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DROIT CIVIL/PROCÉDURE CIVILE
Cour de cassation
La protection du consommateur dans les contrats chambre civile 2
Audience publique du jeudi 27 février 2014
de vente à distance à travers l’obligation N° de pourvoi: 12-24873
Publié au bulletin Rejet
d’information
Cour de Cassation
Par OUABI Abdelouahed | 2017-07-19 Chambre commerciale, financière et
sous le numéro 44 économique
Introduction : Audience du 11 mars 2014
Les marocains modernisent leur consommation, en effet ils procèdent à des N° de pourvoi : 11-26915
Cassation partielle
achats à distance en concluant avec des commerçants professionnels des
contrats de vente à distance, ces contrats sont généralement qualifiés comme
Cour de cassation
des contrats déséquilibrés puisqu’ils mettent en relation contractuelle un Chambre pénale
simple consommateur ayant pour but de satisfaire son besoin de Audience du 16 novembre 1994
consommation et un commerçant plus fort économiquement et ayant pour but Dossier n°18721/1992
de générer des profits.En effet, le contrat de vente à distance est qualifié Arrêt n° 13190/1
comme un contrat d’adhésion qui nécessite l’intervention du législateur en vue de maintenir
l’équilibre contractuel et de protéger la partie faible au contrat qui est le consommateur dans Cour de cassation
notre cas, chambre civile 1
Audience publique du mercredi 5 février
2014
N° de pourvoi: 12-23467
très particulièrement le cyberconsommateur qui effectue des Publié au bulletin Cassation
achats par l’utilisation d’une technique de communication à distance.
Cour de cassation
Désormais, les contrats de vente à distance sont des contrats de chambre commerciale
Audience publique du mardi 14 janvier 2014
consommation soumises au régime de la protection du consommateur, et
N° de pourvoi: 12-29807
ce, depuis l’entrée en vigueur de la loi 31-08 édictant des mesures de Publié au bulletin Cassation
protection du consommateur en 2011. Cette nouvelle loi, qui vient de doter
le régime juridique marocain d’un nouveau cadre légal de protection du
consommateur, a renforcéun certain nombre des droits dont dispose le
consommateur, en transposant plusieurs droits fondamentaux à caractère
international dans la législation marocaine.
Le préambule de la loi 31-08 dispose que «  La présente loi
constitue un cadre complémentaire du système juridique en matière de
protection du consommateur, à travers laquelle sont renforcés ses droits
fondamentaux, notamment :  le droit à l’information ; (…)». Il en s’infère
alors que le professionnel a une obligation d’information qui constitue
l’une des principales mesures de protection édictées au profit du
consommateur en général, et le consommateur dans le contrat du
commerce électronique particulièrement. Cette obligation d’information
acquière un aspect spécial et important dans les contrats de
consommation conclus à distance, et ce, à cause de la particularité même
de ces contrats qui sont conclus sans la présence physique des parties
c’est-à-dire le professionnel et le cyberconsommateur.
L’importance de cette obligation dans le renforcement de la
protection du consommateur nous mène, tout d’abord, à étudier la portée
de cette obligation (Section 1), avant de creuser dans les textes de lois pour
analyser son contenu (Section 2).

Section 1 : Portée de l’obligation d’information


On recherchera une définition de l’obligation d’information (§1),
avant de se pencher sur le cadre juridique organisant cette obligation au
Maroc (§2).
§1 : Définition de l’obligation d’information
Le législateur marocain n’a pas apporté aucune définition à
l’obligation d’information dans le domaine de vente traditionnelle comme
dans le commerce électronique, de ce fait la recherche d’une définition
doctrinale s’impose.
L’obligation d’information peut être définie comme étant « une
obligation précontractuelle, qui concerne l’obligation d’un contractant de
fournir, avant la conclusion du contrat, à l’autre contractant, les données
nécessaires pour former un consentement parfait et éclairé, en lui
permettant de connaitre tous les détails du contrat »[1].

