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1. Contexte général :
La nouvelle Tunisie, s’est fixée comme objectif de se positionner par rapport à ses concurrents en tant que pays
destinataire pour les investissements étrangers dans les activités innovatrices et à forte valeur ajoutée. En effet, elle a
beaucoup investi, pendant ces dernières années, dans l’amélioration de son offre en tant que plate-forme d’accueil de ces
activités, notamment dans les domaines suivants : la formation des ressources humaines, l’infrastructure technologique,
industrielle et de la qualité, la propriété intellectuelle, le cadre législatif et règlementaire ainsi que les incitations aux
investissements.
Aujourd’hui l’environnement des entreprises tunisiennes est fortement caractérisé par la mondialisation des marchés, le
développement technologique, la complexité des relations économiques, la multiplicité des acteurs, l’augmentation des
opportunités et la multiplication des risques et des incertitudes. Ce contexte a entrainé un accroissement important du
volume des informations, ce qui pose pour l’entreprise le problème d’obtenir rapidement des informations utiles et
pertinentes pour répondre à des situations actuelles ou pour anticiper d’autres. L’information économique apparait comme
une matière et un outil stratégique de plus en plus indispensable pour la compétitivité des entreprises.
La croissance exponentielle de la masse d’information économique crée des opportunités mais génère en même temps des
incertitudes. L’entreprise tunisienne doit s’adapter à ce contexte pour se maintenir et se développer. Il est évident pour elle
de rechercher des nouveaux moyens pour faire face aux défis posés par l’instabilité de son environnement et l’abondance
de l’information.
La communication de l’information économique, juridique et financière sur l’entreprise est la clé de voute de la
transparence des transactions économiques et constitue un outil incontournable pour instaurer un climat de confiance
entre les opérateurs économiques qu’ils soient commerçants, actionnaires ou associés, créanciers, clients, fournisseurs ainsi
que chez les investisseurs étrangers.
Le registre de commerce est un instrument de publicité et une source d'information légale propre à la vie des entreprises.
Il est le répertoire officiel des personnes physiques et morales ayant la qualité de commerçant ou dont l'activité se rattache
au commerce. Mis à jour régulièrement et comprenant des informations fiables consultables à distance, il constitue un outil
efficace de nature à favoriser aussi bien l'investissement direct étranger que le développement des exportations.
En effet, les informations juridiques et économiques consignées dans le registre de commerce permettent la stimulation des
investissements à travers la création de partenariats stratégiques et l'accessibilité aux marchés extérieurs la sélection des
soumissionnaires dans le dépouillement des appels d'offres internationales.
En mettant à disposition du public une information légale mise à jour et fiable sur les personnes immatriculées, le registre
de commerce est un vecteur essentiel du développement du crédit et la sécurité des transactions. L'accessibilité aux
informations recueillies grâce aux nouvelles techniques de gestion et de diffusion des informations le réseautage du registre
de commerce tunisiens avec les registres maghrébins et européens, accroitront davantage sa rentabilité .
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2. Contexte spécifique :
Dans ce cadre, il est confié à l’Institut National de la Normalisation et de la Propriété Industrielle (INNORPI) de solidifier sa
structure afin de contribuer à l’amélioration de l’environnement des affaires, le développement de la compétitivité des
entreprises tunisiennes, la facilitation du commerce et à la diversification des échanges entre la Tunisie et les divers
marchés extérieurs à travers la modernisation du Registre central du Commerce(RCC).
Le RCC est le répertoire officiel des personnes physiques et morales, ayant la qualité de commerçant ou dont l’activité
présente un caractère commercial.
Il se doit, de par la loi (Loi du 2 mai 1995 art. 1) de collecter les informations relatives aux acteurs économiques afin de les
mettre à la disposition du public.
Ce registre dont il faut signaler que la base première est située dans les Tribunaux de Première Instance (TPI) doit répondre
aux normes de fiabilité tant juridiques qu’économiques, de sécurité et de transparence.
