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Thème :
REMERCIMENT
Avant tout, nous tenons particulièrement à remercier Allah le tout
puissant, ce mémoire n’aurait jamais été réalisé sans sa bénédiction.
Nous tenons à exprimer toutes nos gratitudes à Monsieur NAFA Fares, Maitre
de conférence à la Faculté des Sciences de l’Ingénieur de l’université M’Hamed
BougaraBoumerdes d’avoir accepté de nous encadrer dans notre travail. Nous tenons à
lui exprimer nos plus vifs remerciements pour sa disponibilité, son expérience dans la
matière et les conseils scientifiques qu’il nous a prodigués tout au long de ce travail.
Nous profitons de cette opportunité pour exprimer notre gratitude à tous les
enseignants qui ont contribué par leur collaboration, leur disponibilité et sympathie, à
notre formation.
Nous tenons à remercier nos familles de nous avoir soutenu, nous ne serons jamais
assez reconnaissants envers nos parents qui ont toujours tout mis en œuvre pour qu’on
s’épanouisse dans tout ce qu’on entreprend.
Nous exprimons notre reconnaisse à tous les ami(e)s avec qui nous avons pu
bénéficier de leurs aides.
Enfin, nous tenons à remercier toute personne qui nous a aidés de près ou de loin
durant notre travail et en particulier tous nos collègues de la promotion MGE15.
Dédicace
Nos parents,
Nos familles,
Nos ami(e)s,
CHAPITRE I
Figure I.6 : (a) Forme d’impulsion par sous porteuse et (b) Spectre de la transmission OFDM de
base. .................................................................................. .......................................................12
CHAPITRE II
CHAPITRE III
Figure III.3 : Emplacement des symboles de ressources dans un bloc de ressources pour un
symbole.....................................................................................................................................42
CHAPITRE IV
1G : 1ère Génération
2G : 2ème Génération
3G : 3ème Génération
4G : 4ème Génération
5G: 5ème Génération
3GPP: 3rd Generation Partnership Project
B
BSC: Base Station Controller.
BSS: Base Station Subsystem.
BTS: Base Transceiver Station.
BER: Bit Error Rate
BLER: Block Eror Rate.
BW: Band Width.
C
C/I: carrier-to-interference
UL: Up link
UMTS: Universal Mobile Telecommunications System
Résumé…………………………………………………………………………………………………………………………………………….….I
Table des matières ……………………………………………………………………………………………………………………………..II
Liste des figures …………………………………………………………………………………………………………………………..….…III
Liste des tableaux…………………………………………………………………………………………………………………………......IV
Liste d’abréviations ………………………………………………………………………………………………………………………...…V
Introduction général ………………………………………………………………………………………………………………………...1
Introduction générale
Aujourd’hui, les systèmes de communication sans fil sont de plus en plus présents dans
notre vie quotidienne et ils tendent à remplacer l’utilisation excessive des câbles, Il a de ce fait
connu une évolution remarquable ces dernières années.
Toutefois la saturation des réseaux 2G et leurs limites en matière de débit et services, a
amené les acteurs du domaine des télécommunications à penser à une troisième génération
représenté par la norme UMTS (Universal Mobile Telecommunications System) « 3G » en
profitant du progrès qu’a connu la technologie du traitement de signal. Ceci a apporté une
amélioration du débit permettant de supporter les nouveaux services avec une bonne qualité de
transmission de la voix et des données. Cependant, avec la demande croissante et l’augmentation
du nombre d’abonnés, cette technologie ne permet plus de répondre aux besoins. Il fallait donc
pousser le développement vers d’autres améliorations pour augmenter la capacité des réseaux, ce
qui a donné naissance à la quatrième génération LTE (Long Term Evolution) «4G» apportant
une amélioration du débit.
L'optimisation des réseaux d'accès radio devient, pour un opérateur, un enjeu fondamental
lui permettant de minimiser les investissements, réduire le nombre de sites à déployer, et de
garantir une bonne qualité de service aux utilisateurs. Une fois le réseau est opérationnel,
l’opérateur doit veiller à son bon fonctionnement.
Comme pour toutes les autres technologies, le haut débit mobile a ses propres défis,
même si des efforts ont été faits jusqu'à présent pour que cela se réalise. Cependant,
l'optimisation pour l'amélioration de la performance semble être inévitable à tout moment. Une
des préoccupations toujours présentes dans les services omniprésents dans les réseaux cellulaires
est l'aspect de la mobilité. Le service doit être maintenu lorsque l'utilisateur est remis d'une
cellule à une autre cellule.
Dans le cadre de notre projet de fin d'études, nous nous sommes particulièrement
intéressés à l’optimisation radio du réseau 4G LTE de la téléphonie mobile.
Pour cela nous avons structuré notre mémoire comme suit :
Dans le premier chapitre nous donnons un aperçus sur la 4G LTE, nous avons présenté
l'architecture du réseau LTE et ses différentes techniques.
1
INTRODUCTION GENERALE
Le deuxième chapitre sera consacré à l'étude des performances du réseau 4G LTE et les
principaux (KPI : Key Performance Indicators), les différents types de classifications KPI, où
nous avons identifié la notion des statistiques leurs utilisation, les méthodes d’analyse et
comment l’évalué dans le réseau.
Dans Le troisième chapitre nous avons étudié la mobilité dans le mode connecté et le
mode veille.
Le dernier chapitre sera consacré à la partie pratique dans laquelle nous avons créé un
algorithmes ajustant dynamiquement un des paramètres du Handover (HO) qui est le TTT(time to
trriger) pour permettre la diminution du taux de coupure d'appel qu' on a vue dans les cas étudiés
durant notre stage .
Une conclusion générale terminera notre mémoire.
2
CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
I.1. INTRODUCTION
L’idée d’une nouvelle technologie mobile, plus performante que la 3G et ses évolutions, a
vu le jour au milieu des années 2000, au sein du groupe 3GPP, l’organisme de normalisation
des systèmes mobiles 3G UMTS. Poussé par les opérateurs qui pressentaient le besoin à venir
d’un système mobile conçu autour des services de donnée très haut débits, avec plus de
capacité plus de vitesse, plus facile à déployer et exploiter, le groupe 3GPP a commencé des
études sur ce qui a alors été appelé LTE (Long Term Evolution).
En effet, la fin des années 2000 et le début des années 2010 ont vu une véritable
révolution dans l’usage et la consommation de service de données depuis un téléphone
mobile. Cette révolution a été rendue possible par la conjonction de deux facteurs : d’une part
l’apparition et la généralisation de « téléphones intelligents », dans le sillage de la
commercialisation du premier modèle iPhone d’Appel et de son écosystème d’application ;
d’autre part le déploiement généralisé des évolutions de la norme UMTS sur les réseaux, dites
3G+ (ou HSPA pour High Speed Packet Access, puis HSPA+), entrainement une amélioration
significative de leur performance pour les transmissions de données. Ces deux progrès
simultanés ont mis en route un cercle vertueux de développement des usages clients, et de
développement d’applications, mise à disposition de ces client à travers les kiosques
d’applications (App shops), et leur permettant de nouveaux usages. Ces derniers augmentent à
leur tour l’attente des clients pour une meilleure qualité et une plus grande performance des
réseaux, que ce soit en termes de débits ou en termes de temps de réponse pour accéder aux
applications [1].
Depuis plusieurs années le développement des réseaux mobiles n’a pas cessé d’accroitre,
plusieurs génération ont vues le jour (1G, 2G ,3G ,4G et prochainement la 5G) et connues une
évolution remarquable, en apportant un débit exceptionnel et qui ne cesse d’augmenter, une
bande passante de plus en plus large et un des avantage d’une telle bande passante est le
nombre d’utilisateur pouvant être supportés.
La 1ère génération des téléphones mobiles a débuté dans le début des années 80 en
offrant un service médiocre de communication mobile, médiocre mais très couteux. La 1G
avait beaucoup de défauts : Des normes incompatibles d'une région à une autre, une
transmission analogique non sécurisée (on pouvait écouter les appels), pas de roaming vers
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
l'international (roaming est la possibilité de conserver son numéro sur un réseau autre que
celui de son opérateur) [4].