Concernant l’obligation d’information dans le contrat du


commerce électronique ou de vente à distance peut être définie comme
suit  : «  une obligation qui anticipe la conclusion du contrat électronique,
concernant l’obligation de fournisseur d’informer et d’éclairé le
consommateur des informations sur tous qui est en rapport avec l’opération
de vente via le réseau internet ou autre moyen électronique, afin d’éclairé le
consommateur, en lui permettant de prendre sa décision qui lui semble
adéquate à la lumière de son besoin et de son but de la conclusion du contrat
[2]
électronique » .
Il ressort de ces définitions que le l’obligation d’information est
une obligation imposée au professionnel, dans la phase précontractuelle,
afin de permettre au consommateur d’être éclairé sur le bien ou le service
à acheter et sur les autres clauses du contrat. Alors, il s’agit d’un
formalisme informatif qui vise la protection du consommateur, son but est
de porter à la connaissance du cocontractant diverses informations, pour
[3]
un consentement éclairé .
L’idée de l’obligation d’information est donc claire, mais la loi ne
précise pas comment concrétiser ces obligations d’informations. Dans la
pratique, ces informations sont à trouver sur le site web du
cybercommerçant sur la page d’accueil dans «  les conditions générale de
vente  » ou dans des autres rebriques comme  : «  informations légales  »,
« vos informations personnelles »… etc.,dans lesquelles on trouve tous les
[4]
informations exigées par la loi .

Par conséquence, l’obligation d’information est un élément axial


dans la protection de consommateur et surtout dans le domaine du
commerce électronique où le consentement du cyberconsommateur est
difficile à éclairer. C’est pour cela que toutes les législations en matière de
protection du consommateur essaient de mettre l’accent sur cette
obligation, de même le législateur marocain a doté l’obligation
d’information d’un cadre légal important.
§2 : Cadre légal de l’obligation d’information
 Le législateur marocain a traité l’obligation d’information, avec
peu de précision, à travers la loi 53-05 relative à l’échange électronique de
[5]
données juridiques. Il a consacré deux articles à la réglementation du
mode d’information du consommateur en cas d’utilisation de la voie
électronique pour mettre à la disposition du public des offres
contractuelles ou des informations sur des biens ou services en vue de la
conclusion d’un contrat.
Avec l’entré en vigueur de la loi 31-08 édictant des mesures de
protection du consommateur en 2O11, le cadre légal de l’obligation
d’information s’est renforcé. Ainsi, le législateur a édicté le droit
d’information dans le préambule de cette loi en tant que premier droit
[6]
fondamental en matière de protection du consommateur .

De plus, le législateur considère le droit d’information du


consommateur comme le premier objectif de la loi 31-08 qui précise dans
son article premier : « La présente loi a pour objet d’assurer l’information
appropriée et claire du consommateur sur les produits, biens ou services
qu’il acquiert ou utilise … », ainsi qu’il consacre le deuxième titre de cette
loi à l’information du consommateur.

En effet, l’information du consommateur est une obligation


incombant au fournisseur, et tout vice au défaut de cette information
affecte négativement l’élément du consentement du consommateur ce qui
[7]
peut engendrer la nullité du contrat .
L’obligation d’information a donc pour but de porter à la
connaissance du consommateur de multiples informations afin d’éclairer
son consentement, quelles sont donc ces informations ?
  
Share Section 2 : Contenu de l’obligation d’information
Le consommateur a intérêt avant la conclusion du contrat à
connaitre des informations relatives à l’auteur de l’offre, dans le cadre de
notre étude le cybercommerçant (§1), des informations relatives à l’objet
du contrat et aux divers conditions contractuelles (§2) et enfin en cas de
non-respect de l’obligation d’information du régime applicable (§3).

§1 : Informations relatives à l’identification du cybercommerçant


L’identification du cybercommerçant joue un rôle important
dans l’instauration d’une confiance entre les acteurs du commerce
  électronique, contrairement au commerce traditionnel où il y a une
[8]
connaissance du commerçant qui se présente lui-même à l’acheteur . En
plus, l’identification du cybercommerçant constitue une protection pour le
consommateur car il lui permet de connaitre avec qui il contracte, et à qui
[9]
peut adresser une réclamation éventuelle .

