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Spondylolisthésis par lyse isthmique et pratique sportive

SPONDYLOLISTHESIS
PAR LYSE ISTHMIQUE
ET PRATIQUE SPORTIVE

RESUME :

La lyse isthmique est la perte de continuité osseuse au niveau du pars interarticularis


provoquée par des microtraumatismes en hyperextension du rachis lombaire sur un os déjà
fragilisé. S'il n'y a pas de déplacement vertébral on parle de spondylolyse, mais s'il existe on
parle alors de spondylolisthésis (SPL) avec un degré de gravité plus ou moins important
suivant le déplacement vertébral. On retrouve le SPL chez une petite partie de la population
de race blanche (5-6%) et il est souvent non décelé du fait de son caractère asymptomatique.
Chez le sportif la prévalence est plus importante, les contraintes au niveau du rachis lombaire
étant plus fréquemment répétées selon le type de sport, le niveau de pratique et le temps de
pratique quotidien. Cependant, le SPL suivant le stade de gravité bien sur, n'est pas une
pathologie contre-indiquant la pratique sportive. Ce sont les symptômes qui guideront l'équipe
médicale ou le médecin dans le choix d'un traitement adapté et de l'arrêt ou non de la pratique
sportive.

Mots-clés : spondylolyse, spondylolisthésis, sport, danse classique, kinésithérapie.

Sara BAILLY CECKS Font-Romeu 2009-2010 1


Spondylolisthésis par lyse isthmique et pratique sportive

I. INTRODUCTION

Le spondylolisthésis (SPL) se définit par le glissement de la vertèbre sus-jacente sur la


vertèbre sous-jacente, il résulte des tensions mécaniques trop importantes provoquées au
niveau de la lésion initiale (SPL par lyse isthmique ou dysplasique) [1]. Dans ce sujet nous
traiterons uniquement du SPL par lyse isthmique pure. Il découle dans ce cas d'une
spondylolyse qui est une « anomalie de l’ossification de l’arc vertébral évoluant au cours de la
croissance pour se stabiliser ensuite et ne se modifier, chez l’adulte, que dans des
circonstances exceptionnelles » (W. Taillard) [2]. Celle-ci se manifeste par la perte de
continuité de la vertèbre au niveau de l'isthme (fracture de la pars interarticularis suite à des
microtraumatismes répétés).
Chez les sportifs et selon les auteurs on retrouve 20 à 25 % de lyse isthmique vraie ou de bas
grade due à des microtraumatismes répétés en hyperextension du rachis lombaire [1, 3].
Ainsi, on peut se demander si la survenue d'un SPL est incompatible avec la pratique du sport
amateur ou à haut niveau.
Pour cela nous reprendrons dans un premier temps quelques rappels anatomo-pathologiques
sur la spondylolyse et le SPL, puis nous étudierons le rapport entre SPL et sport et enfin nous
verrons en quoi la kinésithérapie peut être importante dans le traitement du SPL.

II. RAPPELS ANATOMO-PATHOLOGIQUES

A. Généralités

La lyse isthmique (fig.1 [4] et 2 [3]) est une pathologie qui n'existe pas chez le nouveau-né.
Elle apparaît suite à l'acquisition de la station bipodale. Elle survient au cours de la
croissance, suite à des sollicitations répétées en hyperextension, en cisaillement et en
compression du rachis lombaire créant une fracture de fatigue de l'isthme. Elle peut être uni
ou bilatérale. A l'âge adulte et suivant les populations on retrouverait 5 à 6 % de SPL non
connus. Il n'y a pas de prévalence selon le sexe et la fréquence augmente avec l'âge. Sa
découverte se fait généralement à l'adolescence et le plus souvent lors d'un contrôle
radiologique suite à un épisode douloureux. [1,3,5]

Fig. 1 : schéma explicatif Fig. 2 : lyse isthmique

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B. Classification

Selon Wiltse et Newman, il existe 6 types différents de SPL : type 1 congénital ou


dysplasique, type 2 isthmique pur avec lyse acquise ou avec allongement par consolidation de
la lyse, type 3 dégénératif, type 4 macrotraumatique, type 5 pathologique (tumeur), et type 6
iatrogène (post-chirurgical) [1].