Dans les années 90, le GSM est apparu. Il s'agit de la norme 2G, s'appuyant sur les
transmissions numériques permettant une sécurisation des données (avec cryptage). C’est une
norme mondiale, qui permet leroaming entre pays exploitant ce type de réseau. Le GSM
permettait aussi l'émission de SMS (limités à 80 caractères).
Le GSM a connu un énorme succès et a permis de susciter le besoin de téléphoner en tout lieu
avec la possibilité d'émettre des minimessages.
Devant ce succès, il a fallu proposer de nouvelles fréquences aux opérateurs pour
acheminer toutes les communications, et de nouveaux services sont aussi apparus, comme le
MMS. Le débit de 9.6 kbps proposé par le GSM était insuffisant, cela a poussé le
développement de nouvelles techniques de modulations et de codages et d'accroitre le débit et
les premières connexions IP (ex : l’apparition GPRS, EDGE).
Comme résultat de développement de la téléphonie mobile, la 3G a été impulsée par
les exigences de l'IMT-2000 pour permettre des applications vidéo sur le mobile(le minimum
requis pour une application vidéo est de 384 kbps. Outre l'augmentation de débit, un point
complexe à résoudre était de passer d'un service de téléphonie (à connexion circuit) vers un
service DATA (connexion paquets).Cette génération a commencé à s'introduire sur le marché
à partir de la version 3.5 (2005.c), celle-ci, nommée HSDPA a permis d'augmenter le débit
descendant. Puis est arrivé le HSUPA pour augmenter le débit montant et enfin le HSPA et
HSPA+.De ce fait, l'accès aux services de connexions à internet et surtout de messagerie s'est
peu à peu installé dans les habitudes des utilisateurs et les terminaux se sont améliorés
(Smartphone,..) permettant un usage plus confortable de la connexion haut débit.
Succédant à la 3G (l'expérience de ces 20 années de téléphonie) et aux évolutions de
cette norme (HSDPA, HSUPA, HSPA, HSPA+), le LTE apparait avant tout comme une
rupture technique par rapport aux générations précédentes [5] :
• Nouvelle Interface radio basée sur un multiplexage d'accès OFDMA
• Modification de l'Architecture réseau existant afin de fournir une connexion tout IP.
4
CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
Le LTE utilise des bandes de fréquences hertziennes d’une largeur pouvant varier de1,4
MHz à 20 MHz, permettant ainsi d'obtenir (pour une bande 20 MHz) un débit binaire
théorique de300 Mbit/s en « downlink », alors que la "vraie 4G" offre un débit descendant
atteignant 1 Gbit/s.
Comme technique de modulation, le multiplexage OFDMA (Orthogonal Frequency Division
Multiple Access) apporte une optimisation dans l’utilisation des fréquences en minimisant les
interférences. Le recours à des techniques d’antennes multiples (déjà utilisés pour le Wi-Fi ou
le WiMax) permet de multiplier les canaux de communication parallèles, ce qui augmente le
débit total et la portée [2].
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
B. E-UTRAN
La partie radio du réseau, appelée « E-UTRAN » est simplifiée par rapport à celles des
réseaux 2G (BSS) et 3G (UTRAN) par l’intégration dans les stations de base «eNodeB » avec
des liaisons en fibres optiques et des liens IP reliant les eNodeB entre eux (liens X2) ainsi que
des fonctions de contrôle qui étaient auparavant implémentées dans les RNC (Radio Network
Controller) des réseaux 3G UMTS. Cette partie est responsable sur le management des
ressources radio, la porteuse, la compression, la sécurité, et la connectivité vers le réseau cœur
évolué [4].
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
ENodeB
L’eNodeB est l’équivalent de la BTS dans le réseau GSM et NodeB dans l’UMTS, la
fonctionnalité de Hanover est plus robuste dans LTE. Ce sont des antennes qui relient les UE
avec le réseau cœur du LTE via les RF air interface. Ainsi qu'ils fournies la fonctionnalité du
contrôleur radio réside dans eNodeB, le résultat est plus efficace, et le réseau est moins latent,
par exemple la mobilité est déterminée par eNodeB à la place de BSC ou RNC [4].
7
CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
La P-GW a pour rôle d’allouer une adresse IP à l’UE. Elle permet également de mettre en
application la qualité de service. La P-GW alloue ainsi des paquets IP transférés au sein de
bearers de QoS différentes et joue ainsi un rôle déterminant dans le cadre de la gestion de la
qualité de service [1].
Le PCRF est un nœud optionnel au sein de l'architecture EPC. Toutefois, il permet d'appliquer
des règles de gestion évoluées sur le trafic et la facturation de l'utilisateur en fonction de son
offre, le PCRF peut communiquer au PCEF (policy control enforcement function) un ordre
afin que ce dernier diminue le débit de l'utilisateur. Le PCRF peut également indiquer lors de
l'établissement d'une session ou cours de session les caractéristiques de qualité de service
(QoS Class Identifier et débits) à appliquer par le PCEF sur les flux de données. Le PCRF
s'assure que le traitement appliqué est en accord avec le profil souscription de l'utilisateur[1].
Tous les paquets IP à destination d'utilisateurs sont transférés à travers la S-Gw, qui sert de
point d'ancrage pour les bearers de données lorsque l'UE est en mobilité entre plusieurs
eNodeB. La S-GW conserve également contextes sur les bearers de l'UE lorsqu'il est en veille.
Si elle reçoit des données destinées à un UE en veille, la S-Gw contacte le MME pour notifier
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
l'UE et rétablir ainsi les bearers associés aux contextes. Par ailleurs, la S-GW gère quelques
fonctions annexes au sein du réseau visité dans le contexte d'itinérance. La S-GW sert
également de point d’ancrage pour l’interfonctionnement avec d’autres technologies d’accès
3GPP comme l’UMTS ou GPRS [1].
a) Interface Uu
L’interface radio LTE-Uu est définie entre L’eNodeB et le UE [4].
b) Interface X2
L’interface X2 définie la connexion entre les éléments eNodeB. Il est destiné pour les
procédures de Handover inter-eNodeB, aussi bien que pour la gestion de la signalisation
des ressources radio inter-cellules et la signalisation de la gestion de l’interface [4].
c) Interface S1
L’interface S1 est divisée en S1-MME et S1-U. S1-MME. Elle connecte les éléments
eNodeB et MME, alors que S1-U est utilisée entre l’eNodeB et le S-GW. L’interface S1-
MME est conçue pour la signalisation du plan contrôle entre l’eNodeB et le MME, alors que
l’interface S1-U est conçue pour transporter les données du plan utilisateur entre l’eNodeB et
le S-GW. Les données sont transférées à travers le GTP [4].
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
I.4.2 Latence
Le LTE doit pouvoir opérer sur des porteuses de différentes largeurs afin de s’adapter
à des allocations spectrales variées. Les largeurs de bande initialement requises ont par la
suite été modifiées pour devenir les suivantes : 1,4 MHz, 3 MHz, 5 MHz, 10 MHz, 15 MHz et
20MHZ [4].
I.4.4 Mobilité
Assuré à des vitesses comprises entre 120 et 350 km/h. Le Handover pourra
s’effectuer (la LTE ne permet que le hard Handover et non pas le soft Handover) dans des
conditions où l’usager se déplace à grande vitesse [4].
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
spectrale (bande de fréquence) entre plusieurs utilisateurs distants les uns des autres.
L’OFDMA est compatible avec la technique des antennes MIMO [4].
I.4.6 Multiplexage
C’est le premier mode (FDD) qui fait l'objet de l'appel à candidatures en France. C'est aussi
celui qui est actuellement mis en œuvre dans les équipements télécoms et déployé dans la
plupart des premiers réseaux 4G LTE autorisés. Le deuxième mode (TDD) fonctionne sur des
bandes de fréquences distinctes qui feront l’objet d’attributions ultérieures [4].
L’accès multiple pour la technologie LTE est différent de celui de WCDMA, en effet en lien
descendant, il est basé sur OFDMA (OrthogonalFrequency Division Multiple Acces) et dans
le sens montant, il est basé sur le SC-FDMA (Single Carrier Frequency Division
Multiple Acces) [2].
