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15.09.

09

Partiel → Commentaire d'arrêt


Il faudra utiliser soit:
1. Le Code du commerce (sociétés commerciales)
2. Le Code des sociétés (2)
3. Le Code Civile (société civile)

INTRODUCTION

Textes récents qu'ont affecté le Droit des Sociétés

Loi de 1966 – Inspiré du Droit Allemand, cette loi a mis en place des formes sociétaires très
institutionalisées, c'est-à-dire, formes sociétaires dont le régime est extraordinairement organisé par
la loi. Le legislateur règle de très près leur organisation. Plus la responsabilité des associés est
limité, plus les sociétés sont institutionalisés.

Société Institution X Société Contrat

Ce sont aussi des sociétés dont la responsabilité des associés est limitée.

Société a responsabilité (risque) limitée → les associés ont la responsabilité limitée au montant de
leur apports. Cela se manifeste au moment de la dissolution de la société. Après la dissolution, suis
une fase de liquidation des actifs et passifs de la société personne morale. On commence par
rembourser les créanciers sociaux. Si après cela il reste des sommes, on rembourse les apports des
associés. S'il reste encore quelque chose, il reste le « boni de liquidation ». C'est la marque d'une
société qui a effectivement fonctionnée. Ce boni sera partagé entre les associés. En revanche, si la
société souffre de difficultés financières et il n'y a même pas assez pour rembourser les créanciers,
on s'arrête là. Dan ce cas là, le plus que les associérs ont perdu est de ne pas être remboursés de leur
apport.

Société a responsabilité (risque) ilimité → on aborde l'autonomie de la société personne morale. Les
créanciers peuvent se tourner vers les associés, lorqu'il n'a pas d'argent dans la société. Les associés,
sur leur patrimoine personnel, vont devoir rembourser les créanciers de la société.

Sociétés a risque ilimité


Société en nom collectif ( de moins en moins utilisé)
Société en commandite simple
Société Civile (le plus utilisés)

Sociétés limités
Société anonyme (on fera un abordage icomplet, car tout est réglé ár la loi)
Société par action simplifié (SAS)
Société unipersonnelle

Droit des groupes de sociétés

Sociétés institutionalisés et sociétés a risque limité → c'est parce que ce sont des sociétés a risque
limité que le legislateur a voulu les istitutionaliser. Les créanciers n'auront que le patrimoine de la
société (le capital social).
Dans les sociétés a risque ilimité c'est un peu moins grave, parce que les créanciers pourront se
retourner un jour contre le patrimoine des associés. Il y a plus de liberté contractuelle : le statut de la
société. Les parties ont droit à intégrer presque tout ce qu'elles veulent dans le statut (liberté
statutaire).

En revanche, le Pacte d'actionnaires présente des difficultés:

– Opposabilité au tiers → opposé à le statut, les tiers n'ont pas accès.


– Réelle efficacité → on ne sais pas toujours si le pacte est valable (Ex. Pacte léonin). Parfois,
il est necéssaire de voir la Cour de cassation pour la déclaration de la validité d'un pacte
(trop risqué). En plus, il y a des sanctions en cas de non respect du pacte de préference, par
exemple.

La tendance des droits des sociétés c'est de priviligier la liberté, surtout la liberté statutaire. D'où
l'importance des contracts civils et commerciaux, une fois que le statut est un contract.

La liberté statutaire étais jusqu'ici l'apanage des sociétés a risque ilimité. Sauf qu'aujourd'hui le
legistateur semble offrir le beurre (responsabilité limité) et l'argent du beurre (liberté statutaire).

Ex. Le capital social des sociétés a responsabilité limité. Pendant très longtemps, parce que la
responsabilité c'était limitée, le legislateur imposait un montant minimal (réunion des apports des
associés = capital social). Dans les sociétés à responsabilité ilimitée, il n'avait pas un montant
minimale. Aujourd'hui, cette exigence d'un montant minimal du capital social n'existe pas. Ce sont
les statuts qui fixeront librement. On sacrifie les créanciers de la société. Alors, on trouvera d'autres
méchanismes judicials, comme les cautions. Notamment, non seulement du dirigeant, mais aussi de
son conjoint, parfois. C'est la fin de l'autonomie de la société.

Loi du 15/05/2001 (Loi NRE): a contribué à la société anonyme

Loi 2003721 (Loi pour l'initiative économique) du 01/08/2003 : modifie les exigences de capital
social dans les SARL et l'on a intégré la possibilité pour l'entrepenneur principale de déclarer sa
résidence principale (??) semblant de patrimoine unique.

Loi 2003706 (Sécurité Financière) : modifie la société anonyme en essayant d'instituer plus de
transparence sociale et en modifiant le mission du commissaire aux comptes de la société anonyme.

Ordonnance du 25/03/2004 : assouplie encore la SARL.

Ordonnance 24/06/2004: réforme la valeur immobilière

Loi 04/08/2008: considérablement assouplie la société par action simplifié (la plus récente en force
→ lois du 03/01/1994 et 12/07/1999). Cette loi bouleverse considérablement le recours aux sociétés
françaises.

Les sociétés civiles n'évolouent que dans le domaine civil. Auparavant, pour les petites structures,
on avait la SARL. Lorsqu'on avait une société avec un petit plus d' unvergure, on pouvait envisager
la société anonyme. Celle-là, avant 1999, pouvait envisager des petites et grandes sociétés. Le SAS
est venue s'installer là dedans. A partir de 2000 (Loi l 'eurl).

SARL → petite structure


SAS → plus conséquences. Ne peut pas faire appel publique dans l'état. Pour cela, il faudra choisir
une société anonyme, quasiment la seule société commerciale qui a droit de faire appel publique à
l'état.

Petites → SARL
Moyennes → SAS
Cotisation en bourse → société anonyme

La loi de 2008 va bouleverser tout cela. La société par action simplifié est concurrente de la SARL
et la société anonyme. Maintenant, toute société, même les plus petites, peuvent constituer une
SAS.

La liberté statutaire de la SAS peut devenir dangereuse pour les petites sociétés, vu que s'il n'y a pas
de solutions dans le statut, le code ne pourra pas aider.

La loi du 12/07/1999 est quasiment la vrai réforme du droit des sociétés.

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Classification habituel des sociétés

1. Risque limité X Ilimité


2. Capitaux X Personnes
Classifié selon l'importance apporté à un de ses élements. La société anonyme et la SAS sont des
sociétés de capitaux. La SARL est hibride. Aujourd'hui, vue qu' il n'y a plus d'exigence d'un capital
minimal, elle présente de plus en plus des caractéristiques d'une société de personnes.
3. Avec X Sans personnalité morale
La plupart des sociétés ont la personalité morale à compter de leur immatriculation au Registre de
Commerce des Sociétés (RCS). Il y a, cependant, deux exemples de sociétés sans personnalité
morale: la société en participation (volontairement) et la société créée de fait (judiciaire; permettra
de mieux dissoudre la société en cas de divorce. N'est pas une société, mais plutôt un
comportement).

Droit sociaux = part social + actions

PREMIERE PARTIE : LES sociétéS A RISQUES ILIMITES

CHAPITRE 1 – LES SOCIÉTÉS COMMERCIALES A RISQUE ILLIMITE

SECTION 1 – LA SOCIETE EN NOM COLLECTIF

Une des formes le plus anciennes de sociétés en France. Au départ, quand on constituait une société,
on acceptait des forts risques. Aujourd'hui, on veut de plus en plus limiter les risques des associés.

Les associés sont tenuent d'une façon ilimité et solidaire. C'est un confort extreme pour les
créanciers, car il sufit de bien choisir l'associé qui devra rembourser la totalité de la dette. Bien
qu'après il pouvra se retourner aux autres associés.

Les asociés ne peuvent pas diminuer cet engagement ilimité et solidaire. Ils pourront remarquer
qu'ils ne contribueron aux pertes des sociétés que pour une certaine part, mais la clause sera
inopposable aux créanciers. L'obligation à la dette sociale est d'ordre publique. En revanche, la
contribuition en perte concerne les rélations entre associés, étant possible l'aménagement.
On exige des associés qu'ils ont tous la qualité de commerçants (pas de mineurs, pas d'interdits
commerciaux). Ce qui va compter surtout sera la personne des associés, avant leur part du capital.
C'est une société très fermée: pour y rentrer il faut obtenir un accord unanime des associés.

SNC fonctionne dans le principe de unanimité, à défaut de précisions.

Droit de vote dans les assemblés générales: deux possibilités


a. Par tête (un homme une voix)
b. Par part au capital social.

Dans la SNC on vote par tête. Dans la SARL on vote par part sociale. Dans la SAS c'est le statut qui
va déterminer.

Il s'agit d'une société type de personne. Comme toute forme de société, la SNC obéit aux règles
générales de dissolution des sociétés. Les causes de dissolution des sociétés sont plusieurs:

a. Disssolution statutaire;
b. Réalisation de l'objet social de la société;
c. Extintion de l'objet social;
d. Décheance du terme de la société;
e. Dissolution judiciaire par juste motif -Désaccord (mésentente) entre associés entraînant la
paralisie des orgains sociaux. Quand rien n'a été prévu, le juge prefère extinger la société, plutôt que
d'exclure un associé;
f. Causes spésifiques aux SNC:
– un associé perdre la capacité d'être commerçant (quand il n'y a rien d'autre prévu);
– le décès d'un associé (quand il n'y a rien d'autre prévu) est une cause de dissolution
automatique.

Il y a des dispositions d'ordre publique qui sont incontournables dans la SNC. La société civile est
aussi une société de personne, mais beaucoup plus ouverte. La SNC reste bien rigide.

La SNC est utilisée quand les associés veulent mantenir un lien très fort. La confiance entre
associés est primordiale.

Pour l'exploitation du débit du tabac, la loi oblige la constitution d'une SNC. Les raisons fiscales
incitent leur formation aussi dans le domaine immobilier.

SECTION 2 – LA SOCIETE EN COMMANDITE SIMPLE

Une des formes le plus anciennes, en correspondant le plus l'esprit d'adventure qu'on pourrait
attendre d'une constitution de sociétés. Il y a eu besoin de personnes qui voulait le risque et qui
n'avaient pas les moyens et d'autres qu'avaient des moyens et qui ne voulait pas se risquer.

Met en place deux catégories d'associés, ayant chaqu'un un régime différent:

a. Associés commandités: prennent tous les risques. Vont s'engager comme pour les sociétés a
risque ilimité. Si leur aventure réussi, ils gagnent beaucoup, sinon, ils perderont beaucoup. La
responsabilité est solidaire en cas de finalité commerciale.

b. Associés Commanditaires: risquent seulement de ne pas avoir ce qu'ils ont apporté. Leur
responsabilité est limité.

Cette double catégorie d'associés est complexe. Il est fait interdiction aux associés commanditaires
de s'imicer dans la direction de la société. En cas de decès de l'associé commandité, la société fera
l'objet d 'une dissolution.

C'est une forme de société pas trop utilisé et peu pratique.

CHAPITRE 2 – LES SOCIETES CIVILES

Les sociétés civiles sont nombreuses en nombre mais aussi en catégorie. Ce qui fait qui l'on a des
sociétés civiles de façon générale (droit commun des sociétés civiles; code civile) et des sociétés
civiles de types particuliers qui obeissent à des régimes différents, suivant le domaine à qu'elles
interesent (agricole, immobilier, professionnelles; SCP)

Les SCP répondent à une responsabilité ilimité et solidaire. Sont fortement concurrencé par des
Sociétés d'exercise libéral (SEL), Société d'exercise libéral anonyme, Société d'exercise libéral
responsabilité limitée. Ce sont des sociétés commerciales qui permettent d'organiser les professions.

SECTION 1 – LES SOCIETES CIVILES DE DROIT COMMUN

On envisage suivant une société commerciale pour une finalité économique.

Les sociétés civiles n'ont pas pour objectif d 'organiser une exploitation commerciale. Elle va avoir
comme objectif d'organiser certaines activités civiles (agriculture, professionnelle). Objectif: gérer
et transmettre un patrimoine → immobilier.

En ce qui concerne la direction de la société dans les sociétés de personnes, on parlera de gérant.
Dans les sociétés de capitaux, on aura des administrateurs +2 (anonyme) et le président (action).

I – LES ACTEURS DE LA SOCIETE CIVILE

A. LES ASSOCIÉS

À l'instar de la SNC, n'ont pas l'obligation d'être commerçant. Par conséquent, un minneur peut être
associé. Cela peut même, parfois, être fiscalement intéressant, parce que si un associé détient
pendant au moins 15 ans des parts sociales d'une société civile immobilière, il ser exoneré des taux
immobilières (impôt sur le ????).

Le mineur ne pourra pas être gérant et aura, parfois necessité d'une autorisation d'un conseil de
famille pour devenir associé.

Les associés ont une responsabilité ilimitée et conjointe, c'est – à – dire, les associés sont
responsables à l'hauteur de leurs apports sociaux.

22.09.09
1 – L'obligation des associés

Cette société est civile, donc elle échappe à une des règles de droit ??, donc la solidarité entre
débiteurs ne sera pas presme, même si leur responsabilité sera illimité.
Dans les SCP, le législateur a tenu les associés avec une responsabilité ilimitée et solidaire au regard
de la dette sociale.

Dans la société civile, la responsabilité des associés sera illimitée et conjointe à hauteur de leurs
apports. Le créancier doit demander sa créance à chaqu'un en fonction de l'hauteur de leurs apports,
bénéfice de % (Art. 1857 Ccvil)

Article 1857
A l'égard des tiers, les associés répondent indéfiniment des dettes sociales à proportion de
leur part dans le capital social à la date de l'exigibilité ou au jour de la cessation des
paiements.
L'associé qui n'a apporté que son industrie est tenu comme celui dont la participation dans
le capital social est la plus faible.

C.Cass, civ. 3 Èmme, 28 novembre 2005: cette responsabilité reste en fonction de même illimitée,
même si les associés sont mineurs. La Cour de Cassation aime à appeler que cette responsabilité des
associés n'est pas rarement assimilable à un orgagem de cautionement. Par conséquent, pour devenir
associé d'une société civile, il n'est pas nécessaire de répondre au formalisme du C+ de
cautionement.

Dans une société civile les créanciers ne peuvent pas poursuivre les associés qu'après avoir faire une
vaine poursuite. Dans la SNC, les créanciers pour pouvoir se tourner contre un associé, doivent, au
préalable, faire une vaine mis à demeure.

La société civile c'est un peu plus lourde car il faut faire une vaine poursuite. Le Ccvil considère
qu'il faut faire des voies d'éxecution (saisi forcé, vente de biens) et cela sera suffisant pour
desinteresser.?

Arrêt du 07 octo 1998


C.Cass, civ. 3 èmme, 18 janvier 2005: une créance certaine, liquide, exigible et irrecourable à
l'encontre de la société ne constitue pas de vaine poursuite.

C.Cass, commerciale, 12 décembre 2006: à partir du moment où la société civile est mise en
liquidation judiciaire, le créancier n'est plus obligé à prouver l'existence d'une vaine poursuite pour
venir après les associés.

05-15.619
Arrêt n° 1428 du 12 décembre 2006
Cour de cassation - Chambre commerciale

Cassation

Demandeur(s) à la cassation : société Hydraulique PB


Défendeur(s) à la cassation : société Etablissements Biguet frères EBF, venant aux droits de la société
Etablissements Augereau

Sur le moyen unique, pris en sa deuxième branche :


Vu les articles L. 236-20, L. 236-21 et L. 236-22 du code de commerce ;
Attendu, selon l’arrêt attaqué que la société Hydraulique PB a livré des matériels à la société Etablissements
Augereau, aux droits de laquelle vient la société Etablissements Biguet frères, et adressé à celle-ci deux
factures qui sont restées impayées ; que la société Etablissements Augereau a ultérieurement cédé à la
société Augereau carrosseries, par un apport partiel d’actif placé sous le régime des scissions, la branche
d’activité à laquelle se rapportaient les factures émises par la société Hydraulique PB ; que la
société Augereau carrosseries, invoquant le caractère défectueux des matériels livrés, a fait assigner en
dommages-intérêts la société Hydraulique PB qui a reconventionnellement demandé le paiement des
factures ; qu’après qu’un arrêt devenu irrévocable l’eut condamnée au paiement de l’une de ces factures, la
société Augereau carrosseries a été mise en redressement puis en liquidation judiciaires ; que la
société Hydraulique PB a alors demandé que la société Etablissements Augereau soit condamnée à lui payer
le montant des factures ;
Attendu que pour rejeter cette demande, l’arrêt relève qu’aucune stipulation du contrat ne prévoit de
dérogation dans la transmission du passif ni de solidarité entre la société apporteuse et la société bénéficiaire
et retient que les dettes litigieuses ayant été transmises à la société Augereau carrosseries sans qu’aucune
solidarité puisse être invoquée à l’encontre de la société Etablissements Augereau, la société Hydraulique PB
n’est pas fondée à en demander le paiement à cette dernière ;
Attendu qu’en statuant ainsi, alors que, dans le cas d’un apport partiel d’actif placé sous le régime des
scissions, la société apporteuse reste, sauf dérogation prévue à l'article L. 236-21 du code de commerce,
solidairement obligée avec la société bénéficiaire au paiement des dettes transmises à cette dernière, la cour
d’appel a violé les textes susvisés ;
PAR CES MOTIFS et sans qu’il y ait lieu de statuer sur les autres griefs :
CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrêt rendu le 16 mars 2005, entre les parties, par la cour
d'appel de Paris ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit
arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Paris, autrement composée ;

Président : M. Tricot
Rapporteur : M. Petit, conseiller
Avocat général : M. Lafortune
Avocat(s) : la SCP Masse-Dessen et Thouvenin, la SCP Boré et Salve de Bruneton

Ocurrance, civ. 3Èmme, 8 novembre 2000 (JCP 2001, p.31 M. Chartier): Société qu'a fait objet de
grosse dificulté (au fait qu'un banquier avait trop aprovisioné et trop mis de l'argent). L'associé
essaye de faire une action contre les créanciers sociaux (c'est pas habituel). Le créancier a commit
une faute en prêtant beaucoup d'argent à la société. Sur quel fondement de responsabilité l'associé
devait agir contre le créancier social? Sur le fondement de la responsabilité delictuelle. Le contrat
de prêt a été signé par la société et l'associé est un tiers. Donc la base est la responsabilité
delictuelle, et pas contractuelle.

2 – Le retrait de l'associé

Il y a une specificité dans la société civile. Le retrait d'un associé peut être retrouvé dans plusieurs
formes de sociétés.

Quel différence il y a entre un associé qui se retire (retrait) et un associé qui cède ses parts sociales
(cession)?. La différence c'est que dans une cession de parts sociale, l'associé qui cède les parts
sociales se voit remplacé par un nouveau associé ou un autre associé. Dans un retrait, même si c'est
une part systématique, l'associé ne se voit pas remplacé par quelqu'un d'autre. Toutefois, le retrait
peut se traduire parfois par une cession de part sociale. En effet, quand un associé veut se rétirer, la
société doit lui faire trois propositions:

– Soit un associé de la société rachete les parts sociales;


– Soit la société désigne un tiers qui lui conviens pour racheter les parts sociales de l'associé
retraitant;
– Soit, enfin, la société, faute de solution différente, doit racheter elle même les parts sociales,
en diminuisant son capital social. On élimine les parts sociales. Cela implique aussi un coup
pour la société. Si c'est un associé majoritaire le retraitant, cela peut entraîner la ruine de la
société.

