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Chapitre 2

Technologie récente
(MIMO)
Maha Cherif LFT3
ISTIC 2017-2018
MIMO
(Multiple Input Multiple Output)
Introduction (1)
 Il existe différents types de systèmes multi-antennaires :
 les systèmes SIMO (une antenne à l’émission et plusieurs
antennes à la réception),
 les systèmes MISO (plusieurs antennes à l’émission et une
antenne en réception),
 les systèmes MIMO (plusieurs antennes à l’émission et plusieurs
antennes à la réception).
canal
Tx Rx SIMO

Tx canal Rx MISO

Tx canal Rx MIMO
Introduction (2)
 Les systèmes multi-antennaires ont évolué et sont en
constante progression actuellement. Leurs bénéfices sont
multiples :
 Gain de densité (Array gain) :
- En utilisant plusieurs antennes, la porté du signal accroît.
- Pour couvrir une grande surface où la densité de population
est faible, il n’est plus nécessaire d’avoir une puissance de
signal élevée.
 Gain de diversité (Diversity gain) :
- Le gain de diversité est obtenu grâce aux différents trajets
empruntés par les signaux atteignant plusieurs antennes.
Introduction (3)
 Multiplexage spatial (Spatial Multiplexing) :
 Permet d’augmenter le débit de la transmission pour une même largeur
de bande que le système original sans augmenter la puissance totale
d’émission.
 Seul un canal MIMO rend possible le multiplexage spatial.
 Les données à émettre sur chaque antenne sont démultiplexées, c'est-à-
dire que le flux de données initiales est réparti en 𝑁𝑡 sous-flux chaque
sous-flux est ensuite modulé et émis simultanément.
 Réduction des interférences :
 Dans les communications sans fil, le découpage en cellule permet de
limiter l’interférence co-canal.
 L’utilisation de multiples antennes rend la différenciation entre la
signature spatiale du signal désiré et le signal du co-canal plus aisée ce
qui réduit l’interférence.
Modélisation des systèmes multi-
antennaires
 Afin de rendre plus compréhensible la modélisation des systèmes
multi-antennaires, le nombre d’antennes sera limité à deux antennes,
et le principe étant identique pour un nombre d’antennes plus
important.
1- SIMO
 Un système SIMO peut être modélisé par un nombre d’équations
équivalent au nombre d’antennes en réception :
𝑦1 = ℎ11 𝑋 + 𝑏1 𝑦1 ℎ11 𝑏1
𝑦2 = 𝑋 +
ℎ12 𝑏2
𝑦2 = ℎ12 𝑋 + 𝑏2
 Où 𝑦𝑖 est le signal reçu, ℎ𝑖𝑗 est le gain du canal entre l’antenne
d’émission et l’antenne de réception, 𝑏𝑖 représente le bruit, pour
respectivement à la 𝑖𝑒𝑚𝑒 antenne et 𝑥 est le symbole complexe
émis.
2- MISO
 C’est le cas inverse au cas SIMO. Une seule équation suffit à modéliser
ce système :
 𝑦 = ℎ11 𝑥1 + ℎ12 𝑥2 + 𝑏 ℎ11 𝑥1
𝑦= +𝑏
ℎ12 𝑥2
Où 𝑦 est le signal reçu.
3- MIMO
 Plusieurs architectures ont été développées parallèlement, allant
du multiplexage spatial aux codes spatio-temporels et proposant
toutes une amélioration incroyable des performances des
systèmes de transmission.
 La figure suivante représente le model d’un système MIMO avec
le démultiplexage (mise en parallèle des données série) des
symboles 𝑥𝑗 sur chaque antenne et le multiplexage (mise en
série des données parallèles).
 Le système MIMO classique considéré est un système ayant 𝑁𝑡
antennes d’émission et 𝑁𝑟 antennes de réception, qu’on va
désigné par la suite par MIMO (𝑁𝑟, 𝑁𝑡)
𝑥1 ℎ11 𝑦1
ℎ21 ℎ12
𝑥2 ℎ22 𝑦2
Entrée Codage ℎ1𝑁𝑟 Décodage Sortie
Modulation ℎ2𝑁𝑟 ℎ𝑁𝑡2 Démodulation
ℎ𝑁𝑡1
𝑥𝑁𝑡 ℎ𝑁𝑡𝑁𝑟 𝑦𝑁𝑟

 Le signal reçu par l’antenne 𝑗 (𝑗 = 1, 2, … , 𝑁𝑟) est la somme des


contributions des symboles émis (𝑥1 , 𝑥2 , … , 𝑥𝑁𝑡 ) multipliée par le gain
complexe ℎ𝑖𝑗 des liaisons correspondantes :
 L’équation peut être réécrite d’une manière matricielle afin de la rendre
plus synthétique :
𝒚 = 𝑯𝒙 + 𝒃
 Où 𝒚 = 𝑦1 , … , 𝑦𝑁𝑟 𝑇 , 𝒙 = 𝑥1 , … , 𝑥𝑁𝑡 𝑇 et 𝒃 = 𝑛1 , … , 𝑛𝑁𝑟 𝑇

ℎ1,1 ⋯ ℎ1,𝑁𝑡
 Soit 𝑯 = ⋮ ⋱ ⋮ est la matrice du canal.
ℎ𝑁𝑟,1 ⋯ ℎ𝑁𝑟,𝑁𝑡
4- Multiplexage Spatial

On divise l’information en autant de flux que d’antennes d’émission

Augmentation du débit proportionnelle au nombre d’antennes d’émission

Décodage spatio-temporel en réception (il faut au moins autant d’antennes)


 Le principe du multiplexage spatial est l’agencement sans
redondance de la séquence d’information suivant l‘axe spatial.
 Le système transmet alors 𝑁𝑡 fois plus de symboles utiles par unité
de temps qu’un système SISO.
 L’architecture de ce premier système MIMO, est appelé codes
BLAST (Bell Laboratories Layered Space-Time).
 Pour pouvoir être décodés, ces codes BLAST doivent utiliser au
moins autant d’antennes en réception qu’en émission.

4-1- Architecture H-BLAST (Horizontal-BLAST)


 Cette architecture horizontale découpe directement la chaîne
d‘information en 𝑁𝑡 sous-chaînes, puis chacune est codée
indépendamment.
 Après avoir été modulée, chaque sous-chaîne est transmise
simultanément par son antenne.
1 𝑥1
Codeur Modulateur Entrelaceur

Bits
S/P

𝑁𝑡 𝑥𝑁𝑡
Codeur Modulateur Entrelaceur

 Ce mode permet d’exploiter seulement la diversité temporelle à l’émission.


4-2- Architecture D-BLAST (Diagonal-BLAST)
 Cette architecture possède une structure plus complexe.
 Chaque sous-flux d’information est codé indépendamment puis il est réparti sur
une diagonale espace-temps grâce à un entrelaceur.
 Par conséquent, chaque sous-flux subit tous les évanouissements du canal MIMO,
ce pendant la complexité de décodage la rend peu attrayante.
 L’intérêt de ce système est qu’il exploite à la fois la diversité spatiale et
temporelle
1 𝑥1
Modulateur

Bits
Codeur Entrelaceur S/P

𝑁𝑡 𝑥𝑁𝑡
Modulateur

4-3- Architecture V-BLAST (Vertical-BLAST)


 Cette architecture verticale est simplement composée d’un démultiplexeur
permettant de diviser le flux des données en 𝑁𝑡 sous-flux munies chacune d’un
modulateur.
 Les sous-flux de l’information résultante sont ensuite transmis sur l’antenne qui
leur associée.
 Le décodeur peut être un système de dimension classique puisque le flux
détecté provient de la même antenne.
 Ainsi, l’architecture V-BLAST comme l’architecture D-BLAST permet d’exploiter
la diversité spatiale et/ou la diversité temporelle à l’émission mais il est de
complexité plus faible.
1 𝑥1
Codeur Modulateur Entrelaceur

