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MUMFORD - Introduction à la metaphysique

Chapitre 1: Qu’est-ce qu’une table ?


Dans la métaphysique, la notion du particulier est une idée bien importante
● Exemple: En quoi son stylo serait-il ​specifiquement​ le sien, alors que celui de son père,
c’est à lui ?
Admettons qu’il y ait une table devent soi-même. En la touchant, ou même en la voyant on peut
bien la percevoir, cette table. Or, certains affirment qu’en interagissant avec elle, on interagit
seulement ​avec ses qualités (sa texture, sa couleur, etc) et non pas la table elle-même.
● Conséquence: Il est impossible de discuter ou même d’interagir avec des objets sans
ignorer leur qualités
● Problème: Pourquoi faire autant attention à la distinction entre l’objet et ses qualités ?
○ Solution ou Réponse: Si on changeait une des qualités d’un objet (la couleur
d’untable), on admettrait toujours qu’il s’agisse de la même table. Pourtant,
quelque chose à changé
■ Conséquence: Il existe une entité indépendante des changements effectués
sur ses qualités
■ Une sorte de continuité mathématique (numerical sameness) reste
○ Problème: Que serait alors une table, si elle était désassociée de ses qualités ?
■ Solution: En considérant que ces qualités seraient dotées d’une existence
temporaire​, on pourrait les enlever pour révéler le “vrai” objet dedans. Un
substrat (La vu du substrat). Une pélotte à epingles servirait de bonne
analogie
● Problème: Si l’on avait enlevé toute propriété d’un objet, on
finirait avec tout simplement un vide. Rien.
○ Info Supp. Cette absurdité est peut être causée par la
supposition qu’un objet puisse être séparé de ses qualités
■ Solution: Et si on objet n’était qu’un ensemble de toutes ses propriétés ?
● Problème: Dans ce cas-là, l’objet se ferait toujours détruire en
changeant de qualités, vu que l’ensemble change ​forcément​ lors
que l’on en change les éléments. Comment l’objet pourrait-il
perdurer ?
○ Solution: Admettre qu’​il subsiste une continuité ​reliant
tous ses “nouveaux objets” les uns aux autres. Ainsi, le
“même objet” perdurerait mais par le biais d’une chaîne
ininterrompue d’ensembles
● Problème: Et s’il existait deux ensembles avec pile les MÊMES
éléments? Seraient-ils le “même” objet ?
○ Solution: Prendre en compte la probabilité qu’il y ait de
petites différences (soit de taille, d’âge, de qualité etc)
■ Prob: Ca dépend trop de la chance
○ Solution: Prendre en compte les différences
spatio-temporelles
■ Ainsi, vu que qu’il est impossible que deux objets
occupent la même place ​en même temps ​, tout
objet serait forcément différent
■ Problème: En admettant cela, soit ses différences
spatio-temporelles ​sont elle-même des
particulières (retour à la notion de substrat en
cas de différence spatio-temporelle absolue)​ ou
soit​ la symétrie ferait disparaître toute
“différence” engendrée par la position
spatio-temporelle rélative
○ Solution: Rendre “unique” ou partculière les qualités de
chaque ensemble de propriété, ainsi les objets n’auraient
plus les “mêmes” qualités
■ Problèmes: Et c’est ainsi que l’on en revient sur le
sujet des particuliers
■ Avantages: Une simplification de la perception d’un objet.
● En effet il n’y aurait non plus de “relation” entre deux entités
(l’objet et ses propriétés) mais l’objet lui-même ne consistant qu’à
cet ensemble.
● Le substrat se retrouve avec beaucoup plus d’importance. Il existe
de manière perceptible grâce à l’ensemble
○ Ce que l’on tire de ce débat: La particularité est une qualité irrefutable en matière
de métaphysique, bien qu’on la connaisse pas encore de façon parfaite
Chapitre 2: Qu’est-ce qu’un cercle ?