I.5.1 OFDM
Le LTE utilise l’OFDM (Orthogonal Frequency devision Modulation) dans le sens
descendant (DL), qui est la direction de l’eNodeB vers l’UE. Cette direction est parfois
appelée lien directe. L’OFDM est conforme aux exigences du système LTE au regard à la
flexibilité du spectre, et permet d’établir une base à coûts efficaces pour de larges bandes de
fréquence qui offrent des pics de débits de données très élevés. La ressource physique du LTE
peut être vue comme une grille de temps-fréquence. Dans le domaine fréquentiel,
l’espacement entre les sous-porteuses adjacentes est de 15 KHz.
L’OFDM consiste à fragmenter les flux de données pour qu’elles soient transmises sur
plusieurs sous porteuses, permettant d’augmenter la période du symbole. Vu que les
techniques de modulations à faibles débits sont plus robustes aux multi-trajets, il est plus
commode de transmettre plusieurs flux de données à bas débits en parallèle plutôt qu’un flux
de données à haut débits. Le but d’utiliser plusieurs sous porteuses est d’obtenir un canal qui
soit presque constant (plat) sur chaque sous bande donnée, ce qui rend l’égalisation plus
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
Figure I.6 : (a) Forme d’impulsion par sous porteuse et (b) Spectre de la transmission OFDM
de base.
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
La figure I.7 représente un schéma bloc simplifié d’un système OFDM à une seule
entrée et une seule sortie (SISO). Sur le côté de l’émetteur, les symboles (QAM/PSK)
modulés sont mappés à N sous porteuses orthogonales. Ceci est effectué à l’aide d’une
opération de transformée de Fourier discrète inverse (IDFT). Souvent, l’IDFT est effectuée
avec un algorithme de transformée de Fourier rapide inverse (IFFT), qui est efficace du point
de vue calcul. Ensuite, le CP est inséré et une conversion parallèle-série est effectuée
préalablement à la transmission sur l’interface air [2].
Au niveau du récepteur, les opérations inverses sont effectuées. Une fois le signal est
au niveau du récepteur, le CP, qui aurais subit des interférences de la part des symboles
OFDM précédents, est enlevé. Puis, une opération de transformé de Fourier rapide (FFT)
amène les données au domaine fréquentiel. De cette manière, l’estimation du canal et
l’égalisation est simplifiée [2].
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
I.5.2 SC-FDMA
La technique d’accès multiple à division de fréquence et à canal unique (SC-FDMA)
est adoptée à la place de l’OFDMA pour la liaison montante du système LTE. Le principe de
base du SC-FDMA est identique à l’OFDMA à la différence qu’une DFT est appliquée avant
la modulation OFDM figure I.9, ce qui permet de disperser les symboles de données sur
l’ensemble de sous porteuses transportant l’information et permet ainsi de produire une
structure a une seule porteuse. Le SC-FDMA présente un PAPR réduit par apport à l’OFDM,
ce qu’il la rendue attractive pour la transmission en sens montant du fait que l’UE en
bénéficie en terme d’efficacité de la puissance transmise [2].
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
L’unité élémentaire de ressources est appelée élément de ressource (RE) qui consiste
en une sous porteuse pour une durée d’un symbole OFDM. Un RB comprend alors 84 RE’s
dans le cas du CP normal, et 72 dans le cas du CP étendu [2].
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
La structure de la trame radio en mode TDD est montrée dans la figure 2.14. Les sous
trames avec ‘D’ et ‘U’ sont réservées pour les transmissions dans les liaisons descendante et
ascendante, respectivement. Elles ont la même structure que leurs homologues en mode FDD.
Les sous trames avec ‘S’ sont spéciales et caractérisées par trois champs [2]:
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
alors que d’autres en ont plus pour les transmissions ascendantes. Le choix d’une
configuration donnée, par l’opérateur, obéit aux besoins de la charge du trafic dans les deux
sens [2].
Espacement sous 15 15 15 15 15 15
porteuses (KHz)
Ce nouveau standard est une évolution du LTE retenu par la plupart des opérateurs pour
la4G. Il permettrait d'atteindre un débit descendant maximal de 1 Gb/s en situation fixe, et
de100 Mb/s en mobilité. Cette nouvelle norme sera capable de mieux distribuer la charge sur
le réseau, et pourra supporter plus d'utilisateurs sur une même cellule La LTE-Advanced
utilisera :
Principe de transmission multi-antennes MIMO.
Agrégation du spectre
Étalement de la bande 40 -100 MHZ
I.8. La 4G dans le monde
I.8.1 Europe
L'Europe à réserver les bandes de fréquence des 800 MHz et des 2 600 MHz pour les réseaux
mobiles 4G, mais dans beaucoup de pays les opérateurs ont aussi la possibilité de réutiliser la
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CHAPI TRE I APERÇU GENERAL SUR LA 4G "LTE"
bande de fréquence des 1800 MHz initialement attribuée au GSM (2G) ; cette bande de
fréquence était la plus utilisée dans les réseaux 4G/LTE européens fin 2012.
La première commercialisation d'une offre mobile en 4G utilisant le standard LTE a été
lancée en Suède(Stockholm) et Norvège (Oslo) par l'opérateur téléphonique TeliaSonera en
décembre 2009. Ou Samsung a commercialisé le premier téléphone compatible 4G LTE sous
la référence SCH-R900, durant le second semestre 2010. Le déploiement a grande échelle de
la 4G LTE ont commencé en 2013 dans la plupart de pays européens [4].
I.8.2 États-Unis
Les États-Unis, ont fait le choix des bandes de fréquence duplex (FDD) 700 MHz et
1700-2 100 MHz (fréquences dites « AWS (en) »).Aux États-Unis, la société Verizon
Wireless a lancé une offre commerciale 4G LTE fin 2010 ; elle a déjà, en fin 2012, plus de 16
millions d'abonnés LTE8 ce qui en fait le leader mondial (par le nombre d'abonnés) devant le
japonais NTT DoCoMo et les opérateurs Coréens KT et SK Telecom. Le 2e opérateur
américain AT&T a lui aussi lancé une offre LTE mai 2011 [4].
I.8.3 Algérie
La 4G est officiellement lancée le26 septembre 2016, les opérateurs pourront commencer la
commercialisation de leur offres de téléphonie mobile de quatrième génération (4G) .les
décrets autorisant les trois opérateurs Djezzy, Mobilis et Ooredoo à exploiter les licences ont
été publiés le 25 septembre 2016 au journal officiel. L'Algérie a fait le choix de fréquence
1800 MHZ [4].
I.9. Conclusion
II.1 INTRODUCTION
Ce chapitre a pour objectif de décrire les principes de l’optimisation d’un réseau radio
LTE il explique les différentes étapes ainsi que les outils utilisés dans le processus
d’optimisation. Après la phase de réglage (tuning) vient celle de l’optimisation qui identifie et
résout les problèmes du réseau on-Air principalement liés à l’augmentation du nombre
d’abonnés.
Le processus d’optimisation aboutit généralement à des changements de paramètres pour
les différentes fonctionnalités telles le contrôle de puissance, la gestion de la capacité et le
Handover.
Pour assurer une gestion efficace des performances d’un réseau cellulaire, il faut être capable de
naviguer dans les données rassemblées dans le réseau et déterminer les secteurs nécessitants des
améliorations.
En raison de la quantité énorme des données statistiques de performance qui sont
rassemblées par le réseau LTE, il s’avère judicieux d’extraire et de calculer des indicateurs clés
de performance lié directement à la qualité que de corréler toutes les données pour l’ensemble du
réseau pour construire une image cohérente de l’état du réseau. Les indicateurs clés de
performance sont des métriques formulées sur la base de mesures assez précises, connues sous le
nom de compteurs, récupérées à partir des différents composants du réseau.
Avant d’entamer les considérations des KPIs, un rappel sur les compteurs et leur relation
avec les KPI sera d’une grande utilité [4]
II.2 Les objectifs de l’optimisation
Les objectifs de l’optimisation sont résumés en les points suivant :
L'amélioration de la qualité du service offert aux utilisateurs.
Augmenter le volume du trafic transmis par le réseau avec les équipements existants.
Trouver et corriger les problèmes existants après la mise en œuvre et l'intégration des
sites.
Répondre aux critères de qualité du réseau convenu dans les contrats de service.
Satisfaire la couverture des objectifs pour divers services
Maximiser la capacité du réseau.
Minimiser le coût lié à la mise en œuvre de la solution.
