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Sommaire :
Remerciements …………………………………………1
Sommaire……………………………………….……..….2
Partie I : Présentation de l’entreprise d’accueil ….3
Partie II : étude de conception et de réalisation de
l’installation électrique de l’immeuble BLIN pour la
banque centrale populaire
Chapitre 1 : présentation du projet BLIN………………….………6
Annexe……………………………………………….………….53
Conclusion………………………………………….…………..57
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PARTIE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE D’ACCUEIL :
1. Fiche signalétique:
Logo
3
Effectif 300 personnes
2. organigramme:
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Après la réception des plans et schémas d’appel d'offre, le bureau
d'études PROTELEC réalise des plans d’étude et des schémas
d'exécution nécessaires pour l’exécution du projet.
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PARTIE II : ETUDE DE CONCEPTION ET DE REALISATION
DE L’INSTALLATION ELECTRIQUE DE L’IMMEUBLE BLIN
POUR LA BANQUE CENTRALE POPULAIRE:
Intitulé du projet :
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Chapitre 2 : Schémas synoptiques, Schémas de
liaison à la terre
I. Schémas synoptique :
L‟énergie nécessaire à l‟alimentation d‟installation normale proviendra
de d‟un seul transformateur.
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II. Schémas de Liaison à la Terre :
1. Introduction
a. Première lettre
b. Deuxième lettre
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c. Troisième lettre (facultative)
2. Schéma TT
Un point de l'alimentation est relié directement à la terre. Les masses
de l'installation sont reliées à une prise de terre électriquement distincte
de la prise de terre du neutre. Elles peuvent être confondues de fait sans
incidence sur les conditions de protection.
Figure : Schéma TT .
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3. Schémas TN (mise au neutre)
a. Schéma TN-C
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b. Schéma TN-S
c. Schéma TN-C-S
Les schémas TN-C et TN-S peuvent être utilisés dans une même
installation.
En schéma TN- C/S, le schéma TN-C (4 fils) ne doit jamais être utilisé en
aval du schéma TN-S (5 fils).
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4. Schéma IT (neutre isolé/ impédant)
soit isolé de la terre (neutre isolé),
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5. Choix du régime du neutre pour le cas du projet BLIN :
Le maitre d‟ouvrage requiert une protection des personnes contre les
contacts indirects en stricte conformité avec les normes et les
règlementations en vigueur.
Le régime TN est un régime adapté à notre installation admettant une
coupure au premier défaut.
La mise en œuvre et l‟exploitation de l‟architecture TNC, où le
conducteur de neutre est confondu avec le conducteur de protection, peut
faire apparaitre une économie pour l‟installation du fait de la suppression
d‟un conducteur. Mais celui-ci nécessite une installation rigoureuse de
circuits de protection. Le schéma TNS sera exploité au niveau de toutes
les liaisons de l‟installation dont la section des câbles n‟excède pas 10
mm² cuivre.
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bien sommer les puissances absorbées ? La solution est dans les
recommandations de la norme NF C15-100.
I. Méthodologie
1. La puissance installée
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3. La puissance d’utilisation
b. Facteur de simultanéité Ks
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Facteur de simultanéité des circuits
a. Eclairage
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b. Prise de courant
2. Bilan de puissance :
a. Bilan de puissance pour le deuxième sous-sol (TYPE):
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b. Tableau général de basse tension bâtiment BLIN :
c. Choix du transformateur :
La puissance demandé au niveau du TGBT de l’immeuble BLIN est de
953.8 KVA, par la suite on choisit un transformateur de 1000 KVA.
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I. Définitions
Le facteur de puissance :
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II. Rappels
1. Choix de la localisation
a. Compensation globale
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réactive est faible (< 15 % de la puissance du transformateur) et la charge
relativement stable.
b. Compensation automatique ou en “gradins”
La batterie de condensateurs est fractionnée en gradins, avec possibilité
de mettre en service plus ou moins de gradins, en général de façon
automatique. Ce type de batterie est installé en tête de la distribution BT
ou d'un secteur important. D‟où une régulation pas à pas de l‟énergie
réactive. L‟enclenchement et le déclenchement des gradins sont pilotés
par un relais varmétrique.