Le RCC s’appuie sur les Registres de commerce locaux (RCL) qui tiennent le registre local au niveau de chacun des TPI et
complète la base en y adjoignant les documents nécessaires à l’information.
Les documents collectés et traités au niveau de chaque TPI sont transmis à l’INNORPI qui tient le RCC et ce, conformément
à l’article 6 de la Loi n° 2010-15 du 14 avril 2010, modifiant et complétant certaines dispositions de la loi N° 95-44 du 2 mai
1995 relative au registre du commerce « Il est tenu auprès de l'institut national de la normalisation et de la propriété
industrielle un registre central du commerce destiné à la collecte des renseignements consignés dans chaque registre local.
A cet effet, l’institut reçoit un extrait des inscriptions effectuées dans les registres locaux et un exemplaire des actes et
pièces qui y ont été déposés dont, les délais, les conditions de recevabilité, les modalités de communication au public, la
délivrance des copies et les taxes y afférents sont fixés par décret ».
Par ailleurs, la promulgation du décret N°2015-964 du 3 aout 2015relatif aux tarifs des droits d'immatriculation au registre
de commerce a renforcer le rôle de l'INNORPI en sa qualité de détenteur du registre central de commerce en lui assignant
la mission de développer l'institution du registre de commerce dans sa globalité y compris les registre de commerce locaux
, et ce à travers la conclusion de conventions avec les parties concernées dans les domaines juridiques, informatiques et
organisationnels de manière à le hisser aux standards européens et internationaux.
3. Objectif de la mission :
Le registre du commerce a pour but d'enregistrer et de publier les faits juridiquement pertinents .De ce fait , l'inscription
au registre du commerce permet d’offrir informations et conseils aux entrepreneurs dans tous leurs projets de création et
de développement d'entreprise, facilite les recherches visant le ciblage des marchés à l’export , grâce à la simplification
des procédures , l'exactitude et à la publicité des inscriptions, contribuant ainsi à favoriser les relations d’affaires , à
améliorer les conditions-cadres de l'économie et accroitre la compétitivité des produits destinés à l’export .
Les travaux de développement à entreprendre en faveur du registre de commerce auront pour finalité d’assurer une
progression dans le système du RCC, afin qu’il soit à niveau aux standards internationaux en terme de fiabilité ,
transparence et sécurisé, devant ainsi permettre l’accès aux informations légales, économiques et juridiques qu’il contient
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et répondre à l’attente d’une transparence de la vie des affaires tunisiennes, tant des acteurs économiques tunisiens et
internationaux que des administrations publiques.
Les acteurs tunisiens et étrangers accèdent aux services RCC y compris à une information instantanée grâce aux services
cyber du RCC et ceci sur l’ensemble du territoire et selon les conditions économiques du marché.
Sous-système de gestion du RCC (SYRCOT) : système qui va servir comme moyen de collecte et de gestion des données
relatives aux commerçants tunisiens venant du registre local, ainsi que l’indexation, la numérisation et l’archivage des
différents documents des dossiers du registre.
Il va permettre de collecter, de traiter et de diffuser des différents types de données complémentaires appartenant aux
partenaires de l’INNORPI (ministère des finances, Institut National des Statistiques, l’Ordre des Experts Comptables de
Tunisie… etc.) et en lien avec le RCC.
-la gestion de tout le workflow des dossiers parvenus depuis leurs arrivée au bureau d’ordre de l’INNORPI jusqu’à leur
archivage selon les normes internationales en passant par l’indexation, la numérisation et le traitement des données.
- la validation, traduction et en cas échéant ajout des données bibliographiques des dépôts de registre
Ce système doit être consultable au niveau local à l’INNORPI et au niveau externe, par ces partenaires et les délégations
régionales.
