé (1957). Si cette vérité est
acceptée, la question se pose naturellement quant à :

- Qui sont ces gens malfaisants qui essaient en ce moment de créer l'agitation avec
la pure excuse de Digue Kaptai ?

- Quels sont leurs motifs ?

En décrivant les pertes pour la construction de la digue, on le disait souvent que :

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 12


- 256 miles carrées d’habitation et de terrain agricole étaient submergées, presque
cent mille (100,000) personnes ont été affectées et très peu a reçu la compensation
du gouvernement.

Pradipta Khisa, dans son livre Parbattya Chattagramer Samashya (les Problèmes
de Parbattya Chattogram) a cité-

- «... au moment où la construction de la Digue Kaptai a été accomplie en 1960, les


99 mille 977 personnes sont devenues sans abri et sans terre (Khisa, 1996, p.35)››.

Le lac Kaptai était sous la sous-division Rangamati pendant l'ère pakistanaise.


Selon le recensement de 1961, la superficie totale de sous-division Rangamati était
1,601 miles carrés, la population totale était 1,62, 495 et total de la maison totale
était 28, 372. Selon le rapport de recensement en 1961, la densité de population
dans la sous-division Rangamati était 102 habitants par mile carré. La grandeur
démographique selon le thana de la sous-division est indiquée dans le tableau
comme mentionné ci-dessous :

Nom de thana Population totale Population par mile carré


Rangamati Thana 66,264 103
Chandraghona Thana 48,184 181
Barkal Thana 34,311 67
Longadu Thana 14, 764 82
La population de sous-division Rangamati en 1961 (selon le thana)1
(la Source : Anisul Haq, 2007, Parbattya Chattogram : Upajatio Samashya O
Shantichukti, Dhaka : Nawroj Shahitya Samvar, p. 62-63)
______________________________________________________________
1. La somme totale de la population totale des quatre Thana de la sous-division de Rangamati est de
163 523 personnes. Cependant, Anisul Haq a mentionné que la population totale était de 162 495
dans la sous-division de Rangamati.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 13


Tout en estimant le nombre total des gens affectés, il a été réclamé que bien
100,000 personnes sur un total de 1,62, 495 personnes ont été affectées en raison
de la construction de la digue Kaptai. Selon l’estimation susmentionée, compte
tenu leur revendication (100,000 victimes) signifie qu'en 1961, et 61.54 % des
gens dans la sous-division entière de Rangamati ne vivait que dans 6.25 % (256
miles carrés) de sa superficie totale.

N'est-ce pas surnaturel ?

De nouveau, selon la revendication, seulement dans une superficie de 256 miles


carrés sur 1601 miles carrés de Rangamati, la densité de population était de 390
personnes par mile carré; alors que la densité moyenne de la population du district
était 102 personnes par mile carré. Même, le thana le plus densément peuplé avait
181 personnes par mile carré.

Donc, pour la raison évidente, Anisul Haq, dans une analyse d'information dans
son livre - Parbattya Chattogram : Upajatio Samashya O Shantichukti ( les
problèmes tribaux et le Contrat de Paix de Chittagong Hill Tracts) a donné one
opinion différente sure le nombre des gens affectés dans la région. Il a mentionné
les raisons suivantes en faveur de son opinion :

-Dans aucune publication par l'auteur de Tribu ou n'importe quel auteur étranger, il
a été cité que les gens de Colline aiment vivre sur la plaine ou vivre en permanence
dans une certaine région ou ont des intérêts dans le secteur agricle.

- Tous les auteurs ont convenu que les gens de colline sont accoutumés à vivre la
vie de nomade dépendant de Jhum.

- Malgré le fait d'avoir des terrains simples, les gens de Tribu vivent toujours dans
les collines ou des régions montagneuses.

- Comme les autres régions, beaucoup de familles des gens de colline vivent dans
un village. À leur actuelle, le nombre a augmenté quatre fois plus que c’était en
1961.

- Bien que, un village puisse à peine être formé par 100 à 150 familles (Haq, 2007,
p.63).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 14


Afin de favoriser la lecture, on montre la population selon chaque union dans le
tableau :

Noms des Unions Population totale


Barakatroli 3543
Langadu 11221
Jurachari 9054
Dumdumia 8640
Barkal 8095
Vushanchara 8527
Ghilachari 7617
Kalampati 11912
Chandraghona 28940
Forêt de Réserve de Rykhong 3305
Rykhong 10684
Magban 4600
Balukhali 1988
la Ville de Rangamati 2240
Rangamati 9015
Taymoding 9413
Burighat 9492
Sabekong 9393

La population selon chaque union de Rangamati sous-division en 1961 (Haq, 2007,


p. 62-63)2,

En voyant le chiffre de la population pour chaque union, on peut bien comprendre


que dans le cas qui touchent 100 000 personnes, un bon nombre d’unions devrait
être submergé. En regardant la carte de la sous-division de Rangamati, on peut
facilement comprendre à quel point ça pourrait être faux ! Par conséquent, la
réclamation de cent mille

___________________________________________________________
2. La somme totale de la population totale des 18 Unions de la sous -division de Rangamati est de 157 679. Cependant,
Anisul Haq a mentionné que la population totale était de 162 495 habitants dans la sous-division de Rangamati.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 15


(100 000) personnes touchées vivent dans une région seulement de 256 miles
carrée ne peut, de toute façon, jamais être logique.
Carte du district de Rangamati

Source: Google

Une bonne compréhension de la réhabilitation des victimes se trouve dans le livre


«Oitihasik Prekhsapate Parbattya Sthaniya Sarkar Parisad›› («le Conseil de
gouvernement local de Hill Tract dans le contexte historique››) par Gyanendu
Bikash Chakma dans lequel il a mentionné,

« Le rapport d'enquête du projet n'a pas mentionné le nombre des gens


affectés. Après la construction du Projet d’Energie Hydroélectrique Kaptai
(PEHK), 18 mille de familles de 125 Mouza ont perdu leurs terrains
agricoles et domaines.

Sur ces 18,000 familles, dix mille familles affectées étaient des paysans (les
petits agriculteurs)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 16


sur la plaine de la région de cuvette de rivière. D'autres huit mille familles
étaient des cultivateurs Jhum (Jumma). ”(Chakma, 1993, p. 30)
Cela doit être noté que 54,000 acres de terres avaient été submergées dans le
réservoir d'eau de Kaptai. Plus tard, 10,000 acres de terrain pourraient être acquises
de la région de Forêt de Réserve de Kachalang qui a été distribuée parmi 3734
familles (Ibid, 1993, p.30). informe que pendant la période pakistanaise, les
mesures ont été prises pour réhabiliter les gens affectés, qui avaient commencé en
1957. Il avait été exécuté dans les phases différentes et s’est terminée le 30 juin
1975.
La compensation / les Activités de Réhabilitation du Projet de Digue Kaptai
Projet Nombre de familles Compensation / Réhabilitation
le Projet de 7398 Familles de Paysans Par personne 1 acre de terres et
Réhabilitation chaque famille maximum 10 acres de
(1957-1966) terres a été distribuées

7676 Familles de Paysans et de 12,615 acres de terrains distribués


Cultivateurs Jhum dans les collines basses de la région
de lac

Le Projet de 6239 Familles de Cultivateurs 800 acres de terrains cultivés sur les
Réhabilitation Jhum hauts terrains plaines de la rive
Supplémentaire jusqu'en 1973 et de 3000 familles
(1966-75) réhabilitées avec les bateaux de pêche
et les filets dans la région du lac
Kaptai

Total: 21,313 Familles

Source: Gyanendu Bikash Chakma (1993), «le Conseil de gouvernement local de


Hill Tract dans le contexte historique›› Conseil de gouvernement Local, District
de Rangamati de Hill-tract, pp. 30-31.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 17


Si 3,734 familles de forêt de réserve de Kachalang sont tenues compte, il y avait un
total de 25, 047 familles réhabilitées à différentes phases de différentes manières.
Il doit être noté que de nombreux auteurs différents avaient confirmé que le
nombre total des familles affectées était des 18 mille (18,000) dans la région; alors
que, il est constaté que la finance, le terrain et d'autres aménités du gouvernement
ont été distribués parmi 25, 047 familles au total.

Selon le Recensement de 1961, le nombre de familles dans la sous-division de


Rangamati était 28, 071 (Haque, 2009, p.66). Si 18000 familles ont été vraiment
affectées, même dans ce cas, à l’exclusion de 3734 familles réhabilitées de forêt de
réserve de Kachalang, 21,313 autres familles ont été fournies avec la compensation
ou la réhabilitation par deux phases du programme de réhabilitation.

Il est à noter que le programme de réhabilitation avait commencé parallèlement


avec le début des travaux de construction de la digue (1955). Il avait parcouru la
période pakistanaise jusqu'à la libération et s’est poursuivie après la naissance du
Bangladesh jusqu'au décès tragique du Père de la Nation en 1975.

Mon hypothèse, les savants lecteurs considéreront ce qui est juste ou pas: si une
victime a été exclue en tout cas, à cette époque-là, le gouvernement du Bangladesh
ne devait pas ignorer l’organisation de la compensation et la réhabilitation
nécessaire. Les susdites informations confirment que l'autorité concernée du
gouvernement s’est rendu compte de l'impact probable de la construction de la
digue bien avant et a lancé le programme de réhabilitation en temps voulu en
formant un comité convenable présidé par le Raja Chakma (le Chef, le Cercle de
Chakma) lui-même. L'effort nécessaire a été pris afin de compenser les victimes.
Bien que la figure exacte des victimes ne puisse pas être confirmée, en
reconsidérant encore le statut du recensement, il est tout à fait raisonnable de
prédire que le nombre de victimes n'avait aucune façon d'être «presque ce mille››
(100,000) qu'ils ont réclamé.

Selon les données obtenues, 25,047 familles ont été réhabilitées ou ont été
soumises à différentes sortes de programmes de compensation. Notamment, la
sous-division de Rangamati avait 28, 372 maisons en 1961.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 18


Alors que Gyanendra Bikash Chakma a cité que 18000 familles ont été affectées.
Certains disent que ne donnant pas la compensation pour la propriété familiale est
une raison de l'indignation des gens de colline. En fait, la quantité de compensation
était différente pour le terrain et la maison. Une moyenne de 250 Taka par acre de
terrains et d'une moyenne de 400 Taka pour une maison ont été donnés. A cette
époque-là, les gens de colline n'ont pas pratiqué de s'installer au domaine. Donc,
n'a pas reçu de compensation pour la maison, mais a reçu la compensation pour les
arbres, endommagés autour de l'endroit de vie.
Selon le recensement, la population totale de Sous-division Rangamati était 1,
62,495 qui a vécu dans 28, 372 maisons en 1961. Donc, mathématiquement, si
100,000 personnes avaient été affectées, donc le nombre de maisons affectées ne
pouvait jamais être plus de 17,460. (Comme déjà trouvé dans la discussion
précédente qu'il n'y avait aucune possibilité de 1 lakh (100,000) des gens d’être
affectés).
Selon le recensement 1961, 82 % des gens de CHT étaient de Tribu et 18 % étaient
non tribaux. Bien que, généralement les Bengalis aiment vivre sur la plaine pour
l'agriculture et les gens de Tribu préfèrent aux collines pour la culture de Jhum, il
est néanmoins présumé que seulement 18 % des Bengalis se trouvaient dans la
région affectée. Selon le calcul, 14317 maisons (82 % du total 17,460 ) n'ont pas
reçu de compensation pour la maison, mais ont été compensées des buissons de
bambou, les arbres etc. autour de leurs endroits de vie. Donc, tout simplement,
même si les victimes sont 100 000 (ce qui n’est pas possible), seuls 14 317 d'entre
elles n’ont pas été indemnisées pour la maison. Anisul Haq a calculé qu’au total
« le nombre de personnes touchées pourrait être 50 000 » (Haq, 2007, p. 63). Si
l’on prend le chiffre plus logique, puis presque 7159 personnes au total n’ont pas
été indemnisés pour les habitats (mais indemnisés des arbres et bambous).
Ainsi, il peut bien déduire que le nombre des gens affectés avait été délibérément
exagéré avec un motif déplorable. Le même pourrait être remarqué de la critique
sur la question de compensation et de réhabilitation des gens affectés. En outre, il
n'est pas injuste de conclure qu'ils ont compté certaines personnes imaginaires en
plus des victimes réelles. Pourtant, à part ça,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 19


« Certaines personnes peuvent être privées de l'aide gouvernementale dû à la
confusion créée dans identification de la personne exacte, le nom et l’adresse. En
plus, l'esprit toujours frappé de peur d'ouvriers, langue, complexité et surtout, la
mentalité opportuniste des chefs politiques à CHT a affecté les activités de
réhabilitation aussi mal que les obstacles. A cause de tels empêchementes,
certaines victimes pourraient être privées du soutien gouvernemental, certains
pourraient être bénéficié des tas de fois et certains dirigeants ont saisi du matériel
de secours ›› (Haq, 2007, le pp 63-64).
Dans un tel contexte, ce n'était pas impossible que certains chefs s’occupent
d'empoigner l'argent à partir du montant de la compensation.
En termes simple, on peut s’assurer que les autorités concernées ont bien réalisé
l'impact des travaux de construction sur le Karnaphuli et ont pris des mesures
appropriés au bon moment pour compenser et réhabiliter les gens affectés. Mais les
peuple de CHT sont devenus des victimes des groupes d'intérêt matériel de
collines. Leur politisation avec la Digue Kaptai continue toujours pour leurs
propres intérêts.
Il y a des exemples de nombreux pays dans le monde où les gens ont sacrifié pour
un développement durable et il n’exixte aucun exemple peuvent être constatés
qu'un pays a dû arrêter son plus grand travail de développement pour la perte
réparable de certains gens pour le moment. Les gouvernements de tous les pays,
généralement, poursuivent le travail de développement en considérant les pertes
des gens et offrent aux victimes la réhabilitation, la compensation et d'autre formes
de soutien. La construction de Digue Kaptai était ce genre de méga-développement
du Gouvernement pakistanais. Si les victimes ne reçoivent pas de compensation
malgré toutes les mesures nécessaires prises à temps, sa responsabilité incombe au
gouvernement. Mais dans le projet de Karnaphuli, les chefs locaux sont plus
responsables que le Gouvernement pakistanais de l’époque parce que l'on leur a
donné la responsabilité d'exécuter le programme de compensation et la
éhabilitation. À cet égard, le Raja Chakma Tridib Roy (le Chef de Cercle de
Chakma) a dû mettre la plus grande responsabilité sur l'épaule. C’est parce qu'il fut
la

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 20


personne responsable principale de la mise en œuvre du programme de
réhabilitation et de compensation en tant que Chef du Comité. Son comité n'était
jamais seulement dans le nom, mais aussi dans l'action. Les parties de la forêt de
réserve ont été rectilignement rendues libre de réhabiliter les victimes, c’est parce
que son comité l'a recommandé.
Après une belle lurette, en présentant le preblème de Digue Kaptai, lorsqu’une
partie des chefs de CHT continuait toujours à provoquer la rage de gens de colline
et la haine contre le gouvernement du Bangladesh et la nation; ce n'est pas difficile
de comprendre que l’objectif principal de ces activité est de profiter d’avantages
politiques indus. Les gens du commun de régions de colline ont été affectés à la
période de post-construction de Digue Kaptai en raison des groupes d'intérêt
particuliers d'une telle sorte de chefs à Hill Tracts. Ils sont toujours carrément
francs pour leur propre intérêt de gagner des avantages politiques, même en
échange des misères contre leur propre communauté.
(Publié : www.alokitopahar.com, le 19 mai 2018)

Sources :
Chakma, Gyanendu Bikash (1993), Oitihasik Prekhsapate Parbattya Sthaniya Sarkar Parisad '(«le
Conseil de gouvernement local de Hill Tract dans le contexte historique›› Conseil de gouvernement
Local, District de Rangamati de Hill-tract),

Dewan, BirajMohan (2005), Chakma Jatir Itibritto (la Chronique de Chakma), Rangamati, Uday
Shanker Dewan.

Haq, Anisul (2007), Parbattya Chattogram : Upajatio Samashya O Shantichukti (Chittagong Hill Tracts:
les Problèmes de Tribu et l'Accord de Paix), Dhaka : Nawroj Shahitya Samvar.

Haq, Anisul (2009), Parbattya Chattogram Samashya (les Problèmes de Chittagong Hill Tracts), Dhaka
: Anwesha Prokashon.

Khisa, Pradipta (1996), Parbattya Chattagramer Shamassya (les Problèmes de Chittagong Hill Tracts),
Dhaka : Sahitya Prakash.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 21


LE DÉPLOIEMENT DE L’ARMÉE ET
DE RÈGLEMENT DE BENGALIS A CHT :
RÉTROSPECTIVEMENT

Les activités de mission militaires de sauvetage à Rangamati, à Chittagong Hill Tracts : la restitution du
système de communication routier, interrompu à cause des éboulements (la photo : ISPR)

Lorsqu’on parle de Hill-Tracts, certaines personnes respectables accentuent


souvent seulement sur les points particuliers. Mystérieusement, ils évitent de se
concentrer sur la vérité complète de n'importe quel événement. C'est, peut être,
plus facile pour eux d'obtenir la sympathie des gens de colline. Mais en faisant
ainsi, ils ne peuvent pas vraiment éviter la responsabilité d'être influés.
Cela pourrait être à cause de leur sympathie pour les gens de colline, ou même il
pourrait y avoir quelques raisons particulières.
Quelle que soit la raison derrière,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 22


ils oublient de se rappeler que cette stratégie de gagner la sympathie d'une certaine
communauté des gens a provoqué des privations sur une autre communauté des
gens de la même société. En fait, la responsabilité de cacher la vérité s’applique
provoquer le déséquilibre qui conduit à une injustice sociale.

Sans aucune doute, un nombre exceptionnellement augmenté de forces de sécurité


ont été déployé à Hill-Tracts, par rapport aux autres régions du pays. C'est vrai
aussi que pendant les années 80; les gens Bengalis ont été emmenés (réhabilités)
dans les collines de différentes régions du pays.
Les nouvelles générations de régions montagneuses et de certaines personnes
peuvent estimer que c'est le Gouvernement du Bangladesh qui est responsable des
souffrances des gens de colline. C’est parce qu'ils croient que le déploiement de
militaire et la réhabilitation du Bengali n’étaient rien que les programmes de mise
en œuvre du Gouvernement du Bangladesh.
Pour avoir une idée claire de CHT, il faut bien comprendre le contexte de ces deux
réalités et il n’y a aucun moyen de saper le rôle des dirigeants contemporains liés
aux choses qui ont eu lieu dans le passé résultant dans les réalités actuelles.
En fait, une analyse approfondie indique que tous les crédits sont destinés aux
dirigeants des collines de l’époque pour donner naissance à ces deux réalités:
Le déploiement de militaires et la réhabilitation des Bengalis à CHT.
Tout simplement en s'opposant au plus grand intérêt du pays et en accentuant les
intérêts personnels vilains de peu de personnes rusées et cupides, les chefs de
colline ont apporté la détresse aux gens de leur propre communauté. Évidemment,
certains peuvent estimer qu'il n'y avait aucun pervers dans leurs objectifs, mais
également ils ne peuvent pas nier leur manque extrême d'être clairvoyant qui a
garanti la privation et la sourffrance à toutes leurs communautés.
Allons voir ancienne histoire de CHT à travers une analyse historique
Aucun des leaders de colline a appuyé l’inclusion de Chattogram au Pakistan en
1947. Au contraire, beaucoup d'entre eux ont tenté d’inclure Chattogram en Inde.
Même après la décision d’inclusion avec le Pakistan avait été prise par le
gouvernement britannique,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 23


drapeau national indien a été ouvertement hissé devant le bureau de
l’administrateur District de Rangamati le 14 août 1947, sous la direction de Sneha
Kumar Chakma, Secrétaire général de Jana Samitee de l’époque. Il ordonna
également aux policiers de colline de se préparer à la résistance avec leurs armes
Il ordonna aussi aux gens de certains villages de collines d’asssister à la résistance
avec des armes feu. Néanmoins, étant informé de leur plan de résistance, le
Gouverneur-général a déclaré,
«Renoncez à essayer l'inclusion avec Hindustan, sinon ça ne sera qu’un
abus de pouvoir et il provoquera votre souffrance catastrophique›› (Dewan,
1970, le pp 251-269).

Plus tard, le Régiment de Beluch remporta le drapeau indien le 21 août en


vainquant l'essai de leur résistance armée.
«Après ça, le gouvernement pakistanais a énormément stigmatisé eux tous
en tant que Pro-indiens. Et à partir de ce moment-là, les Pakistanais ont
commencé à les traiter avec une attitude discriminatoire (Khisa, 1996, p.
34)››.
Plus tard, par le biais de différents mesures prises sur eux, évidemment, a montré
que leur loyauté envers le gouvernement pakistanais avait toujours été soupçonnée
(Chakma, 1993, p.7).
Le drapeau indien était baissé mais les chefs de Hill-Tracts n'ont pas perdu
d'enthousiasme. Parallèlement, les chefs indiens ont continué à garder leur
sentiment pro-indien et l'ont renforcé après la partition. Ça a été révélé après 2 ans
de la partition lorsque dans un discours, le ministre de la défense de Gouvernement
Central indien Sardar Patel, pour plaire la minorité pakistanaise de l’est, a déclaré-
«Les gens, ceux qui sont notre sang et chair et restaient toujours à côté de
nous dans la lutte du mouvement d'indépendance, ne peuvent pas subitement
devenir des étrangers à nous seulement pour l’intégration de l'autre côté de
la frontière (Chawdhury, 2006, p.40).››

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 24


Etant conscient de ce fait, le gouvernement pakistanais a pris des mesures
pour arrêter la communication entre l'indien et les chefs deHill-Tracts. Un des
mesures importants que le gouvernement pakistanais a pris, à cet égard, était de
permettre l'entrée des Bengalis dans Chattogram Hill-Tracts (CHT). À sa
poursuite, CHT a été donné le statut de 'Région de Tribu’ de sa position de 'Zone
Exclue’ par la constitution de 1962. Même le statut de 'Région de Tribu’ a été
retiré en 1964 et toutes les impositions de l'entrée d'étrangers, de vie et de
l'acquisition de terrain dans la région ont été soulevées.
D'autre part, au cours des années 1960-70, la plupart des fonctionnaires de
tribu ont été transférés des collines et bien absorbés dans la société du Bangladesh.
Les officiers bengalais les ont remplacés et ont administré le gouvernement dans
les collines. A cette épouqe, le Pakistan s'est opposé au bloc soviétique et en tant
que partie du soutien de l'Amérique, a travaillé contre l'Inde et a coopéré avec
l'armée nationale indien Naga et la guérilla Mizo dans la région CHT.
Parallèlement, CHT a été déclaré ‘la Zone sans impôt’ afin d’accélérer le
développement de la région. Avec cet objectif, la construction de 'Digue de Kaptai’
a été commencée en 1957, pour garantir l'industrialisation et l'électrification dans
la région.

Les Etats indépendants de l'Inde au cours de la partition en 1947. Photo : Google

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 25


Ces choses furent faites particulièrement afin de sauver la région CHT de
son inclusion avec l'Inde. Et, en se souvenant du destin tragique et des réalités de
Jammu et Kashmir, Hyderabad, Goa, Sikkim, Zunagar etc. de l’époque, ce n'était
rien d'inhabituel pour le Pakistan à souffrir de la panique d'Inde.
Au cours de la grande guerre de libération en 1971, la plupart des gens de
Tribu sont restés évasifs. Pourtant, une petite partie des gens de Tribu a pris part en
faveur de l'indépendance du Bangladesh. Mais relativement une grande portion
d'entre eux a collaboré avec l'Armée pakistanaise contre les combattants de liberté,
en particulier les Chakmas.
« Bien que très peu de jeunes gens de tribu aient participé à la guerre de
libération, la plupart d'entre eux ont rejoint à la 'Force Armée Civile’ ou
FAC (connu comme Razakar Bahini)- one aile de forces envahissantes
pakistanaises et ont pris part aux activités de guerre d'antilibération››
(Ibrahim, 2011, p. 77).
Aux élections générales de 1970, on a élu trois représentants publics de CHT -
Manabendra Narayan Larma (M.N. Larma), Aung Sai Pru Chawdhury et Tridib
Roy. Aucun d'entre eux n'a soutenu la cause du Bangladesh pendant la guerre de
libération. M.N Larma était neutre pendant la guerre, s'est plutôt occupé à
organiser son propre parti. Les autres deux, Aung Sai Pru Chawdhury et Tridib
Roy ont activement aidé les soldats envahisseurs pakistanais. D'autre part, parmi
trois Chefs de Cercle ou de Rajas traditionnels (les rois), seulement le Chef de
Cercle de Mong M. Mang Pru Sine a offert une grande contribution à la guerre de
libération en sacrifiant tout qu'il possédait. Alors que, tous les deux le Chef de
Cercle Bohmong et le Chef de Cercle Chakma ont collaboré avec les forces du
Pakistan.
Parmi les tribus, le Chakma était le plus supérieur dans le Razakar Bahini.
C'était grâce au rôle actif joué en faveur du Pakistan par le Raja Chakma. Le Raja
de contemporain Chakma Tridib Roy a joué un rôle odieux contre la guerre de
libération du Bangladesh dès le tout début.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 26


Il propagéa pour les Pakistanais à différents endroits et commanda aux
collaborateurs et les chefs du villages afin de recruter Razakars. Un bon nombre
des gens rejoignit le Razakar Bahini connu comme les Forces Armées Civiles
(FAC) pour trouver les armes et l'argent. Les jeunes gens de CHT reçurent
l'entraînement d'un fusil, de fonction d’appareil sans fil etc. dans les Camps
Militaires pakistanais à différentes parties du CHT. Les combattants de liberté
durent faire face aux grandes pertes et aux dommages à Hill-Tracts à cause des
Razakars de Tribu.
Tout de suite, après le retour de Bangabandhu du Pakistan le 10 janvier 1972,
une délégation de Tribu de Rangamati, mené par le chef de Ligue Awami, Chef
Charu Bikash Chakma, a rencontré Bangabandhu le 29 janvier 1972 et a déclenché
la demandé d'une particulière garantie constitutionnelle pour les gens de Tribu.
Bangabandhu, en réponse, a assuré que :
- Les gens de tribu recevraient leurs parts légitimes dans les services
gouvernementaux,
- L'héritage et la culture de tribu auraient la préservation complète,
- Les gens de tribu continueraient d'pratiquer leurs droits du terrain comme
auparavant. (Chakma, 1993, p.51)
Quelques jours plus tard, une autre délégation de tribu, dirigée par Mang Pru
Sine, a visité le Bureau de Premier ministre avec une demande de 4 points. M.N
Larma et la mère de Tridib Roy appelé Bineeta Roy étaient également les membres
de l'équipe. La délégation ne pouvait pas rencontrer Bangabandhu comme le
dernier était hors de son bureau3. Par la suite, la délégation a rendu un
mémorandum à son Officier de Relation Public, sur la question de préserver les
droits légitimes des gens de Tribu dans la constitution. La partie finissante du
Mémorandum mentionné :
___________________________________________________________________
3
Parmi les membres de la délégation, Gyanendu Bikash Chakma a confirmé l’absence de
Bangabandhu dans son ouvrage intitulé « Oitihasik Prekhsapate Parbattya Sthaniya Sarkar
Parisad » (2e édition, publiée en 1993).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 27


1. Chittagong Hill-Tracts sera une région autonome avec son propre conseil
législatif.
2. La constitution doit retenir le règlement de Chittagong Hill-Tracts 1900
entièrement, en restituant le statut spécial.
3. Les bureaux des Rajas de Tribu seront préservés.
4. La constitution gardera la disposition qu’aucun acte lié à Hill Tracts ne doit
pas être changé sans consulter l'avis des gens de Tribu (Khisa, 1996).
On n'a pas besoin de voyager autour du monde pour voir comment les
typologies étranges de problèmes peuvent exister dans un pays trop jeune! Cela
peut être facilement estimé par un être humain que c'était le moment de la
naissance ensanglantée du Bangladesh après un bain sanglant de longue guerre
de neuf mois. Qui a proposé une telle demande surnaturelle au cours de trois
semaines du retour de Bangabandhu du Pakistan lorsque encore un Bangladesh
dévasté par la guerre prédominait sur les cadavres dispersés ? Ce sont les gens
ceux qui sont toujours soupçonnés de leur loyauté, respect et patriotisme à
l’égard de leur patrie depuis la période pakistanaise et la majoritaire de leur
population s'est activement opposée à la grande guerre d'Indépendance du
Bangladesh. Alors que, Bangabandhu, avec sa propre sagesse et générosité,
immédiatement donna sa promesse pour sauvegarder leurs intérêts.
Pertinemment, quelques autres questions contemporaines méritent également
l'attention. Quelques informations, de Parbattya Tatthya Kosh, la Partie-I
(l'Encyclopédie de Hill-Tracts), par le chercheur Atiqur Rahman sont tout à fait
significatives. Selon lui, les chercheurs de liberté d'Indien Mizo ont pris l'abri à
CHT au cours de la période pakistanaise. Après l'échec des forces pakistanaises
dans la guerre de Libération du Bangladesh, M.N Larma et ses associés ont
réussi à envoyer le Razakar (FAC) de CHT et les forces de Mizo pour s'enfuir
près de la jonction de franchissement de la frontière Bangladesh-Myanmar-
Indian.
Plus tard, bien que les forces Mizo aient quitté la région de CHT pour la
peur de forces indiennes, le Razakar Bahini (FAC) y restait toujours et

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 28


fut reconnu en tant que Larma Bahini (le Gang de Larma). Ils furent entraînés
avec les armes renoncées de forces pakistanaises pour renforcer le gang Larma. Et
le recrutement de néo-razakar s’est poursuivi.
« Ce Bahini Larma, équipé d’armes à feu, a changé leur nom comme Shanti
Bahini et Jana Samhati Samiti (JSS) a été formé en tant qu'organisation
politique pour faire marcher Shanti Bahini. Tous les deux organisations sont
nées auparavant ou après 1972” (Rahman, 2007, p. 64).
D’après du même chercheur, le nombre de Razakars local et les forces civiles
était 1830. Parmi eux, environ 300 se sont rendus après la libération. Le Shanti
Bahini a été formé à partir du reste des 1500 Razakars locaux et des forces civiles
(Ibid.).
Vous avez peut-être su l'histoire ultérieure. À cet égard, Golam Mortuza,
avec la référence particulière au Commandant de Terrain de Shanti Bahini-Ushatan
Talukdar alias Malay, a informé que:

« L’époque la plus convenable pour Shanti Bahini, s’est déroulée de 1972 à


1976. Ayant les rêves et l’éspoir aux yeux, le jeune courageux de tribu a
rejoint Shanti Bahini à ce moment-là. Il y avait l'énorme soutien des gens
ordinaires de colline, tout à fait disponibles à avoir. La condition de la forêt
de Chittagong Hill Tracts fut extatique de l’époque . La vie fut pleine de
difficultés. Il n’y avait que du travail dur et de la formation, on ne pouvait
pas ni dormir ni manger. L'entraînement de Shanti Bahini se déroulait
presque dans toutes les collines de jungle profonde. ”(Mortuza, 2000, p.
40).
Comme une conséquence indispensable, le mouvement des gens armés a
augmenté dans les collines. Côte à côte, la collection de péage et les menaces aux
gens ordinaires sont beaucoup montés. Les mesures devaient être prises par le
gouvernement se trouvaient obligatoires afin de garantir la sûreté et la sécurité des
vies et des propriétés de gens du commun.
Le lancement des opérations avec succès sur un bateau portant des forces
des polices près du village Betchari à Khagrachari et sur un Camp de police à
Bilaichhari, le Shanti Bahini commença des activités

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 29


armées au sein du milieu de l’année 1976. (Khisa, 1996, p.103). Par conséquent, le
gouvernement du Bangladesh a commencé à déployer l'Armée à CHT
temporairement à partir d’autres endroits du pays depuis 1977. (Ibrahim, 2011,
p.165).
À propos de l'augmentation du nombre de l'armée à CHT, Golam Mortaza,
se référant à Tatindra Lal Chakma alias Major Pele, a écrit dans son livre ‘Shanti
Bahini : la Vie de Gurrella’ que –

« Dans les forêts inconnues et la région sauvage de Hill-tracts, les membres


de forces militaires ont été pris au piège et ont tué désespérément dans les
embuscades mises par Shanti Bahini. Par conséquent, des milliers de forces
militaires ont été déployés dans la région. Parallèlement à l'augmentation de
membres dans les forces militaires, le Shanti Bahini augmentait
agressivement le nombre de leur opération ›› (Mortaza, 2000, p. 62).
En plus des stratégies militaires, le gouvernement contemporain cherchait
depuis longtemps une solution alternative. À sa continuation, le gouvernement a
commencé à penser de réhabiliter l'endroit avec les gens Bengalis. Major général
(Rtd). Ibrahim a représenté le contexte de réhabilitation Bengali brièvement bien
de la manière suivante :

Malgré la planification du gouvernement et de la mise en œuvre du « programme


de développement économique », les initiatives de solution politique et avec des
militaires, en déployant des tas de paramilitaires, des policiers et les forces d'Ansar,
ne pouvainet pas arrêter les activités de Shanti Bahini dans les collines, donc le
gouvernement à commencé à penser d'apporter une balance proportionnelle à la
population des gens Bengali et des gens de colline à Hill Tracts afin d’affaiblir la
résistance des séparatistes. Avec ce point de vue particulière, un total de 55,571
familles des gens bengalais avait été réhabilité à Chittagong Hill Tracts (CHT) à de
différentes phases à partir de

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 30


1979 à 1983, bien que parmi eux, 23,511 familles aient progressivement
quitté de Hill-tracts (Ibrahim, 2011, le pp 148-149).

En ce moment, ces gens, à qui les militaires à Hill Tracts semblent être une
horreur, devraient être rappelés que bien que le Shanti Bahini ait été formé le 7
janvier 1973 en noir et blanc, leur entraînement de l’armes avait vraiment
commencé à partir de 1972. Pendant le recrutement en 1973-74, des milliers de
jeunes gens de tribu ont rejoint le Shanti Bahini. Ils commencèrent l'affrontement
armé à partir de 1976 (Mortaza, 2000).
N'ayant pas d’autre alternative, le gouvernement du Bangladesh a commencé
à déployer les militaires à Hill Tracts à partir de différentes parties du pays
temporairement à partir de 1977 (Ibrahim, 2011, p. 165)››. Le gouvernement du
Bangladesh de l’époque n'avait aucun autre alternative pour sauver et protéger
l'intégrité territoriale du pays. Pendant que la question ce fut de protéger l'intégrité
du pays, le gouvernement du Bangladesh n'a pas semblé avoir une occasion d'y
discuter. Dans n'importe quelle partie du monde, tous les gouvernements
comptèrent sur les militaires afin de protéger la souveraineté et l'intégrité
territoriale du pays, particulièrement lorsqu’un groupe des gens prit des armes
contre le pays.
Ceux qui considèrent les Bengalis dans les collines d’être la raison
principale du problème, peut-être, ne savent pas que la réhabilitation de Bengalis a
commencé en 1979 officiellement. Il faut rappeler que le Shanti Bahini avait lancé
leur affrontement armé 03 (trois) ans avant du commencement de la réhabilitation
bengalaise. Donc, il devrait simplement être réclamé que si le Shanti Bahini n'avait
pas été créé, il n'y aurait jamais, certes, de possibilité de déploiement militaire dans
les collines.
Et depuis, même malgré le déploiement militaire, la croissance de Shanti
Bahini était alarmante, car ils pourraient bien absorbés parmi les gens du commun
qui eurent l'habitude de coopérer Shanti Bahini pour de différentes raisons (ici,
étant menacé par Shanti Bahini était la seule de beaucoup d'autres raisons); avec
aucun autre moyen le gouvernement dut décider d’y réhabiliter

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 31


les Bengalis afin d'aborder un équilibre dans la population de Hill Tracts.
En un mot simple, le gouvernement a été contraint d’opter pour le
déploiement militaire et la réhabilitation Bengali dans les collines. Ce fut
simplement la demande de l’époque de protéger l'intégrité territoriale de l'état. Et
pour l'intégrité de la patrie, des tas de pays du monde devaient être cruels
(seulement d'être gentils effectivement). Malgré, ayant nombreux d'exemples de
cruauté envers les séparatistes chez les nations différentes du monde, le
gouvernement du Bangladesh n'a pas voulu que d'inhumanité soit advenir sur les
gangs pro-séparatistes qui furent clairement reflétés par le biais de différentes
initiatives prises par le gouvernement plus tard.
Le chercheur de Hill Tracts et le Président de Fondation de Recherche de
CHT et le Rédacteur de 'Parbattya News’, M. Mehedi Hasan exposa d'un autre côté
de la réhabilitation Bengali. Il déclara-
« Les gens bengalais avaient la communication et l'habitation dans les
collines de l'âge primitif. Plus tard, ils furent emmenés aux collines
seulement pour le bien du pays. Beaucoup d'entre eux ont perdu leurs vies à
cause de paludisme ou étant attaqué par des serpents ou des moustiques. Ils
cultivèrent et rendirent des collines vivable et impressionnantes pour les
touristes et garantirent la souveraineté du pays.››
L'auteur aussi révéla :
« Ziaur Rahman, en coopération avec la Banque de Développement asiatique
(BDA), a formé le 'Conseil de Développement Chattogram Hill Tracts en
1976 et a accompli l'énorme travaux de développement dans de différents
secteurs y compris la communication. Mais les gens de colline n'ont ni été
expérimenté, ni habitués à faire des travaux, exigés pour le projet. Le
programme donc exigea aux ingénieurs Bengalis, les entrepreneurs et les
ouvriers d'exécuter le travail de développement. Ce ne fut pas possible pour
les ouvriers

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 32


de voyager et retourner du champ de travail tous les jours et a dû mettre
l'habitat à proximité. Aucune personne de Tribu de l’époque ne pourrait
participer au travail de développement, bien qu'il/elle ait voulu le faire, à
cause des menaces posées par Shanti Bahini et parce que, à ce moment-là,
les gens de colline s’opposaient au développement Chittagong Hill Tracts
(CHT) ››.
De nouveau, le chercheur a maintint que :
« Le développement infrastructurel de Chattogram Hill Tracts (CHT) ne fut
pas possible sans ouvriers. Maintenant sa grande beauté fascinantes monte
les touristes, est la conséquence de ce travail, la sueur, le sang et le sacrifice
des Bengalis. Non seulement que, les gens de colline reçurent l'expérience
de plantation d'arbre, a développé un processus de culture et du goût de vie
urbaine des Bengalis.” (parbattanews, le 15 mai 2014).
S'il y a une possibilité de réflexion neutrement sur le fait au moins pour une
fois qu'un pays vient de recevoir son indépendance par le biais d’une guerre
ravageuse et ensanglantée. Pendant la guerre, un bon nombre des gens de tribu
d'une certaine région activement collabora avec les forces d'antilibération du pays.
Et, au cours de trois semaines après la libération, une délégation de ces gens de
Tribu de cette région s'est approchée du nouveau gouvernement avec une demande
de leur autonomie et un conseil législatif séparé pour eux. Comment un pays
nouvellement indépendant devrait-il réagir à tels désirs par ceux qui, dont
beaucoup ont collaboré avec les ennemis de la nation ? Ne suffisait-il pas d’éveiller
le soupçon à l’égard des gens de cette région ?
De nouveau, une autre pensée peut être réservée comment cette communauté
de tribu, toujours, rembourse leur cotisation au Bangladesh en retour. Afin de
comprendre leur attitude vers le pays même à l’heure actuelle, la capture d’écran
suivante doit être considérée:

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 33


«Je veux que le Bangladesh soit vaincu dans chaque cas ›› un Statut Facebook par une personne de Tribu
après une perte par l'équipe de Cricket du Bangladesh, postée sur Facebook le 19 mars 2018, récupéré le 5
mai 2018.