L'organisation du retrait d'un associé est, parfois, obligatoire. Cela ne l'est pas dans les SNC. Si
l'associé veut se retirer et n'obtient pas l'accord unanime de tous les associés, il sera prisionier de la
SNC. C´est nécessaire d'obtenir l'acoord unanime pour vendre ses parts. Dans la SNC, seulement le
gérant associé revoqué (despedido) peut voir organisé sont retrait par la société. Là c'est pas
nécessaire l'unanimité. C'est une façon de protéger le gérant révoqué.

Dans la SARL, l'organisation du retrait d'un associé est obligatoire.

Dans les SA, le retrait ne sera sans doute obligatoire, qu'en cas de refus d'agrément à une cession
d'action.

Idem pour la SAS.

Dans la SC, le retrait, là aussi, doit être organisé par la société, mais avec une spécificité (Art. 1869
Cciv)

Article 1869
Sans préjudice des droits des tiers, un associé peut se retirer totalement ou partiellement de la
société, dans les conditions prévues par les statuts ou, à défaut, après autorisation donnée par une
décision unanime des autres associés. Ce retrait peut également être autorisé pour justes motifs par
une décision de justice.
A moins qu'il ne soit fait application de l'article 1844-9 (3ème alinéa), l'associé qui se retire a droit
au remboursement de la valeur de ses droits sociaux, fixée, à défaut d'accord amiable,
conformément à l'article 1843-4.

Il y a trois possibilités pour se retirer de la société:

– l'associé se retire en fonction de la clause statutaire en cet effet (clause de retrait);


– à défaut de clause statutaire, en obtenant l'accord unanime des associés;
– enfin (specificité) retrait autorisé par le juge pour justes motifs. Ce retrait judiciaire n'existe
que pour la SC.

Cela porte atteinte à la force obligatoire des contrats, le fait de vouloir sortir d'un contrat, sans un
juste motif et sans rembourser la société. Il y a, par contre, l'exemple du contrat de consommation
où le consommateur a le droit de se retraicter.

C'est un peu surprenant de laisser un associé se retraiter en étant remboursé par la société, laquelle
sera obligé, dans certains cas, à organiser le retrait.

Retrait judiciaire
Il va consacrer l'intervention du juge, c'est qui est pertubant, considérant l'intervention dans un
contrat, dans l'autonomie de société.

Dans quel ordre on pouvait mettre en ordre le retrait?

C.Cass, commerciale, 20 mars 2007 (Revue de Droit des Sociétés 05/07,p.92): La Cour de cassation
prévaloir les statuts avant le retrait judiciare. S'il y a une clause statutaire qu'organise le retrait, le
retrait judiciaire sera subsidiaire.
Ce retrait judiciaire peut intervenir par juste motif.

Parmi les causes de dissolution anticipé des sociétés il y a la dissolution judiciaire par juste motif
possible lors d'une mésentente susceptible d'entraîner la paralisie de la société. Dans le retrait on
parle juste de juste motif.

On a eu des interpretations subjectifs du juste motif en fonction de la situation particulière de


l'associé qui veut se retirer.

Pour la dissolution judiciaire, on donne importance au intêret de la société.

Cour d'appel Nancy, 30 janvier, 1991 (Revue de Droit des Sociétés 1991, p. 911): Société de chasse.
Associé est multé en Afrique. Il décide de faire valoir sont droit de retrait. Il n'obtient pas l'accord.
Pas de clase statutaire. Il demande le retrait judiciaire. La Cour d'appel comprenne qu'être multé en
Afrique c'était un juste motif. Elle ordone l'organisation du retrait et condamne la société par abus
de majorité (de droit), lorsqu'il avait un just motif.

Cela a aussi été considéré un juste motif un rendement très insufisant.

On acorde le retrait judiciaire en visant le juste motif, même si ça côute la vie de la société.

Il paraît que les juges, ces derniers temps, soient un peu sevère. On peut évoquer d'ailleurs, des
motifs liés au divorce d'associés, surtout dans le domaine SC Immobilière où les associés sont
conjoints. La Cour de Cassation, civ. 3Èmme, a eu des approches différents de la même question.

C. Cass, civ. 3Èmme, 13 février 2000 (revue de Droit des Sociétés 2008, p.108, M. Mortier): SC
constitué du mari, de la femme et du père de la femme. Ils se divorcent. Le mari essaie le retrait
judiciaire, refusé par la Cour. C'est moins d'apréciation sujectif; La Cour estime que le divorce n'a
pas interferé sous le fonctionemment de la société.

C.Cass, civ. 3Èmme, 17 décembre 2008 (Revue de Droit des sociétés 03/2009, p.24 M. Mortier):
Situation équivalente de deux associés conjoints qui divorcent. La Cour estime qu'il y a juste motif
de retrait car il avait des évenements qui entraînaient la paralisie de la société (le mari n'avait plus
organisé l'assemblée).

C.Cass, comm. 08 mars 2005 (Revue de Droit des sociétés 09/2005, p.13): Lorsque confronte a une
décision de dissolution judiciaire qu'elle ne pouvait pas prononcer (car il n'avait pas une paralisie
des orgains sociaux), la Cour de Cassation laissait comprendre qu'on pouvait prêter l'idée utilisé
dans le retrait.

C.Cass, comm. 17 juin 2008 (Recueil de Droit des Affaires 2008, p.10): C'est une chose de dire
qu'un associé se retire, une autre chose d'exclure un associé et encore une autre chose de dire que
l'associé qui est exclu ou que se retire perd la qualité d'associé. Lorsqu'on est associé d'une société
on est membre d'une société et aussi propriétaire de droits sociaux. Ces deux qualités vont suivant
ensemble. Qui détermine quoi? Parfois, il y a un décalage de temps entre les deux
situations/qualités.

Un associé qui veut se retirer, va le faire par une des trois formes possibles. Avant, il faut proceder à
l'évaluation des parts sociales et a leur remboursement, si c'est la société qui lui rachate les parts.
Dans une SC Immobilière, par exemple, on va évaluer les immeubles de la société, la dette de la
société etc. C'est compliqué d'arriver à un numéro pour le partager par le numéro de parts sociales.
Il faut tenir compte des actifs et passifs. Cela peut prendre du temps.

Les parties peuvent charger un experts pour évaluer les parts sociales( Art. 1843-4 Ccvil). Parfois,
encore, les parties ne seront pas d'accord et saisisseront un juge. Après cela, il faut trouver le moyen
de remboursement.

Article 1843-4
Dans tous les cas où sont prévus la cession des droits sociaux d'un associé, ou le rachat de ceux-ci
par la société, la valeur de ces droits est déterminée, en cas de contestation, par un expert désigné,
soit par les parties, soit à défaut d'accord entre elles, par ordonnance du président du tribunal
statuant en la forme des référés et sans recours possible.

Conclusion: entre la décision de retrait et le jour où l'associé se verra remboursé, ça peut passer des
mois ou années. Pendant ce temps là, le retraitant est encore associé; qui se retire ou qui est exclut
aurra la qualité d'associé jusqu'à quand?

Pour les SC Profesionnelles on avait une résponse donnée par la loi: jusqu'à la publication de l'avis
de retrait/exclusion. Après cela, l'associé ne peut plus voter, recevoir des dividendes etc.

Pour les autres sociétés on n'avais pas de réponse, sauf peut être l'article 1860 Ccvil qui évoque le
cas d'un associé d'une société civile qui serait frappé d'une procédure collective et qui devait quitter
la société. Dans ce cas là, l'associé doit se faire remboursé ses parts sociales et pert, par conséquent,
la qualité d'associé dans ce moment là.

Article 1860
S'il y a déconfiture, faillite personnelle, liquidation de biens ou règlement judiciaire atteignant l'un
des associés, à moins que les autres unanimes ne décident de dissoudre la société par anticipation ou
que cette dissolution ne soit prévue par les statuts, il est procédé, dans les conditions énoncées à
l'article 1843-4, au remboursement des droits sociaux de l'intéressé, lequel perdra alors la qualité
d'associé.

La Cour de Cassation exitait à étendre cette solution à d'autres cas, mais il est désormais de plus en
plus utilisé.

C.Cass, 17 juin 2008: enforce de clou, redonne cette solution, y compris lors d'un cas de retrait
judiciaire. Le moment de la perte de la qualité d'associé est ce du remboursement des parts sociales.

C'est le juge qui prononce la perte de la qualité. Le juge autorise le retrait. C'est la société qui
s'ocupe du déroulement précis de ce retrait.

Le droit fiscal a une position différente. Pour le fisque, lorsque particulièrement l'associé recupère
en nature le bien apporté, cela s'assimile à une dissolution partielle de la société, qui justifie le
paiment au fisque d'un droit de partage. Autrement dit, pour l'administration fiscale cela entraîne
l'imposition des taux ou frais de partage.

La Cour de cassation refuse d'assimiler le retrait d'un associé à la dissolution de la société.

3 – La cession de parts sociales

Les associés ont le droit de vendre la part sociale. Une loi de 1978 qui a réglementé la SC a
souhaitée également mettre en place un mode de garantie en faveur des associés, la
patrimonialisation des parts sociales. Cela vise la SC, mais ça peut aussi s'appliquer à SARL.
L'associé est propriétaire de ses parts sociales. L'associé d'une SC Immobilière, dont le patrimoine
est constitué d'immeuble, quand il vend sa partie de 90%, comment peut-on qualifier cette cession?
Il s'agit d'une vente mobilière (et pas immobilière). L'associé n'est propriétaire que des parts
sociales. Il ne s'agit pas de vente immobilière (dans la matière fiscale cela impliquera des
modifications).

On a voulu renforcer la possibilité d'obtenir du crédit (lorsqu'il n'est pas propriétaire des
immeubles). On a organisé un nantissement des parts sociales. Le créancier bénéficiant de ce
nantissement peut entraîner la cession forcée.

Cession Volontaire (art. 1861-al1 Ccivil)


Les parts sociales ne peuvent être cédées qu'avec l'agrément de tous les associés. Il est aussi
possible l'agrément à une majorité prévu par les statuts ou accordé par le seul gérant. Dans le code
civil il y a une disposition supletive, on peut accorder un agrément beaucoup plus souple.

Concernant la faculté de laisser le gérant octroyer sont accord à l'agrément, c'est un pouvoir trop
important dans la mais d'un seul gérant.

C'est pas ilogique de laisser complètement libre les cessions entre associés. Toutefois, quand cela
entraîne la modification de la majorité, c'est possible de prévoir quelques situations.

On peut aussi prévoir un agrément plus lourd dans la cession entre famille. C'est possible d'acorder
différement dans les différents cas.

Il est possible de détacher le droit de vote du personnage de l'associé. C'est suivant un vote une
voix, mais c'est possible de déterminer qu'une part sociale correspondra à un vote dans les SC et
SAS.

Prévoir des clauses d'agrément assez sevères, lourdes, risque qu'une société civile doit organiser le
retrait d'un associé, lorsqu'un associé se voit refusé sa cession de parts. Cela peut ocasioner des
difficultés pour la société elle-même, quand ella va être obligé à rembourser.

Le régime de l'agrément
L'associé doit notifier la cession à la société et à chacun des associés, sauf le cas où c'est nécessaire
de notifier le seul gérant.

Cette notification doit contenir le numéro de parts sociales cédées et le prix envisagé par le cédant.
Le législateur en matière de SC a envisagé de combiner l'intérêt de la société et l'intuitus persoane,
si important dans cette forme sociétaire.

(Art. 1862 Ccivil) Ainsi, sauf clause contraire, les associés peuvent demander à racheter cetttes
parts sociales. C'est pas un droit de créantion (préemption), mais les associés, avertis de la cession,
peuvent se présenter et ils seront choisi à proportion des parts qu'ils detenait antériorment.

Article 1862
Lorsque plusieurs associés expriment leur volonté d'acquérir, ils sont, sauf clause ou convention
contraire, réputés acquéreurs à proportion du nombre de parts qu'ils détenaient antérieurement.
Si aucun associé ne se porte acquéreur, la société peut faire acquérir les parts par un tiers désigné à
l'unanimité des autres associés ou suivant les modalités prévues par les statuts. La société peut
également procéder au rachat des parts en vue de leur annulation.
Le nom du ou des acquéreurs proposés, associés ou tiers, ou l'offre de rachat par la société, ainsi
que le prix offert sont notifiés au cédant. En cas de contestation, sur le prix, celui-ci est fixé
conformément aux dispositions de l'article 1843-4, le tout sans préjudice du droit du cédant de
conserver ses parts.
Quand ils ne sont pas d'accord sur le prix, le droit des sociétés fournit un instrument (art. 1843-4
Ccivil). Les parties peuvent décider de confier l'évaluation des parts sociales à un expert.

Article 1843-4
Dans tous les cas où sont prévus la cession des droits sociaux d'un associé, ou le rachat de ceux-ci
par la société, la valeur de ces droits est déterminée, en cas de contestation, par un expert désigné,
soit par les parties, soit à défaut d'accord entre elles, par ordonnance du président du tribunal
statuant en la forme des référés et sans recours possible.

En matière de contrat, on peut utiliser un expert ou arbitre pour déterminer le prix de vente (art.
1592 Ccivil). Cet article a un inconvenient, car il prévoit que l'expert où l'arbitre pourra ne pas
remplir sa mission (maladie etc), ocasion dans laquelle le contrat sera consideré nul. Cet article ne
prévoit pas un moyen de coertion.

En revanche, l'article 1843-4 est plus imperatif. L'expert désigné part les parties DOIT déterminer le
prix. On peut trouver les solutions de remplacement, on peut aussi contraindre l'expert.

En matière de droit des sociétés, une fois que l'expert aurra determiné le prix, les parties seront
tenues et le contrat de cession sera fermé. Les parties ne pourront plus changer d'avis.

C.Cass, civ. 1Ère 25 novembre 2003 (Dalloz 2003..): Si bien que même le juge ne peut pas
intervenir dans le contrat, il ne pourra pas déterminer le prix des parts et ni même choisir un autre
expert (même si l'expert choisi par les parties s'est grossièrement trompé). Tout ce qu'il peut faire
c'est renvoyer au président du TGI, saisie en forme de réferé, pour que celui-là puisse désigner un
autre expert.

S'il arrive que l'agrément n'a pas été organisé, il faudra organiser le retrait. C'est là qui intervient une
disposition particulière aux SC. En cas de refus d'agrément, la société dispose de 6 mois pour faire
d'autres propositions aux cédants. Ces propositions reviennent à celles du retrait: rachat par autre
associé, tiers ou société. Si dans les 6 mois aucune proposition n'a été faite (ou dans le cas
d'échouement), l'agrément est reputé aquis, à moins que (ça c'est le specificité) les associés ne
décident, alors, la dissolution anticipé de la société (art. 1863 Ccivil).

Article 1863
Si aucune offre d'achat n'est faite au cédant dans un délai de six mois à compter de la dernière des
notifications prévues au troisième alinéa de l'article 1861, l'agrément à la cession est réputé acquis,
à moins que les autres associés ne décident, dans le même délai, la dissolution anticipée de la
société.
Dans ce dernier cas, le cédant peut rendre caduque cette décision en faisant connaître qu'il renonce à
la cession dans le délai d'un mois à compter de ladite décision.

Dans ce cas là, face à une décision de dissolution, le cédant peut rendre caduque cette décision en
faisant savoir dans le délai d'un mois qu'il rénonce à la cession.

Les dispositions de l'articles 1862 et 1863 sont d'ordre publique. Tout ce que peuvent faire les
associés c'est de modifier les délai variant entre 1 mois et 1 an.

La cession forcée
On va être dans un contexte où ces parts sociales feront objet d'une vente publique.
Comment combiner vente publique et tiers? Intuitus personae et ?? ?

Lorsque les parts sociales de la SC ont été apportées en nantissement, le créancier nanti a deux
choix:
– il devient associé
– il vend aux enchères et l'acheteur peut devenir aussi associé.

Est-ce que le nantissement est une garantie pour le créancier nanti?

29.09.09
L'associé a donné ses parts sociales en garantie à un créancier (nantissement). Si le créancier nanti
se fait pas remboursé, il pourra saisir les droits sociaux, le faire vendre en ocasion d'un cession
forcée, ou demander en justice à ce que ses parts sociales ?? à titre de paiment.

Ce nantissemnt de parts sociales peut ne pas toujours être si intéressant, dans la mesure où le
cessionnaire pourra peut-être ne pas arriver à devenir associé de la société. Financièrment c'est
intéressant car le cessionnaire que ne se fait pas agrée doit comme même se faire remborsé.

Il y a un risque, puisque devenir associé d'une société civile peut être atractif si la société a des
finances solides et un bon patrimoine et moins intéressant lorsque la société a des dettes - des parts
sociales avec moins de valeur. Les tiers ne bosculeront pas pour acheter des parts sociales d'une
société civile qui ne va pas bien.

Outre le fait de devoir affrontrer l'agrément de la société, le cessionnaire, dans le cadre d'une
cession forcée, peut se trouver confronté à un droit de préemption qui va béneficier aux autres
associés de la société. Si ceux-ci ne veulent pas le cessionnaire et n'ont pas le moyen d'acheter les
parts, c'est possible de dissoudre la société.

L. 1867 et 1868 Ccivil


Renforce à la garantie → obtenir l'accord des associés au projet de nantissement. L'accord vaut
agrément du cessionnaire si ont est obligé à une cession forcée. A compter de 5 jours après la
cession forcée, les créancier peuvent ???

Les parts sociales circulent beaucoup moins bien que les actions, raison pour laquelle le
nantissement des parts sociales est moins efficace que celui des actions.

B – LE GERANT

Liberté statutaire de la société civile.

Le gérant n'est pas obligatoirment associé. Il peut être désigné dans les statuts ou dans un acte
éxterieur. Il peut être une personne physique ou morale. Les statuts peuvent déterminer le mode de
désignation. À defaut, le gérant sera nomé par une décision des associés répresentant plus de la
moitié des parts sociales.

Le gérant peut être salarié ????. Il peut conserver son statut de gérant et cumuler un statut de
demandeur d'emploi (acho que é quando nao é associado)

On peut avoir deux gérants qui travaillent ensemble dans une « gérance alternée ».

La durée du mandat est organisée par le statut.

Les pouvoirs du gérant vis à vis des tiers


Principe de société des personnes, le Principe de spécialité, contrairment aux sociétés de capitaux,
le gérant engage la société vis à vis des tiers que pour les actes qui rentrent dans l'objet social de la
société.

Pour la SAS, SARL, le principe c'est que le gérant peut engager la société même pour des actes qui
sortent du objet social.

Dans les sociétés de personnes, lorsque l'acte n'entre pas dans la réalisation de l'objet social, la
société ne sera pas engagée.

Il faut veiller à une rédaction précise, sans ambiguitée de l'objet social de la société.

Ex. SAS dont l'objet social est l'exploitation d'un fonds de commerce. Le gérant achete une ?? de
pilotage, ce qui sort du objet social. Néamoins, la société sera engagée, même qu'après elle puisse
se retourner contre le gérant. Dans une société civile cet exemple ne serait pas question.

Parfois c'est plus dur à analyser si l'acte du gérant participe ou non du objet social. Il y a des moyens
de dépasser l'objet social et d'engager la société civile pour un acte qui sort du objet social.

1. Accord Unanime des associés à ce depassement de l'objet social


L'assemblée générale qui à titre exceptionel octroira au gérant la possibilité de faire un acte qui ne
participe pas, pourtant, de la réalisation de l'objet social. C'est un moyen qui a été mis en place pour
la jurisprudence.

