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50%
1.
Le
diagnostic
positif
dans
la
nécrose
pulpaire
se
pose
selon
:
A. L’absence
de
la
modification
de
couleur
de
la
dent
B. Sensibilité
à
la
palpation
avec
la
sonde
dans
la
chambre
pulpaire
C. Sensibilité
à
la
palpation
avec
la
sonde
dans
le
canal
radiculaire
D. Tests
de
vitalité
positifs
E. Test
bactérien
négatif
2.
La
chlorothérapie
NON
est
indiqué
dans
:
A. La
gangrène
pulpaire
B. La
pulpite
purulente
totale
C. Les
parodontites
apicales
chroniques
D. Les
parodontites
apicales
aiguë
E. L’hyperémie
pulpaire
3.
Le
hypochlorite
de
sodium
est
utilisé
pour
son
action
avec
une
exception
:
A. Bonne
action
tensioactive
B. Toxicité
faible
C. Peu
cher
D. Saponifie
les
graisses,
protéolytique,
solvant
sur
exsudats,
débris
cellulaires,
tissus
nécrosés,
résidus
bactériens
E. Pouvoir
bactéricide
à
large
spectre,
virucide,
fongicide
4.
Le
traitement
de
la
parodontite
apicale
séreuse
exsudative
nécessite
:
A. Irrigations
endocanalaires
aux
solutions
antiseptiques
B. La
perméabilisation
de
l’apex
C. La
dent
est
laissée
ouverte
D. L’application
de
compresses
froides
E. Toutes
les
solutions
ci-‐dessus
5.
Les
premiers
éléments
qui
ont
souffert
dans
l’évolution
de
la
nécrose
pulpaire
:
C
A. Les
cellules
B. Les
fibres
conjonctives
C. Les
parois
vasculaires
D. Les
fibres
nerveuses
E. La
substance
fondamentale
6.
Les
signes
objectifs
dans
le
granulome
simple
conjonctif
ne
sont
pas
représentés
par
:
A. La
douleur
est
exacerbée
au
chaud
dans
les
phases
d’acutisation
B. A
l’inspection
la
dent
présente
une
obturation
vieille
C. La
présence
d’un
processus
carieux
qui
intéresse
aussi
la
chambre
pulpaire
D. Parfois,
au
niveau
coronaire
on
n’observe
pas
de
lésions
E. Tests
de
vitalités
négatives
7.
Les
facteurs
causaux
à
action
déterminante
dans
la
gangrène
pulapire
sont
:
A. Spasmes
vasculaires
prolongés,
suivis
d’ischémie
B. Avitaminoses
C. Microorganisme
aboutis
dans
l’espace
endodontique
D. Luxations,
intrusions
E. Intoxications
exogènes
aux
différents
métaux
lourds
8.
Les
facteurs
qui
conditionnent
la
sévérité
des
manifestations
cliniques
dans
les
dépassements
apicaux
NE
sont
pas
représentés
par
:
A. L’état
de
parodonte
apical
avant
l’obturation
B. Le
volume
de
substance
qui
dépassé
l’apex
C. La
qualité
du
matériel
d’obturation
D. La
forme
sur
section
du
canal
radiculaire
E. Le
type
de
réactivité
individuelle
9.
L’ozonothérapie
n’est
pas
indiquée
dans
:
A. La
gangrène
pulpaire
B. La
parodontite
apicale
aiguë
C. Le
traitement
de
la
plaie
dentaire
D. Coiffage
direct
E. Pulpites
séreuses
totales
10.
La
réponse
incorrecte
pour
le
diagnostic
positif
de
pulpite
aiguë
sérieuse
totale
:
E
A. Douleur
à
caractère
continuel
B. Grande
intensité
de
la
douleur
C. Percussion
douloureuse
dans
l’axe
D. Hypersensibilité
aux
tests
de
vitalité
thermiques
E. Carie
profonde
avec
la
chambre
pulpaire
ouverte
11.
Il
y
a
les
suivantes
situations
plus
fréquemment
rencontrées
à
l’épreuve
du
cône
avant
l’obturation
avec
une
exception
:
A. La
non-‐adaptation
feste
au
calibre
de
la
portion
apicale
du
canal
B. L’impossibilité
de
propulser
le
cône
sur
toute
la
longueur
de
travail
du
canal
C. Le
dépassement
de
la
longueur
de
travail
D. La
discordance
de
forme
entre
la
cime
du
cône
et
le
segment
apical
du
canal
radiculaire
E. Canaux
à
apex
largement
ouvert
12.
Dans
la
parodontite
apicale
aiguë
purulente,
la
phase
sous-‐périostale,
on
réalise
:
A. Drainage
endodontique
B. Pansement
aux
antiseptiques
C. Saturation
provisoire
à
l’hydroxyde
de
calcium
D. Application
de
pâte
Walchoff
E. Toutes
les
solutions
ci-‐dessus
13.