Sous-système des prestations électroniques : système qui va englober les différentes prestations offertes par le RCC, en
particulier :
o vente en ligne (produits informationnels : données et documents)
o veille électronique sur le RCC
o réservation des noms commerciaux (certificat négatif)
o aide économique (statistiques…)
o e-filing au niveau des RCL (Ministère de la justice)
Les moyens techniques nécessaires pour mettre en place ces prestations doivent être adaptées aux différentes
caractéristiques du fonds documentaire, des besoins réels et potentiels du public cible ainsi qu’aux nouvelles
technologies de l’information et de communication conclues en la matière. Les solutions techniques proposées devront
intégrer les dernières évolutions technologiques dans le domaine du e-commerce.
Sous-système de dépôt des registres locaux : système web pour la réception des dossiers de dépôt et d’inscription au
niveau des différents RCL.
Globalement, ce nouveau système, doit être paramétrable, évolutif, consultable sur le réseau et à distance et doit intégrer
les techniques les plus récentes du web.
Avoir un outil de travail pour le maintien des registres locaux (RCL) : actes de créations et de modifications des
personnes physiques et morales.
Avoir un outil de travail qui englobe tout le workflow relatif aux traitements des dossiers du RCC (données RCL,
données ajoutées, données traduites, documents scannés…)
Créer des bases de données documentaires spécialisées et similaires a celles disponibles dans les organismes étrangers
de registre de commerce,
Archivage selon les normes internationales en vigueur des dossiers papier.
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Renforcer la capacité des opérateurs économiques nationaux et internationaux ,à collecter, analyser et disséminer
l‘information économique sur les commerçants tunisiens.
Solution de numérisation, d’indexation et d’archivage des documents.
Capture de tous les documents même les très anciens ayant une mauvaise qualité.
Elaborer un plan de classement des archives
Cette mission de consulting couvrira aussi la conception et la mise en place d’un système de Records Management pour le
RCC à l’INNORPI. Ce système doit permettre la mise en œuvre de la conservation à des fins juridiques, administratives ou
patrimoniale de documents numériques du RCC grâce à un système d’information obéissant à des normes d’archivage et
de sécurité de contenus, et dont les exigences et les spécifications techniques doivent d’une part, garantir la sureté, la
sécurité, l’intégrité, la pérennité, la traçabilité des documents et d’autre part, de faciliter les opérations de recherche,
d’exploitation et de communication de l’information.
- Analyser les activités de l’organisme (le Registre Central du Commerce ) : plan de classement des activités ;
- Analyser les exigences archivistiques : besoins de preuve et d’information de chaque activité ;
- Sélectionner les documents à intégrer dans le système de records Management : analyse des obligations de
rendre compte issues de la réglementation, de l’analyse des risques induits par la perte des documents ;
- Définir la politique de conservation et de restitution des documents RCC : préserver l’information pour usages
futurs, préserver les documents à valeur probante et leur contexte de production, éliminer les documents
inutiles.
Le système de Records Management du RCC concerne toutes activités, tous les documents produits et reçus sur tous les
supports. L’adhésion des acteurs en amont et leur mobilisation en aval doivent être des éléments clés de la réussite du
projet.
1-l’état de l’infrastructure informatique au niveau de l’INNORPI en lien avec l’actuel système RCC:
2- l'état du système actuel du Registre du Commerce (au niveau RCL, RCC local, site web RCC, synchronisation des données,
scannage, indexation et stockage des documents, plan de classement physique des documents, politique de
communication de l’information économique…)
En effet, cette phase consiste à prendre connaissance du système actuel et de son fonctionnement.
Pour bien mener cette étude, une série d’entretiens avec les principaux intervenants est à envisager :
- Au niveau des partenaires INNORPI (ministère de la justice, ministère des finances, bureau développeur du système actuel
et toutes les autres parties prenantes).