Avec :
Sn= puissance du transformateur en kVA
Gh= puissance totale des générateurs d'harmoniques en kVA
Type H : condensateurs surdimensionnés
Type SAH : condensateurs surdimensionnés associés à des selfs de
protection)
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3. Calcul de compensation
Avec :
P: puissance active.
S1 et S2 : puissances apparentes (avant et après compensation).
Qc: Puissance réactive du condensateur.
Q1: Puissance réactive sans condensateur.
Q2: Puissance réactive avec condensateur.
Nous avons donc les relations suivantes :
Qc =Q1 − Q2
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D’où Qc = P (tg F 1 − tg F 2)
Avec :
A vide
En charge
Avec :
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III. Application sur le projet BLIN :
1. Compensation à vide :
Nous avons :
Qc0 = i0 % x Sn
D‟où
Qc0=1,2% x 1000 = 12 KVAR
2. Compensation en charge :
On a :
D‟où
Qc = P (tg F 1 − tg F 2)
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Chapitre 5 : Dimensionnement des câbles
I. Méthodologie
26
ETAPE 2
ETAPE 3
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Figure :Logigramme de la méthode du dimensionnement des câbles.
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II. Choix de la Section du conducteur neutre :
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III. Section du conducteur de protection
La section du conducteur PE est définie en fonction de la section des
phases comme suit :
a. Données du circuit :
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b. Les valeurs des facteurs de correction :
a. Données du circuit :
IB=300x1000/(V3x380)=455.8 A
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b. Les valeurs des facteurs de correction :
a. Données du circuit
Calibre de la protection : on une protection par disjoncteur
Iz=Ir=275 A
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b. Les valeurs des facteurs de correction :
1. Méthodologie :
L‟impédance d‟un câble est faible mais non nulle ; lorsqu‟il est traversé
par le courant de service, il y a chute de tension entre son origine et son
extrémité.
Or, le bon fonctionnement d‟un récepteur (surtout un moteur) est
conditionné par la valeur de la tension à ses bornes.
Il est donc nécessaire de limiter les chutes de tension en ligne par un
dimensionnement correct des câbles d‟alimentation.
La chute de tension entre l'origine d'une installation et tout point
d'utilisation ne doit pas être supérieure aux valeurs indiquées par la norme
C15-100 :
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Les chutes de tension sont calculées à l'aide de la formule :
U étant la chute de tension, en volts,
b étant un coefficient égal à 1 pour les circuits triphasés, et égal à 2
pour les circuits monophasés,
ρ1 étant la résistivité des conducteurs en service normal, (= 22,5 10-3
Ω x mm2/m pour le cuivre ; = 36 10-3 Ω x mm2/m pour l'aluminium)
L étant la longueur simple de la canalisation, en mètres,
S étant la section des conducteurs, en mm²,
cos ϕ étant le facteur de puissance
Ib étant le courant d'emploi, en ampères.
λ étant la réactance linéique des conducteurs choisit selon le tableau
suivant :
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La chute de tension relative (en pour-cent) est égale à :
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2. Vérification de la chute de tension de l’installation
électrique du projet BLIN :
1. Méthodologie
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Pour le régime TN
Pour le régime IT avec neutre distribué
Avec :
Lmax = longueur maximale en mètres du circuit concerné.
Uo = tension simple = 230 V pour réseau 230/400 V
ρ = résistivité à la température de fonctionnement normal (= 22,5
10-3 Ω x mm2/m pour le cuivre ; = 36 10-3 Ω x mm2/m pour
l'aluminium)
Ia = courant (A) de fonctionnement du déclencheur magnétique
du disjoncteur, ou courant (A) assurant la fusion du fusible dans le
temps spécifié.
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2. Vérification des longueurs maximales des canalisations du
projet BLIN :
On remarque que tous les longueurs sont protégées. Donc on garde les
mêmes sections.
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Figure :Approche de calcul des courants de court-circuit.
1. Méthode de calcul :
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Dans notre projet, nous appliquons la méthode des impédances, qui
consiste à décomposer le réseau en tronçons R et X, puis à les additionner
arithmétiquement.