Choisir
la
mauvaise
option
pour
odontoblastes
:
A. Précurseurs
de
la
dentinogénèse
B. Se
différencient
à
partir
des
fibroblastes,
de
cellules
mésenchymateuses
indifférenciées
C. Cylindrique
ou
fusiforme
D. En
cas
d’agression
cette
cellule
est
capable
de
mitoses
E. Se
disposent
en
une
assise
continue
située
à
la
périphérie
de
la
pulpe
et
émettent
par
leur
pôle
apical
un
prolongement
cytoplasmique
cheminant
dans
les
tubuli
dentinaires
14.
Les
désavantages
de
l’utilisation
des
cônes
en
argent
dans
l’obturation
radiculaire
sont
suivants
sauf
:
A. La
fermeture
imparfaite
des
canaux
B. Le
traitement
biomécanique
incomplet
n’assure
pas
le
scellement
apical
souhaité
C. L’intense
radio-‐opacité
du
cône
donne
une
fausse
impression
d’obturation
étanche
D. Une
action
oligodynamique
discutable
dans
les
conditions
d’un
scellement
parfait
E. Flexibilité
plus
réduit
que
celle
des
cônes
de
gutta-‐percha
15.
La
douleur
dans
la
parodontite
apicale
aiguë
A. La
douleur
a
lieu
par
crise
B. La
douleur
est
continue
C. L’intensité
peut
faiblir
avec
la
rémission
totale
D. Elle
cesse
bien
aux
antalgiques
courants
E. La
douleur
est
seulement
lancinante
16.
L’utilisation
des
désinfectants
au
traitement
des
canaux
radiculaires
a
le
rôle
de
:
A. Réduire
le
temps
de
mise
en
forme
des
canaux
radiculaires
B. Réduire
les
concentrations
de
bactéries
en
traitement
de
gangrènes
pulpaire
C. Eliminer
les
épaulements
dans
les
canaux
radiculaires
D. Augmenter
la
sensibilité
du
patient
aux
antibiotiques
locaux
E. Prévenir
la
réinfection
des
canaux
radiculaires
17.
Dans
une
gangrène
pulpaire,
les
tissus
péri-‐apicaux
réagissent
par
:
A. Seulement
par
la
formation
d’un
tissus
de
type
granulomateux
B. Néodentinogenèse
C. Une
réaction
aiguë
D. La
formation
d’un
tissu
de
type
granulomateux
E. Processus
de
guérison
18.
Le
diagnostic
différentiel
de
la
gangrène
pulpaire
simple
se
fait
avec
:
A. La
pulpite
aiguë
B. La
pulpite
séreuse
C. La
pulpite
purulente
D. La
gangrène
compliquée
E. La
carie
dentaire
19.
Le
traitement
mécanique
dans
la
gangrène
pulpaire
s’effectue
:
A. Jusqu’au
foramen
apical
B. Jusqu’à
la
constriction
apicale
C. Jusqu’à
la
jointure
des
2/3
coronaires
avec
1/3
apicale
du
canal
D. Jusqu’à
½
du
canal
E. Avec
un
léger
dépassement
de
la
constriction
apicale
20.
La
gangrène
humide
se
caractérise
par
:
A. Tissu
pulpaire
pourri
ferme
B. Image
radiologique
aux
modifications
périapicalement
C. Tissu
pulpaire
fibreux
D. Perte
partielle
de
la
configuration
structurale
de
la
pulpe
E. Perte
totale
la
configuration
structurale
de
la
pulpe
21.
L’inoculation
septique
provient
d’une
maladie
dentaire
:
A. Peut
être
produite
quand
il
y
a
des
effractions
de
l’émail
B. Spécifique
de
la
maladie,
varie
selon
l’étiologie
de
l’inoculation
septique
C. La
pénétration
des
germes
se
fait
par
les
tubuli
dentinaires
ou
par
effraction
de
la
chambre
pulpaire
D. Dans
la
carie
l’inflammation
précède
l’infection
et
que
la
pulpite
est
plus
toxique
qu’infectieuse
E. Dans
les
pulpites
à
retro,
la
flore
microbienne
reflète
celle
des
poches
parodontales
22.
La
pâte
iodoforme
Walkhoff
contient
les
suivants,
exception
faite
:
A. Chlorofénol
B. Camphor
C. Iodoforme
D. Chloroforme
E. Menthol
23.
Dans
la
pulpite
séreuse
totale
chez
une
dent
maxillaire
supérieure,
la
douleur
ne
peut
pas
irradier
vers
:
A. Les
dents
voisines
B. Les
dents
antagonistes
C. Le
hémimaxillaire
opposé
D. La
zone
temporelle
E. La
zone
orbitale
24.