L 1848 Ccvil permet de donner quelque autonomie au gérant, qui peut accomplir tous les actes de
gestion qui demandent l'intérêt de la société. Pour valider un acte réalisé par le gérant qui ne rentre
pas dans l'objet social ??? Il n'y a pas une définition de l'intérêt social et cela ne valide pas,
nécessairement, tous les actes vis à vis des tiers. Néamoins, la jurisprudence a acceptée de tenir
compte de cet intérêt social pour des actes signés par le gérant et qui ne rentrent pas dans l'objet
social.

Ex. SC Agricole avec objet social restrictif. La société se trouve devant la situation ou un associé va
vouloir partir de la société et autre associé que devra acheter les parts sociales. Ce dernier, n'ayant
pas les moyens, peut demander à la société de lui faire un prêt ou de se porter caution à un prêt à
l'éxtérieur. Le prêt n'est pas prévu dans l'objet social. Pas conséquent, il s'agit d'un acte qui n'engage
pas la société, les juges vont accepter que cet acte, ne rentrant pas dans l'objet social, engage la
société.

Communauté d'intérêt
Les juges on crée la notion que l'on appelera une « communauté d'intérêt ». On aurra d 'une part une
SARL qui exploit un fonds de commerce et d'autre part une société civile dans laquelle on retrouve
les mêmes associés de la SARL. Pour éviter que l'immobilier appartient à la SARL, on constitue
une SC propriétaire des immeubles. Les locaux sont loués à SARL par un bail commercial. La
SARL paie des loyers à SC. Le risque c'est que les créanciers ??? la confusion du patrimoine et
contestent la fictivité de la SC; en s'appuyant sur la confusion du patrimoine, les créanciers peuvent
obtenir que les immeubles soient reconnus comme de la SARL.

Cela ne suffit pas juste prouver l'existence des deux sociétés avec les mêmes associés pour prouver
(qu'il n'y a pas de) confusion. Il faut que ça soit constaté que le loyer paié est juste (pas très bas, pas
très haut) et que les comptes ne soient pas mixés, et encore que le partage n'objetive pas de cacher
les biens des créanciers.
Au delà de ce contrat de bail, il peut également avoir des contrats de prêts, de cautionement entre la
SC et la SARL. Ces conventions peuvent pas être comprises dans l'objet social de la SC.

La Cour de Cassation a accepté, losqu'elle constatait qu'il avait une communauté d'intérêt entre les
deux sociétés alors même que l'acte signé par le gérant de la SC ne rentre pas dans l'objet social, de
valider ses actes financiers.

Communauté d'intérêt
– même associés
– siège est le même, parfois
– contrats réguliers entre les deux sociétés.

C. Cass, 1ere ch. Civ., 20 mars 2002 – Revue du Patrimoine 2002 p. 113
C.Cass, ch comm., 04 avril 2008 – Joly 11/08, p.892: la cour anulle le cautionnement
C.Cass, ch comm., 26 février 2008 – Revue de Droit des Sociétés 07/08, p.18 → Principe de
spécialité.
C.Cass, ch civil 15 mars 1988 – Revue de Droit des Société 1988, p.415: a reconnu la communauté
d'intérêt.

Plus vous rédigez amplement l'objet social, plus vous écartez les pouvoirs du gérant.

Ccass, ch. Civ., 02, octobre 2001 – RJ Droit des Affaires 01/02 n. 61 p.47: si il y a l'accord unanime
de la société, celle-ci ne pourra pas poursuivre le gérant.

2.Clauses Limitatives du pouvoir du gérant


Par exemple une clause qui détermine que le gérant ne pourra pas vendre seul des immeubles
appartenant à la société. Ces clauses ne sont pas opposable aux tiers, qu'ils soient de bonne ou
mauvaise fois (Ccass, 3 ch civ., 29 janvier 2001, JCT 2001 2 partie, p.613). Les associés peuvent
révoquer justificadamente le gérant.

En principe, le gérant ne peut pas prendre seul une décision susceptible d'entraîner l'extension de
l'objet social.

Ccass., ch civi, 30 mars 1999 – Joly 1999, p. 1026: SC Agricole productrice de vin. Le gérant a pris
la décision de vendre une grosse partie du terrain. La Cour a considéré qu' il ne pouvait pas prendre
une décision qui pourrais néamontir l'objet social.

Les clauses ne sont pas opposables aux tiers, mais l'objet social restrictif est opposable.

Extrait Cadis??? Fiche d'identié de la société → siège social, associés, forme societaire, capital
social, objet social.

Responsabilité du gérant
Cela renvoi à la responsabilité des gérants de droit commun. Dans le cadre de sociétés de personnes,
la particularité c'est que les délits spéciaux de droit pénal des affaires (societés de capitaux et
SARL) ne s'appliquent pas – abus de droits sociaux, des délits spécifiques aux sociétés de capitaux
et SARL.

Il peut être responsable de faute de gestion, de non respect de droit et règlements, des disposition
statutaires. De ce fait, les associés peuvent intenter une action de responsabilité civile contre le
gérant, ce qui peut même être un motif de révocation du gérant.
La révocation du gérant pour juste motif est prévu. Sinon, ce sont les statuts qui peuvent déterminer
selon quelle modalité le gérant peut être révoqué par les associés. Ainsi, dans la société civile, les
gérants peuvent être de fait littéralement irrévocables par les associés. Il sufit de prévoir que le
gérant soit un associé et que la révocation dependra de la votation unanime des associés (il ne
votera pas contre lui même). Cela ne exclut pas la révocation judiciaire par juste motif.

Dans les statuts, on peut prévoir aussi les modalités de retrait spécifiques pour le gérant qui sera
révoqué. On peut prévoir des modalités faisant que le gérant associé révoqué puisse se retirer en
tant qu'associé et gérant.

II - LE DEROULEMENT DE LA VIE SOCIALE

Contentieux recourrant → Il s'agit de savoir qui a la qualité d'associé lorsqu'on doit faire un
démembrement de parts sociales de sociétés (droit civil des biens)? Ces types de questions trouvent
souvent des réponses en sociétés civiles, ce qui peut être aprés étendu à d'autres types de sociétés.

Usufruit
Là, il y a deux personnes, le nu-propriétaire et l'usufruitier tous les 2 pouvant faire valoir les droits
sociaux.
L1844 Ccivile dispose que tout associé a le droit de participer à la décision collective et que le droit
de vote appartient, en principe, au nu-propriétaire, sauf pour le décision concernant l'affectation de
béneficies, ou il est alors réservé à l'usufruitier. Cet article précise encore que les statuts peuvent
déroger à ces dispositions. On a dejà posé la question à propos de quelle alinéa pourra être derrogé.

C'est le nu-propriétaire qui a la qualité d'associé.

C. Cass, ch. Comm., 4 janvier 1994 (Arrêt du Gaste) Joly 1994, p.249 → SC agricole, familiale,
dont les parents étaient associés avec les enfants. Les parents ayant conservé la nu-propriéte des
parts sociales. Une clause statutaire avait été ajoutée prevoyant que le droit de vote étaient réservé
aux usufruitiers. Les usufruitiers ne convoquaint même pas les assemblées générales. Les parents
reprochaient à leurs enfants de ne plus participer de la décision collective de la société. La cour
dispose que c'est possible de priver le nu propriétaire du droit de vote, mais non de sont droit de
participer à la vie collective. (Pas de dispositions contrairent à l'alinea 1 de l'article) La Cour ne dit
pas expressement que c'est le nu-propriétaire qui a la qualité d'associé. On a déduit, par cette
décision, un autre droit extrapatrimoniau de l'associé, le droit de participer à la décision collective.
Bien que dépourvou du droit de vote, il y a le droit d'être convoquê aux Assemblées Générales,
d'entendre, de parler et d' influencer le vote des autres associés. De ce fait la demeure l'importance
de ce arrêt.

Ccass, ch comme, 31 mars 2004 , Revue de Jurisprudence commerciale 2004, p. 317 → cette fois
ci, c'était l'usufruitier qui ce voyait privé de son droit de vote, tel qu'il est prévu dans l'article 1844 –
al. 3, en disant que l'usufruitier ne pourrait pas voter à l'affectation de bénéfices (à cette AG les
associés doivent décider ce qu'ils font de ce bénéfice: soit il est reinvesti, soit mis en réserve, soit il
est distribué et alors ce bénéfice change de nom et devien des dividendes versés à tous les associés).
La Cour ait jugé en fonction, non pas exclusivement de droit des sociétés, mais en fonction de droit
des biens. Les prérrogatives du usufruititer sont de percevoir des fruits, ce qui sont les dividendes.
On ne peut pas priver totalement un usufruititer de sont droit de voter pour la décision d'affectation
de bénéfices.

Ccass, ch comm, 22 fevrier 2005, revue droit et patrimoine 05/2005, p. 102 → reviens à la solution
de l'arrêt du Gaste. On peut priver un nu-propriétaire par disposition statutaire de son droit de vote,
mais on ne peut pas le priver de son droit de participer à la décision collective. Cet arrêt met en
avant la primauté de l'aniea 1 de l'artice 1844 du Ccivile. Toujours pas de précision sur la qualité
d'associé.

Ccass, ch civile, 29 novembre 2006 Delfinoi 2007, p. 676 → n'étais pas contesté la qualité
d'associé du nu proprietaire. L'associé qui cède la nu-proprieté de ses parts perd la qualité d'associé.
Il ne s'agit pas d'un arrêt de principe.

Ccass, ch comm, 2 decembre, 2008 – Legifrance(site) n 08.13.185 et Joly 02/2009, p. 116 →


l'usufruitier des parts sociales est un associé qui peut être doté d'un droit de vote universel dont la
seule existence ne porte pas atteinte à la substance des parts. Il s'agissait d'une absorbtion d'une
société par une autre société d'où faisait partie le nu-propriétaire et l'usufrutier. Ce dernier pouvaient
seul voter la décision de absorbtion. Le problème c'est que les parts sociales de la société absorbu
disparaissaient, ce qui néanti les parts sociales. L'abus de jouissance de l'usufruitier – droit des biens
– n'a pas été pris en compte.

C'est un problème complexe qui affecte les sociétés civiles et qui peut être étendu à d'autres
sociétés.

ESTUDAR → arrêt de principe poser une règle dans laquelle la Cour reprendre une formule a elle
qui se trouve en tête du arrêt, dans ce cas la c'est un arret de principe. Arrêt de espèce– reprendre le
numero de l article. Seule l arret de principe aurra la vocation de faire jurisprudence.

A – L'INFORMATION INDIVIDUELLE DES ASSOCIES (1855 Ccvile)

Une fois par an les associés on droit à la comunication des documents sociaux. Ils ont droit aussi de
poser des questions écrites au gérant qui doit répondre dans le délai d'un mois. Ils ont droit, enfin,
de prendre connaissance du rapport de gestion. Ça c'est le stricte minimun. On pourra avoir des
dispotions statutaires plus lourdes, mais on ne pourra pas aller en dessus de ça.

En effet, il y a eu des incitations des notaires au conseiller en patrimoine immobilier, conseillant les
individus à organiser une SC pour gérer leur patrimoine en disant qu'il n'avait presque rien à faire.
Toutefois, une SC nécessite un minimun de vie collective et d'information dispensée aux associés,
sur le risque de fictivité. Les associés pourraient dire que la société n'était constituée que pour
cacher les biens des créanciers. Lors de la fictivité, les créanciers peuvent saisir des biens de la
société.

Le gérant a une charge, que c'est d'établir des comptes, permettant cette bonne information des
associés.

Cour appel de Paris 12 fevrier 2003, JCP notarial 2003, p. 1414 → il n'est pas nécessaire d 'avoir
une comptablité un partie double, une comptabilité un partie simple est suffisante.

Ccass, 3 ch civil, 24 septembre 2003, JCP notarial 2004,p. 780 n. 131 → renforcer ces obligations
de comptabilité. Un gérant n'avaient pas obéit des règles statutaires de tenu de compte. Ce-ci justifie
la révocation du gérant pour juste motif. La non tenue de compte par un gérant peut être un juste
motif.
B – LA DECISION COLLETIVE

En matière de sociétés civiles, des nombreaux arrêts renvoient à la SNC en vertue de laquelle on
vote en fonction de la personne de l'associé (un homme une voix). Ce principe d'ordre publique en
SNC nest plus obligatoire dans les SC. Les statuts peuven très bien prévoir qu'il sera voté non en
fonction de sa qualité d'associé, mais en fonction de la détention de parts sociales. La SC démontre
ici sa liberté statutaire.

Les décisions collectives, en principe, doivent être prises en unanimité (SNC), ce qui peut être
changé par les statuts dans les SC, qui peut prévoir que les décisions seront prises en majorités
diverses et variées.

Dès qu'il y a des questions qui peuvent modifier l'engagement des associés, c'est l'unanimité qui
doit decider.

La volonté collective peut être exprimé dans les Assemblées générales, par une consultation écrite
ou dans un acte que va circuler et sera signé par tous, selon des dispositions du statut. Il est
absolument nécessaire, au moins une fois par an, de réunir les associés en Assemblée générale
d'aprobation de comptes et affectation de bénéfices. Ce là aussi que serra delivré le quitus au gérant
de la société.

Lorsqu'une AG doit se tenir, les associés doivent être communiqués au moins 15 jours d'avance par
lettre recommandée avec acusé de reception. Pendant beaucoup de temps, lorsqu'il n'avait pas le
respect de cette règle la Cour de cassation annulait l'AG. Maintenant elle n'est plus pragmatique,
elle considère désormais qui cela n'entraîne pas directement l'annulation, mais qui cette nulité n'a
pas d'effet vis à vis des tiers.

Ex. Décision de vente d'un fonds de commerce prise en AG, laquelle fait objet d'une annulation.
Pour le tiers, la vente est toujours valable, mais dans la société, c'est un acte nulle! C'est compliqué.

Ccass, 3 ch civile, 21 octobre 1998, JCP enterprise 1999, 2e partie → cet arrêt a été confirme (nao
peguei o numero da decisao do ano de 2003 mesma camara).

Les sociétés civiles sont des sociétés où des associés ont la responsabilité ilimitée. Puisque les
créanciers peuvent compter sur la responsabilité financière des associés, le contrôle des comptes
sociaux est moins primordial que pour les sociétés de capitaux. Par conséquent il y a des
formalismes que l'on ne trouve pas dans les sociétés civiles, par exemple, le contrôle des
conventions règlementées – conventions conclues entre un gérant ou un associé et la société elle
même. De la même façon, le contrôle des comptes ne sera pas obligatoirement assuré par un tiers à
la société, le commissaire aux comptes. Ça c'est une économie et une simplicité. C'est à partir d'un
seuil que les SC et les SNC seront tenu de désigner un commissaire aux comptes. Il faut que 2 des 3
seuils suivants soient depassés:

• 1.550.000 – total du bilan


• 3.100.000 – chiffre d'affaires
• 50 salariés dans la société

Au dessus de ce seuil, le commissaire aux comptes n'est pas obligatoire.

DEUXIEME PARTIE – LES SOCIETES A RISQUES LIMITES


TITRE 1 – LA SARL ET L'EURL

La SARL concerne des petites enterprises. Il pourrait avoir jusqu'à 1.500.000 constituées en France.
Les SARL souffrent la concurrence de la SA, ce qui represente des baisses dans son nombre.

L 223 – 1 à L-223-43 Ccomm.


Loi 10 juillet 1982 a permi la constitution d'une SARL entre époux.
Loi 11 juillet 1985 qui institue l'EURL.

L'ambiguité de la SARL resoute de son positionement entre les sociétés de capitaux et des sociétés
de personnes. Même si la SARL a été en 2001, puis 2003 et puis 2004 considérablement
bouleversée d'une façon vraiment très importante, l'ambiguité est demeure. Le législateur ne
décident pas dans quelle catégorie elle peut s'insérer. Il faut bien savoir que la responsabilité des
associés est limitée au montant de leurs apports, mais l'intuitus personae est très important.

CHAPITRE 1 – LA CONSTITUITION DE LA SARL

Il ne sagit pas de revenier sur les règles de constitution communes à toutes les sociétés. Pour être
constitué et avoir une personalité morale, la société doit faire enregistrer son statut, doit être
immatriculée au registre de commerce et les associés doivent réaliser les apports.

I – LES REGLES DE CONSTITUTIONS PARTICULIERES AUX ASSOCIES

Les associés de la SARL peuvent être personnes physiques comme morale. Il n'a pas besoin d'être
commerçant pour etre associé, même si la SARL est une société commerciale par la forme. Un
mineur peut être associé. C'est qui est particulier c'est que le législateur s'est attaché à faire de cette
société une société où l'intitus personae doit être resenti.

Avant l'ordonnance de 2004, les associés devaient pas être plus de 50. C'était un plafond pour que
les associés puissent se connaître un peu. Après cela, la SARL ne doit pas compter plus de 100
associés. Objectivemenet, cela n'a pas fait beaucoup d'effet, parce c'est dejà dur de trouver des
SARL avec 50 associés, en général on change la forme de société avant.

06.10.09
Si il arrive qu'en cours de vie sociale la SARL dépasse le nombre de 100 associés (Ex. sucession)
elle devra dans le délai d'un an se transformer en une autre forme de société. La liberté statutaire
était de plus un plus mis en avant. Auparavant le legislateur imposait dans ce contexte là que la
SARL soit transformée en SA.

Si la société ne se transforme pas dans le délai, cela sera une cause de dissolution de plein droit.

II - LES REGLES PARTICULIÈRES AUX APPORTS ET AU CAPITAL

A – LES APPORTS

Les trois types d'apports sont recevables dans la SARL.

Les apports en numéraires n'ont pas nécessairment l'obligation d'être intégralement et


immédiatement libérés (L 223-7 Ccom). Souscription est ce que vous avez promis à la société;
l'apport est libéré quand on donne le montant à la société.
Les apports en numéraire ne doivent être libéré que pour 5% de son montant, le reste faisant objet
d'une libération dans le délai de 5 ans (Loi de 2001). Cette article a été critiqué à cause de la
participation à la décapitalisation de la SARL. On considère que le gérant engage sa responsabilité
s'il était négligent dans l'exigeance des apports en numéraire.

Le capital social constitué de la réunion des apports des associés est la « garantie » des créanciers
sociaux. C'est pour cela qu'on va asurer que le capital social soiet intangible, stable et assuré. Ainsi,
il faut une juste évaluation des apports en nature (fonds de commerce, immeubles). Le méchanisme
d'évalution des apports en nature, assuré par le commissaire aux apports, n'existe pas dans les SC.
L'apporteur a tendance en augmenter la valeur de son apport, en acquérant plus de parts sociales.
Toutefois, c'est pas bien d'avoir un KS qui ne refflét pas la valeur réelle. Pour éviter ces difficultés
on a mis en place un procedé particuler d'évaluation (L 223-9 Ccom).

Les statuts doivent contenir l'évaluation de chaque apport en nature. L'évaluation est realisé par un
commissaire aux apports (commissaire aux comptes, expert comptable) nomé à l'unanimité par les
associés. On permet aux associés d'éviter l'évaluation des apports en nature si aucun apport en
nature n'excède 7. 500 $ et que la valeur totale n'excède pas la moitié du KS. À défaut de
commissaire aux aports, ce sont des associés eux même qui seront responsables solidairement de la
valeur de ses apport pendant 5 ans.

Le commmissaire aux apports en cas de sous ou sur évaluation, peut être responsable même
pénalement.C'est une responsabilité solidaire avec la société.

Un apport en nature doit être imédiatememnt et intégralement liberé.

Les apports en industrie, en principe, n'étaient pas tolerés dans les sociétés de capitaux et à
responsabilité limitée, car se sont des apports pas chiffrables, qui n'entrent pas dans la constitution,
dans la comptabilité.