● Examinons de plus près la circularité ou la rondeur d’un cercle
● Constat: S’agissant d’une propriété, elle se trouve dans tout cercle, ​bien que
chaque cercle soit une chose à part entière, existant chacun dans un seul unique
instant spatio-temporelle​; cette rondeur se trouve partout
○ Exemple: Son ballon c’est son propre ballon. Or, celui d’un copain
consiste à tout un autre objet, existant indépendamment de l’existence du
sien (ce qui renvoie ​au sujet de la particularité énoncé plus haut​)
○ Celui qui passe par plusieurs
○ Conclusion: Il existe un rapport spécial entre les objets particuliers et leur
qualités, bien que celle-ci existent indépendamment de ceux-là
○ Problème: Supposons que l’on détruise tout objet rond existant dans
l’univers. Ainsi la rondeur en tant que telle n’existerait-elle plus ?
■ Solution: Les formes platoniques. Les qualités telles qu’on les
perçoivent ne sont qu’une représentation des “vraies” qualités dites
parfaites existant dans un autre plan d’existence qui est séparé du
nôtre (Un paradis platonique)
● Ainsi en est-il aussi pour les ​relations
● Avantage: Le charme d’une échappatoire à notre monde
banale
● Consequence: Tout objet que l’on perçoit serait moin “réel”
au niveau de leur qualités que ce qui existe dans ce paradis
platonique. Cependant, grâce à notre intelligence on à pu
déduire l’existence de celui-ci
● Problème: Vu la séparation entre notre monde et celui des
formes platoniques, comment celles-ci pourraiet-elles
entretenir une relation avec leurs homologues dits moins
parfaits ? Un tel rapport existe-t-il vraiment ?
○ En s’appuyant sur la semblance, on implique
l’existence d’une relation entre les objets se
ressemblant . Pourtant, ​une relation c’est aussi une
propriété​, donc il en subsisterait une version parfaite
dans cet autre monde séparé. Donc pour expliquer
l’utilité d’une relation dans notre monde, ​il faudrait
encore recourir au paradis platonique, trouver
une autre ressemblance, et ainsi de suite
■ Autrement dit, on tombe dans le piège de la
régression infinie
○ Solution: Le ​nominalisme​. On rend tout objet
particulier, ainsi toute chose est vraie sans aucune
connerie de relation
○ Quant aux propritétés, ​elle ne serviraient plus que
de noms désignant​ un group d’objets étant réunis
par une même qualité ​(pourquoi que tout soit
particulier c’est important ? Les objets sont ils
menacé de devenir le même objet à condition
d’avoir les même qualité) ce vaut dire plus de
qualité ? Car ce sont que des noms
■ Problème: Ainsi en reliant tout groupe
d’objet par le biais d’une qualité commune,
on établit la possibilité de les relier par une
AUTRE qualité commune
● En bref, on se retourne vers les
qualités, plus de particuliers
■ Problème: On se sert encore de la similitude
entre objets pour les classer dans le cadre du
nominalisme, autrement dit une ​relation, pas
bien car on fait appel ​à un universel (en
quoi c’est pas une bonne idée)
■ Autrement, tout objet ou relation étant
particulier, la similitude entre ceci et cela
pouraait elle vraimment être conidérée
comme celle entre deux autres objets ? Ainsi
ces deux ressemlbnances se ressemble, et on
retomble dans le piege de la régression
infinie
○ Autre solution: L’autre nominalisme: les ​qualités
sont particulière, ce rouge ci est un rouge à part
entière
■ Et s’il y avait plusiseurs rouges ? comment
les relier ? La ressemblance ne marche point
comme l’a montré notre effort plus haut.
■ En quoi ce rouge c’est ​rouge? si​ l’on
acceptait ainsi on en revient sur la notion
des qualité réeles, donc les qualités ne sont
plus particulières. On fait demi tour quoi
● Autre solution au probème du platnoisme et du
nominliasme: La vu aristotelienne
● Plus de formes parfaites, les propriétés n’existe qu’en
forme terresttre. C’est le seul moyen dont elles puissent
exister en tant que telle
○ Et si l’on détruisait tout ce qui porte ces qualitées?