19
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
20
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Ainsi, le but de la QoS est donc d’optimiser les ressources du réseau et de garantir de bonnes
performances aux applications. Cela permet d’offrir aux utilisateurs des débits et des temps de
réponse différenciés par application suivant les protocoles mis en œuvre au niveau de la couche
réseau et d’où la notion du porteur EPS( Evolved Paquet system bearer) [4].
II.4.1 Le porteur EPS
Le porteur EPS est un équivalent du contexte PDP en 2G/3G. Il représente un concept logique
établi entre le terminal et la PDN GW et qui agrège plusieurs flux de data transportés entre les
deux entités .Il permet d’identifier de manière unique des flux de trafic recevant la même QoS
entre le terminal et la PDN GW. Tous les flux associés à un porteur EPS reçoivent les mêmes
traitements en termes de forwarding (expédition des paquets) [4].
• Le porteur par défaut, le premier porteur est établi lorsque le terminal se connecte à un PDN,
il reste actif durant toute la connexion.
• Les porteurs dédiés, tous les porteurs additionnels établis avec le même PDN
Pour s'assurer que le trafic porteur dans les réseaux LTE est correctement traité, un
mécanisme est nécessaire pour classer les différents types de porteurs en différentes classes,
chaque classe ayant des paramètres QoS appropriés pour le type de trafic. Les exemples de
paramètres QoS incluent le taux de bits garanti (GBR) ou le débit non garanti (non-GBR), le
traitement prioritaire, le délai de paquet et le taux de perte d'erreur de paquet. Ce mécanisme
global s'appelle QCI.
Le concept QoS utilisé dans les réseaux LTE est basé sur les classes, où chaque type de
support reçoit un identifiant de classe QoS (QCI) par le réseau. Le QCI est un scalaire utilisé dans
21
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
l'accès réseau (à savoir eNodeB) en tant que référence aux paramètres spécifiques au nœud qui
contrôlent le traitement de transmission de paquets, par exemple le poids de l'ordonnancement,
les seuils d'admission et la configuration du protocole de la couche de liaison.
Il existe 9 QCI définis dans 3GPP, chacun de QCI a son exigence QoS et chaque E-RAB
aura l'attribut de QOS :
Tableau II.1 : QCI standardisé du réseau LTE [6]
Les KPI sont formulés pour mesurer les performances du réseau en termes d'accessibilité,
d'intégrité, de mobilité, de conservation et de qualité perçue par l'abonné. Ils peuvent être définis
comme ensemble de résultats qui mesurent les performances durant les heures chargées ou les
heures normales sur le réseau entier. Le KPI est le résultat d'une formule qui est appliquée aux
indicateurs de performance (Performance Indicators, PIs). Le PIs peut être extrait d’un secteur,
une eNodeB, un TRX ou à un niveau d’une eNodeB adjacente. Des centaines de KPIs existent et
Ils emploient des compteurs d'une ou plusieurs mesures et peuvent être calculés à partir d’un
compteur ou d’une formule de plusieurs compteurs. La période de l'observation se rapporte à la
durée des échantillons rassemblés : heure, jour, semaine, mois, etc.
La qualité de la performance du réseau est principalement évaluée par la mesure des KPI.
En effet, on distingue deux méthodes de mesure des KPI : mesure statistiques et mesure de test
sur site
22
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Certains KPI doivent être atteints par un test sur site, tel que les KPI de la latence. Les résultats
de mesure proviennent d'outils de test tels que Probes et Assistant [6].
23
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Le mécanisme de collection des statistiques est décrit sur la figure ci-dessous. On commence
d’abord par le recueil des statistiques, et ensuite les tables des mesures des eNodeB devraient être
configurées et activées. Les tableaux sont organisés par des catégories pour permettre à
l'opérateur de réduire la charge et de télécharger seulement les mesures voulues (le trafic,
disponibilité de ressource, Handover, etc.). Les abonnés mobiles envoient les mesures à
l’eNodeB lors de la communication, les compteurs purs sont calculés dans des formules
prédéfinies. Les KPIs calculés sont alors groupés dans des rapports génériques qui peuvent être lu
sur l’OMC « Operation Mentenance Center » U2000. Autres outils sont généralement développés
pour l’usage interne à savoir pour archiver et visualiser les statistiques comme le « Business
Object » Les statistiques sont quotidiennement rapportées afin de permettre à l’opérateur de
surveiller le réseau d'une manière très réactive.
II.5.3.2 Génération des rapports :
Un KPI est le résultat d'une formule qui est appliquée aux compteurs (appelés les indicateurs
de performance).En utilisant un outil spécifique, les KPIs sont extraits dans des rapports de
format prédéfinis. Ces rapports sont adressés aux groupes cibles spécifiques qui peuvent les
employer pour différents buts. Ce mécanisme est illustré sur la figure ci-dessous
24
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Un compteur peut être défini comme une valeur incrémental d'un événement spécifique
répétitif. Dans la norme LTE, un événement peut correspondre à un message de signalisation. Par
exemple lors d’une communication téléphonique des milliers de messages et de signalisations
sont échangés entre le UE et le S-GW MME respectivement. La mise à jour des compteurs à un
certain point se fait via les messages échangés. Ce point est appelé le « point de déclenchement
».Et comme des milliers de messages de signalisation existent, de nombreux compteurs peuvent
également exister. Cependant, le nombre de compteurs utilisables dépend de la stratégie des
fournisseurs des équipements.
Une formule signifie une combinaison mathématique des compteurs qui a comme
conséquence un indicateur significatif. Définir une formule en utilisant plusieurs PIs aide pour
identifier un KPI. Comme susdit ; le KPI donne plus de flexibilité et de clarté à l’opérateur dans
l’interprétation du comportement du réseau. Les formules, une fois choisies, devraient rester sans
changement afin d'observer l'évolution des performances du réseau dans le temps. Dans un
environnement à plusieurs fournisseurs, l'opérateur place une stratégie de performance et définit
des formules pour chaque KPI. Alors chaque équipement déclenche ses propres compteurs, des
limites entre les formules sont tracées pour chaque fournisseur.
25
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Disponibilité
• Partial cell availability (node restarts excluded)
(latence)
II.5.5 Accessibilité
Ces KPI mesurent la possibilité qu’un service soit obtenu à des tolérances prés et selon
d’autres conditions, quand l’utilisateur le demande. En d’autre terme, c’est la capacité de joindre
26
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
le réseau et l’opérateur doit surveiller le taux de succès d’établissement d’appel, le taux de succès
de procédure de paging et la probabilité de blocage …etc [11].
Elle se calcule dans le réseau sur deux étapes : RRC et E-RAB, et par rapport à différents
services.
Indicateurs d’accessibilité :
L’accessibilité RRC se calcule par le taux de succès d’établissement de connexions des
ressources de contrôle radio RRC qui est définie par rapport à deux type de service CS (Circuit
Switch) et PS (paquet switch).
L’accessibilité E-RAB se calcule par le taux de succès d’établissement de E-RAB (pour chaque
E-RAB CS et PS et pour chaque débit de données UL et DL).
L’Admission Control est l’option qui permet d’accepter ou de rejeter de nouvelles connexions
selon la vérification de certains critères :
Grade of Service : constitué de plusieurs indicateurs qui reflète ce taux d’admission pour
chaque type de service.
Rejet avant ou après Admission Control : il permet de différentier si les connexions
étaient rejetées avant ou après le contrôle d’admission.
Cause de rejet par admission control : dû essentiellement à l’échec de l’établissement du
RAB à cause d’une insuffisance que ça soit au niveau de la puissance en DL, au niveau
des codes de canalisation et ou au niveau DL/UL
Le taux de réussite de RRC :
𝐑𝐑𝐑𝐑𝐂𝐂− 𝐒𝐒𝐒𝐒𝐒𝐒 𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬 : Ce KPI évalue le taux de réussite de RRC avec les causes liées au
service dans une cellule [6].
27
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
𝐑𝐑𝐑𝐑𝐂𝐂− 𝐒𝐒𝐒𝐒𝐒𝐒 𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬 : Ce KPI évalue le taux de réussite de RRC avec les causes liées au
signal dans une cellule.
𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓é𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬é𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞𝐞
𝐑𝐑𝐑𝐑𝐂𝐂− 𝐒𝐒𝐒𝐒𝐒𝐒 𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬 = ∗ 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏%
𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐓𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝𝐝
E-RAB Related:
L'E-RAB fait partie du porteur Evolved Packet Service (EPS). Selon le 3GPP, un E-RAB est un
ou plusieurs flux de données de service entre UE et un EPC.