On pourrait facilement reprocher aux militaires et les Bengalis pour une telle
attitude détestable des gens de colline contre le Bangladesh. Mais si la raison
principale n'est pas identifiée, en cas de nouvelle crise terrible comme auparavant,
il n'y aura aucune possibilité à rendre responsables des militaires et des Bengalis à
blâmer entier de nouveau.
Ce sont des gens, ceux qui aiment répandre l’armre de crocodile par le biais
de blâmer le déploiement militaire et la réhabilitation Bengalis à CHT, sont
toujours actifs pour cacher l'imprudence des chefs de tribu et les activités qui ont
apporté la détresse qui tombe sur eux. La culture actuelle de collection illégale de
péage, l’enlèvement, l’assassinat et les conflits parmi les groupes aussi bien que
parmi les groupes armés de collines indique des motifs réels de ces bandes de
politiciens dans les Collines.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 34


Etant donné le fait de la perspective de réalité historique, il est découvert
que ces chefs, préférant à leurs propres intérêts au lieu du pays, apportèrent la
détresse à leur propre société et gens. Bien qu'apparemment, il puisse sembler qu'il
n'y avait rien de mal avec leurs objectifs, c’est vrai que leur imprudence garantit les
difficultés et les souffrances pour leur communauté de tribu entière.
La chose la plus terrible est que les chefs de la génération actuelle sont aussi
toujours assez orthodoxes pour suivre la pensée de leurs prédécesseurs - auquel
certains partisans de notre pays se sont engagés.
Donc, on a peur inconnue et terrible dans quelque part, puisqu'il est
axiomatique que l'histoire aime sa répétition.
(Faits de Publication : parbattanews, le 4 juillet 2018).

Sources:

Chakma, Gyanendu Bikash (1993), Oitihasik Prekhsapate Parbattya Sthaniya Sarkar Parisad (le Conseil
du gouvernement local de Hill Tracts : Dans le Contexte d'Histoire) : Rangamati, le Conseil du
gouvernement local, le District de Rangamati Hill Tracts.

Chowdhury, Md. Nazmul Hasan (2006, octobre - décembre), le Mouvement de Résistance à Chittagong
Hill Tracts: les Connexions Globales et Régionales, les Affaires asiatiques, 28 (4), le pp 36-51.

Dewan, Biraj Mohan (2005), Chakma Jatir Itibritto ( l’histoire de la nation Chakma) Rangamati Uday
Shankar Dewan

Ibrahim, Said Muhammad, Major-général (Rtd.), BP, (2011), Parbattya Chattogram Shanti Prokria O
Paribesh-Paristhitir Mulyaon (Chattogram Hill-tracts: une évaluation du processus de paix et état de
l’atmosphère), Dhaka, Mawla Brothers.

Krisha, Pradipta (1996), Parbattya Chattagramer Samassya (problèmes de Chattogram Hill-tracts)


Dhaka, Shahitya Prakash

Mohan, Kamini Shri (1970), Parbattya Chattraler Ek Din Seboker Jibon Kahini (l’histoire de vie d’un
serviteur de la Religion de CHT) : Rangamati, Dewan Brothers and Co.

Mortaza, Golam (2000), Shanti Bahini : la Vie de Guérilleros, Dhaka, Shomoy Prokashan.

Rahman, Atiqur (2007), Parbattya Tatthya Kosh (l'Encyclopédie de CHT), première partie : Sylhet, Parbat
Prakashani.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 35


SOCIÉTÉ ET ÉTAT : L'OTAGE AUX COLLINES

Khisa (2016) a décrit à quel point les terroristes des collines sont perspicaces et
rusés pour créer une confusion fausse ou une agitation fausse. Beaucoup de gens
de Tribu sont adroits de camoufler des faits et d'exécuter des activités de sabotage-
« J’ai commencé à crier avant de rien comprendre Qu'est-ce qui est arrivé!
Qu'est-ce qui est arrivé ?›› À ce moment-là, des toilettes nord-ouest en face
de la petite route de la salle de bain (juste à côté de la grande caserne près de
notre homme LMG), quelqu'un lança le feu de broussaille vers le sud en
montrant au chef. Un autre faisait le même en montrant à moi et à monsieur
Santu. Les traîtres criaient Ya Ali! Ya Ali! Et prononçaient des mots d'une
voix dénaturée «Avancez Abdullah ! Avancez Abdulla!›› (Khisa, 2016,
pp.52-53).
Cet incident s'est produit lors de l’assassinat de chef Nationaliste Jumma et
de théoricien Manabendra Narayan Larma (MN Larma). Bien que sa vie
professionnelle ait commencé par l'enseignement, dans sa vie politique, il fut élu le
Membre de l'Assemblée constitutive du Pakistan oriental et fut également élu le
Membre du Parlement national du Bangladesh à la période post-libération. Son
identité la plus éminente est qu'il fut le rêveur du Mouvement de Libération Jumma
et fut le Président de Parbattya Chattagram Jana Samhati Samitee (PCJSS). Avec
son slogan de Nationalisme Jumma, il est devenu le chef incontesté de CHT.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 36


“Le pouvoir politique arrive par la menance d’une arme. Seulement par la
lutte armée, il peut être possible d'arracher les droits du gouvernement de
bourgeoisie. '–Avec cette idéologie, PCJSS a commencé sa mission sous la
direction de MN Larma le 15 février 1972. (Ibrahim, 2011). Ibrahim (2011)
Ibrahim fit des remarques de la naissance de Shanti Bahini comme c’est
simplement une aile armée du PCJSS. Il aussi mentionna que:
JSS commença sa mission le 15 février 1972 sous la direction de MN
Larma. ‘Pahari Chhatra Samitee’ (l'Union d'Étudiant de Hill Tracts) émergea
comme son parti d'aile et le 'Shanti Bahini’ ( Force de Paix) fut formée le 7
janvier, comme l'aile armée de JSS. Bien qu'il ait été formé officiellement en
janvier 1973, l'entraînement de l’armes commença à l’époque novembre-
décembre en 1972 afin de bien accomplir des activités armées. (Ibrahim,
2011, pp.88-94).
L'incident mentionné au début du paragraphe a eu lieu avant de signer l'Accord
CHT. Peu importe ce que vous vous sentez de l'attaque susmentionnée sur le plus
grand chef de Shanti Bahini, l'aile armée de PCJSS, mais le fait est qu'aucun
Musulman ou bengali n'ont pas participé à cette occurrence. Plutôt un groupe de
scélérats de Tribu l'a assassiné. En réalité, les conspirateurs faisant semblant d'être
l'Armée du Bangladesh' l'ont vraiment trahi. Huit personnes, y compris MN Larma,
perdu leurs vies sure place dans cette occurrence le 10 novembre 1983 (Khisa,
2016, p. 54). Si les coupables réels impliqués dans cet incident n'ont pas été
découverts à l’heure, donc, il n'est pas nécessaire de dire, qui aurait été blâmé
d'abord. Avec ça, en juxtaposant les autres occurrences semblables commises par
la suite, il a sans aucun doute été prouvé que ces groupes armés peuvent tuer
n’importe qui dans leur propre intérêt.
En observant seulement quelques incidents connus qui se sont passés à CHT
peut révéler la vérité derrière ces anticipations. La raison de choisir les faits connus
est seulement pour délibérément éviter n'importe quelle controverse.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 37


Un rapport avec le titre de « Qui est responsable de la violence dans les
collines ?›› a publié dans le magazine en ligne «Pahar 24››, le 26 octobre 2013, les
chefs cités de trois partis politiques qui dirent que les gens du commun dans les
collines vivaient dans la terreur et l'impuissance en raison de la violence, les
conflits et la perte de vies.
Dans ce rapport, un chef central du Front Démocratique des Gens Unis
(FDGU) Pradipan Khisha, blâmant Santu Larma a mené Parbattya Chattagram
Jana Samhati Samitee (généralement connu comme JSS) pour chaque incident
terroriste dans les collines dit, «Ils tuèrent plus de 246 nos supporters et activistes
et commirent plus de mille occurrences d’énlèvements.››
Dans le même rapport, le Président de District Khagrachari de JSS (MN
Larma), Sudhakar Chakma a affirmé, « Ils (JSS, mené par Santu Larma) tuèrent
plus de 70 personnes d'entre nous depuis 2010 jusqu'à présent.›› À cet égard,
Ushatan Chakma, Vice-président, JSS, mené par Santu Larma, dit, «si les deux
côtés ont des armes à feu, un échange de coups de feu est indispensable. Et ce n'est
rien d'inhabituel que s'il y a un échange de coups de feu, il y aura des victimes.
Dans telles occurrences, ayant les propres gens tués, c’est assez normal de blâmer
la contrepartie.››
(http: // pahar24, le 26 octobre 2013).

Un rapport dans le «Bangladesh Pratidin ›› intitulé « Trois Assassinats dans


un Jour ›› affirma, « Maintenant l’assassinat, l'échange de feu, l’enlèvement, la
disparition, l'extorsion etc. est devenue une pratique régulière dans les collines. En
citant les gens locaux de tribu, le rapport, dit, «Pendant quelques années dernières,
des centaines d'échange de feu, 600 assassinats, des centaines d'enlèvement, les
disparitions de plus de 50 personnes et de milliers d'extorsions sont survenues dans
les collines. De plus, avec le viol, de différentes activités terroristes sont
survenues›› (Pratidin du Bangladesh, le 15 juillet 2013).
UPDF fut reproché pour tuer le supporter de JSS et l'ancienne Membre de
l’Union Parishad de Ghilachhari, Naniarchar, Rangamati, appelé Shanti Kumar
Chakma (65) le 30 août 2014. Mais UPDF exposa, « Le membre JSS se tenait à
Ramhari Para avec les armes à feu. Ce sont des gens ceux qui faisait le meurtre et
nous blâment en générale (UPDF). Nous n’en sommes pas responsables. (Ajker
Sangbad, le 31 août 2014)››.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 38


Un vendredi après-midi, un supporter de JSS (MN Larma) nommé Makbul
Chakma fut appelé par un homme, qui l'a emmené à un endroit près d'Amtali dans
la région de Naniarchar Upazila Parisad. Plus tard, après avoir entendu le bruit d'un
coup de feu, des gens dans la région l'a trouvé blessé et évacué à l'hôpital. Le
médecin l'a déclaré mort. Cet assassinat s'est produit le 13 mai 2016, JSS blâma
UPDF et UPDF a nié le blâme. (Www.ntvbd.com/bangladesh/49643, le 13 mai
2016).
Un chef central d'UPDF (Praseet) et l'organisateur du district de Khagrachari
Mithun Chakma fut une victime de meurtre brutal le 3 janvier 2018. L'UPDF
observa un blocus routier de deux jours le 6 et 7 janvier 2018 à Khagrachari, afin
de protester de l'assassinat. L'UPDF, mené par Praseet Khisha, blâma l'UPDF
(Démocratique) pour l'assassinat. Mais UPDF (Démocratique) nia leur allégation
et, en réponse, dit que l'assassinat n’est qu’une conséquence du conflit intérieur de
l'UPDF de Praseet (Parbattanews, le 9 janvier 2018).
Récemment, deux grands chefs d'UPDF (Démocratique), dans une
interview exclusive avec le Parbattya News (les Nouvelles de Hill Tracts),
informèrent –
«Le conflit pour étendre et préserver la suprématie et la protection de
direction entre Santu et Praseet commença depuis la formation d'UPDF en 1998. À
partir de cette époque, ils ont lancé des activités terroristes comme l'extorsion,
l'enlèvement, l’assassinat et impliquant dans les échanges de coups de feu avec les
forces de sécurité à CHT entier. Par conséquent, un bon nombre de chefs et
d'activistes a perdu leurs vies.››
Dans la même interview, Hill Tracts news fut informé que l’UPDF a une
limitation organisationnelle contre le mariage entre les hommes et les femmes de
communautés de tribu et Bengalis. À cet égard, «en cas de n'importe quelle
désobéissance, ils (les hommes ou les femmes) doivent passer par le punition telle
que la vente aux enchères (la vente publique) ou la condamnation à mort et d'autres
punitions extrêmes ...››
Se référant à beaucoup de jeunes dames, y compris Reena Dewan et Kavita,
les interviewées déclarèent, « les dames et les chefs des organisations associées
d'UPDF comme PCP et la Fédération Féministe

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 39


de la Colline ne sont pas autorisés à se marier quiconque à l'extérieur du parti.››
(Parbattanews, 01, le février de 2018).
D’aprés une affaire déposée à Naniarchar Thana de Rangamati le 26 avril
2018, on sait qu'un groupe de 30-40 scélérats armés portant la robe colorée comme
l’armée enleva le chef Kalomoy Chakma de JSS (MN Larma le Groupe) de la
région de Naniarchar Bazar en l'attachant avec la corde. Le jour suivant, on trouva
son cadavre. En blâmant l'UPDF (Praseet) pour l'assassinat, les objections furent
soulevées que -« Les accusés, dans le passé, tuèrent cinq mille personnes qui
étaient innocentes pour soutenir le traité de paix. Personne n'oserait déposer une
affaire contre eux ›› (‘Parbattanews, le 27 avril 2018).

Récemment, l’UPDF (Démocratique) demanda dans une lettre ouverte qu'en


raison des organisations armées, même des activistes de leurs propres parti sont en
danger. La lettre, mentionnant les noms et adresses de 18 gens de colline, réclama
que malgré être les activistes de UPDF (Praseet), les UPDF (Praseet) les tuèrent
pour de différentes raisons. On dit un d'entre eux, Anil Chakma (Gorky) fut tué à
cause de son départ d'UPDF, le Commandant adroit Marma Royal fut tué d'une
façon innovatrice, avec un plan collectif conçu par Ananda Prakash Chakma et
Ratan Bose Marma (Joy Marma) dans la région Laksmichhari Raktachari. « La
mort de Royal Marma restait toujours en tant qu’un mystère.››
Des tas d'exemples de telles infractions peuvent être donnés. Et de tels
incidents, qui se sont produits et se produisant toujours aux poches de collines,
sont sûrement beaucoup plus que les exemples peuvent être cités. La plupart des
occurrences ne sont pas révélées parce que la plupart du temps les victimes,
d'aucune façon, peuvent oser parler un mot contre les organisations armées. À
cause du système de communication développé, la disponibilité des médias sociaux
et de rôle de plus en plus efficace de forces de sécurité et d'administration,
quelques événements sont apportés dans les lumières; très peu d'entre eux sont
exemplifiés ici.
Dans ce contexte, lorsque nous, la génération actuelle sommes au courant de
différents événements du passé, d'habitude la question se popse dans notre esprit,
quel cerveau aurait pu fonctionner derrière l'écran ? À savoir, qui peut être
considéré responsable pour les occurrences mentionnées dans le tableau ci-
dessous?

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 40


Le résumé d'Assassinat / Blessé / Enlèvement / Enflammant (1976-1992)

L'année
Tué Blessé Enlèvement et Disparu des Cas
d’enflammant

Bengalis Les gens Bengalis Les gens de Bengalis Les gens de


de collines collines collines

1976 10 - 90 - 10 8 10

1977 20 - 100 - 20 15 25

1978 25 - 80 - 25 21 20

1979 30 - 75 - 27 21 21

1980 175 2 25 15 180 28 38

1981 150 - 79 12 35 32 40

1982 110 4 85 17 75 40 25

1983 210 - 100 2 125 35 20

1984 2000 - 225 8 277 37 80

1985 250 10 112 7 312 25 75

1986 700 - 80 2 105 22 22

1987 816 - 100 5 43 40 16

1988 950 5 210 7 185 51 40

1989 1000 2 550 75 76 35 30

1990 500 8 207 12 75 39 50

1991 250 12 178 14 220 25 39

1992 116 16 281 21 107 9 39

Total 7322 55 2477 197 1897 492 579

Source : Parbattya Chattagram, Shanti Bahini O Manobadhikar ( Chattagram Hill Tracts, Shanti Bahini et les Droits de l'homme),
Lt Abu Rushd (Rtd). (1997), ZR Prakashani, Dhaka, p. 64.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 41


Pertinemment, il doit noter que le chercheur révéré Golam Mortaza, par une
enquête intensive presque dans partout des régions Hill Tracts, a discuté avec un
tas des chefs de Shanti Bahini de différents niveaux y compris Santu Larma dans
la publication de son livre ‘Shanti Bahini le Guérillero Zibon’ (Shomoy Prokashon,
2000) après l'Accord de Paix. Le livre est tellement aimé par les gens de Tribu
qu'une personne inconnue de Rangamati, appelé Subinoy Chakma, téléphona à
l'auteur , disant- « on vous donnera la citoyenneté dans le Jummaland de notre
rêve.›› D'autre part, un membre de forces Militaires dit, «Vous avez parlé en faveur
des gens de Colline et avez écrit contre le Bangladesh.›› Dans ce livre, en référant
à certaines personnes importantes du Shanti Bahini, il fut réclamé ci-dessous :
« 217 guérilleros d'entre nous ont été martyrisés dans la lutte jusqu'à présent
(p. 124).››
D'autre part, selon les informations du livre par Abu Rushd (1997) : à partir de
1976 à 1995, le nombre de membres militaires tués était 330 et blessé était 367
(p.65). De toutes les 5 forces individuelles, la liste d'victimes est montrée suivante:
Les Forces Tués Blessés Total
Militaires 170 206 367
BDR 93 78 171
Police Armée 37 21 58
Police 37 43 80
Ansar 07 10 17
Total 330 367 697

Les accidentés des Forces de sécurité à partir de 1976 à 1995

la Source : Parbattya Chattagram, Shanti Bahini O Manobadhikar ( Chattagram Hill Tracts, Shanti Bahini et les
Droits de l'homme), Op. Cit. P. 65.

Ceux qui donnèrent leurs vies pour la souveraineté du pays et acceptèrent leur
claudication pour la vie entière, ne sont pas du tout.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 42


Il y eut un grand nombre de vies perdues ou / et paralysées après 1995. Leur
nombre ne s’arrête d’augmenter.
En juin 2017, les cinq membres de l’armée du Bangladesh furent
héroïquement martyrisés au cours de leur opération de sauvetage lors d’un
éboulement dévastateur.
Cela doit demeurer dans la mémoire que malgré tous ces massacres inutiles
et la brutalité, une énorme population du territoire principale du pays, avec leur
simplicité instinctive et générosité culturelle, essayaient toujours de recevoir tous
les gens de colline comme leur propre partie.
D'autre part, ceux-qui n'hésitent pas à blesser l'être humain innocent pour
leur propres intérêts, n'aiment même pas une seconde réfléxion à tuer des gens de
propre communauté uniquement pour les opinions différentes. Ce type des gens
toujours actifs contre les intérêts du pays. Les gens inoffensifs, les deux Bengalis et
Tribals, perdent leurs vies par des scélérats de Tribu à chaque moment, les droits
de l'homme sont violés chaque fois, les femmes de Tribu sont faites subir à la
violence régulièrement. Inutile de dire, un nombre innombrable des gens
inoffensifs sont simplement accompagnés par la terreur et l'anxiété.

Donc, souvent, on a l’impression qu'en plus de la société de Hill Tracts, l'état


également, est retenu en otage dans les mains de certains scélérats de tribu. Et de
nouveau, c’est seulement à cause de leur (les criminels) propres intérêts.
(Faits de Publication : les Nouvelles de Parbattya, le 29 avril 2018)

Sources
Major général Said Muhammad Ibrahim, BP, (2011), Chattagram Hill-Tracts Peace Proces and Evaluation of the Atmosphere
Status cve©Z¨ PÆMÖvg kvwšÍ cÖwµqv I cwi‡ek-cwiw¯’wZi g~j¨vqb Mawla Brothers, Dhaka.

Lt. Abu Rushd (Rtd)., (1997), Parbattya Chattagram, Shanti Bahini O Manabadhikar [ Chittagong Hill-Tracts Shanti Bahini et
les Droits de l'homme], Dhaka, ZR Prakashani.

Golam Mortaza, (2000), Shanti Bahini Guerrilla Zibon [Shanti Bahini : la Vie d'Insurgés], Dhaka, Shomoy Prokashon.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 43


OÙ SEULEMENT UN CHIEN ÉTAIT VIVANT!!!

Quelle est l’image la plus susceptible au monde ?


Quelle est la photo la plus pénible sur la terre ?
Comment une photo se sentirait comme - un bébé décédé allaitant le sein de
mère qui a été décapité ?
En cherchant sur le Google pour les réponses à ces questions, et je reçus
beaucoup de photos. Je crois qu'il est plus pertinent d'exposer pourquoi il exigea à
Google de trouver telles photos que d'en expliquer les caractéristiques. Grâce à ma
curiosité personnelle dans les questions de CHT, n'importe quelle sorte
d'informations trouvées dans médias sociaux reçoit généralement une lecture
attentive de ma part. Conformément à cela, la dernière occurrence attira mon
attention au Bhushanchara Massacre dans la région de Barkal qui est considérée
être le plus grand massacre à CHT.
Les questions mentionnées touchées mon esprit après avoit lu un article de
ce massacre. Ainsi je fut presque contraint à explorer pour les informations de plus.
Beaucoup d’articles favorisant les gens de colline furent trouvés. La plupart furent
des revendications semblables comme – environ quatre cents (400) personnes de
Tribu furent tuées, beaucoup de femmes furent violées par des gangs et les enfants
furent infernalement torturés par les colons bengalais en coopération avec les
militaires et le BDR de l’époque le 31 mai 1984.
Une telle écriture cita dans le livre « la Politique de Nationalisme›› par Dr
Amena Mohsin. Pertinemment, j’explorai et constatai que le livre mentionna - « un
total de 110 personnes de Colline, y compris des femmes et les enfants furent tués.
Des tas de femmes furent violées par des gangs et tuées par balle plus tard.
(Mohsin, 1997, p.182). Pourtant, selon l'Amnistie internationale, dans cette
occurrence, un total de 67 Tribals fut tué (l'Amnistie internationale, 1986, le pp 13-
19).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 44


Quel que soit le nombre de morts, le jour du 31 mai sera marqué en tant que
jour du massacre pour les générations jeunes et éduqués actuelles à CHT. Tout
naturellement, la jeune génération d’aujourd’hui grandit avec la haine et
l'animosité vers les gens Bengalis parce que, apparemment, toutes les données et
les informations basées sur les médias sociaux - la plus grande source - est la
preuve de la torture sur les gens de colline par les Bengalis.
Comme une pièce de monnaie ayant toujours son autre côté, il y a une autre
version de la même occurrence. Pourtant, la source de l'autre version pourrait être
très maigre car seulement quelques informations ont été trouvés portant la preuve
d'une autre version de l'événement.
Comme il y a une autre version de l'incident, il est devenu obligatoire de
découvrir le fait – ce qui est vraiment arrivé à Bhusanchhara le 31 mai 1984. Dans
cette manière, seulement deux sources seront mentionnées afin d’éviter un
argument inutile, c'est-à-dire deux livres par deux auteurs fournissant les détails du
massacre à Bhushanchara.
Le premier auteur est Syed Murtaza Ali, dont la carrière de journalisme a
commencé en 1969 en travaillant pour le journal «Dawn›› lorsqu’il étudiait à
l'Université de Karachi au Pakistan. Impliqué dans l'Observateur du Bangladesh,
Murtaza Ali a visité Bhusanchhara déguisé d'un pêcheur le 3 juin en 1984. Il fut le
premier journaliste qui pourrait faire une visite de post-massacre à l'endroit,
cependant après trois jours de l'occurrence.
Murtaza Ali a décrit ses expériences de la visite dans son livre intitulé «
The Hitch in the Hills ›› (le Problème dans les Collines) publiées en 1996.
L'autorité gouvernementale n'était pas disposée à annoncer le rapport du massacre
dans les médias, donc aucun journaliste n'était en mesure d'y aller. Ayant un stylo
et du papier avec un petit magnétophone et des accessoires emballait dans le
polyéthylène et caché sous la surface plate du bateau, il y est allé en déguisant d'un
pauvre pêcheur « portant d'un gilet sali et un Lungi (trouser) très usé ››. Il n'y eut
aucune façon d'échapper ou d’éviter les postes fréquents de contrôle des forces de
sécurité à de différentes endroits sur le Lac Kaptai. Le jour où

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 45


il est arrivé, il y avait trois hélicoptères, dont l’un portait Président de l’époque SM
Ershad.
Même s’il est arrivé sure les lieux trois jours après l'occurrence, il a trouvé une
scène vachement déchirante. Dans son propre mot,
« Il y avait un tas de corps humains partait toujours parsemé et dispersé.
Pendant que beaucoup de ces corps ont été déjà enterrés, il y avait encore
plus en attente d’élimination. Ils m'ont dit que ces corps n’avaient pas été
enterrés parce qu'aucun de leur proches survécus pour s'occuper de la
tâche.›› (Ali, 1996, p.54).
Se référant à un villageois assez âgé appelé Abdul Karim (68 ans), l'auteur cita,
« On fut toujours au lit pour la dernière heure de sommeil après avoir pris
notre repas de fin de nuit pour le jeûne du Ramadan. Les lampes tamisées jetaient
toujours des ténèbres bizarres sur les murs dans beaucoup d'habitations.
Brusquement, des coups de feu fracassèrent la sérénité des environs accidentés.
Avant qu’on puisse comprendre quoi que ce soit, on a entendit des cris de guerre
des attaquants (Shanti Bahini) et les coups de fusil défensifs.›› (Ali, 1996, p.55).

L'auteur continua à partager,


« l’insurgé de Shanti Bahini a criblé les colons frissonnant des balles,
déchirées leurs bébés, les ont baïonnettés, ont poignardés et ont décapités. Ils
ont même poursuivi les gens ceux qui s’enfuyaient et les ont fusillés. Après
la fureur initiale, les insurgés de Shanti Bahini , sous la menace d'une arme
recueilli les gens frappés d'horreur ensemble et les a faits se mettre en rang
dans la queue. Puis ils ont appelé les colons par les noms et les ont tués. Ils
ont également battu certaines femmes et ont dépouillé nacked. Avant de
départ, les insurgés de Shanti Bahini mettent le feu à leurs maisons
d'habitations. ››(Ali, 1996, p.55-56).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 46


En plus de la description de quelques scènes consternantes et ensanglantées,
il informa qu'en incluant 34 femmes et 26 enfants, ils tuèrent 120 et blessèrent 200
Bengalis. 35 personnes furent dirparues jusqu’à présent. En raison de l'attaque
d'incendie criminel, 200 familles perdirent leurs habitats. Des tas d’élevage furent
démolis. (Ali, 1996. Pp.53-56.)
Le deuxième auteur est un chercheur de Hill-Tracts M. Atiqur Rahman qui a
accompli la recherche sur les Collines pendant longtemps et a au moins 10 livres
de recherche publiés uniquement sur CHT. Le chercheur Rahman présenta les
descriptions orales des témoins oculaires, les victimes, les enfants orphelins, veufs
et blessés à la nuit. Après avoir visité la tombe de masse, il déclara que plus de 300
personnes n’étaient mortes que le 31 mai 1984. Plus tard, la liste de décès
s’allongea. Dans « Parbattya Totthya Kosh›› (Hill-Tracts Pedia), La troisième
partie, le rapport d'enquête par Rahman (2007) décrivit les scénarios vachement
déchirants du génocide :
« ... Du cimetière Kalabonya de Bhusanchhara en passant par Harina jusqu'à
la frontière de Thegamukh – cette région vaste et étendue fut couverte avec
un silence horrible à partir du soir. même aucune présence de chiens ou de
n'importe quels animaux nocturnes ne pourrait être estimée. L'armée, BDR,
VDP furent dans leurs camps. Subitement, un son avec un écho de la
périphérie ... une balle sifflante...
Et ensuite, les choses commencèrent à se produire ... tous autour des
maisons et des habitats ... les hautes flammes de feu se sont propagées. Les
cris et les hurlements des tués et des blessés accompagné avec le son sifflant
de balles, le bruit de bambou faisant craquer des maisons brûlantes, le cri des
gens mourant mélangés avec la fureur braillant des hyènes attaquantes sont
montés haut. Le cauchemar commencé avec les cris humains et la joie des
animaux qui coururent jusqu'à ce que le soleil radieux n'ait éclaté dans le ciel
de l'est. La localité se leva dans une matinée ensanglantée rouge remplie
seulement de cris des mortels humains impuissants.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 47


Dedans et à l'extérieur des maisons, les multitudes furent tombées blessées, le
saignement, demi-mort et mourant. Les cadavres se remplissaient dans les habitats
incendiés, les maisons, les routes et partout ? Tous furent dans la terreur. Tant de
corps! Tant de sang! La localité entière s’est trouvée déserte pendant une moitié
d'une nuit!
Brutalité fatale! Cruauté incroyable! L'Armée locale et BDR ont informé l’autorité
supérieure de la destruction ravageuse. Ainsi, le drame d'autorité commença; les
arrivées, les visites, le processus de cacher les corps et l'incident.
Aucune possibilité n'a été gardée afin de révéler à quel point l'incident fut terrible
et pitoyable; comment l’organisation communale de Shanti Bahini inhumaine et
brutale. Une interdiction fut prononcée sur les nouvelles et les reportages de cette
question. On l'a cru que les nouvelles déclencheraient l'anxiété et la protestation à
l'échelle nationale et que les gens de Tribu à travers le pays seraient en danger.
En raison de l'horreur et de l'inaction du gouvernement, beaucoup de colons ont
quitté des collines. La perquisition et l'arrestation des fugitifs sur les routes, les
bus, les vedettes et les bateaux ont ajouté des misères aux tout-perdants. Pourtant,
la moitié de la population totale de la région, y compris les gens tués et se sont
enfuis, fut anéantie. Creuser des trous et y faire descendre des cadavres fut le
travail de personnes vivantes qui presque mouraient. Aucune nourriture, aucun
vêtement, aucun abri, seulement l'odeur puante des corps gâtés prédominait et il
n’y eut aucune façon de s'enfuir n'importe où. N'était pas un enfer pour les
survivants ? Tous les survivants furent tout simplement impuissants. C’est une
situation où il n’y a rien à faire! Il n’y restait plus qu’à regarder les cadavres ou à
les remplir de trous. L'autorité très gentille est venue en avant avec une finance.
Bienveillant, en effet, quoi d'autre mais la clémence il peut ?
« Le bêchage des tombes de masse et des activités d'ensevelissement continuait
depuis plusieurs jours et les colons ont dû l'exécuter

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 48


sans avoir le temps de manger, de dormir et de se reposer. Les trous après
les trous ils firent les tombes. Dans chaque trou, ils remplirent avec les corps
30/40 entièrement. Bien que les localités soient libres des corps et des
odeurs, les corps autour des collines forestières pourrissaient et furent
dévorés par les animaux sauvages sans être ensevelis. Les familles
bouleversées furent forcées de vivre sans nourriture et vêtements dans les
domaines incendiés. ›› (Rahman, 2007, pp.146-154).
Le chercheur également informa que le président Ershad inspecta les lieux
du massacre Bhusanchhara. Les fonctionnaires supérieurs de la Police, l’armée et
l’Administration civile également visitèrent tout de suite. Avec l’aide d’un tas de
nombres de témoins oculaires, il ajouta une liste de 370 personnes tuées dans son
livre (jointe en annexe dans le livre). Il également informa que 85 personnes
sérieusement blessées furent envoyés à l’hôpital militaire combiné , on appelle
CMH situé à Chattogram. (Rahman, 2007).
Se référant au rapport de Mainuddin Nasser le Massacre à Bhusanchhara,
publié dans l'Économiste Quotidien (the Daily Economist) le 01 juillet 1984, le
journaliste Syed Ibne Rahmat (2014) mentionné dans un article soigneusement
étudie sur le massacre de Bengali à Bhusanchhara que le rapport de M. Nasser fut
publié avec une photo montrant un domaine brûlé et désolé, et il n’y eut qu’un
chien debout dehors.
Le sous-titre de photo fut-
«Bhushanchara : Il ne restait qu’un Chien Vivant.››
M. Nasser mentionna les 186 cadavres de Bengalis trouvés jusqu'à ce que son
rapport ait été écrit. Il a craint que le nombre de morts ne soit pas moins de quatre
cents sur 1600, plus de 300 familles de Barkal avaient été attaquées cette nuit-là. Et
parmi les victimes, 100 familles furent complètement démolies (Rahmat,
Nouvelles de Parbattya, le 31 mai 2014).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 49


Un officier Militaire regardant les gens tués dans l'atrocité par le Shanti Bahini, la Source : les Nouvelles
de Parbattya ( Parbattya News)

Il vaut la peine de noter qu'ancien Directeur général BDR, le Major général un LM


Fazlur Rahman ( retraité) fut responsable du commandant zonal de la région4.
Dans ses propres mots-
«Le 31 mai 1984, un groupe armé de cent cinquante personnes, dirigé
par Major Moni Swapan de Shanti Bahini ( Groupe de Preeti),
attaqua la colonie de Bhusanchhara et le camp BDR de Jarulchhori.
Quatre cents personnes furent tuées y compris le BDR et cinq cents
furent blessés dans l'attaque par le Shanti Bahini›› (Parbattya
Chattagram e Amar Aviggata- c'est-à-dire. Mon expérience à
Chittagong Hill Trccts, 22, les Nouvelles de Parbattya (Parbattya
News), le 24 octobre 2016).
________________________________________________________

4. L’armée avait divisé le territoire de la colline en différentes zones géographiques, généralement


identifiées comme «zone», qui était à nouveau subdivisée en différentes «sous-zones». Bhushanchhara fut
sous la zone de responsabilité de Harina zone en 1984.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 50


Il est pertinent de se rappeler que le livre, par Amena Mohsin, publié en
1997, donna une description brève de 11 massacres à partir de 1980 à 1995 (15
ans) dans lequel, dans certains cas, elle utilisa le nombre attendu et dit que plus de
929 personnes de Tribu sont décedés. Tout en parlant de l’assassinat de Tribals,
selon l'auteur, tous les massacres firent par les colons Bengalis et les forces de
sécurité. D'autre part, en utilisant un nombre bien déterminé, dans une ligne, elle
dit qu'à partir de 1980 à 1991 (11 ans), le Bahini Shanti tua 952 Bengalis et 188
Tribals. (Mohsin, 1997, le pp 182-185).
Avec une observation prudente, il est constaté lorsqu’elle mentionnait le
nombre de morts des gens de Tribu, elle parla d’une histoire de 15 ans, mais en
cas des gens Bengalis, elle l'a fait pour 11 ans. Pour une raison inconnue, en
donnant une description brève du massacre des gens de Colline, elle ne pouvait pas
donner de description courte du massacre qui s’est produit sur la population de
Bengalie et rien du tout sur le massacre de Bhushanchara. Dans tous les cas de
meurtre de Bengalis, elle utilisa un nombre spécifique, mais dans les cas de Tribu,
elle utilisa un nombre estimé, dans certains cas.
Ici on peut dire que Syed Murtaza Ali l’a mentionné qu'après son retour,
«Plus tard j'ai entendu encore des nouvelles étourdissantes. Les
colons ont également recouru à une opération de représailles tuant un
autre cent ou deux cents tribals››. (Ali, 1996, p.56).
Sharadindu Shekhor Chakma (2002), dans son livre ‘Parbattya Chattagramer
Ekal Sekal’, a mentionné, «à partir du 31 mai au 7 juin 1984, les Militaires, le BDR
et les nouveaux colons attaquaient conjointement sur les villages de colline, à
savoir, Bhushanchara et Chhoto Harina. Au cours de cette attaque, 62 personnes de
Colline furent tuées et 13 d'autres furent blessés›› (Chakma, le pp 65-66). Ça peut
être mentionné ici que Sneha Kumar Chakma (2011) aussi dit en passant que 62
personnes de Tribu furent tuées. (Chakma, p.193)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 51


D'autre part, Mahfuz Parvez (1999), mentionné dans le livre ‘Bidrohi
Parbattya Chattagram et Shantichukti’ (le Rebelle Hill et l'Accord de Paix) « le 31
mai, Bahini Shanti attaqua Bhushanchara à Barkal et tua 186 personnes bengalies
(Parvez, p. 112).
Major général Ibrahim (Rtd). (2011) informa que « les colons bengalis
excités attaquèrent les familles de tribu à Bhushanchara et dans quelques autres
villages le 31 mai et le lendemain (Ibrahim, p.132)››. Se référant à l'Amnistie
internationale, il ajouta que 67 tribals furent tués dans l'attaque (Ibid.).
Par conséquent, il est clair que les gens de Colline furent tués après que les
Bengalis avaient été massacrés. Les Bengalis n'avaient pas de plan ou plan de
sang-froid en tant que Shanti Bahini; ils l'ont fait de la passion pour la vengeance.
Pourtant, il n'y a aucune possibilité de juger d'un assassinat dans n'importe quelle
situation. Tous les assassinats sont détestables et punissables.
Malheureusement, pour une raison mystérieuse, presque dans tous les
articles, il n’y a que les descriptions des meurtres des Bengalis ou des gens de
Tribu. Il n'est dit nulle part qu'il y avait deux attaques : l’une fut l'attaque sur les
Bengalis par un groupe de milice bien planifié des gens de Tribu et l’autre fut une
attaque pour la vengeance sur les gens de Tribu par les Bengalis affligés. Le
nombre des gens de Tribu tués varie de 62 à 110. D'autre part, le nombre de
Bengalis tués varie entre 120 à 400 ou plus. 370 noms de Bengalis tués ont déjà été
enregistrés. Logiquement, le nombre des gens de Tribu devrait être moins que les
Bengalis parce qu'ils (les gens de Tribu) avaient au moins une possibilité de
s'échapper, en craignant la vengeance par les Bengalis. Mais les Bengalis n'avaient
pas une telle occasion comme ils furent tout à coup attaqués d'abord par les
scélérats armés de Tribu.
Je me suis senti naturellement choqué de voir que les générations plus jeunes
dans les collines ne sauront jamais que l'on leur fait un lavage de cerveau depuis
leur naissance. Ce qu'ils sont informés, c’est soit une histoire partiale et unilatérale,
soit une fabrication complète de contrevérité. Donc, inconsciemment ils
grandissent avec une mentalité de penser de l'anti-Bangladesh. Ils n'hésitent pas

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 52


à exprimer leur attitude et impliquer dans les activités qui sont tout simplement
contre l'intérêt du Bangladesh.
De plus, très furtivement, techniquement et astucieusement, en gardant les
gens du commun inconscients, les graines d'anxiété et de la haine furent semées
dans le cerveau aux jeunes gens de collines, constamment de génération en
génération contre la conscience nationale, la nationalité, le patriotisme et les gens
bengalis. Certaines personnes, donc, sont énervées avec les efforts du
gouvernement de faire les gens de Tribu la partie de la nation, on se demande
comment l'être humain peut être un tel ingrat! Par conséquence, d’un côté, la haine
et l'anxiété augmentent dans la société et de l'autre côté, dans le dilemme de
divisions et de partitions; les gens en général sont persécutés à chaque moment.