■ Prendre en compte tout instant temporel,
ainsi toute qualité exsiterait de toute façon
dans un quelconque instant temporel,
malgré la déstruction de ses objets porteur
○ Conlusion: On peut considerer les propriété et les
relations comme étant terrestre, il faut plus de
travail
● Penchons-nous maintenant sur les relations
● Constat: Le “fonctionnement” d’une relation demeure le même ou qu’elle se
trouve
○ Exemple: Le fait que Jean soit “plus haut” que Louis se fait de la même
façon dont Louis est “plus haut” que Marie. En effet, le fait d’être “plus
haut” que qui que ce soit ne change point à travers les entités concernées
Chapitre 3: La somme est-elle plus que l’ensemble de ses composantes ?
Deux cas à prendre en compte en se penchant sur cette question
● Les ensembles aggrégés
○ Ce sont les qualités des composantes qui font celles de la somme
○ La qualité de la somme est dérivée de celle de ses composantes
○ La qualité que n’ont pas les composantes est toutefois dérivée de celles-ci, elle s’y
trouve ​dans une moindre mésure
○ Tas de pierres
○ Pas protégés des pertes d’identité en cas de changement de qualité (un aggrégé de
X + Y ce n’est pas le même aggrégé de X + Z) (pcq toute qualité dite spéciale de
la somme est basé en quelque sorte sur l’ensemble des composantes)
● Et les ensembles intégrés
○ La qualité dont est dotée la ‘somme” ne se trouve guère dans ses composantes
■ Manque de bonne analogie entre les capacités des éléments et celles de
leur somme
■ La qualité spéciale de la somme ne se trouve dans aucune autre mésure
dans les composantes
■ Protégés de perte potentielle d’identité à cause des changements de qualité
vu l’absence de la qualité spéciale dans les composantes
● Plus sur les ensembles intégrés
○ Leur qualité spéciale dépend entièrement de la localisation de chque composante
(portable)​ ???
○ En revanche, il y a des qualités ne provenant que de la somme et non pas de ses
composantes
■ La vie, la conscience
● Les deux école de la pensée sur ce problème
○ Les réductionisme
■ Les composantes arriveront toujours à expliquer le fonctoinnement de la
somme
○ Les emergentistes ???
■ Bien que l’on puise savoir ​en quoi​ ces composantes constituent la qualité
transcendente, on ne pourrait étudier celle-ci qu​’en la connaissant ou
en la percevant,​ d’ou sa valeur spéciale
● Quelle action menerait-elle à la vérité ? Expliquer comment
l’Homme orgasme, ou vivre une telle experience personellement ?
Est-il question d’hormones ou d’experience personelle ?
■ Cependant, certains croient qu’il ne faut que ​savoir​ la qualité
transcendantes afin de la découvrir
○ Le totalisme
■ C’est la totalité qui prend le dessus ou bien le contrôle de l’ensemble
● L’organisme contrairement (est perçu comme etant plus
important) à son ADN, organisme contribuant à la survi de ses
propres gènes
Chapitre 4: Les changements
En ne se focalisant que sur les objets physique, l’on risque d’ignorer les évènements, bien que
ceux-ci existent de la même façon que les objets, donc il faut les étudier

Mais qu’est qu’un évènement alors ? Tout ayant un rapport avec le changement. Donc un
évènement c’est ce qui apport” un changement ? Mais si un évènement se composait de plusieurs
changements ?
● Ainsi il s’agirait d’un processus, dont l’ordre est bien important, car sinon le
processus serait différent
En traitant deux objets comme si ceux ci étaient le même objet, ils ne porterait pas la même
identité, mais ils deviennent tous deux le MEME objet identique,
● Ainsi, l’identité n’est pas une relation (ces deux ballons-là sont les mpeme), mais
une entité singulière
● Or, une relation est définie par le rapport entre deux identités
Selon Aristotre, tout changement est doté d’un sujet à changer
● Problème potentiel, dans le des changements à grande échelle, quel est ​vraiment
le sujet en question ?
