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L’analyse économique des échanges internationaux

Chapitre 2

Robert Reich met en avant un paradoxe. Il y a rejet des produits étrangers en tant que travailleur.
Or il y a demande de produits étrangers (moins cher) en tant que consommateur.
 Ils sont perdants en tant que travailleurs

A. Les analyses théoriques du commerce international

David Hume est le premier a aborder le commerce international : pour lui c’est « un jeu à somme
positive ». C’est-à-dire que tout le monde est gagnant à commercer.

a) Du mercantilisme à sa remise en cause par A. Smith


Les mercantilistes pensent le commerce international comme « jeu à somme nulle ». Ils disent que si
un pays gagne, l’autre perd. Si on achète quelque chose aux anglais, ils ont gagné.
On a 3 grand courants mercantilistes aux 16ème et 17ème siècles :
- Courant espagnol (bullionisme) : la richesse repose sur l’or.
- Courant anglais : recherche d’excédent commercial. Exporter plus que ce qu’on importe.
- Courant français : A travers Colbert, ils disent qu’il faut de l’industrialisme et des
manufactures.
Or, on sait que la quantité d’or ne fait pas la richesse. L’arrivée massive d’or en Espagne a provoqué
l’inflation.
Excèdent du commerce extérieur  Entrée nette d’or  Accroissement de la masse monétaire 
Inflation intérieur  Hausse des importations et baisse des exportations (trop cher)  Résorption de
l’excédent. C’est ce que Cantillon et Hume appellent le rééquilibrage automatique de la balance
commerciale.

Pour Adam Smith, il y a un penchant naturel à échanger. La division du travail leur permet de diviser
plus.
Pour Adam Smith, la division du travail  Accroissement de la productivité  Surplus  Echange
 Extension des marchés  Passage au marché locaux  Régionaux  Nationaux  International.

Il développe la théorie des avantages absolus : échanger quand on a une capacité d’une économie à
être plus efficace dans une production donnée. Mais si un pays n’a jamais d’avantages absolus ? C’est
la que Ricardo interviendra.

b) La théorie ricardienne de l’avantage comparatif et ses prolongements


Avantage comparatif : capacité d’une économie à être plus efficace dans une production donnée
relativement à un autre.
Ricardo c’est le premier a proposer un modèle  c’est le père de la science économique
Le modèle de Ricardo est basé sur des hypothèses :
 Mobilité nationale des facteurs et immobilité internationale (raison culturelle, de contrôle de
l’information par exemple)
 Rendements d’échelle constants (doubler les facteurs de production conduit à un
doublement de la production)
 Théorie de la valeur travail
Pour Ricardo, il y a des échanges entre nations (« macro-agent »).
Les arguments en faveur du libre-échange pour Ricardo :
 Gain à l’échange
 Ce gain de l’échange entraîne la baisse de la rente et accroissement des profits
 Pacification des relations entre nations.

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Sur le gain à l’échange, John Stuart Mill dit que la demande d’un pays est plus forte que celle
de son partenaire, les échanges sont favorables à ce dernier.
Donc pour John Stuart Mill, il y a un bienfait du libre-échange, et il faut ouvrir les frontières
aux produits anglais, ça sera plus favorable pour les autres pays.

Karl Marx, contrairement à ce qu’on pense, est favorable au libre-échange qui hâte la
révolution sociale selon lui.

Le modèle HOS est une théorisation proposée par Eli Heckscher, Bertil Ohlin et Paul Samuelson, et
apparaît comme le prolongement de la théorie ricardienne.
Pour eux, ce qui génère du commerce c’est la dotation factorielle (quantités de facteurs de
production au sein de chaque pays).
Les pays se spécialisent dans la production de biens intensifs dans le facteur relativement abondant
(capital, travail).
Hypothèses d’HOS :
 On a deux biens homogènes produits dans deux pays
 Les facteurs de production (capital, travail) et les technologies utilisées sont différents.
 Rendements factoriels décroissants et rendement d’échelle constants.
 Le bien 1 est intensif en travail, le 2 en capital
 On a la concurrence pure et parfaite. (CPP)
 Les facteurs sont mobiles entre secteurs, mais pas au niveau international.
 Les préférences des ménages sont homogènes.

Théorème 1 (HO) : les pays se spécialisent dans la production du bien intensif en facteur abondant.

Théorème 2 (HOS) : l'ouverture au commerce international tend à égaliser les prix relatifs des biens
au niveau international.
 Le commerce international joue le rôle d’un substitut à la mobilité des facteurs.

Théorème 3 (Stolper-Samuelson) : l’augmentation du prix d’un bien augmente la rémunération


réelle du facteur utilisé intensément dans la production de ce bien et diminue la rémunération
réelle de l’autre facteur.

 Source d’inégalités entre détenteurs de capitaux et salariés.