Il y a beaucoup plus d'incidents avec lesquels les gens du commun sont


toujours trompés. La propagande est devenue une culture à CHT. La contrevérité
est pratiquée avec les sujets même extrêmement pitoyables. Une telle culture de
falsification, péché et règne animal de l'esprit ne s'ensuivra jamais rien de bon
(aucune religion du monde n’a jamais pratiqué la falsification). La contrevérité et
le péché n'ont jamais apporté de bien à aucune nation; plutôt la vérité a toujours été
victorieuse.
(Faits de Publication : Les Nouvelles de Parbattya, le 02 juin 2018).

Sources:

Amnesty International, (1986), Bangladesh : Unlawful killings and torture in Chittagong Hill Tracts ( les
Meurtres Illicites et la Torture à Chittagong Hill Tracts). Londres : Amnistie internationale.
Ali, Syed Mortaza (1996). Le Problème dans les Collines, Chattogram, Dil Monowara la Begum.
Chakma, Sharadindu Shekhor, (2002), Parbattya Chattagramer Ekal Sekal, Dhaka, Angkur Prakashani.
Chakma, Sneha Kumar, (2011), Jibonalekhya , Glimpse of my Life. (la Vision fugitive de Ma Vie),
Rangamati, Mme. Anamika Chakma.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 53


Ibrahim Mohammad, BP, le Major général (Rtd.), (2011) Parbattya Chattogram Shanti Prakria O
Paribesh-Paristhitir Mullyayan, Dhaka, Mawla Brothers.
Mohsin, Amena, (1997), la Politique de Nationalisme - le Cas de Chittagong Hill Tracts Bangladesh,
Dhaka, The University Press Limited.
Parvez, Mahfuz, (1999), Bidrohi Parbattya Chattogram O Shantichukti, Dhaka, Sandesh.
Rahman, Atiqur, (2007), Parbattya Tatthya Kosh (Hill Pedia), 3ème Partie, Parbat. Prakashani.
Rahmat, Syed Ibne, Oitihasik Bhushanchara Gonohottya Dibas Aaz, Parbattya News, le 31 mai 2014.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 54


LA DISPARITION DE KALPANA CHAKMA :
UNE ANALYSE DE CONTEXTE

C’est le cas le plus controversé, aussi bien qu'un incident bien discuté à CHT,
centré sur une dame est le cas de la disparition de Kalpana Chakma. Le fait si elle
s'est enfuie de la douleur de politique à la paix de vie normale en famille, ou a été
de plein gré enlevée ou a été vraiment enlevée toujours reste un mystère. Cela est
vraiment difficile de comprendre pourquoi cet incident est devenu une
conversation beaucoup plus parlé dans les collines.

Si certaines personnes s'opposent de considérer l'événement controversé, ils


peuvent se rappeler de ce que la Fédération Féministe dans les Collines (FFC) a
publié - « Lorsqu’il communiquent avec les journalistes le 10 février 1998 au Stade
Khagrachari après la capitulation, il (Santu Larma) déclara l'événement de Kalpana
Chakma comme l'enlèvement et le problème de Logang comme le génocide et a
adressé tous les deux comme les questions controversées›› (Paharer Ruddha
Kantha, No. 2, 2006, p. 60).
Apparemment, d'une certaine perspective de l'analyse, la question de
Kalpana Chakma est, d’un côté, un incident exceptionnellement unique dans les
Collines. D'autre part, est contrairement à l'effort commun et semblable dans la vie
quotidienne, il fut prouvé afin d’être exceptionnellement efficace et unique, mais
un incident normal. Donc, il vaut mieux de se concentrer sur les contextes réels
c'est-à-dire l’histoire cachée de l'incident, en laissant, que de déterminer la vérité
de cet incident.
En tenant compte du contexte et de l’histoire d'un incident est une condition
préalable pour découvrir ses raisons . Tout le monde avec la connaissance
commune des Collines admettra qu'aucun

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 55


des partis politiques locaux de collines n'accepte l'adversaire ou les adversaires
politiquement. Et pour n'importe quelle déviation (la désobéissance) par les
membres de parti, la punition est exécutée avec la torture physique, une amende, le
viol, l'enlèvement, même l’assassinat est une pratique commune.
En observant les enlèvements récents de Monty Chakma et de Dayasona
Chakma, beaucoup de personnes croiraient que cela n’arrive qu’à leur actuelle.
Pour leur réalisation, quelques exemples peuvent être tirés du livre de Chittagong
Hill Tracts, Shanti Bahini and Human Rights par Abu Rushd (1997, le pp 48-49) :

1. Dans un rapport (1996) intitulé « Law and order situations of three hill tract
Districts››, l'Agence de presse ‘le Service de médias’ cité d'Alok Chakma, le
Président du PCP-PGP le Comité de Résistance de Terrorisme - « le Terrorisme
de pro-Shanti Bahini groupes a apparu à un tel état que si vous opposez à eux
signifie que vous êtes pris et torturés à mort. (*PCP-Pahari Chhatra Parisad c-à-
d. Conseil d'Étudiant de Collines et Pahari Gana Parisad *PGP-c'est-à-dire
général Council de Collines).

2. Les ouvriers actifs de Comité de Résistance de Terrorisme - Sukumar Chakma,


Ruikhui Chakma et Bodhimitra Chakma furent enlevés par les ouvriers de PCP.

3. Le 12 septembre 1995 : Kalomani Chakma, le fils de Biva Basu Chakma,


Village-Pochera, Khagrachari, fut enlevé et tué par les activistes PCP.

4. Le 23 décembre 1995 : la mère de Membre de PPSP Shefalika Dewan Dhiman


Dewan et son oncle Nava Kumar Dewan furent ravis de la région Panchhari.

5. Le 24 décembre 1995 : Panchhari PCP le Secrétaire, par une lettre secrète au


Chef PCP Praseet Bikash Chakma, veut la permission de tuer le Secrétaire de
Comité de Résistance de Terrorisme Alok Chakma et les membres : Ushaun,
Arun, Alo, Debashish et Milan Chakma.

6. Le 20 janvier 1996 : le Directeur d'école primaire Pilot Farma Primiry School


fut ravi de Panchhari.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 56


Il ne faut pas prendre le temps pour comprendre que l'enlèvement ou
l'enlèvement d'une personne de tribu par une autre personne de tribu ou un groupe
sont devenus une culture dans les collines. 2389 personnes avaient été ravies et été
disparus à partir de 1976 à 1992 (Rushd, 1997, P. 64). Un autre travail de
recherche dit en passant qu'à partir de 1980 à 1991, un total de 411 bengali et de
205 personnes de tribu ont été ravis (Shelley, 1992, P. 124.).
Ayant tant d'exemples brûlants, il semble qu'il n'y a aucun besoin de prolonger
la liste d'enlèvement. Au contraire, en tenant compte du temps et du contexte de
Chakma Kalpana devrait être plus significatifs.
Au cours de l'Élection Parlementaire nationale 1996, Bijoy Ketan Chakma,
le Membre de Présidium Central, Pahari Gana Parishad (PGP) fut nommé par les
organisations de colline comme leur candidat indépendant à Rangamati. Comme
d'habitude, Bijoy Ketan donna l'ordre à PCP, PGP et HWF de diriger la campagne
pour lui.
D'autre part, les gens en général, y compris les tribus, les Bengalis et le
Comité Nagorik firent le soutien en faveur de Dipankar Talukdar proposé par le
Ligue Awami. Ces gens massifs faisaient campagne pour Dipankar. Ainsi les gens
de tribu furent divisés en deux camps de Dipankar (la Ligue d'Awami) et Bijoy
Ketan. Etant Inquiétés par la popularité d'insurrection de Dipankar, Shanti Bahini
et ses collaborateurs PCP, PGP et HWF commencèrent à menacer et interpeller les
chefs locaux, les gens communs de tribu et tous ceux qui soutinrent Dipankar.
C'est connu de la statistique qu'auparavant et après l'élection nationale de 1996,
Shanti Bahini kidnappa 35 supporters de la Ligue Awami. Voici quelques
enlèvements remarquables:
1. Le 5 juin 1996, trois (3) ouvriers du Comité Nagorik, s'est engagé dans une
campagne pour Dipankar Talukdar, furent enlevés par 13-14 membres armés
de PCP. Quatre heures plus tard, ils furent libérés avec la menace de ne pas
travailler pour Dipankar. Les gens ravis furent :
- Babu Gautam Dewan, ancien Président, Conseil de Collectivité locale de
Rangamati,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 57


- Hari Kishore Chakma, Correspondant, The Daily Bhorer Kagoj,
Rangamati,
- l'Avocat Prateem Roy Pushpa, l'ancien Secrétaire général, le Comité
Central de PCP.
2. Le 8 juin 1996, M. Karuna Mohan Chakma, ancien Président, Barkal Thana, a
été ravi de Bara Harina alors qu’il faisait campagne pour Dipankar Talukdar.
3. La veille de l'élection, les ouvriers PCP/PGP ont enlevé beaucoup de personnes
y compris:
- M. Chandra Mukh Chakma, ancien Président, Union de Naniarchar et M.
Adhipati Dewan de Kalyan Para, Naniarchar Thana.
- M. Gautam Moni Chakma, de Nayadham Para et
- M. Tushar Kanti Chakma, ancien Président, Union de Shabekshang.
4. Le 11 juin 1996, les ouvriers de PCP/PGP ont ravi trois Agents de vote de
candidat de la Ligue Awami (la nuit) de Kamalchhari à Khagrachari.
5. Le 13 juin 1996, Shanti Bahini a ravi M. Biru Chakma, Président, Union de
Shuvolong, Barkal Thana. Se référant à Biru, le magazine Azadi Quotidien de
Chattogram dit le 16 juillet 1996 qu'il fut délimité avec une lourde chaîne dans
l'enchantement dans une situation cachette. Il y avait beaucoup d'autres personnes
avec Biru dans la cachette ceux qui furent ravies par Shanti Bahini.
Dans une telle situation anormale. Kalpana Chakma faisait campagne pour
Dipankar, le candidat de la Ligue Awami, bien qu'elle ait, elle-même, fut le
Secrétaire d’Organisation au Comité Central de HWF. Par conséquent, les activités
de Kalpana créèrent un affrontement sectionnel féroce parmi les membres de
HWF. À un certain point, les terroristes de HWF l'ont menacée plusieurs fois
d'arrêter de faire campagne pour Dipankar («Est-ce Kalpana Chakma Vivant ?››
Les Nouvelles de Parbattya, Parbattya News, le 11 juin 2016).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 58


En tenant compte du susdit contexte, on voudrais poser une question aux
lecteurs savants pour répondre quant à «pourquoi l'enlèvement de Kalpana Chakma
fut indispensable ?››
Je dois ajouter pertinemment des informations pour éliminer des doutes de
l'esprit de lecteurs. Les chercheurs ont constaté qu'environ 1500 personnes furent
ravies dans les collines au cours des 20 dernières années depuis l'Accord de CHT a
été signé en 1997. Autrement dit, presque quatre mille (4000) personnes, y compris
les gens bengalis et de Tribu, furent enlevées dans la région de CHT depuis 1976.
Cela va sans dire que presque 100 % de ces enlèvements furent effectués par les
scélérats de Tribu.
(Certains plus d'exemples d'enlèvement peuvent être trouvés dans «
Protesting Abduction : Humane, Political or Commercial ?›› dans ce livre).
(Faits de Publication : livecht.com, le 9 juin 2018)

Sources :
« Asun! Banchar Ekmatra Dabi Purna Swayotto Shasoner Lorai Jordar Kori››,
(rejoignons-nous pour Renforcer notre Lutte pour l'Autonomie Complète – Celle-ci
est la seule et unique demande pour la Survivance), les Rédacteurs. Sonali
Chakma, Antorika Chakma, Kanika Dewan. Paharer Ruddho Kantha, No. 2. la
Fédération Féministe de la Colline, (2006, le février).
«Kalpana Chakma Ki Benche Achen ?›› (Est-ce que Kalpana Chakma est Vivant ?)
les Nouvelles de Parbattya ( Parbattya News), le 11 juin 2016.
Rushd Abu, Lt. (retd). (1997), ‘Parbatya Chattogram, Shanti Bahini O
Manobadhikar (CHT, Shanti Bahini et les Droits de l'homme), Dhaka, Z R
Prakashani.
Shelley Rahman Meaner. (Rédacteur), (1992), The Chittagong Hill Tracts of
Bangladesh – l'Histoire Indicible, Dhaka, le Centre pour la Recherche de
Développement, le Bangladesh (CDRB).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 59


LE CAS CURIEUX DE KALPANA CHAKMA :
ENLÈVEMENT OU S'ENFUYANT ?

Kalpana Chakma fut le plus connu pour son courage extraordinaire, de l'esprit
protestataire et de la progressivité. le Secrétaire Organisatrice de la Fédération
Féministe de Colline (HWF), le Comité Central, Kalpana Chakma fut une étoile
brillante pour le mouvement féministe dans la colline. Elle fut extraordinairement
courageuse entant que fille du feu, toujours active dans l'instauration de l'égalité
des droits féministe de la colline en accomplissant le privilège de
l'autodétermination des gens de colline.

Le manque de Kalpana Chakma, la fille de feu, a été enregistré comme one


affaire d'enlèvement. Mais l'absence de Kalpana Chakma aussi fut interprétée en
tant que drame planifié de disparition à quelques mesures. « Puisque l'on parle
tellement de la disparition Kalpana et c’est devenu one question qui ébranla le
pays, les personnes ceux qui cherchent l'opportunité (tant Bengalis que de Tribu)
sont tout à fait actives dans le pillage des avantages personnels de ça (Khisa,
2006). Comme une conséquence inévitable, la question de Kalpana Chakma
facilite à produire beaucoup d'écritures chaque année. Donc, au lieu de raconter
l'incident, cette écriture se concentre sur les raisons probables de la disparition de
Kalpana Chakma.

Demandant la punition de coupable réel pour la disparition de Kalpana


Chakma, beaucoup de réunions, démonstrations, la chaîne humaine sont survenues
et l'énorme volume d'écritures furent produit depuis plus de deux décades.
Certaines de ces écritures sont instructives, pertinentes et émotionnelles mais
beaucoup d'entre eux sont fondés sur l'illusion, la confusion et la controverse. Un
panorama de pensées illogiques et irréelles a également été remarqué dans
certaines d'entre elles. Pourtant, de la perspective de réflexion, chaque auteur a un

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 60


peu de logique. Selon leurs écritures, largement trois raisons hypothétiques
peuvent être mises pour Kalpana Chakma manquant :
1. La disparition de Kalpana pourrait être survenu en raison d'une histoire
d’amour,
2. Kalpana aurait pu être une victime de conflits de factional de son parti.
3. Kalpana aurait pu être enlevé par les forces de sécurité.
Certains pourraient se sentir ennuyés avec la susdite liste, mais puisqu'ils
sont le plus souvent trouvés dans les écritures, ils sont énumérés comme les causes
probables.
Oui, une pure histoire d’amour personnelle semble une probabilité trop
faible afin de justifier la disparition de cette fille de feu. Mais il fut réclamé par
beaucoup. Même un Conseiller du Gouvernement intérimaire a stigmatisé la
disparition de Kalpana est provoquée par une histoire d’amour. Donc pour une
bonne raison, la question doit être considéré. En analysant de différentes
informations et en lisant la littérature de journaux contemporains, on peut examiner
la justification de la possibilité que l'incident se passe en réalité, comme une
affaire du coeur peut être.
Le relatif de Kalpana Chakma, Arun Bikash, un activiste de Congrès indien
de province Arunachal, visita la maison de Kalpana plusieurs fois. Ils eurent une
relation amoureuse sans soutien de la famille de Kalpana Chakma. Avec l'aide de
Shanti Bahini contemporain et de PCP, Arun Bikash Chakma organisa un drame
d'enlèvement dans lequel Kalpana fut enlevée parce qu'elle le voulait. Beaucoup de
sources ont révélé que la famille de Kalpana fut bien consciente tant du drame que
de la réalité.
Préparé avec les documents, l'évidence et les dossiers se référant à la
Commission de Droits de l'homme en 1996, un tas de journaux ont affirmé qu’il fut
prouvé que Kalpana Chakma était resté disparue avec le soutien de ses propres
gens.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 61


Le 8 août 1996, la commission d'enquête, lors d’une conférence de presse au
Club de Presse de Dhaka, informa qu'en août en 1996, Kalpana Chakma residait à
un endroit appelé Shukre sous Gangachara Thana dans l'état de Tripura en l'Inde.
Le 9 août 1996, en citant la commission d'enquête, toutes les formes de
presse du Bangladesh ont dit que Kalpana Chakma était vivant. Ils également
révélèrent le fait que la force de sécurité n'a jamais été impliquée avec un tel
incident.
La Commission d'Enquête de Kalpana Chakma présenta de différents
documents, les clips audio et vidéos, d'un bon nombre de Tribu, des Bengalis, les
gens militaires et civils en tant qu’évidence. La Commission a interviewé un bon
nombre de défendeurs y compris les membres de famille de Kalpana Chakma : la
mère Madhabi Chakma, le cousin Chhabimoy Chakma, les voisins - Krishna
Mohan Chakma, Devashis et Satish Karbari de PCP, Hero Chakma et Nishikumar
de Shanti Bahini à Layllaghona sous Baghaichari Thana dans le district Rangamati.
D'autres interviewés furent l'ancien Conseiller, le chef de tribu et le
Président des Chefs Rangamati Hesdman B. K. Dewan, Le président de
Municipalité Rangamati et d'ex-membre de Parbattya Chattogram Jana Samhati
Samitee Moni Swapan Dewan, le Président d'Association d'Enseignants
Secondaire Diptimoy Chakma, l’Adjoint du Commissionnaire de Rangamati Shah
Alam, le Commandant de Brigade de Rangamati le Général de brigade ATM
Zahirul Alam, psc, le Président de Club de Presse de Rangamati AKM Maksud
Ahmed, TNO de Baghaichari Zahangir Alam, le Président d'Union Marishya
Azizur Rahman, responsable du Comité Baghaichari de Nagorik Shamsul Huda, le
Secrétaire de Membre Nizamuddin Baby, le Président d'Union de Rupkari Ali
Hossein, Major Atiar Rahman de la Sous-zone de Marishya et Officer
Commanding de général de 24 Division d'Infanterie et Commandant de Région ,
région de Chattogram, Major général Azizur Rahman, Bir Uttam.
Selon la mère de Kalpana Chakma, on l’a parlé à la conférence de presse :

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 62


Le 11 juin , vers 2.00 du matin, environ 10-12 personnes portant lungi se
sont approchées de la résidence de Kalpana appelant son nom et sont entrées
de force dans sa maison. Ils ont pris le frère aîné de Kalpana, Kalendra
Kumar Chakma au marais à proximité, revenus bientôt. Après cela, ils
prirent Kalpana Chakma, ses deux frères Kalendra et Khudiram (Lal Bihari
Chakma) et sont sortis. Pendant leur départ, la mère de Kalpana pourrait
entendre le sons de deux ou trois coups de feu. Environ deux heures plus
tard, les deux frères de Kalpana sont revenus sains et saufs en criant «
maman! ... maman!›› Ils informèrent que Kalpana Chakma fut emmené. La
mère de Kalpana ajouta qu'en entendant la voix, elle les avait d'abord
pensées comme des armées, mais elle n'avait jamais vu Lt Ferdaus. Elle a
admis que Kalpana avait communiqué avec elle deux fois, depuis l’incident.
La dernière fois où ils avaient communiqué, ce fut le 1 août 1996.
Pendant l'enquête, on a demandé la mère de Kalpana Chakma pourquoi
après l'enlèvement, elle et ses membres de famille ne l'ont pas dit aux voisins et ne
se sont pas inquiétés ? En réponse, la mère de Kalpana est restée silencieuse.
Les voisins de Kalpana ne pourraient dire rien de l'enlèvement ou du coup
de feu. Les maisons des deux frères de Kalpana se sont trouvaient à cent mètres de
distance. Parmi eux, la résidence d'Avijit fut adjacente à la place de baignade dans
le marais où le coup de feu et les hurlement de Kalpana se sont produits. Mais
aucun d'entre eux ne pourrait entendre quelque son. Plutôt Avijit a entendu les
nouvelles le lendemain matin. Pour noter, puisque ce fut la nuit avant l'élection
nationale, un certain nombre de personnes civiles restaient dans une école proche à
la distance de 600-700 mètres. Mais personne n'a entendu aucun son. Ceux-ci tous
représentent le doute des coups de feu, si ça s'est produit du tout. Ainsi on peut le
dire que peut-être il n'y avait aucun enlèvement, plutôt une sorte de drame pourrait
être survenu avec lequel Kalpana Chakma pourrait s'être enfui de la douleur de
politique et s'est échappée pour élever une famille dans la paix.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 63


A-t-elle, comme une élève qui fait l'école buissonnière, s'est enfuie à la vie
normale ?
Pour mener une belle vie effectivement ?
On va voir !

La déclaration de Mère de Kalpana Chakma publié dans le Journal Contemporain. (Source : The Daily Millat, Millat Quotidien,
du 9 août 1996).

Toutefois, avant l'annonce du résultat d'élection du 12 juin 1996, un Communiqué


de presse collectif, signé par Mrigangka Khisha et Bortika Chakma, en
représentant les ailes de Shanti Bahini PCP et de HWF, a dit:
« Un groupe armé d'intrus bengalis attaqua le village de Lallyaghona sous
Baghaichari Thana. Elles enlevèrent la secrétaire centrale organisatrice de la
Fédération des femmes de la colline (HWF) et entier de CHT Kalpana Chakma à
son domicile. Ils ont ouvert le feu sur ses deux frères aînés qui se sont échappés de
justesse mais furent grièvement blessés.»
(Ce communiqué est joint en annexe).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 64


Mais après l'annonce du résultat de l'élection, dès qu'il furent constaté que
Bijoy Ketan Chakma, le candidat de Shanti Bahini avait été trouvé vaincu par le
Dipankar Talukdar de la Ligue Awami; le 13 juin 1996 dans une déclaration
collective PCP, PGP et HWF ont fait une demande :
« Mme Kalpana Chakma, le Secrétaire Organisatrice central de Federation
des Femmes de Colline et ses deux frères ont été enlevés par Lt. Ferdaus a
accompagné de 10-15 militaires, de son village Lallyaghona de Baghaichari
Thana. Ils sont entrés dans la maison et l'ont enlevée avec ses deux frères. À
un moment donné, ses deux frères furent en mesure de s'enfuir et ainsi, la
malice de Lt. Ferdaus fut révélé.››
(Ce communiqué de presse est attaché comme un Appendice).
De nouveau, le 14 juin 1996, il fut mentionné dans un communiqué de
presse de PCP que Kalpana Chakma fut avec vigueur enlevé par certains soldats
militaires en portant des robes civiles, sous les fusils automatiques. Ses deux frères
furent bandés les yeux et essayés d’être tués.
Mais le 16 juin 1996, dans un Mémorandum donné au Commissionnaire
d’adjoint de Rangamati, il fut mentionné que mené par Lt Ferdaus, un groupe
militaire de 8-9 membres avec VDP PC Nurul Huq et Saleh Ahmed et certains
membres de VDP sont de force entrés dans la maison de Kalpana et emmenèrent
Kalpana et ses deux frères.
Ainsi en bref, leurs revendications sont différentes et pas constants. Le
communiqué de presse et le mémorandum ont des informations opposées. Les
ravisseurs des revendications ont changé, avec le cours du temps, endroit et
situation.
D'une autre source, il est connu que pendant l'enquête ultérieure, la police
n'a pas trouvé de vêtements, de livres ou n'importe quoi d'utilisé par Kalpana
Chakma dans sa maison. En cas d'un enlèvement forcé, les robes de Kalpana, les
livres seraient etc. normaux à la maison. Un chef si courageux comme Kalpana
Chakma, en emballant tous ses besoins quotidiens sans résistance, sans protection,
passant la cour de famille en silence, traversant la route jusqu’à la place de se
baigner

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 65


comme une fille silencieuse et gentille est trop anormal pour être justifié.
Autrement dit, il ne serait pas trop irrationnel pour réclamer qu'elle est allée
volontiers.
On dit que Khudiram Chakma, son frère, vota au cours de l'élection de
parlement le 12 juin 1996. Comment pourrait-il être normal ? Juste la nuit
précédente, sa seule soeur fut enlevée et il, lui-même, fut dans une situation sur le
point de mourir. En tenant compte de la circonstance, un homme ne sera pas dans
un état psychologique pour voter.
En ce qui concerne the Daily Prothom Alo du 14 juin 1999, dans un
prospectus du HWF le 10 juin 2006, il fut réclamé qu'un fonctionnaire de militaire
a confirmé au journaliste Abed Khan que Kalpana avait été vu par les détectives
militaires à Tripura. Même, le fonctionnaire militaire l'a confirmé à M. Abed Khan
que « Kalpana Chakma est sûrement vivant et un détective militaire l'a vue à
Tripura.
(la Source : Prothom Alo, le 14 juin 1999 et HWF, 2006).››
D'après un rapport d'investigation de Parbattya News (le 11 juin 2016)
intitulé ‘Est-ce que Kalpana Chakma Vivant ?’ il est connu que –
« un membre du comité d'enquête a été en mesure de communiquer avec
Kalpana Chakma en province Arunachal en Inde. Il a écrit une lettre à Kalpana
Chakma pour revenir au Bangladesh. En retour, Kalpana Chakma a également fait
savoir qu'elle s'est intéressée à revenir au pays. Mais elle s'est sentie menacée que
si elle revient, elle pourrait être tuée par les gens de colline. Même, la lettre de
Kalpana Chakma fut publiée dans le rapport.

La lettre de Kalpana Chakma, la Source : les Nouvelles de Parbattya, ( Parbattya News) Publiées le 11 juin 2016.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 66


Dans la lettre du 20 septembre 1999, de l'État Arunachal en Inde, Kalpana a
écrit qu'il y a presque un moist qu’elle avait été une mère. Elle ajouta qu'en raison
de son mariage contre la volonté de sa famille, elle fut forcée à bouger loin de la
patrie. Sa déclaration prouve qu'elle s'était vraiment enfuie de la politique et avait
choisi une vie de famille paisible, mais finalement elle est devenue un fugitive,
ayant la peur d'être tuée par les membres de son propre parti.
En fait, c'est difficile de deviner ce qui est arrivé au destin de Kalpana
Chakma et combien de temps ça prendra pour être révélé. Mais le susdit fait exposé
en détail mène vers la déduction que - Kalpana Chakma, aidé par PCP, quitté pour
toujours pour l'Inde avec son mari pour garder une famille et mener une vie
normale.
Les lecteurs savants sont les meilleurs pour juger à quel point ma façon d’en
pensée est fausse.
(Faits de Publication : www.prothomchattagram.com, le 14 juin 2018)
Sources:
«Abasheshe Rahashya Fansh : Kalpana Chakma Bharat-e›› (Finalement le Mystère
Divulgue : Kalpana Chakma est en Inde”), The Daily Janata, le 9 août 1996.
«Un Mois après l'Enlèvement, Kalpana Chakma n’a pas encore été Sauvée››, The Daily
Star, le 13 juillet 1996.
Bangladesh Manobadhikar commissaire Vassya Kalpana Chakma Tripuray »
(« déclaration de Commission des droits humains du Bangladesh: Kalpana Chakma est à
Tripura), The Daily Vorer Kagoj, 9 août 1996.
La Fédération des femmes de Colline (le 10 juin 2006). « Kalpana Apaharaner 10
Bachar- 24 Padatik Division Sena Sadar Avimukhe Padayatra » (10 ans de Kalpana
enlèvement: route marche vers 24 Division d’Infanterie, quartier général de militaire,
Chattogram).
«Kalpana Chakma Ekhon Tripuray : Maer Shathe Niomito Jogajog Royeche Tar››
(Kalpana Chakma est maintenant à Tripura : Il y a le contact régulier avec sa mère”), The
Daily Dinkal, le 9 août 1996.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 67


« Kalpana Chakma Jeebito Ebong Kothay Achen, Ta Tar Ma Valovabei Janen››
(Sa mère est bien consciente d'où Kalpana Chakma est vivant”, The Daily Inqilab,
le 9 août 1996.
«Kalpana Chakma Tripuray Achen, Apaharan Sajano Natak : Commissionnaire de
Manobadhikar Totthya Prakash. (« Kalpana Chakma est à Tripura, drame
d’enlèvement: Publication de Human Rights Commission), The Daily Purbakon, 9
août 1996
« Kalpana Chakma Bharate Achen » (« Kalpana Chakma est en Inde »), The Daily
Sangram, 9 août 1996.
«Kalpana Chakma Tripurar Gangachara Elakay Achen. Manobadhiker
Commission » (Kalpana Chakma est dans la région de Gangachara à Tripura.
Human Rights Commission), The daily Sakaler Khabar, 9 août 1996.
Kalpana Chakma Traced, Living in Tripura- The New Nation, le 9 août 1996
Khisha Praseet Bikash, (2005). “Kalpana Apaharan : Gota Rastrya Babosthay
Ekhono Ekti Dustu Khata”, (l'Enlèvement de Kalpana : Plaie perverse dans le
Système Entier d'État), Paharer Ruddha Kantha, 18-25.
«Maer Seekarokti Kalpana Chakma Ekhon Tripuray” (“la Confession de Mère :
Kalpana Chakma est maintenant à Tripura”), The Daily Millat Quotidien, le 9 août
1996.
«Manobadhikar Commissiomner Rapport Prakash : Parikalpitovabe Kalpana
Chakmake Nikhoj Rakha Hoyeche›› (“Le Rapport de Commission de Droits de
l'homme Publié : Kalpana Chakma a été gardé un secret, planifié››), The Daily
Sabuj Desh, le 9 août 1996.
«Sangbadik Sammelane la Commission de Manobadhikar du Bangladesh, Kalpana
Chakma Varater Tripuray›› (« la Commission de Droits de l'homme du Bangladesh
à la Conférence de presse, Kalpana Chakma est à Tripura en Inde. Les militaires ne
sont pas impliqués avec l'Enlèvement››), The daily Azad, le 9 août 1996.
Sangbad Sammelane Manobadhikar Commission, Kalpana Chakma Ekhono
Benche Achen ( «la Commission de Droits de l'homme à la Conférence de presse,
Kalpana Chakma est toujours vivant ››), The daily Lal Sabuj, le 9 août 1996.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 68


CE N'EST POSSIBLE QU’À CHITTAGONG HILL TRACTS

Le Gouvernement du Bangladesh, l'Armée du Bangladesh et la nation bengalie


montre la patience maximum possible de garantir la paix à CHT. Par
conséquences, les scélérats de Tribu existent parce que trop de patience leur avait
été démontrée. La patience du gouvernement est si beaucoup, qui est trop rarement
pratiqué dans d'autres pays du monde. Une telle tolérance est seulement possible
ici, parce que c'est le Bangladesh.
Néanmoins, c’est parti notre histoire :
Ce fut un après-midi tranquil ensoleillé. La fille de colline ville Khagrachari
a manifesté sa générocité de nature et de beauté. Les touristes et les citoyens furent
juste sur le commencement à se promener autour de la vallée de nuages et d'arc-en-
ciel. Tout à coup, deux groupes des gens ont apparu et se sont emmêlés dans un
Nœud. L'échange de coups de feu a commencé sur la route du plein jour et
subitement, la ville, qui était le Paradis, s'est transformée en enfer.
- Comment verrez-vous l'échange de coups de feu ?
- Allez-vous simplement oublier ou ignorer?
Je pense nos sens et nos valeurs ne sont toujours pas tombés si bas que nous
pouvons l'ignorer comme une question peu importante. Et, si un journal quotidien
du pays manque de signaler l'événement qui s'est produit devant les yeux des gens
et si les gens communs comme moi pose des questions à propos du niveau
professionnalisme du journal, seront-ils responsables pour une telle plainte ?
Je n'en ai aucune idée. Et je n'hésite pas à admettre mon ignorance à cet
égard.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 69


Le rapport sur l'échange de coups de feu entre les groupes terroristes à Khagrachari, publié sur Parbattya News, le 22 mai 2018.

Moi, je n'en ai également aucune idée, si un journaliste responsable, pour


n’importe quelle raison, cache une telle information ou se retient délibérément de
la publier, du coup, quelles possibilités se trouvent afin de réfléchir son honnêteté
et sa sincérité pour être plus basses dans l'échelle de professionnalisme et d'éthique
dans la norme d'attributs humains ? J'ai aussi un grand soupçon du façon de penser
des gens pour accepter n'importe quelle discussion ouverte afin d’améliorer le
professionnalisme d'une personne ou d'une organisation.
Les mots susdits parle de l'échange de coups de s’est produit entre deux
groupes de scélérats armés hier (le 22 mai 2018) à la ville Khagrachari. Les
journaux locaux ont informé que vers 1h30 de l'après-midi, 30-35 scélérats tirèrent
presque 100 cartouches de balles pour étendre la dominance sur la région. Tous les
magasins dans le marché furent définitivement fermés et certains se sont enfuis de
chez eux. Les forces de sécurité commença tout de suite à chercher dans la région
entière. Bien que le journalist ait mentionné qui aurait pu être impliqué dans cet
incident.
Mais je l’ignore parce que ces mécréants ne sont pas au centre d’intérêt de
mon écriture. Et je suis en train d’essayer simplement à attirer votre attention sur
une autre direction.
À mon avis, ceux qui l’ont fait sont tous des terroristes - peu importe que ce
soit le parti auquel ils appartiennent. Des gens

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 70


du commun ont besoin de connaître leur identité. Mais ce qui est plus nécessaire de
savoir est que des journaux largement diffusé du pays a tout simplement caché
l'occurrence.
Les scélérats ceux qui se sont engagés à l'échange de coups de feu à une
place du marché d’une ville de district en plein jour furent sûrement tous les
criminels. Mais comment devrait-on les appeler ceux qui, malgré connaissant du
fait et ayant la responsabilité professionnelle, ont simplement les gardés caché des
autres ?
Et sa raison n'est pas trop dure à deviner.
Plutôt, un tas de personnes le savent bien. Les correspondants locaux des
journaux quotidiens nationaux dans les Étendues de colline (CHT) du Bangladesh
sont les gens principalement de tribu. On constata dans des tas de cas qu'ils
hésitèrent à publier la vérité réelle de l’époque précédente aussi. Il est simplement
parce que la plupart d'entre eux sont sous la menance de scélérats de Tribu;
certains sont motivés par des avantages financiers et d’autres par des croyances
personnelles et le dilemme d'idéologies.
(Faits de Publication : www.alokitopahar.com, le 23 mai 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 71


PEUR D'AGITATION FAUSSE

L'agitation ou la confusion toujours provoque un événement trompeur. Et les


situations se trouvent extrêmement alarmantes lorsque quelqu'un utilise une
agitation fausse ou une confusion fausse pour jouer des trucs avec une
communauté ou avec une nation.
Néanmoins, ce jour-là je me suis senti vachement effrayé en voyant un poste
de Facebook le matin!
De nouveau!
Un autre épisode de Longadu ?
Ce qui est de ma faute? Un enfant brûlé craint toujours le feu. Je n'ai pas fait
brûler ma maison, mais j’ai aperçu l'horreur de l'incendie de beaucoup de indigents
et les voir toujours sont en train de brûler. Les larmes de tous-perdants continuent à
couler, en perdant tout du jour au lendemain. Oui, je répète des postes sur
Facebook d'une telle nature qui créèrent l'agitation fausse ou la confusion de
mensonges à Langadu et qui entraînèrent un massacre.
Néanmoins, s'il vous plaît, regardez le message sur Facebook et réfléchissez
si j'avais raison ou tort de me sentir effrayé.
Vous trouvez la version française ci-dessous,
« des nouvelles très urgentes et alarmantes.
Nous venons d’être informés que des centaines de colons mènent des attaques
collectives contre Sonayaga et les villages de Brata Chandra Karbari (l'Union - 1 et
Word N- 4) de la région Kaladeva. Les peuples autochtones de Tripura vivent dans
ces villages. Le village de Sonayaga fut pillé et détruit complètement vers 11h00
du soir et le village de Brata Chandra Karbari reçut

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 72


des attaques implacables, des d’agressions et des pillages exactement à
23h00. Les villageois se sont plaints que les membres BGB5 du Camp de
Chouchala local BGB également prirent part aux opérations. Les gens
Tripura du village fuient loin de leurs domaines afin de sauver leurs âmes.››

Le premier message sur Facebook à propos de l'incident de Ramgarh, le 29 juillet 2018


(collecté).

Si une personne de valeur signale sur son mur de Facebook à minuit que les colons
et les forces de sécurité sont en train d’attaquer des villages tribaux, battre et tuer
des gens… piller, brûler et détruire des centaines de maisons… des centaines de
tribus fuient avec les vies dans leurs mains… et ainsi de suite… mes lecteurs
savants sont, s'il vous plaît, à considérer –
Devrais-je là voir quelque chose à ne pas être effrayé?

___________________________________________________________
5. Border Guard Bangladesh, Garde frontière du Bangladesh, une force para militaire du Bangladesh

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 73


Si une telle de publication de Facebook pendant le minuit est suspendu par
une personne très importante (le VIP) de société, vous dites –
Ne devrait-il pas y avoir de petite raison de se sentir effrayé ?
En tout cas, je commençai immédiatement à communiquer avec les gens
pour les informations sur les régions. Les informations obtenues ont dissipé ma
peur, qui m'a déjà serré. Mais peu de temps après, une peur étrange m'a dévoré
qu'une politique impudique commencerait avec cet incident. Afin de comprendre le
fait, s'il vous plaît, jetez un coup d'œil aux postes sur facebook que j’ai vus:
Selon l'investigation de détail par différents moyens et sources, nous avons
appris, la nuit dernière à peu près 22h30 (le 30 juin 2017) une horde armée de
scélérats de Tribu demanda le péage de certains Bengalis à Kaladeba- une région
peuplée du Bengalis. En réponse à ces Bengalis à Kaladeba et avoisinant
Lamcopara (une région peuplée du Bengalis), conjointement poursuivi et fit partir.
Lorsqu’on chasse les criminels, les peuples bengalis ont traversé Sonayaga
(Tripura et Marma peuplé) et la zone de Brata Chandra Karbari Para ( Tripura
peuplé) mais ne sont pas arrivés à captiver de personne.
Alors qu’ils étaient en fuite, les extorqueurs tirèrent plusieurs
coups de feu mais aucun blessé n’a été signalé. La poursuite créa la peur
parmi les habitants des collines.
En attendant, étant annoncé des extorqueurs armés, les membres BGB du
Camp à proximité de Chouchala BGB sont arrivés à l'endroit, ont apaisé les gens
excités et leur ont demandé de bien respecter la loi. Du coup, l'incident ne pouvait
pas prendre un mauvais tour. Environ 12.00 le minuit, la région entière commença
à revenir à la normalité.
Toutefois, certains colons bengalis ont informé que quelques jours avant, les
terroristes UPDF6 demandèrent le péage illégal d'eux
__________________________________________________________________
6. Le Front démocratique des peuples unis (UPDF), l’un des partis politiques régionaux tribaux
de CHT, qui possède son propre groupe armé. Ce parti s'oppose à l'accord de CHT, ainsi qu'aux
revendications d'une autonomie totale à CHT.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 74


et menacèrent de ne pas pouvoir y vivre s’ils ne payaient pas de péages. Ils même
menacèrent d'emmener des filles bengalies.

La réunion de tenu par le bengali et les Gens de Tribu de Collines au Village de Sonayaga (la Source : Parbattya News).