28
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Un E-RAB est le support de la couche d'accès pour transporter les données de service des
utilisateurs. Le taux de réussite de la configuration E-RAB dans une cellule représente
directement la capacité de la cellule à fournir des configurations de connexion E-RAB pour les
utilisateurs [6].
Ce KPI peut être utilisé pour évaluer le taux de réussite de la configuration E-RAB du service
(serviceQCI1) dans la cellule [6].
Ce KPI peut être utilisé pour évaluer le taux de réussite de la configuration ERAB de tous les
Service y compris le service VOIP dans la cellule [6].
𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄
ERAB_SSR(ALL)= 𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄𝐄 ∗ 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏%
29
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Le KPI S1SIG Connection Set UP Success Rate indique le taux de réussite de la connexion de
signalisation sur l'interface S1, ce KPI comprend le nombre de tentative de configuration des
connexions de signalisation S1 [6].
𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺
𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺_𝑺𝑺𝑺𝑺 = ∗ 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏%
𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺
Le nombre de signalisation deS1relier à UE est incrémenté par 1 à chaque fois que l’e-NodeB
envoie un message ''initial UE Message '' à MME. Ou reçoit un premier message de MME.
II.5.6 Maintenabilité
C’est la possibilité de maintenir l’appel jusqu’à ce qu’il soit terminé normalement sans être
déconnecté par le réseau sauf dans le cas d’épuisement du forfait. On distingue principalement le
Taux de coupure dont on peut tiré des informations sur l’interface radio et le taux total de
coupure d’appels détectés. En général, les causes de coupures de la voix sont diverse et il ya
plusieurs KPI permettant d’identifier les causes de coupures de la voix, tel que : la perte de
synchronisation UL, le manque de relation de voisinage, déconnexion due au Handover [6].
30
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Le taux de coupure
Le taux de coupure (voip)
Ce KPI peut être utilisé pour évaluer le taux de coupure d'appel du service VOIP (QCI
1service) dans une cellule.la coupure d'appel survient lorsque le E NODEB initial active le
processus E-RAB par message ''E-RAB Release indication ''ou ''UE context Release Request''.
Avec la cause abnormal (autre que: normal release, detache, user inactivity, cs-fallbacktriggered,
UE not available for PS service, or inter rate redirection) [6].
Ce KPI peut être utilisé pour évaluer le taux de coupure d'appel de tous les services dans la
cellule y compris le service VOIP [6].
ERAB_ ABNORMALRELEASE
VOIP − CDR = ∗ 100%
ERAB − RELEASE
Ce KPI évaluera le taux de réussite au total pour les 4 phases La phase de configuration
RRC, S1 phase de rétablissement de la connexion de signalisation, phase de service E-RAB,
phase de service E-RAB release [6].
31
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
II.5.7 Intégrité
Il s’agit d’une notion relative à la qualité de la voix. Les KPIs d'intégrité du service
indiquent les impacts d'EUTRAN sur la qualité du service fourni à l'utilisateur final. Les KPI
d'intégrité du service peuvent être calculés par cellule ou par cluster. Cependant, au niveau du
cluster, elles peuvent être calculées en regroupant tous les compteurs de cellules [7].
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐕𝐕𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜ℎ𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏)
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 =
1000(𝑚𝑚𝑚𝑚)
Cell uplink Maximum Throughput
Il est calculé en fonction de la valeur maximale du volume de trafic de liaison
descendante qui est transféré à chaque seconde [8].
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶V𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜ℎ𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏)
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 =
1000(𝑚𝑚𝑚𝑚)
II.5.8 Mobilité
32
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Les KPIs de mobilité sont utilisés pour évaluer les performances de la mobilité E-UTRAN,
qui est essentielle à l'expérience. Plusieurs catégories de KPI de mobilité sont définies en
fonction des types de Handover intra-fréquence, inter-fréquence et inter- radio accès technologie
(RAT) [7].
Intra-LTE Handover (Out) Success Rate
• Intra-frequency Handover Out Success Rate
Ce KPI peut être utilisé pour évaluer le transfert intra-fréquenceTaux de réussite dans une
cellule ou un cluster.Le transfert intra-fréquence (HO) comprend à la fois les scénarios inter-
eNodeB et intra-eNodeB. Pour illustrer le calcul du KPI, nous discutons brièvement de la façon
dont le nombre afférent (nombre de tentatives de fréquence intra-fréquence et nombre de
tentatives de fréquence intra-fréquence réussies) est collecté
𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊_𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯
𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊_𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯_𝑺𝑺𝑺𝑺 = × 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏%
𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊_𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯
33
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Similaire à Handover intra fréquence sur le taux de réussite. La cible eNodeB et la source
eNodeB sont à différentes fréquence
Ce KPI peut être utilisé pour évaluer le taux de réussite de handover inter-fréquence dans
une cellule ou un cluster notez que les points de mesure pour les compteurs associés sont
identiques à ceux du scénario intra fréquences Ho
𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊_𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯
𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊_𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯_𝑺𝑺𝑺𝑺 = × 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏%
𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊𝒊_𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕
La cellule LTE cible Opère à la fréquence différente de celle de la cellule LTE source, qui
est la seule différence. Comme le montre la figure II.9
34
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
Si les cellules source et cible à différentes fréquences sont contrôlées par le même
eNodeB, l'eNodeB compte le nombre de tentatives intra-eNodeB inter-fréquence HO au point B
et l’intra-eNodeB l'inter-fréquence HOs au point C dans la cellule source. Comme le montre la
figure II.10, si la source de transfert et les cellules cibles sont à des fréquences différentes,
l'eNodeB compte le nombre de tentatives inter-fréquence Inter-eNodeB Ho au point B, l'inter-
fréquence intra-eNodeB réussie au point C dans La cellule source [7].
𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯
𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯_𝑺𝑺𝑺𝑺 = × 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏%
𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯𝑯
FigureII.11 : intra-eNodeB HO
Deux scénarios sont disponibles pour l'inter-eNodeB Ho, comme le montrent la
Figure S-5 et la Figure 5-6. Les tentatives de HO sont collectées au point B dans la cellule cible
35
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰_𝑳𝑳𝑳𝑳𝑳𝑳_𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺𝑺
𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰_𝑳𝑳𝑳𝑳𝑳𝑳_𝑺𝑺𝑺𝑺 = × 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏%
𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰𝑰_𝑳𝑳𝑳𝑳𝑳𝑳_𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨
36
CHAPITRE II LES PERFORMANCES DE RESEAU 4G
II.6 Conclusion
La qualité de performance du réseau de la 4G est principalement évaluer par les différent KPI
que nous avons présentés dans ce chapitre. Pour cela on a défini les KPIs de l’accessibilité, la
retainabilité, l’intégrité et la mobilité ainsi que leurs formules et leurs compteurs utilisés. En effet,
nous avons identifié la notion des statistiques leurs utilisation les méthodes d’analyse et comment
l’évalué dans le réseau.
Dance ce qui suit-on s’intéressera à un paramètre essentiel pour l’évaluation de performance
de mobilité du réseau, notamment le Handover.
37
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
III.1 Introduction
Le Handover (HO) est la procédure clé pour s'assurer que les utilisateurs peuvent se
déplacer librement dans un réseau connecté à des services de haute qualité. Dans les réseaux
mobiles actuellement déployés, l'optimisation du transfert est effectuée manuellement sur une
longue période - jours ou semaines. Cette approche prend à la fois beaucoup de temps et ne peut
être effectuée aussi souvent que nécessaire. En introduisant un algorithme d'auto-optimisation en
ligne qui permet de régler les paramètres du processus HO, nous visons à améliorer les
performances globales du réseau et la QoS des utilisateurs. Les principaux objectifs sont de
réduire le nombre de HO qui sont initiées, mais pas réalisées jusqu'à l'achèvement (HO),
répétitions entre les deux stations de base («ping-pong») et les appels abandonnés.
L'une des directions les plus importantes de l'évolution de l'expertise LTE est la
compréhension de la fonctionnalité du réseau auto-organisateur (SON), ce dernier est défini
comme un ensemble de cas d'utilisation qui couvre l'ensemble du cycle de vie du réseau :
planification, déploiement, exploitation et optimisation
L'auto-optimisation des futurs réseaux d'accès radio est l'un des principaux sujets du
groupe de recherche MERA [19].