Bits Entrelacement
S/P spatial

𝑁𝑡 𝑥𝑁𝑡
Codeur Modulateur Entrelaceur

 Afin de rendre plus compréhensible l’estimation des symboles au niveau du


récepteur, la limitation sera effectuée, ici, à 𝑁𝑡 = 𝑁𝑟 = 2.
 A la réception du V-BLAST MIMO, le signal reçu sur chaque antenne est :
𝑥1
𝑦1 = ℎ1,1 𝑥1 + ℎ1,2 𝑥2 + 𝑏1 = ℎ1,1 ℎ1,2
𝑥2 + 𝑏1
𝑥1
𝑦2 = ℎ2,1 𝑥1 + ℎ2,2 𝑥2 + 𝑏2 = ℎ2,1 ℎ2,2
𝑥2 + 𝑏2
 Pour plus de commodité, les équations ci-dessus peuvent être représentées en
notation matricielle comme suit:
𝑦1 ℎ1,1 ℎ1,2 𝑥1 𝑏1
𝑦2 = +
ℎ2,1 ℎ2,2 𝑥2 𝑏2
 Une forme équivalente est donnée par :
𝒚 = 𝑯𝒙 + 𝒃
4-4- Décodage linéaire
 Il existe un grand nombre d’égaliseur différent pour estimer les données émis.
 Deux principaux décodeurs linéaires sont couramment utilisés dans le système
V-BLAST MIMO, le récepteur forçage à zéro ZF (Zero Forçing) et le récepteur qui
minimise l’erreur quadratique moyenne MMSE (Minimum Mean Squar Error).
Décodeur ZF
 Il est basé sur l’inversion de la matrice du canal 𝑯. Cette technique consiste à
appliquer au signal reçu une matrice d’égalisation 𝓦. Cette matrice 𝓦 est égale
à l’inverse ou au pseudo inverse de la matrice 𝑯:
𝑯−1 𝑠𝑖 𝑯 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑎𝑟𝑟é
𝓦𝑍𝐹 =
𝑯𝐻 𝑯 −1 𝑯𝐻 𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑛
Décodeur MMSE
 Il consiste à minimiser l’erreur quadratique moyenne 𝐸 𝒙 − 𝒙 𝒙 − 𝒙 entre le
vecteur du signal estimé et celui du signal transmis. La caractéristique de
transfert est donnée par l’équation suivante :
−1
𝜎𝑏2
𝓦𝑀𝑀𝑆𝐸 = 𝑯𝐻 𝑯 + 𝑰 𝑯𝐻
𝜎𝑥2

 Avec, 𝜎𝑏2 et 𝜎𝑥2 représentent successivement la variance du bruit et la puissance


moyenne du signal transmis.
 Comparant cet égaliseur par rapport à l’égaliseur ZF, cette technique
prend en considération à la fois du bruit et de l’interférence entre les
symboles.
5- Les codes espace-temps
 Les codes temps-espaces (STC : space-time coding) sont apparus
afin d’améliorer la fiabilité de la transmission dans un contexte de
diversité d’émission.
 La figure suivante présente les différentes familles de codes. Deux
approches dérivées des codes SISO existent :
 les codes en blocs (STBC : space-time block coding)
 Les codes en treillis (STTC : space- time trellis coding).
 Les premiers sont simples à mettre en œuvre et les seconds offrent les
meilleures performances.
 Notons que dans le contexte de l’implémentation et plus encore du
prototypage, les codes en blocs sont presque tout le temps préférés à
leur homologue en treillis.
 Les familles de codes temps-espace.

 Les codes en blocs se décomposent en plusieurs groupes, jouant sur l’orthogonalité


des données transmises par les antennes, car la superposition des données sur
chaque antenne de réception corrompt les données originales.
 Un codage particulier permettant au récepteur de les séparer facilement est qualifié
d’orthogonal.
 Ce qualificatif donne son nom à un des groupes des codes STBC : les OSTBC
(Orthogonal STBC).
 Les autres groupes sont alors qualifiés de codes STBC quasi-orthogonaux ou
simplement de STBC s’il n’y a pas d’orthogonalité.
 Du point de vue système, les STC insèrent de la redondance dans le débit
symbole et diminuent donc le débit utile.
5-1- Code Alamouti
 En cherchant à résoudre le problème de la complexité de décodage pour STTC,
Alamouti a découvert une technique de transmission utilisant deux antennes à
l'émission et permettant un décodage au sens du maximum de vraisemblance
linéaire.
 La figure suivante montre le principe de fonctionnement de cette technique de
transmission :
𝑥1 𝑦1 𝑥1