Le 1 juillet 2017, vers 11h30 du matin, tous les gens, y compris des
Bengalis et des populations Tribals de la région, ont tenu une réunion dans les
locaux de l’école Sonayaga et décidèrent qu'ils ne donneront pas de péage et
s'opposeront aux scélérats. Ils levèrent la demande pour établir un camp de l’armée
ou BGB dans la localité.
Certains pourraient penser s'il y a un besoin de s’émerveiller sur une pure
question d'extorsion. J'hésite vraiment à rendre mon écriture un peu plus longue
pour ceux qui pensent comme cela. Oui, effectivement, si ce fut une question pour
une fois. Mais il se répète à plusieurs reprises. Combien de temps ? Peut-être, n’est
plus possible de supporter. Pourtant, j'essaie de clarifier la question en bref.
Je vais donner quelques exemples pour eux ceux qui ne savent pas que
Ramgarh est particulièrement chassé par les scélérats armés d'UPDF (les incidents
sont arrivés uniquement en juin 2018, aussi bien que furent publiés dans le média):
Le 5 juin : Les bloqueurs jetèrent de cocktails Molotov et la police tira 15 coups
de feu pour faire face pendant un blocus, appelé par UPDF à Ramgarh,
Khagrachari. Les bloqueurs nuisirent 2 auto pousse-pousses

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 75


de CNG , 1 tracteur Mahindra, 1 camion et a cassé le verre d'un autocar de
nuit. Certains passagers ont été blessés pendant le vandalisme.
Le 7 juin : Sans n'importe quel programme, les activistes UPDF
incendièrent une voiture à Ramgarh et brûlèrent les véhicules à Manikchari
(une région avoisinant). 24 véhicules sur 25 totaux furent nuis, Une voiture
fut brûlée et certains passagers furent blessés pendant l'atrocité de l'UPDF.
Le 9 juin : les scélérats de Tribu réduisent ont abattu plus de deux cents
arbres à gomme en plein jour dans deux phases à Dakshin Balukhali, l'union
de Patachara, Ramgarh. La raison fut un retard dans le paiement du péage.
Les terroristes avaient coupé plus de 150 arbres trois mois auparavant et
demandaient depuis longtemps de l'argent du propriétaire de verger.
Le 11 juin : un extorqueur de UPDF Jiban Chakma fut attrapé par les gens
locaux et remis au camp de BGB avec une motocyclette et un cas fut déposé
contre lui. Et d'autres hommes armés de son parti étant furieux, coupèrent
des centaines d’arbres à game d’un ancien Président de l'union Parishad. Ils
également canalisèrent son lac et pillèrent des poisson d’une valeur de Taka
50-60 mille. Ils coupèrent les lignes de la noix de coco, de feuille de laurier
et d'autres arbres sur le lac et ravagèrent 25 arbres à gommes et 30 arbres
fruitiers d'une autre personne. Pendant cette période, ils tirèrent 5-6 coups de
la balle afin de créer la panique dans la région. La victime s'est plainte que
les scélérats UPDF l'avaient constamment menacé au téléphone de retirer le
cas déposé contre Jiban Chakma et de le faire libérer, sinon tous les arbres
de son verger seraient coupées.
Ce genre d’incident s’est produit plusieurs fois auparavant. Par conséquent,
les victimes ne sont pas peu et les personnes enragées ne sont pas moins
nombreuses. Ainsi, des tas de Bengalis vivaient dans la panique.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 76


On ne peut que mentionner ici qu’en avril dernier (2018), à propos de
l’amour d’une fille Tripura, du fugue et du mariage d’un travailleur bengali de la
plantation du thé, les malfaiteurs tribaux ont enlevé 78 personnes appartenant à 19
familles de travailleurs à Ramgarh, à Khagrachari.
Permettez-moi de revenir au dernier incident du 30 juin 2018.
Étant donné qu’aucune attaque, pillage, ou attaque physique ne pourraient se
produire et personne n'a fui loin de la maison, donc je me sens l'environnement à
être confortable au moins en apparence et temporairement. Néanmoins, les effets
invisibles et extensifs de ce phénomène sent-ils vraiment réconfortants? Ou, y a-t-il
quelque chose à s’inquiétér de ?
Jour après jour, étant irrité avec l'extorsion, quand les gens levèrent la
résistance unie contre les extorqueurs, si quelqu'un, se propagent ensuite comme -
des centaines de colons attaquent, assaillent et pillent ... le village fut détruit et
pillé - je ne comprends pas ce qui devrait être fait dans de tels moments. Vraiment,
lorsque, ignorant tous les malheurs, l'antagonisme et même en abandonnant de
propres vies, les forces de sécurité avancent pour faire leurs responsabilés, si
quelqu'un écrit alors - «ces gens participent à ces attaques ››- Quoi faire n'est pas
dans ma compréhension!
Si cache la vérité réelle, les histoires fausses sont propagées comme «Très
Urgentes et des Nouvelles Alarmantes ›› et on lance même la demande de la
résistance, Je dirai que c'est vraiment alarmant. Et pour arrêter la propagation de
fabrication est devenu une plus grande responsabilité du gouvernement. C'est
alarmant parce que les gens opprimés qui ont besoin de soutenir et la sympathie,
sont par esprit de contradiction stigmatisés comme les oppresseurs par certaines
personnes. Cette tentative maléfique fut poursuivie pendant longtemps. La chose la
plus horrifique est que des tas de personnes dérivèrent dans ce flot diabolique sans
savoir l’image claire de la vérité.
C’est bien l’heure que, nous avons exposé la vérité. Je me demande que les
avantages se trouvent au présent pour nous ceux qui créent la panique avec
diffusion de peur de troubler d'agitation fausse à Chittagong Hill Tracts (CHT). En
fait, les gens qui font ce méfait peuvent ne pas comprendre

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 77


la mesure à laquelle ils en bénéficièrent. Mais ce n'est pas au-delà de leur
compréhension comme dans quelle mesure ils détruisent la paix et l'harmonie
parmi les gens en semant des graines de doute entre eux et en pensant des
questions contre la souveraineté de propre patrie.
Donc, au lieu d'induire en erreur et les gens effrayants avec l'agitation fausse
et la contrevérité, plutôt en disséminant de vraies informations et en enseignant à
tous afin de s’opposer contre l'injustice devraient être pratiqués pour l'assistance
sociale générale du pays et de la nation.
( Publication de faits: Parbattya News, le 2 juillet, 2017)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 78


LE CANARD D'OR OU « POUR RAVIR ›› ?

Qu'est-ce qui est plus profitable ?


le «Canard d'or ›› ou «pour ravir ?››
Si un enlèvement est exécuté avec succès, vous ne vous retournerez pas
pour toujours. Oui, de tels cadeaux d'enlèvement furent possibles dans nos collines.
Même les cadeaux sont en mesure de faire bonne impression plus que quelques
œufs d'or du canard d'or mythique. Vous tous savez l'histoire de canard d'or bien.
Ainsi je n'oserai pas raconter l'histoire de nouveau d'évaluer votre patience. Mais
tout de même, une question se promène dans ma tête-
«Ce qui se passerait si le canard d'or n'a pas été tué ?››

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 79


La culture d'enlèvement à CHT est si souvent pratiquée comme si les scélérats
armés de collines avaient un canard gigantesque d'or à cet âge. Et le canard d'or a
posé des œufs géants qui sont assez énormes dans la grandeur pour vous étonner.
Et les groupes d'intérêts et les terroristes de colline ne sont pas seulement
conscients de le perdre, mais ils sont aussi, effectivement, trop sérieux pour le
perdre. Ainsi, ils n'ont aucun manque d'œufs d'or. Les cadeaux (l'argent) de chaque
enlèvement pourraient être beaucoup plus hauts que le prix des oeufs d'or dans la
conte.
Par exemple, l'enlèvement le plus sensationnel de CHT est survenu le 17
janvier 1984. À ce moment-là, en enlevant les officiers étrangers de Compagnie
pétrolière de Shell, le Bahini Shanti reçut :
- Or : 22 kg (beaucoup plus lourd que les œuf d'or du conte de fées. Et
évidemment, je n'ai pas essayé de savoir le prix d'or au kg à cette époque-là).
- Argent liquide : Environ 10 million de Taka (en dollars, livres et taka,
beaucoup plus qu'un œuf d'or par jour).
- TV couleur: 1
- Chargeur : 1
- Une tente Sophistiquée (toutes les conditions météorologiques).
- Caméra : 1 (16 millimètres).
- Duplicateur : 1 .
Il y a plein de tels événements d'œuf d'or dans les collines mais personne ne
voyait jamais un oeuf d'or si grand à CHT avant 2001. En 2001, le Bahini Shanti a
enlevé deux citoyens danois et britanniques demandant 9 crores (90 millions) Taka
pour la rançon. Ces gens sont venus pour inspecter un projet de construction
routier, financé par le Danemark. La quantité de rançon est toujours un secret.
Est-ce que je suis trop monotone avec les exemples d'enlèvements ?
En réalité, l'enlèvement se fait presque chaque jour dans les collines. Et il y a
des tas d'exemples. Seulement un bon nombre d'entre eux sont trouvés dans les
médias. Pourtant, voyons une histoire récente!
Ce fut le mois de mars de 2017. Quatre techniciens d'une compagnie de téléphone
mobile furent ravis. On annonça qu'ils soient libérés

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 80


pour une rançon de quatre crore Taka (40 millions). Toutefois, la quantité d'argent
doit encore être confirmée.
L'enlèvement est également exploité au viol et à tuer comme punition pour
différentes idéologies politiques. Il ressemble à une prime avec les oeufs d'or.
Qui est hors du danger d'enlèvement ?
Le commerçant de fruit saisonnier, les étudiants, les enseignants, le cycliste
automobile, les villageois en général, le développement de gouvernement projette
l'entrepreneur, les activistes de l’ONG, des commerçants pour recharger le
téléphone portable, des représentants publics et des scélérats, personne n'est
épargné de l'enlèvement. Par tous ces enlèvements, les scélérats de Tribu gagnent
la quantité colossale d'argent comme la rançon bien que la plupart des victimes
n'aiment pas en parler. Les rapports de ces enlèvements sont trop rarement trouvés
dans les quotidiens nationaux. Les enlèvements sont surtout exécutés pour
l'extorsion; pour recueillir l'argent, bien que la raison susdite soit d'étendre la
suprématie politique. On sait également que les organisations armées gagnent
environ 500 crore Taka par an dans trois districts de Colline et l'argent est dépensé
pour les gens et pour les objectifs ci-dessous :
- les chefs des organisations,
- le salaire et les rentes d'ouvriers, fonctionnaires et employés,
- les différents types de services sociaux,
- le pot-de-vin des différents gens,
- la campagne d’anti-bengali et anti-bangladais chez nous et à l'étranger et
- des achats d’armes.
Une enquête révéla qu'après l'Accord de CHT 1997, environ mille cinq cents
(1500) gens, y compris des bengalis et des Tribus, furent enlevés à CHT. Parmi
eux, les gens de colline furent plus que les Bengalis. La plupart des enlèvements
furent faits par les membres des partis politiques locaux. Les gens de colline
inoffensifs (de Tribu) sont les victimes de la plupart des enlèvements. Ils n'osent
jamais parler un mot dû à

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 81


la peur. Et les rapports de ces enlèvements ne sont pas généralement trouvés dans
les médias. Ainsi, la plupart des cas d'enlèvement restent inconnus à tous.
Néanmoins, une fois que le canard du fermier donnait à un œuf d'or par jour.
Et, ici le taux augmenté d'enlèvements basés de rançon s'avère être un canard
massif d'or pour les scélérats de Tribu offrant une quantité colossale d'œufs d'or.
Les différences entre les canards d'or des fermiers et les canards d'or des scélérats
de Tribu sont :
- c'est beaucoup plus grand et plus rentable que le canard du fermier.
- celui du fermier est de l'imagination mais pour les scélérats c'est la réalité.
- le fermier a tué son canard, mais ici, le canard, lui-même le tueur, est bien soigné
pour grandir et s'est révélé être une menace au pays.
(Faits de Publication : livecht.com, le 17 juillet 2018).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 82


L'ÉTAT, LA SOUVERAINETÉ ET LA SÉCURITÉ
CONTRE
PARADOXE DE PROPAGANDE

D’après la jeune génération du Bangladesh, les médias sociaux sont la plateforme


d’information la plus efficace. Et le meilleur choix du jeune est le Facebook à cet
égard. Selon les estimations officielles, il y a actuellement 26 millions d'utilisateurs
de Facebook au Bangladesh (Prothom Alo, le 20 juillet 2017). Je ne suis pas sûr du
nombre de jeunes sur 26 millions, mais si la moitié d'entre eux est jeune, du coup,
plus d'un milliard de bangladais sont toujours jeunes qui considèrent le Facebook
en tant que source d'information la plus efficace. Cela signifie qu'une grande partie
de population du pays compte sur le Facebook afin de trouver les informations.

Mais est.-ce que cette dépendance à Facebook dans tous les cas est bonne?

Le fait de parler franquement, en gardant en tête quelques incidents récents


à CHT, cette question fut levée. Trop souvant cependant, permettez-moi de
mentionner seulement deux d'entre eux comme les exemples. D'autres incidents ne
sont pas apportés ici afin d’éviter de prolonger ctte discussion.

Tout d'abord.

Le 2 juin 2017, des centaines de maisons des gens de Tribu furent incendiées
à Langadu, Rangamati. On présume que certains jeunes émeutes l'ont fait
lors d'une procession, pour protester contre la mort d'un motard bengali,
nommé Nayan, tué par deux jeunes de tribu. En conséquence, des
centaines de familles tribales, ayant tout perdu du jour au lendemain,
sont devenues démunies. Plus tard, des objections furent exprimées:
dans la complexité de la politique locale, des tas de ces familles
touchées,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 83


composées de femmes et d’enfants, se heurtaient à des obstacles même
pour obtenir de l’aide gouvernementale et des soins médicaux.
Avec les bénédictions de Facebook, l'histoire s'étend chez nous et à
l'étranger, tout de suite après son occurrence, mais d'une façon fabriquée de gagner
la sympathie en faveur des gens de Tribu aussi bien que produire la haine contre la
communauté bengalise locale et les forces de sécurité. Consciemment ou
inconsciemment, les nouvelles horribles furent présentées perversement dans
certains quotidiens nationaux et internationaux. Les trois images fixes, utilisées
pour illustrer un incendie criminel à Langadu visant à susciter la sympathie pour
les tribus et la haine des Bengalis de la part des sphères nationales et
internationales, furent en réalité d'autres incidents survenus au Bangladesh.

Les articles sur Fake Fluster sur Facebook, où des images de souffle de chaudière à Tongi, d'un feu dans une
biscuiterie à Barishal et d'un incendie criminel dans le village de Santal à Gaibandha avaient été utilisées pour
illustrer l'incident criminel de Langadu. (Collecté à partir de Facebook). 7

__________________________________________________________
7. Tongi est une ville du sous-district proche de la capitale, Dhaka, approximativement 300 km de Langadu,
Rangamati. Gaibandha et Barishal sont deux villes du district, situées respectivement à environ 560 km et 300
km de Rangamati.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 84


Vérifions les images originales.

Les images originales qui ont été publiées dans les différents journaux immédiatement après l'incident.

L'autre incident fut encore plus terrible et dégoûtant.


À minuit, le 30 juin 2017, une personnalité digne de la communauté publia
sur Facebook que des centaines de Bengalis attaquaient par groupes les villages
tribaux de Ramgarh. Et les forces de sécurité y participent également. Les tribus
s’occupent de sauver une vie. Après la propagande, la personne digne a également
demandé pour la résistance, en disant –
« Seulement les larmes ne suffisent pas. Opposez-vous à eux ››.
Certains dames respectées, les messieurs et blogueurs ont partagé le
message. Par la suite, leurs disciples, sans y justifier la vérité ou le mensonge, ont
simplement aimé, ont fait des remarques et se sont étendus sur Facebook et ont
tremblé le monde.
Par conséquent, les rassemblements de protestation sont survenus à de
différentes régions contre dite occurrence à Ramgarh. Heureusement, avec un
mesure opportune prise par les forces de sécurité, l'excitation ne pouvait plus se
disperser. Autrement, je ne peux pas imaginer ce qui allait se passer. Mais tout de
même, pour penser à un autre Langdu, je simplement rétrécis.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 85


Cela doit de nouveau noter que selon l'enquête de quotidien Prothom Alo
«Pour les diverses nouvelles et les informations, les médias sociaux est l'instrument
le plus efficace›› et 96 % des personnes interrogées de l'enquête considèrent des
informations sur Facebook de une façon positive. Cela signifie qu’un milliard des
gens qui, sans aucun doute, croient en les informations Facebook, ont cru que
l'histoire fausse pour être vraie. Ces gens ne pouvaient pas savoir que le drame ne
fut pas seulement la falsification de l'esprit le plus vilain, mais aussi un faux
flamboiement de faute qui est une partie d'une large gamme d'essai de conspiration
contre la souveraineté du Bangladesh et la coexistence pacifique des gens multiples
dans la société malgré tout à la religion, la course, la politique et les idéologies.

Alors que, le fait est tout le contraire dans la réalité, qui fut découvert
quelques jours après au cours d’une enquête intensive pour savoir la vérité.

Selon les renseignements obtenues par le biais d'interviewer des gens de


Tribu et des Bengalis locaux, des représentants publics, le membre des agences des
forces de l’ordre et l'administration locale, un article dans les « Parbattya News ››
ont été publiés le 02 juillet intitulés –

« Imtiaz Mahmud- Enseignez comment protester contre l'injustice au


lieu de créer la panique en étendant l'agitation fausse c'est-à-dire la
confusion falsifiée (la Vidéo) ››.

Les informations recueillies au cours de l'enquête sont mentionnées de


nouveau :

La nuit dernière à peu près 22h30 (le 30 juin 2017) une horde armée de
scélérats de Tribu demanda le péage illégal de certains Bengalis à Kaladeba - une
région peuplé du bengali. En réponse à cela les Bengalis de Kaladeba et avoisinant
Lamcopara ( bengali peuplé), conjointement poursuivirent et firent les partir. En
poursuivant les scélérats, les gens bengalais traversèrent Sonayaga (Tripura et
Marma peuplé) et les régions de Brata Chandra Karbari Para (Tripura peuplé),
mais ont manqué de capturer quelqu'un.
Alors qu’ils furent en fuite, les extorqueurs tirèrent plusieurs coups de feu mais
aucun accidenté ne fut annoncé. La chasse créa la peur parmi les citoyens de
collines.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 86


Quelques photos capturées d’écran de la propagande s’étendent sur Facebook du fait d'incendier les maisons de tribu par les
Bengalis, BGB et les forces de sécurité à Ramgarh (Recueilli de Facebook).

En attendant, étant annoncé des extorqueurs armés, les membres de BGB du


Camp de Chouchala BGB, situé à proximité, sont arrivés à l'endroit, apaisèrent les
gens excités et leur demandèrent de ne pas se faire la justice. Par conséquent,
l'incident ne pouvait pas prendre un mauvais tour. Vers minuit, la région entière
commença à revenir à la normalité.

Pourtant, certains colons bengalais informèrent que quelques jours


auparavant, les terroristes de l’UPDF demandèrent le péage illégal d'eux et
menacèrent de ne pas y vivre, à moins que le péage illégal ne soit pas payé. Ils
même menacèrent d'emmener des filles bengalises.

Le lendemain (le 1 juillet 2017), vers 11h30 du matin tous les gens, y
compris des Bengalis et des Tribus de la région, tinrent une réunion dans les locuax
de l’école Sonayaga et décidèrent qu'ils ne donneront aucun péage et s'opposeront
aux scélérats. Ils levèrent une demande pour remettre un camp de l’armée ou de
BGB dans la localité. Pour les détails de plus de cet incident, on peut visiter http: //
goo.gl/UiveVV, où un clip vidéo contenant une interview d'un représentant public
local de Tribu est aussi là.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 87


Il n’y a que deux incidents mentionnés ici. Cette propagande anti-Bengalis
n'est rien de nouveau à CHT, plutôt, trop disponible dans les affaires courantes. Il
semble qu'il n'y en ait pas eu pour les surveiller. On essaie souvent de susciter la
haine contre la communauté bengalise dans l'esprit de communauté de Tribu par
les groupes d'intérêts particuliers des collines. Dans les deux susdits cas, le
Facebook fut utilisé comme un outil pour propager des informations fausses, créer
l'agitation fausse (la confusion) et créer des divisions dans la société en vue
d’accroître la haine réciproque entre les gens Bengalis et Tribu. Du coup, il posa
une menace profonde à l'harmonie communale de la société aussi bien que la
souveraineté du pays. Dans des tas de cas, il a été remarqué que tous ces parcelles
dégoûtants ont été exécutés par le biais de la publication de facebook.

Selon les dernières informations, le 21 juillet 2017, un homme appelé


Shafikul Islam, déposa un cas au commissariat de police de Khagrachhari contre
un avocat de la Cour suprême nommaé Imtiaz Mahmud au sujet de la loi sur les
Technologies de l'information. Nous espérons, parmi trop nombreux de cas, cette
affaire de Ramgarh ne se sentira pas perdu. Si pas tout le monde, au moins un des
colporteurs, de toute une vie de contrevérité, doit être attribué à la punition réelle.

Ces groupes extrémistes et séparatistes de scélérats de Tribu à CHT et leurs


collaborateurs étendent régulièrement la propagande détestable contre la
coexistence paisible de toutes les communautés au Bangladesh, contre l'esprit
national et le patriotisme et contre la souveraineté du pays. Côte à côte, la diffusion
de propagande provocante contre la paix, l'harmonie et la coexistence de tous les
gens, est une pratique régulière à CHT. En s'opposant à n'importe quelle sorte de
travail de développement et leur attitude d'antagoniste particulièrement vis-à-vis de
la loi et les ordres du pays sont devenus les conclusions communes à CHT.

Pour réduire cette tendance aussi bien que contrôler ces propagandistes et
également leurs collaborateurs, il n'y a aucune alternative de l'application de l'acte
de Technologie d'information en assurant

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 88


son utilisation nécessaire et utilité appropriée. Nous tenons à remercier le
gouvernement et l'administration de la police du Bangladesh parce qu'ils aident à
prendre des décisions à l’heure pour les citoyens dans l'intérêt du pays. Enfin, il
serait convenable de s'occuper de la conspiration extensive de vendre la
souveraineté de l’état. Sauver les vies humaines et les propriétés et mettre fin au
mal devraient être rendus possible par le biais de cet acte actuel.

(Faits de Publication : Parbattya News, le 22 juillet 2017)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 89


L’ARMÉE DU BANGLADESH À CHT :
COUPABLE JUSQU'À CE QUE CE SOIT INNOCENT ?

Un Bataillon des Forces Spéciales américaines (SF), en collaboration avec les


Forces Spéciales iraquiennes rencontra Jaish Al-Mahdi (JAM) l'escadron de la
mort (mieux connu comme l'armée de Mahdi) le 26 mars 2006. Comme toutes les
aautres opérations dans la guerre en Iraq, c'était une opération ordinaire – ils
conjointement pistèrent l'Armée Mahdi, entrèrent dans leur enceinte, tuèrent 16-17
et capturèrent 17. Ils trouvèrent une cache d'armes et l'ont également
détruite. Ils sauvèrent un prisonnier grièvement blessé puis ils sont
retournés au camp de base. Cette opération simple dans la guerre en Irak
attira une attention considérable des médias mondiaux. La question peut
se poser de savoir pourquoi ou comment?

Allons chercher la réponse de, Cori E. Dauber 8,

« Au moment où le SF et les forces iraquiennes sont revenus à leur enceinte,


environ une heure après avoir quitté le lieu du fusillade, quelqu'un avait
déplacé les corps et avait enlevé les fusils des bagarreurs de JAM à leur
enceinte pour qu'ils ne soient plus semblés comme s'ils étaient tombés en
tirant avec des armes. Ils ont maintenant regardé comme s'ils étaient tombés
pendant qu'à la prière. Quelqu'un avait pris des photos des corps dans ces
nouvelles poses et les images avaient été téléversées au web, avec un
communiqué de presse en expliquant que les Soldats américains

_________________________________________________________________

8. La vérité est maintenant révélée: en réponse aux opérations de désinformation et de déception des
insurgés par Cori E. Dauber, Revue militaire; Janvier / février 2009, vol. 89 Numéro 1, p13-24.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 90


étaient entrés dans une mosquée et avaient tué des hommes paisiblement à la
prière. Et tout ça avait pris environ 45 minutes. … inutile de préciser que les
médias américains et arabes ont repris l'histoire presque tout de suite.

Même avant que les soldats pourraient revenir à leur enceinte pour faire leur
rapport après l'opération, les photos et la vidéo furent presque partout au web.

« Heureusement, les forces américaines avaient été accompagnées par les


membres des unités de « caméra de combat›› et s'étaient usées 'les cames de
casque dans plusieurs cas. Ainsi les anciennes photos furent disponibles pour
contraster avec les nouvelles photos qui furent postées au web par les
membres de milice. …››

Quand même, depuis presque trois jours les américains ont essayé de ne
montrer que les faits dans les médias. La chose la plus terrible fut que la plupart
des personnes ne voulaient pas y croire. Même l'armée américaine a dû à mener
une enquête depuis un mois à ce sujet et on n'a pas permis au bataillon de prendre
part à n'importe quelle opération pendant le mois entier.

Également, les exemples de cacher la vérité réelle, d’exposer de choses


différentes ou de mentir en utilisant des médias se trouvent au Bangladesh aussi.
Pourtant, l'utilisation la plus exemplaire de créer la diffamation et de la misère pour
les autres et de créer le grand désordre social et la propagande de même contre le
pays ne trouve qu’à CHT de notre pays. En fait, les mensonges sont la pratique la
plus courante à CHT. La liste de mensonges est trop longue pour être mentionnée
ici.

Je voudrais raconter ici quelques incidents beaucoup parlés d'une nature


semblable.

Ceux qui suivent des incidents de CHT ne doivent pas avoir oublié
l'assassinat d'Eti Chakma, une étudiante au Khagrachhari Gouvernment College.
Son beau-frère, Atal Chakma, informa la police après avoir vu son corps abattu fut
à sa résidence à la région Arambagh de Khagrachari.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 91


Peu de temps après l'assassinat, les étudiants de différentes institutions éducatives
ont quitté les classes, ont mis les badges noirs, ont tenu la chaîne humaine, la
discussion, la réunion et la marche de protestation qui s'étendent au-delà de
Khagrachhari dans d'autres parties du pays, y compris Dhaka, la ville capitale.

Les rassemblements, les Défilés et la Chaîne Humaine protestant contre le Viol et l’assassinat d'Eti Chakma.

Dès le tout début, beaucoup de postes provocants ont éclaté sur le Facebook
accusant les auteurs bengalis pour le meurtre sans n'importe quelle justification.
D’une façon ridicule, quelques images d'Eti Chakma avec un jeune bengali ont
également été postées en reprochant aux Bengalis pour l'assassinat. La propagande
fut qu'Eti Chakma fut tué après le viol de gang commis par les colons musulmans
bengalais. Il ne s’arrête pas ici. Ils réclamèrent que le Bangladesh est un terrain de
viols et d'abattage où des tas de femmes indigènes avaient été violées et abattues
par les Bengalis mais aucun procès n'a eu lieu. Néanmoins, heureusement, la police
fut en mesure d'arrêter le meurtrier réel d'Eti et le violeur Tushar Chakma qui
avoua que lui et 5 autres jeunes gens de Chakma l’avainet violée et assassinée. Il
informa également qu'aucun bengali n'a été impliqué dans cet incident. À la
découverte de la vérité, tous les chefs de tribu et les manifestants sent devenus
silencieux.

Il y a beaucoup de tels cas. Je prendrais des notes claires et courtes de


quelques cas, à savoir, le cas d'assassinat

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 92


de Balati Tripura. En reprochant à trois Bengalis pour l'assassinat de Balati Tripura
à Panchari de Khagrachari, une campagne de haine contre la communauté bengalie
commença. Plus tard, il a été constaté qu'il n'y avait aucun bengali, plutôt un tribu
appelé Karbari Shadhan Tripura fut le vilain principal de l'assassinat.

Beaucoup d'entre vous pourraient avoir oublié Vishakha Chakma, une


vendeuse d'un magasin d'exposition à la ville Rangamati, qui a disparu en rentrant
chez elle après le travail. Plus tard, son corps licencié a été trouvé dans le Lac
Kaptai. Comme d'habitude, les Bengalis ont été blâmés avec la campagne, la
chaîne humaine et les rassemblements de protestation et ainsi de suite. Le drame
s’est terminé lorsqu’ il fut prouvé que certains scélérats de Tribu l'ont violée et ont
tué en présence de son mari.

Les scélérats de Tribu forçaient un bûcheron bengali, le Musulman Uddin de


Rowangchhari, Bandarban, en disant qu'il avait violé et avait tué U Prue Marma,
un enseignant de l’école de BRAC Ananda. Il a été torturé jusqu'à la mort, mais a
réclamé qu'il n'a pas violé, a fortiori tuer. Alors que, l'évidence dernière fut
constatée qu'un de Tribu appelé Bijoy Tanchanga fut le coupable.

Vous souvenez-vous de Sabita Chakma ?

Son corps fut trouvé dans un champ de récoltes près de chez elle à
Kamalchhari de Khagrachhari. Et, en conséquence, la campagne détestante
bengalie fut sur son plein essor avec la protestation éclatante, le défilé et les
démonstrations en réclamant qu'elle avait été violée et tuée par un chauffeur de
camion bengali et son assistant. Pourtant, dans l'autopsie et rétrospectif, aucune
évidence de viol ne pourrait être découverte.

La question est si la police ne pouvait pas appréhender le tueur réel d'Eti


Chakma, les Bengalis ne seraient pas reprochés pour une vie entière pour son
assassinat comme c’est le cas avec les forces de sécurité quant à la disparition de
Kalpana Chakma ? C'est clair selon les contextes et les environs de l'incident que
Kalpana Chakma fut la victime de politique de vote et de conflits sectionnels au
sein de parti comme s'est produit au destin de beaucoup de jeunes gens de Tribu.
Même un chef comme MN Larma n'a pas été épargné. Et il est toujours en cours.
Mithun Chakma est l’exemple le plus récent.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 93


En tenant compte de, pour un tel cas, c'est devenu une culture politique de CHT
pour blâmer les Bengalis et l'Armée du Bangladesh pour être coupable jusqu'à ce
que la vérité soit révélée.

N'est pas cela l'exemple le plus frappant de «Coupables jusqu'à prouver innocent ›› ?

À la plus grande surprise, chaque fois que, les scélérats de tribu sont prouvés
coupables dans le cadre de l'enquête, ces organisations tout à fait vocales de Tribu,
chefs et manifestants, alors, semblent même perdre leur voix et ne peuvent pas voir
leurs frères criminels bien qu'ils soient devant leurs yeux. Il s’agit de noter que les
gens ordinaires de Tribu n'avaient jamais de relation avec cette propagande
communale et anti-militaire. Plutôt certains partis politiques régionaux de Tribu et
leurs supporters sont toujours prêts à rendre de tels problèmes.

La feintise de l'incident réel et en montrant des images complètement


différentes n'est rien de nouveau à CHT. Certains groupes d’intérêts particuliers à
CHT font cela depuis longtemps afin de créer l'agitation fausse, c'est-à-dire la
confusion fausse. Les photos de Barisal, Tongi et les districts Gaibandha ont été
intentionnellement annoncées comme une image de Langadu, Rangamati 9 dans le
pays et à l'étranger disséminer la confusion et produire la haine contre les Bengalis
aussi bien que l'Armée du Bangladesh. Beaucoup ont été confondus et certains sont
toujours confondus avec leurs présentations délicates.

Dans cette époque, un plan semblable a été conçu avec une occurrence qui
s’est tenue à Bilaichhari, Rangamati il y a deux jours. Et l'implémentation du plan
a déjà commencé à travailler. Avec les bénédictions de différents médias sociaux,
le défilé commença à exiger le procès de deux membres militaires. D’autres
programmes vont venir. Les compatriotes attendent, en conséquence, le temps de
venir pour révéler la vérité et exposer des activités des malfaiteurs.

__________________________________________________________________
9. Tongi est une ville du sous-district proche de la capitale, Dhaka, environ 300 km de Langadu,
Rangamati. Gaibandha et Barishal sont deux villes de district, environ 560 km et 300 km de
Rangamati respectivement.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 94


Maintenant comme l’opération Walhalla, en tant que mentionné sur l'Armée
américaine en Iraq, l'Armée du Bangladesh doit également prouver que leurs
soldats sont innocents. Mais qu'est-ce qu’il y a en réalité ? Si l'enquête militaire
constate qu'aucun incident de viol est survenu et ce fut la propagande bien articulée
par des groupes ayant l’intérêt particulier, la société va le croire du tout ? Avions-
nous cru les américains en premier lieu ?

La réalité pitoyable est, avant que la vérité soit découverte et connue aux
gens du pays, des groupes ayant l’intérêt particulier étendront des postes mal
motivés à travers le monde par le biais des sites d’Internet. Et à propos de la
protestation, comme les cas d'Eti Chakma, Balati Tripura, Vishakha Chakma, U
Pru Marma ou Sabita Chakma, ils peuvent continuer à porter le badge noir, en
tenant la chaîne humaine, la discussion, la réunion, le rassemblement de
protestation, la soumission du mémorandum et ainsi de suite, qui sera étendu dans
le pays et à l'étranger. Dans cette occasion, certaines personnes dignes de la société
peuvent livrer leur parole trop importante et font quelques déclarations
émotionnelles - pour exprimer la sympathie et réaliser les intérêts des gropues
particuliers.

Il s’agit de notre demande à l'agence chargé de l’application de loi pour


découvrir la vérité réelle et exposer les coupables réels d'incident Bilaichhari aux
compatriotes. On leur demande de prendre des mesures avec la plus grande
responsabilité et la plus importance afin de garantir la paix, l'harmonie, les
situations de la loi et l’ordre, en rendant inactifs tous les efforts des forces
perverses.

(Faits de Publication : http: // www.m.mzamin.com, le 26 janvier 2018).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 95


LA SIMPLICITÉ DES GENS DE COLLINE :
C’EST UN JOUET POUR LES RARES ?

Moi, j’étais en train de regarder une vidéo d’Al-Jazeera sur le 13 février et ai vu les
« Quatre Étapes ›› faciles avec lesquels vous pouvez créer des nouvelles fausses et
étendre parmi 5 000 personnes en une demi-heure pour $54 (USD) seulement.
Autrement dit, vous commercialisez un mensonge organisé dans un format de
vérité destiné à 5 000 personnes et gagnez une croyance fausse d'eux par Taka un
(1) seul pour chacun.

Oui. C'est normal; avec les bénédictions de Facebook. Vous prenez la


conscience que comme des médias sociaux pour l'échange d'informations, le
Facebook est le premier choix de presque tous les jeunes gens du Bangladesh. On
sait qu'actuellement il y a 26 millions d'utilisateurs de Facebook dans le pays
(Prothom Alo, le 20 juillet 2017). Si la moitié d'entre eux sont considérées comme
jeunes, il implique qu'un bon nombre de jeunes gens au Bangladesh considère le
Facebook comme la source d'information la plus efficace. C'est sûrement une
énorme population qui dépend sur les informations de Facebook.

Selon le rapport d'enquête du Prothom Alo, « les Jeunes gens croient que les
médias sociaux sont la source la plus efficace de nouvelles diversifiées et
d'informations.›› Le rapport montre que 96 % des personnes intérrogées
considèrent que les informations de Facebook sont aucun doute, certainement
vrais. Donc le Facebook, quel populaire et bon marché est au Bangladesh!

Quelle horrifique le résultat ou la conséquence pourrait être si ce média


social populaire et bon marché est utilisé abusivement dans la société en tout cas!

Vous n'avez pas besoin d'aller loin pour savoir la réponse car le mauvais
usage le plus vilain de médias sociaux se produit à Chittagong Hill Tracts (CHT)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 96


au Bangladesh. Les groupes intérêts en particulier y créent régulièrement des
agitations fausses ou des préjugés (les confusions) dans le cadre de leur jeu
politique. Comme sa conséquence inévitable, un tas des gens dans notre pays ne
sait jamais la vérité, au lieu de cela, ils vivent dans une différente réalité. La peur
qui est arrivée dans l'interview de Barack Obama le 27 décembre 2017 10,

« Un des dangers de l’internet est que les gens peuvent avoir des réalités
entièrement différentes. Ils peuvent être enveloppés douillettement dans les
informations qui renforcent leurs inclinations actuelles.››

Oui, c’est ça. Si nous pensons à l'incident de Langadu, nous voyons à quel
point les nouvelles fausses s'étendaient brusquement dans le monde entier par
Facebook et les gens induits en erreur dans une direction différente. Ce message
horrifique fut dénaturé dans quelques journaux locaux et étrangers.

Les trois photos, utilisées afin de diffuser dans le monde entier pour créer la
sympathie aux tribus et à la haine pour les Bengalis, furent en réalité les images de 11,

- Incendie en raison du souffle de chaudière à Tongi le 10 septembre 2016,


- Incendie à Santal Polli, à Gaibandha le 7 février 2017 et
- Incendie au dépôt de biscuits à Barishal le 4 février 2017.
________________________________________________________________
10. « Obama prévient contre l'utilisation irresponsable des médias sociaux », le 27 décembre 2017, dans une
interview rare par le Prince Harry sur la Radio de BBC 4's Today programme, Barak Obama l’a déclaré.
Disponible à l'adresse https: // www.bbc.com/news/world-us-canada-42491638, récupéré le 2 février 2019.

11. Tongi est une ville de sous-district près de la ville capitale, Dhaka, environ 300 kms loin de Langadu,
Rangamati. Gaibandha et Barishal sont deux villes de district, environ 560 kms et 300 kms de distance de
Rangamati respectivement.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 97


Une méthode semblable a été utilisée lors d’un incident à Ramgarh le 30 juin
2017. Une dame de Tribu avec une couronne et un homme digne de la
communauté publièrent leur postes de minuit sur Facebook en disant que des
centaines de groupes bengalis attaquaient des villages de Tribu et les forces de
sécurité, également, y participaient et que les Tribals s'échappaient des villages. Ce
noble a également lancé une demande à la nation en disant:
« Non seulement des armes, mais la résistance est également exigée ››.
Le poste sur Facebook n'a pas pris de temps à être partagé. Un tas des
personnes, en craignant une autre répétition de Langadu, ont exprimé une haine
extrême pour les Bengalis. Certains ont parlé aussi les moyens de se venger.
Alors que, les faits réels furent juste opposés comme mentionés ci-dessous:
Certains scélérats armés de Tribu sont venus au village Kaladeba à Ramgarh et
ont demandé de l'argent de certaines Bengalis. En le sachant, de Kaladeba et de
Lamkopara avoisinant (de Bengalis), d'autres Bengalis se sont rassemblés et les ont
poursuivis. En poursuivant les scélérats de Tribu à travers le village de Sonayaga
(la région peuplée de Tripura et Marma ), les gens ont couru derrière les
extorqueurs jusqu'au village de Brata Chandra Karbari Para (la région peuplée de
Tripura ) mais manquèrent de concevoir quelqu'un. En attendant, les membres de
BGB qui ont appris de l'incident des villageois, sont arrivés sure place et apaisèrent
les gens en leur demandant de respecter la loi. Par conséquent, l'incident ne pouvait
pas prendre une mauvaise direction. À 12.00, on trouva la situation normale.
Le dernier exemple de cette culture de mensonges, c'est-à-dire, la création de la
peur d'agitation fausse, fut monté du problème de Bilaichhari. Les captures d’écran
de certains des messages de Facebook peut présenter les contradictions et les
provocations faites par les groupes d’intérêts particuliers. Vous n'avez pas besoin
de me croire mais regardez seulement leurs messages de Facebook :

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 98


Le message de Facebook ci-dessous, d'abord, publié le 25 janvier 2018, réclama que 5-6 Bengalis entrèrent
dans une maison d'une famille de Marma et violèrent deux soeurs adolescentes.

