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Droits de l’entreprise : comporte les droits civils, droit du travail et les règles
spécifiquement commerciale
1/Notion de l’entreprise
Autonome : Un pouvoir d’initiative qui lui permet d’être apte à prendre des
décisions.
-Texte :
-La constitution
-La loi
-La jurisprudence
-La doctrine
Titre 1 : Le commerçant
-Achat de bien, meubles pour les revendre en nature après les avoir travaillés.
-etc…
*Actes de commerce par accessoire : Ce sont des actes non commerciaux mais
civils mais deviennent des actes commerciaux selon leurs activités principaux.
1er point :
La capacité civile est la capacité de jouissance (il doit être vivant et viable) et
avoir la capacité d’exercice. (Les mineurs ne peuvent pas (sauf si ils sont
émancipées) et les majeurs qui sont incapables.)
La capacité commerciale est nécessaire (interdit aux mineurs même
émancipées, aux fonctionnaires, des officiers ministériels (notaires, officiers de
justice, greffiers, etc.), ceux qui ont eu une condamnation pénale ou pour
faillite et la plupart des professions libérales)
2ième point :
3ième point :
-conjoint collaborateur
-associé
-salarié
Les règles communes à toutes les sociétés. On appelle ça le droit commun des
sociétés. Il existe des règles spéciales :
Règle de fond :
*Il faut un consentement des personnes qui contractent : ils doivent être libres
et éclairés. (vis de consentement, violence physique/morale, dol provoqué ou la
réticence dolosive, l’erreur)
1ère condition : Il faut un apport de bien en commun, un apport par les associés
en nature, en industrie ou numéraire.
-L’immatriculation au RCS
(Pyramide de Kelsen)
Cas pratique :
Agent commercial qui travaille comme indépendant avec un mandant qui vend
des produits pour son compte et touche des commissions. Il travaille depuis des
années avec lui et au bout de quelque temps il s’aperçoit qu’il reçoit de la part
du mandant de nombreuses directives et des ordres de sa part.
Cette personne ne devrait pas recevoir d’ordre. C’est une personne physique
exerçant des actes de commerce à titre habituelle et indépendante. Dans un
second temps il n’y as plus d’indépendance, l’activité devient salarié.
Le recours possible est le conseil de prudhomme.
C’est Julien qui est mineur et vient de percevoir un héritage et avec cette
héritage il veut créer une société avec son cousin Bryan qui a 30 ans et qui
placé sous curatelle.
-Est-ce que Julien peut créer cette société avec Bryan ? Peut-il avec son oncle
Paul qui a 40 ans et qui a été condamné par le tribunal correctionnel il y a
quelque mois ?
C’est un commerçant qui est son « propre patron ». Il peut en faire d’elle son
associé ou lui faire signer un contrat de travail pour lui assigner un statut de
salarié ou collaboratrice.
Je suis entrepreneur et j’ai une dette à l’égard d’un fournisseur de 100 000 euro.
-Est-ce que ce fournisseur peut saisir ma maison ? Est-ce qu’il peut saisir ma
résidence secondaire ? Est-ce qu’il peut saisir les biens de ma femme ?
Il y a les sociétés civiles et commerciales. Par principe elle est civile mais elle
devient commerciale si elle à un but commerciale ou par la forme.
C’est une société où les associés ne se connaissant pas vraiment et dont les
titres sont délivrés librement.
Cas pratique :
C’est deux amis (Sophie & Béatrice) qui veulent créer une société pour vendre
des gâteaux d’anniversaires pour enfants. Sophie qui a 25 ans est marier sous le
régime légale et dispose de 3.000 e prélevé sur le compte joint et Béatrice 24
ans célibataire et vas apporter 1.000 e et ordinateur évalué a 1.000 e. Elles
conviennent de partager les bénéfices en fonction de leurs apports. Elles
décident également qu’une fera les gâteaux et l’autre la promotion des gâteaux.
Est-ce que les éléments d’un contrat de société sont réunis ? Qu’elle sera le
montant du capital et sa composition ? Est-ce que Sophie doit faire une
démarche particulière pour les 3.000 e du compte joint ?
Elles sont la capacité commerciale et civile. Elles sont un consentement libre et
éclairé. La règle stimule que pour créer une société il faut au moins être 2
associés, ce qui est le cas pour Soso et Béa. Soso fait un apport numéraire de
3.000 e et Béa un apport numéraire de 1.000 e et un apport en nature d’un
ordinateur évalué à 1.000 e. Ainsi on constate qu’il y a une légère différence
entre les apports des deux futurs associés mais l’équilibre s’effectuera sur la
répartition des partages des bénéfices, ainsi elles devraient le mettre à l’écrit.
Elles sont également un objet social et une envie de collaborer. Les éléments
d’un contrat de sociétés sont réunis hormis les formalités non-mentionnés
(immatriculation RCS, etc.)
Si jamais Béa et Soso ont rédigés les statuts et Soso décide qu’elle aura 99% des
bénéfices et que Béa aura 1%. Est-ce que c’est possible et pourquoi ?
Puisque les statuts ont été rédigés, qui comprennent la part de bénéfices de
chaque associé, il faut une transformation du statut actuelle par le biais d’un
accord commun entre les deux parties afin d’éviter toute les contestations
possibles.
Il y a un principe de rétroactivité :
Si une société fait défaut, la nullité du contrat de société ne prendra effet que
pour l’avenir. A partir de cette nullité la société sera dissoute et liquidée.
La responsabilité du commerçant :
Il aura une responsabilité indéfinie même sur ces biens personnels.
Si l’entrepreneur individuel est marié, son épouse est également
contributrice aux dettes.
-responsabilité civile :
Délictuelle : une faute qui entraîne un préjudice)
Contractuelle
-responsabilité pénale :
Il faut qu’elle est commis une infraction qui peut être sanctionné par un
texte de loi.
A/ La procédure de sauvegarde :
Le débiteur doit justifier des difficultés qu’il n’est pas en mesure de
remonter . Cette procédure pour vocation de permettre à l’entreprise
ayant des difficultés de bénéficier de la suspension des poursuites.
Durant cette procédure il n’est pas dépossédé de ces prérogatives, il
restera chef d’entreprise et l’administrateur aura un rôle d’assistant. Le
mandataire aura un rôle de représenté l’intérêt collective des créanciers.
Il va inviter aux créanciers à déclarer les créances, à les vérifier.
Les comptes bancaires sont bloqués et les soldes créditeurs sont virés sur
un nouveau compte. Les issues de cette procédure sont sois un plan de
sauvegarde si on démontre des possibilités sérieuses de sauvegarde de
l’entreprise ( cessation de certaines activités de l’entreprises,supprimait
des branches de l’activités,etc.) soit on convertit cette sauvegarde en
liquidation judiciaire.
→Lien causalité