La
réponse
incorrecte
pour
les
méthodes
de
mensuration
du
canal
radiculaire
:
A. La
méthode
clinique
B. La
méthode
clinico-‐radiologique
C. La
méthode
biométrique
D. La
méthode
électronique
E. La
méthode
Ingle
25.
Pour
le
granulome
simple
conjonctif
dans
le
mécanisme
de
formation
on
ne
décrit
pas
la
zone
:
A. La
zone
de
stimulation
B. La
zone
de
colliquation
C. La
zone
d’irritation
D. La
zone
exsudative
E. La
zone
de
nécrose
26.
La
réponse
incorrecte
pour
le
traitement
des
parodontites
apicales
chronique
à
sécrétion
abondante
et
persistante
sur
le
canal
:
A. Drainage
endodontique
suivi
de
traitement
médicamenteux
B. Obturation
définitive
à
la
pâte
a
base
d’hydroxyde
de
calcium
C. Curetage
apical
D. Résection
apicale
E. Amputation
radiculaire
27.
La
pulpe
dentinaire
n’assure
pas
la
fonction
:
A. Dentino-‐génétique
physiologique
(odontoblastes)
B. Dentino-‐génétique
pathologique
(odontoblastes)
C. Nutritive
neurosensorielle
(réseau
vasculaire
et
nerfs)
D. Défensive
reflétant
la
vitalité
pulpaire
E. La
fonction
motrice
28.
L’obturation
segmentaire
de
la
gutta-‐percha
a
comme
désavantage
:
A. Nécessite
de
l’instrumentation
endodontique
spéciale
B. Scellement
imparfait,
en
1/3
apical
du
canal
C. Grave
perturbation
du
processus
de
guérison
périapicale
D. Nécessite
un
large
calibre
de
la
portion
apicale
E. Est
écarté
difficilement
29.
La
pâte
iodoforme
Walkhoff
ne
contient
pas
:
A. Chlorofenole
B. Thymol
C. Chloroforme
D. Iodoforme
E. Oxyde
de
zinc
30.
Dans
la
phase
d’hypérémie
pulpaire,
la
douleur
est
provoquée
par
:
A. La
revitalisation
métallique
avec
la
protection
de
la
dentine
du
fond
de
la
cavité
B. Le
gout
sellé
C. Le
gout
aigre
D. Stimule
mécanique
E. La
réalisation
d’une
obturation
métallique
sans
la
protection
de
la
dentine
31.
Pulpites
chroniques
:
A. Une
pulpite
fermée
peut
se
compliquer
d’une
poussée
inflammatoire
aiguë
(pulpite
aiguë
primaire)
B. Les
pulpites
chroniques
sont
symptomatiques,
indolores
C. Une
pulpite
fermée
peut
se
compliquer
d’une
poussée
inflammatoire
aiguë
:
pulpite
aiguë
secondaire
D. Les
pulpites
chroniques
sont
toujours
ouvertes
E. Les
pulpites
chroniques
sont
toujours
fermées
32.
La
pâte
Ledermix
contient
:
A. Prednisolone
B. Chlorhydrate
C. Iodoforme
D. Hydroxyde
de
calcium
E. Streptomycine
33.
Quelles
sont
les
indication
thérapeutiques
dans
les
parodontites
apicales
chroniques
aux
formes
lésionnelles
graves
:
A. La
cautérisation
clinique
B. La
cautérisation
électrique
C. Intervention
chirurgicale
endodontique
en
conservant
la
dent
D. Traitement
endodontique
conservateur
E. Le
changement
de
l
médication
endodontique
34.
Les
avantages
de
la
technique
de
condensation
thermoplastique
de
la
gutta
percha
(Mc
Spadden)
:
A. Est
plus
lente
B. Il
y
a
la
possibilité
de
la
fracturation
des
compacteurs
C. Obture
la
plus
grande
partie
de
l’espace
endodontique
D. Facile
les
dépassements
s’il
n’y
a
pas
un
stop
dentinaire
adéquat
E. Il
y
a
la
possibilité
de
l’apparition
d’une
lésion
thermique
du
parodonte
du
soutient
35.
Du
point
de
vue
morphologique,
dans
la
pulpite
chronique
ouverte
ulcéreuse,
les
fibres
nerveuses
du
parenchyme
pulpaire
sont
en
nombre
réduit
et
l’on
observe
sur
une
section
axiale
leur
présence
à
commencer
avec
:
A. La
première
couche
B. La
deuxième
couche
C. La
troisième
couche
D. La
quatrième
couche
E. La
cinquième
couche
36.
L’avantage
de
l’utilisation
des
cônes
de
titane
:
A. Sont
non
déformables
B. La
fermeture
du
canal
est
possible
seulement
par
l’association
d’un
cément
de
scellement
C. Rigidité
inférieure
vis-‐à-‐vis
de
celle
des
cônes
en
argent
D. La
présence
de
la
corrosion
E. Biocompatibilité
37.