L’image-2 sur Facebook (la capture d'écran de Clip Vidéo) : le frère cadet de la victime répondit en la langue Marma à
un journaliste en disant qu'une personne était entrée dans la maison. Le mot « un ›› fut montré dans le sous-titre bengali de
son discours. (Source : YouTube).

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 99


Le susdit poste révèle que selon la déclaration du frère cadet de la victime,
une seule personne simple entra dans la maison.
Le premier poste (la source d'information secondaire) réclama que 5-6
personnes entrèrent dans la maison. Alors que, le deuxième poste, témoignant
du primaire (pas secondaire, à cause d'être un frère aux victimes et restant
présent sur place) réclama : « une personne ›› entra dans la maison. Des deux
postes ci-dessus des, trouvez-vous une façon de croire les informations sur le
premier poste?

Le poste contradictoire sur Facebook dans les médias sociaux à propos de la prise de deux filles
Marma dans l'otage.

Je n’ai que deux questions pour ceux qui ont écrit les susdits postes et
parlaient d'une voix de décider «Quoi ››, «Qui›› et «Comment ›› de la situation :
1. Qui essaie de prendre tous les deux filles dans la propre garde de l'hôpital
?
2. Qui est blâmé ou sont blâmés pour être coupable ?

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 100


Un poste de Facebook téléversé le 27 janvier 2018.

Veuillez noter s'il vous plaît la date du susdit poste. Oui, c’est ça, c'est le 27
janvier 2018. Néanmoins, le 25 janvier, l'émission d’une radio allemande,
Deutsche Welle (DW), revendiqué:

« Yan Yan, la reine de Chakma, se référant aux victimes, s'est


plaint que les gens portant des vêtements de l'armée
impliquaient dans le viol. L'armée rejeta la plainte, et un
membre de l'Ansar fut arrêté ››.

En citant le commandant de Bataillon Ansar, le rapport de la Deutsche Welle a


également dit-

« Un Ansar entra dans la maison et un soldat était debout à l'extérieur


de la porte. Ils n'avaient aucune autre intention sauf la recherche (la
maison). Nous avons fermé le membre Ansar ››.

S'il vous plaît, considérez la revendication du poste publiée le 27 janvier. N'était


pas il a fait délibérément même après toutes les clarifications ?
Rejoignons le dernier spectacle. Notez le poste suivant du 15 février :

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 101


l'Agitation Fausse : les Rumeurs d'enlever de deux soeurs Marma par l'Armée et la
disparition de Mme. Yan Yan réclamées sur Facebook.

Le susdit poste reflète la compétence étrange des gens de colline de mentir et


de faire l'histoire fictive y compris la tragédie. Doit-on également croire cette
agitation fausse ?

Néanmoins, la vérité est :

Le Surintendant Supplémentaire de Police, à Rangamati (ASP) SM Jahangir


confirma que deux filles Marma, torturées à Bilaichhari de Rangamati, ont
été prises par leurs gardiens. Jeudi (le 15 février) les gardiens les ont pris
dans leur propre garde. À cet égard, le Chirurgien Adjoint Civil de
Rangamati Dr Nihar Ranjan Nandi a dit, « Jeudi soir, les parents de ces deux
jeunes filles ont ponctuellement signé sur l'ordre de libération et ont reçu les
filles dans leur propre garde ››.
Croyez-vous que ceux qui téléversèrent le susdit poste de Facebook ne
savaient pas le fait réel ?
On ne peut pas constamment mentir et s'attendre les gens y croire. Mais
malheureusement, une culture de cultiver simplement des mensonges a été
pratiquée dans nos collines, effectivement, il y a une belle lurette. Il y eut un tas de
volontaires, sans compter que les filles, et beaucoup essayaient de les prendre à
leur propre garde. On verra si de tels postes sont en raison de

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 102


l'échec de leurs objectifs, ou prenant un essai de créer une autre situation pour aller
derrière la scène en cachette.
Mes chers lecteurs,
Les gens certes observent un tas de postes comme cela tous les jours.
Les gens trompé-t-ils délibérément avec les mensonges provocants ?
Y a-t-il des intérêts personnels ou d'autres sortes impliqués ?
Ou, n'est-ce pas cette indignation contre la souveraineté du Bangladesh dans
le cadre d'une conspiration invraisemblable contre la coexistence paisible de
tous les gens avec la liberté de pensée, d’opinion et d’idéologie dans notre
société?

C’est bien l’heuer que nous réfléchissions à propos de cette question.


L'une après l'autre, toutes leurs fictions contradictoires en soi se sont
révélées fausses. Je me demande si les conspirateurs ne voient pas qu’ils essaient
de faire du mensonge une réalité et que leurs mensonges se trouvent bien conçus.
On sait que les citoyens dans les collines se trouvent des gens faciles avec un esprit
simple.
Mais, les gens sont-ils si idiots qu'ils croiront constamment tous les mensonges
dissimulés dans les médias sociaux par des certaines personnes méchantes ceux qui
sont dans les collines afin de profiter le miellat de politique, c'est-à-dire, l'intérêt
personnel ? La simplicité de gens de colline n'est pas un jouet de certains scélérats
astucieux de Tribu, et les malfaiteurs, en faisant des jeux - tant comédies que
tragédies.
(Faits de Publication : Parbattya News: le 16 février 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 103


UNE HISTOIRE DE DEUX SOEURS :
LA PROPAGANDE ET LA FAIBLESSE
D'ÈRE NUMÉRIQUE

Grâce aux médias sociaux, beaucoup d'entre nous ont bien appris à propos de
l'incident des deux soeurs Marma à Bilaichhari. Les quotidiens nationaux publia
que plus de 30 organisations de droits de l'homme ont organisé des manifestations
de protestation et se sont réunies pour protester contre la torture sur deux soeurs de
Marma. Certes, je souhaite que la vie future des deux sœurs soit libre de toute
sortes de détresse. Et j’en crois que « peu de gens sont cruels, mais pas tout le
monde ››.

On dit que c’est bien de protester contre les injustes et d’exiger la justice. Mais
si une personne innocente est accusée de fausses accusations et de fausses
histoires, dans quelle mesure la demande se trouve légale et éthique elle-même?
Combien coûte-t-il simplement afin de générer de la haine envers son propre pays
sans aucune raison véritable? Comment une demande injuste devrait-elle être si
forte pour la justice? S'il vous plaît, allons regarder les images ci-dessous:

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 104


1. Une protestation tenue à New York en février de 2018. Photo : Image de Facebook 1 :
Une protestation à l'étranger en faveur de deux soeurs de Marma. Ayez un coup d'œil
plus proche s'il vous plaît, au feston jaune, 4ème de gauche, un homme le tenant.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 105


2. Une image partielle : séparée de la première photo (4ème de gauche avec le
feston jaune ). Image 2 : une image ensanglantée d'une femme a été utilisée
afin d’accuser l'armée du Bangladesh en tant que violeur. C'est une version
plus proche de la même image à laquelle votre attention fut attirée dans la
première image.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 106


2. Le poste de l'image réelle
Image 3: L’image réelle de l’incident fut utilisée dans ce poste afin de
mettre en évidence, le lien de nouvelles (http//goo.gl/c5EmRL) afin de
clarifier les incidents réels et fictifs. La photo affichée dans les nouvelles
fut à propos d’une fille qui fut massacrée en décembre 2014. L'incident
n'avait aucun lien, même le plus éloigné, avec un viol commis par
n’importe qui.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 107


Je n'ai pas beaucoup plus à montrer. Cacher la vérité et disséminer
délibérément des mensonges au pays étrangers signifie autre chose que
simplement manifester. Peu d'analyse des motifs de leur action peut aider
à la compréhension la cause d'une telle propagande. C'est l’heure pour
savoir «Qui›› et « Quoi ›› du complot d'éclosion ceux qui diffamaient
l'armée du Bangladesh et détruisaient l'image de gouvernement du
Bangladesh dans la sphère internationale. C’est bien l’heure que, les
bénéficiaires de l'agitation fausse peuvent être découverts.

L'incident Bilaichhari montre une faiblesse remarquable de l'ère


numérique actuelle dans notre société. On accepte ou pas, en créant la
confusion fausse, c'est-à-dire, cacher la vérité est le plus grand succès des
scélérats de Tribu. Ils ont prouvé que « tout est possible dans ce nouveau
monde numérique et courageux ››, en faisant même le noir blanc et vice
versa.

Dans le déguisement de manifestants, les parties intéressées en


particulier ont habilement utilisé le pouvoir des médias sociaux élégants
afin d'accumuler l'opinion favorable vers un certain objectif. Ils le font
tout le temps en présentant des mensonges dans une façon comme la
vérité et en influençant l'esprit du public par le biais de révéler ou cacher
la vérité partiellement.

L'incident également prouva que tous ceux qui sont postés sur
Facebook sont fidèles à nombreuses personnes. Et, il fut clair que les gens
de colline ont fait beaucoup de progrès dans leur stratégie de propagande.
Et une vérité très vieille s'est proposée, c’est –

« Les informations généralement trouvées à CHT est vachement


influé.››

Pourtant, la demande pour la justice contre l'injuste ne peut d'aucune


façon être soutenue si basé sur la contrevérité. Il ne faut pas oublier que la
vérité est précieuse. En partageant décontracté ou en commentant sur
Facebook, nous collaborons simplement avec le propagandiste afin de
travailler. On, donc, doit vérifier les faits et les vérités et prouver notre
propre responsabilité avant qu’on partage pour faire chanter nos propres
sentiments et aider les parties intéressées en particulier à réaliser leurs
intérêts.
(Fait de Publication : samonnoynews24.com, le 3 mars 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 108


LA PROPAGANDE À CHT :
l'AUTRE CÔTÉ DE LA PIÈCE

Je ne sais pas tout à fait quand, où et comment le rallye de la flamme s'est


produit. Ce n'est pas que je n'aie pas essayé de le savoir. En réalité, je fus
incapable de le faire. Peu importe comment il évolua, avec les torches
luisantes, il me semble toujours assez vivant que tout autre type de défilé.
Ainsi lorsqu’un média très célèbre comme Al Jazeera annonça un reportage
à propos d’une procession de torche vivant du Bangladesh, je ne pouvais pas
m'empêcher de m’en sentir intéressé. En voyant les nouvelles soulignées sur
un incident de CHT, je commença à me concentrer avec l'intérêt intensif.

Un de mes amis partagea ces nouvelles avec moi hier. Il fut publié
dans Al Jazeera le 28 février 2018. Se référant à un tas des gens locaux,
personnalités éminentes et fonctionnaires y compris des membres de forces
de sécurité, les nouvelles ont essayé d'établir –
Comment une agression sexuelle fut dissimulée à Chittagong Hill
Tracts (CHT) au Bangladesh ?
En affichant des photos du défilé, il a aussi raconté –
Comment les « gens ordinaires ›› ont-ils pris la rue pour exiger la
justice ?
En observant les nouvelles, je me suis rendu compte que les gens de Tribu avec un
groupe d'intellectuels au Bangladesh ont acquis la capacité surprenante afin de
gagner des cœurs et des esprits – tant à la maison qu'à l'étranger. Dans cette
manière, ils se présentent en tant que personnes bienveillantes, séculaires et
dévouées au droit féministe.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 109


Les nouvelles ont dépeint Chakma comme « la population persécutée du pays
basée à CHT ››. Il a orienté CHT en tant que–
« Le site, depuis des décennies, du conflit d'intensité basse entre les 13
minorités ethniques de la région d'une part et les forces armées du
Bangladesh d'autre part ››.

En citant des témoins locaux, les nouvelles aussi appelèrent


l'implémentation d'une ordonnance judiciaire de remettre les victimes à leurs
parents comme « l'enlèvement de force ››. Et ont mis en place Yan Yan en tant que
membre féminin de la population Chakma-

« Qui a lutté pour les droits de minorités ethniques ››.

Jusqu’à présent, vous devez avoir commencé à considérer sur le fait que qui
appellerait Chakma comme la population persécutée, qui dirait qu'il y a un conflit
de faible intensité entre les minorités ethniques et les forces armées du Bangladesh
et qui étiqueterait l'implémentation d'une ordonnance de la cour en tant
qu’enlèvement ? Il n'y a aucune stupéfaction si Yan Yan est considéré comme
Chakma par eux! Du coup, je pense qu’on n'a pas besoin d’avoir un super Q.I. afin
de comprendre que les nouvelles susmentionnées ne vous montrent que l’un côté
de la pièce.
Donc, avec ma connaissance limitée sur cette question que je me suis
rassemblé des sources ouvertes, je n'ose pas prouver ce qui s’est vraiment arrivé le
22 janvier. Néanmoins, en utilisant les informations disponibles, en particulier avec
les mises à jour périodiques fournies dans quelques médias sociaux (
principalement de Tribal), ce n'est pas difficile de dire comment les lecteurs mal
renseignèrent par ces nouvelles particulières.
Tout au long des nouvelles, le correspondant a fait référence à Yan Yan, des
activistes des droits et certains citoyens proéminents du pays ceux qui tous sont
déjà stigmatisés pour leur inclination déclarée à de certains groupes. Par
conséquent, il y a une mixture de mensonges avec la vérité aussi bien qu'un repaire
limité et les informations même complètement fausses

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 110


dans certains cas; qui sont conçus pour manipuler le lecteur au niveau
cognitif en soutenant des conclusions fausses.
Pour n'importe quel harcèlement sexuel, ce sont les parents qui sont censés
emmener leurs enfants à l'hôpital et porter une plainte à la police. Dans ce cas-là, le
scénario est différent. Il est impératif de permettre au lecteur de savoir-
- Pourquoi les parents ne les ont pas fait admettre à l’hôpital ?
- Pourquoi ils ne sont pas allés à la police ?
Après que certaines personnes (pas clairement identifié) aient emmené les filles
le 22 janvier, les filles ont été hospitalisées à l’hôpital de Rangamati à la fin de
l’après-midi le 23 janvier. Ce n’était toujours pas révélé ce qui s’est passé pendant
l’intervalle de 30 heures entre le temps – la disparition de deux soeurs de Marma
de chez eux sans les parents et leur admission à l’hôpital:
- Qui les ont emmenés ?
- Où est-ce qu’ils avaient été ?
- Comment est-ce qu’ils ont été traités pendant le temps ?
- Quel était leur motif pour faire admettre les filles à l'hôpital ?

Donc, il devient évident qu'intentionnellement ou pas, au lieu de la vérité


complète seulement la partie de la vérité fut révélée tout en le présentant dans son
ensemble.
On ne répond pas toujours à ces questions cruciales. Si le but fut seulement de
garantir le traitement,
- Pourquoi alors certains chefs locaux et activistes de droits de l'homme furent
tellement rapides pour emmener les filles dans leur propre garde juste le
lendemain après l'admission à l'hôpital ?
- Quel était leur motif derrière le fait de les hospitaliser ?
Leur motif est toujours un mystère. Alors, il est évident que la vérité fut
partiellement révélée; partiellement dissimulé.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 111


Posté par PCJSS sur l'incident Bilaichhari (la photo : Facebook), le 22 janvier 2018.

Les lecteurs savants sont invités de le noter et vérifier l'authenticité des


autres postes en particulier à propos de nombre de gens sont entrés dans la
maison et la présence des parents car un tas des postes fictifs furent trouvés
dans les médias sociaux et certains quotidiens nationaux sur ces questions.

Selon le susdit poste de Facebook qui fut téléversé le 22 janvier 2018, deux
membres de l'armée sont entrés dans la maison et ont forcé les parents pour
sortir de la salle. Alors, l’un d'entre eux a violé la fille et l'autre fut à la porte
avec une arme pour garder.

Alors que, selon les nouvelles publiées dans Al Jazeera le 28 février 2018,

« Yan Yan dit quatre hommes des forces de sécurité sont entrés dans
la maison de la famille de Marma au cours d’un raid à l'aube le 22
janvier. Deux d'entre eux sont entrés dans la maison où les deux
sœurs et leur frère de sept ans dormaient … les hommes se sont
relayés au viol de la sœur aînée et agressèrent sexuellement celle qui
est la plus jeune.››

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 112


On doit mentionner ici qu'il fut constaté par la suite que les parents n'étaient
pas à la maison cette nuit-là, ils s’en alla pour la culture de Jhum. Son frère cadet
qui fut présent dans la salle, étant demandée lors d’une conférence de presse, a
répondu que une seule personne est entrée dans la salle. La vidéo de la conférence
de presse, y compris le sous-titre en bengali fut téléversée dans youtube par
certaines personnes de Tribu.

En vérifiant le susdit poste de Facebook de PCJSS, il a semblé que les


informations gardées caché dans le rapport d'Al Jazeera sont :

- l'histoire fictive avait déjà commencé à affluer les médias sociaux


avant que les filles ne soient hospitalisées et
- à ce moment-là, beaucoup de personnes se sont rassemblés aux lieux
d'hôpital.

Bien qu'il y ait eu une ordonnance judiciaire de remettre les filles à leurs
parents, encore le correspondant a appelé l'implémentation une ordonnance
judiciaire par la police le 15 février comme « enlèvement de force››, référant
simplement les gens locaux. En citant l'appel en instance, la validité de
l’ordonnance judiciaire de remettre les filles à leurs parents fut mise en doute.
Pourtant, les mesures d’Yan Yan pour s'opposer à la police qui autrement exécutait
l’ordonnance judiciaire n'ont même pas été critiquées. Le motif d'Yan Yan pour
prendre la garde des filles au lieu de leurs parents et de ne pas respecter
l’ordonnance judiciaire n'est jamais remis en question.

Il pourrait seulement être parce que le correspondant alla chez les


supporters d'Yan Yan ou uniquement chez ses sympathisants; pas chez des gens du
commun. Il y eut ainsi du sens de cette histoire inégale sans tenir compte d'autres
questions pertinentes et manquant d'autres informations déjà disponibles, telles que
les nouvelles sur le rapport médical ou c’est mentionné que,

Aucune évidence de viol n'a été trouvée dans le rapport d'examen médical.

On doit noter que parmi trois (3) membres de la Commission Médicale, l’un
fut non-musulman et l’autre fut un médecin de Tribu de CHT.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 113


Il semble que le correspondant, lors qu’il travaille sur cette question, a
aveuglement cru Yan Yan et un groupe des gens qui sont ses supporters ou ses
sympathisants cette édition. Il pourrait être sous une sorte d’obligation pour ne pas
présenter la vérité réelle, mais de mélanger une vérité et observation avec la
conclusion fausse et les mensonges. Donc, la voix des parents fut gardée basse tout
au long.

N’est-il pas bizarre que les parents des filles réclament ouvertement lors de
la conférence de Presse que leurs filles ne sont « pas violées ›› mais nulle
part dans le rapport c’est mentionné ?

On effectivement donna la moindre partie d'importance aux parents des filles


tout au long du rapport. Ainsi jamais concentré de façon appropriée; ça pourrait
être une raison de tromper l'esprit de lecteurs ordinaires.

Certains chefs locaux et activistes de droits de l'homme furent considérés


plus sérieux que les parents ou que les gens du commun. Alors, j'avais un
sentiment qu'une compréhension réciproque parmi les représentants politiques, les
chefs locaux et les activistes de droits de l'homme n’était pas exceptionnelle et, au
lieu de trouver le fait réel, le correspondant aurait utilisé ses compétences afin de
renforcer de l'image héroïque d'un particulier « noble personne ››.

J'ai le plus grand choc des nouvelles dès que l'on référa le frère cadet.
Comme réclamé par le correspondant,

« D'une façon intéressante, le petit frère fut présent à la conférence de


presse et dit en langue marma que pas un, mais deux hommes,
entrèrent dans la salle ››.

Alors que le clip vidéo téléversé par le Tribu, montra le sous-titre de ce que
le garçon disait comme « ekjon en bengali ›› qui signifie « Une Personne ›› ;
souvenez-vous s'il vous plaît qu'il était « une personne ››. Cette vidéo avec le sous-
titre fut téléversée dans une page Facebook qui est bien connue pour ses activités
de propagande anti-militaires. Pourtant, le correspondant a mentionné « deux
hommes ››.
- Comment pourrait-il ?
- Pourquoi et quand un correspondant dit un mensonge et étend la traduction
fausse de la déclaration du frère de victimes ?

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 114


- Se propage-t-il activement pour les politiciens de colline et essaie toutes les
façons d'étendre des mensonges ?

D'une manière ou d'une autre, il indique que les nouvelles elles-mêmes


pourraient être un effort de désinformation et de propagande de la part du Tribu.

Étant interrogé par les journalistes assistant à la conférence de presse, sur le nombre de gens qui sont entrés dans la salle, le frère
cadet des filles répondit que seulement une personne entra dans la salle. Le sous-titre en bengali est montré sur l'écran.
Source : Youtube.

Avoir du traitement à un hôpital est essentiel pour une victime. Mais un


groupe de politiciens de colline tenta d'emmener les victimes de l'hôpital à leur
propre garde dès le tout début. Ce vrai fait a mystérieusement échoué à créer
n'importe quelle attention ou doute dans l'esprit du correspondant. À son contraire,
le correspondant, plutôt avec une voix de plainte, a dit –

« Les membres des forces armées mit l'hôpital entier sous la surveillance et
interdit les étrangers d'y pénétrer ››.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 115


Alors que, les mêmes nouvelles mentionnaient qu'une lettre signée par la
soeur aînée des filles de Marma fut rendue à l'Amnistie internationale et,
également, dit que Mme. Yan Yan, accompagnée par certains volontaires, fut
présente à l'hôpital.
- Qu’est-ce qui prouvent ces activités?
- Faut-il blâmer les organismes d’exécution de la loi pour leur refuser
d’entrer dans l'hôpital ?
- Quel est le sens extrême de mensonges fait-il ?

Même le poste de Mme. Yan Yan sur le Facebook est l'évidence afin de
prouver que certains volontaires avaient été avec les filles à l'hôpital dès le tout
début.

Lors d’écriture,
« En parlant à Al Jazeera, Yan Yan a dit quatre hommes des forces de
sécurité sont entrés dans la maison de la famille de Marma pendant un raid d'aube
le 22 janvier ››, le correspondant aurait oublié qu'il a déjà dit que deux hommes
sont entrés dans la maison que l’on avait réclamé déjà ››.

Si on l'accepte ou pas, ces nouvelles sont le témoignage du plus grand


succès du Tribu afin de créer de la confusion de ce qui est vrai ou pas. Ils
réussissent d'avérer que « Tout est possible dans ce nouveau monde numérique
courageux ››, même en faisant le jour de la nuit.

En exploitant une allégation fausse qui fut autrement faite soigneusement


par eux, ils pourraient faire n’importe quoi! Ils ont utilisé le pouvoir des médias
sociaux ouvertement aussi bien que secrètement afin de fabriquer l'opinion des
gens ordinaires de ce pays.
Une chose est certes qu'ici les faits furent sélectivement présentés, en se
mélangeant dans certains cas avec la vérité et en révélant même seulement la partie
de la vérité. Par conséquent, il n'y a aucun doute que la plupart des informations
fournies dans ces nouvelles furent influées, particulièment visé à influencer de
l'attitude de communauté ou des gens vers un objctif afin de profiter d’un groupe
d’intérêt en particulier.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 116


Cet événement mit au jour la plus grande restriction dans cette ère
d'informations de notre société, c'est-à-dire

« Quels que soit les informations qui furent généralement disponibles


sur le problème de Chittagong Hill Tracts ont fondamentalement
reflété un côté de l'histoire.››
En outre, il montra très clairement que comme l'air parfait de Tribu leurs
techniques de propagande, les forces de sécurité essaient désespérément de jouer
un jeu de rattrapage à CHT.

Comme Kevin Kwang a proclamé,

« Il y a beaucoup de gens qui croient que tout le posté sur Internet est vrai.››

En conséquence, en croyant quelque chose lors que nous partageons nos


vues, quelquefois nous tous rendons à un propagandiste. Nous devrions nous
rappeler que la vérité est précieuse. Donc, c'est une responsabilité individuelle de
faire la distinction entre la vérité et la contrevérité. En même temps, les forces de
sécurité –

« Doivent préserver et renforcer l'intégrité de leur ‘souveraineté


informationnelle’.››
Chers lecteurs, je vous ai dit que je n'allais pas prouver ce qui est arrivé le
22 janvier à Urachhari. Ainsi je n'aurai pas besoin de mentionner comment d'autres
médias ont adressé l'incident. Quelqu'un qui est désireux peut les voir. Ce qui doit
être sûr, c'est que

- Les distorsions Sélectives d'incidents sont survenues. La vérité


seulement sélective a été montrée, dans certains cas partiellement.
C'est aussi clair que la lumière du jour que la plupart portion du
rapport est influée parce que toutes leurs informations sont recueillies
d'un groupe particulier.
Aucune information n'a été vérifiée.

L'objectif principal du rapport peut être :


- pour influencer l'esprit des gens dans de certaines communautés vers un
certain but.
(Publié : www.en.globalvision24.com, Dépassé – le 9 mars 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 117


PROTESTER L'ENLÈVEMENT :
HUMAIN, POLITIQUE OU COMMERCIAL ?

Si certains malfaiteurs armés ravissent deux personnes dans la large lumière


du jour, chacun serait naturellement triste, effrayé et inquiété de la perte des
ravis. Et malgré beaucoup de peurs et anxiétés, certaines personnes
raisonnables de société protesteront du crime, les agences chargés de
l’application de la loi continueront à essayer de concevoir des ravisseurs et
sauver les ravis et réussiront aussi la plupart du temps. De nouveau, c'est
tout à fait normal dans notre société de prier pour les victimes et de
demander à haute voix pour leur sauvetage.

De telles protestations normales sont survenues à CHT, l'un après


l'autre, sur l'enlèvement de deux chefs femelles de deux partis politiques
locaux dans les collines. Dans le même ordre, un célèbre quotidien national
du pays publia des nouvelles le 2 décembre avec une triste image de la mère
d'un chef ravi. Des organisations de femmes, de jeunes et d'étudiants ont
tenu des rassemblements de protestation avec les défilés de la flamme le
même soir à Dhaka, exigeant sur 5 points particuliers et le sauvetage des
enlevés.
Presque 15 jours se sont écoulés depuis que Monty Chakma et
Doyasona Chakma ont été ravis. On a appris jusqu’à présent à partir de la
différente presse d'information, certains scélérats armés de Tribu ont ravi ces
deux chefs femelles de la Fédération des femmes de Colline, soutenue par
UPDF, du village Uparpara, Kutukchhari, la ville de district de Rangamati le
18 mars. Dharmsing Chakma, un chef d’UPDF, fut tiré par les scélérats
armés de Tribu à ce moment-là. Les scélérats armés de Tribu ont également
incendié une pièce. Une affaire fut soumise au commissariat de Rangamati
accusant 21 personnes en ce qui concerne cet incident.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 118


Parmi les suspects, le président de Naniarchar upazila Shaktiman
Chakma fut l'accusé principal et le président Tapan Jyoti Chakma alias
Barma du Parti Démocratique UPDF, nouvellement formé, fut le deuxième
accusé.
Afin de protester cet enlèvement et de demander du sauvetage des
gens ravis, les rassemblements, le défilé de la flamme et le briefing de presse
furent tenus à de différents endroits en dehors de Chittagong Hill Tracts
(CHT); y compris Dhaka. C’est pour ainsi dire que les trois organisations : le
Forum de la Jeunesse Démocratique, le Conseil d'Étudiants de Colline et la
Fédération des femmes de la colline, soutenue par Praseet Khisa menèrent
UPDF, conjointement organisé le blocus à Khagrachari et à Rangamati le 21
mars.
Pendant le blocus, l'incendie, l'attaque, le vandalisme, l'attaque de la
police a été dûment produite par leurs supporters. Un chauffeur d'auto
pousse-pousse fut blessé par le tir des scélérats de Tribu et un enfant d’un an
et demi fut lapidé et blessé dans un autre auto pousse-pousse. Le vandalisme
et le tir ont fait particulièrement sur les voitures. Les véhicules, les passagers
et les chauffeurs furent battus. En fin, une affaire fut déposée contre les 80
activistes de l'UPDF pour le vandalisme sur le blocus. L'événement ne
s’arrête pas ici; pas supposé de se terminer aussi, puisque les ravis n'ont
toujours pas été sauvés. Vous pouvez regarder les nouvelles presque tous les
jours. Pourtant, beaucoup essaient de leur mieux en exigeant le sauvetage
des deux dirigeantes à des endroits différents chaque jour. Le Facebook
tremble avec les postes et les commentaires.
En vue de cet incident, beaucoup de personnalités distinguées ont
exprimé la solidarité par la signature sur une déclaration exprimant la
condamnation sans pitié par l'e-mail contre l'injustice
et l'amnésie de gouvernement sur les meurtres, les viols et la disparition. Ils
demandèrent la punition exemplaire pour les ravisseurs et la réhabilitation
sûre immédiate des chefs ravis.
La protestation est normale. Mais ce genre de protestation n'arrive pas
toujours dans notre pays. Il est étonnamment que, même après l'enlèvement
de trop de gens dans les collines, de tels mouvements comme

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 119


la signature sur une déclaration par les personnalités distinguées à
Dhaka, exprimant la solidarité ou faisant des raportages régulièrement dans
les quotidiens nationaux ne soient pas si fréquents. Pour parler facilement,
certains des soi-disant humanistes et des personnalités distinguées de notre
société n'ont jamais ni agi ni réagi pour des centaines de victimes ravies
auparavant comme ils le font pour ces deux dames. Ça signifie que leurs
activités sont spéciales pour les personnes, les groupes ou le parti
particuliers mais pas pour les gens en général.

Néanmoins, je voudrais éviter délibérément de parler de la période


avant l'accord de paix de 1997. Selon le rapport de la Tribune Dhaka, le 27
juillet 2013, au moins 640 personnes furent ravies à CHT au cours des 13
dernières années (2001-2013). Parmi les victimes, seulement quelques-unes
pourraient revenir par la rançon mais la plupart d'entre eux ne pourraient
pas. Avons-nous jamais aperçu le mouvement si grand et se reproduisant au
cours des 10-15 dernières années comme celui du présent pour ces deux
chefs ? Je ne suis pas opposé à leurs réponses. C'est normal. Mais lorsque le
phénomène normal n'arrive pas à la plupart des cas, quelques questions
surviennent. Les questions se posent afin de découvrir l’objectif réel ou la
signification inhérente de la réaction des réactionnaires. C'est le but principal
de cet ouvrage.

Une photo de la grève s’est produite à Khagrachari (la Photo : Parbattya News)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 120


Quelques enlèvements récents à Chittagong Hill Tracts (CHT)
peuvent être illustrés pour les lecteurs afin de se concentrer :

1. Le 27 mars 2018, les scélérats armés de Tribu enlevèrent quatre


ingénieurs de Robi- une compagnie du téléphone portable, pour
l'extorsion. L'enlèvement fut sévèrement caché pendant longtemps.
On sait que les ravisseurs demandèrent une rançon de plusieurs
crores (le milliard) de Taka (Parbattya News, le 3 février 2018).

2. Quatre techniciens d'une compagnie de téléphone mobile furent


enlevés le 6 mars 2018 à la région Sadurkhil de Manikchari
Upazilla, à Rangamati. Auparavant, les extorqueurs avaient coupé
les lignes de la tour plusieurs fois pour ne pas avoir de l'argent de
péage. Plus tard, ils enlevèrent ces techniciens lors de travaux de
réparation à la tour de Robi. (Parbattya News, le 6 mars 2018).

3. Un groupe armé de scélérats enleva des enfants, des femmes et des


gens âgés entièrement 62 personnes, le 16 février 2013. The Daily
Prothom Alo (intitulé « 35 personnes libérées après 162 Jours
d'enlèvement ››, le 30 juillet 2013), informe que les gens furent ravis
pendant leur retour à la maison en bateau de locomotive après avoir
assisté à une fête du 41e anniversaire de fondation de Jana Sanghati
Samitee CHT (JSS). Les scélérats armés de Tribu, plus tard, libérèrent
neuf enfants, femmes et les gens âgés. Mais 15 personnes furent
toujours retenues en otage jusqu’à ce que les nouvelles aient été
publiées.
4. Trois officiers du département de forêt avaient été enlevés par les
scélérats de Tribu en 2014 de la région Harikata de Langadu upazila.
Vingt-deux jours plus tard (le 6 novembre), ils furent à la suite libérés
d’une opération par les forces collectives. Selon le rapport du Daily
Prothom Alo (le 8 novembre 2014), les ravisseurs demandèrent 15
lakh Taka (15,00,000) pour leur libération.
5. Le 8 juillet 2013, les scélérats armés de Tribu de collines enlevèrent
cinq (5) personnes de la région de Marishya à Baghaichari, y compris
l'ingénieur de B-technologie et demandèrent 40 lakh Taka
(40,00,000). Plus tard, pendant la négociation, lorsque la rançon
augmenta de 40,00,000 à trois crore Taka

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 121


(300,000,000), leur réunion avec les représentants de B-technologie fut
fracassée ( The Daily Prothom Alo, le 22 juillet 2013).
6. Un groupe de 8 scélérats armés de Tribu de la colline enleva un ingénieur
britannique et ses deux collègues danois demandant une rançon. Ils
libérèrent un étranger et le chauffeur de la voiture à la première phase afin
de recueillir la rançon. Quelle quantité d'argent a dû être payée finalement
pour la libération ne pouvait pas être connu (The Télégraphe, le 18 février
2001).
7. Deux citoyens bangladais, travaillant dans une organisation d'aide danoise
furent enlevés d'un village proche de Thanchi en juillet 2001 (Reuters, le 13
juillet 2007).
8. Deux touristes Bangladeshi et un guide local furent enlevés de Bilaichari à
Rangamati, le 3 octobre 2015 (The Daily sun, le 13 octobre 2015).
9. Une femme, assise à côté de son mari dans un bus, fut enlevée de la
région de Bilaichari Signboard de Guimara Upazila, le 8 septembre 2017.
Plus tard en mars 2018, les organismes d’application de la loi arrêtèrent
l'activiste de Pahari Chhatra Parisad (le conseil d'étudiant de collines)
soutenu par l’UPDF appelé Sajib Tripura. La police a appris de lui qu'ils ont
enlevé la femme au foyer Fatema Bégum et les activistes d’UPDF l'ont
violée en raison de son mariage avec une personne bengalie en changeant sa
religion (Parbattya News, le 4 mars 2018).
10. Deux chefs de Conseil d'Étudiant de Collines furent enlevés d'un hôpital
de ville de district Khagrachari en octobre 2017. Un parti politique local fut
accusé de l'occurrence (Parbattya News, le 22 octobre 2017).
11. Un organisateur de l’UPDF Michael Chakma déclara qu'après avoir
sérieusement agressé deux membres UPDF à Kamalchari de Khagrachari, un
autre supporter UPDF de Harinathpara fut enlevé par les terroristes de
Colline en novembre de 2017 (le 18 novembre 2017).
12. Sept (7) membres de l’UPDF furent enlevés de Rangamati en décembre
2009 lors de l’affichage pour le 11ème anniversaire de la fondation.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 122


UPDF accusa des scélérats armés du JSS de cet enlèvement ( The Daily
Star, le 26 décembre 2009).
13. Une objection fut levée pour avoir participé au défilé de parti opposé,
vingt (20) personnes furent ravies, y compris cinq (5) membres de l’UPDF
le 21 décembre 2017.
14. Très récemment, un livret fut publié au nom de l’UPDF démocratique,
fournissant les noms et adresses de dix-huit (18) activistes de l’UPDF. Le
livret réclame que pour être en désaccord avec la décision du parti, tous ces
18 personnes furent tuées.
15. Concernant la question de la fugue amoureuse d'une dame de Tripura
avec un ouvrier bengali de jardin de plantation du thé, les scélérats armés de
Tribu enlevèrent 78 personnes de 19 familles, y compris des enfants et des
femmes du jardin de thé Nachia à Fatikchari.
16. Un candidat d'élection Mrinal Kanti Tripura informa que sa femme
Paromita Chakma (Putuli), ses belles-soeurs dans la loi Menka Tripura et
Anuva Tripura avec trois autres ouvriers furent enlevés alors qu’elles
faisaient campagne pour un vote à la région Giriful sur la route Panchari. Il
blâma UPDF pour cet enlèvement.
De tels exemples sont innombrables. Ainsi je me retiens d'illustrer
davantage, de peur qu'ils ne doivent affecter votre patience. Au cours de 20
dernières années après l'accord de paix, environ mille cinq cents (1500) bengalis et
des gens de colline furent enlevés à CHT. Parmi les victimes, les gens de colline
sont plus nombreux. Mais un tel mouvement ne fut jamais trouvé auparavant. Les
gens de colline communs sont plus susceptibles d’être enlevés, tués ou violés par
les malfaiteurs armés des partis politiques locaux. Mais ils sont trop effrayés de
raconter les événements. Du coup, la plupart des incidents restent inconnus à tous.
Les plupart des cas d’enlèvements et le meurtre après les enlèvements n’étaient
même pas que beaucoup discuté dans les médias, et encore moins vu n’importe
quel mouvement.
Les deux dirigeantes kidnappés appartenance d’un parti politique
relativement fort, qui peut être la cause du mouvement. Cependant, chaque homme
simple de collines le sait que si la chose était opposée, à savoir:

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 123


Si les scélérats armés de Tribu d'un grand parti politique de CHT
enlèveraient les chefs de deux petits partis, aucune telle protestation n’y
pourrait plus être retrouvée.
Ces gens, maintenant montrant des réactions, n'ont pas même montré de
signe de leur existence dans beaucoup de telles occurrences comme cet
enlèvement. Sans parler de l'offre de la déclaration ou du programme, le cas
échéant, il manque des hordes opportunistes.
Même devant tout le monde à midi, après l'enlèvement d'une ménagère,
assise à côté de son mari, il n'y avait aucun discours ou déclaration exprimée
par ces féministes, activistes de droits de l'homme et ceux qui sont
distingués dégoûtants. Personne ne sentait jamais le besoin de tenir
n'importe quel défilé de torche dans les rues, en demandant la libération de
Fatema Begum ou de l'arrestation de ses ravisseurs pour une fois. Il y a des
affaires et des confessions de l'accusé; arrêté, mais il n'y a aucun son pour
demander l'arrestation ou la punition des coupables. Beaucoup de ces grands
parleurs, levant la voix aujourd'hui pour deux dirigeantes enlevées,
pourraient avoir été des camarades de Saikat Vadra ou la Rétine Chakma.
Mais ils tous sont restés silencieux dans une façon ridicule et sont toujours
silencieux de leur enlèvement, de la vente aux enchères et de viol de Retine
Chakma sauvagement. Personne ne parle de Dipa Tripura, personne ne dit
rien de ses ravisseurs et d’agression sexuelle.
Malgré des milliers de cas d'enlèvement davant leurs yeux, certaines
personnes veulent la justice pour l'enlèvement fictif de Kalpana Chakma chaque
année pour une raison assez bizarre!
C’est est juste amusant!
On donne aux lecteurs savants l'honneur de sentir et réfléchir aux raisons de
leur protestation.
(Faits de Publication : giridarpon.com, le 9 avril 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 124


L’ASSASSINATION DE ROHINGYA :
FAUSSE UTILISATION DE FACEBOOK ET
L'ABUS BENGALIS À CHT

Récemment, l'entrepreneur et chef de la direction de Facebook M. Mark


Zuckerberg a admis que le Facebook joue un rôle dans l'anéantissement continu de
Rohingya au Myanmar. Cette confession est survenue seulement après que
différentes organisations s'étaient plaintes que le Facebook avait été utilisé en tant
qu’arme principale dans la création du fond de la campagne de meurtres Rohingya.