La classification la plus utilisée est celle de Marchetti. Il distingue deux types de SPL : type 1
« développemental » (congénital) et type 2 acquis (macrotraumatique ou microtraumatique,
iatrogène, pathologique ou dégénératif) [1].

C. Signes cliniques

Le SPL est dans la majorité des cas asymptomatique. S'il se manifeste, il déclenche des
douleurs lors de l'hyperextension, la station assise prolongée ou encore le changement de
position la nuit.
Un épisode de lombalgie aiguë peut correspondre à la fracture initiale de la pars
interarticularis. Cependant, comme il est souvent asymptomatique, à l'âge adulte, nous
retrouverons une lombalgie chronique avec une douleur en barre plus ou moins associée à des
troubles neurologiques (sciatalgie le plus souvent, la racine L5 étant la plus touchée) [1,3].

D. Examens cliniques
- bilan radiologique standard : c'est le bilan le plus important.
Les clichés de trois quart (fig.3 [5]) de la région lombaire montrent la perte de continuité au
niveau de l'isthme (tête du petit chien de Lachapelle qui apparaît coupée du corps). Les
clichés de profil confirment la lyse unilatérale, et permettent de prendre de multiples mesures
nécessaires à la détermination de la continuité des soins (fig.4 [1] et 5[6]) (degré de
glissement vertébral, angle de cyphose lombosacrée (Dubousset), incidence pelvienne,
version pelvienne, angle de gîte sagittale en T9, angle sacro-coccygien) [1,3,6,7,8,9].

Fig. 3 : radio de 3/4

Fig. 4 : angle sacro-


coccygien Fig. 5 : critères d'analyse radiologique

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Meyerding (fig.6) décrit en 1932 les stades de gravité du SPL en fonction de l'étendue du
glissement vertébral : grade 0 pas de glissement, grade I glissement entre 1 et 25%, grade II
glissement entre 26 et 50%, grade III glissement entre 51 et 75%, grade IV glissement
supérieur à 75% et grade V correspondant à un glissement total des vertèbres (spondyloptose)
[1].

Fig. 6 : stades de Meyerding

Chez les patients atteint de SPL on note souvent une grande incidence pelvienne associée à
une hyperlordose lombaire (fig.7). La rétroversion du bassin étant plus importante on retrouve
une diminution de travail du grand fessier ainsi qu'une raideur des ischio-jambiers. Au plus le
stade de SPL est important, au plus l'évolution va se faire vers un sacrum vertical (fig.8) avec
risque de spondyloptose [1].

Fig. 8 : petite
Fig. 7 : grande incidence
incidence pelvienne pelvienne

- Tomodensitométrie (TDM) osseuse : (fig.9) vue sur des coupes perpendiculaires à l'isthme.
Elle permet de déterminer surtout les formes dysplasiques [1].

- Scintigraphie osseuse : (fig.10) elle met en évidence la fracture de fatigue. Le SPL est
visible en phase précoce. Elle renseigne sur l'ancienneté du SPL et indique si la lyse et uni ou
bilatérale [1,9].

- Scanner et IRM : (fig.11) ils peuvent être demandés pour permettre de mieux localiser la
lésion et de montrer d'autres dégénérescences (pathologies discales) [1,5].

Fig. 9 : TDM coupe Fig. 10 : Fig. 11 : scanner


axiale scintigraphie

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- Test clinique : il s'agit du test de Larson. Le patient est installé en décubitus ventral, un
coussin sous l'abdomen, les membres inférieurs bloqués par une des deux mains de
l'examinateur. Le patient doit effectuer une hyperextension du tronc et des épaules, les mains
placées derrière la nuque. Avec l'autre main, le praticien effectue une poussée verticale au
niveau de la charnière lombo-sacrée. Ce test est positif si des douleurs apparaissent lors de la
pression [10].

E. Evolution

Elle est fonction de la croissance, du stade su SPL, de l'état du disque intervertébral et de


l'existence d'une dysplasie. Elle se fait vers la rupture de l'isthme qui est allongé, vers le
glissement vertébral qui évolue peu avec l'âge et la consolidation avec un isthme allongé qui
reste plus rare que la lyse. En fin d'évolution on trouvera une fusion complète des plateaux
vertébraux associée à un disque pincé. La douleur dépendra principalement de l'état du disque
intervertébral [1,5,9].

