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1. INTRODUCTION
Nous allons voir 3 points qui nous permettrons de connaitre la réalité du droit
qui est quotidienne
• UBI JUS IBI SOCIETAS(le droit est toujours présent là où se trouve toute
société)
L’’adage latin si haut démontre (affirme) que le droit est vieux que la société ou
même le droit est né au même moment que la société.
L’Homme est un être social qui vit en relation avec d’autres hommes (famille,
clan…).Il y a parfois interaction entre les hommes et entre les groupes sociales.
Le droit est donc partout, il est plus que présent dans la vie de tout économiste
au sein de l’Entreprise, dans le commerce, dans l’organisation économique de
l’Etat ; ces règles et préceptes accompagnent la vie quotidienne de
l’économiste d’où l’importance de l’enseignement du droit public et privé à
l’économie qui lui permet de se familiariser avec les notions fondamentales de
cette discipline.
1. Définition: La règle de droit est une règle de conduite dans les rapports sociaux
dont le respect est assuré par l’autorité publique.
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Avantage, privilège attaché à une fonction, à une dignité
Du point divergence est que le meurtre c’est donnée la mort brusque tandis
que l’assassinat c’est un meurtre mais avec l’intention de tuer.
Le droit n’existe que dans une société ou dans un groupe organisé d’être
humain.
IL n’y a pas que la règle de droit qui régit la conduite dans la société, Il existe
d’autres institutions qui ont pour but d’assurer le fonctionnement harmonieux
de relations humaines sans pour autant être la règle de droit.
Ex : la règle des biens séances, les préceptes moraux, les lois religieuses, les
commandements de l’équité, la politesse.
La justice bien fait, la vengeance individuelle risque dégénérer dans les abus et
provoque des conflits ou des désordres plus graves, c’est ainsi que la mise en
œuvre de la sanction doit être réservé à l’autorité publique et droit agir selon
certaines procédures.
2. Les caractères
Elle est donc imposée, un précepte dont le respect serait laissé à la discrétion
de chacun ne serait pas une règle de droit mais un conseil ; les individus et les
juges doivent aussi respecter la règle de droit.
Les règles impératives sont celles qui s’imposent absolument à tous les sujets
de droit, ils ne peuvent en aucune façon de les écartées.
Les règles supplétives, elles peuvent être écartées par la volonté contraire de
personne qui est soumise.
* Caractère permanent
Ici, les règles de droit sont permanentes, elle s’applique de la même manière, à
tout moment mais pas éternelle car elles sont un commencement et une fin.
Il peut arriver dans le cas rare que la puissance publique refuse d’exécuter.
*Caractère général
La règle de droit est rédigée à des sujets ou termes abstrait elle ne s’applique
pas à telle personne ou telle personne. La généralité de la R.D est une garantie
contre toute discrimination
3. Les buts
Rien n’interdit que l’ordre social ne soit pas fondé sur un idéal de la justice bien
au contraire une loi injuste peut se heurter à la résistance la conscience
individuelle et du corps social.
NB: Il faut noter que la morale est plus exigeante que le droit.
La morale condamne les mensonges tandis que le droit tolère les mensonges
qui n’ont pas des conséquences…… bien souvent le droit s’écarte de la morale
pour respecter la liberté individuelle.
Alors que morale possède diverses sources tel que la prescription religieuse et
la conscience individuelle, le droit quant à lui ne puise ses sources aux
commandements de l’autorité publique régulièrement établit (parlement,
gouvernement et justice)
• Quant à la finalité
• Quant au contenu
• Quant à la sanction
La morale ne connaît que les sanctions intérieures (culpabilité, etc.) tandis que
le droit bénéficie de contrainte organisé par le corps social.
*Les finalités Matérielles : Les biens communs : le droit tend selon l’expression
de Saint Thomas D’Aquin.
SPECIALISATION DE LA RDCONGO
Il comprend :
- le droit international public
- le droit international privé
- le droit communautaire.
Il régit les rapports des particuliers entre eux mais qui comportent un élément
étranger.
Les rapports entre les particuliers suscitent des questions de conflits de loi
càd les déterminations de droit national applicable à une situation juridique
international intéressant des particuliers.
Ex : CPGL, OHADA
La différence réside dans l’impact de règle par rapport aux citoyens habitant
dans cette communauté.
Lorsqu’une institution communautaire met une règle, elle s’applique
Il est appelé ainsi parce que c’est le droit en vigueur dans un Etat déterminé
ayant des sources, des organes et des sanctions propre à cet Etat.
1. Droit public
Le droit public comprend l’ensemble des règles qui dans un Etat donnée ont
pour objet l’organisation, les structures, les composantes de cet Etat ainsi que
les collectivités publiques et qui gouvernent leur rapport avec les particuliers.
2. Droit privé
C’est l’ensemble de règle qui gouverne les rapports des particuliers entre eux
ou avec les collectivités privés (Sté privé, des associations)
Ses branches:
Le droit est un phénomène social qui peut prouver dans certains aspects de vie
sociale.