Donc on a :
 Gains à l’échange
 Répartition des gains inconnus
 Compensations possibles pour les perdants.

Ce modèle va être critiqué :


1. Paradoxe de Leontief : Un pays qui dispose de beaucoup de travail se spécialise en
travail, l’autre en capital.
On a un pays, les Etats-Unis, même s’ils sont intensifs en capital, ils se spécialisent en
travail.
C’est parce que le travailleur étasunien est plus productif que les autres. (Il vaut 3
travailleurs)  Il n y a pas d’homogénéité du travail.
2. Le courant technologique : Michel Posner et Raymond Vernon. Selon Raymond Vernon,
il parle de théorie du cycle de vie des produits à l’international. Quand on a une
innovation, il y a équipement dans le pays leader, quand il y a succès de ce produit …

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c) Nouvelles théories du commerce international


C’est des théories construites contre les hypothèses d’HOS pour expliquer le commerce intra-
branche qui est majoritaire.
On part des hypothèses que les rendements sont croissants (économies d’échelle) et que la
concurrence est imparfaite (on a des oligopoles). Ces rendements croissants sont soit internes (taille
de l’entreprise) soit externes (taille du marché).
 L’avantage comparatif devient alors une conséquence de l'échange international.
Conséquences :
 Les pays produisent mieux un nombre plus restreint de biens.
 La spécialisation entre pays peut s’expliquer par la taille du marché intérieur
 Les spécialisations sont stables.
 Les rendements d’échelles sont une barrière à l’entrée.

Krugman et Brander remettent en cause l’atomicité, même si on a deux monopoles dans les deux
pays, si il y a commerce cela entraîne une baisse des prix pour le consommateur, selon les coûts de
transports.
Krugman poursuit sa réflexion en s’appuyant sur l’hypothèse de Edward Chamberlin selon laquelle
les consommateurs ont un goût pour la variété, ils préfèrent avoir le choix.
On a une concurrence monopolistique, les biens sont substituables mais différenciés.

Tout cela explique qu’on a aujourd’hui :


 La majorité du commerce est intra-branche (produits similaires et goût pour la variété)
 On a une différenciation horizontale
 Il y a accroissement des variétés accessibles aux consommateurs
 Donc une baisse du nombre total de variétés ( ?? )

B) Débat libre-échange vs protectionnisme


Mercantiliste  Favorable au protectionnisme (lutte commerciale)

Adam Smith  IL NE REJETAIT PAS LE PROTECTIONNISME et IL N’EST PAS CONTRE


L’INTERVENTION DE L’ETAT
 Il y a des produits stratégiques qu’il faut protéger
 Si nos produits sont taxés à l’étranger, il faut taxer les produits étrangers aussi
 Représailles au protectionnisme

Friedrich List  Les industries naissantes ne sont pas capables d’affronter la concurrence, au lieu
de produire autre chose, pour List le protectionnisme est un moyen d’arriver au
libre-échange. C’est le protectionnisme éducateur. Mais à quel moment on arrête ce
protectionnisme ? Si trop tôt, les industries ne sont pas protégées. Si trop tard, les
entreprises risque de devenir rentière, elles ne chercheront pas la compétitivité.
Ex : Japon, Etats-Unis et Allemagne.
Etapes :
i. Economie agraire  on importe des produits manufacturés
ii. Début industrialisation  importation de produits non fabriqués
iii. Autosuffisance nationale  Protection
iv. Quand on est capable d’X  Libre-échange
Pas d’avantage comparatif mais avantage compétitif construit avant
l’ouverture.

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Jean-Marcel Janneney  Le protectionnisme de zone. Selon lui, le chômage en Europe est dû à


l’ouverture internationale. On a une concurrence sur les coûts de production
qui entraine des cercles vicieux récessif.
Outils à privilégier = droit de douane car il permet de laisser jouer les
mécanismes du marché, ca donne des ressources pour le budget publics et
c’est appliqué à tous.
Objectifs :
 Développer un secteur productif complexe  créer des emplois
 Donner une efficacité accrue aux effets multiplicateurs
(multiplicateurs dans une éco fermé (1/1-c) > multiplicateurs ouverte
(1/1-c+m)) car la contrainte extérieure est faible.
 Or, les secteurs de pointes et les secteurs condamnés ne doivent pas
être protéger.

Critiques :
1. Les consommateurs sont perdants ≠ pas si les taxes permettent
de relancer et de réduire d’autres impôts.
2. C’est injuste pour les PED ≠ pas si cela leur permet également se
regrouper en zones.
3. Un risque de représailles existe ≠ c’est pour ca qu’il faudrait
mettre en œuvre des négociations commerciales (l’Europe reste
un débouché important même avec les droits de douanes)
C’est comme un protectionnisme classique mais en zone.

