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CPGE Tétouan :MPSI2 TD 03 : Relations binaires 18/09/2019

EX 1 Exemples de relations binaires {Ci /i ∈ I} soit l’ensemble de toutes les classe de cette
On définit les relations binaires suivantessur l’ensemble E relation sur E.
indiqué : 3- Vérifier que la famille F = ([n, n + 1[)n∈Z forme
— E = C, ∀(z, z 0 ) ∈ C2 , z<1 z 0 ⇐⇒ |z| 6 |z 0 | . une parttion de R et définir sur R une relation
— E = C, ∀(z, z 0 ) ∈ C2 , z<2 z 0 ⇐⇒ |z| = |z 0 | . d’équivalence dont les classes sont de la forme [n, n+1[,
— E = N, ∀(a, b) ∈ N2 , a<3 b ⇐⇒ a divise b . où n ∈ Z. Redéfinir cette relation en utilisant une fonc-
1- Vérifier que la relation <1 est reflexive, transitive, mais tion numérique usuelle.
n’est ni symétrique, ni antisymétrique. EX 5 L’ordre lexicographique d’une relation d’ordre
2- Vérifier que la relation <2 est d’équivalence et la On considère un ensemble E muni d’une relation d’ordre R
relation <3 est d’ordre. et on pose pour tout (x, y) ∈ E, xRs y ⇔ xRy et x 6= y.
On fixe n ∈ N∗ . Sur l’ensemble En , on définit la relation L :
EX 2 Exemples de relations d’ordre sur R2 Pour tout ((x1 , . . . , xn ), (y1 , . . . , yn )) ∈ E2 ,
On définit sur R × R les relations binaires suivantes
2 1 , . . . , xn )L(y1 , . . . , yn ) signifie que :
(x
Pour tout ((x, y), (x 0 , y 0 )) ∈ R2  x1 Rs y1 ou


— (x, y)K(x 0 , y 0 ) ⇐⇒ (x ≤ x 0 et y ≤ y 0 ) 
 (x1 = y1 et x2 Rs y2 ) ou


— (x, y)L(x 0 , y 0 ) ⇐⇒ [x < x 0 ou (x = x 0 et y ≤ y 0 )] 
 (x1 = y1 et x2 = y2 et x3 Rs y3 ) ou
1- Vérifier que chacune des relations K et L est d’ordre. ......


Elles sont partielles ou totales ?(Justifications !) 
 ......


Définition : L se dit l’ordre lexicographique usuel de R2 . 
 (x1 = y1 et . . . et xn−1 = yn−1 et xn Rs yn ) ou

2 (x1 = y1 et . . . et xn−1 = yn−1 et xn = yn ) .
2- Pour chaque  élément2 (a, b) de R , on pose : 1- Vérifier que L est une relation d’ordre sur En .
ϕK (a, b) = (x, y) ∈ R / (x, y)K(a, b) ,
”l’ensemble des éléments plus petits que (a, b) pour 2- Soit (x, y) = ((x1 , . . . , xn ), (y1 , . . . , yn )) ∈ E2 . Lorsque
la relation K” x 6= y, on pose p(x, y) = Min {k ∈ J1, nK/xk 6= yk }.

ψK (a, b) = (x, y) ∈ R2 /(x, y)K(a, b) ou (a, b)K(x, y) Montrer que pour tout (x, y) ∈ E2 , on a :
xLy ⇐⇒ x = y ou x 6= y et xp(x,y) Rs xp(x,y) .

”l’ensemble des éléments comparables à (a, b) par K”.
On définit de manière analogue des parties ϕL (a, b) 3- Vérifier que L est totale si et seulement si R est totale.
et ϕL (a, b) de R2 . Définition : L s’appelle l’ordre lexicographique sur En de la
Selon votre choix de (a, b), représenter dans un plan relation d’ordre R.
cartésien les parties ϕK (a, b), ψK (a, b), ϕL (a, b),
EX 6 Minimum/Elément minimal&Maximum/Elément maximal
ψL (a, b).
 Soit R une relation d’ordre sur un ensemble E. Soit A une
3- Soit la partie A = (x, y) ∈ R2 / x 6 3 de R2 . partie de E et a un élément de E.
Relativement à chaque relation K ou L, cette partie Définition(Rappel) :
est-elle majorée, minorée ? Admet-elle un plus petit (ii) a est dit un minimum(ou plus petit élément) de A si
élément ou un plus grand élément ? (a ∈ A et ∀x ∈ A, aRx).
(ii) a est dit un élément minimal de A si
EX 3 Exemples de relations d’équivalence (a ∈ A et ∀x ∈ A, xRa ⇒ x = a).
On définit sur l’ensemble E indiqué les relations binaires : (iii) a est dit un maximum(ou plus grand élément) de A si
— E = C et "zAz 0 ⇐⇒ Im(z − z 0 ) = 0 ". (a ∈ A et ∀x ∈ A, xRa).
— On fixe n ∈ N∗ . E = Z et " xBy ⇐⇒ n divise x − y" . (iv) a est dit un élément maximal de A si
(a ∈ A et ∀x ∈ A, aRx ⇒ x = a).
1- Vérifier que les relations A et B sont d’équivalence.
1- Vérifier que si a un minimum de A, alors a est unique.
2- Déterminer et représenter géométriquement pour tout Idem pour ”maximum”.
a dans C, la classe d’équivalence de a relativement à
2- Vérifier que si a est un minimum de A, alors a est
la relation A.
un élément minimal de A. Idem pour ”maximum et
3- Interpréter géomtériquement le fait que les classes élément maximal”.
d’équivalence de A forme une partition de C. 3- Donner un exemple où on peut avoir plus d’un élément
4- Déterminer pour tout a dans Z, la classe d’équivalence minimal. Idem pour ”élément maximal”.
de a relativement à la relation B. Combient y-il de 4- Montrer que si la relation d’ordre R est totale, alors les
classes d’équivalence pour la relation B ? deux notions (i) et (ii) sont équivalentes. Idem pour
les deux notions (iii) et (iv).
EX 4 Caeactéristique de l’ensemble des classes d’équivalence
5- Considérons R la relation de division sur E = N :
1- Soit R une relation d’équivalence sur un ensemble E. ∀(x, y) ∈ N2 : xRy ⇔ x/y, où on rappelle que x/y
Soit U un ensemble de représentants des classes pour signifie : ∃k ∈ N : y = kx.
cette relation. Autrement dit, U est une partie de E
a) Vérifier que A = N admet son minimum et son
telle que ∀x ∈ E, ∃!u ∈ U : x ∈ u. Vérifier que la
maximum.
famille (u)u∈U forme une partition de E.
b) A = J2, +∞J admet-il son minimum ou son maxi-
2- Soit (Ci )i∈I une famille qui forme une partition d’un
mum ? Admet-il d’éléments minimals ou d’éléments
ensemble E.
maximals ?
Définir sur E une relation d’équivalence telle que
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