On distingue trois types d’architectures SON dans les réseaux radio cellulaires qui essayent,
chacune d’elle, de trouver un compromis entre stabilité et agilité [20].
38
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
39
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
• se signale à l'eNodeB,
• et/ou se synchronise en voie montante avec l'eNodeB, notamment lors de son accès initial
ou en cas de perte de la synchronisation
40
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
Les opérations nécessaires à la recherche de cellule sont basées sur des signaux
physiques appelés signaux de synchronisation. Il en existe deux types :
Ces signaux sont connus de l'UE et possèdent des propriétés temporelles et fréquentielles
optimisées pour permettre la synchronisation, qui s'effectue typiquement par des opérations de
corrélation [1].
L'UE se sert de ces mesures pour calculer l'indicateur de niveau du signal reçu RSRP,
utilisé en mode veille pour déterminer la meilleure cellule vue de l'UE. Ce principe fondamental
de meilleure cellule gouverne ainsi la mobilité du terminal en mode veille : celui-ci choisit la
cellule qu'il reçoit avec le meilleur signal, à l'aide de mesures régulières sur les cellules
environnantes. Les objectifs visés sont : d'assurer que l’utilisateur est joignable, c'est-à-dire que
l'UE pourra recevoir correctement les messages de notification envoyés sur la cellule (paging) ;
d'assurer les meilleures conditions radio lorsque l'UE passe en mode connecté (par exemple pour
établir un appel), ce qui minimise également sa consommation [1].
RSRP est la mesure la plus basique réalisée par la couche physique du UE, permettant
d’obtenir une valeur moyenne de la puissance reçue du signal de référence (RS) émise par la
41
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
station de base par RE (Resource Element). La mesure s’exprime en Watt ou en dBm. La valeur
est comprise entre -140 dBm à -44 dBm par pas de 1db [14]
TableauIII.1 : Tableau des puissances du signale
RSRP Puissance du signal
>-90dbm Excellent
-90dbm jusqu'a -105dbm Bien
-106dbm jusqu'a -120dbm Faible
<-120dbm Mauvais
Puisque le signal de référence RS n’est émis qu’à un instant donné sur une seule bande de
fréquence, la mesure n’est réalisée que dans cette bande de fréquence (correspondant à un RE :
Ressource Element). Sur la figure ci-dessous, on présente la position des signaux de référence
dans un RB (transmis sur les symboles 1 et 5 sur cette figure ou sur les symboles 0 et 4 selon la
numérotation du premier symbole) [14].
Figure III.3 : Emplacement des symboles de ressources dans un bloc de ressources pour un symbole
d'antenne
Bien que le RSRP soit une mesure importante, il ne donne aucune information sur la
quantité de la transmission. Le LTE s’appuie alors sur l’indicateur RSRQ, défini comme le
rapport entre le RSRP et le RSSI (Received Signal Strength Indicator). Le RSSI représente la
puissance totale du signal reçu, cela englobe le signal transmis, le bruit et les interférences [14].
𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅
𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅 = 10 ∗ log(𝑁𝑁 ∗ )
𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅
N étant le nombre de ressource block
42
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
Mesurer le RSRQ est intéressant particulièrement aux limites des cellules, positions pour
lesquelles des décisions doivent être prises pour accomplir des Handovers et changer de cellule
de références. Le RSRQ mesuré varie entre -19,5dB à -3dB par pas de 0.5dB. Le RSRQ n’est
utile uniquement lors des communications, c’est-à-dire lors de l’état connecté. La précision
absolue (Intra- et inter-fréquentiel) varie de ±2.5 à ±4 dB [14].
RSSI est l'énergie totale que l'UE observe sur l'ensemble de la bande. Ceci inclut le signal
principal et le signal de cellule non-service co-canal, les interférences de canal adjacentes et
même le bruit thermique dans la bande spécifiée. C'est la puissance du signal non démodulé,
donc UE peut mesurer cette puissance sans synchronisation et démodulation.
Le RSSI est utilisé dans les réseaux mobiles pour sélectionner une antenne relais parmi
plusieurs possibles ; c’est aussi un des critères utilisés pour préparer et décider
le Handover (changement de cellule radio pour un terminal qui se déplace) en comparant les
niveaux des signaux reçus de l’ancienne et de la nouvelle cellule radio. La mesure des RSSI
permet d’améliorer la géo localisation au sein d’un réseau mobile [15] [16]
43
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
Pour obtenir des services au niveau NAS (par exemple, la connectivité Internet) du
réseau, les nœuds NAS du réseau doivent connaître l'UE. Pour faciliter cela ; L'UE doit lancer la
Procédure de connexion, qui est obligatoire pour l'UE à la mise sous tension et aussi pendant
l'accès initial du réseau. Une fois que la procédure de connexion a réussi, un contexte est établi
pour l'UE dans le MME et un support par défaut est Établi entre l'UE et le PDN GW et une
adresse IP lui est attribuée.
Maintenant que le UE a une connectivité IP, il peut commencer à utiliser des services
Internet basés sur IP ou des services IMS si le réseau IMS est disponible et si l'UE a un
abonnement [21].
Ce principe est généralement aussi suivi en mode connecté, même si la mobilité peut être
déclenchée sur d'autres critères [23].
44
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
La procédure de transfert S1 inter cellulaire est effectuée entre deux eNBs sans l'interface
X2. Le transfert X2 est utilisé lorsque la connectivité directe entre eNBs source et cible existe. Le
transfert X2 est plus rapide
Un UE qui est mis sous tension, mais n'a pas une connexion RRC au réseau radio, Est
défini comme étant en mode veille. Dans le cas de la gestion du mode veille, le eNodeB envoie
des Configurations par information du système de diffusion, et par conséquent, sélectionner des
cellules appropriées. La gestion du mode veille peut augmenter le taux de réussite de l'accès,
45
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
améliorer la qualité du service et veiller à ce que les campagnes UE sur les cellules avec une
bonne qualité de signal [17].
Rôle de l'UE
• pour réaliser des mesures fiables sur son environnement et les remonter au contrôleur de
la station de base ;
• pour la bascule proprement dite sur la cellule cible.
La performance radio de l'UE (justesse et délai des mesures, délai pour basculer sur la cellule
cible) est donc un élément clé du succès de cette procédure. Pour l'opérateur, il est primordial de
s'assurer que les UE utilisés sur son réseau sont capables de réaliser cette procédure radio dans un
délai minimal, afin de limiter le temps d'interruption du service. Cet aspect de performance sera
traité à la section «Les performances de I' UE en handover » [1],
La première chose que l'UE doit faire est de sélectionner un PLMN. Il analyse toutes les
fréquences porteuses E-UTRA qu'il est capable de recevoir et recherche la cellule la plus forte de
chacune d'elles. Il lit ensuite les informations système diffusées par ces cellules pour déterminer
l'identité PLMN des cellules. Sur la base de ces informations et des informations stockées sur la
carte du module d'identité d'abonné (SIM), l'UE sélectionne le meilleur PLMN. Il commence
alors la procédure de sélection de cellule afin de trouver la meilleure cellule sur le camp. Pour
hâter la sélection PLMN, l'UE peut également utiliser des informations historiques stockées des
fréquences porteuses utilisées précédemment [18].
46
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
la cellule la plus forte dans le PLMN choisi. C'est ce qu'on appelle la "sélection de cellule
initiale"[18].
Le Handover est un mécanisme essentiel qui garantit la mobilité dans un réseau LTE et sa
principale fonction est de maintenir le flux de trafic lorsque l'UE se déplace le long du réseau.
L'idée derrière cela est simple : lorsqu'un UE perd la couverture radio d’eNodeB source alors
qu'elle s'approche d'une autre couverture radio eNodeB, une nouvelle connexion doit être établie
sur cette nouvelle station de base et la connexion avec l'ancien doit être annulée. Par conséquent,
le transfert se produit généralement lorsque le signal eNodeB de service se détériore, ce qui
provoque une mauvaise qualité de communication entre l'UE et le réseau.