Maurice Allais Il dit que le libre-échange doit se faire entre pays de développement
comparable

Douglas A. Irwin  7 arguments en faveur du protectionnisme (néomercantilisme) :


 Influencer les tarifs douaniers par le tarif
 Protéger l’industrie dans l’enfance
 Bénéficier de rendements croissants (on a un marché suffisamment
grand pour gagner en taille)
 Contrecarrer les divergences salariales internes (≠ Stopler-Samuelson
on délaisse les travails non qualifiés et on utilise plus de travails
qualifiés)
 Limiter les effets non désirés sur la distribution du revenu (rente)
 Rétablir le plein-emploi
 Mettre en œuvre une politique commerciale stratégique (faire
émerger des champions nationaux ou régionaux)

Aller plus loin : protectionnisme et soutenabilité

Le protectionnisme peut être un outil pour la soutenabilité (écologie ET modèle social).


On essaye de lutter en Europe contre les émissions de CO2, mais on importe toujours des émissions
des pays émergents. C’est des « fuites de carbone ».
Proposition n°1 : taxer les importations de produits « sales » ET reverser les recettes aux
pays en vue d’assainir leurs productions.

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Proposition n°2 : mettre en place une « taxe sur le carbone ajouté ». (E. Laurent et J. Le
Cacheux)
Proposition n°3 : mettre en place des restitutions de quotas d’émission comme ajustement
aux frontières. (O. Godard)
Proposition n°4 : ne plus considérer les fortes dotations en main d’œuvre non protégée
comme un avantage comparatif et mettre en œuvre des clauses de sauvegarde sociale dans
un cadre multilatéral (D. Rodrik)

c) Le débat sur les politiques commerciales stratégiques


Politiques commerciales stratégique : mesures prises par un Etat pour améliorer la compétitivité
internationale des entreprises nationales.
Cette protection se fait soit par des barrières soit par des subventions.
Sur un marché aux coûts fixes très élevés, comme l’aéronautique, seule la subvention publique peut
permettre d’entrer sur le marché. La démonstration s’appuie sur la théorie des jeux.
La matrice des gains (théorie des jeux) montre qu’on a deux équilibres de Nash apparaissent mais
pas de stratégie dominante : l’issue du jeu reste indéterminée.
Avec une subvention publique, entrer sur le marché devient une stratégie dominante (pour Airbus),
un seul équilibre de Nash apparaît.
Paul Krugman dit que ca peut marcher, mais met en garde contre le risque de guerre
commerciale.

C) Mondialisation commerciale et dynamiques macroéconomiques

a) Des performances commerciales inégales et des tensions entre nations


On a une montée en puissance des « mesures non tarifaires » dans un monde avec de très faibles
droits de douane.
Lorsqu’on regarde les statistiques du commerce mondiales en 2013 plusieurs faits notables
apparaissent :
 Chine et Allemagne  Premier exportateur de marchandises mais ce sont aussi
de gros importateurs de marchandises.
 Etats-Unis  Premier importateur de marchandises et premier exportateur de service
C’est synonyme de désindustrialisation
 UE28  2ème importateur mondial et 1ème exportateur mondiale pour les
marchandises. Et premier importateur et exportateur en service.

Taxe : montant prélevé sur un prix.

b) Mondialisation et emploi
On a des effets mitigés des délocalisations malgré une représentation forte.
Risque plus important selon Patrick Artus qui est : la désindustrialisation. Pourquoi ?
 La compensation est insuffisante (5% d’emploi dans les NTIC (essentiellement service)
contre -15% emploi dans l’industrie aux Etats-Unis).
 Déficit commercial structurel (il se répète se répète se répète…) (il faut acheter les biens
qui ne sont plus produits).
On a aussi selon Laurent Davezies une montée des inégalités territoriales et métropolisation : on a
une apparition de zones sinistrées où l’industrie a disparu.  Métropolisation : on favorise certaines
zones plus dynamiques en détriment des autres.

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La mondialisation est-elle bénéfique à l’emploi ?


I. La mondialisation détruit certains emplois mais en crée beaucoup d’autres
1) Pertes d’emplois dues à la concurrence des produits issus des pays émergents
Apparition d’une désindustrialisation : industries à faible VA (textile, électroniques, jouets)
Mais pas dans les secteurs agroalimentaires (proximité), ni ceux de pointes.

2) Pertes d’emplois dues aux délocalisations


Mobilité du capital et recherche de rentabilité des FMN. Mais cela reste minime.

3) Les pertes d’emplois ne sont pas seulement dues à la mondialisation


Principalement les progrès technologiques et l’amélioration de l’efficacité productive. Les emplois
les moins qualifiés, les plus « automatisables » qui sont détruits.

4) Création de nombreux emplois dans les industries de pointe et les services


Secteurs à forte VA, ou « non délocalisables » (services à la personne). Plus de créations d’emplois
que de destructions (jusqu’à la crise).
Ex : 2,5 millions d’emplois créés dans les services en Allemagne entre 1995 et 2003.

