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Exercice 6 : [énoncé]
Exercice 2 : [énoncé]
a) Puisque A est nilpotente, A ne peut avoir que des valeurs propres nulles. Les
ϕ2 = Id donc X 2 − 1 est annulateur de ϕ. Les valeurs propres de ϕ ne peuvent
valeurs propres étant les racines du polynôme caractéristique et ce dernier étant
être que 1 et −1. En prenant pour f une fonction paire et une fonction impaire
scindé sur C, χA = (−1)n X n .
non nulle, on montre que 1 et −1 sont effectivement valeurs propres de ϕ.
b) Pour A ∈ Mn (R), on a aussi A ∈ Mn (C) et le polynôme caractéristique est
calculé par la même formule dans les deux cas.
Exercice 3 : [énoncé]
a) On vérifier T 2 = Id donc T est un automorphisme et T −1 = T . Exercice 7 : [énoncé]
b) Puisque T annule X 2 − 1, SpT ⊂ {1, −1} puis égale car par exemple 1 est a) Soit x un vecteur propre associé à la valeur propre λ. On a f (x) = λx avec
vecteur propre associé à la valeur propre 1 et X − 1/2 est vecteur propre associé à x 6= 0E . Par composition f n (x) = λn x puis P (f )(x) = P (λ)x. Or P (f )(x) = 0E et
la valeur propre −1. x 6= 0E donc P (λ) = 0.
b) Le polynôme X 3 + 2X 2 − X − 2 est annulateur de f et 0 n’en est pas racine
donc 0 ∈ / Spf . Cela suffit pour conclure si l’espace est de dimension finie. Sinon,
Exercice 4 : [énoncé] on exploite
Les valeurs propres de u sont racines des polynômes annulateurs donc du
polynôme minimal. 1 1 2
f ◦ (f 2 + 2f − Id) = (f + 2f − Id) ◦ f = Id
Soit a une racine de Πu . On a Πu = (X − a)P et P (u) 6= 0 car P ne peut être 2 2
annulateur de u. Pour y ∈ Im(P (u))\ {0}, il existe x ∈ E, y = P (u)(x) et
pour conclure.
Π(u)(x) = 0 donc (u − aId)(y) = 0 avec y 6= 0. Ainsi a est valeur propre de u (et y
est vecteur propre associé).
Exercice 5 : [énoncé]
Soit M solution. M 4 = t (M 2 ) = M donc X 4 − X est annulateur de M et puisque
0 et 1 ne sont pas valeurs propres de M , X 3 − 1 puis X 2 + X + 1 sont annulateurs
de M .
Ainsi, on peut affirmer M 3 = t M M = I (ainsi M ∈ On (R)) et M 2 + M + I = 0.
Pour X 6= 0, P = Vect(X, M X) est un plan (car il n’y a pas de valeurs propres
réelles) stable par M (car M 2 = −M − I). La restriction de M à ce plan est un
automorphisme orthogonal sans valeur propre, c’est donc une rotation et celle-ci
est d’angle ±2π/3 car M 3 = In . De plus ce plan est aussi stable par M 2 = t M
donc P ⊥ est stable par M ce qui permet de reprendre le raisonnement à partir
d’un X 0 ∈ P ⊥ \ {0}. Au final, M est orthogonalement semblable à une matrice