Cela donne des parts sociales qui ne sont pas transmissibles. Pour la SARL il avait toujours une
dérogation, surtout dans les SARL dites de famille. Ex. Couple de commerçant où un des conjoints
est le propriétaire du fonds de commerce et l'autre réalise un apport en industrie. Exceptionellement,
lorsqu'il avait un apport de fonds de commerce, son époux pouvait réaliser un apport en industrie.
Cela était exceptionel, existant uniquement dans ce contexte là.

(Loi NRE 15 mai 2001) désormais, les status d'une SARL peuvent envisager le principe d'apport en
industrie. Maintenant c'est la règle. Il faut encore que les statuts organisent les modalités d'apports
en industrie: combien de parts sociales se verra atribuer au apporteur en industrie, droit de vote.
Normalement, on aligne l'apport de l'apporteur en industrie au plus petit apporteur.

Ordonnance 2004 – L 223-8 Ccom → disposition que facilite le retrait des apports par les associés
pour le cas où la société n'aurait au final fait objet d'une constituition ou immatriculation définitive.
Dans se cas là, les associés vont réclamer la restitution des sommes qu'ils ont apportés. Jusqu'ici, il
fallait comme même saisir le juge pour demander le déblocage de ce somme. Désormais, il suffit a
ces aporteurs d'être répresentés par un mandadeur pour que celui-ci puisse s'addreser directement au
dépositeur des fonds et lui demander le retrait de ce fonds.

B – LE CAPITAL

Depuis la loi du 1 août 2003 il n'y a plus de montant de KS minimal imposé par la loi. Pendant
longtemps c'était un des particularismes de la SARL qui marquait sont caractère réglementaire
(seuil de 7.500 $).
L'année dernière la SAS a subi la même transformation.

Forte tendance du législateur d'inciter la constitution d'enterprise.

Depuis la loi de 2003, la SARL connait une nouvauté: elle peut désormais émmetre des obligations.
Les obligations participent davantage de le financiement des sociétés de capitaux. Quand une
société émet des obligations elle fait en realité un emprunt auprès des tiers ou des associés. En
contrepartie du prêt realisé, les prêteurs vont récevoir des obligations lesquelles leur donne des
droits dans la société. Il est d'ailleurs précisé qu'en présence d'obligateurs, il faut reunir une AG
spécialementent organisés aux obligataires. Ce sont des droits qui permettront aux obligataires de
percevoir un intérêt et d'être remboursé au bout du terme prévu pour ce remboursement.

De plus, être obligataire peut être un moyen de pression au sein de la société. Ces droits ne sont pas
équivalents à ceux d'un associé. Mais, la société devra demander l'avis de ses obligateurs (AG pour
donner cet avis) dans le cas d'une fusion, absorption etc. L'avis d'obligateurs n'est pas
incontournable. Les obligateurs peuvent, si ils ne sont pas d 'accord, exiger de se retirer de la société
en exigeant surtout la décheance du terme de leur prêt.

Les obligations, tout comme les actions, peuvent être cédées. C'est pour cela que c'est un
méchanique davantage réservé aux sociétés de capitaux. C'est surprenant de le permetre à une
SARL.

La SARL ne peut pas faire des appel publiques à l'Etat, des grands avis dans les jounaux spécialisés.
Sil elle veut émmetre des obligations c'est juste dans un cercle restraint d'obligateurs. Il n'a pas un
marché des obligations des SARL a espere. Petits investisseurs.

Le législateur décapitalise la SARL, mais avec les obligations il permet à la SARL de se permettre
un investissement en cours de vie sociale.

Ce recours aux obligations est ouvert seule à les SARLS qui sont tenues d'avoir un commissaire aux
comptes (franchi deux des 3 seuils = même des sociétés civiles) et que dans les 3 exercices sociaux
ont étés approuvés.

Il est possible d'être constitué avec un capital variable, c'est à dire, un capital qui n'est pas fixé mais
tout même compris dans une certaine fourchete (L 231-5 et L 231-6 Ccom). Permet de faire rentrrer
et de sortir des associés assez facilement, sans passer par la procédure d'agrément, sans proceder
non plus à une diminuition de KS ou augmentation avec vote un AGE et modification des statuts.

Cela doit être prevue dans les status et dans tous de documents émanants de la SARL (« SARL à
capiatal social variable »). Les statuts doivent présenter un KS minimal.

Cela répresente un petit moins d'intérêt vue l'inexistance de KS minimal.

CHAPITRE 2 – LE FONCTIONNEMENT DE LA SARL

SECTION 1 – LA STRUCTURE DE LA SARL

I - LES ASSOCIÉS

Les associés sont tenu d'une responsabilité limité au montant de leurs apports. Les créanciers
sociaux vont commencer à exiger d'autres garanties, notamment le caution du gérant ou de son
conjoint. Ce méchanisme de cautionememnt anie totalement l'effet protecteur du patrimoine de
l'associé.

Ccass. Ch comm, 3 juillet 2001 – RDS 2001 n 163, p.16; C Appel Paris, 7juin 2001 – RDS mai
2002 n 96 p.25 → Une SARL qui fait l'objet d'une dissolution d'une société qui a très bien
fonctioné. On a pu rembourser les créanciers, les apports et on pu partager les réserves et un boni de
liquidation. Après la dissolution de la société un créancier social se manifeste tardivement. La
société personne moral n'existant plus il décide de s'adresser aux associés. Ceux-ci disent qu'il ne
peut pas se retourne contre eux. La Cour va donner raison à ce créancier, en disant que les associés
sont tenus indéfinement et solidairment. Ça peut apparaître injuste qu'un créancier reste unpayé
tandis que les associés on touché un boni de liquidation. Exceptionel!

Dans un contexte normal, les créanciers ne peuvent pas se retourner contre les associés même quand
la société n'a pas des fonds sufisant.

A – Les droits individuels des associés

Droit au partage des bénéfices, sachant que cette répartition peut être inégalitaire. Il aura la réserve
de clause léonine (s'atribuer la totalité de dividendes ou de se soustraint des dividendes). Si rien n'a
été prévu par les statuts on considère que chaque associé a droit à autant de dividendes qu'il y a de
parts sociales.

Ccass, ch. Comm., 25 mai 2004- Joly 2004 §215 → Le statut est aplicable, sauf le cas de
modification ou de rénonciation expresse d'un associé pourra faire obstacle légitimement à
l'application statutaire.

Ils ont droit également aux réserves qu'existeront après la dissolution de la société et au boni de
liquidation. Le législateur impose la prudence depuis 1966, la constitution d'une réserve légale
consistant en un prélevement d'un vintièmme du bénéfice par exercice. Ce prélevement obligatoire
cesse lorsque la résèrve attent le dixièmme du KS. Après cela, tous les bénéfices peuvent être
partagés. Cette réserve légale peu être double pas une résèrve statutaire (peut-être trop prudent).
C'est possible de faire une dotation exceptionelle en reserve décidé dans l'assemblée d'approbation
de comptes. L'objectif c'est de rassurer les créanciers.

Droit aux dividendes, aux reserves, au boni de liquidation de ceder et de transmetre ses parts
sociales.

1. Droit de ceder et de transmetre ses parts sociales

Les parts sociales ne sont pas librement négociables. Le legislateur a souhaité que la SARL soit plus
ouvert qu'une SNC. Toutefois, la SARL ne doit pas accuileir n'importe qui sans l'accord des
associés. Le legislateur a visé qu'un tiers à la société puisse rentrer librement. Aussi, le legislateur a
fait des nuances suivant que la cession doit se faire vis à vis d'un associé ou quelqu'un assimilé à un
associé ou vis à vis d'un tiers.

Toute cession doit être constaté par écrit et porter officiellement la connaissance de la société (L
121-14 Ccom). La cession est oposable à la société si les formalités de l'article 1690 du Ccivil ont
étés respectés (acceptation de la cession par la société dans un acte autenthique ou dêpot de l'acte de
cession au siège social). La cession doit également faire l'objet d'une publicité au Registre de
Commerce et des sociétés, une mesure d'opposabilité de la cession aux tiers. L'absence de publicité
n'entachera pas l'opposabilité entre les parties (mais vis à vis les tiers).
a) La cession entre associés et assimilés à une associé (L 223-16 Ccom)
Dans ce cas il n'y a pas d'agrément a prévoir car on reste entre soi. Il est peut-être prudent de prévoir
une certaine prudence dans la cession entre associés quand cela entraîne le renversement de
majorité.

Lorsque la cession ce fait à un membre de la famille du cédent (ascendent, descendent, conjoint sont
assimilés à l'associé), l'attente à l'intuitus personae lui semble peu importante, le legislateur
considère que cette cession peut-être libre.

Néamoins, on permet aux statuts de prévoir une disposition alignant la cession de membre de la
famille à celle d'un tiers. Mais on ne doit pas être plus sevère pour la cession à un membre de la
famille du cedent qu'à un tiers: la clause doit être égale. Peut pas être plus exigeant. (L 223-13
Ccom).

L 223-13 al. 4 dispose qu'en cas de décès d'un associé, les associés peuvent, en avance, organiser la
continuation de la société avec un remplaçant que pourrait avoir été nominement désigné à l'avance
par les statuts. La SARL peut dévenir un instrument de transmission d'entreprise. Les associés vont
pouvoir préciser dans les statuts, avant le decès d'un associé, particulièrement de l'associé gérant,
qui lui succédera au sein de la société. Cette personne qui peut être désigné n'est pas
obligatoirement un sucessible. Ce succeseur ne se fera pas opposer d'agrément.

b) La cession à des tiers


N'importe qui ne peut pas être imposé aux autres associés (L223-14 Ccom, modification par
l'ordonnance de 2004 VERIFICAR COMO ERA ANTES) → Intutu Personae. Désormais la cession
à des tiers doit être autorisé par la moitié des associés répresentant au moyen la moité des parts
sociales. Auparavant, la règle c'était la moitié des parts representant le ¾ du KS. Il s'agit d'une
double majorité, en terme d'associés et de KS.

Cette règle n'est plus d'ordre publique, pouvant être envisagé un agrément plus fort (l'unanimité).
Parfois, cette agrément plus fort peut se retourner contre la société elle-même lorsqu'on doit
organiser le retrait dans un délai de 3 mois, à l'écheance duquel le cessionaire sera reputé agrée.

La société doit faire 3 propositions aux cédant: soit un associé lui rachete ses parts sociales; soit la
société désigne un tiers pour lui racheter les parts; soit alors elle doit lui racheter elle-même les
parts sociales en procédent à une diminution du KS. L'ordonance de mars 2004 permet au cédant de
revenir sur sa décision de cession. L'article ne précise pas si se repenti du cédent peut s'exercer
avant ou après que l'expert désigné pour lévaluation des parts sociales ait rendu sont évaluation.

Jusqu'ici on considérait que le moment de redement de l'évaluation validait le contrat de cession, le


cédent ne pouvant plus revenir.

Ch comm. 13 octobre 1992. JCP 1993 I Partie n 218; ch commer. 2 juillet 1996 RDS 1997 p. 347 →
Il n'y avait pas le droit de repentir après que l'expert ait rendu l'évaluation.

Concernant la détermination du prix par un expert, on a eu l'impression par l'ordonance de 2004 que
le legislateur considerait que le recours à l'expert (L 1843-4 CCivil) n'était plus d'ordre publique. Il
y a une contradiction entre l'article 1843-4 Ccivil (ordre publique) et L 223-14 Ccom. Pour la SARL
le recours à un expert désigné suivant le code civil n'est plus d'ordre publique. On pourrait trouver
d'autres moyens d'évaluation des parts sociales, les statuts pourraient établir des modes d'évaluation
de parts sociales dans l'hypothèse d'une cession ou d'un retrait. Il pourrait avoir une liberté statutaire
sauf que l'arrêt ch. Comm. 5 mars 2009 – Dalloz 2009 p.1349 où la Cour de Cassation pour la
première fois annonce qu'un expert chargé de determiné la valeur des parts sociales n'est pas lié par
les disposition statutaires permettant une méthode d'évaluation des parts sociales.

L'ordonance précise que les frais d'expert seront assumés par la société.

La société n'est pas à tous les coûts obligée de proposer au cédant qui se sera vu refusé un agrément
le rachat de ses parts sociales par elle-même. Cela ne s'impose à la société que si le cédant est
associé depuis plus de 2 ans.

Les associés peuvent nantir leurs pars sociales. Depuis la Loi de 2 aout 2005, on peut désormais
louer des parts sociales des SARL (L 239 s Ccomm). Plutôt que de céder définitivement des parts,
un associé pourra louer ses parts. Le locataire doit obligatoirment être une personne physique. Dans
ce cas là, le louer a les prérogatives d'un nu-propriétaire, tandis que le locataire a celle d'un
usufruitier. C'est le louer qui a toujours la qualité d'associé. C'est le cas où le legislateur permet
exceptionellement par le premier fois, à quelqu'un qui n'est pas associé le droit de vote.

2 – Le droit à l'information (L. 223)

Les statuts peuvent augmenter ce droit, mais ne saurait réduire ce minimun imposé.

L'associé peut consulter, au siège de la société, les documents des 3 derniers exercices sociaux. Il ne
peut pas demander à consulter, ainsi, les documents de l'exercice en cours.

Il peut poser 2 fois par an des questions écrites aux gérants si la situation de l'enterprise se rendre
délicate.

Il peut également consulter l'inventaire au siège de la société.

La loi de 2001 a prévu des injoncion de fait lorsque les associés ne peuvent pas obtenir
communication de certains documents sociaux, ils pourront saisir le président du Tribunal du
Commerce dans la forme de réferé qui pourra ojoinre la société (L. 238- al.1 Ccom).

L 233-7 Les associés disposant de 10% du KS peuvent demander la nomination d'un expert en
gestion chargé de rendre un rapport sur les points de la gestion contestés.

Avant, toute décision colléctive les associés doivent recevoir à domicile, au moins 15 jours avant
l'Assemblée, les résolutions qui seront soumises au vote, le rapport du gérant et du commissaire aux
comptes, ainsi que les comptes et documents sociaux de l'exercice qui vient d'écouler.

B – LA PRISE DE DESIONS COLLECTIVES

Dans la SARL, le principe est le suivant: à chaque part sociale correspond une voix (L 223-28
Ccom). C'est un principe d'ordre publique. Cela repose à savoir qui a le droit de vote. Autre
difficulté: parts sociales détenues par un indivision (propriété colléctive). Ont-ils-tous la qualité
d'associés? Est-ce que l'indivision est l'associé? Ils ont tous la qualité d'associé car l'indivision n'a
pas la personne morale. Cela pose un problème le droit de vote → la nomination d'un expert en
gestion.

C.Cass, ch comm., 4 décembre 2007 – Joly 2008 § 46 → L'expert en gestion peut être demandé par
1 ou plusieurs indivisaires à partir du moment où la totalité de l'indivision détient le 10% du KS
nécessaire.
13.10.09
Comme dans les SC, il n'est pas toujours nécessaire de faire une AG, il est possible de procéder a
une consultation écrite ou par an acte signé par tous. Il faut avoir une prévision statutaire. Il faut
proceder par la réunion de tous les associés pour l'approbation annuelle de comptes.

L'AG ne devra se reunir obligatoirment lorsqu'elle aura été demandé par des associés detenant la
moitié du capital social ou le quart du nombre des associés detenant le quart des parts sociales.

Un associé seul n'a pas la faculté de reunir une AG. Tout ce qu'il peut faire ce de saisir le tribunal
pour que celu-ci désigne un mandataire ad hoc que lui sera chargé de convoquer l'AG. Sauf
lorsqu'une clause l'est envetuellement prévu qu'un associé pussie, pour une raison motivé, convoqué
une AG. Cette clause est valable dans la SC et, sans doute, dans la SARL.

Les associés peuvent s'exprimer dans deux assemblés.

AGO ont pour objectif la prise de décisions ordinaires lequelles ne vont pas emporter modification
de les status. Pourront être prise dans la AGO les décisons d'approbation de comptes, la nomination
et remplacement de gérant et de comissaires de comptes, les approbations des conventions entre
gérants ou associé et la SARL, l'autorisation donné au gérant d'accomplir des actes sortant des
status (L223-29 Ccivil).

AG d'approbation de comptes se déroule à la fin de chaque exercice social. C'est au cours de cette
AG que l'on donnera quitus au gérant pour sa gestion étant precisé que le fait d'accorder sont quitus
au gérant n'empêche pas par la suite, les associés d'implanter une action contre leur gérant pour
erreur de gestion. Au cours de cette AG on décidera de distribuer les bénéfices en forme de
dividendes ou de les mettre en réserve. Parfois, il arive qu'il y a un refus de la part des associés de
refuser l'approbation des comptes. Dans ce cas là, la non approbation va faire objet d'une
déliberation laquelle devra être deposé au greffe du tribunal du commerce. Une déliberation publié
de nom approbation de compte permet à un associé de demander en justice la nomination d'un
administrateur provisoire; c'est peut être aussi un motif de dissolution anticipé de la société
(dissolution demandé au juge).

Dans une SARL les associés voteront en fonction du nombre des parts sociales qu'ils détiennent.
Pour les AGO, il faudra plus de la moitié du KS pour emporter une décision (L223-39 Ccomme). Si
la majorité n'est pas suffisante lors d'une première convocation, s'il n'y a pas suffisament d'associés
présents (pas de quorum suffisant), il faudra proceder a une seconde convocation. Étant etendu
qu'en matièr de AGO il est possible de rénoncer dans les statuts à l'exigence de quorum. L'adoption
de décision à la majorité du KS n'apparaît pas comme d'ordre publique dans l'AGO, les status donc
pouvant prévoir des modifications, pourquoi pas, une unanimité pour la prise de décisions. Cela
peut renforcer l'intutus personae, mais cela peu être source de blôcaque. En revanche, pour la
revocation d'un gérant, la majorité prévu par la loi est d'ordre publique.

Les AGE concernent des décisions extraordinaires, susceptibles de entraîner des modification des
status de la société. Cela concernera le changement de nationalité de la société, la transformation de
la société, les augmentations ou réductions du KS, la dissolution anticipé de la société et l'agément
des nouvaux associés (L223-30 Ccome). Les dispositions entraînant modification des status seront
prises par des associés répresentant le ¾ des parts sociales. Dans la loi du 2/08/2005 on a une
exigence de quorum pour les AGE, exigant la présence d'un quart des parts sociales, obligant une
seconde convocation dans le cas de ne pas réunir le quorum exigé.

Les status ne peuvent pas modifier le quorum, mais le legislateur pour certaines décisions demande
un quorum différent. Par l'agrément d'un associé considére comme un tiers le legislateur demande
une moitié des associés répresentant la moitié du KS. Pour le changement de nationalité de la
société on exige l'unanimité. Puis, lorsqu'il s'agit d'augmenter les engagements individuelles des
associés, c'est également l'unanimité qui est demandé.

Arrêt Ch comm, JCP enterprise 1997, partie panorama, n 951– décision de blôcage de compte
courant des associés a été consideré comme une augmentation de leur engagement individuel. Par
conséquent, cette décision exigait l'unanimité. La c/c c'est un prêt de l'associé à la société sur une
compte que sera remunerée, l'associé pouvant en demander la restitution comme il souhaite. Quand
on décide de bloquer cette c/c, empêchant que l'associé demande la restitution, cela sera consideré
comme une augmentation de KS. Il est nécessaire que le solde soit débiteur.

Les AG doivent obéir à un certain formalisme, notamment, les associés doivent être convoqués au
moins 15 jour avant, mais seule les associés peuvent contester la violation des dispositions rélatifs
au convocation des AG. Cet action a été réfusé à un gérant non associé (Ch cmm, 17/12/2002, RDS
mars/2003, n 52 p. 27).

II - LA GERANCE

La gérance de la SARL, est traité aux articles L 223-18 et suivant du Code de Commerce.

A – LE STATUT DU GERANT

1. La désignation du gérant

Le gérant de la SARL doit être une personne physique. Ce gérant n'est pas obligatoirement un
associé de la société. Il peut également en avoir plusieurs gérants (co-gérants), avec la difficulté que
cela peut etraîner en cas de prise de décision, puisque chaque gértant peut engager la société par ses
actes. On peut aussi avoir de gérance alternée, comme dans les SC.

Dans la SARL, il a la faculté pour le gérant de cumulé cette fonction de gérant avec la qualité de
salarié. Cela ne signifie pas que le gérant de la SARL reçoit systematiquement un salaire pour sa
fonction. Il est possible de le faire bénevolement. S'il reçoit quelque chose ça sera une
rémuneration, pas un salaire. La possibilité de cumuler les deux fonctions permet en faite
d'envisager le fait que le gérant soit en outre salarié et realise un travail soit à l'extérieur de la SARL
qu'il gère dans une autre enterprise, soit un contrat de travail dans la propre SARL. Cela pose la
difficulté d'avoir un contrat avec soi-même (les documents doivent être signé deux fois par la même
personne). Cela risque de poser des problèmes de confusion d'intérêt. Surtout, se posera la realité du
contrat de travail, dans lequel il faut que soit reunit trois conditions (travail effective, réel que soit
différent de la tache de gérant de la SARL – commerciale par exemple; il faut également un salaire
réel bien identifié en comptabilité et que ne se confond pas avec la rémuneration en tant que gérant;
la troisièmme condition est la realité d'un lien de subordination entre l'employé et l'employeur). Ce
lien de subordination ne sera pas toujours effectif, il ne sera réel que dans le contexte que le gérant
soit en faite un gérant minoritaire, c'est-à-dire, quand il ne détient pas la majorité du KS. Si on veut
béneficier du cumul, il faut rester gérant minoritaire.

Ch social 14/05/1998 JCP enterprise 1999 p. 284 – note: M. Puisjollier → une petite SARL de vente
de patrimoine constituée de deux associés qui avait embouché une autre personne pour vendre. Ils
proposent à la salariée de devenir gérant. Le magasin ne se portait pas très bien, et a voulu mettre en
terme à son contrat de travail. Les associés on dit qu'elle ne béneficiait pas d'un contrat de travail
pour être gérant. La cour de cassation a consideré que dans ce cas là il avait bien un lien de
subordination, et par conséquent, elle béneficiati toujours d'un contrat de travail pouvant
revendiquer tous les bénéfices d'un contrat de travail. L'intérêt d'avoir un contrat de travail est de
béneficier d'un droit de travail et du regime social des salariés.

Quand un gérant est minoritaire, c'est qu'il détient moins de la moitié du KS. Et le gérant majoritaire
est celui que détient 50% plus une part social (c'est pas 51%!!!). Pour vérifier la majorité, on
ajoutera les parts sociales détenus par son conjoint (mais pas par son concubin) et les parts sociales
de ses enfants mineurs.

Le gérant majoritaitre, depuis 1997 a vu sont statut fiscal aligner sur celui des salariés (il n'y a plus
de différences sur le plan fiscal entre les gérant majoritaires ou minoritaires et les salariés). Sur le
plan social, le gérant majoritaire reste en revanche assimilé à un travailleur indépendant, tandis que
le gérant minoritaire relève du régime social des salariés. Le régime social des indépendants
suppose des cotisations plus lourdes pour des prestations sociales moins intéressantes. Tandis que le
régime social des salariés protège plus complètement. Il y a des avantages plus sensible au statu
social des salariés, c'est qui fait que parfois il y a un gérant minoritaire uniquement pour béneficier
des conditions meilleurs de droit social.

Le gérant peut être désigné par un acte extra statutaire ou par les status. Depuis l'ordonnance de
2004, si une majorité n'est pas réuni pour la désignation d'un gérant, il faudra proceder à une
seconde convocation où le gérant sera nommé à la majorité des présents. Cette majorité peut être
augmenté par les status (AGO).

Alpha – La rémuneration du gérant

Le gérant peut être bénevole.

Ce gérant peut être remunéré par ses fonctions mais peut d'articles du Ccommerce évoquent la
détermination de la rémuneration du gérant de la SARL. Il reviendra aux status de fixer les
modalités de la rémuneration du gérant. C'est une rémuneration fixe ou, plus fréquement, une
rémuneration évolutive basé dans les bénéfices realisés par la société. Il faut envoyer la décision en
AG le contenu de cette rémuneration. Le gérant ne pourra pas déterminer seule sa rémuneration. Le
juge ne pourra pas, lui nom plus, fixer la rémuneration d'un dirigeant de façon génerale (Ccmm
14/11/2006 RJD des affaires 89/2007 p. 220). Le juge ne peut pas interferé dans les status qui ont
laissé aux associés la prise de cette décision. (art. 1134 Ccvil).

Ch comm 30/03/2009 Jolly 07/09 p. 660 → l'associé égalitaire réfuse l'augmentation de la


rémuneration du gérant. Le gérant saisi la cour en disant qu'il y a eu un abus d'égalité. La cour
refuse la qualité d'abus d'égalité en disant qu'il y n'as pas eu un acte contraire à l'intérêt de la société
et selon des envies individuels de l'associés. Cette décision de la rémuneration du gérant doit être
issu de la décision collective, laquelle doit être respectée par les juges.

Les augmentations de rémunerations font partie des conventions réglementés necessitent un certain
formalisme. On est dans le cas d'un contrat conclu entre le gérant et la société qu'il répresente. La
rémuneration des dirigeant sonts des charges déductibles de l'impôt sur les sociétés. Du coup, on
aurra un contrôle de l'administration fiscal sur des rémunerations qui peuvent être execssibles. Si le
fisque considère que la rémuneration est effectivement execessive et injustifié il pourra proceder a
son déclassement (la rémuneration ne sera plus déductible). → Cour adm d 'appel de Paris 11 juin
1998 JCP E 99 p. 87.

2 – La révocation du gérant

Cette révocation est envisagée par l'article L223-25 Ccom. L'objectif c'est d'assurer au gérant une
certaine stabilité en place tout en permetant à la société de se debarasser d'un gérant que ne convient
plus. Le mandat du gérant peut prévoir un terme prévue dans les statuts. A défaut de mention dans
les statuts, on considère que le mandat du gérant est lié à l'existance de la société.

La révocation peut être décidé par décision des associés répresentant plus de la moitié du KS (L
223-25 Ccom). Aujourd'hui cette prise de décision n'est plus d'ordre publique et les status peuvent
prevoir une majorité plus forte, ce qui entraîne la faculté de (223-29 al.2) déterminer une seconde
convocation en cas d insufisance de quorum.

La participation du gérant au vote sur sa révocation n'est pas ecarté. Ainsi, un gérant majoritaire
pourrait donc, sauf disposition statutaire, de fait être quasiment irrévocable. Un gérant même
majoritaire peut faire objet d'une révocation judiciaire par cause légitime. C'est prévu dans la
SARL, mais on n'est pas sûr si cela pourra être aplliqué aux SAS. Il faut répondre à des justes
motifs dans la révocation votée par des associés, en revanche. Dans ce dernier cas, quand il a une
révocatin voté sans juste motif, le gérant révoqué aurra droit à des dommages et intérêts, mais la
révocation sera tout même valable. En revanche, une révocation prononcée par le juge ou la cause
ne serait par précisement légitime pourra permettre au gérant de reintégrer ses fonctions. Le motif
en soit rest le même: non respect des status, de la loi ou des règlements, faute de gestion.

De plus en plus un gérant qui fait l'objet d'une révocation pour juste motif ou pour cause légitime, a
le droit de se faire entendre, a le droit de faire valoir ses propes arguments et au principe du
contradictoire, même si cela ne change pas sa révocation.

Le gérant ne peut faire l'objet d'une révocation abusive. Il doi apprendre sa révocation dans des
moyens autres que dans les moyens publiques.

Ch comm, 13 mars 2001 JCP E 2001 p. 753 → révocation qualifié comme abusive, sans juste motif,
realisée de façon vexatoire pour le dirigeant. Le gérant revoqué pert ses fonctions ne demandant pas
son intégration, mais il decide d'implanter une action en responsabilité contre les associés qui ont
votés cette révocation. Il attaque les associés qui pourraient être protégés par la société, AG. La
Cour accepte de reconnaître la responsabilité des seuls associés qui ont votés la révocation abusive.
C'est une décision unique. Les associés ont engagé leurs responsabilité personnelles vis à vis le
gérant. Il s'agit d'une responsabilité delictuelle ou contractuelle? La quesqtion n'est pas encore
tranché par la jurisprudence.

La démission du gérant est un acte juridique unilatéral (produit tous ces effets dès qu'il est exprimé
par la personne qui s'engage; il n'a pas besoin du consentement de l'autre pour produire ses effets).

Ch cmm 22 février 2005 Jolly 07/05 § 194 → le gérant ne pourrait pas revenir sur sa décision de
démission, même si celle-ci n'avait pas été acceptée par tous les associés.

B – LE POUVOIRS DU GÉRANT

L'ordonnance de 2004 a augmenté de façon sensible les pouvoirs du gérant (L 223-18 al. 8).

Tout d'abord, le gérant de la SARL peut désormais de ça seule initiative déplacer le siège social de
sa société dans un même département ou dans un département limitrofe. Cette décision doit être
ratifiée par la majorité de ¾ des parts sociales.

Le gérant peut de lui même faire en sorte que les statuts de la SARL soit en harmonie avec les
dispositions impératives et maintenant les lois et réglements. C'est une disposition qui n'affecte que
la SARL. Le gérant est le gardien de la conformité des statuts avec des lois et réglements. On ne sait
pas quelle pourraient être les sanctions si un gérant ne veille pas par la conformité. On peut dire que
ça serait une faute. Comme la disposition précedente, si il doit faire en sorte que les status soit en
conformité avec les nouveaux texte, cela doit être ratifié ultérierment par l'AG.

Pour le reste, on revien à des dispositions classiques.

Pouvoirs du gérant vis à vis la société et les associés

Le gérant dispose d'une liberté pour réaliser des actes engant l'objet social. Il est possible d'insérer
des clauses restrictives de pouvoirs. Ces clauses parfaitement efficaces entre les raports dans la
société, ces clauses seraient inoppsables au tiers. Elle peu entraîner la révocation d'un gérant
irrespectuex, de toute façon.

La limitation du pouvoir ne peut résulter que des status et ne peut donc résulter d'une AGE, seule
assemblée susceptible de modifier les status.

Une AGO qui decidait de nomer un cogérant. Ce-ci entraîne nécessairement la diminution du gérant
dejà en posse. Par conséquent, cette décision prise en AGO doit être annulé, car les modifications
du pouvoir du gérant ne peut résulter que d'une AGE, parce que cela concerne des modifications des
status.

Pouvoirs du gérant vis-à-vis des tiers

Concernant les pouvoirs du gérant, on veut preservé d'avantage les tiers que des associés. De ce fait,
en vertu de l'article L 223-18 al. 5, le gérant tiens de part de la loi les pouvoirs le plus vastes pour
engager la société même en dehors de l'objet social. Le gérant peut engager la société même pour
des actes qui n'entrent pas dans l'objet social, contrairment aux sociétés à responsabilité ilimitée. Si
il y a plusieurs gérants, chaqu'un d'eux peuvent engager la société même si la répartition des
pouvoirs était prévu dans les status (inopposable aux tiers).

On considère que le tiers doit parfois savoir qu'il y a des décisions sociales qui ne peuvent relever
que de la décision colléctive et pas du seul gérant. Par exemple, la décision de vendre le seul fonds
de commerce exploité par la SARL, constituant son objet social. Il y a eu des jurisprudences
contradictoires.

La société pourra se désengager du contrat souscrit par son gérant hors objet social si elle prouve
que le tiers avait connaissance du dépassement du pouvoir du gérant. Il y a des jusprudences, au
contraire, que tiennent à dispenser des tiers de vérifier les pouvoirs du gérant (cour d 'appel de Paris
15/06/1995 Jolly 1995 p.895 – cours de pilotage payés par la SARL d'informatique).

Les associés peuvent par décision unanime étendre l'objet social pour permettre le cautionement de
dettes d'un associé pour l'aquisiton de parts sociales (ch com, 17 décembre 2003 RDS 04/2004
p.103 – il s'agissai de cautioner un associé personne morale).

Une problématique particulière va se poser (cela n'existe pas dans les sociétés de personnes: le
contrat qu'un gérant, mais également, qu'un associé pourraient conclure avec la SARL elle-même,
va faire objet d'un intervenant législatif. Il s'agit d'un contrat conclut entre la société et un gérant
ou/et un associé (on depasse le seul pouvoir du gérant concernant aussi les prérrogatives des
associés). Il aurra 3 catégories de conventions:

a) Conventions réglentées (L 223-19 Ccom): ce sont des conventions qui doivent être soumises à
l'autorisation préalabe de l'AG. Particulièrement, si le gérant n'est pas associé et si la société n'a pas
de commissaire aux comptes. Si il n'a pas eu une autorisation préalable, le contrôle par des associés
s'efetivra a posteriori par l'intermediaire d'un rapport fait sur la convention. L'assemblée va statuer
sur ce rapport, approuvant ou non cette convention, le gérant ou l'associé concerné ne participant
pas au vote.

Ex. le contrat de travail, la rémuneration du gérant, contrat de location d'un immeuble de la société,
voiture utilisée à titre exclusif par un gérant ou associé.

b) Conventions Courantes (L 223-20 Ccom): conventions faites à des conditions normales. Ce sont
les conventions effectués par la société d'une manière habituelle dans le cadre de son activité. Ces
conventions ne sont pas soumises à aucune formalité.

Ex. SARL qui exploit une épicerie – achat de marchandises concernant l'objet social.

c) Conventions Interdites (L 223-21 Ccom): il est interdit aux gérants et aux associés personne
physique, y compris par personne interposée, sur peine de nulité, de contracter des emprunts auprès
de la société, de se faire cautioner par la société (c'est pour cela que le compte courant d'un gérant
doit toujours être créditeur).

Ces conventions interdites sont frappées d'une nullité absolute d'ordre publique.

Il peut avoir des effets collatéraux: un organisme bancaire a pu enager sa responsabilité pour
sugérer à un associé de se faire cautioner par la société. L'organisme aurrait du savoir la nulité du
cautionement. La nulité de la convention entraînant la nullité du prêt (25 avril 2006 RDS n° 07
2006 p.109).

En revanche, s'agissant des conventions dites règlementées, celles ne feront pas, systematiquement,
objet d'une annulation, mais la société ne sera pas engagée. L'associé ou le gérant seront seul
engagés à ces conventions qu'auraeint dû subir l'approbation de tous les associés.

C - LA RESPONSABILITÉ DU GÉRANT

Vis à vis les associés et la société


Pour non respect des status et de la règle en vigeur, pour depassement de pouvoir et pour faute de
gestion. C'est surtout une responsabilité du gérant vis à vis la société. La responsabilité vis à vis des
associés est beaucoup plus exceptionelle.

Dans la jurisprudence, les associés ont beaucoup de difficulté à intenter une action personnelle
contre le dirigeant pour la réparation du préjudice personnel d'un associé. Normalement on
considère le préjudice de la société qui sera reparé. Les associés n'obtiendront rien de plus ne
considérant pas leur seul préjudices. Les associés ne sont pas des victimes par ricochet.

Ch com 15 janvier 2002 (Jolly 2002 §155).

20/10/09
Vis à vis les tiers
Il faut traité l'associé de la même façon qu'un tiers à la société?...???

En effet, il peut avoir place pour la resposabilité personnelle vis à vis des tiers à la société. C'est un
contexte que ne se rencontre pas trop, car le tiers soumis à un préjudice de fait d'un
disfonctionement de la société va agir contre la société personne moral, laquelle peut être plus
solvable qu'une personne physique. Dans le cas où la société subi des difficultés financières, le tiers
essaye de saisir le dirigeant. La responsabilité du dirigiant ne peut être reconnu que si il a commit
une faut séparable de sa fonction.

Ch Com 20 mai 2003 (Dalloz 2003, p.1502) → définition de la faute personnele détachable du
dirigeant susceptible d'engager la responsabilité personnelle: « lorsque le dirigeant commet
intentionellement une faute de particulière gravité incompatible avec l'exercice normale des
fonctions sociales ».

Cela fait penser à la responsabilité personnelle des foncationaires, quand on parle de la


responsabilité du dirigeant.

Article - La faute des dirigeantes des sociétés détachable ... Dalloz Affaires 1999, p.182

En ce qui concerne la responsabilité pénale des dirigeants, elle a même que celle des sociétés par
actions. Par conséquent, les infractions pénales du Code Penal tel que l'abus de crédit, de pouvoir ou
de voix, ainsi que la présentation ou la publication de comptes anuelles ne donnant pas une image
fidèle sont applicables aux dirigeants de la SARL et peuvent donner lieu à des amendes et des
peines de prison.

Le dirigeant de la SARL peut engager sa responsabilité fiscale si il est établi qu'il a contribué au
retard du paiment d'un impôt ou à la faudre. Dans ce cas, il sera solidairement responsable avec la
société au paiment de l'impôt.

Le gérant de la SARL peut, dans certains contextes, voir ses comptes controlées et certifiées par un
commissaire aux comptes dans les mêmes conditions de la SNC et la SC, le commissaire aux
comptes n'est pas obligatoire, mais devient si la société depasse 2 des trois seuils:

Bilan 1.550 mi
CA superieur a 3.100 mi
50 salariés

SECTION 2 - MODIFICATION DE LA STRUCTURE

I - MODIFICATION CONJUNCTURELLE

En cours de vie sociale, la situation de la société peut être bouleversée et des modifications
s'averont necessaires. C'est peut être le cas lorsque par accident le nombre d'associés dépasse 100 ou
que le KS descend au dessus du seuil fixé par les status.

Pour rémedier à ce type de situation, particulièrment lorsque le KS n'est plus à l'hauter demandé, il
est possible de procéder à une augmentation du KS. Il s'agit d'une modification des status qui
relevera d'une AGE et la publication du status ainsi modifié.

L'augmentation du KS peut être realisée soit par des accords nouveaux qui seron fait par soit des
associés anciens ou que seron fait par des nouveaux associés qui profiteront de cette augmentation
pour rentrer dans la société, soit par apport nouveau, soit par incorporation de réserve dans le KS (le
moins custoso)., soit par incorporation des comptes courants des associés (on transforme ses
comptes courants en KS ce qui suppose leur accord, évidemment).

Lorsqu'on procede à l'augmentation du KS, (il faut avoir) une certaine égalité entre les associés de
bases et les nouveaux associés. Pour essayer d'établir l'égalité il sera possible, au moment de
l'augmentation du KS de mettre des droits préferentiels de souscription ainsi que de primes
d'émission.

Le droit préferentiel de souscription est un droit de priorité offert aux associés dejà présents à la
société pour béneficier de l'augmentation du KS. Ils seront prioritaires pour avoir des nouvelles
parts sociales liés à cette augmentation de KS. Ce droit preferentiel peut être séparable des droits
sociaux et peut faire objet d'acquisition et de cession séparée.

Les primes d'émission sont destinés aux nouveaux cessionaires, associés qui vont bénéficer de
l'augmentation du KS. Il s'agit d'une surcoût demandé à fin d'établir l'égalité entre les nouveaux
associés et les anciens.