Dans les facteurs du droit, on classe régulièrement les règles religieuses, règles
morale, les droits économiques et états sociales.
Les sources réelles se distinguent aux sources formelles qui correspondent plus
techniquement au mode de formation de norme juridique, aux procédés et
actes par lequel sont créés les règles de droit, sources formelles amènent des
pouvoirs constitués de l’Etat (pouvoir législatif, exécutif, judiciaire), elle tire
leur autorité de la forme dans laquelle elles sont présentées, d’où l’appellation
de « sources formelle ».
On attend par source de droit, les différentes manières dont les règles de droit
sont établies :
- Soit elles émanent des autorités qui ont le pouvoir de le créer et d’en
imposer l’observation (on parle alors de lois au sens large)
- Soit elles résultent des pratiques habituelles répétés qui sont devenues
obligatoires (on parle alors de coutumes).
- Au sens large, la loi englobe tout le texte formulé par le pouvoir législatif
que par le pouvoir réglementaire.
- Au sens stricte, la loi est l’acte qui émane le pouvoir législatif
conformément aux règles établis par la constitution ; c’est ce qu’on
appelle « la loi ordinaire »
A B
Loi
D C
Règlement
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Jurisprudence: science du droit et des lois
Lorsque la loi ne régît que les principes fondamentaux, elle laisse un domaine
en mesure d’application et ce dernier est prise par le gouvernement.
La loi vient fixer les mesures fondamentales et le règle fixe les mesures
d’application.
L’initiation de faire une loi peut venir soit d’un député soit d’un sénateur, soit
du gouvernement.
Lorsque l’initiative vient de la loi émane d’un député ou d’un sénateur, on parle
de la « proposition de la loi ».
- Soit il promulgue
- Soit il renvoi pour une harmonisation de quelques aléas si possibles.
Une loi est applicable dès son entrée en vigueur jusqu’à sa sortie en vigueur, on
l’appelle aussi « approbation ».
La sortie de vigueur fait perdre à la loi son caractère obligatoire pour l’avenir.
Elle se fait généralement par la voie d’abrogation3 , ce dernier peut être
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L’effet d’annulé
X Y
1.1principe : la non rétroactivité de la loi nouvelle (la loi nouvelle n’agit pour
le passer)
2. application de la loi dans le temps
• principe : la non rétroactivité de la loi nouvelle (la loi nouvelle
n’agit pour le passer)
• l’explication du principe: -la loi nouvelle ne s’applique pas aux
situations ayant disparu avant son entrée en vigueur.
- la loi nouvelle ne s’applique pas aux situations contractuelles nées
sous la loi ancienne et dont les effets se prolongent sous la loi
nouvelle.
- la loi nouvelle s’applique aux effets futurs de situations contractuelles
nées avant son entrée en vigueur et se prolonge après l’entrée en
vigueur.
- loi novelle s’applique à tous les situations nées après son entrée en
vigueur
EX : la constitution (1960) nous dit que tout citoyens atteint 18 ans doit être
déclarer majeur, nous sommes en 2012 c.-à-d. que tout celui qui est né en 1994
est majeur ; arriver en 2014 y a une autre loi qui nous dit que nous repoussons
l’âge majeur à 21 ans, or ceux qui étaient ne deviendront plus mineurs.
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Qui n’est pas formellement exprimé
N.B : la date de loi interprétative est la date de la loi interprétée et non la date
de sa promulgation.
3. Les lois pénales plus douces: définissent les peines mais qui sont
douces.
4. Les lois des procédures: sont d’applicable immédiate même pour les
faits qui se sont passés avant son entré en vigueur.
*l’acte règlementaire crée des règles de droit càd les règles susceptibles de
conférer les droits et d’imposer les droits et les obligations.
Les règles créent des règles générales et des impersonnels càd applicable à
toute personne.
2. Domaine du règlement : le principe de base est que les matières seules qui
sont du domaine de la loi ont un caractère règlementaire. Il est plus important
que celui de la loi d’où l’on dit que la compétence législative, de parlement est
une compétence d’exception, d’attribution alors que la compétence
règlementaire de l’administration est une compétence des droits communs.
a. le Président de la république
b. Le 1er Ministre
c. Les ministres
Ils ont un pouvoir règlementaire en raison de la matière. Ils agissent par voie
d’arrêté ministériel.
Ils agissent par matière. Les gouverneurs de province et les ministres agissent
par voie d’arrêté.
1. La ville
2. La commune
3. Le secteur
4. La chefferie
Les auteurs des actes ayant force de loi sont généralement le chef d’Etat ou les
autorités du gouvernement.
C’est le parlement qui habilite le pouvoir exécutif à prendre les actes qui ont
force de loi. Le gouvernement prend l’initiative pour obtenir l’autorisation de
dicter des mesures qui sont normalement du domaine de la loi .L’autorité
donné par le parlement s’appelle loi d’habilitation. Le parlement fixe dans la loi
d’habilitation ; la limite dans le temps ainsi que les matières dans lesquelles le
gouvernement peut agir. Dans cette limite de temps les actes prisent par le
pouvoir exécutif doivent être ratifié, approuver par une loi de ratification.