Morphologiquement,
la
parodontite
apicale
aiguë
séreuse
ne
se
caractérise
pas
par
:
A. La
turgescence
vasculaire
B. Ligaments
alvéolaires
grossis
C. L’absence
de
fragmentation
et
la
dépolymérisation
des
ligaments
Sharpey
D. La
fragmentation
et
la
dépolymérisation
des
fragments
Sharpey
E. La
corticale
interne
alvéolaire
présente
un
contour
irrégulier
38.Le
diagnostic
différentiel
de
l’hyperémie
pulpaire
se
fait
avec
:
A. L’hypersensibilité
et
l’hyperesthésie
dentinaire
B. La
gangrène
pulpaire
C. La
pulpite
chronique
ouverte
ulcéreuse
D. La
pulpite
chronique
fermée
proprement
dite
E. La
pulpite
chronique
fermée
hyperplasique
39.
Les
microorganismes
qui
ne
sont
pas
impliqués
dans
la
pathologie
de
la
gangrène
pulpaire
:
A. Des
streptocoques
béta-‐hémolytiques
B. Le
staphyloccus
blanc
C. La
staphyloccus
aureus
D. Des
gonocoques
E. Des
pneumocoques
40.
Dans
le
choix
de
la
substance
médicamenteuse
utilisée
dans
le
traitement
de
la
gangrène
pulpaire,
on
ne
peut
pas
se
guider
selon
les
critères
suivants
:
A. La
forme
anatomo-‐clinique
de
la
gangrène
(humide)
B. La
présence
ou
l’absence
des
complications
du
parodonte
apical
C. Le
type
de
réactivité
du
patient
D. La
forme
anatomo-‐clinique
de
la
gangrène
(sèche)
E. Le
manque
de
l’effet
bactéricide
de
la
substance
41.
Dans
l’irrigation
canalaire
on
fait
:
A. Rinçage
terminal
avec
de
l’hypochlorite
de
sodium
B. Neutralisation
de
l’EDTA
et
nettoyage
final
avec
hypochlorite
de
sodium
C. Injection
avec
pression,
10
cc
pour
chaque
canal
D. Rinçage
terminal
avec
de
l’EDTA
et
neutralisation
avec
serum
physiologique
E. Il
n’y
a
pas
de
risque
inflammatoire
lors
de
l’irrigation
42.
La
nécrose
pulpaire
peut
évoluer
vers
:
A. Ne
reste
pas
une
période
dans
ce
stade
B. Guérison
spontanée
C. Pulpite
chronique
à
chambre
fermée
D. La
gangrène
pulpaire
E. Pulpite
aiguë
43.
Les
antibiotiques
ne
sont
pas
indiqués
dans
:
A. Coiffage
direct
ou
indirect
B. Dans
la
gangrène
compliquée
C. Dans
la
gangrène
simple
D. Dans
les
parodontite
aiguës
hyperémique
E. Après
des
irrigations
aux
antiseptiques
44.
La
réponse
incorrecte
pour
prévenir
l’évolution
des
parodontites
apicales
exsudatives
séreuses
vers
des
formes
purulentes
:
A. Antibiotiques
B. Anticoagulants
C. Anti-‐inflammatoires
non-‐spécifiques
D. Antalgiques
E. Anti-‐inflammatoires
non-‐spécifiques
et
antibiotiques
45.
Le
granulome
interne
Palazzi
est
aussi
connu
sous
le
nom
:
A. La
maladie
«
pink
spots
»
ou
la
maladie
des
«
taches
roses
»
B. La
pulpite
chronique
ouverte
granulomatose
C. Granulome
simple
conjonctif
D. La
pulpite
chronique
fermée
proprement
dite
E. Granulome
kystique
46.
Au
cas
des
parodontites
apicales
en
stade
de
hyperémie
qui
suivent
à
la
gangrène
pulpaire,
la
pâte
aux
antibiotiques
:
A. S’applique
dès
la
première
séance
B. Ne
s’applique
pas
dès
la
première
séance
C. Se
maintient
24
heures
D. Se
maintient
au
minimum
72
heures
E. Se
maintient
une
semaine
47.
La
méthode
chirurgicale
choisie
dans
le
traitement
des
parodontites
apicales
aiguës
est
rapportée
à
suivantes
facteurs,
avec
une
exception
:
A. La
forme
anatomo-‐clinique
de
la
parodontite
apicale
B. Son
stade
d’évolution
C. Les
conditions
topographiques
D. Les
conditions
topographiques
générales
E. L’état
général
du
patient
48.
Une
douleur
provoquée
par
mastication
constitue
un
signe
de
:
A. Nécrose
pulpaire
B. Pulpite
aiguë
C. Pulpite
chronique
ouverte
D. Carie
dentaire
de
profondeur
moyenne
E. Hyperémie
pulpaire
49.
