Академический Документы
Профессиональный Документы
Культура Документы
U : 2019/2020
I.P.E.I.M
Exercice 1
Donc, A ∪ (B ∩ C) = (A ∪ B) ∩ (A ∪ C).
➎
x ∈ A ∩ (B ∪ C) ⇐⇒ x ∈ A et x ∈ B ∪ C
⇐⇒ x ∈ A et x ∈ B ou x ∈ C
⇐⇒ x ∈ A et x ∈ B ou x ∈ A et x ∈ C
⇐⇒ x ∈ A ∩ B ou x ∈ A ∩ C
⇐⇒ x ∈ (A ∩ B) ∪ (A ∩ C).
Donc, A ∩ (B ∪ C) = (A ∩ B) ∪ (A ∩ C).
Autrement : ( En utilisant la fonction indicatrice ) On a : 1A∩(B∪C) = 1A .1B∪C = 1A . 1B +
1C − 1B .1C = 1A .1B + 1A .1C − 1A .1B .1C .
D’autre part, on a :
1(A∩B)∪(A∩C) = 1A∩B + 1A∩C − 1A∩B∩C
= 1A .1B + 1A .1C − 1A .1B .1C .
Alors, on aura :
1A∩(B∪C) = 1(A∩B)∪(A∩C)
Donc, A ∩ (B ∪ C) = (A ∩ B) ∪ (A ∩ C).
➊ f est injective mais n’est pas surjective car 0 n’a pas d’antécédent. Alors, f n’est pas bijective.
➋ g est injective et surjective. En effet, ∀k ∈ Z, n = k − 1 est l’antécédent de k par g. Alors, g est
bijective.
➌ h est injective. En effet,
h(x, y) = h(a, b) =⇒ (x + y, x − y) = (a + b, a − b) =⇒ x = a et y = b =⇒ (x, y) = (a, b).
h est surjective. En effet, soit (a, b) ∈ R2 . Cherchons (x, y) ∈ R2 tel que h(x, y) = (a, b). Autrement
dit, (x + y, x − y) = (a, b). On obtient alors le système suivant :
(
x+y = a
x−y = b
a+b a−b
La résolution de ce système donne x = et y = .
2 2
a+b a−b
Alors, , est l’antécédent de (a, b) par h.
2 2
Donc, h est bijective.
➍ k n’est pas injective. En effet, k(1, 2) = k(2, 1) = (3, 2).
k n’est pas surjective. En effet, (0, 1) n’admet pas d’antécédent par k :
1
k(x, y) = (0, 1) ⇔ (x+y, xy) = (0, 1) ⇔ x+y = 0 et xy = 1 ⇔ x+ = 0 ⇔ x2 +1 = 0 ( impossible).
x
Donc, k n’est pas bijective.
Exercice 3
n
X X n(n + 1)
➊ f (An ) = x= k= .
x∈An k=0
2
X
➋ Soit p ∈ N. Cherchons A ∈ E telle que f (A) = p. Autrement dit, x = p.
x∈A
~ Si p = 0, on prend A = ∅.
~ Si p > 1, on prend A = {p}.
Et par suite, f est surjective.
➌ Il est clair que f n’est pas injective. En effet, f {0} = f (∅) = 0. Alors, f n’est pas bijective.
( )
X
➍ f −1
{3} = {A ∈ E; f (A) = 3} = A ∈ E; x=3 = {{3}, {1, 2}, {0, 3}, {0, 1, 2}}.
x∈A
Exercice 4
➊ Soit x ∈ E. Alors,
x ∈ f −1 (B1 ∪ B2 ) ⇐⇒ f (x) ∈ (B1 ∪ B2 )
⇐⇒ f (x) ∈ B1 ou f (x) ∈ B2
⇐⇒ x ∈ f −1 (B1 ) ou x ∈ f −1 (B2 )
⇐⇒ x ∈ f −1 (B1 ) ∪ f −1 (B2 ).
➌ ” =⇒ ” : Si le couple (∅, B) admet un antécédent par ϕ alors il existe X ⊂ E tel que ϕ(X) = (∅, B),
c,à,d (X ∩ A, X ∩ B) = (∅, B), c,à,d X ∩ A = ∅ et X ∩ B = B, c,à,d X ⊂ A et B ⊂ X. Alors,
B ⊂ X ⊂ A. Ainsi, B ⊂ A. Et par suite, A ∩ B = ∅.
” ⇐= ” : Si A ∩ B = ∅, on aura : ϕ(B) = (A ∩ B, B ∩ B) = (∅, B). Alors, B est un antécédent du
couple (∅, B) par ϕ.
➍ (a) ϕ(X ∪ Y ) = (X ∪ Y ) ∩ A, (X ∪ Y ) ∩ B = (X ∩ A) ∪ (Y ∩ A), (X ∩ B) ∪ (Y ∩ B) = (X, Y )
car Y ∩ A ⊂ B ∩ A = ∅ et X ∩ B ⊂ A ∩ B = ∅.