Parfois, la société va se trouver dans l'hypothèse de devoir réaliser une réduction de son KS. Ce sera
le cas, lorsque les pertes comptables auront étés imputés sur les resèrves et que les pertes
subisistantes entameront les capitaux propres. Il est une règle de droit de société à responsabilité
limité générale selon laquelle les capitaux propres ne doivent pas être inférieurs à la moitié du KS.
L223-42 on n'a pas le droit de laisser des capitaux propres inférieures à la moitié du KS dans les
sociétés de responsabilité limité.

Il s'agit d'une affichage comptable, ne résultant rien aux problèmes de fonds de la socitété. C'est un
problème.

La diminuition du KS impliquera une diminuiton du nombre des parts sociales ou la diminuition de


sa valeur sociale. Dans la diminuition du nombre de parts, tous les associés doivent être traités à
l'égalité: tous veront le nombre des parts sociales diminuer. Si la réduction de KS n'est pas possible,
il faudra demander aux associés si ils souhaitent dissoudre de façon anticipé la SARL ou si ils
sohaitent la transformer en d'autre forme societaire ou on n'aurait pas des mêmes exigences
comptable (SC, SNC)

Bilan
Actif Passif
KS 1.500.000
Resèrves 100.000
Résultat de l'exercice em cours (100.000)
Report à nouveaux1 (1.000.000)

Capitaux propres = 500.000

Capitaux propres= = KS + resèrves

Les capitaux propres sont inférieurs à la moitié du KS. Il s'agit d'une image comptable qui n'est pas
acceptable.

II - MODIFICATION ENTRAINANT LA TRANSFORMATION DE LA SOCIETE

Si on n'arrive pas a réduire le KS à l'hauter des capitaux propres, les associés doivent changer la
société.

Pour transformer la SARL en une société de personnes, il faudra obtenir l'accord de l'unanimité des

1 Résultats negatifs des exercices anterieurs


associés. L'engagement des associés change de manière trop importante pour qu'on puisse se passer
de l'accord de tous les associés.

La transformation la plus fréquente sera celle d'une SARL en SA ou SAS. Tellement fréquente qu'il
aura des passerelles entre la SARL et la SA, la société subisistant en tant que que personne morale
en temps de la modification. L'engagement des associés n'est pas modifié. Il n'est plus recquis
l'unanimité, la décision pouvant être prise par la majorité des ¾ des parts sociales, ou la majorité
des parts sociales si les capitaux propres execèdent 750.000$.

Pour transformer, il faut aussi remplir certaines conditions. Il faut au moins 7 associés pour
consituer une SA et un KS de 37.000$. En plus, un commissaire à la transformation (commissaire
au comptes avec des pouvoir spéciaux) devrait être nomé pour vérifier que les comptes de la SARL
peuvent se prêter à la transformation et pour contrôler que les capitaux propres sont au moins égaux
au KS. Le commissaire engage sa responsabilité personnelle si il approbe les comptes qui ne suivre
pas les conditions.

C'est un peut plus compliqué de faire la transformation pour une SAS, parce que dans la SARL les
dispositions prevues pour la transformation (L 233-43) n'envisagent pas sa transformation en SAS.
Il faut aller chercher des solutions ailleurs. L'article L224-3 que dispose que lorsqu'une société, de
quelque forme que ce soit, qui n'a pas de commissaire aux comptes, décide de se transformer en
société par action, il faut allors nommer un commissaire à la transoformation.

Il faut encore savoir à quelles conditions de majoriée la décision de transformation doit être
emportée. Article L 227-3 qui exige une unanimité des associés pour pouvoir transformer une
société en SAS. C'est paradoxal. Cela parce que la SAS est susceptibe de contenir des dispositions
statutaires pouvant diminuer les droits des associés, même que pas systématiques.

Il faudra aussi des capitaux propres à l'hauter du KS.

III - MODIFICATION ENTRAINANT LA DISSOLUTION DE LA SOCIÉTÉ

En cas d'augmentation du nombre d'associés, les associés on 1 année pour résoudre la difficulté à
défaut, ça sera une dissolution automatique de la SARL au bout d'un an.

En cas de diminution du KS en deça du minimun récquis ou en cas de perte de plus de la moitié du


KS, il faut convoquer les associés pour qu'il décident soit de la reconstitution des capitaux propres,
soit de la dissolution anticipée de la société. Pour adopter la dissolution anticipée de la société cela
revève de la AGE et la majorite d'au moins ¾ du KS.

Ni le décès d'un associé ni l'incapacité ou la faillite personnelle d'un associé n'entrainent la


dissolution de la société, sauf si les status l'on prévu.

CHAPITRE 3 - L'EURL

A été introduite en droit français par la loi de 11 juillet 1985. La EURL a pertubé considérablement
les classiques parce que pour la première fois on avait une société qui pourrait être constituée par
une seule personne. La constitution relevera donc d'un acte juridique unilateral.

L'EURL bouleverse l'affectio societatis. Enfin, cela a bouleversé un peut la théorie de l'unité du
patrimoine.

Une personne peut constituer autant de EURL qu'elle veule. Elle dispose, ainsi, de diverses
patrimoines.

L'intérêt de constituer une EURL il réside dans la possibilité de l'entrepeneur individuelle de


déclarer sa résidence principale insaisissable.

L'avantage est qu'elle permet de démarrer une activité sociétaire et de passer d'une entreprise
individuelle à une SARL, bien que de transmettre progressivement une entreprise, et bien (pour les
groupes de sociétés) d 'avoir des filiales detenues a 100% par la société mère.

I - LA CONSTITUTION DE L'EURL

L'associé peut être une personne physique ou morale. Dans le dernier cas, ça ne peut pas être une
autre EURL. Une personne physique peut constituer plusieurs EURL et l'associé unique peut ne pas
être le gérant, ce qui signifie qu'on peut avoir une société avec associé unique mais deux personnes,
le gérant n'étant pas associé.

Un mineur que reçoit un fonds de commerce. Une des solutions est de constituer une EURL dont le
mineur serait l'associé unique et le geérant, un chargé des affaires.

Le KS de EURL sera fixé librement par les statuts et il faudra bien sur procéder à des accords et à
l'immatriculation. Toujours dans le souci d'inciter la constitution des enrepprise, le legislateur de la
loi du 4 août 2008 a modifie l'article L 223-1 – modèles de status types de EURL avec un associé
gérant. La même loi facilite les modalités de publicité lorsqu'on a choisi ces statuts types, il sera
plus facile de les publier puisqu'il ne sera plus nécesaire de faire une insertion au BODACC
(Bulettin officielle des annonces civiles et commerciales)

Ch com, 32 mai 2005 (Daloz 2005, p. 1700) concerne la reprise des engagements pris en nom d'une
EURL en formation: l'associé unique peut réprendre ces actes mais à condition qu'il y ait un acte
expresse répertoriant cet effet dans le registre prévu pour cela.

II - L'ORGANISATION DE L'EURL

Elle va fonctionner comme la SARL avec quelques aménagements.

L'associé unique, qu'il soit gérant ou non, va voire son intérêt personnel être substituer par l'intérêt
social. Par conséquent, l'associé unique ne devra pas confondre les comptes de la societé avec son
patrimoine personelle et il ne pourra pas non plus emprunter à la EURL ou se faire cautioner par
elle (conventions interdites).

Les conventions conclues par le gérant non associé devront avoir été approuvées préalablement par
l'associé unique, un rapport devrant être fait au Registre des déliberations des conventions conclues
par le gérant avec la société. (L223-19 al. 3).

L'associé unique va avoir les pouvoir que sont devoulus dans les autres sociétés à la collectivité des
associés aussi bien dans les AGO que dans les AGE. L'associé unique ne peut pas denigrir ces
pouvoirs sur peine de nullité de l'acte. Cela veut dire que l'associé unique doit approuver les
comptes de l'entreprise, sa propre gestion, si il est le gérant (trop formaliste). C'est lui qui doit
modifier les statuts, décider de la distribution des bénéfices.

La loi du 4 août 2008 a simplifié un petit peut ce ci: si les comptes sociaux d'une EURL ont été
deposés au Registre du commerce avec le rapport de gestion, le tout dûement signé par l'associé
unique, dans un délai de 6 mois après la clôture de lexercice, dans ce cas là le dêpot de ses comptes
fait au registre de commerce vaut approbation de ces comptes.

La loi LME, 04/08/08, permet même que ne soit plus deposé le rapport de gestion au registre de
commerce et des sociétés, mais ce rapport doit être tenu à la disposition de toute personne qui en
fera demande.

Modification des articles: L223-32 L223-31

L'associé unique peut aussi ceder ses parts, sans besoin d'agrément, mais il faudra accomplir une
formalité de publication de la cession.

Le gérant d'une EURL incours les mêmes délits penaux qu'un gérant d 'une SARL. ch criminal 20
fevrier 2002 (RDS 2002, p. 546). Pendant longtemps fonctionait une règle particulière en cas de
dissolution de société avec un associé unique. Lorsqu'une société fait objet d'une dissolution, celle-
ci doit être suivi d'une liquidation. L'article 1844-5 al 3 Ccivil dispose que lorsqu'on a une société
avec un associé unique qui fait objet d'une dissolution, il ny a pas de liquidation, mais la
transmission universelle (actif et passif) du patrimoine de la société au patrimoine de l'associé
unique. Cela ne protégait pas le patrimoine particulier de l'associé. Le legislateur a ajouté une alinéa
au article qui précise que les dispositions du 3 aliéna ne sont pas applicables aux sociétés dont
l'associé unique est une personne physique. Le principe subsiste mais ne concerne que les associés
personnes morales.

On passera par une phase de liquidation qui permetra d'apurer le passif de la société et que permetra
d'assurer le patrimoine de l'associé unique (ch com, 12 juillet 2005 Daloz 2005, p.2002 – il n'y a pas
transmission universelle dans le cas de procédure collective, le patrimoine ne peut être transmi que
selon les règles d'ordre publiques appliquées à la liquidation judiciaires).

Contrairement à la SARL qui relève de l'impôt sur la société (sauf SARL de famille IR), l'EURL
relève systematiquement de l'impôt sur le revenu.

TITRE II – LA SOCIETE PAR ACTION SIMPLIFIEE

Les status seront très compliqués à rediger car il n'y pas de solutions de substitution.

La SAS est une société relativement neuve. Elle a connu deux naissances. La première lors de la loi
du 3 janvier 1984 :sur l'impulsion du syndicats des patrons français on a voulu créer une société
pour permettre la contractualisation d'accords entre sociétés surtout en niveau international.
Autrement dit, à l'epoque, la SAS ne pouvait intéresser que le très grandes sociétés qui avaient une
vocation internationale et qui souhaitent une structure souple pour organiser leur relation
contractuelles. La SAS c'était integré au Ccom aux articles L 227-1 à L 227-20.

La SAS a connue une seconde naissance dans la loi du 12 juillet 1999 qui visait les nouvelles
technologies (start up – sociétés de logiciels, sites internets). Une forme société qui soit adaptée,
souple aux sociétés start up.

La SAS seule constitue une reforme globale du droit des sociétés → petite loi, mais grands effets.
On a fait d'une société qui ne devrait concerner que des cas spéciaux, une société ouverte à tous (loi
LME). N'importe qui peut constituer une SAS et profiter de l'extreme souplesse laissé par le
legislateur.

SECTION I – LA CONSTITUTION DE LA SAS


En 1984, la SAS était constituée pour être une société des sociétés. Seule pourrait être actionaire
d'une SAS des personnes morales dotées d'assisse financiers conséquent, puisque la société elle-
même devrait être doté d'un KS de 1500.000 francs.

En 1999, le legislateur libéralisé totalemment la SAS. Aujourd'hui une SAS peut être constitué de 1
ou plusieurs personnes morales ou physiques. Désormais, les personnes physiques peuvent
constituer une SAS et il n'y a plus d'exigence de KS pour des personnes morales qui voudrait
devenir associée. La seule exigence c'est qu'il faut avoir de personnalité morale pour constituer une
SAS.

La SAS peut être consitué par un seul associé.

La loi du 4 août 2008 a encore acemptuée ce liberalisme: jusqu'ici il faudrait un montant minimale
de 37 000 $ pour le KS pour la constitution d'une SAS. Désormais, comme pour la SARL, le KS de
la SAS va être fixé librement par les statuts. La loi LME a emporté dans un seul coup tous les
modifications qu'on a pri des années pour les introuduire dans la SARL concernant la constitution
du KS.

Les apports en numéraires ne doivent pas être intégralement liberés dans la constitution. Les apports
en nature sont recevables, mais il faudra prévoir des modalités d'évaluation des apports en nature –
il faudra donc proceder à la nomination d'un commissaire aux apports. Les apports en nature
peuvent être fréquent, surtout, des propriétés intelectuelles (apports en propriété ou en jouissance).

Ce qui change la loi de 2008 concerne les apports en industrie. Jusqu'ici on considerait que les
apports en industie n'étaitent pas recevables dans les sociétés de responsabilites limitée, car il
faudrait ofrrir aux créancies des apports tangibles. Désormais, ses apports sont permis, simplement,
les statuts de la société par action simplifiée doivent en déterminer les modalités de souscription et
de répartition des actions obtenues en contrepartie d'un apport en industrie.

Le legislateur utilise des termes qui peuvent être surprenants, il demande à ce que les statuts de la
SAS prévoit une évaluation de ces apports en industrie après leur émission. Elle prévoit deux
évaluations des apports en industrie: une au moment de l'évaluation des apports et une autre après
leur emission. Ce temps devant être prévu par les status. En effet, c'est bizarre parce que, parmi
d'autres raisons, cela n'est pas permis aux apports en nature qui peuvent être susceptibles à des
modifications. En effet, il est dificile que les apports en industrie puissent évoluer.

La SAS ne peut pas faire appelle publique à l'état (appelle à l'état du publique – on estime que ce
publique ne sera pas protegé). Cela lui est interdit, contrairment aux SA, la seule forme sociétaire
qui pourra etre côté dans un marché specialisé. Le marché des sociétés cotées implique trop de
rigueur pour une société qui en est depourvue. La règlementation du marché financier est trop
contraingnante pour qu'elle puisse s'adapter à la souplesse donnée par la SAS.

Jusqu'ici la SAS appelée à gérer des fonds importants devrait, obligatoirement, comme des SA,
nomer un commissaire aux comptes. Désormais, avec la loi du 2 août 2008, il n'est plus obligatoire
(L227-9-1 qui dispense que certaines SAS aient un commissaire aux comtes → les SAS qui
depassent 2 des 3 seuils suivants:

1.000.000 au total du bilan


2.000.000 au montant de chiffre d'affaires
20 salariés
Difficultés liés à la rédaction des status, parce qu'on n'a pas des dispositions suppletives et aussi à la
gérance à cause de l'inexistence d'obligation de nomination du commissaire aux comptes. (Danger!)

Pour transformer une société denué de commissaire aux comptes, il faudra l'unanimité des associés,
l'intervention d'un commissaire à la transformation et que deux exercices sociaux ait étés approuvés
avant la transformation. Et puis, il faudra que les capitaux propres soient à l'hauter du KS.

La dernière condition a été la cause de l'impossibilité de transformation de la SAS lors de la


crétation de cette nouvelle forme sociétaire.

A propos de l'absorbtion? Lorsqu'une société anonyme va être absorbé par une SAS quelles règles
doit on suivre? Il faudra l'accord unanime de la société qui allait être absorbée.

CA Versailles, 27 janvier 2005 RDS Juillet 2005 p.32: l'absortion d'une société n'est pas une
transformation car l'absortion relève la dispairissont de la société absorbu. L'unanimité n'est pas
exigée. Sauf, les associés minoritaires de la SA étaient très inquiètes quant au solde que leurs
pourraient être reservé. Ils voulaient l'application de l'article L 236-5 du Code de commerce qui
dispose, entre autres, que si l'opération cogeté a pour effet d'augmenter les engagements de l'une ou
autre des associés en cause, cet opération ne pourrait pas être decidé que par l'unanimité.

Ch com, 10 décembre 2006 (Dalloz 2007, p.630): une tel opération d'absorption nécessite
l'unanimité des associés de la société absorbée parce que leur droit peut être diminué par les status
de la SAS.

03/11/09

SECTION 2 – LE FONCTIONEMENT DE LA SAS

La contractualisation du droit de la société est un sujet courrant dans les épreuves.

Certaines dispositions de la société anonyme pourront s'appliquer à la SAS, mais pas toutes
dispositions. Ces dispositions se ne s'appliquent pas systematiquement. Il est nécessaire qu'il ait une
référence expresse dans les statuts sans quoi le juge ne sera pas obligé à appliquer les dispositions.

En plus, il n'y a pas de dispositions supplétives. Plus les status sont précis, moins cela laisse de
marge pour l'application du juge.

Dans la SAS on pourra faire ce qu'on veut. On peut avoir une SAS ouverte, proche des sociétés de
capitaux, notamment dans le mode de direction. Mais on peut aussi avoir l'inverse: une société très
fermée avec plein de clauses d'agrément et un mode très centralisé de pouvoir.

La Loi NRE de 2001 a tellement contribué à – le mode de fonctionement de la société anonyme.


Cette loi est née sur l'influence des fonds de pension anglosaxons. Il s'agit d'organismes chargés de
gérer les retraite – ils ont un objectif de rentabilité le plus immédiat possible. Ils vont chercher dans
le monde entier des sociétés où ils peuvent rentrer rapidement et avoir une contrepartie rapidement.
Ils vont faire pression pour que les dirigeants coupent les coûts qu'ils estiment supplémentaires,
c'est-à-dire, des salaires. Seule les intéressent les sociétés cotés en bourse. Toutefois, les SA ne
correspondaient pas a leur attentes en terme de transparance des dirigeants, de pouvoir des
actionnaires et d'indépendance des administrateurs de la société anonyme.

Ce fonds de pension connaît la corporate governance qui implique une plus grandre transparance
dans la rémuneration des dirigeants et un plus grand pouvoir et informations aux actionaires.
La loi de 2001 a souhaité introduire des mesure de corporate governance dans la SA française, mais
elle la fait de tel manière qu'elle a fermé la SA dans un carton extremement rigide/fermé. Ainsi, les
SA françaises ont souhaités se transformer en SAS.

Or, avec la SAS on peut effectivement avoir des mesures de corporate governance mais on peut
avoir aussi exactement l'inverse – cela dépends de les status. Un handicap de la SAS: elle ne peut
pas faire appel publique (ne pourra pas être coté dans un marché financier).

I - LA REPRESENTATION ET LA GESTION DE LA SOCIETE (L 227-5)

Les status fixent les conditions dans lequelles la société est dirigée. Il y a une exigence émise par la
loi: il faut qu'une personne soit désigné que s'intitulera président, et c'est lui que réprésentera la
société. C'est la seule véritable exigence.

Ce président peut être une personne physique ou morale, associé ou non. Pas de coprésidence
envisagable: il faut avoir juste un, bien qu'il soit possible la présidence alternée. Une seule personne
ayant pouvoir de répresenter la société est un peu handicapant. La pratique commence à contester se
fait, d'autant que la Cour de cassation avait une intérpretation restricte de ses fonctions de
réprésentation (Ch comm,02 juillet 2002, Dalloz 2002 ch unique p.2922) la Cour reprend une très
ancienne jurisprudence de la SA en considérant qu'un dirigeant de la SAS, un directeur générale qui
n'a pas le titre de président., ne peut pas répresenter la société. Par conséquent, ses actes ont été
annulés.