Dans
la
parodontite
apicale
hyperémique
consécutive
gangrène
pulpaire
:
A. Traitement
mécanique
avec
la
perméabilisation
de
l’apex
B. Traitement
mécanique
sans
la
perméabilisation
de
l’apex
C. L’application
immédiate
de
pansement
occlusif
avec
l’antiseptique
D. La
dent
est
laissée
fermée
pendant
quelques
jours
E. Obturation
définitive
de
canal
dans
la
même
séance
50.
Dans
l’extirpation
pulpaire
:
A. Le
traitement
mécanique
s’effectue
jusqu’à
l’apex
radiologique
B. Le
traitement
mécanique
s’effectue
jusqu’à
la
construction
apicale
C. Le
traitement
s’exécute
en
plusieurs
séances
D. N’est
pas
nécessaire
l’isolation
de
la
dent
E. Au
cours
du
traitement
on
applique
des
pansements
médicamenteux
51.
Lorsqu’on
utilise
Lentullo
pour
introduire
la
pâte
dans
l’obturation
radiculaire,
il
faut
que
celle
ci
:
A. Ait
des
spirales
intègres
B. Soit
légèrement
courbé
C. Qu’on
vérifie
la
pénétration
de
la
ligne
en
turation
sur
le
canal
D. Qu’elle
soit
rouillée
E. Qu’on
spécifie
e
sens
correct
de
rotation
(inversement
aux
aiguilles
d’horloge)
pour
la
propulsion
de
la
pâte
dans
le
canal
52.
Dans
la
parodontite
apicale
aiguë
arsenicale
la
forme
grave,
on
ne
recommande
pas
:
A. L’extraction
de
la
dent
B. Curetage
jusqu’à
l’os
sain
C. La
protection
de
l’alvéole
avec
une
mèche
appliquée
superficiellement
D. La
toilette
des
canaux
avec
des
mèches
imbues
dans
l’eau
oxygénée
E. L’application
des
cônes
aux
antibiotiques
dans
l’alvéole
53.
Le
diagnostic
différentiel
de
la
pulpite
chronique
ouverte
ulcéreuse
se
fait
avec
:
A. La
pulpite
partielle
purulente
B. La
pulpite
partielle
séreuse
C. La
pulpite
totale
purulente
D. Gangrène
pulpaire
E. La
pulpite
totale
séreuse
54.
Le
rôle
de
la
mise
en
place
d’une
digue
:
A. Le
patient
est
protégé
de
douleur
dans
le
traitement
des
pulpites
B. Le
patient
est
protégé
contre
l’ingestion
accidentelle
d’instruments
ou
d’irrigants
C. Il
n’y
a
pas
nécessaire
l’utilisation
des
désinfectants
D. La
protection
des
tissus
periapicales
E. La
protection
de
la
chambre
pulpaire
55.
Il
n’est
as
bénéfique
d’ajouter
des
désinfectants
dans
les
pâtes
d’obturation
radiculaire,
vu
que
:
A. Le
risque
des
obturations
de
canal
au
dépassement
augmente
B. Ne
réduit
pas
d’une
manière
significative
les
microinfiltrations
marginales
C. Irrite
le
parodonte
apical
D. Ne
sont
pas
inactivés
dans
les
humeurs
tissulaires
E. Produisent
des
colorations
des
dents
56.
La
réponse
incorrecte
pour
le
traitement
dans
l’hyperémies
pulpaires
:
A. Le
traitement
de
la
carie
simple
et
le
coiffage
indirect
B. Le
traitement
de
la
carie
simple
et
le
coiffage
direct
en
double
temps,
dans
les
ouvertures
accidentelles
de
la
chambre
pulpaire
C. L’amputation
vitale
aux
dents
permanentes
en
cours
de
développement,
lorsque
par
l’exérèse
de
la
dentine
ramollie
la
chambre
pulpaire
s’est
largement
ouverte
D. L’extirpation
vitale
E. L’extraction
57.
Du
point
de
vue
morphologique,
la
parodontite
apicale
chronique
fibreuse
ne
se
caractérise
par
:
A. Se
forment
les
soit-‐dites
lésions
de
granulome
conjonctif
B. A
la
périphérie
de
la
formation,
l’agglomération
cellulaire
est
plus
réduite
qu’à
l’intérieur
C. Des
vaisseaux
sanguins
aux
parois
grossies
et
étranglées
tout
au
long
de
leur
trajet
D. La
présence
de
l’infiltrat
lymphoblastique
E. Apparaissent
des
zones
de
tissu
osseux
dense
avec
peu
de
trabécules
osseux
et
d’espaces
intratrabéculaires
58.
Symptomatologie
et
diagnostique
dans
une
gangrène,
avec
une
exception
:
???