Donc, ϕ(X ∪ Y ) = (X, Y ).
(b) Si ϕ est surjective alors (∅, B) admet un antécédent par ϕ. Donc, A ∩ B = ∅.
Réciproquement, si A ∩ B = ∅ alors d’après ce qui précède, on aura ϕ(X ∪ Y ) = (X, Y ) pour
tout (X, Y ) ∈ P(A) × P(B). Ainsi, le couple (X, Y ) admet un antécédent par ϕ qui est X ∪ Y .
Ceci prouve que ϕ est surjective.
Donc, ϕ est surjective ⇐⇒ A ∩ B = ∅.
➎ ϕ est bijective ⇔ ϕ est injective et surjective ⇔ A ∪ B = E et A ∩ B = ∅ ⇔ A = B.
Donc, ϕ est bijective ⇐⇒ A = B.
Exercice 6
Or, f surjective ⇐⇒ f f −1 (B) = B pour toute partie B de F (voir Fiche d’exercices N˚7- Exercice
1).
Alors, f f −1 (B1 ) = f f −1 (B2 ) =⇒ B1 = B2 .
Exercice 7
ClR (0) = ensemble des entiers pairs et ClR (1) = ensemble des entiers impairs.
Puique l’ensemble des entiers pairs et des entiers impairs forme une partition de Z, on en déduit
que ces deux ensembles sont exactement les deux classes d’équivalence pour la relation donnée.
Exercice 8
☞ Partie A :
➊ A∆A = (A \ A) ∪ (A \ A) = ∅ ∪ ∅ = ∅.
A∆∅ = (A \ ∅) ∪ (∅ \ A) = A ∪ ∅ = A.
➋ Soit y ∈ f (A)∆f (B) =⇒ y ∈ f (A) \ f (B) ou y ∈ f (B) \ f (A).
I Si y ∈ f (A) \ f (B) =⇒ y ∈ f (A) et y 6∈ f (B)
=⇒ y = f (x), x ∈ A et f (x) 6∈ f (B)
=⇒ y = f (x), x ∈ A et x 6∈ B
=⇒ y = f (x), x ∈ A \ B ⊂ A∆B
=⇒ y = f (x), x ∈ A∆B
=⇒ y ∈ f (A∆B).
I Si y ∈ f (B) \ f (A) =⇒ y ∈ f (B) et y 6∈ f (A)
=⇒ y = f (x), x ∈ B et f (x) 6∈ f (A)
=⇒ y = f (x), x ∈ B et x 6∈ A
=⇒ y = f (x), x ∈ B \ A ⊂ A∆B
Donc, on aura : f (A)∆f (B) ⊂ f (A∆B).
➌ (a) "⇐=:" Si A = B, alors : A∆B = A∆A = ∅ (d’après la question ➊).
"=⇒:" A∆B = ∅ =⇒ (A \ B) ∪ (B \ A) = ∅ =⇒ A \ B = ∅ et B \ A = ∅ =⇒ A ⊂ B et
B ⊂ A =⇒ A = B.
(b) On suppose que f (A)∆f (B) = f (A∆B). Montrons que f est injective.
Soient x1 , x2 ∈ E tels que f (x1 ) = f (x2 ). Montrons que x1 = x2 .
Par hypothèse, on a : f {x1 } ∆f {x2 } = f {x1 }∆{x2 } .
Ainsi, {f (x1 )} ∆{f (x2 )} = f {x1 }∆{x2 } .
Puisque f (x1 ) = f (x2 ), on aura : {f (x1 )} ∆{f (x1 )} = f {x1 }∆{x2 } .
| {z }
=∅
Alors, il vient : f {x1 }∆{x2 } = ∅ =⇒ {x1 }∆{x2 } = ∅ car f est une application =⇒ {x1 } =
{x2 } en utilisant la question précédente.
Et par suite, x1 = x2 .
Donc, f est injective.
➍ (a) } Soit y ∈ f (A ∩ B). Ainsi, il existe x ∈ A ∩ B tel que y = f (x). Il vient :
(
x ∈ A tel que y = f (x) =⇒ y ∈ f (A)
x ∈ B tel que y = f (x) =⇒ y ∈ f (B).
➎ (a)
y ∈ f (A ∪ B) ⇐⇒ ∃x ∈ A ∪ B tel que y = f (x)
⇐⇒ ∃x ∈ A ou x ∈ B tel que y = f (x)
⇐⇒ ∃x ∈ A tel que y = f (x) ou ∃x ∈ B tel que y = f (x)
⇐⇒ y ∈ f (A) ou y ∈ f (B)
⇐⇒ y ∈ f (A) ∪ f (B).
Donc, f (A ∪ B) = f (A) ∪ f (B).
| {z } ∆f (X)
= A∆∅
=A
= A∆f (X) = hA (X).
• Si n est impair, alors
hn+1 n
= h2A (X) = hhA (A) (X).
A (X) = hA hA (X) = hA hA (X)
zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz