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A- 42% d’oxygène
B- 21% d’oxygène
C- 50 % d’oxygène
D- 10,5 % d’oxygène
2. l’hypoxie
5. le sommeil
A- 2 - 5 -6
B- 1 - 3 -5
C- 3 - 4 - 6
D- 1 - 2 - 4
A- 15 minutes
B- 10 minutes
C- 1 minute
D- 7 minutes
1. à 2 000 m d’altitude le volume des gaz dans l’estomac augmente d’environ 25%
2. un gaz occupant un volume donné, au niveau de la mer, occupe dans les sinus et l’oreille moyenne
un volume inférieur de moitié à 1 000 m d’altitude.
3. à la descente, le tympan à tendance à bomber vers l’extérieur. A l’extérieur celui-ci peut se rompre,
ce qui provoque une otite barotraumatique.
4. l’otite barotraumatique se manifeste par des otalgies, une baisse de l’acuité auditive, parfois des
vertiges
5. 5. la dilatation des gaz dans l’estomac peut entraîner des douleurs gastriques et une aérogastrie.
En prévention, il est recommandé aux sujets sensibles de mâcher du chewing-gum pour favoriser
l’éructation.
6. la diminution importante et brutale de la pression ambiante peut entraîner la mort subite par
éclatement des alvéoles pulmonaires.
A- 1 - 3 - 5
B- 2 - 3 - 6
C- 2 - 4 - 5
D- 1 - 4 - 6
6. Parmi les troubles énoncés ci-dessous, choisissez ceux liés au décalage horaire :
A. le degré d’hygrométrie est de 20% dans un avion commercial pressurisé en croisière alors qu’au
sol, en climat tempéré et agréable, une saturation de 50% est appréciée
B. la pression barométrique ou pression atmosphérique augmente au fur et à mesure que l’on
descend. Elle s’exprime en millibars ou en hectopascals
C. la concentration d’ozone diminue avec l’altitude surtout à partir de 12 000 mètres avec une chute
très nette entre 15 000 et 25 000 mètres
D. la température décroît avec l’altitude. Cette diminution est de l’ordre de 12° par 1 000 mètres.
A. crise d’hystérie et de tétanie ont un signe commun : le risque majeur d’une crise d’épilepsie
B. une panique générale ne peut être arrêtée. Il est capital de la prévenir. Elle commence chez les
sujets fragiles, se propage ensuite à tout le groupe et désorganise le comportement logique par
des gestes inconcevables normalement
C. l’angoisse se manifeste par une sensation de «boule dans la gorge », de « nerfs noués sur
l’estomac », pouvant être calmée par une présence rassurante ou une injection d’un remède
antigastralgique
D. la claustrophobie est une angoisse consistant à ne pouvoir rester dans un lieu clos et pouvant
aboutir à une paralysie faciale.
A. 4 500 m
B. 3 500 m
C. 9 000 m
D. 6 000 m
11. Parmi ces différentes affirmations concernant les effets liés aux déplacements,
choisissez celle qui est exacte :
A. il faute conseiller aux passagers devant prendre des médicaments particuliers à heure précise (par
exemple : antidiabétique), d’adapter la prise des médicaments à l’horaire du lieu d’arrivée
B. les affections les plus fréquentes dues aux variations climatiques lors de déplacements sont
d’ordre ORL et respiratoires
C. les principaux troubles engendrés par le décalage horaire sont : troubles du sommeil, troubles
digestifs, fatigue, courbatures, sensation de jambes lourdes et déshydratation
D. pour récupérer un décalage horaire important, il faut en moyenne trois jours pour récupérer le
quart du décalage et encore deux jours pour récupérer le reste du décalage.
1. l’hypoxie
2. la dilatation des gaz liée à l’altitude
3. la baisse excessive et brutale de la pression barométrique
4. des douleurs abdominales
5. une expectoration mousseuse et rosée
6. des démangeaisons cutanées et des douleurs articulaires
A. 2-5
B. 3-6
C. 1-5
D. 3-4
1. des traumatismes
2. le mal de l’air
3. des crises d’angoisse et d’anxiété
4. des otites barotraumatiques
5. une gêne à l’audition
6. une sensation de jambes lourdes
A- 1–4–6
B- 3–4–5
C- 2–5–6
D- 1–2–3
14. Pour mieux définir les caractéristiques physiques et chimiques de
l’atmosphère, on peut affirmer que :
A- 1–4–5
B- 2–4–6
C- 1–2–3
D- 3–5–6
15. Les actions essentielles à entreprendre pour prévenir les conséquences du mal
de l’air lors de turbulences en vol sont :
A- s’assurer de la présence de sacs vomitoires, faire attacher les passagers et restreindre les
mouvements de la tête, faire inhaler de l’oxygène en cas de vomissements
B- éviter les boissons gazeuses repas copieux, installer les passagers sensibles au centre de gravité de
l’avion, distribuer des chewing-gum ou des bonbons
C- calmer l’anxiété des passagers, faire attacher les passagers et restreindre les mouvements de la
tête, s’assurer de la présence de sacs vomitoires
D- donner des médicaments antinaupathiques, distribuer des boissons fraîches, lutter contre les
mauvaises odeurs.
A- 50% à 60%
B- 5% à 10%
C- 60% à 100 %
D- 1% à 3%
A- la dépression barométrique
B- la température ambiante
C- les mouvements de l’avion
D- le manque d’oxygène
19. Dans un avion pressurisé, les effets des variations de la pression atmosphérique
sur le corps peuvent provoquer :
20. Dans les différents cas énumérés ci-dessous concernant les effets de variation
de pression en descente sur les cavités semi-closes, choisissez la réponse exacte :
A- pour limiter les risques d’aérocolie, il faut éviter les boissons gazeuses et respecter une bonne
hygiène alimentaire
B- pour éviter une sinusite barotraumatique, il faut pratiquer régulièrement la méthode Vasalva
C- une otite barotraumatique est une atteinte de l’oreille externe due à des variations brutales du
volume de l’air entraînées par les variations de la pression atmosphérique
D- quand la trompe d’Eustache n’est pas imperméable, le tympan se déforme vers l’extérieur pouvant
entraîner une otite barotraumatique.