Pour un réseau triphasé, alimenté par un transformateur et dans lequel
survient un court-circuit sur les 3 phases. La valeur de l‟intensité de
court-circuit est tirée de la relation générale :
Avec :
ICC3 : courant de court-circuit triphasé (en KA )
U0 : tension entre phases à vide au secondaire du transformateur
ZT : impédance totale par phase en amont du défaut.
m : facteur de charge pris égal à 1,05 quelle que soit la source
(transformateur ou générateur) .
c = 1,05 pour les courants maximaux ou 0,95 pour les courants
minimaux.
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2. Application sur le cas BLIN :
a. Exemples de calcul des impédances
Réseau amont :
Nous avons :
Et
Transformateur :
Nous avons
AN : R=1.24 mΩ
Puisque le câble est unipolaire
Donc
AN :
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b. Exemples de calcul des courants de court-circuit :
Et
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II. Choix des protections :
Polarité du disjoncteur ;
Tension assignée d‟emploi Ue ;
Courant nominal du dispositif de protection In ;
Pouvoir de coupure Icu ou Icn ;
Courant de réglage thermique Ir ou (Irth) ;
Courant de réglage magnétique Im ;
Pouvoir de limitation ;
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b. Courbes de déclenchement normalisé :
Type B: son magnétique très bas permet d‟éliminer les courts-
circuits de très faible valeur. (Exemple : lorsque la ligne qu‟il
protège est très longue, limitant alors le court-circuit en bout de
ligne à une valeur faible).
Type C: le plus usuel, celui qui correspond aux installations
normales. Il couvre une très grande majorité des besoins.
Type D: il est à utiliser pour la protection des circuits avec de très
fortes pointes de courant à la mise sous tension. (Exemple :
transformateurs dont les points d‟intensité peuvent atteindre 20 In,
ballast électronique…).
Type Z: application spécifique sur circuits sensibles ayant un
microprocesseur.
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Type MA: lignes dédiées aux baies de désenfumage avec
précautions d‟utilisation et de choix du câble. Ce dernier doit
pouvoir supporter une surchauffe car le désenfumage doit se faire
malgré tout.
c. Choix des disjoncteurs
La sélectivité chronométrique :
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Figure :La sélectivité chronométrique.
Sélectivité logique :
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La sélectivité énergétique :
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Méthode du triangle :
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3. Application sur le projet BLIN :
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On prend le cas le plus défavorable, qui est le départ de l’étage 7 (étage
7 se trouve au bout de la canalisation préfabriquée)
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Annexe
Dimensionnement des sections des câbles
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Tableau 2 : Facteurs de correction pour des températures ambiantes différentes
de 30 °C à appliquer aux valeurs de courants admissibles
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Tableau 3 : Facteurs de correction pour groupement de plusieurs circuits ou de
plusieurs câbles multiconducteurs
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Tableau 4 : les courants admissibles (en ampères) dans les canalisations pour les
méthodes de référence B, C, E et F
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Conclusion
Mon stage d‟ingénieur, effectué au sein de PROTELEC, d‟une durée
d‟un mois et demi consistait à réaliser l’étude de conception et
d’exécution de l’installation électrique d’un immeuble à usage bureaux
pour la banque centrale populaire.
L‟études m‟a permis de développer notre connaissance dans la matière
des normes et des réglementations, et d’être en contact permanent avec
tout le staff du bureau d‟études de PROTELEC ainsi que les autres
départements de la société. Aussi j‟ai bien compris pourquoi les normes
sont des outils puissants pour les entreprises de toutes tailles.
Aussi, je me suis rendu compte que le fait d’avoir la capacité de prouver
la conformité avec les normes reconnues et respectées mondialement est
un excellent moyen de différenciation sur le marché concurrentiel, ce qui
montre que les normes sont des outils marketing puissants.
L‟étude m‟ a offert une opportunité pour participer à la phase étude et
ingénierie d’un projet de construction d’un bâtiment tertiaire, et qui
représente un supplément de formation si riche dont j‟ai eu la chance de
bénéficier.
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