La loi du 1 août 2003 le legislateur va modifier l'article L 227-6 du Code de commerce. Les statuts
peuvent prévoir qu'une ou plusieurs personnes ayont le titre de directeur générale ou de directeur
générale délégué, ayant le même pouvoir de répresentation que le président. Il faut surtout prévoir
dans les status qu'il auront des pouvoir de répresentation expressement, à défaut que seul le
président ait ses pouvoirs.

La seule disposition impérative c'est la présence d'un président. On peut donc avoir une
centralisation du pouvoir. C'est possible, pourtant, de constituer un conseil d'administration en
mettant cette disposition dans les status avec tout les status des administrateurs – ou en faisant
référence aux statuts de la SA.

Les premières SAS contenaient souvant un conseil d'administration à cause de le sprit de la SA.

Concernant le président, il n'y a pas de dispositions concernant sa rémunération. Il peut exercer sa


fonction bénévolement ou on peut avoir une prévision dans les statuts ou il peut renvoi la décision
aux associés. Si il y a une rémuneration il s'agissera d'une rémuneration contractuelle qui devra
obéir aux opérations règlementées liant un dirigeant et sa propre société. La SAS obéit la procédure
des dispositions réglementées tel que cela existe dans la SA.

Révocation du président – toujours rien dans la loi. Par conséquence, ce sont des statuts qui vont
devoir revoir les modalités de révocation. Avec ou sans motif, révocation voté à l'unanimité des
associés – possibilité de président irrévocable si il est associé. En plus, il n'y a pas de disposition
prevoyant la révocation judiciaire par juste motif, comme dans la SARL ou la SC. La Cour de
cassation n'a pas été encore saisi à ce propos de possibilité d'application ou de . Le juges souhaitent
peut-être commencer à vouloir mettre un fin à la liberté contractuelle de la SAS: (cass com, 23 octo
2007 Jolly 2008 p. 197 § 43 ; CA toulouse, 22 juillet 2008 Jolly 2008 p. 780) même lorsque le
legislateur n'a pas prévu les modes de révocation du résident, le respect du principe du
contradictoire, notamment, s'impose même dans la SAS. Le dirigeant a le droit de se faire entendre,
il ne doit pas non plus être révoqué de façon abusive ou vexatoire – abus de droit. Même face à la
liberté statutaire de la SAS, ces règles s'appliquent. Ces décisions sont la marque que les juges
essayent de limiter la liberté contractuelle dans la SAS.

On peut aussi prévoir dans les status que le président percevra ou non une indemnité. Normalement,
certains dirigeants de la SA peuvent être révoqué sans indemnité. Principe appliqué par la
jurisprudence. On n'aurra plus ce contentieux fréquent dans la SA dans la SAS sur l'indemnité car
tout sera prévu dans les status.

En tout cas, le président, ayant le pouvoir de répresentation de la société, il pourra aussi centraliser
la gestion et la direction de la société.

C'est une société par capitaux, le président pouvant engager la société, même lorsqu'il sort de l'objet
social. Les dispositions statutaires limitant les pouvoirs du président ne sont pas opposables aux
tiers.

Une disposition protectrice prévu dans la SA qui n'a pas été reprise pour la SAS. Dans la SA lorsque
la société veut s'engager auprès des tiers en tant que caution, aval et garantie, il faut une autorisation
préalable du conseil d'aministration. Cela signifie que le président de la SAS peut seul engager la
société en caution auprès des tiers. Si vous envisagiez cette disposition dans les status, cette clause
est -t -elle efficace? Non, il s'agit d'une clause restrictive de pouvoirs du président qui n'est pas
opossable.

On va retrouver le régime des conventions réglementées, mais tel qu'il existe dans la SA, et pas
dans la SARL. Ce sont des articles L 227-10 et 11.

Pour les conventions courrantes, conclues à des conditions normales entre le dirigeant et la SAS,
ces conventions doivent être communiquées aux commissaire aux comptes. Sauf que, depuis la loi
du 04 août 2008, il n'y a plus nécessairement de commissaire aux comptes dans la SAS. En tout cas,
tout associé a le droit d'en obtenir communication.

Pour des conventions qui ne seraient pas des conventions courrantes mais conclues à des conditions
normales, (L 227-10) ces conventions doivent faire objet d'un rapport établit par le commissaire
aux comptes ou par le président de la société si il n'y a pas de commissaire aux comptes. Les
associés devront voter ce rapport approuvant ou non ces conventions entre le dirigeant, certains de
ses actionnaires et la SAS. Le problème c'est que dans la SAS on reprend certaines dispositions de
la SA, mais pas toutes. On ne sait pas, par exemple, si le dirigeant, partie à la convention a une
société pourra participer au vote. Dans la SA sa participation est exclu (L 225-40). Rien dit que cette
article doit s'appliquer à la SAS. On aurrait, au contraire, plutôt tendance a dire que cela ne
s'applique pas car le legislateur ne l'a pas prévu. Les statuts peuvent avoir des prévisions.

Les conventions interdites entre le président et la société. Il est renvoyé expressement à l''article L
225-43. Il est interdit au président et autres dirigeants personnes physiques de se faire consentier des
emprunts, caution, aval ou garantie par las société elle-même.

La responsabilité civile de droit commun, ainsi que la responsabilité pénale des dirigeants de
sociétés de capitaux s'applique. L'abus de droits sociaux peut frapper (L 242-6), le délit de
distribution fictif, l'abus de pouvoir (L 242-8), le défaut d'établissement des comptes sociaux ou
bien le défaut de consultation des associés en cas de perte de plus de la moitié du KS (L 242-29).
Infractions spécifiques aux sociétés de capitaux et a la SARL.

II - LES ASSOCIÉS
Les associés pourraient s'appeler aussi actionaires, mais le legislateur a préferé le terme associé.
Cela marque que le legislateur il même exite dans cette qualification entre société de capitaux et de
personne. Il sait qu'on pourra faire une SAS avec un intuitu personae très present, ou les actions ne
seront pas librement négociable.

Les associés peuvent voir leur status partiulièrment agrandi, en compairason avec la SA, mais on
sait aussi que leur droit peut être réduit par les status.

Les associés on leur responsabilité limité, autant que quelques personnes leur denome « la seule
société de personnes à responsabilité limité ». Société très libre, désinstitutionalisé, mais avec la
responsabilité limité (le beurre et l'argent du beurre)

Le droit de participer à la décision colléctif.


La SAS est libre, mais il faut néamoins respecter les principes fondamentaux de droit général des
sociétés, dont le droit de participer à la vie colléctive.

Il appartiendra seulement aux status de détérminer quelles décisions peuvent relever de la décidison
colléctive et selon quelles modalités.

L 227-9 enumère des décisions qui doivent obligatoirement rélever de la décision colléctive, et
surtout de la décision colléctive des associés prises en assemblée générale (rappel : on peut proceder
par des consultations écrites ou par des actes signés par tous).
– Augmentation ou diminution du KS, fusion, cession, nomination du commisaire aux
comptes, dissolution de la société, approbation des comptes et transformation de la société en une
autre forme de société.
Pour ces décisions, le président ne pourra pas décider seul. Le défaut de recours à la décision
colléctive dans ce cas là n'impliquera pas seulement l'annulation de la décision mais l'application
d'une sanction pénal (L 244-2 – modification de la Loi NRE 2001 on veut renforcer les droits des
actionnaires et on sanctione les dirigeants qui ne font pas appel à la décision colléctif).

Certaines dispositions tel que les clauses d'inalienabilité ou clauses d'agrément doivent être modifié
par l'unanimité des associés, mais pas nécessairement en assemblée générale.

Hormis cette liste de décisions inscrite à l'article L 244-2 les associés peuvent être privé de tout
pouvoir de gestion de la société. Ces pouvoirs pourront être concentré dans les mains du président,
si les status n'on pas prévu d'augmenter ces pouvoirs.

Droit de vote
Rien n'est prévu dans la loi.
Vu que nous sommes dans une société de capitaux, le principe pourrait être un vote, une voix. Mais
le legislateur a choisi de introduire plus de personalisation à la société: il suffit de prévoir dans les
status que à chaque associé correspond un vote.

On peut également faire des actions à droit de vote multiples, c'est-à-dire, dire qu'une action
permetra à son titulaire de disposer de 2 ou plus droits de vote. Ce méchanisme existe dejà dans la
SA, où on ne peut pas aller au delà d'un droit de vote double.

Un moyen de renverser un contexte où celui qui apporte son brevet d'invention, apport en nature,
voit les décision à propos de son invention être prises par celui qui a apporte plus d'argent, apport en
numéraire.
Concernant l'adoption de modalités de décisions dans les AG : vote à de majorité simple, qualifié,
unanimité. Cette dernière sera obligatoire lorsqu'il y a un risque d'alourdissement des engagements
des associés, ainsi que pour modifier des clauses d'agrément, d'inalienabilité ou d'exclusion.

Il est possible de prévoir des droits de vote dotés de prerrogatives particulières. Par exemple, des
droit de vote disposant d'un droit de veto. Cela permett de donner un poid appreciable à l'associé en
question dans certains types de décisions (pas nécessaire de généraliser). On peut aussi avoir des
droits de vote avec des clauses d'ajournement, laquelle permet de renvoyer la délibération À une
date ultérieure. Cela permett éventuellement de rédiscuter la décision et de la changer. Cela existe
aussi dans la SA, mais pas avec la même souplesse. Cette souplesse dans les SAS est peut être
accrue mais moins nécessaire par les actions de préférence. Celles là, sont une souplesse qu'on va
accorder surtout en SA. Mais ces actions sont également possibles dans les SAS. Elles permetron
d'établir des catégories d'action dotés de droit et de prérrogatives différentes suivant leurs titulaire.
On pourrait observer des actions denués de droit de vote, mais dotées de prérrogatives financières
supplementaires, des actions de préference apportant des droits d'information supplementaire aux
titulaires, ou même accordant à leur titulaires des droits financier ou non dans les sociétés autres
que la société emettrice (société mère – filiale).

En tout cas, quel que soit la liberté statutaire, il ne sera pas possible de priver totalement un associé
de son droit de vote. La Cour de cassation a été particulièrment sensibe a ce-ci. En effet, on ne peut
pas avoir une clause excluant l'associé du droit de vote ( car c'est possible de prévoir des actions
demunies de droit de vote). On ne peut pas l'inscrire de façon générale dans les status.

Droit à l'information
Concernant l'information dispensée aux associés, les dispositions relatives à la SA ne s'imposeront
pas à la SAS, systematiquement.

Avec la SAS on peut réduire considérablement le droit d'information (n'étant plus nécessaire de
faire du lobbying). Il resterait l'obligation du président de présenter les comptes et puis, également,
une obligation ajouté par l'article L 227-17 (L 233-6) le dirigeant de la société doit informer ses
associés quand un changement de contrôle frappe une société qui est dejà associée (droit qui vient
des règles de droit de groupe).

Pour le reste, on peut aussi aller dans le sens de corporate governance, en refforcant le droit
d'information des associés. On peut même introduire dan les status une obligation à l'information à
destination des tiers à la société (fournisseur exclusif, partenaire financier). On commence a avoir
du mal à savoir qui sont les parties au contrat de société – responsabilité sociale des entreprises.

Droit de Cession des parts sociales


On peut voir une société très fermè avec une clause d'agrément très lourde. On n'a pas des règles.

Les clauses d'agrément (L227-15) peuvent aussi concerner les personnes de la famille. Dans la SAS
on peut prévoir des clauses d'agrément dans les hypothèses de cession entre associés, alors que
normalement, dans les SA, il est interdit de faire ainsi obstacle à la mobilité d'actions entre associés.

On se doute que s'appliquera à la SAS l'obligation d'organiser le retrait d'un associé en cas de refus
d'agrément. Ce minimun risque d'être applicable à la SAS, quand on a prévu.

L'article L 227-15 prévoit une sanction en cas de non respect d'une clause d'agrément que c'est la
nullité de la cession conseti sans respect de la clause. Le législateur veut bien favoriser la liberté, à
condition que cela soit une liberté statutaire. Il n'est pas sur que des clauses extra statutaires
obtiennent le même effet. On pense également que les status pourraient prévoir, en cas de non
respect d'une clause d'agrément, qu'un associé béneficiant d'un droit de préemption, pourrait
demander d'être substitué au tiers avec qui la cession avait été consenti en fraude de la clause
d'agrément.

Des associés peuvent etre béneficiaires d'une clause de preemption. En cas de cession ils pourraient
… des action. Si ces droits ne sont pas respectés par le cédant, où la sanction sera la nullité. Un
droit de préemption est un pacte de préference. Dans les status de la SAS il serait sans doute
possible que le titulaire du droit de préemption pourrait être substitué au cessionaire non agrée. Cela
étant inscrit dans les status, le juge ira l'appliquer, posssiblement.

Les clauses de préemption peuvent être assorties des clauses de plafonement par lequelles les
associés s'engageront a ne pas acquérir, directement ou indirectement, au delà d'un certain seuil
determiné d'actions. Cela permet de respecter les équilibres au sein d'une société.

Les clauses d'agrément et de préemption ne sont pas nouvelles. En revanche, c'est une nouvauté
prévu par le legislateur qui dispose que les statuts peuvent avoir des clauses d'inalienabilité – des
actions (L 227-13) et d'exclusion (L 227-16). Jusqu'ici ces clauses étaient extra statutaires. C'est un
renforce à la sanction en cas de non respect. L'interrogation repose sur les SA: puisque c'est autorisé
dans la SAS c'est autorisé dans la SA?

Ce sont des clauses qui portent atteinte aux droits des associés. Il y a des limites pour les clauses
d'inalienabilité: elle ne peuvent pas depasser 10 ans.

La clause d'exclusion: les status pourraient prévoir des motifs d'exclusion d'un associé. On parle de
clauses de rachats forcé – on l'oblige à proposer ses actions aux autres actionnaires ou à la société
elle-même. On considère qu'un juge ne peut pas exclure un associé d'une société contre son gré, le
juge prefera si vraiment il y a un disfonctionement de la société dû à un associé, dissoudre la société
(arrêt ancien mais qui demeure toujours – lorsque le juge ne dispose pas de clauses statutaires
organisant le rachat forcé des parts d'un associé, le juge prefere dissoudre la société par
mésentente).

Il faut prévoir une clause qui soit jugée applicable. De clause rédigée en des termes très géneraux ne
pourra pas être appliquée. Il faut prévoir des motifs d'exclusion. Ces clauses d'exclusion peuvent
être utiles pour la société dans un contexte où il y a la révocation d'un dirigeant. Ainsi, la perte de la
qualité d'un dirigeant peut être une clause recevable d'exclusion. On peut aussi songer à des associés
qui seraient également salariés de la société. La perte du contrat de travail avec la société peut être
un motif d'exclusion. En tout cas, il faudra prévoir des motifs particuliers d'exclusion et pas laisser à
l'arbitraire des associés de choisir leurs raisons.

Les modalités de vote sont libres. On a eu une jurisprudence très importante representatif de cette
volonté du juge de réduire la liberté de la SAS (cass com, 23 octobre 2007, Dalloz 2007 p. 2726).
On avait une SAS avec une clause prevoyant l'exclusion d'un associé à la majorité des associés en
AG. Ce qui posait des difficultés c'etait le modalité de la prise de décision, car la clause ajoutait que
l'associé susceptible d'être exclu ne pouvait pas participer/voter à la décision d'exclusion. La Cour
de cassation veut bien appliquer la clause d'exclusion, mais refuse de valider le modalité de vote sur
l'exclusion. En effet, elle considère qu'on ne peut pas exclure un associé de son droit de vote sur sa
propre exclusion, on ne peut pas rétirer le droit de vote d'un associé aux AG, même si il s'agit de la
discussion de sa propre exclusion. La Cour de cassation a voulu que les associés majoritaires exclu
les minoritaires.

La parode/solution serait de prévoir que la décision sera prononcé non pas en AG, mais par le
dirigeants, ou par un orgain dirigeant.
Parfois, le legislateur enlève le droit de vote (exclusion de dirigeant dans la SA).

10/11

atraso 15 minutos

Dans la SA on va voir des actionnaires qui se détachent totalement du intuitus personae, qui
ignoraent même l'objet social de la société, en attendant que la rentabilisation de leur
investissement.

On parle pas seulement des grands actionnaires, mais des actionnaires très minoritaires, des
particuliers qui on fait le choix de placer leurs économies dans la société. Ces actionnaires
constiueront une catégorie à part, dans la mesure où ils n'auront pas beaucoup d'influence dans la
société – actionnaires non actifs. Mais, à l'instar des autres actionnaires, ils ont les mêmes
prérrogatives.

Désormais, ces actionnaires savent faire entendre leur voix. Dans cette esphere de personnes qui ne
seraient pas actif, ils n'aura pas...

Une SA c'est uen forme societaire qui génere un emplois conséquent, la masse salarial, en principe,
n'intervient pas au fonctionement societaire. Désormais, le droit des sociétés accueil ses agents
économiques.

Il y aurra des investisseurs, ces qui participent indirectement dans la société en lui octroiyant des
fonds, mais sans nécessairement avoir la condition d'accionaires.

Les obligataires se veront reconnaître des larges droits dans le fonctionnnement de la société, même
en n'étant pas accionaires, en devrant être etendu dans la prise de certaines décisions de la société
(fusion etc).

Puis il y a les prêteurs, les établissements financiers qui souhaitent sans doute faire un regard dans
la société qu' ils auront prêté des fonds.

Les SA sont obligées de composer, avec ses différents personnages, plus ou moins appliqués. Ajouté
même une autre catégorie de personnes, directement ou indirectement concernée, c'est peut-être
toute la masse de consommateurs, une masse plus au moins grande de concurrents de l'entreprise
économique et qui seront, à un moment ou un autre, créanciers de la société, d'une obligation de
faire ou d'une somme d'argent reparatrice.

CHAPITRE PREMIER - L'EXISTENCE DE LA SA

SECTION 1 – LA CONSTITUITION DE LA SA

La loi de 1966, si essentiel dans l'organisation de la SA, ne faisait pas apparaître comme essentiel la
distinction entre la SA ne faisant pas appel publique à l'epargne et celle ne faisant pas. C'est n'est
qu'après, à partir des années 1990, qu'on a souhaité mettre en place un régime plus contraignantt et
donc établir un régime plus strict aux sociétés faisant appel publique à l'epargne. Avant 1998 il
n'avait pas de définition de société faisant appel à l'epargne.

L'article L 411-1 du Code monétaire et financier, modifié par l'ordonnance 22 janvier 2009, stipule
les critères alternatifs pour qu'il ait appel publique: (i) une communication addressée sur quelque
forme que ce soit (pas de formalité exigé) à diverses personnes, présentant une information
suffisante sur les conditions de cet appel publique à l'epargne; (ii)il faut un placement des titres
financiers de la societe par des intermediaires financiers.

L'orsqu une societe faire appel publique a lepargne, elle solicite des fonds appartenant a des
particuliers, ou a des investisseurs plus institutionels. Les particuliers qui pourraient etre solicites
sont moins proteges, et on a voulu les preserve, en assurant leurs information sur le mode de
fonctionnement de la societe, la presence d'intermediaire financier. ...sur l'information et les risques
financires qui pourraient prendre ces particuliers.

Pour ce-ci, la loi de 1966 a toujours accru l'exigence de KS des societes faisant appel publique à
l'epargne. Une SA doit reunir au moins 225.000 euros pour faire appel à l'epargne. Pour assurer la
regularite des comptes, deux commissaire aux comptes doivent être désigne, et la note d'information
destiné au publique doit recevoir le visa du Conseil de bourse de valeur. Le non respect de cette
procedure justifiarait l'applicationde sanctions penales.