Cela doit noter que le 22 février 2018, l'Amnistie internationale publia son
rapport annuel «les États des Droits de l'homme du Monde ›› sur les situations de
droits de l'homme de 159 pays. Il indiqua que la haine et les idéologies politiques,
propagée par les dirigeants du monde, a incité la « torture minoritaire » en Syrie et
au Myanmar. Non seulement ça, la communauté internationale a échoué à prendre
des mesures contre les crimes commis en Irak contre l’humanité, au Soudan de
Sud, en Syrie et au Yémen (The Guardian, 22 février 2016).
Marzuki Darusman, le président de la « Mission d’enquête » de l’ONU sur
les affaires de Myanmar déclara lors d’une conférence de presse, « Les médias
sociaux beaucoup contribuèrent à l’attitude hostile vers les Musulmans Rohingya
››. Il ajouta,
« Les médias sociaux au Myanmar signifient Facebook et il y a beaucoup de
commentaires négatifs ››.En revanche, un ambassadeur de la situation de
droits de l'homme au Myanmar a dit, « Nous savons que les Bouddhistes
nationalistes ont leurs propres

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 125


comptes de Facebook et ils étendent beaucoup de violence et de haine
contre Rohingya ou d'autres minorités” (Al Jazeera, le 14 mars 2018).

Il est déjà compris par tout le monde que le Facebook fut largement utilisé
dans la stimulation des idéologies antimusulmanes, antibengalaises et anti
Rohingya. Il y a un tas de cas comme les postes de Facebook avec les nouvelles de
brutalité par les militaires du Myanmar et par les extrémistes Bouddhistes furent
effacés et les histoires terriblement vraies de meurtre de Rohingya ont été cachées.
En outre, les caricatures politiques, les nouvelles fausses et fabriquées furent
publiées par le Facebook qui contribuent à la propagande de haine de Rohingya.
Par la suite, ils se propageaient trop vite parmi les gens communs.Par conséquent,
la haine de Rohingya a été créée parmi la population de Bouddhiste au Myanmar et
beaucoup ont commencé à détester la minorité musulmane d'Arakan. En
conséquence, le monde d’internet du Myanmar est devenu une foire festive de
renommée la campagne de provocation, la violence et la haine contre le Rohingya.
Finalement, le Rohingya est devenu des victimes d'une épuration ethnique planifié.
Le nombre de réfugié Rohingya inscrit au Bangladesh est 11, 02,632 jusqu'au 12
avril 2018. Peut-être, le nombre réel de victimes d’épuration ethnique - assassinat,
viol, violence contre les femmes et les enfants ne sera jamais connu.

Il est inquiétant qu'un champ semblable peut être créé dans la région de
colline du Bangladesh. Quelques postes de Facebook des gens de Tribu portent les
implications. Le Facebook est de plus en plus utilisé comme les médias principaux
de planter des graines de haine, la méfiance et le soupçon contre la nation
bengalaise. Pas seulement les gens bengalais sont leur cible, mais ces postes
essaient aussi détruire l'harmonie communale et sont en mesure de détruire des
images des agences de l’application de loi, l'administration et même le
gouvernement et l'état.
Rien ne se produit dans les collines sans étant politisé. On voit souvent que
les essais politisent chaque incident simple bien qu'il se produise sur la plaine.
Dans ce cas-là, le plus souvent, un incident réel est utilisé. En révisant l'histoire, en
mélangeant un petit mensonge, en cachant quelques faits et

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 126


en révélant une vérité partiel, la photo de l'incident est publiée. De plus,
l'utilisation de photos d'incidents précédents comme les photos du dernier incident
est une tendance commune. Les Bengalis vivant dans les collines sont des victimes
régulières de telles ruses. Cachant la portion positive, ne montrant qu’une partie
négative de nouvelles et en présentant une fiction colorée avec de légères
modifications, ils essaient de produire la haine pour les Bengalis et la sympathie
pour le Tribu.

La Propagande antibengalaise en utilisant le corps de Beauty Akhter (2018) avec l'histoire de l'assassinat de Sabita
Chakma (2014).

L’image ci-dessus montre le cadavre d'une adolescente appelée Beauty


Akter, tué à Shaestaganj de Hobiganj le 16 mars 2018. Peu de temps après
l'assassinat, les postes anti-bengalis soufflait une tempête sur Facebook. Un poste
provocant fut téléversé en ajoutant une photo du corps de Beauty Akhter (2018)
avec l'histoire de l'assassinat de Sabita Chakma (2014). En fait, le 15 février 2014,
après avoir trouvé le corps de Sabita Chakma près de sa maison, quelques
organisations de colline réclamèrent qu'elle est morte en raison du viol de gang par
les chauffeurs et les assistants de camion bengalis. Ils organisèrent l'énorme
publicité,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 127


la marche de protestation et des réunions. Même, Shahbag à Dhaka fut
déplacé avec une chaîne humaine, protestant du viol et de l'assassinat de Sabita.
Mais, après l'autopsie, on a appris qu'elle n'a pas été violée du tout.
Le blog de Nazmul Ahsan (https://www.istishon.com / ?q le noeud/19537),
intitulé :
« Le viol à Chittagong Hill Tracts (CHT) : Établissant les Bengalis comme
les violeurs, est plus désiré que la justice,›› a dit, « les Bengalis à CHT furent
les plus grandes victimes de Coup de Médias au Bangladesh ››.

Il ajouta,
« Ils ont dû porter les charges de crime dont ils n'étaient jamais responsables
du tout ››.
Se rapportant à seulement cinq incidents de CHT en 2014 en tant qu’études de cas,
il a dit,
« Certaines personnes ne souhaitent pas vraiment pour la justice contre le
viol, le crime abominable, mais veulent prouver les Bengalis comme les
violeurs en tout cas. La justice n'est pas l'inquiétude importante ici, l'objectif
principal consiste comment et combien de politiques je peux jouer avec cette
question de viol ››.

Il y a un tas de cas comme ceux de Debi Tripura, Bishakha Chakma, Upru


Marma, Ayna Chakma, Dipa Tripura, Fatema Begum et Sabita Chakma, et ainsi de
suite sur lesquels des pages Facebook furent largement utilisées afin de répandre la
haine et la malice envers les Bengalis.
Le Facebook est devenu une panique pour un grand nombre de filles dans
les collines. Pour avoir mélangé ou pris des photos avec des amis bengalis, ils se
font chahuter sur Facebook. Dans de nombreux cas, il fut constaté que leurs photos
sont téléversées sur Facebook avec les identités détaillées, à savoir: les noms, le
nom de père et les adresses qui les conduisent à une isolation sévère et à des
risques tout au long de leur vie. Ils sont également menacés par la vente aux
enchères ou le meurtre. En fait, l'attitude anti-bengali est si extrême dans les
collines que certains suggérèrent, la prostitution est préférable à l’amour ou de se
marier avec un Bengali ici.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 128


Poste anti-bengali sur facebook 1

Poste anti-bengali sur facebook 2

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 129


Poste anti-bengali sur facebook 3

Poste anti-bengali sur Facebook 4

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 130


Dans les régions de colline, la propension à la haine vers les Bengalis est arrivée à
une telle hauteur que vous ne serez pas épargnés, même si vous leur donnez votre
vie. Peu de temps après l'éboulement à Rangamati, les soldats militaires ont dû
faire face aux défis acharnés d'exécuter la mission de sauvetage. Vous savez,
récemment, un soldat est mort au cours de l'éboulement à CHT. Les soldats
essayaient leur mieux afin de sauver quelques vies de gens de colline pendant
éboulement. Lorsqu’ils eurent cette chute tragique, certaines personnes de Tribu se
sont réjouis de la mort en criant.
Qui peut triompher de la mort de leur sauveur ?
Ils ne voulurent pas annoncer leur haine pour le soldat mort sur Facebook
qui sacrifièrent de leurs propres vies pour les autres. D'autre part, la nation bengalie
fut toujours d'un grand soutien aux gens de Tribu; les accepter sans aucune
disparité de n'importe quelle sorte, au sein de la population majoritaire du pays.
Plutôt en promouvant leur développement aussi bien que la préservation de leur
propre culture, du patrimoine et la langue et ainsi de suite.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 131


Le poste anti-bengalis sur Facebook 5

L'éboulement le plus ravageur de ces dernières années s'est produit à


Rangamati en juin de 2017. Les militaires du Bangladesh furent impliqués dans la
mission de sauvetage immédiate. Cinq (05) personnes militaires, y compris un
Commandant et un Capitaine, furent martyrisés. Au pire de comportement humain,
malgré un tel sacrifice, certaines personnes de colline furent trouvées exprimer la
haine au martyred qui même leur avaient renoncé aux vies.
Même l'incident de leurs morts fut présenté avec les mensonges affreux. Ils
furent présentés comme « tyranniques et malfaisant ››, alors que, afin de les sauver
du désastre horrible, les membres de militaires du Bangladesh à Rangamati
administraient huit maisons d'abri sous la direction de l'administration du district,
où ils fournirent la nourriture à 93,381 personnes depuis plus de deux mois et
fournirent des services médicaux libres à 2257 personnes. Mais leur haine pour les
Bengalis est si intense que même la mort d'enfants bengalis aussi manqua de créer
n'importe quelle sympathie dans leur coeur.
Le 2 juin 2017, des centaines de maisons des collines furent brûlées à
Langadu de Rangamati. On estima que des jeunes indisciplinés furent responsables
de l'incendie provoqué par une procession protestant contre la mort d'un motard
bengali nommé Nayan, tué par

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 132


deux jeunes hommes des collines. En conséquence, ayant tout perdu du jour
au lendemain, des centaines de familles de collines innocentes furent contraintes de
mener une vie de misère. Plus tard, les objections furent levées qu’un grand
nombre de familles persécutées, avec les femmes, les enfants et les gens âgés, n'ont
ni reçu le relief gouvernemental, ni même le soutien médical à cause des
complexités de politique locale. Les nouvelles se sont rapidement répandues sur le
globe entier avec la grâce de Facebook, mais avec peu de déviation et
changements. Les nouvelles furent aussi légèrement dénaturées dans quelques
journaux locaux et étrangers.
Ils jouèrent le truc avec trois photos fausses pour manifester le feu à
Langadu. Les trois images, utilisées pour produire la sympathie aux gens de Tribu
et à la haine pour les Bengalis, furent vraiment les images de 3 incidents
précédents du feu survenus à trois endroits du Bangladesh pendant 2016-2017 :
1. Le feu de souffle de chaudière à Tongi (10/9/16),
2. L’incendie de Gaibandha Santal Polli (7/2/17) et,
3. L’incendie de l’entrepôt de biscuit à Barisal (4/2/17).
Il y a un tas de postes sur Facebook où le Bangladesh est devenu leur cible
d'attaque. Leur seule passion est de donner des postes de l'anti-Bangladesh et
d’abuser du pays en mélangeant la vérité, la contrevérité, la négativité et la haine
pour les Bengalis.

Le poste anti-bengalis sur facebook 6.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 133


Vous pouvez constater des milliers de postes de Facebook téléversés avec
une vue de remplir l'esprit simple des gens avec l'anxiété et la haine contre les
Bengalis. Ces postes travaillent contre tous les pas et les esprits de l'état lorsque
son gouvernement est entièrement consacré au développement de la coexistence
paisible des bengalis à la colline. Beaucoup parmi nous retarderaient de
comprendre l'horreur comme il se développe au-delà de nos connaissance.
Pourtant, la réalité ultime consiste en ce qu'avec une telle propagande anti-bengali
et une telle production de haine, le Facebook étend l'esprit de communauté dans
l'air de collines, en plus d’endommager à son harmonie existante. Les gens paisible
et simple d’esprit des collines roulent constamment dans le tourbillon de
mensonges au lieu de la vérité. Sans raisonnement ou compréhension, les gens de
la même société font face l'un à l'autre en tant qu’ennemis. Le développement et la
prospérité sont en train d’arrêter avec les trucs de conspirateurs. La sincérité et la
générosité de l'état de ses gens et tolérance religieuse de la nation deviennent
inefficaces. La nation perd l'honneur et la dignité de son esprit nationaliste dans le
monde extérieur.

Le poste anti-bengalis sur facebook 7

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 134


Il y a eu lieu un nombre total de dix (10) émeutes communales dans l'état de
Bihar en Inde dans le cadre de la célébration de Rama Navami. Selon l'analyse de
BBC ( Division hindi), l'occurrence ne peut pas être évaluée chronologiquement
sur les événements ou les incidents car le feu et la vengeance est survenue
irrésistiblement, tout à coup, sans plan pré-établi. À cet égard, le rapport détaillé de
BBC Bangla le 12 avril 2018 intitulé :
« Neuf raisons de considérer l'émeute anti-musulmane de l'Inde pré-
planifiée›› identifièrent la rumeur facebook comme une cause pour l'émeute.
Donc, tout en gardant à l’esprit l’excitation anti-Rohingya au Myanmar et
l'émeute anti-musulmane de l'Inde en tête, les mesures devraient être prises dès
maintenant pour mettre fin telle culture de facebooking étendant des rumeurs anti-
bengalis, des haines et des propagandes à CHT. Il n'y a aucune possibilité de
regarder, au contraire, plus nous nous attardons pour l'arrêter, la plus grande
détresse va tomber sur nos épaules.
(Publication: www.chttimes.com, le 17 avril, 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 135


LA CROYANCE PERSONNELLE
ET LA PRESSE D'INFORMATION

Il fut tout à fait intéressant de relire la réduction publiée dans la section choix de
l’éditeur de New Age, le 1er mai 2018. Naturellement, j'ai commencé à le lire avec
un grand enthousiasme, parce que j'avais écrit de quelques enlèvements précédents
à CHT, en plus du dernier incident à propos duquel un journal quotidien «The
New Age ›› a écrit son éditorial.
Quelqu'un, intéressé, peut consulter avec mon article à propos de
l'enlèvement à CHT intitulé « Protester contre l'enlèvement : Humain, Politique ou
Commercial ?›› dans ce liver.
Dans l'éditorial, intitulé «le Gouvernement doit enquêter sur le cas
d'enlèvement de chef de CHT ›› (le 1er mai 2018), The Daily New Age a dit,
« Dans une telle situation, le gouvernement devrait examiner les problèmes
et prendre des pas nécessaires.››
Il raconta –
« Après avoir traversé différents camps et des postes de contrôle de sécurité
alors qu'ils étaient pris à quelque part sans faire face à n'importe quel
contrôle de sécurité à aucun de ces points.››
Cela créerait une conviction parmi les gens que les forces de sécurité
auraient pu être liées à l'enlèvement. L'éditorial a ajouté que les Relations
publiques d'Inter-services (ISPR) nia avoir un tel lien.
En lisant cette histoire, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai ressenti une
mélodie de sa langue que si aucune des deux dirigeantes n’aidait, alors quelqu'un,
au moins de la part d'eux, aurait peut-être contribué à la rédaction de cet éditorial.
Néanmoins, je ne trouve rien mal avec cela. À mon avis, c'est toute notre
responsabilité humaine d'aider ou de demander la justice pour n'importe quelle

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 136


victime torturée. L'éditorial a dûment démontré l'humanité et a exprimé une
forte voix pour exiger la justice qui est absolument louable. Mais ce que je
voudrais dire, c’est que si l’on entend la voix qui est levée pour la justice, pas pour
tous, mais seulement pour certaines victimes choisies, personnes, partis ou
incidents,
Cette demande de justice peut-elle justifiée ?
Que pouvons-nous anticiper si l'inquiétude totale est concentrée sur quelques
victimes et scélérats probables au lieu de toutes les victimes et de tous les
criminels ?

Le résultat de la capture d’écran après une recherche sur le portail en ligne


du journal New Age par «Khagrachari ››, le 2 mai 2018.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 137


Je ne sais pas pourquoi il y eut une mélodie dans l'éditorial qui m’a suscité
une curiosité et m'a amené à visiter tout de suite la page Web de The Daily New
Age afin de chercher « Khagrachari ››. J'espérais voir les dernières nouvelles de
The Daily New Age avait publié sur « Khagrachari ››. À ma grande surprise, j'ai vu
que les dernières nouvelles de « Khagrachari ›› furent le blocus par les
organisations de Colline protestant contre l'enlèvement de ces deux femmes
dirigeantes publia le 22 mars 2018.
Ma curiosité augmenta un peu parce que j'avais déjà vu dans le journal que
quand aller acheter le bois à la région Maishchari de Mahalchhari upazila à
Khagrachari, trois Bengalis furent disparus le 16 avril 2018. Plus tard, la grève fut
tenue sur cette question, même les parents des gens ravis se sont plaints que-
« Les terroristes, bien qu’ils aient pris 2 lakh et 25 mille (2, 25,000) Taka,
n'a pas libéré ceux qui furent enlevés.››
Néanmoins, je ne pouvais pas trouver aucun de rapport d'eux dans la page
web de The Daily New Age page et le baromètre de ma curiosité s’est levé un peu.
J'ai essayé d'apprendre s'il y avait n'importe quoi de l'enlèvement le 16 avril, en
l'excitation après l’enlèvement, ou les nouvelles de la grève dans le même journal.
Mais, je n'ai reçu rien plus.
Plutôt, ce que j'ai constaté, c’est que quatre histoires de nouvelles furent
publiées du blocus le 21 mars 2018 appelé par les organisations de colline
protestant de l'enlèvement de chefs dirigeantes. Pourtant, malgré leur
ressemblance, le hartal qui a suivi, organisé le 23 avril appelé par les organisations
bengalies pour la protestation contre l'enlèvement de 3 bengalis, n'a reçu aucune
couverture dans le même journal.
Je ne pouvais pas comprendre comment un correspondant pourrait manquer
l'enlèvement de trois personnes et des programmes de protestation ultérieurs, y
copmpris une journée entière de hartal et des incidents similaires protestant de
l'enlèvement. Je ne pouvais pas également comprendre comment le même journal
pourrait manquer de publier un seul rapportage sur le hartal du 23 avril qui avait
publié quatre rapports à propos du blocus du 21 mars. S'il y a aucun mystère, je n'ai
rien à dire, mais laisser aux lecteurs savants.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 138


L'aube au crépuscule hartal fut tenue par Parbattya Chhatra Parisad (l'Union d'Étudiants de Colline) à Matiranga de
Khagrachari, demandant le secours de l'enlèvement de trois jeune Bengalis le 23 avril 2018, (Purbakon).

Toutefois, avec la curiosité de plus, je me suis tourné maintenant aux


archives en ligne d'un autre quotidien national anglais bien connu et bien lu de
notre pays. Il n'y avait également rien à propos d’enlèvement des Bengalis du 16
mars ou le hartal du 23 avril. Avec ma grande curiosité, ma surprise monta en haut
alors que je cherchais les versions en ligne de beaucoup d'autres journaux et à un
moment de ma recherche de web, avec plus de surprise que de curiosité, je n'ai
remarqué aucune nouvelle à propos du hartal appelé par les organisations bengalies
protestant contre l'enlèvement de trois Bengalis à Khagrachari. D'autre part, la
plupart des journaux publièrent des nouvelles du blocus, appelé par les
organisations de colline contre la protestation de l'enlèvement de deux chefs
femelles dirigeantes des collines.
Je crois que plus de telles choses se produisent chaque fois dans notre
société. Comme d'habitude, nous manquons de les voir. Malgré cela, je suis assez
sûr que je n'ai pas tort de garder la foi en journaux et également en journalistes. Ce
n'est pas juste d’avoir une méfiance perpétuelle à l’égard de tous les journaux ou
les journalistes à cause des malversations de quelques-uns. Ma conviction est tout à
fait personnelle. Il peut d'habitude y avoir les gens d’opinions différentes.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 139


Ce que nous avons appris, c’est que les gens sont sous l'influence des
informations, mais peuvent être plus influencés par les mêmes informations en
raison de sa présentation. Comment nous nous construirons en tant qu’être humain
et comment nous devrions percevoir la société et le monde dépendrait vachement
de la manière dont les informations sont créées, accentuées et présentées. Ainsi,
toutes les formes de journalisme : la radio, la télévision, l’internet, imprimé etc. ont
une influence sur nos attitudes et nos éthiques, aussi bien que les normes étiques
des autres.
(Publication Hill News, 2 mai 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 140


COUPABLE OU INNOCENT ?

Quelle conviction un homme devrait-il attendre tout en vivant ou en menant une


vie sur la terre :
Coupable, jusqu'à preuve innocent ?
Ou bien,
Innocent, jusqu'à preuve du contraire ?
Chaque drame commence à jouer «Quelque part sur la Terre ››. Beaucoup de
récits de film commencent avec un événement ou un incident se produisant dans un
cadre inconnu. Pourtant, pour les réponses aux susdites questions, j'accentuerai
certains des événements ou des incidents qui se sont produits quelque part sur cette
terre. En réalité, je ne révélerai pas l’endroit ou le lieu des occurrences.
Néanmoins, pour le but de discussion, vous pouvez considérer les événements en
tant que fictions.
L'incident: 1
L’année: 2006
Le lieu: Quelque part sur la Terre.
Une force spéciale d'un pays très puissant du premier monde attaqua au complexe
secret d'une force de milice locale. Comme beaucoup d'autres précédents, ce fut
tout à fait ordinaire comme l'opération habituelle. La force spéciale a pisté les
milices, a pénétré dans leur enceinte, a tué 16-17 et a capturé 17 d'entre eux. Ils
trouvèrent une cache d'arme et la détruisirent aussi.
Ils ont sauvé un prisonnier sérieusement blessé et ont tous déplacé de l'enceinte à
leur camp de base. Après que la force spéciale avait quitté l'endroit, les membres
fuyants de milices sont revenus, ont nettoyé l'endroit et ont enlevé les armes de
décédés, ont pris des photos et ont enregistré des vidéos dans une manière

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 141


qu'en voyant la photo, les gens croiraient qu'ils furent assassinés pendant la prière.
Les milices téléversèrent un communiqué de presse avec ces photos en
disant que la force spéciale (surtout les chrétiens) tua les musulmans à la mosquée
de sang-froid lorsqu’ils priaient. Ces vidéos étaient regardées sur l’internet avec un
choc anormal parmi les communautés musulmanes dans le monde entier.
Je pense que ce n’est pas nécessaire d’expliquer comment ses impacts
fonctionnaient.
Il n’y aucun doute, la presse arabe et anglaise l'a ramassé et a garanti une
forte diffusion à travers le monde entier. Dès que les soldats étaient revenus au
camp de base que les images sont devenues virales. Et dès que les images avaient
été regardées que les manifestations, les processions et les condamnations ont
déclenché une tempête mondiale.
Heureusement, ayant une caméra sur les casques, les soldats pourraient avoir
la vidéo de l'opération. Mais pendant les trois jours qui ont suivi, ils ont dû battre
plus durement qu’ils battaient afin de prouver uniquement la vérité aux médias
qu'ils n'avaient pas tué les musulmans au cours de la prière. Mais, pathétiquement,
personne ne les croirait. Par conséquent, le bataillon de l'armée a dû subir une
pénitence. C'est le pouvoir du drame, vous savez. Les mensonges ont le pouvoir
quelquefois.
Maintenant, si l'objection est « tuer des musulmans pendant la prière ››,
alors, la question est :
Le bataillon militaire fut-il coupable ou innocent ?
L'incident: 2
L’année: 1986
L’endroit: Quelque part sur la Terre

Un gouvernement d'un état fut obligé de déployé l'armée afin de protéger


l'intégrité d'état et de protéger ses gens innocents du mouvement séparatiste armé
et du sabotage croissant par des

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 142


séparatistes particulièrement à son sauvage, montagneux et régions frontalières
lointaines. Dans une telle région, les forces militaires construisirent les écoles pour
les gens locaux, fournirent des machines à coudre aux femmes sans défense pour
être des fermes autonomes, de pisciculture, développer des fermes piscicoles en
creusant des étangs et construire même des temples pour les activités religieuses de
la population locale.
Après quelques jours, le chef du village (le Chef) fut menacé par les groupes
armés insurgés de quitter leur patrie à un pays avoisinant en tant que réfugiés, si
non tout le monde serait tué. Mais personne n'était disposé à quitter leur patrie et a
donc cherché l’aide des armées. L'armée a donc renforcé des mesures de sécurité
autour du village.
Après une semaine, l'équipe de patrouille de l'armée fut prise en embuscade
par le groupe armé des séparatistes. Le chef de l'équipe de patrouille dans
l'embuscade a défendu aux soldats d’ouvrir le feu de peur que les villageois
innocents ne meurent dans les tirs croisés. Parallèlement, il a approché secrètement
une autre équipe de patrouille aux séparatistes par l'autre côté du village. Par la
suite, l'échange de tirs d'artillerie est survenu entre les soldats et les séparatistes.
Par conséquent, trois terroristes armés de séparatistes furent tués.
Comme le choix des séparatistes ne fut que les personnes mâles, on a permis
aux hommes du village de dormir la nuit dans le camp militaire. Et le commandant
du camp alla pourchasser les séparatistes avec d’autres soldats. En manquant de les
chercher, ils sont revenus au bout de quelques jours et virent le village entier vidé.
Il fut complètement brûlé aux cendres.
Il y a quelques jours plus tard, une lettre d'organisation de droits de l'homme
est arrivée avec une plainte que les troupes militaires mises le feu, brûlèrent toutes
les maisons aussi bien que du temple, violèrent des filles et tuèrent trois villageois
innocents.
Quel mensonge et quelle ironie dramatique ! Les protecteurs en réalité, pour
qui les enfants se précipitaient et les femmes cuisinaient de la nourriture, furent
accusés de les avoir tués et violés. Les constructeurs de maisons, d’écoles et de
temples furent blâmés d'incendier leurs propres institutions.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 143


Ce sont des soldats ceux qui n'étaient ni des forces spéciales ni ils avaient
des appareils de photo sur leurs casques. Ils n'avaient aucune façon de prouver
qu'ils ne l'avaient pas fait. Les gens qui auraient pu être les témoins avaient à cette
époque passé par un exode et étaient devenus des réfugiés au pays avoisinant. La
conséquence ou le résultat de l’incident furent par la menace de nettoyage, environ
un lakh (100 000) des habitants de la région des collines ont été faits réfugiés dans
le pays voisin par les séparatistes.

La question se pose:

L'armée était-elle coupable ou innocente?

Incident -3

Année-2018

Spot- Quelque part sur la Terre

Nous sommes sur une île- en réalité, séparés par un cercle d’eau ségrégatif,
systématisés par les scélérats armés.

Ici, les gens communs sont devenus opprimés et écœuré avec la torture par
les scélérats armés terribles. Cette région est submergée et le seul moyen de
communication est soit un bateau, soit un bateau à moteur. Mais avec une demande
pour l'énorme argent de péage, les scélérats armés ont coupé la communication et
maintenant nous sommes séparés du globe. Vous pouvez plutôt nous appeler un
satellite de la terre de planète qui ne bouge pas; notre terre de mère bien aimé.
Depuis presque un mois, le seul marché fut contraint de fermer ses portes. En
attendant, quelques meurtres se sont produits.

Dans ces circonstances, le jeune officier militaire du camp local a lancé des
opérations. Il pourrait arrêter certains des scélérats armés. En suivant les
opérations, il eut l'information que plus de scélérats armés passeront probablement
la nuit dans un village proche. Le jeune officier a lancé une opération rapide, mais
a manqué de capturer quelqu'un. Au cours de la perquisition dans le cadre d’une
telle opération, un membre de l'équipe de patrouille a constaté qu'une pièce en tant
qu’ antre n'ayant aucune clôture sur deux côtés, plutôt seulement deux morceaux
de vêtements pour se couvrir. À l'intérieur du soi-disant antre, certaines personnes
furent allongées dans les couvertures dans l'obscurité. Pour garantir l'identité des

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 144


gens qui couvraient, tout en voyant leurs visages, la main d’un membre d'équipe
fut touchée avec une fille d'adolescent qui commença à pleurer de peur. Le jeune
officier qui fut dans la pièce proche a couru et a vu une jeune fille qui pleure à la
porte. En enquêtant le détail devant les villageois présents, il fut confirmé qu’il n’y
avait rien de plus qu'un contact de mains s'est vraiment produit. Pourtant, comme
le membre d'équipe de patrouille entra dans la maison dans l'obscurité sans
permission, l'officier, devant les villageois, a promis de prendre des mesures
appropriées contre lui. Lors de leur retour au camp, l'officier a informé le chef du
village à propos de l'incident en détail pour que tout le monde soit au courant du
fait.
Le lendemain, le quartier général demanda à savoir ce qui est arrivé cette
nuit-là, parce que le parti politique locale avait publié un communiqué de presse
réclamant que deux soeurs d'adolescent furent violées cette nuit-là, en gardant leurs
parents verrouillés à l'extérieur de la maison avec les armes. En attendant, les
organisations de droits de l'homme ont rendu cet incident plus grand en soulevant
de l'air dans le ballon de protestation et en le faisant sauter à travers le pays avec un
tas de bruit et le défilé de torche dans la capitale du pays et dans le monde
extérieur, veillant afin de créer l'humiliation et des obstacles contre le pays et la
nation.
Quelle ironie de destin! Au bout de quelques jours, il fut confirmé que les
parents des filles étaient à l'extérieur du village cette nuit-là. Il n'y eut aucune
possibilité de viol de gang, car une seule personne entra dans la pièce. Et il n'y
avait aucun signe de bousculade physique sur le corps de la soeur aînée, et la soeur
cadette fut simplement intacte. Une équipe d'enquête de la Commission de Droits
de l'Homme (HRC) interrogea toutes les personnes ceux qui ont impliqué dans
l'incident, a examiné le rapport médical et s’est rendu compte que les plaignants
furent si excités, si influés et vocaux sur la base des informations fausses (les
mensonges affreux) qu'ils ne pouvaient pas s'opposer à l'émotion de porter la
plainte.
Évidemment, l'équipe de patrouille s’est révélée innocente, mais n'a
vraiment reçu ni aucune couverture, ni publicité à cause de l'amnésie ou de la
nature énigmatique des médias (vous avez déjà vu comment ils

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 145


ont traité l'enlèvement de 3 Bengalis à Matiranga dans l'article précédent).
Personne n'a senti le besoin d'être si sérieux pour exposer la vérité que les
concepteurs de théâtre étaient en train de dramatiser la fiction de :
Les oreilles parties, au-delà de la vue ?
Couru seulement après le cerf-volant…
S'il vous plaît, pensez à l'officier et aux membres innocents de son équipe
de patrouille. Si les filles n'étaient pas hospitalisées à l’heure et examinées et
trouvées intactes, l'équipe de patrouille ne resterait pas impunie et libre. Ils
devraient tous passer par les épreuves difficiles afin de se prouver :
Coupable ou innocent ?
L'incident – 4
L’année: 1996
L’endroit: Quelque part sur la Terre
Cette fois aussi le héros de l'incident est un jeune officier militaire qui a
déjà lancé quelques opérations réussies dans la région et est devenu le champion de
bienveillance aux citoyens, mais un ennemi véritable aux chefs politiques et aux
partis locaux. Il fut reproché pour ravir une femme progressive et protestante locale
la nuit précédant de l'élection nationale du pays en 1996.
Selon l'histoire, deux frères de dirigeante furent pris de la maison et furent
tirés vers 2.00 du matin. Mais deux autres frères d'entre eux, d'une distance
d'environ 200 pieds seulement, ne pouvaient pas entendre de son. Même à 700-800
yards de distance de l’endroit, environ 90 personnes, y compris des fonctionnaires
d'administration civils se sont engagées dans la mission électorale, ne pouvait pas
aussi entendre un bruit.
D'autre part, les vêtements, les livres et d'autres choses quotidiennes de la
dame ravie n'ont pas été retrouvés chez elle après son enlèvement comme si les
ravisseurs l'avaient enlevée avec toutes ses choses quotidiennes.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 146


Ce n'est pas la fin ici. C'était l’époque d'élection de parlement nationale,
1996. La dirigeante faisait campagne pour le candidat de Ligue Awami contre les
décisions de son propre parti. Et dans les collines, il y a des tas d’exemples de
donner la punition à beaucoup de personnes, telles que l'enlèvement ou le
battement pour une telle folie, en particulier lors de la campagne d'élections.
D'autre part, malgré d'avoir la preuve irréfutable de l'innocence du jeune
officier militaire, basée uniquement sur la déclaration des frères de la dame,
l'objection fut levée contre l'officier pour être coupable. Tandis que, du ravisseur
probable, la déclaration dernière de son frère a différé celui de son premier. Et, de
même il y a des différences dans les identités du et des ravisseurs probables
comme mentionné dans deux communiqués de presse publiés par le parti de la
dame auparavant et après les résultats de l'élection.
Après l'incident, un comité d'investigation composé de trois membres et
dirigé par un juge à la retraite fut formé. Le comité a opiné que la femme
dirigeante avait été enlevée de gré ou de force. Mais puisqu'aucun des ravisseurs
n'a été identifié, ils n'ont pas recommandé d'action judiciaire contre quiconque.
Pourtant, les programmes différents sont toujours arrangés chaque année en
demandant le procès de ce jeune officier militaire.
Si les gens, responsables de protéger la sécurité des gens, sont blâmés pour
tuer, violer ou enlever, généralement, y reste à peine n'importe quelle possibilité
pour eux pour montrer l'excuse. De tels incidents, étant extrêmement sensible avec
les vilains anormaux, sont d'habitude lancés avec le sentiment public. Si il
fonctionne une provocation spéciale pour allumer le feu sur la masse sulfureuse, le
risque d'explosion et le danger peuvent facilement être comprise. Et si l'accusé est
une victime de mensonges ou de politique, la conséquence se transforme en
massacre.
De telles choses ne sont pas inhabituelles autour de nous. Dans beaucoup de
tels jeux politiques, les essais furent faits pour passer la culpabilité sur l'épaule de
l’autre. La chose horrifique constatée dans beaucoup de cas, ce fut que, dans le but
de rendre les autres coupables, différents astuces avaient

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 147


été joués afin d’imposer une accusation à un autre en faisant des crimes
d'une façon planifiée à l’avance. Par conséquent, n'ayant aucune façon de prouver
l'innocence, les accusés ont dû être considérés coupable dans presque tous les cas.
Pas seulement cela, les plaintes furent adressées virales pour inonder le pays avec
les protestations et les revendications pour la justice.
Ceux-ci se poursuivent et continueront peut-être.
Néanmoins, à cet égard quel principe maintenez-vous ou je maintiens:
coupable jusqu'à preuve l’innocent ou l’innocent jusqu'à preuve coupable ?
Vous pouvez garder la réponse avec vous-même comme vous le souhaitez.

(Publication : Parbattya News, le 18 juin 2018),

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 148


LARMES DE COLLINE : LA VIOLENCE
CONTRE LES FEMMES DE TRIBU À CHT

À la fin des vacances de l’Aïd, un couple rentrait à leur lieu de travail en bus. En
route, le bus fut arrêté par certains scélérats, y compris 10 à 12 activistes femelles
d'un parti politique régionale. Ils ont puis emmené de force la jeune femme qui fut
assise à côté de son mari. C’était vers midi, l'incident s’est produit dans un bus
complet de passagers. Lorsque le mari dévasté a tenté de s'opposer à eux, les
scélérats ont menacé de le tuer. Néanmoins, les autres passagers dans le bus n'ont
pas osé s’avancer pour les aider. Depuis ce moment-là, elle est introuvable et
personne ne sait son destin épouvantable.
Ce fut exactement ce qui est arrivé avec Fatema Begum, alias Noyna
Tripura à la région de Bailachhari Signboard de Matiranga, Khagrachhari le 08
septembre 2017. Elle voyageait avec son mari en bus attaché à Chittagong, appelé
Bismillah Paribahan. Sa seule faute fut qu'elle soit tombée amoureuse d'un
Bangali; s’est marié avec lui avant cinq ans et vivait avec lui depuis lors.
L'incident de Josna Chakma, ce n'est pas moins touchant. Elle fut enchaînée
autour de son cou et s'est conservée dans la captivité depuis deux moist, jusqu’à ce
qu'elle puisse s'échapper. Josna Chakma a partagé son calvaire avec les journalistes
lors d’une conférence de presse à Rangamati le 19 janvier 2017. Comme on a
appris, en tombant amoureuse, elle s'est mariée avec un Bangali alors qu’elle
travaillait à Chittagong. Mais le parti politique régionale locale n'a pas accepté ce
mariage et l'a enlevée le 18 novembre 2016. Depuis lors, elle fut gardée attaché
avec une chaîne en fer autour de son cou. Étant un bouddhiste, elle s'est mariée
avec un autre bouddhiste. Mais pas encore épargnée comme elle s'est mariée avec
un Bangali.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 149


Minu Marma, alias Ayesha Begum s'est mariée avec un Bangalee ça fait
presque douze ans . Les deux familles acceptèrent leur mariage et ils vivaient à
Burighat, Naniarchar de Rangamati. Leur fils aîné étudiait dans une école à
Rangamati. Dès qu'elle voyageait de Burighat pour visiter son fils qui était malade,
elle a été ravie par les scélérats d'un parti politique régionale, le 08 novembre 2016.
Elle fut alors bandée les yeux et forcée à marcher quelques heures. En attendant,
elle fut également battue plusieurs fois d’une manière impitoyable. À un moment
donné, elle fut forcée à faire des différents types de déclarations communales et
provocantes contre les Bengalis et les Musulmans et ils l'ont gardé enregistré.