Le législateur marocain a bien saisi l’importance de


l’identification du cybercommerçant dans la protection du
cyberconsommateur, et il a exigé l’identification de chaque auteur d’une
offre du contrat de vente à distance dans l’article 29 de la loi 31-08 qui
prévoit  : «  (…) l’offre de contrat de vente à distance doit comporter les
informations suivantes : (…) Concernant le cyber commerçant :

- s’il est assujetti aux formalités de l’inscription au registre de


commerce, son numéro d’immatriculation et le capital de la société ;

- s’il est assujetti à la taxe sur la valeur ajoutée, son numéro


d’identité fiscale ;

- si son activité est soumise au régime de la licence, le numéro de


la licence, sa date et l’autorité qui l’a délivrée ;
- s’il appartient à une profession réglementée, la référence des
règles professionnelles applicables, sa qualité professionnelle, le pays où il a
obtenu cette qualité ainsi que le nom de l’ordre ou l’organisation
professionnelle où il est inscrit… ».
Il ressort donc de cet article que la loi 31-08 impose aux
commerçant en ligne une obligation d’information relative à leur identité
et à leur profession, ainsi ces informations peuvent éclairer le
cyberconsommateur avant la conclusion du contrat en lui permettant de
connaitre avec qui il contracte. En outre, en cas de litige entre le
fournisseur et le consommateur relative à la communication de ces
[10]
informations, la preuve incombe au fournisseur , c’est donc au
fournisseur qui doit prouver qu’il a informé le consommateur de toutes
ces informations obligatoires.

Dans ce sens, l’article 31 de la même loi dispose que  : «  Sans


préjudice des dispositions de l’article 29, le fournisseur doit, s’il s’agit d’une
vente à distance, utilisant le téléphone ou n’importe quelle autre technique
de communication à distance, indiquer expressément au début de la
conversation avec le consommateur, son identité et l’objet commercial de la
communication  ». A notre modeste avis, il résulte de cet article que le
législateur vise à renforcer l’obligation d’information édictée dans l’article
29 relative à l’identité du cybercommerçant, et de ne pas laisser aucune
possibilité à un commerçant, utilisant le téléphone ou une autre technique
de communication à distance, d’échapper à cette obligation en se basant
par exemple sur le fait qu’il ne peut pas afficher les informations relatives
à leur identité parce qu’il ne possède pas d’un site web.

Concernant le mode de communication de ces informations au


consommateur, l’article 29 al.2 précise qu’ils sont communiqués par tout
de manière claire et compréhensible par tout moyen adapté à la technique
de communication utilisée. On peut dire que le législateur n’a pas
déterminé de manière précise comment ces informations doivent être
communiquer au consommateur, devant cette imprécision la rédaction
d’une notice légale figurant sur la page d’accueil de site web de
cybercommerçant peut être considérer comme un bon moyen de
[11]
communication des informations obligatoires au cyberconsommateur .

Enfin il est incontestable que les informations relatives à


l’identité de l’auteur de l’offre sont importantes, mais elles ne sont pas les
seules informations que le commerçant doit communiquer au
consommateur.

§2 :Informations relatives aux conditions contractuelles


Pour éclairer le consentement du consommateur, des
informations sur les conditions contractuelles du futur contrat doivent
être lui communiquer par le commerçant. Il s’agit des informations qui
concernent les caractéristiques essentielles du produit ou bien ou du
service, les informations sur les prix et modalités de paiement, les
informations sur la date et modalités de livraison, les informations sur les
conditions générales de vente (CGV) …etc.

Concernant les informations sur les caractéristiques essentielles


du produit, l’article 3 al.1 de la loi 31-08 dispose que  :  «  Tout fournisseur
doit mettre, par tout moyen approprié, le consommateur en mesure de
connaître les caractéristiques essentielles du produit, du bien ou du service
…  ». Ainsices caractéristiques peuvent être définies comme étant  : « les
caractéristiques  qui déterminent le consentement du consommateur et qui
[12]
permettent l’utilisation correcte du bien ou du service  » , alors on peut
dire que les informations relatives aux caractéristiques du produit, du
bien ou service visées à l’article précité sont celles qui vise à aider le
consommateur à construire un consentement éclairé, et à de choisir la
chose la plus adaptée à son besoin.