Mais il ne faut pas oublier les perdants de la mondialisation

II. La mondialisation semble accroître les inégalités en termes de qualités de l’emploi


1) Baisses de salaires dans les secteurs à faible valeur ajoutée
Situations difficiles pour les travailleurs des secteurs soumis à concurrence internationale des pays à
bas salaire.
Baisse de la part du travail dans les revenus et augmentation de la part du capital.
Polarisation entre peu (pas) qualifiés et très qualifiés  inégalités salariales.

2) Précarisation de certains emplois


On a une tendance à la précarisation des emplois, à cause des pression liés à l’internalisation, perte
d’influence des syndicats, changements institutionnels.

3) Amélioration de la qualité de certains emplois dans les pays émergents


Idée que la pression des consommateurs et ONG permet d’améliorer le sort des travailleurs des PED
et émergents. Mise en œuvre d’une responsabilité sociale des entreprises.

Mais, les effets sont difficiles à mesurer et l’efficacité est incertaine.

Conclusion : Les auteurs reconnaissent que la situation des moins qualifiés ou des jeunes n’est pas
facile dans l’économie mondialisée.
La crise a aggravé la situation, mais des leçons sont à tirer de l’action des gouvernements à la suite
de ce choc extrême.
1- Utiliser des dispositifs comme le chômage partiel.
2- Soutenir le revenu des chômeurs.
3- Accompagner le retour vers l’emploi.

c) Mondialisation et inégalités
On a plusieurs types d’inégalités : entre territoires, internes et mondiales.
Pierre Noel Giraud analyse l’évolution des inégalités entre territoires et entre groupes sociaux au sein
de chaque territoire.
Le cadre de son modèle :
 Territoires séparés par des frontières

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 Firmes nomades (soumis à la compétition) ou sédentaires (service à la personne, bâtiment…)


 Produits et emplois nomades ou sédentaires
Donc, le PIB = revenus nomades + sédentaires
Le salaire des nomades est fonction de la qualité de leurs compétences et leur nombre.
Le salaire des sédentaires est fonction du salaire des nomades (plus ils sont riches et nombreux 
plus ils achètent des biens et services locaux) et des préférences de consommation des nomades
(plus ils préfèrent les produits locaux, mieux c’est).
Revenu/tête des nomades
Donc l’inégalité = Revenu/tête des sédentaires
Baisse de la part des nomades (moins il y en a plus ils sont payés cher) et baisse de la préférence
pour les produits sédentaires  Augmentation de l’inégalité entre nomades et sédentaires

Selon Joseph Stiglitz, le cadre de la mondialisation comporte :


 Révolution néo-conservatrice
 Théorie du ruissellement
 Capture des institutions (au service d’une minorité)
 Rentes
 Détournement des intelligences (ex : margin call film) (les cerveaux au lieu de servir l’intérêt
général ils servent leur propre intérêt)
 Stagnation/diminution des salaires en bas et au milieu  développement du crédit  crise
bancaire puis économique

François Bourguignon dit que l’écart entre riches et pauvres (pays) tend à se réduire grâce à la
mondialisation. Mais en interne, les inégalités se sont creusées.
 Pour la première fois depuis le début du capitalisme, les inégalités ont baissé, dans le cadre
d’une mondialisation économique
 L’inégalité interne par contre a augmenté, en partie à cause de la mondialisation (Stolper-
Samuelson)
 Le nombre de pauvres et de très pauvres a baissé pour la première fois depuis le début du
capitalisme : ces tendances concernent en particulier les pays d’Asie

Aller plus loin : commerce et croissance économique

La relation entre les deux est difficile à mesure : corrélation =/= causalité
Pour Paul Bairoch, c’est la croissance qui mène à l’ouverture. Il prend des exemples de grandes
dépressions qui entraînent des ralentissements qui amènent les pays à mettre en place des mesures
protectionnistes qui permettent la croissance.
Or, Bairoch mesure l’ouverture par les droits de douanes. Selon Patrick Messerlin, ce n’est pas la
même chose que la protection effective. Selon lui, à la fin du 19ème, la protection effective est
moindre  baisse de la protection  croissance. En gros, il y a une corrélation forte.

Quels canaux de transmissions ?


 Changement dans les dotations factorielles  spécialisation dynamique (Rybczynski)
 Gains de productivité permis (Smith et Ricardo)
 Diffusion des connaissances (Grossman et Helpman)

Selon Jagdish Bhagwati, l’ouverture peut mener à la croissance, c’est une croissance appauvrissante.
Les grands pays peuvent voir leurs termes de l’échange se dégrader et s’appauvrir car la croissance
de sa production pèse à la baisse sur le prix mondial.

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