Dans le cas où la loi de ratification n’intervient pas, les actes pris par le pouvoir
exécutif devienne caduque.
En cas des circonstances exceptionnels, les actes ayant force de loi peuvent
être pris soit en vertu de la constitution (Etat de siège), soit de manière
exceptionnelle, non prévu par la constitution (coup d’Etat, rebellions) lorsque
le président de la république prend un acte ayant force de la loi on le qualifie
comme ordonnance loi tandis que chez un ministre c’est le décret-loi.
§1 la coutume
Elle est une règle de droit qui se dégage lentement et spontanément de fait et
de pratique arbitrairement suivit dans un milieu social donné. Elle devient
obligatoire, indépendamment de toute intervention expresse ou approbation
même tacite du législateur.
Elle émane directement du peuple, c’est une règle qui est reconnue par les
autorités comme étant obligatoire. Les cours et tribunaux congolais appliquent
la coutume pour autant que celle-ci ne soit pas contraire à l’ordre public et aux
bonnes mœurs.
La coutume est appliquée au même titre que la loi cela fait de la loi congolaise,
une loi dualiste. Toutefois, en cas de conflit entre les 2 lois, il y a primauté du
droit écrit sur le droit coutumier.
R / elle peut jouer un rôle à défaut de la règle écrite ou bien elle comble le
lacune de la loi ou bien encore la loi elle-même renvoi à la coutume.
*jurisprudence
Est l’œuvre de l’autorité judiciaire. C’est la solution donnée par les tribunaux
sur un point de droit litigieux.
1. la répétition: c’est l’habitude prise par les tribunaux statué dans un sens.
• obligatoire
• générale
*la doctrine
Elle est constituée par l’ensemble des travaux et études juristes sur diffèrent
problème de pouvoir. Elle ne joue qu’un rôle indirect dans l’élaboration des
règles de droit.
*la pratique
Le rôle des praticiens (avocat, docteur…) est d’aider les particuliers à résoudre
les problèmes d’ordre juridique qu’ils rencontrent. Ils interviennent comme des
conseillers et des défenseurs.
Droit subjectif
Sont étroitement liés à la personne et ne sont pas évaluables en argent, ils ont
généralement une valeur morale.
N.B : la violation de droit subjectif peut toutefois être sanctionnée par des
dommages et intérêts. Ce n’est alors une réparation et non un prix afférant à
ce droit.
§2 Droit patrimoniaux.
Les titulaires de droit subjectifs sont des personnes qui sont dotés de la
personnalité juridique. Ce dernier est définie comme l’aptitude à être titulaire
de droit et débiteur d’obligation vis-à-vis des tiers cet ensemble de droit et
d’obligations continue le patrimoine d’un sujet de droit.
Le patrimoine est lié à la personne. Ils s’en suivent des conséquences ci-après :
Les sujets de droits sont soit des personnes physiques (les individus) soit les
personnes morales (les groupements d’individus)
*volontairement
Ex un contrat
*le fait juridique : est un évènement involontaire auquel la loi confère les
effets de droit. Il peut aussi être le résultat d’un évènement volontaire par ex
un accident de circulation, une naissance, la mort…)
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Qui survient de manière imprévue
Celui qui se prétend être titulaire d’un droit, doit démontrer les circonstances,
les faits ou actes juridique qui servent des sources de droit subjectif qui
l’importe càd la règle de droit n’a pas à être prouver, seul l’acte ou fait
juridique doit être établit. La règle de droit n’a pas être prouver, en principe, il
n’appartient pas à celui qui invoque une règle de droit (droit objectif) de la
prouvée, sauf s’il s’agit des usages locaux. Seul acte ou fait juridique doit être
prouvé
En principe celui qui doit prouver càd celui qui a la charge de la preuve est celui
qui avance un effet. Néanmoins, il arrive que la preuve soit difficile ou
impossible ou celui qui se prévaut d’un acte ou d’un fait juridique. La loi a alors
aménagée la charge de la preuve.
*légales
*la présomption légale est celle qui disparut des preuves celui qui en bénéficie.
En droit civil, les moyens de preuve requis seront diffèrent selon qu’on cherche
à démontrer un acte ou un fait juridique. Il existe 2 catégories de moyen de
preuve :
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Jugement fondé sur les indices et non encore prouvé
Elles offrent la plus grande sécurité et sont dotés d’une force probante réelle
parce qu’elles sont matérialisées. Elles sont nécessaires pour la démonstration
des actes juridiques.
2. Preuves imparfaites
Elles sont dotées d’une force probante moins importante et peuvent compter
une preuve parfaite. Elles sont admises pour la démonstration des faits
juridiques.
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Se dit d’un acte qui n’a pas été établi devant un officiel public