Phase 2: Selon la stratégie adoptée, définir les besoins en logiciel et matériel informatique pour la réalisation du système
intégré en question et élaborer le cahier des charges technique relatif à chaque composante (matériel, logiciel, réseau,
formation RH) compte tenu de l'étude réalisée en phase 1.
Les critères techniques seront définis de manière exhaustive par type de biens et services.
Ils devront également s’imprégner des bonnes pratiques étrangères développées en la matière.
-les interactions à mettre en place entre ces différents sous-systèmes au niveau d’échange de données et des documents.
-la liste des équipements à acquérir pour la mise en place de ce système ainsi que leurs caractéristiques techniques
minimales.
- Le support / suivi technique nécessaire post installation (inclus maintenance, mise à jour en cas d’imprévus, etc.)
Les consultants devront établir des ventilations des prix des articles à acquérir par lot et une estimation globale des couts
du marché.
L’ensemble des cahiers de charges doit garantir la mise en place d’un système performant dans lequel les données et les
documents peuvent circuler facilement en toute sécurité et sans aucune ambiguïté qui supporte toute évolution et
extension futur. C’est un système ouvert.
Phase 3 : Accompagner les services techniques de l’INNORPI dans toutes les étapes de la mise en place du nouveau
système notamment :
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D’une manière générale, il s‘agit dans un 1er temps d’accompagner l’INNORPI dans la mise en place de la solution retenue
puis dans un 2ème temps d’assurer la réussite du démarrage du système choisi. Les prestations suivantes devront être
assurées :
- Le suivi du projet;
- L‘assistance aux divers paramétrages ;
- La coordination des travaux de réalisation des tests : assistance à la préparation des tests unitaires et des tests
d‘intégration, ainsi qu’à leur réalisation par les équipes de l’INNORPI;
- L’assistance à la validation des tests ;
- L’assistance à l’élaboration du plan de démarrage et au démarrage effectif.
Afin de pérenniser l’opération, la fonction informatique devra garantir la maitrise technique du système d’information du
registre du commerce. Ainsi, l’INNORPI doit se doter des compétences nécessaires à la gestion, l’administration et la
maintenance de ce système.
De la même façon, le reste du personnel affecté aux travaux du registre du commerce doivent bénéficier eux aussi d’une
mise à niveau qui va leurs permettre de mener d’une façon efficace leurs travaux quotidiens.
Cette phase devrait permettre d’identifier et d’évaluer les moyens humains en charge du registre, d’arrêter leurs profils et
de leurs apporter les formations et les savoir-faire utiles .Une analyse fine des besoins doit être réalisée, en privilégiant à
chaque moment le service rendu en interne et en externe, et l’optimisation des processus métiers. Le consultant devra
considérer la pertinence de l’option de combiner les formations mentionnées ci-dessous avec celles nécessaires pour
opérer le système IT.
Le Consultant sera appelé à définir des termes de référence pour la formation des professionnels d’information du RCC.
Phase 5 : Conception et mise en place d’un système de Records Management du Registre Central du Commerce :
En vu de rationaliser la gestion des documents du Registre central du Commerce de l’INNORPI, le système d’information du
RCC doit supporter et faire fonctionner une démarche de records management, qui sera basée sur les étapes suivantes :
1) Identification, description et documentation de toutes les activités du registre du Commerce, avec les missions et
attributions de chaque service.
2) Liste des documents qui découlent de ces activités, hiérarchisés dans un plan de classement.
3) Sélection des documents à prendre en compte dans le système, en fonction des besoins d'information des équipes, de la
règlementation en vigueur et du risque qu'il y aurait à ne pas produire tel ou tel document. Appliquer le records
management à tous les documents est en effet inutile et mobiliserait des moyens trop importants.
5) Détermination des règles de communication et d'accès aux documents (degrés de sécurité et de confidentialité des
documents et niveaux d'habilitations des utilisateurs).
6) Conception du système global, recouvrant les modalités d'entrée des documents dans le système (enregistrement et
immatriculation), les modalités de classement, d'indexation et de stockage et la gestion du sort final des documents :
destruction ou versement à un service d'archives historiques.