L'incident d'Ayna Chakma de Bilaichhari, Rangamati fut presque similaire


mais plus horrible. Le 29 mai 2016, elle a été enlevée par un groupe d’activistes de
l'aile étudiante d'un parti politique régional. Ensuite, ils l'ont emmenée dans une
forêt voisine et l'ont harcelée sexuellement. Plus tard, elle s'est plainte en noir et
blanc à la police en mentionnant les noms des coupables. Par la suite, la police
pourrait appréhender l'un d'entre eux. En représailles, ils appelèrent « hartal »
exigeant la libération de leur chef, arrêté dans le cadre de l’incident. De plus, la
famille de la victime fut menacée de retirer de l'affaire déposée contre les
coupables.
Juvénile Dipa Tripura de Dighinala, Khagrachhari est tombé amoureuse
d’un Bangali nommé Ahmad Hannan. Elle savait que leur relation ne serait jamais
acceptée dans sa société et le destin terrible qui l'attendait. Ainsi, ils tentèrent de
s'enfuir. Mais un groupe d’activistes de l'aile étudiante d'un parti politique régional
local arrêta leur véhicule et les a kidnappés le 12 avril 2015. La suite des incidents
n'était pas différente, Hannan fut agressé après avoir été emmené dans une forêt;
Dipa fut victime d'un viol collectif plusieurs fois, ce qui a également été enregistré
par l'un des ravisseurs. Plus tard, étant appréhendé par les forces de sécurité, l'un
d'entre eux a avoué tout l'incident et dévoilé d'autres activités criminelles avec
lesquelles ils étaient impliqués.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 150


Conférence de presse tenue à Dhaka Reporters Unity
le 23 février 2015. Source parbattanews.com

Dans un autre incident, un Karbari (chef d’une localité) à Lama Upazilla de


Bandarban, condamna le 23 mars 2017 un homme âgé à quatre mille Taka pour
avoir imprégné sa petite-fille de 14 ans. Avec ce montant, un cochon fut acheté et
ensuite, son sang fut utilisé pour purifier la localité. La pauvre fille restait chez son
grand-père âgé de 70 ans pour à servir celui qui avait perdu sa femme quelques
années auparavant.
Tout en travaillant ensemble, deux jeunes enfants, un bangali et un autre
tribal, sont tombés amoureux et se sont mariés. Mais leur mariage n'a pas été
accepté par les tribus, comme d'habitude. En conséquence, le jeune homme a dû
perdre son travail et sa femme, qui avait alors été enlevée par des scélérats tribaux.
Alors qu'il tentait désespérément de savoir où se trouvait sa partenaire de vie bien-
aimée, sa vie a également été menacée par des scélérats de tribu. D'autre part, la
jeune femme fut torturée pour qu'elle quitte son mari, mais elle l’a rejeté. Alors, a
tenté de se marier contre son gré avec un autre homme, qui n’a pas également
réussi.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 151


Par la suite, sa famille fut condamnée à une amende financière, défaut de
payer de cette somme entraînerait une vente aux enchères de la jeune femme. Cela
peut sembler incroyable, mais le pauvre camarade nommé Shaikat Vodro demanda
à l’organisation humanitaire et à d’autres personnes afin de sauver son épouse de
sa vente aux enchères par le biais d’une conférence de presse à Dhaka Reporters
Unity, le 23 février 2015. Au grand étonnement, dit-il, «Les femmes peuvent être
soumises aux enchères comme à l’époque médiévale » à Chittagong Hill Tracts.

D’après son blog, on a appris, alors qu’il travaillait avec le Conseil de Jatiya
Mukti, il entra en contact avec Retina Chakma qui fut une activiste de l'aile
étudiante d'un parti politique régional. Pour trouver une vie heureuse, ils se sont
mariés en octobre 2012. Dès que l'autre Tribal l'a appris, ils ont tous les deux été
contraints de se séparer, ce qu'ils ont rejeté. Par la suite, Retina fut enlevée en août
2014 et Shaikat fut congédié de son travail. Aucun n'est venu à son aide. (https
//istishon.com/?q node /15007).

La liste des incidents similaires semble être sans fin. Un certain nombre de filles de
la tribu avait été soumis à des atrocités brutales, y compris des enlèvements et des
viols collectifs à CHT, simplement à cause de tomber amoureux ou épouser un
Bangali. Umaching Marma de Guimara, Sonabi Chakma de Matiranga, Rina
Tripura de Kutukchhari, Rangamati, Monika Tripura de Ramgarh et bien d'autres
ont des épreuves similaires à partager. Néanmoins, seul le nom de Retina Chakma
pouvait atteindre jusqu’à Dhaka; peut-être à cause de la conférence de presse de
son mari à Dhaka. Une chose est très commune à tous ces incidents. Leurs auteurs
sont tribaux. Ainsi, cela mène à une conclusion évidente que si une femme tribale
est violée par un tribal, personne ne pourrait demander justice pour elle !! Des
incidents similaires sont nombreux à CHT. Il n’est pas surprenant que les
féministes, les intellectuels et les défenseurs des droits de l’homme ne dénoncent
pas de telles activités odieuses et la violence à l’égard des femmes à CHT. De plus,
il n’est pas également étonnant que la plupart des gens ne soient pas au courant des
événements réels qui se produisent à CHT à cause de la minimisation de
l’importance par des médias.
Bien que, dans certains cas, des manifestations aient eu lieu immédiatement
après un incident réclamant des sanctions pour les coupables. Mais lorsqu’il fut
découvert que l'auteur avait été un tribu, il n'y avait plus aucun signe de
protestations, par la suite. L'incident de Bishakha Chakma pourrait être cité à titre
d'exemple. Elle fut perdue de sa maison le 13 août 2014. Une fois que son corps fut
retrouvé dans le lac de Rangamati, le représentant du public local et des activistes
Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 152
féministes ont organisé une chaîne humaine réclamant la justice appropriée.
Étonnamment, une fois que la police révéla que c’était son mari et ses associés qui
avaient participé à son viol et à son assassinat, personne n’a jamais organisé
n’importe quel programme afin de garantir le châtiment des coupables. À cet
égard, Eiti Chakma de Khagrachari a été victime d'une situation similaire en février
2017.
En septembre 2017, une demande formelle d'une victime fut révélée, où elle
a demandé la justice contre un employé de CHTDB, Rangamati, qui la violait
régulièrement depuis environ deux ans. Tous les deux, la victime et l'auteur sont de
la tribu Chakma. Mais les gens eurent peur de dénoncer l'auteur, car il fut influent.
Ainsi, aucune question de protestation ou d’exigence de justice n’est apparue dans
cette affaire.
Le cas de deux de filles Marma en janvier 2018 peut être présenté comme le
meilleur exemple d'hypocrisie sur le problème de la violence à l'égard des femmes
à CHT12. La violence à l'égard des femmes à CHT n'est pas nouvelle, car il est très
clair avec des tas d'incidents mentionnés jusqu’à maintenant. Mais il est difficile
d'obtenir l’attention suffisante dans les médias bien connus au Bangladesh. En
outre, il existe un autre fait difficile dont on ne parle jamais, presque en tant que
tabou dans la société de colline du Bangladesh, à savoir les droits des femmes à la
justice coutumière ou traditionnelle à CHT. Contrairement à ce scénario courant,
l’incident de deux filles de Marma attira l’attention les deux, chez nous et à
l’étranger. Le mérite reste pour les organisations féministes, les activistes de droite,
les blogueurs en ligne, les guerriers des médias sociaux, les dirigeants locaux et les
intellectuels. Le crédit est également inversement proportionnel à leur

12
Vous trouverez plus d'informations sur cet incident dans «La simplicité des gens de la
colline: un truc pour les rares?››, «Un conte de deux soeurs: la propagande et la faiblesse de l'ère
numérique››, et «La propagande à CHT: le revers de la médaille›› de ce livre.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 153


discrédit pour ne pas faire les mêmes choses dans tous les cas de violence à
l'égard des femmes à CHT, en toute impartialité. Ils sont tous peuvent être accusés
d'hypocrisie, car ils ont montré qu'ils n'étaient pas impartiaux dans les événements
de TCS, leurs efforts n'ont jamais été vus contre de tous les types d'auteurs, ainsi
que de tous les types de victimes de TCS. Autrement dire, ils ont prouvé qu’ils ne
sont disponibles que dans certains cas, en particulier contre un groupe de personnes
choisi.
Chaque vie est importante et chère aux membres de leur famille et à leurs
amis. Néanmoins, les femmes à CHT n'ont pas été considérées égales mais avec un
minimum de sympathie dans de nombreux cas. N’importe quelle fille tribale
épousant un Bangali est soumise à la punition brutale et inhumaine, y compris
généralement le viol collectif par autre tribal. Même, la simple amitié entre une
fille tribale et un garçon bangali était considérée dans certains cas comme un délit
punissable. En cas de viol d'une fille tribale par une autre tribu, la justice
traditionnelle est généralement suivie pour résoudre le problème, qui résultent dans
l'abattage d'un cochon avec l'amende imposée au violeur. Une fois ces pratiques
odieuses sont mis à jour par un écrivain, Rokeya Lita, dans son œuvre intitulé «
Dumurer Phul », qui signifie un objet invisible, elle a été menacée d’être violée.
Dans son livre, il a également été révélé que la plupart du temps, la victime de viol
ne pouvait pas avoir recours à la loi du pays et elle devait accepter le verdict du
chef de village local qui suit la justice traditionnelle; même elle peut être
condamnée à une amende si elle va au tribunal pour avoir la justice. Il est
également courant que la fille soit mariée avec son violeur; en tant que punition
pour lui, tel que l’attitude de certains tribaux.
Rokeya Lita, qui voyage dans les régions isolées de CHT et interagit avec
différents types de personnes pendant huit mois, exprime son esprit: « Ceux qui
d'entre nous vivent à Dhaka souvent entendent des histoires sur les qui s’agit des
viols commis dans les collines par des hommes bangalis. Mais la réalité est
différente. Seuls des Bengalis sont accusés dans les viols, malgré les accusations
portées contre des hommes des collines. Mais les chefs de tribus ne les mettent pas
en lumière. En restant à Dhaka ou faisant un voyage de deux à trois jours dans les
collines, il est difficile d'avoir une image réelle de la situation ce qui se passe là-
bas. » Elle continue en ajoutant:« Mais le problème est que les femmes des collines
n'accusent pas toujours Bangalee pour le viol.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 154


Dans la plupart des cas, on voit que leurs hommes politisèrent la situation pour
faire la campagne à propos de cette question. » (http://www.theindependent
bd.com/print version/details/36783)
Il y a eu certain nombre d’incidents où les femmes tribales furent soumises à
la violence, harcèlement sexuel et torture à CHT. Dans de nombreux cas, les
auteurs pourraient être identifiés, dans certains cas, cela n’a pas été possible. Mais
la vérité la plus réelle est que, la plupart du temps, la voix réclamant des sanctions
contre des coupables fut soit absente, soit étonnamment faible. Même, ça n'a pas eu
l’attention de trouver une place dans les quotidiens nationaux, dans de nombreux
cas, en particulier lorsque le malfaiteur est un Tribal. Évidemment, pour demander
la justice ou la punition des coupables, personne ne s’est jamais tenu au bord de la
route avec une pancarte, personne ne portait aucun badge noir, personne n’a
organisé une conférence de presse et aucun n’a écrit une seule ligne dans un blog;
surtout lorsqu'il s'agit d'un tribal qui a épousé un Bangali. Comme si, épouser un
Bangali est un péché et donc, c'est son destin qu'elle sera soumise à des abus
physiques et à la torture sexuelle; personne ne devrait rien dire à ce sujet.
Une jeune fille de Ramgarh à Khagrachhari a été soumise aux derniers
efforts de harcèlement immonde dans les médias sociaux. Une menace de mort
ouverte pèse sur la tête de Kraching Marma pour avoir épousé un Bengali. Alors
qu'ils travaillaient ensemble chez Fakir Fashions à Rupganj de Narayanganj, ils
sont tombés amoureux l'un pour l'autre et se sont mariés. Par la suite, ils ont déjà
été menacés et harcelés par des scélérats. Pour éviter leur harcèlement, ils ont
également déménagé leur maison louée à quelques reprises. Pendant ce temps, les
mécréants tribaux ont commencé à les diffamer dans les médias sociaux avec des
commentaires dégoûtants. Elle a déjà été menacée de viol et de meurtre.
Nous sommes habitués à la demande de justice pour le cas controversé du
enlèvement de Kalpana Chakma. Mais il y a un silence mystérieux à l’égard des
cas avérés de tant d’enlèvements à CHT, à savoir Retina Chakma, Noyna Tripura
alias Fatema Begum, Josna Chakma, Minu Marma alias Ayesha Begum, Ayna
Chakma, Dipa Tripura et ainsi de suite. Même, il n'y a aucune voix contre les
auteurs lorsque les victimes se sont plaintes

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 155


en noir et blanc ou ont partagé leurs cauchemars ouvertement lors d'une
conférence de presse. La NHRC établit son premier bureau de district à Rangamati
en octobre 2016. Néanmoins, aucune nouvelle concernant le rôle du bureau n'a été
remarquée une fois que Josna Chakma a raconté elle-même ouvertement ses
souffrances, au club de presse de Rangamati. Ça n'a réussi à faire appel à personne.
Même sa voix ne pouvait pas atteindre le bureau de district de la NHRC qui se
trouve dans la même ville.

Il est indéniable qu'un groupe d'intellectuels, de défenseurs des droits


humains et de féministes travaillent sans relâche afin de faire savoir aux autres à
quel point les femmes tribales sont maltraitées par les Bengalis à CHT. Mais en
réalité, ils concentrent tous leurs efforts sur le sommet de l'iceberg. Ils peuvent ou
ne peuvent pas être au courant que tout l'iceberg reste inaperçu. Jour après jour, les
femmes tribales sont victimes de viols et de violences barbares pour avoir épousé
Bangali ou pour se lier d'amitié avec eux, mais aucune organisation féminine,
même les soi-disant intellectuelles, ouvrirent leur bouche à cet égard. Au cours des
dernières décennies, un certain nombre d’OI et les ONG travaillèrent à Chittagong
Hill Tracts. Mais pour des raisons inconnues, ils ne l'ont pas également porté à la
connaissance du citoyen ordinaire de la société.

Comme nous l’avons déjà dit, de nombreux cas de violence à l’égard des
femmes au sein de CHT furent signalés. Pourtant, ceux-ci ne sont généralement
pas contestés ou la justice n’est pas demandée contre les coupables. La raison
principale derrière cela est que les auteurs sont généralement des mécréants tribaux
ou des partisans de partis politiques régionaux tribaux. Dans de nombreux cas, ces
furent commis au nom de la justice traditionnelle. Pour des raisons évidentes, les
victimes n'osent généralement pas les dénoncer, par conséquent, il y a rarement des
affaires à adresser auprés du commissariat de police. Même si elles se sont plaintes
au commissariat, les victimes sont forcées de tomber dans l'insécurité. Par ailleurs,
la plupart des correspondants célèbres des quotidiens nationaux à CHT sont
tribaux. Ainsi, ils ne peuvent également pas faire un effort suffisant pour faire
connaître ce type d’nouvelles. Par conséquent, la violence à l'égard des femmes à
CHT s'apparente presque à des larmes silencieuses qu'on pleure régulièrement mais
tout à fait inaperçue.
(Publié au http //parbattanews.com/fr, en date du 17 mars 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 156


LA RELIGION:
UN OUTIL DE CAPTURE DE TERRES À CHT

Il y a un grand nombre de personnes sur la terre de Dieu qui sont sensibles à la


religion. Cela va sans dire que le sentiment des habitants de ce sous-continent est
tout à fait indifférent. L’exemple de « la théorie des deux nations ››, la partition du
sous-continent indien, plusieurs émeutes communautaires dans différents pays de
l’Asie du Sud-Est, et le dernier problème de l’exodus des Rohingyas ne sont que
quelques-uns de ce type.

Par conséquent, il a déclenché une vive inquiétude lorsque ça a été fait


virale dans les médias sociaux que l'armée du Bangladesh ordonna certaines
populations tribales de Kukichhara, Guimara du district de Khagrachhari, de
démanteler un Kiyang (monastère bouddhiste) qui était en train de construire par
les bouddhistes locaux

Quiconque se sentirait la chaleur de la sensibilité sur cette question. Il est


inutile de blâmer quelqu’un qui a commencé à se demander s’il serait approprié
pour n’importe quel membre d’une force de sécurité de poser one telle question..
De toute évidence, tous les messages dans les médias sociaux, en particulier dans
Facebook contenant ces nouvelles, pourraient attirer une grande attention et
presque tous les commentaires sont simplement une expression de haine contre
l’armée du Bangladesh ainsi que les Bengalis vivant au sein de CHT. Décidément,
le problème est de cette nature.

Cependant, il n'a pas fallu longtemps pour révéler le fait. Le fait peut
surprendre certains lecteurs, mais pas ceux qui connaissent bien les problèmes de
CHT. Le problème de Kukichhara peut être considéré en tant qu’exemples
d’accaparement de terres du gouvernement au nom de la religion; un accaparement
similaire des terres aurait

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 157


pu se produire parfois également dans une autre partie du pays. De même, ce
phénomène n’est pas nouveau dans cette partie du pays. Il y a quelques décennies
cette pratique existe, notamment après la signature de l’accord CHT le 2 décembre
1997.

Grâce à la curiosité de quelques journalistes qui ont fournirent un aperçu de


l’accaparement de terres au nom de la religion à CHT. À la suite de cet incident,
parbattanews publia un chiffre indiquant le nombre de Kiyang à CHT le 26 juin
2018. Il fut donc appris qu'il y avait un total de 1114 Kiyangs à CHT avant la
signature de l'accord de CHT en 1997. Après l’Accord, 462 Kiyangs furent
construits, ce qui fait un total de 1576 Kiyangs à CHT. Dont 490 Kiyangs furent
construits en saisissant la terre de Khas (terres du gouvernement) et 73 furent
construits sur les terres du département des forêts. (terres du gouvernement).
Néanmoins, seuls 6 Kiyangs furent construits sur le site d'un camp abandonné des
forces de sécurité, qui furent retirés dans le cadre de la mise en œuvre de l'Accord
de CHT au cours des différentes périodes.

Les forces de sécurité établissent des camps sur un site qui est très
important du point de vue militaire. Habituellement, la proximité des habitants, la
sécurité de la population, la disponibilité des centres de communication, la
domination du terrain sur ses environs, etc. sont pris en compte avant de choisir
n’importe quel site de camp. Ainsi, une fois que les camps sont retirés lors de la
mise en œuvre de l’Accord de CHT, les scélérats tribaux tentent d’occuper ces
lieux de différentes manières. Ainsi, ils auront le contrôle d'un tel terrain qui leur
permettra de continuer leurs atrocités et leurs activités maléfiques telles que
l'enlèvement, le meurtre, l'extorsion , l'observation des mouvements des forces de
sécurité, la domination de certaines zones, etc.

On peut mentionner ici qu'il y eut des allégations d'utilisation de la religion


pour des activités illégales à CHT. On allégua que parfois les scélérats s'abritaient
dans ces Kiyangs, en particulier lorsque les forces de sécurité intensifiaient leurs
recherches pour les mécréants. Comme les forces de sécurité ne pénètrent pas dans
les lieux de culte pour maintenir la sainteté,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 158


des scélérats les utilisent parfois pour cacher des armes, organiser une
réunion secrète et participer à d'autres activités illégales. Apparemment, certains
des Kiyangs auraient pu être utilisés comme centre de formation pour les scélérats.

Une étude approfondie sur le terrain a révélé qu'un bon nombre d'incidents
avaient eu lieu au cours desquels des campes abandonnés, des terres appartenant au
gouvernement ainsi que des terres appartenant à des Bengalis avaient été saisis au
nom de la religion. Ce type d’incident est en train d’augmenter, en particulier
lorsque les camps sont progressivement retirés pour la mise en œuvre de l’Accord
de CHT. Quelques-uns de ces incidents sont énumérés ci-dessous:

1. Un monastère bouddhiste appelé Dhonopata Moitri Kolyan fut construit


dans le camp abandonné du camp militaire de Dhonpatachara à Dighinala en
2007.

2. Un Kiyang fut construit dans un campement abandonné appelé Camp


militaire de Korollachhari à Mahalchhari en 2008 - 2009.

3. Environ 200 hectares de terres qui furent allouées à 50 familles bengalies


en 1982-1983 par le gouvernement, furent saisis illégalement en 2008-2009,
dans lequel un grand monastère bouddhiste appelé Shantipur Aoronya Kutir
fut construit à Panchhari de Khagrachari. Il contient de la résidence des
moines, des bureaux, des lieux pour les visiteurs, des jardins, etc. Ce lieu a
déjà gagné des popularités parmi les touristes. Cependant, comme il fut
appris, certaines zones du monastère ne sont pas ouvertes aux visiteurs et au
public. Au contraire, seuls quelques lieux spécifiés sont ouverts aux visiteurs
communs.

4. Des membres des tribus construisirent un Kiyang nommé «Dukkha Mukti


Bidorshon Vabona Kendra ›› dans un camp de police abandonné à
Dudaiyakhola, à Laxmichari, en 2001.

5. Il y a quelques années, les populations tribales locales construisirent «


Tinotamoni Buddha Bihar ›› sur le site de un camp de police de district
abandonné à Babuchhara Bazar de Dighinala.

4. « Sadhana Prem Buddha Bihar » fut construit dans le camp militaire


abandonné de Banchora à Dighinala en 2011.
Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 159
Le bâtiment scolaire d'une école primaire du gouvernement construit en
1984 à Sonamia Tila, Babuchhara, Dighinala.

7. Le cas le plus horrible est de Sonamia Tila de Babuchhara, Dighinala. Il y


avait bien 812 familles bengalies qui furent allouées avec le terrain par le
gouvernement avec la documentation nécessaire en 1981-82. Toutefois, à
cause de la cruauté inhumaine et des atrocités de Shanti Bahini à cette
époque-là, puis ils ont dû être déplacés de cet endroit. Mais, ils ne pourraient
jamais retourner à leurs propres terres, même après l’accord de CHT. La
plupart d'entre eux vivent à la merci d'autrui, dans un endroit différent, au
bord des routes ou sur la terre d'autrui. Certaines familles vivent une vie
indescriptible où une seule pièce est partagée par les membres de la famille
et leur bétail la nuit. Ils ne peuvent pas se rendre au cimetière de leurs
ancêtres pour rendre hommage et prier lors de journées religieuses spéciales
situées à Sonamia Tila. En saisissant leur terrain, les travaux de construction
d'un Monastère de Bouddhiste ont commencé et continuaient rapidement
depuis 2016 sur un terrain de 30 à 40 acres. Les gens de Tribu, dans la
connivence avec certains représentants publics locaux, ont déjà rebaptisé la
région comme Sadhana Tila.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 160


L’image du Bouddhiste Kiyang, construit sur le terrain contestable de
Bengalis, puis le nom de la région est changée de Sonamia Tila à Sadhana Tila .
(Published:http: // parbattanews.com/en, Dépassé – le 30 juin 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 161


LA POLITISATION DE LA VIOLENCE
À L'ÉGARD DES FEMMES À CHT

Il n'est ni rare ni surprenant de constater que des manifestations se déroulent


régulièrement à Dhaka, en particulier devant le Musée national du Bangladesh à
Shahbag et le Club de la Presse Nationale contre le viol de la femme tribale à CHT.
Il est également courant de constater que certains des journaux quotidiens
populaires traitent de tels incidents avec une importance suffisante. Dans certains
cas, un certain nombre d'articles furent publiés ne portant qu’un seul incident,
simplement pour montrer le degré de gravité pour la dénonciation de la violence à
l'égard des femmes à CHT.

En tant que citoyen humain et conscient, tout le monde féliciterait ces


efforts. Autrement, les reportages et les nouvelles révélant de tels crimes sont
encourageants, car ils aident également les autres victimes à faire entendre leur
voix contre l'oppression. De plus, des processions, des chaînes humaines, des
conférences de presse, etc. sont organisées pour protester contre ce crime en
demandant justice, non seulement servir d'exemple de l'existence d'un
environnement démocratique dans le pays, mais aussi de contribuer à traduire les
coupables en justice.

L'incident de deux filles Marma de Bilaichhari, Rangamati, qui a eu lieu en


janvier de cette année est l'exemple le plus frappant de ce genre. Immédiatement
après son apparition, de nombreux messages ont inondé les médias sociaux. Un
certain nombre de comptes rendus furent publiés dans les médias en ligne et hors
ligne, et même il y avait un article publié dans Al Jazeera.En outre, plus de trois
douzaines d’activistes et de défenseurs des droits des femmes organisèrent divers
types de manifestations, y compris une procession au flambeau pour les mois , à
Dhaka, ainsi que dans différentes régions du pays, réclamant la justice et des

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 162


sanctions appropriées pour le violeur. Certains citoyens éminents également
participèrent à ces activités de protestation.

L’Image du reportage publié dans The Daily Star, le 02 février 2018

Intitulé « Le viol des soeurs Marma - Entretien avec Rani Yan Yan», The
Daily Star publia les détails de l'incident dans le Star Weekend le 02 février 2018.
En se référant à l'épouse de Mme Yan Yan, chef du Cercle Chakma, une
description horrible de l'incident fut mise à la disposition des lecteurs: «Les deux
sœurs, l'aînée a 19 ans et la cadette a 14 ans, disent qu’elles virent quatre hommes
des forces de sécurité environs trois heures du matin le 22 février.

Selon eux, les hommes sont venus chez eux au village et emmenèrent leurs
parents pour interroger, sur un terroriste ou quelque chose du genre, comme la
veille il y avait eu des raids dans les villages voisins. Deux de ces quatre hommes
entrèrent dans la maison, avec la torche allumée, vérifièrent les pièces et sont
partis. Ils retournèrent à l'intérieur pour la deuxième fois mais sont repartis. La
troisième fois,

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 163


ils ont éteint le flambeau et sont entrés dans une pièce où se trouvaient les
deux sœurs et leur frère de sept ans. Apparemment, les agresseurs leur ont alors
mis un fusil sur la tête et leur ont demandé de ne pas faire de bruit et couvrir leurs
yeux. Les deux hommes violèrent la sœur aînée à tour de rôle; puis ils agressèrent
sexuellement l’autre sœur, mais lorsque l’un d’entre eux a tenté de la violer, elle a
commencé à crier malgré les menaces des hommes (de se taire) ».

Que passe-t-il si, il y a des éléments de politisation dans un tel effort noble?
Que passe-t-il si, il arrive que seuls certains incidents soient contestés? Que se
passe-t-il si, les femmes réputées les bonnes plateformes et personnalités ne sont
pas trouvées actives, montrant une sympathie similaire même pour un crime plus
grave que celui de ce qu'ils ont protesté avant ou après? Que passe-t-il si, ils
protestaient même contre l'incident fait par soi-même ou fabriqué, juste pour nuire
à quelqu'un? Que se passe-t-il si, les participants étaient mal informés ou si leur
bonne foi fut exploitée par certains groupes particulièrement intérêts? Eh bien, il
est possible de citer un bon nombre d'exemples afin de prouver que cette
politisation de la violence à l'égard des femmes à CHT se fait régulièrement.

L’incident susmentionné de deux jeunes filles Marma peut être présenté en


tant que meilleur exemple d’une telle politisation de la question de la violence à
l’égard des femmes à CHT. Presque quatre mois et demi plus tard, on apprend que
le comité d'enquête composé de 3 membres de la commission nationale des droits
de l'homme conclut: « Les preuves n'indiquent pas un viol, membre d’Anser
Giasuddin tira la main de la victime (nom mentionné), couette pour tenter de
violer; il n’y a aucune preuve claire de l'attaque de Chakma Rani. ›› Chronologie
des demandes contradictoires, New Age, le 12 juin 2018)

L’Image de la partie de l'actualité publiée dans The Daily New Age, le 12 juin 2018

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 164


On peut mentionner ici qu'il également fut appris que les parents des
victimes furent hors du village cette nuit-là pour la culture de Jhum. Il est à noter
que la commission médicale composée de 3 membres, y compris une femme
tribale, n'a trouvé aucune preuve de viol ni même d'agression physique. (http
//parbattanews.com, 3 février 2018.

Cela va sans dire que la vérité n’a aucune couverture par rapport au type de
tsunami de blâmer les membres des forces de sécurité pour un crime qui n’a jamais
été commis.

Selon The Daily Star (27 juin 2018), « Le 17 juin, une adolescente de
Marma fut tuée après avoir été violée, prétendument par quatre jeunes Bangalis à
Lalmai Upazila. Le 21 juin, une autre adolescente de Tripura fut violée, semble-t-
il, par un groupe de jeunes Bengalis à Khagrachhari. » De toute évidence, certaines
plate-formes de défense des droits des femmes protestèrent contre ces incidents,
formant une chaîne humaine à Shahbag, Dhaka. Des manifestations similaires
furent organisées dans tous les trois districts montagneux et à Chittagong. De
nombreux messages sur les médias sociaux furent également publiés sur ces
incidents.

Néanmoins, presque personne ne sait qu'il y a eu un autre incident horrible


au cours duquel trois filles tribales de dixième année furent violées par un groupe
de jeunes tribaux le soir du 29 mai 2018 à Mahalchhari, dans le district de
Khagrachhari. Les victimes bavardaient sur le terrain de l’école primaire publique
Manikchhari Mukh vers 6 h 30, le 29 mai 2018. Menaçant les filles, quatre jeunes
de la tribu les ont emmenées dans un jardin voisin et les ont violées. À un moment
donné, l'une des victimes a pu s'échapper et s'est enfuie chez elle. Étant informée
par elle, son père et les villageois de la localité se sont précipités dans le jardin et
ont secouru les deux autres victimes. Cependant, ils ne pouvaient pas appréhender
les coupables. Par la suite, les pères de deux filles se sont rendus au commissariat
de police et ont déposé une plainte (affaire no 1/30/5/2018) à Mahalchhari Thana.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 165


Les nouvelles sur l'appréhension de jeunes membres des tribus qui ont violé trois étudiants de
Marma à Mahalchhari, Khagrachari, le 29 mai 2018. Source parbattanews, le 30 mai 2018

La police pourrait appréhender les quatre auteurs lors de cette nuit. Selon le
responsable du commissariat de police, les coupables avouèrent le viol au cours de
l'interrogatoire initial. Les victimes furent envoyées à l'hôpital pour un test
médical. (http //parbattanews.com, 30 mai 2018).

Les coupables sont toujours en garde à vue. Mais il n’y avait pas de
message dans les médias sociaux, pas de procession n’importe où à CHT, sans
parler de Shahbag ou d’ailleurs. Plus étonnamment, certains membres des tribus
qui pouvaient se tenir sans partis politiques régionaux furent surpris par leur
ignorance sur cet incident. Serait-il que les auteurs sont tribaux? ainsi l'incident est
devenu une victime de la politisation, en tant que beaucoup d'autres à CHT!

Tamanna Khan, dans son article « Le viol utilisé en tant qu’arme », publié
dans The Daily Star, le 28 juillet 2014, établit un lien entre l'incident de violence à
l'égard des femmes à CHT avec le problème des terres, ainsi que la mise en œuvre
de l'accord CHT. Se référant à des activistes tribaux, elle affirma que dans la
plupart des cas, les Bengalis furent impliqués dans tous ces incidents. Citant
Samari Chakma, avocat et défenseur des droits de l’homme à Khagrachhari,
l’auteur cita l’exemple de Sabita Chakma, une dame tribale âgée de 30 ans qui fut
violée et assassinée le 15 février 2014, prétendument par trois collectionneurs de
sable bengali. Il y eut une série de manifestations, comme d'habitude, réclamant la
punition du violeur. Mais le fait est que le rapport d'examen médical conclut qu'elle
n'avait pas été violée. En outre, il y a eu un bon nombre d'incidents de violence à
l'égard des femmes à CHT où le problème de la terre n'était aucunement lié. Par
Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 166
conséquent, une question qui pourrait surgir dans l'esprit des lecteurs pourrait-elle,
en quelque sorte, avoir des informations partiales sur la violence à l'égard des
femmes à CHT?

En fait, il y a eu un certain nombre d'incidents où des femmes de la tribu


furent victimes de violence, de harcèlement sexuel et de tortures à CHT. Dans de
nombreux cas, les auteurs pourraient être identifiés; dans certains cas, ce n'était pas
possible. Mais la vraie vérité est, qu’à maintes reprises, la voix qui demandait que
les coupables soient punis fut soit absente, soit étonnamment faible. Même, il n'a
pas réussi à obtenir une petite place dans les quotidiens nationaux. La seule raison
est que le malfaiteur fut un Tribal.

Étonnamment, au lieu de dénoncer, la violence à l'égard des femmes est


encouragée lorsqu'il s'agit d'une histoire d'amour entre une fille de la tribu et un
garçon bengali à CHT. Même, dans de nombreux cas, la photo de la jeune fille est
publiée dans les médias sociaux, demandant ouvertement sa mort. Certes, pour
demander la justice ou punir les coupables, personne ne s’est jamais tenu au bord
de la route avec une pancarte, personne ne portait un badge noir, personne n’a
organisé one conférence de presse et aucun n’a écrit une seule ligne dans un blog;
chaque fois que cela impliquait une femme de la tribu qui avait épousé un Bengali.
Il est devenu presque évident que la violence à l'égard de ces femmes fut politisée.
Un certain nombre d'exemples de ces problèmes sont également disponibles.

À la fin des vacances de l'Aïd, un couple rentrait à son lieu de travail en


bus. En route, le bus fut arrêté par des malfaiteurs, y compris 10 à 12 femmes
activistes d'un parti politique régional. Ils ensuite emmenèrent de force la jeune
femme assise à côté de son mari, à l'écart du bus. C'était vers midi, l'incident s'est
produit dans un bus rempli de passagers.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 167


Lorsque le mari dévasté a tenté de leur résister, les scélérats ont menacé de
le tuer.

Néanmoins, les autres passagers de l'autobus n'ont pas osé s'avancer pour les
aider. Depuis lors, elle est introuvable et personne ne connaît son terrible destin.
C'est exactement ce qui s'est passé avec Fatema Begum, alias Noyna Tripura, dans
la zone de Bailachhari Signboard à Matiranga, Khagrachhari, le 8 septembre 2017.
Aucune organisation tribale n'a jamais protesté ni réclamé justice. Personne ne s'est
tenu devant le musée national à Shahbag.

L’incident de Josna Chakma n’est pas moins touchant. Elle fut enchaînée
autour de son cou et est restée en captivité pendant deux mois, jusqu'à ce qu'elle
puisse s'échapper. Josna Chakma partaga son calvaire avec les journalistes lors
d'une conférence de presse à Rangamati, le 19 janvier 2017. Comme on a appris,
tombée amoureuse, elle s'est mariée avec un Bengali alors qu'elle travaillait à
Chittagong. Mais le parti politique régional local n'a pas accepté ce mariage et l'a
enlevée le 18 novembre 2016. Depuis lors, elle est restée attachée avec une chaîne
de fer autour du cou. En tant que bouddhiste, elle a épousé un autre Bouddhiste.
Mais pas encore épargnée puisqu'elle s'est mariée à un Bengali.

Minu Marma, alias Ayesha Begum, a épousé un Bengali il y a presque douze


ans. Les deux familles acceptèrent leur mariage et vivaient à Burighat, Naniarchar
de Rangamati. Leur fils aîné étudiait dans une école à Rangamati. Une fois qu'elle
se rendait de Burighat pour rendre visite à son fils qui était malade, elle a été
enlevée le 8 novembre 2016 par des mécréants d'un parti politique régional. Elle a
ensuite eu les yeux bandés et a été contrainte de marcher pendant quelques heures.
En attendant, elle a également été battue plusieurs fois sans pitié. À un moment
donné, elle fut forcée de faire divers types de déclarations communales et
provocatrices contre les Bengalis et les Musulmans, et ils l'ont enregistrée.

Lors d'un autre incident, un Karbari (responsable d'une localité) de Lama


Upazilla, de Bandarban, a infligé une amende à un homme âgé, avec quatre mille
takas, le 23 mars 2017, pour avoir imprégné sa petite-fille de 14 ans.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 168


Avec cette somme, un cochon fut acheté et son sang a ensuite été utilisé
pour purifier la localité. La pauvre fille habitait chez son grand-père, âgé de 70 ans,
pour le servir, celui qui avait perdu sa femme quelques années auparavant.

Bien que, dans certains cas, des manifestations aient eu lieu immédiatement
après un incident réclamant des sanctions pour les coupables. Mais quand il fut
découvert que l'auteur avait été un tribu, il n'y a plus eu de protestations par la
suite. L'incident de Bishakha Chakma pourrait être cité à titre d'exemple. Elle fut
disparue de sa maison le 13 août 2014. Une fois que son corps retrouvé dans le lac
Rangamati, la représentante de la population locale ainsi que des activistes
féministes ont organisé des chaînes humaines réclamant justice. Étonnamment, une
fois que la police a révélé que c’était son mari et ses associés qui étaient impliqués
dans le viol et son assassinat, personne n’a jamais organisé de programme pour
punir les coupables. Pratiquement, une chose semblable s'est produite avec le
meurtre de Eti Chakma de Khagrachhari en février 2017.

En septembre 2017, une demande formelle d'une victime fut révélée,


demandant à ce que justice soit rendue contre un employé du Conseil de
développement de Chittagong Hill Tracts (CHTDB), Rangamati, qui la violait
régulièrement depuis environ deux ans. La victime et l'auteur sont tous deux de la
tribu de Chakma. Mais les gens avaient peur de dénoncer l'auteur des faits, car il
fut influent. Ainsi, aucune question de protestation ou d’exigence de justice n’est
apparue dans cette affaire.

En raison du fait que chaque fois qu'une tribale est impliquée dans un viol ou
une violence contre une femme, il n’y a pas de protestation ou il y a une tentative
est faite pour cacher le crime. Ainsi, les auteurs obtiennent l'immunité et osent
poursuivre ce crime par la suite. D'autre part, d'autres tribus sont encouragées à
commettre de tels crimes et violences à l'égard des femmes à CHT. C'est pourquoi
la violence à l'égard des femmes, telle que le viol, l'enlèvement et le harcèlement
sexuel, en particulier de la part des scélérats tribaux, est un phénomène courant à
CHT. Quelques-unes de ces violences contre Tribal sont ensuite mises en évidence.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 169


En février 2015, Umaching Marma et sa famille furent torturés et
condamnés à une amende de Taka on Lac par un parti politique régional de
Guimara, Khagrachhari, dans la mesure où elle a épousé un Bengali à Dhaka. Le 9
mars 2015, la famille de la victime leur a versé vingt mille Taka. La victime et sa
famille subissaient des pressions constantes de la part du parti régional pour qu’elle
quitte son mari, un Bengali. Plus tard, la victime s'est envolée vers son mari à
destination de Dhaka.

Le 12 avril 2015, Dipa Tripura fut enlevée par des membres du PCP de
Dighinala de Khagrachhari soutenus par l'UPDF alors qu'elle souhaitait épouser un
Bengali pour avoir matérialisé leur histoire d'amour. Plus tard, Dipa Tripura fut
violée par les membres du PCP et ils l'ont également enregistré. Le 13 juin 2015,
les forces de sécurité appréhendèrent un membre du PCP, Sajib Tripura, qui a
avoué toutes les activités odieuses susmentionnées.

Le 29 mai 2016, Ayna Chakma fut harcelée sexuellement par des membres
du PCP soutenus par JSS (Main) à Bilaichhari, Rangamati alors qu’elle entrait
dans un magasin du Bengali pour une demande en ligne de son inscription au
collège. La victime a été battue puis emmenée dans la forêt où elle fut harcelée
sexuellement par eux. Ils également enregistrèrent la vidéo de toute la scène sur
mobile. Plus tard, elle s'est plainte en noir et blanc à la police en mentionnant le
nom des coupables. Par la suite, la police pourrait appréhender l'un d'entre eux. En
représailles, ils appelèrent hartal pour demander la libération de leur chef arrêté en
lien avec le la famille de la victime. De plus, la famille de la victime fut menacée
de se retirer de l'affaire déposée contre les coupables.

Le 27 septembre 2016, un membre d'une tribu nommé Aungthui Pru Marma


fut appréhendé par la police pour avoir violé deux filles de deuxième année et de
quatrième année. Il fut employé de l'école du district de Bandarban où elles furent
étudiants. Il viola ces filles plusieurs fois depuis le 20 juillet 2016.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 170


Le 18 novembre 2016, Josna Chakma fut enlevée par des mécréants de
l'UPDF de Naniarchar, Rangamati, alors qu'elle s’est mariée un Bengali. Les
malfaiteurs armés de l'UPDF emmenèrent la victime dans la jungle et l'ont torturée
pendant environ deux mois, en l'attachant à la chaîne sur son cou et ses jambes.
Elle pourrait fuir le repaire des mécréants et se rendre dans un camp des forces de
sécurité à Kutukchhari, à Rangamati, le 17 janvier 2017. Avec son mari, Elle
partagea son calvaire avec les journalistes du Rangamati Press Club le 19 janvier
2017.