Ainsi, il y a peu de SA qui se constituents en faisant appel à l'etat. C'est une procedure lourde, il faut
reunir un KS important. En general l'appel publique à l eparnge intervienne plus tard quand la
societe a deja une amplitude et veut avoir plus d'influence.

§1 CONDITIONS DE FONDS DE CONSTITUITION DE LA SA (CLASSIQUE)

LES CONDITIONS TENNANT AUX ACTIONNAIRES

Les conditions habitueles des societes vont evidemment s'appliquer. Il y a peu d'exigences
concernant les aptitudes des actionnaires des SA. Cela se comprend dans a mesure où les SA sont
susceptible de comporter un nombre très important d'actionnaires, lequels n'auront pas
necessairement un rôle actif dans la société.

Dans la SA l'associé actionnaire va souvant voir son rôle limité à la libération de l'apport. On
n'attend pas qu'il ait la qualité de commerçant: un mineur peut parfaitment faire partie d'une société
anonyme.

Il faut au moins 7 associés pour pouvoir constituer une SA. Il n'y a pas de SA unipersonnele. Pour
les sociétes d'exercice libérale à forme anonyme ne peuvent compter qu'a 3 associes. En plus,
lorsqu'une SA contient parmi ses membres l'etat, depuis une Loi du 19 juille 1993, il n'est plus alors
necessaire de réunir 7 associés. Il faut que l'etat detienne la majorité du KS.

Cela relance parfois le débat de comment on calcul le nombre d'associe. L'indivision? Il sera
demembre en autant d 'indivisaire qu'il y a des actionnaires. Lorsqu'e les epoux approtes deux biens
differents, ils seront considere comme deux actionnaires diferents.

La condition tennant le nombre d'associé doit être réalisé le jour où est établit le certificat des fonds.
Lorsque le nombre d'associés est inferieur à 7 au moment de la constituition, la societe ne sera pas
pour autant annulée. Une action en regularisation pourra etre demandé par toute interesse. Si la
diminuition du nombre d'associés intervient au cours de la vie sociale, la dissolution de la societe
pourrai etre envisage si la situation devraient durrer plus d'un an, le tribunal de commerce serait en
droit de demander la dissolution de la societe. Meme au bout d'un an, le juge recevra assez
facilement des possibilites de regularisation meme tardives.

C'est une regle importante, mais dans la pratique le juge essayera d 'eviter la dissolution de la
societe.
B – LES CONDITIONS TENNANT AU KS

Pour pouvoir constituer une SA il faut pouvoir reunir 37.000 euros pour une SA simple et 225.000
euros pour une SA faisant appel publique à l'epargne.

Pour certaines activité on aura des exigences supplementaires. Ainsi, pour les societes d'assurance,
il faut au moins 450.000 euros. Pour les banques, 225.000 euros.

Ce montant de KS doit figurer surtout les documents emnant de la societe. Il faut souligner qu'une
SA n'a pas le droit d'etre constituer avec un capital variable. Les clauses de variabilite de capital
sont interdite. Le KS doit être intangible, pas de question de supporter ce type de clauses.

Dans la SARL et la SC cela c'est possible. Dans la SAS on ne sais pas. Le legislateur n'a rien dit.

Apport en numeraire avec une possibilité de libération echelone (L 225-3 , al. 2 Ccomm). Il faut
pouvoir liberer au moins la moitié de l'apport en numéraire au moment de la constituition de la
societe. La libération du surplus doit intervenir en une ou plusieurs fois. C'est le conseil
d'administration ou le directeur générale qui sera le garant (cela veut dire que pourra l'exiger et en
cas de negligence pourra engager sa responsabilite, et pas qu'il devra payer) de la libération de la
totalité des sommes promises.

Les apports en nature doivent etre integralement liberer et faire objet d'une evaluation par le
commissaire aux approts.

Les apports en industire ne sont pas recevables. Il faut un KS ferme, intangible et constitué de
valeurs reels.

Les fondateurs sont susceptible de voir leur responsabilité engagé si le juge doit prononcer la nullite
de leur constituition pour vice de constituition. Il faudra demontrer que ce vice leur aurrait
imputable et auquel cas ces fondateurs pourraient engager leur responsabilite tant vis à vis des
associes et des tiers qui aurraient dejà put contracter avec la societe en formation. Cette
responsabilité des fondateurs sera solidaire.

Pour les conditions de forme, faire une lecture à la maison.

SECTION 2 – LA DISPAIRISSONT DE LA SA

1§ LA DISPARISSONT PAR DISSOLUTION

Les causes de dissolution communes à toutes sociétés.

Il est evident qu'une SA ne pourra faire objet a une dissolution entre une simple mesentente entre
associes, mais entre groupes d'associés qui entraine la paralisie des orgains de la société.

On peut avoir une dissolution anticipé de la sociéte. Dans ce cas, il ne suffira pas de tenir compte
des votes, il faudra aussi demander leur avis aux detenteur des obligations qui pourront exiger
d1etre rembourse avant terme des sommes qu'ils ont avance.

Des clauses de dissolution propres aux societes de personnes n'appairont pas ici (decès d'un associé,
faillite, revocation de dirigeant).
Il s'agit d'une societe institutionalise. Par consequent, dès qu'on ne correspond pas aux exigences
legales, cela peut etre une cause de dissolution. Cela serait le cas si le nombre d'associés descend au
dessous de 7 associés pendant un an et aussi, lorsqu'il aurra reunion de toutes les actions en une
seule main (pas de SA unipersonnelle), également, tout ce que peut afecter le KS gravement peut
etre une cause de dissolution de la societe. Ainsi, en vertu de l'article L 225-248 Ccomm, la perte de
la moitié du KS peut être une cause de dissolution.

Comme dans la SARL, les capitux propes de la SA doivent etre toujours etre au moin egales au KS.
Si les pertes on entame des capitaux propres et si ce-ci devient inférieur à la moitié du KS, une
assemblée générale devraieêtre convoqué dans les 4 mois, sous peine de sanction pénale. Cette
assemblée devra prendre la décision soit de dissoudre la SA, soit de réduire le KS à fin de le
remmetre au nivau des capitaux propres, ou bien encore, si c'est possible, reconstoituer ces capitaux
propres. La résolution de l'ag doit être deposé au greffe du tribunal de commerce, inscrite au registre
de commerce et des sociétés et publié dans un journal d'annonce légales. Le tout sous peine de
sanction pénale.

Si aucune décision n'a été prise dans un délai de 2 ans, tout intéressé peut demander la dissolution
de la société anonyme.

L'hypothèse d'une réduction du KS au dessous du seuil légale c'est peut etre une cause de
dissolution. Il est tout même possible de descendre le KS à 0 volontairement, à condition que cette
investissement de KS à 0 soit suivi d'une augmentation de capital destinée à remttre ce KS à l'hauter
exigée. On apelle cet opération , « l'opération coup d'acordeon ».

L'objectif de cette opération est le effacement des comptes sociaux peut-être pas très claire pour la
société. C'est aussi l'ocasion pour la société de faire rentrer de l'argent frais, et peut-être, surtout, de
faire venir des nouvaux associés. Les SA n'ont pas nécessairement des clauses d'agément.
Correlativement, le coup d'acordeon peut parfois être apperçu comme un moyen d'exclure les
associés (grands, fondateurs...), qui ne supportent pas, peut-être, certaines modernisations de la
société. Toutefois, ces accionnaires dejà en place peuvent être detenteurs de droit preferentiel de
souscription – priorité par apport à des nouvaux associés. Certaines sociétés, avant de proceder a
une operation coup d'acordeon, reunissait l'AG en demandant aux acionnaires en classe de renoncer
a leur droit preferentiel de souscription. Une fois que la délibération était voté, on procedait à
l'opération. Les actionnaires minoritaires n'avaient pas pu s'opposer au rénoncement et on souffrir
pour ne plus pouvoir béneficier à laugmentation du KS. Il n'avaient d'autres solution, que de quitter
la société. Malgré leur action en abus de majorité, les juges on validé l'opération coup d'acordeon,
même avec une renonciation prealable de droit preferentiel (Arrêt Usinor, ch comm, 17 mai 1994,
RDS 1994 n. 142 commentaire de M. Menabasse – Chonique – Validité du coup dacordecon Dalooz
2003 p. 410; Arrêt qui autorise le coup d'acordeon mais qui semple entendre une interpretation – ch
comm. 1 juillet 2008 JCP E 2009 n. 1145 → il y a vait un coup d'acordeon realisé sans soupresson
de droit preferentiel de souscription. Il y avait un actionnaire qui na pas pu beneficier de
l'augmentation du KS parce que le calcul pour beneficier de cette augmentation ne lui etait pas
favorable – le titulaires de 2 actions de la SA pourraient beneficier d'un certain nombre d'action.
L'associé en question n'avaient qu'une seule action. On a des « rompues », des actions que sont
insuffisante pour remplir un certain benefice. Dans ce cas là, on peut s'alier a d'autres actionnaires
pour avoir le benefice. Dans l'espece, personne ne voulait s'allier, raison pour laquelle il a intenter
une action un abus demajorité. La Cour de cassation lui a debouté car elle considère que le coup
d'acordeon n'est pas contraire à l'intérêt social et surtout il n'y a pas la demonstration que cette
décision là ' ete prise en interet exclusif des acctionnaires majoritaires en detriment des actionnaires
minoritaires

§2 LA TRANSFORMATION DE LA SOCIETE
Peut parfois s'imposer lorsque la SA ne reunit plus des conditions légales. La transformation
n'entraine pas la création d'une nouvelle personne morale, mais réalise une simple modification des
status, la personnalité morale étant retenu pendant les opération de transformation,

La transformation pendra effet vis-à-vis des tiers que lorsque les formalités de publicité (depot au
greffe du proccés verbale de transformation du statu de la société ainsi modifie, modification inséré
au Registre de commerce et des société et insertion au BODACC) seront terminés.

La décision de transformation va metrre fin aux orgain de direction et de surveillance de la societe


sans que ces dirigeannt pussent evoquer une revocation san juste motif.

La modification d'une SA (avec un conseil d administration) en une SA moderne (conseil de


surveillance et directoire) nest pas assimilé a une transformation. Meme si la décision doit etre prise
en AGE, ce ne sera pas necessairement dans les memes condition que pour une transformation en
une autre forme de société.

A – LES REGLES GENERALES

Pour pretrende transformer une SA en une autre forme societaire il faut que le bilan des 2 dernier
exercices sociaux ait étés approuvés par des actionnaires (il faut au moins 2 ans d'existance, en
comptant de l'immatriculation de la société).

Le commisaire aux comptes doit établir un raport sur la transformation envisagée, un rapport
surtout destiné a veiller a ce que le montant des capitaux propres soit équivalent au montant de KS.
C'est une condition important. Si les capitaux propres ne sont pas à l'hauter, le commisaire aux
comptes le signalera dans son rapport, sous peine d'engager sa responsabilité. C'est un obstacleuil -
dredibitoire de la transformation. (reduire le KS, mais pas au delà du seuil – difficile).

Les obligataires devront etre consultes (L 225-244 al 2 Ccom). Si l'assemblée générale des
obligataires n'approuve pas la transformation celle-ci ne pourra se realiser, que si les obligataire qui
le souhaietent sont remboursés. Tant qu'ils ne seront pas remboursés, la transformation ne pourra
pas etre faite.

B – LES REGLES SPECIALES

Lorsqu'il s'agit de transformer une SA dans une SNC, certaines procédures appairetron moins
lourdes. Par exemple, il n'y a pas besoin d'attendre 2 ans d'existance de la SA, par exemple. Le
rapport du commisaire aux comptes n'est pas non plus incourtounable. Sur le plan du contrôle des
operations conptables on est moins formaliste. En revanche, puisque les accionaires vont voir leur
responsabilité alourdi, il faudra l'accord unanime de tous, puis, il faudra également que tous ces
acctionaires puissent avoir la qualité de commerçant. Pour une transformation en SC, on aurra la
meme exigence de unanimité, et il faudra s'assurer que l'objet social soit civil. Pour une
transformation en SAS, unanimité d'actionnaires, leur droit peuvent etre amoindrit au sein de la
nouvelle société, même que leur responsabilité reste la même. Il faudra un commisaire en
transformation pour vérifier la validité de la transformation, une fois qu'il s'agit d'une société en
action.

Pour transformé en SARL il faudra ne pas avoir plus de 100 associés. Auparavant il avait un souci
concernant la présence eventuelle d'obligataires dans la SA. Transformés en SARL, que devenait-il?
A ce moment là la SARL ne pouvait pas compter des obligataires parmis ces membres. Desormais,
la SARL pouvant, sous certaines conditions certes, avoir des obligataires. Pour adopter la
transformation, il suffira de la majorité des ¾ du KS (il s'agit de deus societes de capitaux sans
risques particuliers pour les associes.

CHAPITRE 2 – L'ORGANISATION DU POUVOIR AU SEIN DE LA SOCIETE ANONYME

On aurra des modalités de direction plus complexe, parce qu'il aurra plus de personnes a dirige et
parce qu'on serra .. de controler, voir, de contraindre, la gestion opere par la direction de la société.
Il existe en France deux types de sociétés anonyme. Leur differcens se manifestent surtout sur le
contrôle et direction. Certains disent même qu'il y a 3 structures de SA.

La société anonyme classique est de loin la plus lagerment répandue. C'es celle-ci qu'on etudieront
plus longment. Elles sont constitué, en plus de l'Assemblée générale, d'un Conseil d'administration
et d'un président du conseil d'administration et/ou directeur générale.

En revanche, la société anonyme moderne (influence allemande) est composé par un conseil de
surveillance (chargé de surveiller la direction) et d'un directoire (direction collégiale). Risque de
blocage dans la prise de décsion. On a connu moins de succés. Lorsque cete structure est utilisée.
C'est pour des très grandes structures qui fon l'objet d'une cotisation. Maintenant, ce sont ces societe
qui correpondrait a des attentens des partisant de la corporate governance.

On évoque une trosièmme structure à raison de la Loi LME, résultant de l'influence des fonds de
pension anglo saxons, lesquels essayent de renforcer les pouvoir des associés, des adminstrateurs
dans les Conseils d'administration et la transparance. Il n'aimait pas les société françaises quei
permettaient la concentration de quasi tout les pouvoirs entre les mains d'un seul homme, le
président du conseil d'administration – le conseil d'administration n'est pas appelé a se réunir tous
les jours, et, par conséquent, c'est pas le conseil qui donnera l'influence à une SA, en étant le
président qui globalisait tout les pouvoirs avec une rémunération un peu opaque. La loi de NRE
(nouvelle régulation économique) de 2001 a donné un choix aux SA dejà constituée, qui devrait être
fait dans un délai précisé: soit constituer une SA où le président du conseil d'administration serrai a
même temps le directeur générale, permettant ainsi de remuer, de PDG (président directeur
générale), soit un homme serait président du conseil d'administration et un autre serai désigné a ce
coté pour être directeur générale. Une tête bicéfale pour la SA. Plus de centralisation de pouvoir
entre les mains d'un seul homme.

Le legislater a enjoint aux SA a faire un choix, plus exactement c'etait le conseil d'administration
qui devrait faire le choix dans le delai de 2 ans. La formule monocefale a été la plus adoptée, parce
que c'etait la formule la plus simple et rapide. C'étaient pas rapide de trouver une autre personne
pour le poste de directeur générale. En 2001, on a un système à nouveau centralisé.

C'est pour ça qu'on parlait que 3 types: SA conseil d'administration et president; SA conseil
d'aministration, président et directeur; SA conseil de surveillance et directoire. Mais, de toute façon,
il n'existe que 2 types de SA.

Le legistateur comence a prévoir un système de cotas de femmes dans les SA cotes.

§1 SA CLASSIQUES

La SA est basée sur une hierarchie forte des organes – Arrêt Motte, 4 juin 1946 qui a signalé que
chaque organe de la SA avaient ses pouvoirs et que ses organes ne devraient pas impieter sur les
pouvoirs respectives des autres. La loi de 1966 a repris la solution.

A – LE CONSEIL D'ADMINISTRATION
Pour faire un conseil d'administration il faut tout d'abord des administrateurs. Le nombre de ces
administrateurs est orientés par le legislateur: 3 au minimun, 18 au maximum selon la taille de la
société et le souhait des associés. En cas de fusion de société on peut déplacer ce plafond pour un
délai de 3 ans, pour aller jusqu'à 24 administrateurs.

1 – LES ADMINISTRATEURS

L'administrateur peut être une personne physique ou morale, c'est qui est fort pratique lorsqu'une
sociéte prentendre proceder une autre. Néamoins, il faudra toujours avoir une personne physique, le
representant permenent, chargé de representer la personne morale administratice.

Dès la Loid u 4 aout 2008, l'administrateur ne doit plus être necessairement un associé de la société.
Cela deprendra simplement de ce que diront les statuts (ce n'est plus une obligation légale de
prévoir qu'il seraient des acitionnaires). L'existance des administrateurs indépendants au sein de la
SA est une caracteristique qui reprend les elements de la corporate gorvenance. C'est pas imposé,
mais une faculté qui respecte les determination des statuts. Auparavant, des administrateurs
devraient être propriétaire de leurs actions, il ne pouvaient pas se contenter de detenir, en
demembrement de propriété, ces actions. Lorsqu'on voulait faire acceder quelqu'un au statut
d'administrateur, tout en resernvant la possiblite de sa qualite d'accionaire, la pratique avait mis en
place un système de prêt de consommation d'actions (immédiatement transferative de propriété),
pour permettre à ces acctionaires (salariés) de devenir administrateurs. A partiri du momen ou il
n'aurait plus le prêt, la personne ne seraient plus administrateurs.

L'administrateur n'a pas non plus la qualité de commerçant. Cette fois, l'exercice d'une fonction
publique est consideré comme incompatible avec une fonction d'administrateur (Conseil d etat 15
decembre 2000 Revue de jurisrprudence de Droit des affaires 2000 n. 1120 p.950 ) Un fonctionnaire
ne peut pas etre administrateur, meme non remuneré.

Pas de diplôme spécifique pour être administrateur.

Un mineur non emancipé ne pourra pas être administrateur.

On va faire en sorte que les administrateurs ne soient pas trop agés. Le deux tiers des membres du
Conseil d'admininstration doivent avoir moins de 70 ans.

La difficulté surtout qu'est apparu, crree par la Loi NRE de 2001 c'est le souci d'éviter que les
administrateurs se disperssent trop, plus exctement, qu'ils cumules de façon ultrancieurs, des
fonction d'administrateurs dans des diverses sociétés.

Concernant les société cotes, on retrouvent toujours des memes personnes. Il cumulaient des
fonctions, des remunerations et des influences.

Cela fait partie des mesures qui on ete remanie dans le soucis de tranparance et de gouvernances
d'entreprises. La Loi de mai 2001 a posé en effet come règle qu'une personne ne pouvait pas
cumuler plus de 5 conseil d'administration ou conseil de surveillance. La règle, auparavant, était de
8. Ces règles ne vaut pas pour des administrateurs personne morale. Dans les groupes de société, le
mandat dans les sociétés filiales controlé, au sens de l'article L 233-16, par la société mère ne sont
pas prises en compte, ce qui permet au dirigeant des sociétés mère d'etre administrateur de multiples
filiales. Cela etait instaure par art L 225-21 Ccom, mais la loi NRE etait tellemtn complexe dans le
calcul du mandat, que les nombreuses SA on cherché a se transformé en SAS ( cette regle de cumul
de mandat ne s'applique pas au SAS).
Lire → forme SA et sc particuliers

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