● En cas de plusieurs changements en un moment, qu’est ce que le changement
dans ce cas là ? Le grand changement en englobant les autres ou les petits
changements eux-mêmes ?
○ Le fait d’identifier qu’est ce qui est à changer est ainsi bien difficile, basé
sur la philosophie plutôt qu’une science exacte
● Solution​: considerer plusiseurs types de changements,
○ L’obtention ou la perte d’une propriéte
○ Un changement au sein d’une propriété
○ L’entrée et la sortie de l’existence d’un objet
■ La cession de l’existence d’un objet, bien que ses composants
puissent former un autre objet tout en existant toujours
● En effet c’est ​l’objet q​ ui subit ce changement et non pas ses
propriétés
● Exemple: Une voiture qui se fait détruire pour en recycler
les composants
○ Souci : L’obtention et le changement d’une propriété pourraient-ils se faire
percevoir de la même façon ?
■ En changeant de couleur, la tomate perde-t-elle une couleur ? Ou
est que c’est que c’est celle-ci qui change au lieu de se perdre ?
● Problème présenté par cette solution - l’inclusion du temporel
○ Il y a une forte analogie entre le temps et l’espace, par consequent, tout
objet ne possède-t-il pas de qualités temporelles en plus de ses qualités
spatiales ?
● Réponse: oui, et ca se fait au profit de certaines écoles de la pensée cargrâce à la
notion de parties temporelles, on peut constater que certains objets pourrait
posséder des qualités contradictoires car ce sont leur différents aspects
temporelles qui les possdèdent
○ Une tomate pourrait être rouge et verte car ce sont ses versions
temporelles qui portent chacune de ses couleurs
■ Ces version temporelles servent d’instance de l’objet; plusieurs
instances plusieurs qualités
○ En effet, en prenant en compte l’existence temporelle d’un objet, on
pourrait ainsi lui accorder des qualités contradictoires grâce à la différence
d’existence résultant des changements faits à travers le temps
○ Soutien: Si on écartait cette théorie, comment expliquer les propriétes
incompatibles (selon la théorie aristotelienne) ?
■ Solution possible ; relier les qualités au temps (les endurantistes)
● Problème: ainsi ses qualités verraient leur existence se
répose non pas sur l’objet les possédant mais le temps . Le
particulier n’aurait plus aucune importance
○ Soutien: En revanche, les perudrantistes affirment que de différents objet
commence à exister à chaque instant temporelle, permettant la possession
des qualités incompatibles au fil du temps
■ Problème: Ainsi y aurait plus aucun changement vu que ces
instances temporelles ne changent point, ils ne font que naître avec
ces nouvelles qualités
■ Y n’aurait plus que des debuts et des fins d’existence
■ Y aurait plus non plus d’objets qui perdurent
● Solution: faut construire des objets singuliers à partir de ces
enchaînements de parties temporelles
○ Il faudrait d’abord leur ordre temporelle comme
relation
● Problèemes: ainsi ce monde ne serait qu’une chaine de
changements rude; sans que l’on les voie ces changements
○ Solution: considérer un objet comme l’ensemble de
ses changements alors que l’objet reste le même,
étant plus que ces changements
○ Consequence: Toute notion de changement au sein d’un objet tant que ces
changements restent des phénomèenes à part entières serait abolie car
celle-là serait considérées comme un enchaînement rapide de différents
objets, chacun portait des qualités différentes
Chapitre 10: Qu’est-ce que la métaphysique ?