Concernant les informations sur les prix et modalités de


paiement, l’article 3 al.2 de la loi 31-08 dispose que  : «  A cet effet, tout
fournisseur doit notamment par voie de marquage, d’étiquetage, d’affichage
ou par tout autre procédé approprié, informer le consommateur sur les prix
des produits et biens et tarifs des services …  ». Par cette disposition, le
législateur vise l’information du consommateur par le prix de la chose à
acheter avant la conclusion du contrat, car le prix est un élément essentiel
dans la détermination du consentement du consommateur. Ainsi le
législateur donne au fournisseur la liberté de choisir le procédé approprié
pour exercer cette information, donc peu importe le procédé utilisé,
l’essentiel c’est d’informer le consommateur sur le prix. Quant aux
modalités de paiement dans le contrat de vente à distance, le législateur
[13]
marocain impose une obligation d’information préalable à cette égard
et que le l’opération de paiement doit être soumise à la législation en
[14]
vigueur et être sécurisé .

Concernant les informations relatives aux conditions générales


de vente (CGV) appelées aussi conditions générales d’utilisation (CGU),
elles ont pour but de «  définir les droits et obligations de chaque
[15]
partie  » . C’est le commerçant qui rédige les conditions générales de
vente mais ça ne veut dire qu’il peut y insérer des conditions loyales plus
avantageuses pour lui telles que les dispositions du droit commun, les
dispositions insérées dans les conditions générales de vente ne peuvent
pas priver le consommateur de ses droits issus du droit de la
[16]
consommation .

Dans les contrats conclus à distance, l’information du


consommateur a pour objet les éléments précisés exhaustivement dans
l’article 29 de la loi 31-08. Ainsi qu’une confirmation de ces informations
est imposée au fournisseur. Il s’agit d’un principe édicté par l’article 32 de
la même loi qui dispose que : « Le consommateur doit recevoir, par écrit ou
sur un autre support durable à sa disposition, en temps utile et au plus tard
au moment de la livraison : La confirmation des informations mentionnées
aux articles 3, 5 et 29, à moins que le fournisseur n’ait satisfait à cette
obligation avant la conclusion du contrat … ».

L’obligation d’information s’avère donc très encadrer par le


législateur marocain vu son importance, mais il faut s’interroger sur
l’existence des garanties pour le consommateur en cas de non-respect de
cette obligation par le professionnel.

§3 :Sanction du non-respect de l’obligation d’information


Sur le plan civil, les textes relatifs aux différentes obligations
d’information ne sont pas assortis de sanctions civiles spécifiques, mais
l’existence de cette obligation permet au juge de prononcer la nullité du
contrat en se basant sur le fondement de l’erreur ou celui du dol,
[17]
notamment la réticence .

En outre la jurisprudence française va plus loin en considérant


que cette obligation d’information est de nature contractuelle et non
précontractuelle, en se basant sur le motif selon lequel cette obligation se
rattache à l’obligation de loyauté et de bonne foi qui existe au stade de
[18]
l’exécution du contrat . Par conséquence, si en considère que
l’obligation d’information est une obligation contractuelle, l’inexécution
de cette obligation donne lieu à des dommages-intérêt au profit du
[19]
consommateur .

Sur le plan pénales, une gamme de sanctions est prévue par la


loi 31-08 pour l’inexécution de l’obligation d’information. Ainsi, l’article
173 de cette loi prévoit pour toutes les infractions qui sont liées au titre II
(relative à l’obligation d’information) de la loi 31-08 et les textes pris pour
son application, une répression par une amende de 2000 à 5000 dirhams.

En ce qui concerne l’obligation d’information édictée dans les


articles 29, 30 et 32 pour les contrats à distance, l’article 177 de la loi 31-08
précise que : « Les infractions aux dispositions des articles 29, 30 et 32 sont
punies d’une amende de 1.200 à 10.000 dirhams. En cas de récidive, l’amende
est portée au double ... ».
 Par conséquence, il est donc évident que le législateur marocain
a accordé une importance à cette obligation d’information, en édictant un
cadre légal complet et en assotant l’obligation d’information par des
sanctions pénales qui peuvent garantir sans respect par les commerçants
en général, et les cybercommerçants particulièrement. Certes l’obligation
d’information constitue un élément axial dans la protection du
cyberconsommateur, mais elle n’est pas la seule mesure édictée par le
législateur dans ce sens.
 