A. Le
changement
de
teinte
de
la
dent
est
en
effet
caractéristique
B. L’émail
perd
sa
translucidité
C. L’odeur
nauséabonde
D. Faible
sensibilité
de
la
pulpe
aux
divers
tests
de
vitalité
:
thermique
(froid,
chaud)
ou
électriques
E. Inoculation
septique
du
canal
radiculaire
59.
Ne
bénéficient
pas
de
traitement
conservateur
classique
endodontique
les
dents
qui
présentent
:
A. Des
racines
en
baïonnette
B. Des
racines
aux
courbures
exagérées
C. Fausses
voies
interradiculaires
D. Implantation
déficitaire
E. Tous
les
éléments
ci-‐dessus
60.
Le
traitement
des
parodontites
apicales
aiguës
peut
être
dicté
par
suivants
facteurs,
avec
une
exception
:
A. La
profession
du
patient
B. Le
stade
d’inflammation
C. La
réactivité
individuelle
D. La
forme
anatomo-‐clinique
d’inflammation
E. La
position
de
la
dent
sur
l’arcade
61.
La
percussion
dans
l’axe
est
positive
dans
les
parodontites
apicales
chroniques
:
A. En
90%
des
cas
B. En
20%
des
cas
C. En
100%
des
cas
D. En
70%
des
cas
E. En
50%
des
cas
62.
Les
signes
de
gangrène
simple
sont
:
A. Test
de
vitalité
négatif
B. La
sensibilité
et
du
saignement
sur
le
canal
C. La
chambre
pulpaire
fermée
D. Dent
dont
la
couleur
n’est
pas
modifiée
E. Modifications
périapicales
sur
la
radiographie
63.
La
réponse
incorrecte
concernant
les
facteurs
causaux
à
action
favorisante
dans
la
nécrose
pulpaire
:
A. Spasmes
vasculaires
prolongés,
suivis
d’ischémie
B. Avitaminoses
C. Microorganisme
aboutis
dans
l’espace
endodontique
D. Fracture
dentaire
E. Intoxications
exogènes
aux
différents
métaux
lourds
64.
Les
tests
de
vitalité
sont
intensément
positifs
dans
:
C
A. La
carie
simple
B. Pulpites
aiguës
séreuses
C. Pulpites
aiguës
purulentes
D. Pulpites
chroniques
ouvertes
E. Pulpites
chroniques
fermées
65.
Le
diagnostic
différentiel
dans
la
nécrose
pulpaire
ne
se
fait
pas
avec
:
A. La
gangrène
pulpaire
simple
B. La
pulpite
chronique
ouverte
C. La
pulpite
chronique
fermée
D. La
fracture
dentaire
E. La
parodontite
apicale
chronique
66.
Le
diagnostic
positif
de
l’hyperémie
pulpaire
:
A. La
persistance
de
la
douleur
pendant
30-‐40
min.
Apres
que
l’excitant
cesse,
localisée,
provoquée
surtout
par
la
chaleur,
l’existence
d’un
processus
carieux,
non-‐pénétrant
ou
traitements
récents
sur
la
dent
en
cause,
tests
de
vitalité
positifs
B. La
persistance
de
la
douleur
quelques
minutes
avant
que
l’excitant
cesse,
localisée,
provoquée
surtout
au
froid
et
au
doux,
l’existence
d’un
processus
carieux
profond,
non-‐pénétrant
ou
des
traitements
récents
sur
la
dent
en
cause,
tests
de
vitalité
positifs
C. La
persistance
de
la
douleur
5-‐10
min,
après
que
l’excitant
cesse,
non-‐localisée,
provoquée
surtout
du
doux,
de
grande
intensité,
l’existence
d’un
processus
carieux
profond,
non-‐pénétrant
ou
des
traitements
récents
sur
la
dent
en
cause,
tests
de
vitalisé
intensément
positif
D. La
persistance
de
la
douleur
25-‐30
min,
après
l’arrêt
de
l’excitant,
localisé,
provoquée
surtout
au
chaud,
l’existence
d’un
processus
carieux
profond,
pénétrant,
percussion
dans
l’axe
positif
E. La
persistance
de
la
douleur
tant
que
l’excitant
agit,
localisée,
provoquée
surtout
par
le
froid
et
douce,
l’existence
d’un
processus
carieux
profond,
non
pénétrant
ou
des
traitements
récents
sur
la
dent
en
cause,
tests
de
vitalité
positifs
67.
La
symptomatologie
subjective
dans
la
pulpite
séreuse
totale
est
dominée
par
:
A. Crises
douloureuses
violentes
alternant
avec
des
périodes
de
rémissions
B. La
tendance
d’irradier
la
douleur
C. Le
caractère
pulsatile
de
la
douleur
D. La
percussion
en
axe
positif
E. La
présence
d’un
processus
carieux
profond
68.