La métaphysique mis-en-parallel avec la science:


● Certes, les deux domaines cherchent à établir des constats ou des vérité générales, mais…
● ..alors que la métaphysique cherchent à classer les différents genres de particuliers (objet,
qualité, relation, changement etc)
● ..​.la science qui précise davantage les propriétés ou la nature des particuliers se trouvant
dans ces catégories
● Certes, les deux domaines traitent le même sujet (notre monde et notre réalité), mais…
● ...​alors que la science (la physique plus précisément) s’appuye sur l’observation et
l’interprétation des données conrètes pour en déduire des constats our des conclusion…
● ....la métaphysique dépend totalement sur le raisonnement intellectuel, sans aucun recours
à des observations concrètes de la réalité
○ En effet, notre observation ne s’apercevrait de rien de différent si un objet n’était
qu’un pique-aigue de ses propriété plutôt qu’un objet à part entier
■ Alors que la science aurait beau remarquer ce changement d’être
○ Problème: Ainsi, selon les philosophes empiricists, La métaphysique n’est basée
sur rien de valable vu qu’il n’y a ​aucune expérience concrète sur laquelle
puisse s’appuyer le métaphysicisite.​ Car en effet, l’experience c’est le fond de
tout constat ayant du sens
■ Solution: Traiter la métaphysique non pas comme un moyen d’expliquer
comment marche le monde, mais plutôt comme un moyen de voir
comment les humains ​comprennent​ comment marche le monde
● Problème: Ainsi, certes il serait plus facile de la défendre, mais ce
que l’on défend, s’agirait-il encore de la métaphysique ? N’est-ce
pas autre chose ? Mais c’est facile oui
● On étudie non plus comment le monde marche mais la
compréhension de l’Homme dessus !
○ Donc au final, la métaphyisique sert elle à qq chose ? A-t-elle du sens ?
En défense de la métaphysique
● Alors que la science dépend principalement de ce qui peut être observé...
● La métaphysique est encore valide parce qu’elle s’occupe de traiter la réalité de façon
non-observable
○ Certes, on commence toujours par ses sens dans le science ainsi que dans la
métaphysique, mais la plupart du travail se fait avec le raisonnement
■ La mis en cause et la défense des théories, reprochant à une théorie son
absurdité, etc.
● Or, pour les métaphyscisicts il est question de cohérence avec la
théorie elle-même ou avec d’autres théorie, alors qu’en science il
est question de cohérence avec les données à sa disposition
■ L’acceptance de laisser résoudre d’autres problèmes à ses cadets se fait
également dans la science et dans la métaphysiqe
● Problème: Et si plusieurs théories métaphysiques se recouperaient ? Laquelle choisir ? il
n’y aurait de preuves concrètes pour aucune d’elles !
○ Solution: Le même problème existe dans les sciences, alors il serait illogique
d’imposer de telle contraintes à la métaphysique
○ Certes la vérité est difficile à trouver, mais au moins ca vaut le coup d’étudier des
théories qui pourraient être complètement réfutées par la suite.
● Pourraient-elles se recouperer ? La science et la métaphysique ?
○ Oui une telle cohérence existe en étudiant la rélativité, mais on pourrait toujours
revisiter les théorie métaphysique pour les rendre plus ​concrètes en plus de leur
nature abstraite
■ Elles sont dejà abstraites, les rendre complètes conviendrait aussi
○ Oui, car du côté des théories élaborées, ces deux domaines se penchent sur
l’important ne pas trop assumer tout en expliquant les phénomène du sujet qu’ils
traitent
■ Expliquer sans assumer
■ C’est juste que quant à la métaphysique, elle abstrait ce dont elle se sert
pour expliquer à partir des observations, alors la science travail
directement avec ces observations
● En effet la métaphysique sur penche sur la généralité, dont
l’abstrait sert de base
Enfin, la métaphysique est ce que c’est utile ?
● Oui car elle nous permet de faire la différence entre la correlation et la causation
(voir le chapitre portant sur la causalité)
● Sinon, au moins elle nous permet de mieux comprendre la réalilté, ce qui n’est pas
un but “utile” en soi, mais reste une fin honorable pour ceux qui cherchent à
comprendre le monde
Pourquoi méta ?
● Méta ça veut dire “​au dessus de”​ , donc la ​métaphysique ​c’est ce qui se trouve ​au dessus
de la réalité​ au niveau de​ la généralité traitée

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