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Traitement du signal sous MATLAB – M. SABRI – Université Sultan My Slimane - 2008
s
(
x,N)=
∑
N
k
k
=
0
8
x
k
Réaliser :
• Une fonction factoriel(n) qui calcule le factoriel d’un entier naturel.
• Une fonction somme(x,n) qui calcule s(x,n).
• Un programme prog3.m qui calcule la valeur de l’exponentiel de 2 avec
une précision (incertitude relative) supérieure à 95% (incertitude inférieur à
5%).
PARTIE THEORIQUE
1. En utilisant
!
e j.nα= [ e j.α]
n
, Trouver les expressions de cos(na) et sin(na) pour
n=2 et n=3.
2. De même retrouver les expressions de cos(a+ß) et sin(a+ß).
3. Calculer la somme∑
∞
n
=1
s(
n ) , avec s(n)=
2
1
n
+
j
3
1
n 4. Même question pour s(n)= (
3
j
)
n
5. Trouver les complexes z tels que : z N =
z − N 6. trouver les racines cubiques de 1.
7. Calculer le produit infini ∏
∞
=1
e jπ
n
8. Calculer =
∫/
2n
π
2/
In
0
π
/
2n
x dx J n
0
n
x dx ________________________________________________________________________
Le compte rendu de la séance doit être rédigé sur la feuille qui vous est
fournie et doit contenir en plus de la partie théorique :
Un listing des programmes :
prog1.m
prog2.m
puissance.m
spectre(f,H)
myfilter.m
factoriel(n)
somme(x,n)
prog3.m
sin
( ) et =
∫ cos
()
Traitement du signal sous MATLAB – M. SABRI – Université Sultan My Slimane - 2008
TP II NOTIONS DE SIGNAL NUMERIQUE
________________________________________________________________________________________________________
_________
I- Définition
Un signal numérique s(k) est une suite de N échantillons régulièrement espacés de
T
e
secondes :
s(0,),s(T
e
),s(2T
e
),…,s((N-1)T
e
)
La grandeur F
e
=1/T
e
est appelée fréquence d’échantillonnage : c’est le nombre
d’échantillons par seconde.
Le nombre d’échantillons N est le plus souvent une puissance de 2 : N= 2 p où p est
un entier naturel.
Signal numérique
100
80
60
40
20
0
Te 2Te 3Te 4Te kTe
kTe (secondes)
II- Visualisation du signal s
Pour visualiser s(kTe) correctement à l’écran, il faut préciser l’axe du temps t=k T
e:
t=0:T
e
:(N-1)*T
e
;
plot(t,s);
Remarque : la commande plot(s), dessine s(k) en fonction de 1,2,…,N ; c’est-à-dire
T
e
=1, ce qui est rarement le cas.
Exemple 1 : Signal rectangulaire
• On considère le signal rectangulaire Rec(k) égal à l’unité pour
k=1…N/4 et nul pour k=N/4+1…N.
Pour N=512 et T
e
=0.01s visualisez à l’aide d’un programme
Rec(k) en précisant sur la figure l’axe du temps avec l’unité de
mesure.
• Visualisez deux périodes de l’onde carrée de période 2π
fournie par Matlab square(t) pour plusieurs pas
d’échantillonnage : t=0 :pas :4*pi
Exemple 2 : convolution de deux signaux
x(k) et y(k) étant deux signaux numériques de même durée N.T
e
, la convolution de x
et y est un signal z(k) de durée (2N-1).T
e
défini par :
z(k)=x*y(k)=∑
k
m
=
9
x
(m)y(k−
m + )1 , k=1…2N-1
1
Traitement du signal sous MATLAB – M. SABRI – Université Sultan My Slimane - 2008
Remarque :
§ Le nombre de points de z(k) est généralement N+M-1 où N et M
désignent le nombre d’échantillons respectifs de x et y.
§ L’expression générale de la convolution est un peu différente si la
variable temps débute à zéro au lieu de un (ce qu’exige Matlab).
1- Réalisez un programme prog1.m qui effectue la convolution de x(k)=Rec(k) avec
lui-même et visualisez Rec(k) et z(k) résultant. On prendra N=512.
Observez la forme de z(k) ainsi que sa largeur par rapport à celle de Rec(k). A quel
instant k, z(k) est-il maximal ? Quel est la valeur de ce maximum ? Interpréter.
2- comparer z(k) et le résultat de z2=conv(x,x)
Exemple 3 : Signaux harmoniques
On considère les deux signaux :
s
1
(t)= ∑
4
k
=
1
2
1
k
.
sin( 2 π
2. kf
t)s
2
10
1
(t)= ∑
k
k
4
=
1
(
− )1 k
.
cos( 2 π
.k
. f . t ) Avec : N=1024, f
1
2
=50Hz, F
e
=8Khz pour s
1
et f
2
=1/2 Hz , F
e
=100Hz pour s
2
,.
Générez et visualisez en même temps, à l’aide d’un programme prog2.m, les deux
signaux s
1
et s
2
.
§ Quelles remarques pouvez vous faire sur la forme des signaux?
§ Que constatez vous lorsque les sommations vont plus loin que 4?
§ A quel type de signaux connus pouvez vous comparer les signaux
générés (comparer à sawtooth (t) et square (t))?
III- NOTION de BRUIT
Le bruit b(k) est défini comme étant un signal indésirable se mêlant additivement ou
autrement à un signal s(t) qui intéresse l’observateur.
Le model le plus fréquent de bruit de mesure de grandeurs physiques est le bruit
blanc gaussien : c’est un bruit aléatoire b(k) dont les échantillons sont dé-corrélés
(entendez par cela que même si on connaît b(k1), b(k2) reste aussi imprévisible
qu’avant).
La fonction b=randn(1,N) permet de générer un vecteur bruit b de distribution
pseudo normale (de Gauss) de taille N de moyenne nulle et d’écart type 1.
Un coefficient multiplié par randn permet d’augmenter à volonté la puissance du
bruit. Ainsi pour générer un vecteur bruit blanc de taille N, de moyenne m et d’écart
type σ la commande est :
bruit= m+σ *randn(1,N);
Dont la puissance est P
b
= m 2 σ+ 2 (Puissance de la moyenne plus celle des
fluctuations autour de cette moyenne).