F. Traitements

- Traitement orthopédique conservateur : en cas de spondylolyse symptomatique ou de


SPL de grade 0 à II. Il consiste en une immobilisation stricte par plâtre ou corset immobilisant
aussi la cuisse (fig.12 [1]) et permettant de limiter les mouvements de la charnière
lombosacrée surtout en position assise. La durée du port du corset est généralement de 2 à 6
mois selon les auteurs [1, 3, 11].

Fig. 12 : corset : A :
de face , B : de dos

Si le traitement conservateur demeure inefficace au bout de 6 mois, un traitement chirurgical


sera envisagé [1, 3, 11].

- Reconstruction de l'isthme : elle est proposée aux jeunes sportifs, leurs permettant de
reprendre leur activité sportive par la suite [1].

- Traitement kinésithérapique associé : renforcements, étirements cf. infra [1,3].

- Traitement chirurgical : si échec du traitement conservateur ou radiculalgie (arthrodèse)


[1].

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III. SPONDYLOLYSTHESIS ET SPORT

A. Sports concernés

Rossi [1] a réalisé une étude en analysant des radiographies de 1430 athlètes de haut niveau
âgés de 15 à 25 ans et relate que la lyse isthmique touche 20% des sportifs dont 5% de SPL de
bas grade. Cette fréquence varie en fonction des sports pratiqués.
Ainsi, parmi les sports les plus touchés on retrouve : le plongeon (63,3% de SPL),
l'haltérophilie (36,2%), la lutte (33,3%), la gymnastique (32,8%), la danse (20%), le ski
(20%), le foot (20%). Dans le cyclisme on ne retrouve pas de SPL et très peu dans l'équitation
ou la natation [1,9].

B. La pratique du sport

Chez le sportif, le SPL par lyse isthmique est en général peu grave et évolue peu.
Le SPL n'est pas une contre-indication absolue à la pratique sportive.
Le morphotype du sportif de haut niveau est particulier. Selon Wodewki et Rolland , la
lordose lombaire, la pente sacrée et l'incidence pelvienne sont augmentées. Cela crée une
prédominance à la survenue d'un SPL par augmentation des contraintes en cisaillement au
niveau lombosacré. Ainsi la pratique d'un sport développant des contraintes en hyperextension
répétées associée au profil morphologique marqué en hyperlordose des sportifs seraient
propices au développement d'un SPL sur lyse isthmique [11].
Un sportif présentant une hyperlordose lombaire, une raideur pelvienne (ischio-jambiers,
psoas) et des douleurs lombaires est à surveiller.

Roy-Camille a lui aussi mis en évidence que la pratique du sport n'a pas d'influence sur
l'évolution du SPL en cas de SPL par lyse isthmique [9].

On retrouve aussi que 32 à 50 % de sportifs ayant la maladie de Scheuermann, fréquemment


retrouvée chez le sportif également, développent un SPL [1].

Toute douleur ressentie au niveau du rachis lombaire nécessite un examen plus poussé et
l'arrêt du sport la temps de la sédation des douleurs. Le sportif devra porter un corset et faire
une rééducation appropriée même après l'arrêt des douleurs. Le temps d'arrêt de l'activité
sportive et de port du corset est aussi déterminé par le stade de SPL. Seuls les SPL de grade
III en général nécessitent une intervention chirurgicale [12].

Cependant, dans certains sports comme la gymnastique, la pratique sportive à bon ou haut
niveau est contre-indiquée si l'adolescent présente une lyse isthmique ou un SPL pour éviter
leur aggravation. La compétition leur est interdite [17].

C. Un exemple : la danse classique

1. Définitions et exemples de mouvements

La danse classique est un sport où les contraintes au niveau du rachis sont importantes que ce
soit en flexion ou en extension.
Les placements des membres inférieurs ainsi que les mouvements réalisés au cours de la
chorégraphie ont un retentissement au niveau du rachis lombaire notamment vu qu'ils sont le

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plus souvent réalisés en dehors des limites articulaires physiologiques [13, 14].

- l’en-dehors : (fig.13) c'est le placement principal en danse classique tous les mouvements
étant effectués dans cette position. Il consiste à placer le membre inférieur en rotation latérale.
Debout la position en-dehors se traduit par une rotation latérale au niveau de la hanche et du
segment jambier de façon à placer le pied en ouverture à 90° [14].