Le
temps
où
la
gutta-‐percha
reste
plastique
dans
le
canal
après
l’écartement
du
plugger-‐spreader
réchauffé
du
canal
est
:
A. 10-‐15
secondes
B. 30
secondes
C. 60
secondes
D. 50
secondes
E. 70
secondes
69.
La
réponse
incorrecte
pour
l’évolution
et
complications
dans
la
parodontite
apicale
aiguë
purulente
:
A. Résorption
radiculaire
externe
de
nature
iatrogénique
B. Fistulation,
résorption
et
guérison
temporaire
C. Complication
avec
un
processus
ostéomyélitique
D. Résorption
radiculaire
externe
de
nature
microbienne
E. La
suppuration
des
loges
et
des
espaces
cervico-‐faciaux
70.
Le
tableau
morphopathologique
de
la
parodontite
apicale
aiguë
séreuse
est
dominé
par
:
A. Les
modifications
vasculaires
B. Les
modifications
chimiques
C. Les
modifications
enzymatiques
D. Douleur
++++
E. Résorption
osseuse
71.
Mise
en
forme
canalaire
se
fait
par
:
A. Réalisation
d’une
cavité
d’accès
B. Préparation
mécanique
des
canaux
avec
des
instruments
manuels
et
rotatifs
en
acier
ou
Ni-‐Ti
C. Obturation
radiculaire
D. Préparation
mécanique
de
chambre
pulpaire
E. L’utilisation
d’apex
locateur
72.
Au
cas
de
l’obturation
des
canaux
radiculaires
par
le
système
Endotec,
la
réponse
incorrecte
est
:
A. Utilise
un
instrument
à
double
rôle,
spreader
et
plugger
B. Le
ramollissement
de
la
gutta-‐percha
se
réalise
au-‐delà
du
canal
C. Suppose
l’utilisation
d’un
cément
de
scellement
D. On
obtient
une
obturation
à
densité
plus
grande
E. La
grande
fréquence
des
obturations
avec
dépassement
73.
Dans
les
parodontites
apicales
aiguës
le
traitement
médicamenteux
:
A
A. Est
un
traitement
adjuvant
B. Ne
peut
être
administré
seulement
par
voie
locale
C. N’est
pas
nécessaire
D. Est
un
traitement
principal
E. Peut
être
administré
seulement
par
voie
orale
74.
La
sensibilité
douloureuse
au
cas
d’une
pulpite
chronique
ouverte
ulcéreuse
ne
peut
pas
apparaître
dans
:
A. Dans
la
mastication,
lorsque
des
aliments
sont
déposés
dans
la
cavité
carieuse
et
que
des
pressions
exercent
dans
l’espace
endodontique
B. La
palpation
avec
la
sonde
en
profondeur
C. Au
cas
des
réaccutisations
causées
par
l’oblitération
de
la
cavité
carieuse
pour
un
temps
plus
long,
avec
des
déchets
alimentaires
D. Tests
de
la
vitalité
de
la
dent,
mais
aux
grandes
intensités
des
excitants
E. Tests
de
la
vitalité
de
la
dent,
aux
intensités
habituelles
des
excitants
75.
La
modification
morphologique
dans
l’hyperémie
pulpaire
est
:
A. La
diminution
du
volume
des
odontoblastes
B. L’augmentation
du
volume
des
odontoblastes
et
des
fibroblastes
C. Vasodilatation
dans
tout
le
territoire
pulpaire
D. La
présence
des
bactéries
dans
la
pulpe
E. La
diminution
de
l’activité
métabolique
cellulaire
76.
Le
pH
de
l’hydroxyde
de
calcium
est
compris
entre
:
A. 9-‐10
B. 11-‐12
C. 12-‐13
D. 10-‐12
E. 8-‐10
77.
Les
tests
de
vitalité
au
froid
et
électriques
ne
montrent
pas
de
l’hyposensibilité
pulpaire
dans
:
A. La
carie
simple
B. Pulpites
chroniques
C. Pulpites
aiguës
purulentes
D. Pulpites
aiguës
ouvertes
E. Pulpites
aiguës
fermées
78.
Du
point
de
vue
morphologique,
dans
la
pulpite
aiguë
séreuse
partielle
n’apparaît
pas
:
A. Vasodilatation
sur
le
territoire
pulpaire
étendu
B. La
marginalisation
des
leucocytes
intense
C. A
la
périphérie
du
processus
inflammatoire,
des
signes
d’hyperfonction
D. Dégénérescences
cellulaires
avec
la
fragmentation
de
la
membrane
cellulaire
E. Viscosité
pulpaire
accentuée
79.
Dans
la
pulpite
séreuse
partielle
:
A. La
percussion
en
axe
est
douloureuse
B. La
percussion
transversale
est
douloureuse
C. Les
tests
de
vitalité
répondent
seulement
aux
stimuli
D. La
percussion
verticale
est
douloureuse
E. Aux
tests
de
vitalité
la
réponse
d’intensité
accrue
est
intensément
positive,
avec
une
douleur
prolongée
80.
