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A l’époque, la notion de la culture n’avait pas lieu, ou n’en fait pas partie des connaissances

humaines. Ce n’est qu’au 16e siècle, que la culture est apparue, comme étant un exercice d’esprit et
de manières. Cependant, le mot « culture », jusqu’en 1691, n’a jamais été introduit sans
complément, on rencontrait souvent : culture des sciences, culture des traditions… Il n’a jamais été
utile au sens d’une construction de l’esprit individuel, qu’avec la Bruyère.

Plusieurs théories se sont développées, dès lors, suite à la définition de la culture. Une des théories
qui a marqué cette époque, est celle de Pufendorf, et qui repose sur l’idée que la culture permet de
construire l’humanité à travers nos découvertes, nos efforts, ainsi que nos inspirations.

Comme nous pouvons le constater, que la culture au 17e siècle, a connu une évolution progressive,
dont trois pays qui en avaient participé ; l’Angleterre, l’Allemagne, La France, à travers des élans qui
disposaient d’une capacité intellectuelle assez mûre, pour pouvoir donner une explication et une
décortication exactes de la culture, et plus précisément la culture de l’esprit. En fait, on s’est arrivé à
la déterminer comme étant un art particulier qui enseigne à cultiver et à perfectionner toutes les
parties de l’esprit humain. Or, d’après Isaac Watts, il existe cinq moyens de cultiver l’esprit de l’être
humain : l’observation, la lecture, l’instruction des maitres, les conférences et les méditations. C’est
alors, que la notion de « civilisation », commença à susciter en parallèle avec la notion de la culture,
le fait qu’à provoquer l’attention de plusieurs écrivains et historiens, on commença donc à d’autres
définitions pour la culture individuelle. Par suite, on conclut, selon Tylor ; l’initiateur de la conception
moderne, que chaque élément de la société dispose d’une culture formée de plusieurs parties telles
que langage, rite, pratique animiste…, et lors de la confrontation entre la culture de chaque élément,
cela implique une influence spontanée inconsciente, et parfois consciente, ainsi l’ensemble des
cultures, est nommée « cultures » au pluriel. L’avance rapide de l’anthropologie qui est la science des
cultures, a été un préambule qu’avait introduit la culture dans les domaines économiques, politiques,
dans les sciences humaines, et qu’avait accrue le débat sur la culture et les cultures. Ainsi, plusieurs
déterminations se sont établies, au niveau de la notion culture :

_ Les cultures sont des universaux formels, c.à.d. une qualification des individus par
plusieurs éléments vitaux (race, sexe, sang…).

_ Le passage du stade créatif de la culture à celui de la réflexion nommée « civilisation ».

Nous constatons, d’après ces déterminations, que la civilisation va de paire avec la culture,
dans un sens opposé, mais il y en a d’autres historiens de l’Italie et de l’Espagne, qui ont estimés qu’il
y a une relation entre la culture et la civilisation. Parmi les citations qui révèlent cette relation :

_ La civilisation est la matière qui contient des éléments de la culture.

_ La culture est une ascension vers les civilisations.

Une autre controverse ardente se rapporte à la relation entre la culture et intellectuel. Ce dernier
a été plus utilisé, ce n’est qu’entre 1934 et 1940, que le mot culture a eu lieu dans les encyclopédies
britanniques, et a pris une dimension moderne en France, et a même devenu synonyme de
civilisation. Et ce n’est que vers la fin du 20e siècle, que la culture s’étend à d’autres valeurs, hors
l’intellectualité et la littérature.
Or, les révolutions culturelles de types : politiques, juridiques, scientifiques, et économiques,
ont affectés aux aspects traditionnels de la culture, un caractère démodé. Ainsi, la politisation de la
culture représentait un risque de révolution, qui a permet, alors, de créer un ministère des affaires
culturelles, d’assurer que l’Etat n’empiéterait pas sur les droits de l’Homme, et ainsi sur son objectif
basé sur la création de « Maisons de la culture », au niveau desquelles, il va exposer la véritable
politique de la culture. La révolution culturelle politique, détient aussi une dimension internationale,
c.à.d, on commence à considérer les cultures comme étant des superstructures, permettant de
joindre les rapports économiques aux divers époques et atmosphères. Et pour pouvoir établir des
relations économiques entre les pays du monde, il faut tout d’abords maitriser la culture de chaque
pays, en ayant recours, si nécessaire, aux médias. Cette modération sur les autres cultures du
monde, représente un bien pour l’humanité, et c’est ainsi que s’est engendré le terme « culture
humaine ».

Au sens juridique, la culture est devenue un droit de l’Homme, qui complète les connaissances
instruites au niveau des établissements d’éducation. Ainsi, l’homme a le droit de prendre part
librement à la vie culturelle de la communauté, il s’agit d’un droit collectif.

La culture a aussi connu une révolution culturelle, au sens scientifique et technologique. L’essor
progressif des technologies, a apporté des modifications sur le concept du mot culture. Les médias
sont, désormais, des moyens de communication entre les masses, mais, comme nous l’avons déjà
cité, ils submergent les aspects traditionnelles de la culture (tels que l’enseignement classique). Ainsi,
les médias représentent une modalité d’ouverture entre les masses, pour exposer leurs cultures. Cela
ressemble à ce que la politisation avait comme dessein, au niveau de la culture humaine, mais avec
plus de progrès technique, concernant ce qu’on appelle l’âge de l’après-télévision.

Une nouvelle révolution culturelle s’est engendrée, suite à l’influence des médias sur les
masses, et le fait de las exploiter an niveau économique, c’est la quatrième révolution nommée
économique, qu’a débouchée sur la création des industries culturelles qui répondent aux besoins des
nouvelles sociétés, et qui s’adressent aux gens à travers les médias, ce qu’on appelle la culture
médiatisée, dont nous devons prendre des précautions face à son influence qui s’impose. On parle
ainsi de la démocratisation de la culture, c.à.d. la culture pour tous ne doit pas être opposée à la
culture pour chacun. De même, les médias ont créé des débats assez ardents, au niveau de la culture
et des masses, et on s’est arrivé à définir les masses comme étant des ensembles d’individus, ayant
des dimensions, des crédulités, qui les rendent réceptifs à la culture diffusé au niveau des médias.
Culture partagée

1. Les préalables de la culture

La culture peut être personnelle, comme elle peut être partagée. Lorsqu’on la qualifie de
personnelle, c.à.d. qu’elle prend l’homme tout entier. Mais, lorsqu’on la qualifie de partagée, c’est
toujours entre une masse.

Les modes de vie d’une catégorie de personnes constituent la culture au premier degré. Or, la
culture personnelle, se situent au deuxième degré, constitue un enrichissement d’esprit individuel.
Au niveau de la culture moderne, la culture émanant d’une nation, d’une communauté, d’une région,
se qualifie d’un plan géographique. C’est ainsi que s’observe la diversité de la notion de culture
individuelle, d’in pays à un autre.

Selon un ordre chronologique, on relève cinq termes, cinq aspects partiels de la culture, ce sont,
en fait, des préalables de la culture. En premier stade, se situe le savoir (un emmagasinement par
esprit des idées et des faits), suivi du mot, les connaissances (toujours au pluriel), l’érudition sur une
voie parallèle, et puis l’instruction privée, qui s’est évoluée progressivement pour être inculquer aux
citoyens officiellement et gratuitement, ce qu’a fait appel à l’éducation nationale, et puis en dernier
stade la formation.

A travers l’histoire humaine, l’état naturel a cédé la place à l’état de la société. Mais, l’homme est
attaché souvent à ce que l’environnement octroie. C.à.d. que toute culture individuelle a, comme
essence, un climat qui comporte essentiellement : la liberté et la disponibilité, l’hérédité sociale, et
l’environnement.

En ce qui concerne la liberté et la disponibilité, l’homme se trouve souvent indisponible pour


pouvoir consacrer un temps à la culture ; soit par ce qu’au niveau de sa société de consommation, et
plus précisément au niveau de l’endroit où il exerce son métier, la plus grande partie est consacrée
aux servitudes de sa profession, et donc il y a un décalage entre son temps et celui des loisirs, soit, à
cause de l’influence des médias.

En ce qui concerne l’hérédité, cette dernière est double. On distingue l’hérédité biologique, qui
procure des facultés se trouvant essentiellement chez les adolescents, telles que l’intelligence, la
volonté, la mémoire, la résistance physique…., et l’hérédité sociale, où les cultures retrouvent leur
place, en allant à la rencontre d’une seule culture, et dont le problème est celui de la transmission de
la culture. Parmi ses facteurs, il y a la langue, c.à.d. la possession d’une langue de culture, il y a ainsi
la famille, qui est l’environnement, au sein de laquelle, l’adolescent apprend à raisonner ses facultés
afin d’atteindre le palier de la culture.

Nous parlons aussi du rapport entre la religion et la culture, dont l’influence religieuse sur
l’instruction d’un enfant représente un effet primordial et déterminant. Renan affirme que : « la
culture est la religion la plus parfaite ». Ainsi, on ne peut admettre qu’un homme soit cultivé, que s’il
dispose d’une certaine morale ou éthique.

En ce qi concerne l’environnement physique, il joue un rôle essentiel dans la construction


culturelle de l’individu, et c’est en allant du plus petiot cadre géographique au plus énorme cadre, qui
lui permet d’élargir ses idées.
Donc nous parlons du climat, nous parlons donc d’un cadre naturel qui est plus présent dans la
nature humaine, que le cadre sociale qui passe plutôt presque inaperçu.

2. Culture objective/ culture subjective :

La culture, suite aux préalables nécessaires que nous venons de décortiquer, constitue deux
catégories d’éléments, qui font d’elle la vraie culture que l’homme peut acquérir.

Il ya des éléments objectives, dites aussi quantitatives, qui forment la culture personnelle de
l’individu, et d’autres dites subjectives, qualitatives qui identifient l’homme en soi.

La culture personnelle était souvent qualifiée de culture générale, parce qu’elle s’intéressait à
l’ampleur de l’apport social dans la vie personnelle d’un être humain, alors qu’aujourd’hui nous
donnons plus d’importance à la culture physique, qui fait partie de notre culture générale, et sui doit
être associée à la culture de l’esprit.

Le contenu, le degré, et l’étendue sont des valeurs qui permettent de mesurer la culture d’un
homme. Ainsi, un joueur, est considéré, comme étant un homme cultivé, que si sa science n’est pas
limitée aux échecs, la cuisine raffinée est une façon d’expression culturelle… Nous pouvons dire que
la culture contient des objets variables. Elle peut être une culture globale qui emmagasine ce don t
l’être humain a appris de son métier et de son éducation. Elle peut, aussi, un ensemble d’éléments
étrangers à son essence (ni politique, ni économique, ni religieux). D’un autre côté, la culture
personnelle doit, en fait, se libérer de tout ce qui est d’usage individuel, puis de tout ce que le monde
matériel est infrahumain, ainsi elle ne doit pas être un marché car la culture nécessite une
participation, pas une vente .

Les connaissances constituent une référence essentielle qui expose le degré de culture d’un
homme. Par ceci, on distingue la haute culture, et la culture de base. Nous comprenons de la
première, une culture d’élite, où toutes choses ont leur part, et où se fait la part des choses. La
seconde est une culture élémentaire, des connaissances qui donnent les moyens de vivre à un être
humain. Et entre les deux types de cultures, se situent les cultures intermédiaires, qui permettent de
faire honnêtement figure, c'est-à-dire que la culture de l’homme n’est reconnue que par un diplôme
ou un certificat… Et donc, l’homme cultivé est celui qui se sent capable de pérorer, de discourir dans
un objet, aisément. Et comme dit Pascal : « il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout, que
de savoir tout d’une chose ».

Or, à quelle mesure peut s’étendre les connaissances de l’être humain ? La culture générale est
une culture qui s’oppose aux cultures particulières, puisque c’est un ensemble équilibré de
connaissances dans les principaux domaines du savoir, et qu’un scientifique, un artiste, un politique,
un économiste, est obligé de retenir pour prouvé vraiment qu’il est un homme cultivé( honnête
homme, dit jadis).
C’est, justement, parce que ces cultures partielles ne sont pas des cultures. Ainsi la culture
générale exige une satisfaction des besoins de l’homme à chaque époque, puisque ses composants
varient aussi. Autrement dit la multiplication des connaissances conduit à une mise à jour de la
culture individuelle.

Nous réputons de la culture objective, de ses éléments (contenu, degré, étendue) de mesure,
qu’elle permet de fixer les connaissances de l’être humain, ainsi qu’une actualité permanente de ses
informations.

L’aspect qualitatif de la culture, subjectif, détermine l’homme par rapport à ses semblables, et
distingue deux esprits, l’un se référant à la culture personnelle, et l’autre à la culture
communautaire. Il détermine ainsi le mode de vie de l’individu. Ainsi, les préalables de la culture, ses
objets, l’hérédité, la liberté, la culture générale, ne sont que des notions, si la qualité d’esprit ne vient
pas les analyser. Autrement dit, l’homme doit entraîner ses facultés d’une façon décisive, pour se
dépasser.

Et pour manifester la qualité de la culture, deux méthodes qui s’en occupent. La première est une
action de l’homme tournée sur soi-même, vers l’exercice de ses facultés, la deuxième tournée vers le
monde extérieur, la participation à la vie sociale.

L’esprit critique joue un rôle fondamental dans la culture, car il permet d’ordonner les
connaissances, et les facultés de l’esprit, qui ne peuvent se limiter à la froideur de l’intellectualité, ce
qui signifie pour autant, que l’esprit est une sensibilité, ce qui implique encore, un contrôle très
sévère à l’égard des connaissances émanant des médias. L’esprit est ainsi un caractère, c'est-à-dire
une volonté, un effort, un effort intelligent émanant des recherches au niveau des techniques
classiques de l’apprentissage, et non des médias qui ne servent qu’à compléter ou suppléer, ou
faciliter l’accès à la culture. Et par là parvienne l’ampleur de l’intelligence qui conserve l’esprit cultivé
au niveau de la pensée individuelle, et sur lequel le travail de l’enfant doit se baser beaucoup plus
que l’entraînement de la mémoire. Mais, il ne faut pas oublier l’importance de la mémoire, puisque
l’homme cultivé, ayant des connaissances approfondies, doit certainement accorder une bonne
partie à la mémoire. L’esprit est ainsi une sensibilité. Nous pouvons conclure que la qualité de la
culture en soi se concrétise par la présence d’un esprit critique une intelligence, un caractère, ainsi
qu’une sensibilité.

Il n’ya pas de culture individuelle atteinte hors de la société. L’homme ne peut pas vivre seul,
lorsqu’il s’interactive avec le monde extérieur, il atteint alors sa créativité. La culture exige
notamment une participation, c'est-à-dire une solidarité humaine. Or, de nos jours, la culture se
partage au niveau des médias, ce n’est plus les rencontres naturelle d’une collectivité. Ainsi la culture
partagée revêt deux formes, une « populaire » et l’autre «des masses ».

La culture populaire, urbaine ou rurale, est une culture ancienne qui crée une croissance colossale
au niveau du secteur touristique, vu qu’elle permet de revenir aux sources, pour donner une valeur à
l’héritage que nous avons abandonné, et qui sera, par suite, transmis entre l’ensemble des individus
d’une population, sans devoir se déplacer.

Or, la culture des masses, n’est pas créatrice, elle transmet les connaissances des porteurs de
culture, qui sont, essentiellement, le peuple, et les éléments les plus marquants d’une nation ou d’un
pays …, et qui n’offrent que des substituts de culture émanant, des aspirations incontrôlées. Le
préalable de la culture des masses est l’éducation, soit par les médias, soit par les manifestations.En
définitive, la culture sans les autres est impossible !!!

Culture entre science et technologie

1. Science et culture

La science et la technologie abordent des débats concernant leur relation avec le concept de la
culture.

La science est un effort qui restitue des explications logiques et compréhensible qui satisfaient
l’esprit individuel culturel en ce qui concerne la nature. Et donc la science n’est nullement séparée de
la culture, comme le pensaient les Grecs. Cependant, à partir de la Renaissance, on commença à
penser que l’humanité, et les sciences sont indispensables à la culture. Ainsi, les sciences ont
rencontrés des fortes résistances de la part de la littérature, pour qu’elles soient enfin intégrées dans
la culture. L’homme, en fait n’a pas besoin seulement des connaissances émanant de la science, mais
il est porté également à décorer sa vie, à enrichir son esprit, par des bénéfices que lui procurent la
littérature.

Aucun pays, ne semble aller au-delà de son développement, que si le mot culture englobe la
science. La science, aujourd’hui, est impersonnelle, elle exige un travail en équipe pour se renforcer,
et afin de séduire les esprits modernes. Elle comporte ainsi un hermétisme, elle est devenu moins
communicable, or la culture personnelle exige le partage des connaissances avec le monde
extérieur, ce qui implique que les savants ne doivent pas exposer leurs connaissances d’une langue
absconse, pour que le public puisse les comprendre. En outre, l’accélération des connaissances dans
un tel désordre, rend l’esprit culturel de l’homme mal organisé.

De plus, un chercheur qui est condamné à une spécialisation quelle conque, n’est pas un homme
cultivé, à moins qu’il ne soit libre, et qu’il ne tient compte de ce qui se passe à l’extérieur. De même,
les sciences sont caractérisées par leur capacité d’annoncer les chocs de l’avenir, la culture, ainsi a
tendance à s’intéresser aux futures civilisations, même les cultures littéraires ne se renouvellent que
grâce aux nouveautés qu’apportent les sciences. Mais l’idéal de tout cela c’est de réaliser un
équilibre de la culture personnelle.

2. technologie et culture

La technique, en tant que moyen de perfectionnement, et utilité pratique, passionne le public


plus que les sciences. Elle révèle les recherches des savants, qui demeurent cachés au public. La
technologie, donc, donne une visibilité, assez claire possible, à la science.

Les rapports entre la technologie et la culture, ne sont devenues incompatibles qu’après un


discours historique, dont les grecs, les romains, ainsi les hommes du Moyen Age n’en avaient pas été
essentielles, ils prétendent que la technologie n’apporte rien de si confortable à l’esprit humain. Or,
on a reconnu l’importance de la technologie qu’à la Renaissance, alors qu’aujourd’hui, l’homme ne
peut vivre indépendamment de la technologie.

Ainsi, une distinction se fait au niveau de la technologie et le technicien. La première, représente


une expression des arts, or le second perfectionne sa profession en se basant sur la première. De
plus, les éléments quantitatifs et qualitatifs, ainsi que les loisirs ne sont pas séparés de la technologie.

Des conditions s’imposent à l’homme, pour que la technologie soit un moyen de culture. Parmi
ces conditions, la disponibilité, le fait de libérer l’homme de certaines taches, afin qu’il puisse tirer un
profit des loisirs, en ayant recours à une évolution de ses capacités naturelles par des techniques. Ce
qui signifie, que les médias exercent une certaine influence sue la culture moderne de l’individu. De
plus, les échanges culturels des réalisations de la technologie, ont une importance sur le plan
international. Plus que cela, les médias sont allés à transmettre aux générations précédentes les
aspects de la culture.

A l’égard de l’évolution des médias et son influence culturelle, il faudrait absolument prendre des
précautions grâce à un code moral minimal, car les médias encouragent une culture passive à
l’individu, alors que la culture doit être dynamique. Ce qui exige, que l’homme doit choisir ce qui
convient à son développement, et non ce que les autres lui proposent, par des motifs à savoir, son
hérédité sociale son éduction, son environnement, son climat, sa volonté, son effet, mais sans
négliger, bien évidemment, l’ampleur des réalisations technologiques.

« La culture, c’est ce qui reste quand on a tout oublié. » Émile Henriot (1889-1961)

"Ce qui fait que les bêtes ne parlent point comme nous est qu’elles n’ont aucune pensée et
culture." René Descartes (1596-1650)

« Une civilisation sans culture fait des sociétés sans pédagogie. » Louis Powels

« Sans culture, l'esprit s'use et perd son ressort : Une vie imbécile est semblable à la mort. »
Publilus Syrus

« Toute prédisposition à recevoir la culture est en soi culture. » Robert Sabatier

« La culture ne nous enseigne pas l'homme, elle nous enseigne tout modestement l'homme
cultivé. » André Malraux

« La culture ne s'hérite pas, elle se conquiert. » André malraux

Toute culture qui s'universalise perd sa singularité et se meurt" - F. Baudrillard

"(...) la culture générale, c'est ce qui permet à l'individu de sentir pleinement sa solidarité avec les
autres hommes, dans l'espace et dans le temps, avec ceux de sa génération comme avec les
générations qui l'ont précédé et avec celles qui le suivront" P Langevin

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