- la position de cinquième : (fig.14) c'est la position de départ du danseur. Les pieds sont
parallèles l’un devant l’autre mais joints au niveau du talon et du bord latéral du gros orteil
respectivement pour le pied avant et pour le pied arrière. Les membres inférieurs sont en
position « d'en dehors ». La lordose lombaire augmente pour compenser l'antéversion du
bassin. C'est pourquoi le danseur doit maintenir un autograndissement actif permanent pour
éviter l'hyperlordose [14].

- l'arabesque : (fig.15 [16]) la hanche est en extension-adduction-rotation latérale. Pour être


correctement réalisée, le danseur doit maintenir un autograndissement pour éviter
l'hyperlordose lombaire. Mais suivant l'amplitude du mouvement le rachis devra participer, la
bascule du bassin étant diminuée en amplitude [14].

- le cambré : le mouvement se passe principalement au niveau de la coxo-fémorale et du


rachis cervical et lombaire. Le bassin exécute une rétroversion et les lordoses augmentent. La
cyphose dorsale diminue pour augmenter l’amplitude du mouvement et montrer un rachis en
« allongement ». Toute la musculature dorsale se trouve contractée en excentrique du sacrum
à l’occiput ainsi que les abdominaux. Cette contraction excentrique est réalisée pour éviter
l’écrasement du rachis lombaire et protéger la colonne vertébrale en allongeant le mouvement
et non en le cassant. Le plan antérieur se trouve étiré [14].

Fig.14 : la
cinquième
Fig.15 : l'arabesque
Fig.13 : l'en-
dehors

2. Conséquences anatomiques

C’est le plus souvent dans la position en-dehors pieds au sol que l’on retrouve des mauvais
placements. Celle-ci entraîne la plupart du temps des compensations pour permettre au pied
de se retrouver dans le plan frontal. Ainsi, les compensations principales s’observent au
niveau de l’antéversion du bassin qui est augmentée, ce qui entraîne souvent une
augmentation de la lordose lombaire. Cette augmentation de la lordose sera diminuée par

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l’autograndissement demandé mais toujours présente suivant les mouvements réalisés.


D'autres mouvements comme les sauts ou les portés entraînent des contraintes en compression
ou en cisaillement au niveau du rachis lombaire [13, 14, 15].

IV. PLACE DE LA KINESITHERAPIE

Le masseur-kinésithérapeute a un rôle important dans le traitement d'un SPL. Un traitement


kinésithérapique bien conduit associé à un traitement orthopédique par corset permet, suivant
le stade, d'agir sur le phénomène douloureux (lombalgie, sciatalgie) et d'éviter le recours à la
chirurgie.
Le but de la rééducation va être de diminuer la lordose lombaire en renforçant ou en étirant les
muscles. Pour cela il va falloir renforcer les abdominaux, étirer les ischio-jambiers ainsi que
les psoas-iliaques et le droit fémoral et travailler l'autograndissement [13, 15].

- renforcement des abdominaux : il va se faire en conservant une légère lordose au niveau


lombaire de façon à conserver une courbure physiologique.

- étirements des ischio-jambiers, du psoas-iliaque et du droit fémoral : ils sont nécessaires


si les muscles sont rétractés pour libérer le bassin et diminuer les tensions lombaires.

- autograndissement : il permet de réduire les courbures et la lordose mais aussi d'étirer les
muscles paravertébraux lombaires souvent rétractés du fait de l'hyperlordose.

- prévention : un protocole thérapeutique peut être mis en place où le sportif pourra


reproduire des exercices quotidiennement pour entretenir force et longueur musculaire.

V. CONCLUSION

Le SPL est dans la majorité des cas asymptomatique ce qui rend difficile la prise en charge
thérapeutique dans un but de prévention et de soin du sportif. S'il est décelé à temps la prise
en charge orthopédique associée à une rééducation bien conduite permet d'éviter l'aggravation
et l'intervention chirurgicale. C'est pourquoi le thérapeute doit être vigilant lors de tout
épisode douloureux aigu au niveau du rachis lombaire et mener une investigation complète.
Le SPL est une pathologie qui ne contre-indique pas la pratique du sport. Ce sont les signes
cliniques qui vont indiquer aux thérapeutes les moyens à mettre en place pour éviter
l'aggravation d'un SPL.

BIBLIOGRAPHIE

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