En outre, un transfert peut être nécessaire pour favoriser l'équilibrage de la charge réseau
même si la puissance et la qualité du signal de la station de base actuelle sont bonnes. Autre
potentiel
Les raisons de déclencher un processus de transfert sont la nécessité de l'UE pour une
meilleure QoS, des coûts plus bas, plus de bande passante, etc., ce qui peut amener l'UE à
rechercher des stations de base offrant de meilleures conditions de service [22].
Cellule Source
Cellule cible
47
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
Cette section présente les étapes de la réalisation d'un Handover de façon générale, c'est-
à-dire sans aborder les spécificités propres au système LTE. Celles-ci seront décrites à la section
• la phase de mesure sur la cellule serveuse et sur les cellules voisines, l'eNodeB utilise le
message de reconfiguration de connexion RRC pour fournir la configuration de mesure à
l'UE et attend un rapport de mesure de l'UE.
• la phase de préparation de la cellule cible, qui met en jeu des échanges entre les
contrôleurs de stations de base source et destination, ainsi qu'entre ces contrôleurs et le
réseau cœur, l'eNodeB vérifie les résultats de mesure signalés par l'UE et détermine s'il
faut lancer un transfert.
• la phase d'exécution, c'est-à-dire le basculement de l'UE et des flux de données, puis la
relâche des ressources dans la cellule d'origine, l'eNodeB contrôle la procédure de
transfert de l'UE vers la cellule cible en fonction de la décision, pour exécuter le transfert.
Le schéma suivant montre le séquencement de ces phases, les nœuds impliqués et les principales
actions réalisées.
48
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
Les transferts peuvent être classés par le système cible, la fréquence ou par la méthode
qu'ils exécutent. Les transferts Intra LTE incluent des transitions vers la même fréquence de
porteuse ou différente dans un système LTE. Ceux-ci peuvent en outre être classés dans les cas
suivants [18]:
Le tableau suivant montre les scénarios de déclenchement par rapport le type de Handover
49
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
La qualité du signal dans la cellule source est supérieure à un seuil cible. L'eNodeB arrête les
mesures inter-fréquence ou inter-RAT.
Ms – hys> seuil A1
Condition de sortie
Ms + hys< seuil A1
Evénement A2
50
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
La qualité du signal dans la source celluleest inférieure à un seuil, Le eNodeB démarre des
mesures inter-fréquences ou Inter-RAT
Condition de sortie
Evénement A3
La qualité du signal dans au moins un eNodeB inter fréquence ou intra fréquence voisine est
supérieure à source cellule. Source eNodeB envoie une demande de Handover intra fréquences
ou inter fréquences
Condition d’enter A4
51
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
La qualité du signal est supérieure à un seuil spécifié dans au moins une cellule voisine intra
fréquence, Source eNodeB envoie une demande de Handover inter fréquences
Condition d’enter A4
Evénement A5
La qualité du signal dans la source celluleest inférieure à un seuil, Le eNodeB démarre des
mesures inter-fréquences ou Inter-RAT et La qualité du signal est supérieure à un seuil spécifié
dans au moins une cellule voisine intra fréquence, Source enodeB envoie une demande de
Handover inter fréquences
Condition d’entrer A5
𝑀𝑀𝑀𝑀 + 𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂 + 𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂 − ℎ𝑦𝑦𝑦𝑦 > 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝐴𝐴4 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑀𝑀𝑀𝑀 + ℎ𝑦𝑦𝑦𝑦 < 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝐴𝐴2
Condition de sortie A5
𝑀𝑀𝑀𝑀 + 𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂 + 𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂𝑂 − ℎ𝑦𝑦𝑦𝑦 < 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝐴𝐴4 𝑜𝑜𝑜𝑜 𝑀𝑀𝑀𝑀 + ℎ𝑦𝑦𝑦𝑦 > 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝐴𝐴2
52
CHAPITRE III Etude de la mobilité : le Handover
53
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
IV.1 Introduction
LTE (Long Term Evolution) est une nouvelle technologie de communication mobile avec
une capacité, une couverture et une expérience HANDOVER utilisateur améliorées grâce à des
débits de données plus élevés, une latence réduite, un déploiement et des coûts d'exploitation,
ainsi qu'une intégration transparente avec les systèmes existants. Le nombre d'utilisateurs mobiles
Est à la hausse. Une étude récente prévoyait un changement global vers l'utilisation de l'Internet
mobile. Le trafic de données mobiles augmentera. Pour cette raison, un est un sujet important
pour la mobilité des utilisateurs.
La mobilité élevée des utilisateurs de véhicules, éventuellement à une vitesse très élevée
dans la zone dans laquelle se chevauchent deux cellules, pourrait entraîner une réduction du taux
de réussite du transfert et, par conséquent, une augmentation de la défaillance de la liaison radio.
L'impact combiné de ces problèmes est l'interruption du service aux utilisateurs de véhicules.
IV.2 Handover
Le TTT est ajusté par des algorithmes proposés. Les valeurs d'hystérésis et TTT sont des
paramètres spécifiés pour chaque cellule.
IV.2.1 Hystérèse
L'hystérésis est un paramètre utilisé dans les conditions d'entrée et de sortie dans le
processus du handover, Les valeurs réelles varient entre 0 et 30 par pas de 0.5dB.
54
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
Un TTT est le temps pendant lequel les critères spécifiques d'un événement doivent être
satisfaits afin de déclencher l'événement A3 pour le hand over afin de l'envoyer a la cellule par le
biais d’un rapport de mesure. Les valeurs sont 0, 40, 64, 80, 100, 128, 160, 256, 320, 480, 512,
640, 1024, 1280, 2560 et 5120 ms, la valeur du paramètre TTT recommandée par les opérateurs
est de 640ms.
𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇 = 𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇3𝐺𝐺𝐺𝐺𝐺𝐺
// Démarrage du HANDOVER
55
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
Connexion au réseau
Connexion à la Cellule
RSRP
Vrai
TTT
Faux
L’événement A3
Vrai
HANDOVER
Connexion à la nouvelle
Cellule
56
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
Nous proposons des nouvelles conditions pour le TTT. Elle permet d'ajuster le TTT selon
la variation du RSRP, l'UE change la durée du TTT en fonction des conditions sélectionner sur la
variation des signaux (RSRP) de la cellule servante ou bien servante et voisine ce qui permet
d'ajuster le temps d'exécution de Handover.
Tout d'abord, l'UE devrait déterminer son emplacement général en fonction du RSRP de la
cellule de service.
Cela signifie que si le niveau de signal de la cellule servante est supérieure a un seuil, on
augmente la durée du TTT afin d'avoir un mécanisme du handover plus difficile.
𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇;
𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇 𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑;
// Démarrage du HANDOVER
57
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
Connexion au réseau
Connexion à la Cellule
RSRP
Vrai
TTT decrease
Faux
L’événement A3
Cn>Cs + hyst
Vrai
HANDOVER
Connexion à la nouvelle
Cellule
58
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑(𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅 − 𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅)𝑑𝑑𝑑𝑑
𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓 𝑖𝑖 = 1 𝑡𝑡𝑡𝑡 𝑥𝑥
𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇 = 0, 40, 64, 80, 100, 128, 160, 256, 320, 480, 512, 640, 1024, 1280, 2560 , 5120
𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇 = 𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇𝑇(𝑖𝑖)
59
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
Connexion au réseau
Connexion à la Cellule
RSRPs / RSRPn
Dérivé
TTT = TTT(i) ; i = 1: 16
Faux
L’événement A3
Vrai
HANDOVER
Connexion à la nouvelle
Cellule
Figure IV.6 programme TTT variable avec condition sur la variation RSRPs/RSRPn
60
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
IV.4 Simulation
Premièrement on génère des signaux RSRP qui correspond à deux cellules, la cellule
source et la cellule cible, ces deux signaux sont une représentation réels des signaux génères par
des eNodeBs LTE
Ce modèle compare les valeurs du RSRP des deux cellules, servante et cible, ce
mécanisme permet de choisir une cellule cible pour faire le Handover avec un TTT constant
61
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
62
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
63
Chapitre-IV Algorithm Adaptation de time to trigger
IV.5 Conclusion
L'une des principales cibles de SON est l'auto-optimisation du handover (HO) qui réalise
la robustesse de la mobilité.