‫ ﺟﺎﻣﻌﺔ ﻣﻮﻟﻮد‬،‫ دراﺳﺔ ﻣﻘﺎرﻧﺔ‬:‫ اﻟﺤﻤﺎﻳﺔ اﻟﻘﺎﻧﻮﻧﻴﺔ ﻟﻠﻤﺴﺘﻬﻠﻚ ﻋﺒﺮ اﻷﻧﺘﺮﻧﺖ‬،‫ﺧﻠﻮي ﻋﻨﺎن ﻧﺼﻴﺮة‬
[1]-‫ﻣﻌﻤﺮي‬
.17.‫ ص‬،2013 ،‫ﺗﻴﺰي وزو ﻛﻠﻴﺔ اﻟﺤﻘﻮق واﻟﻌﻠﻮم اﻟﺴﻴﺎﺳﻴﺔ‬
-Traduction personnelle.
‫ ﺳﻠﺴﻠﺔ‬،‫ اﻟﺮﺑﺎط‬،‫ ﺗﻨﻈﻴﻢ اﻟﺘﺒﺎدل اﻹﻟﻜﺘﺮوﻧﻲ ﻟﻠﻤﻌﻄﻴﺎت اﻟﻘﺎﻧﻮﻧﻴﺔ ﻋﺒﺮ اﻷﻧﺘﺮﻧﺖ‬،‫ﻋﺒﺪ اﻟﺤﻜﻴﻢ زروق‬
.299.‫ ص‬.2016 ،‫ اﻟﻄﺒﻌﺔ اﻷوﻟﻰ‬،‫ دار اﻷﻣﺎن‬،‫[ واﻟﻤﻨﺎزﻋﺎت‬2]‫اﻟﺸﺆون اﻟﻘﺎﻧﻮﻧﻴﺔ‬

Traduction personnelle.-

[3]SYLVAIN LAUBOUE, Adongon. Le cybercommerçant, thèse, Université de bordeaux,


2015, P. 405.
[4]GOLA, Romain v. Droit du commerce électronique : guide électronique de e-
commerce, LEXTENSO éditions, 2013, p. 291.
[5]Les articles 65-3 et 65-4 de la loi 53-05.
[6] Préambule de la loi 31-08 : « La présente loi constitue un cadre complémentaire du
système juridique en matière de protection du consommateur, à travers laquelle sont
renforcés ses droits fondamentaux, notamment :  le droit à l’information (…) ».
[7]‫ >>ﺣﻤﺎﻳﺔ اﻟﻤﺴﺘﻬﻠﻚ ﺿﻤﻦ ﻋﻘﺪ اﻻﺳﺘﻬﻼك اﻟﻤﺒﺮم ﺑﺸﻜﻞ‬،‫ﻋﻤﺮ اﻟﻨﺠﻮم؛ ﻋﺒﺪ اﻟﺮﺣﻤﺎن ﺣﻤﻮش‬
2016،‫ ﻧﻮﻧﺒﺮ‬،‫ اﻟﻌﺪد اﻟﺤﺎدي ﻋﺸﺮ‬،‫ ﻣﺠﻠﺔ اﻟﻘﺎﻧﻮن واﻷﻋﻤﺎل‬،<<‫إﻟﻜﺘﺮوﻧﻲ‬.62 .‫ ص‬.
[8]DISDET, Djamila. L’obligation d’information dans les contrats du commerce
électronique, thèse, Université d’Avignon, 2011, p. 93.
[9]GESLAK, Virginie. La protection du consommateur et le contrat en ligne, Université
de Montpellier I, 2011. P. 44.
[10] L’article 34 de la loi 31-08.
[11]GOLA, Romain v. op.cit., p. 293.
[12]GESLAK, Virginie. Précité, P. 48.
[13] Article 29/5 de la loi 31-08.
[14] Article 35 de la loi 31-08.
[15] R. GOLA, op.cit., p. 294.
[16] Ibid.
[17]DISDET, Djamila, thèse préc., p. 116.
[18]ARCHAMBAULT, Lucile. La formation du contrat de vente en ligne et la protection
du consommateur, université Paris 1 Panthéon– Sorbonne, 2004, p. 21.
[19] En se basant sur l’article 263 du code des obligations et des contrats.

Écrit par OUABI Abdelouahed


Etudiant et chercheur en droit privé

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