Choisir
la
mauvaise
option
:
La
nécrobiose
est
une
nécrose
de
coagulation
d’origine
ischémique.
Elle
se
rencontre,
dans
des
cas
tels
que
:
A. Au
cours
d’infection
du
canal
radiculaire
de
la
dent
associée
à
la
nécrose
totale
de
la
pulpe
B. La
rupture
accidentelle
du
paquet
vasculo-‐nerveux,
lors
d’une
contusion
dentaire
accidentelle
C. La
rupture
accidentelle
du
paquet
vasculo-‐nerveux,
lors
d’un
curetage
chirurgical
dans
une
zone
intéressant
l’apex
d’une
ou
plusieurs
dents
voisines
D. Au
cours
d’inflammations
pulpaires
iatrogènes
d’ordre
physique
:
brûlure
de
la
pulpe
par
fraisage
E. Au
cours
d’inflammations
pulpaires
iatrogènes
d’ordre
chimique
:
toxicité
d’un
produit
d’obturation
81.
Laquelle
des
affections
suivantes
est
la
plus
susceptible
de
provoquer
des
douleurs
spontanées
?
A. Une
exposition
pulpaire
due
à
la
carie
B. Une
pulpite
chronique
hyperplasique
C. Une
parodontite
apicale
chronique
D. Une
pulpite
aiguë
E. Une
carie
chronique
profonde
82.
Le
diagnostic
différentiel
au
cas
de
la
pulpite
chronique
ouverte
polypeuse
se
fait
avec
:
A. La
pulpite
partielle
purulente
B. Le
polipe
gingival
C. La
parodontite
apicale
chronique
granulomateuse
D. La
pulpite
partielle
séreuse
E. La
pulpite
totale
séreuse
83.
Les
traumatismes
qui
ne
sont
pas
impliqués
dans
l’étiologie
de
la
parodontite
apicale
aiguë
au
stade
d’hyperémie
:
A. Des
bridges
prothétiques
défectueux
B. Anomalies
dento-‐maxillaires
aux
blocages
des
mouvements
mandibulaires
C. Bruxisme
D. Appareils
orthodontiques
adaptés
d’une
manière
incorrecte
E. Traumatismes
indirects
pendant
les
traitements
endodontiques
84.
La
zone
périphérique
du
granulome
périapical
a
aussi
la
dénomination
de
:
A. La
zone
de
stimulation
ou
encapsulation
(fibrose
périphérique)
B. La
zone
exsudative
C. La
zone
d’irritation
D. La
zone
de
nécrose
E. La
zone
de
guérison
85.
Le
traitement
Spad
:
A. Représente
une
méthode
de
traitement
de
la
pulpite
séreuse
totale
B. Représente
une
méthode
de
traitement
de
la
gangrène
pulpaire
C. Se
réalise
avec
une
solution
Walkhoff
et
la
pâte
Spad
D. Utilise
la
pâte
Spad
mélange
avec
iodoforme
E. Utilise
la
pâte
Spad
et
un
mélange
de
deux
liquides
86.
Produit
pas
utilisé
pour
irrigation
canalaire
:
A. MTA
B. Peroxyde
d’hydrogène
(30%)
C. EDTA
D. Hypochlorite
de
sodium
(15%)
E. Sol
Walchoff
87.
La
réponse
incorrecte
pour
la
symptomatologie
de
la
parodontite
aiguë
:
A. Est
différente
en
fonction
des
facteurs
étiologiques
B. La
percussion
latérale
est
négative
C. La
percussion
dans
l’axe
est
négative
D. Est
dominée
par
la
douleur
à
l’atteinte
de
la
dent
causale
E. La
percussion
dans
l’axe
est
positive
88.
Des
modifications
de
couleur
de
la
dent
peuvent
être
rencontrées
dans
:
B
A. La
carie
dentaire
superficielle
B. La
pulpite
chronique
ouverte
C. La
hyperémie
pulpaire
D. La
pulpite
chronique
fermée
hyperplasique
E. La
pulpite
chronique
fermée
proprement
dire
89.
La
douleur
peut
être
spontanée
dans
:
A. La
pulpite
chronique
fermée
B. La
pulpite
séreuse
partielle
C. La
nécrose
pulpaire
D. La
pulpite
chronique
ouverte
E. La
carie
dentaire
simple
90.
Le
diagnostic
positif
de
la
pulpite
aiguë
purulente
totale
est
posé
selon
:
A. Le
caractère
lancinant
de
la
douleur
B. Les
tests
de
vitalité
réduits
C. L’apaisement
temporaire
par
des
liquides
chauds
D. La
sensibilité
à
la
percussion
transversale
E. L’apparition
de
la
goutte
de
pus
par
la
fistule
vestibulaire
devant
la
racine
de
la
dent