Codeur Décodeur
𝑥2 STBC STBC 𝑥2
𝑦2

 La matrice de définition du code Alamouti est la suivante :


𝑥1 −𝑥2∗
 𝑋 = 𝐶𝑆𝑇𝐵𝐶,2 =
𝑥2 𝑥1∗
 Avec 𝑥1 et 𝑥2 sont deux symboles d’information, le vecteur reçu s’écrit :
𝑥1 −𝑥2∗
𝑦1 𝑦2 = ℎ1 ℎ2 + 𝑏1 𝑏2
𝑥2 𝑥1∗
 Les signaux reçus sont donc :
𝑦1 = ℎ1 𝑥1 + ℎ2 𝑥2 + 𝑏1
𝑦2 = −ℎ1 𝑥2∗ + ℎ2 𝑥1∗ + 𝑏2
 Le code présente la propriété d’être orthogonal car nous avons :
𝐻 2 2
𝐶𝑆𝑇𝐵𝐶,2 𝐶𝑆𝑇𝐵𝐶,2 = 𝑥1 + 𝑥2 𝑰2
 Ce système peut se mettre sous la forme équivalente :
𝑦11 ℎ11 ℎ12 𝑥1 𝑏11
𝑦 = 𝑦∗ = ∗ ∗ 𝑥 + ∗ = 𝐻𝑋 + 𝐵
12 ℎ 12 −ℎ 11 2 𝑏12
 Pour ce code, le gain de diversité est égal à ℎ11 2 + ℎ12 2 .
 Comme 𝐻 est une matrice orthogonale, le décodage au sens du
maximum de vraisemblance (MV) s’obtient simplement en multipliant le
vecteur reçu par 𝐻𝐻 ,
𝑋 = 𝐻𝐻 𝑦
5-2- Autres codes ST en bloc orthogonaux
 Le code d’Alamouti est le seul code orthogonal complexe permettant
d’atteindre la diversité maximale.
 Il existe seulement quelques autres codes orthogonaux complexes.
Par exemple pour 𝑁𝑡 = 3, 𝑁𝑟 = 1: on a la matrice code suivante:
𝑥1 𝑥2 𝑥3 0
∗ ∗
𝐶𝑆𝑇𝐵𝐶,3 = −𝑥2 𝑥1 0 −𝑥3
−𝑥3∗ 0 𝑥1∗ 𝑥2
 Comme précédemment, la structure orthogonale permet de décoder
simplement ce code.
Par exemple pour 𝑁𝑡 = 4 ∶ on a la matrice code suivante:
𝑥1 −𝑥2∗ −𝑥3∗ 𝑥4
𝑥2 𝑥1∗ −𝑥4∗ −𝑥3
𝐶𝑆𝑇𝐵𝐶,4 =
𝑥3 −𝑥4∗ 𝑥1∗ −𝑥2
𝑥4 𝑥3∗ 𝑥2∗ 𝑥1
 Cette matrice est obtenue à partir de deux matrices d’Alamouti et d’une
transformée de Hadamard.
 Contrairement aux codes STBC orthogonaux on a :
𝐻𝐻 𝐻 = 4𝑖=1 ℎ1𝑖 2 𝑰4 + 𝐉
où la matrice 𝐉 est la matrice d’interférence.