Paimapru Marma fut arrêté et battu par des membres de l'UPDF à


Laxmichari, Khagrachhari, le 4 avril 2017; comme elle avait une liaison avec un
Bengali et qu'ils quittaient leur maison ensemble. Par la suite, elle fut sauvée par la
police et remise à un représentant du public local, qui se trouvait être un partisan
de l'UPDF. Au cours de sa captivité, elle est morte. Apparemment, elle s’est
suicidée à cause de tortures sexuelles inhumaines infligées pendant deux jours par
les mécréants de l'UPDF.

Le 4 juillet 2017, Modon Chakma fut enlevé par l'UPDF pour ne pas avoir
travaillé en leur faveur. Plus tard, Modon Chakma pourrait s’échapper de la peau
du mécréant. Par la suite, étant agité les malfaiteurs de l'UPDF ont enlevé son
épouse et l’ont emprisonné. Cependant, les forces de sécurité pourraient la secourir
plus tard.

Il n’est pas étonnant qu’aucun de ces incidents n’ait été protesté. Personne
n'a cherché à obtenir justice pour les victimes, ni réclamé une punition appropriée
pour les auteurs. La raison principale derrière cela est que les auteurs sont
généralement des mécréants tribaux ou des partisans de partis politiques régionaux
tribaux.

Dans de nombreux cas, ils furent commis au nom de la justice


traditionnelle. Pour des raisons évidentes, généralement, les victimes n'osent pas se
prononcer contre eux; du coup, aucune affaire n’est déposée au commissariat de
police. Même si, elles se sont plaintes au commissariat de police, les victimes sont
forcées de tomber dans l'insécurité. Par ailleurs, la plupart des correspondants des
célèbres quotidiens nationaux de CHT sont tribaux.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 171


Ainsi, ils peuvent également ne pas faire un effort suffisant pour faire
connaître ce type de nouvelles.

D'un autre côté, les énormes tollés sont répercutés, en particulier dans les
médias sociaux, chaque fois que la violence à l'égard des femmes est commise par
un Bengali à CHT. Même, certaines personnes sont exploitées en protestant contre
de tels crimes. Ironiquement, les mêmes personnes restent silencieuses lorsque le
crime est commis par un tribu. Il fut observé que la manifestation n’est pas
organisée selon le crime mais selon les auteurs. C’est la raison pour laquelle le
conseil des étudiants Marma n’a organisé aucune procession lorsque trois étudiants
de Marma furent violés à Mahalchhari. Mais ils organisèrent des processions dans
de nombreux autres cas.

Du coup, on peut dire que, tout en protestant, un groupe d’intellectuels, de


défenseurs des droits humains et de féministes concentrent tous leurs efforts
seulement sur le sommet de l’iceberg. Elles peuvent ou ne peuvent pas savoir que
tout l'iceberg reste inaperçu - car toute la question de la violence à l'égard des
femmes à CHT fut soigneusement politisée il y a une belle lurette.
(Publié au http //parbattanews.com/fr, en date du 30 juin 2018)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 172


PAS DE FIN

«Chittagong Hill Tracts (CHT) est orthographié et énoncé en bengali - Parbattya


Chattagram (cve©Z¨ PÆMÖvg). Et, cette forme fut utilisée dans ce livre. Le
gouvernement bangladais a aussi récemment changé le mot «Chittagong ›› pour
qu'il soit orthographié comme « Chattogram ››.

Néanmoins, le CHT est une zone au sein de la Division de chattogram située


dans le sud-est du Bangladesh, à la frontière de l'Inde et du Myanmar, qui couvre
13 295 km carrés et comprend les districts de Khagrachari, Rangamati et
Bandarban. avec une population totale de 1 587 000 habitants au recensement
provisoire de 2011. Les gens de tribus: 51%, les Bengalis: 49%. La densité de
population est d'environ 120 habitants par km carrés. La population tribale
comprend les Chakma, Marma, Tripura, Tangchangya, Chak, Pankho, Mru, Bawm,
Lushai, Khyan et Khumi, etc.

Nos collines à CHT nous ont fait un paradis. Le CHT est l’enfant chéri du
Bangladesh au milieu des genoux de la nature. Leur beauté, leur générosité et leur
bienfaisance offrent un paradis pour les montagnards aussi bien que tous les
peuples de la région. Certains groupes d’intérêts en guise de politiciens, de
séparatistes et de terroristes essaient depuis longtemps de séparer CHT, mettant
ainsi fin à l’intégrité et à la souveraineté du Bangladesh. Avec l'échec dans la
plupart des cas, ils choisirent la façon de greffe et de pillage des œufs d'or de ce
beau pays des fées. Les séparatistes se camouflent dans la nature et souhaitent
créer des situations dramatiques en mélangeant des tas de vérité et de mensonges.
Ainsi, ils créent une fausse agitation ou confusion qui résulte en une question de
rentabilité qu’ils aiment politiser. En realité, c’est une affaire de produire et de
piller de l’argent, de l’or, des armes et du pouvoir à travers des problèmes
d’éclosion et aussi à travers d’une politique politisée. L'enlèvement ou
l'enlèvement est la méthode la plus répandue parmi les mécréants tribaux afin de
collecter des œufs d'or. Encore une fois, les enlèvements, les viols, la vente aux
enchères

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 173


et l’assassinat de filles sont des outils classiques de punition. Tout cela
montre que le sauvage, la brutalité et l’inhumanité dans leur nature doivent être
civilisées. Le gouvernement du Bangladesh leur apporte plus grand soutien et
coopération, dans l'espoir qu'ils soient humains et que nous grandissons tous
ensemble.

Le CHT, attire chaque année des milliers de touristes dans le monde entier
dans ces terres dorées, enchanté d'un conte de fées. En perspective, le CHT a une
immense valeur à transformer en véritable paradis, mais entre les mains de certains
terroristes des collines, on peut appeler le CHT en tant qu’enfer.

Mais cela n’y s'arrête pas. C'est le Bangladesh, une nation fière de gens
bengali qui connaît la vie.
Les bois sont beaux, sombres et profonds,
mais j'ai des promesses à tenir,
Et des kilomètres à parcourir avant de dormir,
Et des kilomètres à parcourir avant de dormir.
(Robert Frost)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 174


APPENDIX

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 175


Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 176
Appendice- A

Liste des victimes du massacre de Bhushanchara

Le 31 mai 1984, plus de 300 Bengalis furent tués lors de l’attaque armée
impitoyable par le Shanti Bahini à Bhushchhara Union et des zones limitrophes
peuplées de Bengali sous Barkal Thana.

Les gens significatifs impliqèrent dans la récupération des cadavres et


l’ensevelissement furent:

1. M. Shamsur Rahman, officer par intérim de Barkal Thana.


2. Joynal Abedin, ancien président du Conseil de l'Union Bhushchhara.
3. Abdul Hamid, membre du Conseil de l'Union Bhushchhara.
4. Kashem Dewan, officer Ansar / VDP.
5. Ali Azam, commandant de peloton, VDP.
6. Saheb Ali, membre du PDV.
7. Shamsul Alam, médecin rural et membre du VDP.
8. Mir Mohammad Abu Taher, membre du Conseil de l'Union Bhushchhara.
9. Omar Ali, un médecin rural.
10. AH Haq Sarkar, chef du groupe de règlement.
11. M. Razzak, chef du groupe de règlement et bien d’autres.

M. Atiqur Rahman mentionna les noms des personnes susmentionnées en


tant que principaux répondants dans « le tableau d’informations Hill ›› à
l’exclusion de M. Shamsur Rahman et de Kashem Dewan. Comme ils furent
personnellement impliqués dans l'incident, M. Rahman établit la liste suivante des
victimes du massacre de Bhushchhara à partir de leur description:

1. Nurul Islam, père Rahimuddin. Nombre de personnes tuées: 1


2. Abu Bakker Siddiq, père- Abdur Rab Nombre de personnes tuées: 1
3. Shania Khatun, père- Abdur Rab Nombre de personnes tuées: 1
4. Madhu Mian, père- Abdur Rahman Nombre de personnes tuées: 1

5. Sadak Ali, Père- Iman Ali Nombre de personnes tuées: 1

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 177


6. Shahiduddin avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 6
7. Altamas, père Ezabul Biswas Gong et une famille. Nombre de personnes tuées: 7
8. Abdul Hannah avec autres et sa famille. Nombre de personnes tuées: 7
9. Asgor Ali avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 5
10. Fazlur Rahman avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
11. Omar Ali avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 5
12. Ainul Haq avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 5
13. Rustam Ali avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
14. Zakaria avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 5
15. Omar Ali (2) avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 5
16. Abdus Shakur Munshi avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 7
17. Saifuddin avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
18. Gul Mohammad avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 7
19. Ali Akbar avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 7
20. Md. Ali avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
21. Tofani Sheikh avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 6
22. Abdus Sobhan avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
23. Nasiruddin, Père Omar Ali. Nombre de personnes tuées: 1
24. Nizamuddin avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
25. Mostafa avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
26. Omar Ali. Nombre de personnes tuées: 1
27. Mofazzal Hossain avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
28. Abdul Motaleb avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
29. Asmat Ali Mal, Père -Ahmad Ali Mal. Nombre de personnes tuées: 1
30. Khalilur Rahman, Père -Atahar Ali. Nombre de personnes tuées:1
31. Nurul Islam avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
32. Jamal Ahmad, Père Abdul Bari. Nombre de personnes tuées: 1
33. Yousuf Sheikh avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
34. Akbar Ali avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 5
35. Shajahan avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
36. Md. Siddiq Molla, père Ibrahim Molla. Nombre de personnes tuées:1
37. Asob Ali, père Najar Ali. Nombre de personnes tuées:1
38. Razab Ali, père Asimuddin. Nombre de personnes tuées: 1
39. Rabiul, père Sundar Ali. Nombre de personnes tuées: 1
40. Lokman, Père Md. Ali. Nombre de personnes tuées: 1
41. Hossein Farazi, père Wazuddin. Nombre de personnes tuées: 1
42. Shirajuddin avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 178


43. Oli Mandal, Père Hanif Mandal. Nombre de personnes tuées: 1
44. Aklima, Père Malu Khan. Nombre de personnes tuées: 1
45. Asie Khatun, mari Asar Ali, Nombre de personnes tuées: 1
46. Shamsuddin avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 6
47. Kalu Mia avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
48. Josna Begum, mari Abdul Hamid. Nombre de personnes tuées:1
49. Siddik Ahmad avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
50. Moslem avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 3
51. Abdur Razzak avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
52. Abdur Razzak (2) avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 8
53. Abdul Hamid avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 6
54. Abdul Hai avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 6
55. Sakhina Bibi avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 4
56. Abdul Khalek avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées:6
57. Basal Munsi, avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées:6
58. Abdur Rauf avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées:4
59. Nizamuddin avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 6
60. Ayub Ali avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 4
61. Solaiman avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
62. Abdul Mannan avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
63. Sultan Farayezi avec autres et une famille. Nombre de personnes tuées: 2
64. Nazrul Islam et fils. Nombre de personnes tuées: 2
65. Abdul Khaleq. Nombre de personnes tuées: 1
66. Md. Gulzar et fils. Nombre de personnes tuées: 2
67. Enfants et personnes âgées. Nombre de personnes tuées: 100 (environ)
68. Fateh Ali, Sobhan, et Nurul Islam. Nombre de personnes tuées: 3
69. La famille du membre Zasimuddin. Nombre de personnes tuées: 3
70. Fils du président de l'UP, Zainal Abedin. Nombre de personnes tuées: 1

__________________________________________________________________

TOTAL (personnes tuées) = 370


Source: Atiqur Rahman (2007), Hill Information Cell, Volume 7, Search, Pp. 11-14.

(Note de l’auteur: Le total ci-dessus est 313.)

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 179


Annexe-B

Communiqué de Presse

Le 12 juin 1996

Le Pahari Chhatra Parisad (PCP) et la Fédération des femmes de la colline (HWF)


de Chittagong Hill Tract (CHT) déclarent conjointement que le 11 juin dernier, à
21h30, un groupe armé de peuples bengali attaquèrent le village de Lallyaghona
sous Baghaichari Thana. Ils enlevèrent la secrétaire organisatrice centrale de la
Fédération des femmes de la colline (HWF) du grand CHT Kalpana Chakma de
chez elle. Ils tirèrent sur ses deux frères aînés qui se sont échappés de justesse mais
furent grièvement blessés. Cette action, à la veille des élections nationales, fut tout
simplement dégoûtant. Il fut intentionnel. En raison des troubles qui règnent à
CHT et de la répétition de tels incidents, les populations des collines sont
extrêmement privées de la sécurité, la plupart des femmes de Jumma sont
torturées. PCP et HWF exigent conjointement une arrestation immédiate et des
peines appropriées des criminels. Ils réclament également le sauvetage immédiat
de Kalpana Chakma et appellent tous les peuples démocrates et humanitaires à
s'unir contre toutes les formes de torture et de terrorisme.

Sincèrement,

Mriganga Khisha,
Président du PCP, District de Rangamati

Bartika Chakma,
Vice-présidente du Comité central du HWF

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 180


Annexe C
Communiqué de presse

Le 11 juin 1996, mardi à 01h30 du matin, Mme Kalpana Chakma, la secrétaire


d’organisation centrale de Fédération des femmes de colline et ses deux frères
furent kidnappée par le lieutenant Ferdaus (17 Bengal) accompagné de 10 à 15
membres de l’armée de son village. Lallyaghona de Baghaichari Thana. Ils
entrèrent dans la maison et la kidnappèrent avec ses deux frères.

À un moment donné, ses deux frères furent capables de s'échapper et le


méfait du lieutenant Ferdaus donc fut décelé.

Kalpana Chakma, à l’heure actuelle, est disparue. Le PCP, le PGP et le


HWF traitèrent la question en tant que complot de l'armée. Ils exigèrent un
châtiment exemplaire des coupables et renvoyé immédiatement Kalpana Chakma.

Pour,
PCP, PGP, HWF
Purba Ranjan Chakma.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 181


Annexe D

Communiqué de presse

Aujourd’hui, à 18 heures, une réunion eut lieu devant Banarupa Petrol Pump afin
de protester contre l’enlèvement de Kalpana Chakma, la secrétaire d’organisation
du comité central du HWF, le 12 juin à 01h30 du matin, à Baghaichari, par des
soldats de l’armée en robes civiles. La réunion de protestation fut présidée par le
président du PCP Mriganga Khisha, district de Rangamati. Les personnes qui
prirent la parole furent respectivement Shajib Chakma, secrétaire aux publications
et à la publicité de PGP, Comité du district de Rangamati, Theai Aung Marma, le
secrétaire générale adjointe du PCP, vice-présidente du PCP, ville de Dhaka et
secrétaire générale du PCP Rangamati, Bodhi Swatto Chakma. Une procession
quitta Banarupa pour Zilla Parisad Road et retourne à la pompe à essence de
Banarupa. Elle se transforma en une réunion de masse. Les orateurs exprimèrent
leur extrême protestation et condamnation contre l’enlèvement de Kalpana
Chakma dès le début de la réunion. Le chef du HWF, Kalpana Chakma, fut
emmené de force par certains soldats terroristes alors que les habitants des collines
se préparaient à une élection nationale neutre et juste sous le gouvernement
intérimaire, avec une conjecture festive. Certains soldats terroristes arrêtérent de
force Kalpana au point de tirer à l'arme automatique. Ses deux frères eurent les
yeux bandés et furent tenté d'être tués. Les conspirations de la part des certains
gens de l’armée firent encore une deuxième fois réfléchir les montagnards à la
situation. Les orateurs présents à la réunion appelèrent à mettre fin à une telle
conspiration de l'armée et arrêter les criminels à travers des enquêtes. Ils
annoncèrent un ultimatum selon lequel Kalpana Chakma devrait être de retour dans
les 5 prochains jours, ou on leur eut promis pour lancer le mouvement prolongé.

Ranjit Dewan,
vice-président, P.C.P.
Date: le 14 juin 1996

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 182


Annexe E

Distribution: tous concernés

Communiqué de presse

Afin d'éliminer toutes les suspicions élevées quant à l'enlèvement de Kalpana


Chakma, un communiqué de presse est joint au présent document. Tous les
intéressés sont priés d’en assurer la diffusion complète pour l’analyse de tout
l’incident.

Md. Jashim Uddin


Officier d’information
Quartier général
de la division 24 d’infanterie
Cantonnement du Chattogramme

Date: le 22 juillet 96
Ci-joint: 9 pages seulement

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 183


Annexe E.1

Communiqué de presse sur le dit


enlèvement de Kalpana Chakma

Ce fut la nuit précédante la dernière élection parlementaire nationale i.e. La nuit du


11 juin 1996. Kalpana Chakma, la secrétaire d’organisation du HWF, Comité
central, fut disparue de chez elle cette nuit-là de son domicile situé dans le village
de New Layllaghona, dans la région de Baghaichari Thana, sous le district de
Rangamati. Le lendemain, son frère Kalindi Kumar Chakma déposa une plainte
pour enlèvement à Baghaichari Thana en tant que victime. L'affaire est maintenant
sous la police enquête. Selon l’objection, montée à partir de certains groupes,
contre un officier des forces de sécurité qui serait impliquée dans cet incident, une
autre enquête fut diligentée particulièrement à ce sujet au nom des forces de
sécurité. Les forces de sécurité gardèrent le silence jusqu'à ce jour, étant donné que
la loi devait évoluer sur son propre chemin. Récemment, de nombreux ouvrages
littéraires furent publiés dans les journaux à propos de l'enlèvement de Kalpana
Chakma. En conséquence, la confusion de Kalpana Chakma également fut de plus
en plus dense et compliquée, qui implique la participation des forces de sécurité
dans cet incident. Il est donc nécessaire d’avoir une compréhension complète de la
situation globale de CHT ainsi que de certains incidents préélectoraux et d’analyser
le contexte afin d’éliminer tous les soupçons et confusions liés à cet événement
mystérieux.

Cette année, le Shanti Bahini participa à l'élection du Parlement national avec leur
candidat Bijoy Ketan Chakma, le membre du présidium central de Pahari Gana
Parisad (PGP) avec le symbole « papillon ». le Shanti Bahini ordonna à leurs
organisations, à savoir, Pahari Chhatra Parisad (PCP), PGP et Fédérations des
femmes de colline (HWF) vont faire campagne pour Bijoy Ketan Chakma. C’est à
noter que ce Bijoy Ketan Chakma fut également candidat indépendant aux
élections législatives nationales du 15 février 1996. Au contraire, à l’encontre de
Bijoy Ketan, M. Dipankar Talukdar, une personne distinguée dans les collines, fut
nommée par l'Awami Ligue et soutenue par la majorité des tribus et égalment par
des personnes non tribales, y compris le Comité de Nagorik, fut l'autre candidat.
Les gens du commun participèrent à la publicité et à la campagne pour Dipankar.
Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 184
Étant inquiet de la popularité croissante de Dipankar Talukdar, Shanti Bahini
et leurs partisans, PCP, PGP et HWF commencèrent à menacer différents peuples
tribaux et chefs de tribus. Le 5 juin 1996, alors qu’il rentrait de la campagne pour
Dipankar à Naniarchar, les membres du Comité Nagarik furent attaqués par 15 à
20 militants de PCP. Les mécréants bandèrent les yeux et emmenèrent les
personnes suivantes dans la forêt voisine et les torturèrent:

1. Babu Gautam Dewan, ex-président du conseil du gouvernement local,


Rangamati.
2. Hari Kishore Chakma, le Daily Bhorer Kagoj, représentant de Rangamati.
3. M. Pratim Roy Pappu, avocat, ancien secrétaire général du comité central
du PCP.

Ils libérèrent ces personnes avec un avertissement de retirer leur soutien à


Dipankar Talukdar.
Le 8 juin 1996, le Shanti Bahini enleva Karuna Mohan Chakma, le
président de l’ex Upazilla de Barkal, à Harina, alors qu’il faisait campagne pour
Dipankar Talukdar. M. Karuna Mohan est toujours porté disparu. De la même
façon, ils enlevèrent l'ex-président du conseil de l'Union de Shuvolong, M. Biru
Chakma, de son domicile. Biru Chakma fut récemment libéré des ravisseurs en
échange de 1 lakh Taka (100 000), tel que rapporté localement. Il fut enchaîné
pendant la captivité dans une tente secrète de Shanti Bahini. Le 16 juillet 1996, the
Daily Azadi de Chattagram signalait que Biru Chakma eut vu M. Karuna Mohan
Chakma et de nombreuses autres personnes dans la tente secrète de Shanti Bahini.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 185


Percevant la chute tragique au cours d’élections, des activistes du PCP et du
PGP enlevèrent l'ancien président du syndicat Naniarchar, M. Chandramukh
Chakma, le 11 juin 1996 à Kalyan Para, ainsi que l'Adhipati Dewan, Gautam Moni
Chakma et ancien président de Shabekshang Union Tushar Kanti Chakma, furent
également enlevés à Nayadham Para la nuit précédante de l’élection alors qu’ils
revenaient de Rangamati. De la même manière, ils également kidnappèrent trois
agents de vote de candidat de la Ligue Awami de Kamalchhari à Khagrachhari,
Les personnes enlevées furent: Bipuleswar Chakma, Sui Thoai Chakma et Chari
Mra Marma. Les statistiques indiquent qu'ils enlevèrent 35 partisans de la Ligue
Awami avant et après l’élection dans la région de CHT.

À cause de la défaite de leur candidat à l’élection, le Shanti Bahini et le PCP


toujours torturèrent les tribus qui soutiennent la Ligue Awami lors de l’élection.
pour voter pour la League Awami, le Shanti Bahini et le PCP continuent à torturer
les tribus innocents de différentes manières, par exemple: pénalité financière,
enlèvement, captiver dans un village ou une localité, etc.

Selon cette description, Kalpana Chakma fut kidnappée à Uraichhari de


Baghaichari avant la nuit électorale avec ses deux frères Kalindi Kumar Chakma
alias Kalicharan et Lal Bihari Chakma alias Khudiram. Les habitants pensent que
Shanti Bahini et PCP furent impliqués dans l'enlèvement, mais ils ont peur et ne
voudraient pas parler pour la peur d'être tués, enlevés, capturés dans un village,
victimes de pertes financières, etc. de Shanti Bahini.

Toutes les personnes raisonnables de la communauté croient que la


disparition de Kalpana Chakma ou l'éloigner de l'endroit la nuit précédante de
l’élection est une tentative diabolique de Shanti Bahini et du PCP afin de créer un
débat visant à détourner l'opinion publique en leur faveur.

Le camp militaire d'Uraichhari se trouve à 800 mètres de la maison de


Kalpana Chakma. Un jeune officier dirigeait le camp qui s’y est joint le 11 juin
1996 pour s’acquitter de sa tâche lors de l’élection. Le jeune officier récemment
lança

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 186


des opérations réussies contre les activités illégales de Shanti Bahini et de
PCP. Étant informé que certains extorsionnistes prenaient le péage, le jeune
officier effectua une perquisition au domicile de Samratsur Chakma, ancien
président d’East Baghaichari Union. De plus, il captura deux extorqueurs de PCP
en flagrant délit avec une opération spéciale. Après avoir accompli de telles tâches
le jeune officier, PCP et Samratsur Chakma lui furent opposés. Depuis ce temps-là,
PCP et Samratsur Chakma furent toujours à la recherche de la possibilité
d’emmêler ce jeune officier avec tout incident maléfique coûte que coûte. Ils ne
réfléchiront pas même si la personne visée fut vivante ou morte, présente ou
absente du lieu mentionné de l'événement, mais l'homme doit être ciblé en tant
que criminel.

Cette nuit-là, en raison de tâches électorales, à côté de cet officier, il y eut un


major, un capitaine et un lieutenant; 4 officiers au total et 80 à 90 soldats présents
au camp d'Uraichhari. Du coup, cette nuit-là, aucun membre de l'armée n’alla hors
de la zone du camp. Ainsi, la réalité est qu’en raison de la présence d’un trop grand
nombre de personnes dans le camp et dans l’école adjacente, l’enlèvement d’une
femme fut tout à fait impossible. Encore une fois, un bon nombre de personnes,
telles que le président du bureau de vote, l’agent de vote et les autres
fonctionnaires électoraux, passaient la nuit dans la région. Aucun d'entre eux ne
pouvait sentir le moindre signe d'anomalie, sans parler de l'enlèvement. Et, il est de
notoriété publique que dans les forces de sécurité, toute petite probabilité de crime
en tant qu’enlèvement est punie sévèrement. Le châtiment le plus bas est renvoyé
du travail.

Cette demande est adressée à tous les quartiers conscients et consciencieux


des gens de réfléchir s’il existe quelconque possibilité que le jeune officier de
l’armée soit impliqué dans l’événement mentionné de Kalpana Chakma.

En raison du manque de logement, l’équipe de vigilance se rend au camp


d’Uraichhari avec l'officier accusé, dut passer la nuit après le 11 juin avec les
officiers d’élection à l’école primaire adjacente au camp. Si l'officier s'était rendu
pour le dit enlèvement de la femme entre 01h30 et 02h00 du matin, il emmènerait
avec lui les membres de sa propre équipe.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 187


Mais tous les membres de l’élection, partageant le même lieu pour dormir,
indiquèrent qu’aucune activité de la sorte ne furent constatée parmi les membres de
l’équipe de vigilance. En fait, l'officier partit du camp pour le centre de vote avec
son équipe de vigilance et tous les agents électoraux le matin à 7 h 10.

Les quatre (04) officiers de l’armée passèrent la nuit préélectorale dans le


logement des officiers. Il est assez irrationnel et anormal qu'un officier se rende à
800 mètres de son camp à minuit sans se soucier de la permission de l'officier
supérieur et risquer de perdre son travail et sa sécurité personnelle.

Personne ne pouvait encore démontrer la moindre preuve spécifique que


l'agent eut n’importe quelle sorte de communication avec la dame, sans parler
d’une affaire. En outre, il ne peut pas sembler un peu logique qu'un officier, chargé
d'exécuter une élection sûre et sécurisée, se rende pour l'enlèvement d'une femme
la nuit précédente de l'élection.

Aucun officier militaire ou civil ne pouvait entendre aucun son; sans parler
du son des tirs mentionnés dans le rapport de la FIR sur le frère de Kalpana
Chakma. En cas de coups de feu prévus, tous les membres du camp furent
susceptibles de rester vigilants dans des endroits plus sûrs et désignés,
préalablement fixés. De la même manière, toutes les populations tribales et non
tribales des villages furent supposées se précipiter pour des abris plus sûrs avec de
tels bruits. Mais par la suite, seuls quelques personnes prêtes à l'emploi de PCP,
PGP et HWF mentionnèrent savoir de telles choses. En outre, juste après le
prétendu incident, toutes les munitions d'armes et les poches des forces de sécurité
se trouvant dans le camp et à proximité de l'école furent comptés et jugés corrects
en tant qu’auparavant. Alors, on peut facilement supposer que l’effort consistant à
blâmer les forces de sécurité fut planifié et un complot. De plus, il n'y avait aucune
similitude entre FIR rempli et un communiqué de presse publié par PCP, PGP et
HWF juste après l'incident. Toute personne sensée comprendra simplement que
tout cela est contradictoire en soi. Par conséquent, après avoir analysé l’incident,
l’accusation d’enlèvement de Kalpana Chakma par une personne séjournant dans
le camp n’est ni acceptable ni possible.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 188


Après l’épisode dramatique, par le biais de visite de la maison de Kalpana
Chakma, aucun livre, aucune robe, ni n’importe quel autres nécessités quotidiennes
ne pourrait être trouvé comme si elle avait abandonné la maison et déserté les
lieux, préparée avec tout ce qu'elle eut et partit ailleurs. En fait, pour cette raison,
peut on s’interroge naturellement si:

1. Elle fut kidnappée ou pas du tout?


2. Est-elle entrée dans la disparition de soi pour embarrasser le nouveau
gouvernement?
3. Elle soutient le Shanti Bahini en leur créant un long problème, utilisant un
drame d'enlèvement en tant qu’outil ou un instrument de sa dissimulation
autonome dans le but secret ou missions?
4. Elle s’est enfui afin de mener une vie médiocre et paisible avec son mari
et le ménage, comme les femmes habituellement le font?
Dans aucun des rapports d'enquête, l'événement de Kalpana Chakma n'a
jusqu'à présent été découvert comme un cas d'enlèvement, sans parler de
l'implication de l'armée dans cette affaire.

Aucune preuve n'a encore été établie concernant cette histoire d'enlèvement.

Si n'importe quelle des forces de sécurité locales ou les membres de VDP ou


les civils l'avait vraiment enlevée, il aurait révélé, évidemment, de toute façon au
moment où. Mais si quelqu'un entre dans une disparition de soi bien planifiée, les
choses deviennent plus complexes et nécessite beaucoup de temps pour la police
ou les forces de sécurité pour découvrir la personne (s). N'importe quelle personne
a une idée sur le terrain de CHT acceptera sans doute le fait.

Pourtant, les grandes nouvelles sont que Kalpana Chakma a récemment fait
un effort afin de participer au Sommet de Femme Mondial à Pékin. Naturellement,
on s'attend à ce qu'elle ait eu un passeport international. Ainsi, est-il illogique pour
les gens de penser qu'en voyageant à l'étranger et côte à côte en scandalisant les
forces de sécurité par un «drame d'enlèvements» et en lançant une énorme
propagande chez nous et à l'étranger, elle est en mission de mettre en évidence la
question de CHT sur la scène mondiale avec différentes couleurs et formes.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 189


Néanmoins, comme d’autres, les forces de sécurité ont la même
préoccupation, sentiment et sympathie pour Kalpana Chakma et empressement de
savoir où elle se trouve en tant que citoyenne du pays parce qu'une tentative fut
prise pour entraver l'image des Forces de sécurité. Pour Kalpana Chakma, en tant
que victime, son frère déposa une affaire d'enlèvement à Baghaichari Thana le 12
juin 1996, qui est actuellement sous enquête. À cet égard, les forces de sécurité
n’ont imposé nulle part aucune restriction, y compris une enquête sous l’autorité de
la police, et plutôt fournirent tout le soutien nécessaire selon le besoin. Même le
camp d'Uraichhari lui-même fut libéré dès le début pour avoir recherché et
interrogé quiconque. Le 24 juin 1996, au nom de la 24 division d'infanterie, une
lettre fut envoyée à l'administration du district de Rangamati, demandant une
enquête sur le cas susmentionné de Kalpana Chakma. En réponse, le DC
Rangamati informa par une lettre du 8 juillet 1996 indiquant que l'affaire faisait
déjà l'objet d'une enquête par l'organisme chargé de l'application de la loi (police
de Rangamati), une enquête supplémentaire n'est pas possible, car des complexités
juridiques et procédurales s'appliquent.

Des nouvelles provenant de sources inconnues et non pris en charge furent


publiées le 18 juin 1996 selon lesquelles Kalpana Chakma fut vu naviguait sur
l'eau à bord d'un bateau rapide des Forces de sécurité; elle fut emmenée de
Baghaichari à Rangamati. Toute personne ayant une idée pratique de la situation de
CHT et du système de l'armée de terre est consciente de l'impossibilité pour un
jeune officier de faire quelque chose d'aussi indiscipliné que le kidnapping; et sans
parler d’une femme, sans parler d’un leader fort et renommé en tant que Kalpana
Chakma. Ça ne va pas avec le système de l'armée, en fait. Et il n’y a aucune raison
logique pour n’importe quel membre ou un officier des forces de sécurité
d’impliquer dans un travail tellement mesquine et méchant, l'armée n'a tout
simplement pas le temps ni le goût d'y penser. Kalpana Chakma n'a-t-elle pas fait
de bruit, pas crié, pas parlé, pas bousculé ou au moins protesté oralement? Mais,
aucune réponse que vous obtiendrez. C'est parce que le récit n'est qu'une fiction.
Aucun signe ou signal d'une histoire d'amour entre Kalpana et un officier de
l'armée n'a jamais pu être retrouvé. En fait, ils font de leur mieux mais ne peuvent
pas soulever de problèmes dignes et crédibles.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 190


Ils tentaient également de créer de la compassion à l’étranger. Leur
propagande triomphant à la suite de l'incident s'est avérée être comme ça. Même le
PCP amena des équipes de reporters et d'agences appelées les organisations de
défense des droits de l'homme de Dhaka dans les collines où les personnes non
tribales n'osent généralement pas pénétrer sur les lieux en raison de l'insécurité. Ils
affichèrent leur propagande devant les voyants. Quoi que vous disiez, ces voyants
ou ces enquêteurs auraient dû obtenir la permission des forces de sécurité avant
d'entrer dans le CHT. L'ont-ils fait? Non.

En fait, pour rendre l'incroyable crédible, les scélérats Tribal continuèrent à


créer une série d'histoires imaginaires après la soirée du 11 juin. Par exemple:

1. Les déclarations de PCP et la description dans le journal général (GD)


d’affaire de la disparition de Kalpana Chakma se contredisent.

On peut voir à quel point ils sont contradictoires en disant à propos de la


personne accusée de l'enlèvement.

a. Selon l'une de leurs sources de données, les hommes portaient un


lungi.
b. Selon leurs deuxième sources de données, ces hommes furent des
membres de l'armée.
c. La troisième des sources de données garantit que les hommes
portaient la tenue VDP.
d. La quatrième des sources de données ajoute que les hommes ne
furent pas tribaux.
2. Selon le FIR Report, la date de l'événement fut mentionnée le 11 juin.
Dans le communiqué de presse, PCP mentionnait le 12 juin.
3. PCP tenta de rendre le drame crédible en créant une histoire d'amour
entre le jeune officier et Kalpana Chakma.
4. Certains d’entre eux tentèrent d’y ajouter des couleurs réalistes en
racontant une aventure nautique sur un bateau rapide de Kalpana Chakma
et du jeune officier.

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 191


5. Le PCP engagea des journalistes, des défenseurs des droits de l'homme
et des avocats de Dhaka pour inspecter des lieux distinctifs et rencontrer
les personnalités importantes.
6. De plus, le PCP est en train de tenter de nuire à l'harmonie communautaire
dans le pays en lançant une propagande énorme à travers des
rassemblements, des manifestations, des processions, des réunions, etc.
chez nous et à l'étranger, avec une affaire sous enquête.

Depuis le commencement de s’opposer à Shanti Bahini en 1976, un bon


nombre de soldats, officier commissionné junior (JCO) et d'officiers des forces de
sécurité embrassèrent le martyre où l'armée du Bangladesh est la plus touchée.
Jusqu'à présent, 338 membres des forces de sécurité donnèrent leur vie dans
l'opération de contre-insurrection à CHT et 371 autres furent blessés. En outre, 149
officiers, officiers JCO et soldats des forces de sécurité sont morts dans
l'atmosphère sauvage et antagoniste de CHT. Pour aucun avantage supplémentaire,
ils prennent les risques de leur propre vie afin de préserver la souveraineté et
l'intégrité du pays. Les forces de sécurité de CHT ne furent jamais impliquées dans
un acte subversif aux yeux du droit et de l'humanité. Ça doit être mentionné que les
forces de sécurité sont soumises aux restrictions les plus sévères à CHT.

Néanmoins, la confusion de Kalpana Chakma devrait être résolue tout de


suit, le plus tôt sera le mieux. À cette époque-là, la 24 division d'infanterie du
quartier général, Chattagram déclara 50 000 tk pour localiser Kalpana Chakma.
Tous les gens devraient s'abstenir de déclarer ou de faire tout ce qui pourrait nuire
à l'image des forces de sécurité du pays. Les terroristes s'emploient activement à
atteindre leurs objectifs visés en embarrassant les forces de sécurité et, autrement
dit, en déroutant le gouvernement.

La Fin

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 192


La région de Chittagong Hill Tracts (CHT) représente environ un dixième de la superficie
totale du Bangladesh. CHT, y compris trois districts montagneux du Bangladesh:
Rangamati, Khagrachari et Bandarban, ayant de riches ressources naturelles et
environnementales avec des collines, des forêts, des rivières et des lacs, une flore et une
faune diverses et une région d’une beauté sétonique exceptionnelle. Ça fait longtemps,
CHT fut la principale préoccupation de la communauté internationale, c’est parce que sa
situation géographique, ses géopolitiques et sa stratégie. Actuellement, l’importance
internationale de CHT augmenta à plusieurs reprises dans la nouvelle polarisation de la
politique mondiale centrée sur l’Asie et l’océan Indien. C’est pourquoi, les
superpuissances internationales et régionales s’intéressent à CHT à la fin de la première
moitié du siècle dernier. Au cours du temps, cet intérêt prit de l'ampleur et une autre
communauté internationale est également entrées en action. Très souvent, ils jouent un
rôle et s’ingèrent dans les affaires de CHT qui se tiennent indirectement derrière la scène.

Progressivement, cette ingérence se développe et crée différents genres de crise. Il


semble qu'un bon nombre de bangladais ne soient pas conscients des conséquences de la
crise. La raison principale derrière cela est le manque de recherche adéquate et détaillée
sur le CHT en termes d’intérêt national. Cette insuffisance fait en sorte que le peuple
bangladais en général ignore s’il y a des défis et de l’importance de CHT. Au milieu de
cette limitation, certains intellectuels, écrivains, journalistes et chercheurs se sont efforcés
de sensibiliser le pays à l’importance, à la crise, aux défis et aux complots nationaux et
étrangers contre CHT.

Maher Islam, l'un d'entre eux, prit l'initiative d'écrire sur CHT. Maher Islam n'est
ni un chercheur éminent, ni un intellectuel réputé, ni un écrivain, ni un journaliste
professionnel. La motivation évidente pour cette tâche que Maher restait et allait à CHT
pour des raisons professionnelles. Diverses négligences, complots, propagande et
activités contre l'état qu'il a observés au cours de son déplacement et de son séjour à CHT
pour des raisons professionnelles l'ont incité à écrire sur le sujet en tant que véritable
patriote. En dépit de n'avoir aucune expérience antérieure de l’écriture. Seuls la
responsabilité et l'engagement envers le pays l'ont obligé à écrire ce livre. Par conséquent,
il commença à écrire pour répondre à toutes les activités anti-étatiques et à la propagande
au sein de CHT. Il publia un bon nombre d’articles sur ce sujet au cours de son séjour à
CHT pendant plus de deux ans, etc. Compte tenu de l’importance et de la profondeur du
sujet, la Fondation de recherche de CHT ressent la nécessité de publier cet ouvrage en
tant que livre. Nous tenons à remercier l'auteur de nous avoir donné cette opportunité
également. En particulier, le cher lecteur obtiendra une réponse logique avec des faits et
des chiffres contre la propagande anti-étatique et anti-communautaire de CHT. Tous les

Chittagong Hill Tracts, la perception et la réalité 193


articles du livre furent déjà publiés dans différents médias imprimés. J'ai eu l’occasion de
lire tous les articles auparavant. C’est vraiment un ouvrage louable pour l’écrivain car il a
correctement présenté toutes les réponses logiques et appropriées à la propagande mal
motivée, générée par le groupe séparatiste tribal et ses aympathizers qui sont anti-
bangladais. Je remercie l'auteur pour cette tâche gigantesque d'écrire un tel livre
approprié, allant au-delà de ses exigences professionnelles. Cela va sans dire que nos
efforts combinés ne seraient considérés comme réussis que lorsqu'ils pouvaient créer un
peu de prise de conscience parmi les gens.

Mehedi Hasan Palash.


Président
Fondation de recherche de CHT

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