1.

INTERNET

L’utilisation Internet au travail est encore un phénomène nouveau dont les conséquences sont importantes
que l’on ne le croit. En effet, l’accès à Internet des employés peux affecter le fonctionnement de
l’entreprise sur le plan technique, juridique et économique.

D’abord, sur le plan technique, l’exposition aux virus et aux documents indésirables peuvent
endommager les ordinateurs et son réseau. En outre, les espaces de discussion en ligne peuvent
entrainer lé risques de fuites d’information confidentielles.

Ensuite, sur le plan juridique, l’utilisation à titre personnelle des moyen information a aussi dé
conséquences négative pour l’entreprise. Lors de la création de blog ou la participation aux réseaux
sociaux, les employes de l’entreprise peuvent injurier et asoigner le chef de l’entreprise en justice.

Sur le plan esconomique, Internet offre de nombreuses choses interessantes à cause des quelles les
employés peuvent abuser du temps de travail pour se livrer à des activités personnelles comme: faire
des courses, regarder la télévision,,… cela peut réduire la productivité du travail.

Donc, pour éviter tout abus, l’entreprise doit mettre en place des contrôles de l’accès à Internet. En
particulier, la rédaction de règles sur le lieu de travail pour protéger l’entreprise des risques éventuels
liés à la justice. En même temps, son employeurs doit aussi annoncer aux employés sur les effets
négatifs réseaux sociaux(atteinte à l’imagediffamation) pour l’entreprise.

L’utilisation Internet à titre personnelle au lieu de travail peut être autorisée mais elle doit être
raisonnable et ne doit pas entraver le fonctionnement de l’entreprise
LA MAISON DES JEUNES

Monsieur le maire,

Au nom de l’association des estudiants de la ville dont je suis porte-parole, je me permets de vous écrire
au sujet de votre décision de fermer la Maison de la culture.

Nous se sommes pas sans savoir que vos contraintes budgétaires sont réells et nous en sommes
conscient. Vous voulez éviter augmenter des impôts locaux et nous apprécions votre rigueur dans ce
domaine.

Cependant, la Maison des jeunes reste une piorité pour notre ville pour les raisons suivarites.

Tout d’abord, les habitants de la ville ne veulent pas aller à la ville voisine chaque semaine pour regarder
les pièces, les concerts de music ou faire du sport. En effet, l’accès à la ville voisine n’est pas facile à
cause du manque de place de parking et de la rareté de transports publics le soir.

Ensuite, la Maison des jeunes représentes un lieu de rencontre pour les citadins. Elle permet aux
personnes de différents générations de se rencontrer, discuter et changer des idées pour contribuer au
dévéloppement de la ville. En plus, elle vise à lutte contre l’isolement créé par la vie numérique.C’est
grâce aux activités de culture organisées que les gens rétablissent les relations sociales.

En plus d’être un lieu de rencontre, la Maison des jeunes est devenue un symbole de la ville. Construite
il y a 50 ans. Elle témoigne de hauts et dé bas de la vile et des ses habitants.

Donc, il est imcontestable que la Maison des jeunes donne l’âme à la ville.

Nous souhaitons vous rencontrer ainsi que votre 6 adjont pour proposer des solutions alternatives et
d’expliquer les raisons pour lesquelles la fermeture de la maison de la culture sera un catastrophie pour
les habitants de la ville.

Danns l’attention de votre réponse favorable, je vous prie d’agréer, Monsieủ le Mairie, mes meilleures
salutations.

LES NOTES

Il est impossible d’apprendre sans échouer, sans se tromper, sans faire d’erreurs. Ce la fait partie de
l’apprentissage et du progrès mais la progression doit être évalué à sa juste valeur. Alors, nous revenons
à la question de la notation

Cependant, une mauvais note peut devenir une cauchemar pour les élèves qui se sentent nul et sombrer
dans l’échec scolaire. La comparasion et la classement désignent consciemment ou inconsciemment, les
bons et les mauvaires notes diffusent un message. “je suis nul”. L’estime de soi est atteint et le cercle
vicieux de l’échec scolaire se met en place. Les étudiant se demanderont pourquoi je devrais faire un
effort si je suis nul? Alors, quelle solution doit être trouvée. Le problème vient de la question qui est
possée de manière incorrect. Ce n’est pas la note qui est en cause, mais sa signification.

En d’autres termes, la question n’est pas de savoir si la note doit être supprimée ou non, mais plutôt de
savoir comment les notes encouragent les élèves à progresser même lors que les notes sont mauvais
selon moi, la pédagogie doit être individualisée. Chaque élèves doit apprendre à son rythme, dès son
plus jeune âge. Pour cela l’encadrement devrait être assuré dans de petites classes( en moyenne de 20
étudiants), bien lumineuses. Il est important que chaque élève ait le droit d’échouer et de faire des
erreures, ce qui n’a rien de grave.

Aisin, les étudiants comprendront que les notes ne sont pas liées à la capacité intellectuelle qu’ils
peuvent apprendre d’une manière complètement différent.

Tap chi giay

Au nom du conseil des habitants de la ville dont je suis porte-parole, je me permets de vous écrire au
sujet de m’oppose votre décision quant au remplacement du magazine mensuel distribué aux habitants
par une version numérique.

Il est indénable que la publication de magazine sur Internet est bénéfique pour la Mairie. Certes, avec le
développement des nouvelles technologies, la publication de la revue mesuelle est plus rapidement et
plus large. Cela facilite l’accès à l’information vivant loin de la ville. De plus, sans imprimer les magazines
aide la Maire à économiser beaucoup d’argent.

Toutefois, nous trouvons que la version papier est encore très nécessaire. En fait, la plutart des
personnes âgées de notre ville depuis longtemps l’habitude de lire des journaux et de boir du café tous
les matins. Après la lecture, nous échangeons des idées et des commentaires. On ces moments précieux
risquent de disparaître si notre magazine est remplacé par un magazine en ligne. De plus, beaucoupe de
lecturs n’ont pas de moyens technologiques pour accéder à l’information.