Dans le premier algorithme proposé, nous permet de contrôler le TTT par rapport de la
comparaison de RSRP et le seuil. Dans le deuxième algorithme, nous permet d’adapter le TTT à
travers la comparaison de vitesse de la variation du RSRP. Grâce à la simulation sous Matlab,
nous pouvons voir que le handover peut exécuter par rapport la variation de RSRP après un TTT
variable selon les conditions proposé
64
CONCLUSION GÉNÉRALE
CONCLUSION GENERALE
Ces dernières années, la radio mobile a été sans doute le secteur le plus dynamique et le
plus innovant de toute l’industrie des télécommunications. Avec l’essor rapide qu’elle connait, elle
s’impose de plus en plus comme le moyen le plus privilégié de communication et conquiert
d’avantage des parts du marché en ciblant tous les profils de consommateurs. Le développement
de nouvelles technologies a contribué à la création d’un environnement propice à la concurrence
incitant ainsi les opérateurs à se soucier de la qualité de leurs prestations et des performances de
fonctionnement de leurs réseaux.
L’objectif principale de notre projet est de procéder à une évaluation d'un réseau de
téléphonie mobile 4G dans le but de faire des propositions d’amélioration de ces performance est
cela en proposant de nouvel condition au niveau du Time To Trigger d'un transfert (Handover).
65
Bibliographié
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[25] Huawei, '' LTE eRAN8.1 Intra-RAT Handover Feature,'' Huawei Book, china, 2015
ANNEXE A RESULTATS ET INTERPRETATIONS
L'analyse est basée sur l'interface UU, La cellule cible ne reçoit probablement pas la
reconstruction complète du transfert nous avons donc vérifié le rayon des cellules et la
distance avec les cellules voisines, les deux cellules sont distante de 8km mais le rayon de la
cellule est a seulement 5Km ce qui a engendré un problème d’accès aléatoire dans la cellule
cible donc un problème de hand over.
C'est "RRC Connected User licence" qui fait bloquer tous les accès a la cellule quand le
nombre des utilisateurs (UE) dépasse la valeur de cette licence,
La License était fixé a 50, comme on peut le voir sur la figure ci-dessous :
Solution
Résultat
Après l'augmentation de la licence, nous avons trouvé une amélioration au niveau des
performances (KPI). Comme on peut le voir sue les figures ci-dessous:
Analyse :
D'après la figure ci-dessus globalement le niveau de signal est bon sauf pour les
zones encadrer ou la cellule 30678N ne peut pas faire une bonne couverture.
ANNEXE A RESULTATS ET INTERPRETATIONS
Solution
Nous avons besoin de nouveaux sites dans cette zone. On donne un point nominal
ensuite en essaye de planifier un nouveau site, En attendant la planification de ce nouveau site
nous avons proposé des suggestions :
Zone 1
Zone 2
Pour la zone 2 nous avons proposé de tester le débit pendent les horaire ou la
communication est faible.
A.3.4 Problème Numéro 3 (voisines manquantes)
Dans ce cas, nous avons constaté une coupure d'appel apres investigation, cette
coupure est due au Handover failure (échec d'exécution du Handover) sur la cellule servante
30616N.
ANNEXE A RESULTATS ET INTERPRETATIONS
Solution :
Résultat :
Âpres la définition, nous avons trouvé une amélioration sur l'indicateur de
performance clé "Coupure d'appel"
ANNEXE A RESULTATS ET INTERPRETATIONS
Dans ce chapitre nous avons spécifié les différentes clés d’indication de performance
kpi (les indicateur clés de performance), d’accessibilité et de mobilité opérées par le service
d’optimisation de l’opérateur MOBILIS pendant notre période de stage. par le biais de ces
clés d’indication de performance (kpi) et avec l’aide de notre co-encadreur, nous avons étudié
des cas d’optimisation où nous avons résolu quelques problèmes d’optimisation qui existaient
au niveau du réseau de l’opérateur de téléphonique mobile MOBILIS.
ANNEXE B
1-Drive test
Est une méthode de mesure et d'évaluation de la couverture, la capacité et la qualité de
service (QOS) d'un réseau de téléphonie mobile. La technique consiste à utiliser un véhicule
automobile comportant un équipement de mesure d'interface radio du réseau de
radiocommunication mobile qui permet de détecter et d'enregistrer une grande variété de
paramètres physiques et virtuels de service de téléphonie mobile cellulaire dans une zone
géographique déterminée. En mesurant ce qu’un abonné de réseau sans fil éprouverait dans une
zone particulière, les transporteurs sans fil peuvent apporter des modifications à leurs réseaux qui
fournissent une meilleure couverture et service à leurs clients dirigé.
Ce test Drive donne des informations aux ingénieurs sur le niveau de qualité et le signal
réseau4G. Le testeur d'entraînement à réaliser ces actions:
Court appel 4G pour vérifier l'accessibilité,
4G à long appel pour vérifier la mobilité,
appel court pour vérifier le transfert inte-rat ,
Et obtenir les résultats.
.
Figure A.1 : Équipement du drive test
ANNEXE B
GENEX ASSISTANT
GENEX ASSISTANT
وﻣﻦ ﻧﺎﺣﯿﺔ ﻋﻤﻠﯿﺔ ﻧﺸﺮﻋﺪة أﺟﯿﺎل ﻣﺘﻌﺎﻗﺒﺔ ﻣﻦ.ﺷﺒﻜﺎت اﻟﻤﺤﻤﻮل ﻋﺮﻓﺖ ﺗﻄﻮر ﻏﯿﺮ ﻣﺴﺒﻮق ﻓﻲ اﻟﺴﻨﻮات اﻷﺧﯿﺮة
اﻟﺠﯿﻞ اﻟﺮاﺑﻊ ﻣﻦ, ج3 ﺛﻢ ﺗﻮﺟﮫ اﻟﻰ اﻟﻮﺳﺎﺋﻂ اﻟﻤﺘﻌﺪدة2 ﺷﺒﻜﺎت اﻻﺗﺼﺎل اﻟﺴﻠﻜﯿﺔ و اﻟﻼﺳﻠﻜﯿﺔ ﻣﺨﺼﺼﺔ أﺳﺎﺳﺎ ج
ﺷﺒﻜﺎت اﻟﻼﺳﻠﻜﯿﺔ ﯾﺠﻠﺐ زﯾﺎدة ﻓﻲ اﻟﺘﺪﻓﻖ وھﺬا ﻣﺎ ﯾﺴﻤﺢ ﺑﺎﻟﺘﺸﻐﯿﻞ اﻟﻤﺘﺪاﺧﻞ ﻣﻊ اﻟﺸﺒﻜﺎت
اﻷﺧﺮى
وﻋﻤﺪﻧﺎ اﻟﻰ ﺗﺤﻘﯿﻖ اﻟﺨﻮارزﻣﯿﺔ ﺗﺪاﺑﯿﺮ)ﺗﺘﺖ( ھﺬه اﻟﺨﻮارزﻣﯿﺔ ﻋﻦ طﺮﯾﻖ اﻟﺒﺮﻧﺎﻣﺞ اﻻﻟﻜﺘﺮوﻧﻰ ﻣﺎﺗﻼب
4G, LTE, simulation, QoS, matlab, étude des performances, indicateur :اﻟﻜﻠﻤﺔ اﻟﺮﺋﯿﺴﯿﺔ
de KPI…
Résumé
Les réseaux mobiles et sans fil ont connu un essor sans précédent ces dernières
années. Il s’agit d’une part du déploiement de plusieurs générations successives de
réseaux de télécommunications essentiellement dédiés à la téléphonie (2G), puis plus
orientés vers le multimédia (3G), la 4G de réseaux sans fil apporte une véritable
augmentation du débit et permet l’interopérabilité avec les autres réseaux.
Nous avons procédé à la réalisation un algorithme de mesures de temps de
déclanchement (time to triger) et simuler cet algorithme à l'aide de matlab
Mot clé : 4G, LTE, simulation, QoS, matlab, étude des performances, indicateur de
KPI, time to triger, handover
Abstract
The mobile and wireless networks knew an unprecedented development these last
years. It is on one hand about the deployment of several successive generations of
telecommunication networks essentially dedicated to the telephony (2G, then more
directed to the multimedia (3G, the 4G of wireless networks brings a real increase of the
debit (flow) and allows the interoperability with the other networks.
We have realized a time to trigger algorithm and simulate this algorithm using
matlab
Keyword : 4G, LTE, simulation, QoS, matlab, étude des performances, indicateur de
KPI, time to triger, handover