7) Mise en ouvre du système, en articulation avec les autres systèmes d'information de l’INNORPI : gestion du courrier ou
processus établi dans le cadre d'une démarche qualité, par exemple.
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Ce système de Records management doit se greffer au système de gestion électronique de document à concevoir dans le
cadre de cette mission. Il doit s’adapter facilement à la politique de management des documents du Registre Central du
Commerce (cartographie documentaire, plan de classement, référentiel de conservation, etc.).
Le Consultant est tenu à fournir chaque livrable en deux (02) exemplaires pour la version papier et une copie sur support
numérique. Tous les livrables seront fournis en langue française. Ils ne seront considérés réceptionnés que s’ils sont validés
et approuvés par l’INNORPI. La validation des livrables établis par le titulaire du marché interviendra dans un délai de
quinze (15 j) jours ouvrables au maximum à partir de leur remise à l’INNORPI.
Passé ce délai, le Consultant peut considérer de plein droit que les documents remis ne suscitent aucun commentaire de la
part du comité de validation du projet et que par conséquent ils sont validés par ce dernier.
La durée totale de la mission est estimée à 120 Homme/Jour. Le Consultant proposera un chronogramme clair et
détaillé nécessaire à la réalisation de l’ensemble des différentes phases de la mission.
L’INNORPI mettra à la disposition des consultants toutes les informations et la documentation disponible nécessaire à
l’accomplissement de la mission.
Les consultants seront appelés à effectuer des visites de travail auprès des partenaires de l’INNORPI et des parties
prenantes externes en relation avec le système national du RCC, tels que : le Ministère de la justice ( les tribunaux), le
Ministère des Finances.
Cette action sera confiée à un bureau de consultants spécialisé, qui devra avoir:
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7- Méthodologie de Sélection appliquée :
Les Bureaux de Consultants intéressés par cette mission doivent transmettre à la Direction Générale de
l’INNORPI un dossier de candidature comprenant les éléments suivants : la présentation du bureau et ses
références concernant l’exécution des contrats analogues , une lettre de motivation au Nom du Directeur
Général de l’INNORPI , les Curriculum Vitae des consultants désignés pour l’accomplissement de cette mission,
avec une liste de leurs emplois et activités précédents et toutes autres pièces relatives à leurs expériences et
qualifications requises pour l’accomplissement de cette mission, dans un délais qui ne dépasse pas les 30 jours à
partir de la date de la publication de la Demande de Manifestation d’Intérêt dans la presse nationale et sur le
site web de l’INNORPI , au Bureau d’Ordre Central de l’INNORPI, Rue de l’assistance n°8 par la rue Alain Savary,
BP 57- Cité EL Khadra – 1003 Tunis – TUNISIE.
La sélection suivra les procédures décrites dans les Directives pour la Sélection et l’Emploi de Consultants de la
Banque Mondiale (Janvier 2011, révisé en juillet 204 -section 3.7).
La commission d’évaluation des soumissions établira une liste restreinte de tous les bureaux qui ont répondu à
l’avis de manifestation d’intérêt en fonction de leurs qualifications au regard de la nature de la mission. Le
Bureau de consultants retenu sera invité à remettre une proposition technique et financière, puis à négocier le
marché. Les négociations porteront sur les termes de référence, la méthodologie proposée pour exécuter la
mission, le personnel, les moyens mis à la disposition du consultant par le client et les prix de l’offre.
Le Bureau de Consultants retenu ne sera pas autorisé à changer le personnel clé à moins que les deux parties
conviennent que ce remplacement est indispensable à la réalisation des objectifs de la mission. Si tel n’est pas le
cas, et s’il est établi que le consultant a inclus dans la proposition une personne clé sans s’être assuré de sa
disponibilité, ce consultant pourra être disqualifié.
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