6- Capacité des systèmes MIMO


 La capacité des systèmes MIMO est un sujet d’actualité.
 Pour un système SISO la capacité est donnée par la formule de Shannon :
𝐶𝑆𝐼𝑆𝑂 = 𝑙𝑜𝑔2 1 + 𝛾 ℎ 2 𝑏𝑝𝑠/𝑠/𝐻𝑧
Où, ℎ représente les coefficients complexes du canal et 𝛾 est le rapport
signal sur bruit instantané (ou encore Signal Noise Ratio (𝑆𝑁𝑅)).
𝜎𝑥2
 Soit, 𝛾 = avec 𝜎𝑥2 = 𝐸 𝑥 2 est la puissance émise et 𝜎𝑏2 = 𝐸 𝑏 2
𝜎𝑏2
présente la variance du bruit.
 On peut également déterminer la capacité du système MIMO en
considérant la matrice du canal de taille 𝑁𝑟 × 𝑁𝑡, et en l’absence
d’information d’état du canal à l’émission, l’émetteur distribue la
puissance d’une façon uniforme sur chaque antenne, par conséquent
l’équation de la capacité devient ainsi :
𝛾
𝐶𝑀𝐼𝑀𝑂 = 𝑙𝑜𝑔2 𝑑𝑒𝑡 𝑰𝑁𝑟 + 𝑯𝑯𝐻 𝑏𝑝𝑠/𝑠/𝐻𝑧
𝑁𝑡
 Avec, 𝛾 représente le 𝑆𝑁𝑅 instantané pour chaque antenne de réception
et 𝑰𝑁𝑟 est la matrice d’identité de taille 𝑁𝑟.
 Pour des valeurs élevées de 𝑆𝑁𝑅, l’espérance de la capacité pour un
canal de Rayleigh croit proportionnellement à 𝑁𝑟 et nous obtenons :

𝛾 𝛾
𝐶𝑀𝐼𝑀𝑂 = 𝐸 𝑙𝑜𝑔2 𝑑𝑒𝑡 𝑰𝑁𝑟 + 𝑯𝑯𝐻 #𝓂𝑙𝑜𝑔2 𝑏𝑝𝑠/𝑠/𝐻𝑧
𝑁𝑡 𝑁𝑡
Avec 𝓂 = min 𝑁𝑡, 𝑁𝑟 .
6- MIMO massives
Qu’est-ce qu’un MIMO massive ?
Multi-utilisateur avec beaucoup d'antennes au station de base

Des dizaines d'utilisateurs Des centaines d'antennes BS

 Un très grand réseau d'antennes à chaque station de base


 Un grand nombre d'utilisateurs sont servis simultanément
6-1- introduction
 MIMO massif promet :
 Des gains significatifs dans les débits de données sans fil
 La fiabilité de liaison
 Cette approche avec des centaines d'antennes est différente de
l'architecture BTS des normes actuelles (MIMO classique (8)).

MIMO massif réduit la puissance rayonnée en focalisant l'énergie


sur les utilisateurs mobiles ciblés à l'aide de techniques de précodage.

Ceci est particulièrement intéressant dans les réseaux cellulaires


actuels limitant l'interférence.

Le MIMO s’écarte de la topologie classique


Accommodant toutes les stations à plusieurs kilomètres
Relay station
Points d'accès wifi
Multiplexage spatial
d'ordre très élevé
Antennes
massives
6-3- Architecture de MIMO massive
𝑀 antennes (SB) 𝐾 utilisateurs

Emetteur Canal
MIMO Récepteur

 SB avec de nombreuses antennes


 Signaux très directives
 Faible fuite d'interférence
 BTS peuvent communiquer simultanément avec
plusieurs l'équipement utilisateur (EU) ou des
utilisateurs mobiles.
6-4- Multiplexage
 Vu que le système MIMO Massif utilise un multiplexage spatial, il est
donc nécessaire d’avoir une bonne connaissance du canal.
 Le nombre d’antenne M est très nombreux, par conséquent,
l’utilisation de la technique Time Division Duplexing (TDD) est
préférable.
 En utilisant la technique Frequency Division Duplexing (FDD),
l’estimation du canal dépend du nombre d’antenne M à la station de
base. Par contre, avec TDD, l’estimation du canal est indépendante
de M.
Exemple: si T = 200 symboles
 FDD: le nombre d’antenne à la station de base et le nombre
d’utilisateur sont limité par M+K<200,
 TDD: la limite de M et de K est 2K <200.
L’ajout d’antennes de plus n’affecte donc pas ressources nécessaire
pour l’estimation du canal, pour le système TDD.
6-5- Conclusion

 Une centaine voire une millième d’antenne à la station de base


serve un très grand nombre d’utilisateurs simultanément et
dans la même fréquence.

 La technologie MIMO massif offre beaucoup d’avantages en


termes de débits, de robustesse et de fiabilité.

 Ce système reste donc le meilleur candidat pour le


déploiement du système communications de la 5ème
génération.

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