QCM AUDIT réalisé par Mohamed Ouallal
Q1-L’audit est :
A. Un examen professionnel
B. Une sorte d’inspection.
C. Une sorte de confirmation.
D. Examen exhaustif.
E. Sorte de comparaison
F. Type de contrôle
G. Type de vérification
H. Sorte d’évaluation.
I. Contrôle fiscale.
J. Contrôle financier
K. Aucune réponse.
L. Toutes les réponses sont justes
Q2. L’approche à risque a pour objectif de :
A. Refaire la comptabilité.
B. Déterminer les zones à risques.
C. Approfondissement
D. Déterminer la faiblesse de l’entreprise.
E. Détecter les anomalies.
F. Eviter complètement les risques.
G. Limiter les zones à risques
H. Eviter les zones à risques
Q3. Au cours de la phase de connaissance générale de
l’entité l’auditeur s’intéresse à :
A. L’effectif service comptable.
B. Le taux de croissance de secteur.
C. La structure organisationnelle.
D. Le manuel de procédure.
E. Les comptes.
F. Les procédures.
G. Le contrôle interne.
H. La revue analytique.
I. Le degré de respect des procédures.
J. Les perspectives des problèmes techniques.
K. Le respect des principes comptables.
L. Le délai d’arrêt des comptes.
M. Les perspectives de non-respect des
procédures.
N. Les perspectives d’expansion de secteur.
O. La répartition des taches
P. Les standards de secteur
Q4. Au cours de la phase d’appréciation de contrôle
interne l’auditeur s’intéresse à :
A. L’effectif service comptable.
B. Le taux de croissance de secteur.
C. La structure organisationnelle.
D. Le manuel de procédure.
E. Les comptes.
F. Les procédures.
G. Le contrôle interne.
H. Répartition des taches
I. La revue analytique.
J. Le degré de respect des procédures.
K. Les perspectives des problèmes techniques.
L. Le respect des principes comptables.
M. Le délai d’arrêt des comptes.
N. Les perspectives de non-respect des
procédures.
O. Les perspectives d’expansion de secteur.
P. La répartition des taches
Q. Le degré de respect de la disposition
législative.
Q5. Au cours de la phase de l’examen analytique
l’auditeur s’intéresse à :
A. L’effectif service comptable.
B. Le taux de croissance de secteur.
C. La structure organisationnelle.
D. Les comptes.
E. Les procédures.
F. Le contrôle interne.
G. La revue analytique.
H. Le degré de respect des procédures.
I. Les perspectives des problèmes techniques.
J. Le respect des principes comptables.
K. Le délai d’arrêt des comptes.
L. Les perspectives d’expansion de secteur.
M. La répartition des taches
N. La régularité et la sincérité des comptes.
Q6.dans le cadre de la démarche générale de l’audit
une mission d’audit ne peut se réaliser :
A. Sans passer par la phase de prise de
connaissance générale.
B. Sans passer par la phase de contrôle interne.
C. Sans évaluation des procédures.
D. Sans passer par la phase de la revue
analytique.
E. Sans passer de la phase de l’examen
analytique.
F. Sans passer par la phase de faire la
comptabilité de l’entreprise.
G. Toutes les réponses sont justes.
Q7 Le contrôle réalisé par un audit financier dans la
troisième phase s’agit :
A. D’un contrôle de gestion.
B. Contrôle de la performance.
C. D’Examen des comptes des comptes.
D. Contrôle interne.
E. D’Examen analytique.
Q8-lorsque l’auditeur financier faire appel à un
croisement entre le CPC et le bilan il cherche à
vérifier la cohérence entre :
A. les emprunts et les charges financières.
B. les orientations stratégiques et le chiffre
d’affaire.
C. Les immobilisations et les dettes de
financement.
 D. L’immobilisation et les dotations aux
amortissements.
E. Le résultat de l’exercice N-1 et les réserves.
F. Les créances client et les provisions.
G. Les états financiers et les principes
comptables.
H. Le chiffre d’affaire en volume et en valeur
I. Le chiffre d’affaire et la capacité de
production
Q9. Lorsque l’auditeur financier fait appel à un
croisement entre les charges et les produits il cherche
à vérifier la cohérence entre :
A. les ventes et les achats et les stocks.
B. Les charges non courantes et les charges
financières.
C. Les emprunts et les orientations stratégiques.
D. Les provisions pour risques et charges et les
provisions pour dépréciation.
Q10. Lorsque l’auditeur financier faire appel à un
croisement entre l’actif et le passif de bilan il cherche
à vérifier la cohérence entre :
A. Les emprunts et les immobilisations.
B. Le résultat et les réserves.
C. Le fond de roulement et le besoin en fond de
roulement et la trésorerie nette.
D. Le résultat et le chiffre d’affaires des
concurrents
Q11. Le principe de la réalité stipule :
A. De Réaliser un examen exhaustif.
B. Que les biens qui n’appartiennent à
l’entreprise ne doivent êtres figuré au bilan.
C. Que toutes les opérations doivent être
enregistrées.
D. Qu’on doit enregistrer toutes les opérations.
E. Que toutes les opérations doivent êtres
réelles.
F. Que les biens acquis à crédit-bail ne doivent
être enregistrés au bilan.
G. Que les biens amortis ne doivent être figuré au
bilan.
H. Que toutes les opérations doivent être
enregistrées
I. Aucune réponse
Q12 le principe d’exhaustivité stipule :
A. De Réaliser un examen exhaustif.
B. Que les biens qui n’appartiennent à
l’entreprise ne doivent êtres figuré au bilan.
C. Que toutes les opérations doivent être
enregistrées.
D. Qu’on doit enregistrer toutes les opérations.
E. Que toutes les opérations doivent êtres
réelles.
Q13. Le principe de la propriété stipule que :
A. Que les biens qui n’appartiennent à
l’entreprise doivent êtres figuré au bilan.
B. Que toutes les opérations doivent être
enregistrées.
C. Qu’on doit enregistrer toutes les opérations.
D. Que tous les biens qui n’appartiennent à
l’entreprise en doivent être figuré au bilan
E. Que les biens acquis à crédit-bail ne doivent
être enregistrés au bilan.
Q14. Un commissaire aux comptes peut certifier les
comptes d’une entreprise si :
A. On a des fraudes.
B. Elle respecte toutes les normes d’audit.
C. Les comptes représentent l’image fidèle de
l’entité.
D. On respecte tous les principes comptables.
E. Et seulement si on n’a pas des erreurs.
F. Les comptes sont régularisé et sincères.
Q15. L’audit social se porte sur :
A. Le climat social.
B. Les conditions de travail.
C. L’absentéisme.
D. Le respect des procédures de recrutement.
E. La politique salariale.
F. La variabilité des salaires.
G. La rémunération des forces de ventes.
Q16. L’audit commercial peut porter sur :
A. Le budget promotionnel.
B. Rémunération des forces de ventes.
C. Publicité.
D. Frais de déplacement.
E. Les techniques de ventes.
F. Le cout de revient.
G. La productivité
Q17 quel cas s’agit-il d’une erreur :
A. Un calcul incorrect.
B. Majoration volontaire de la valeur des stocks.
C. Minoration des provisions.
D. Non enregistrement involontaire
E. enregistrement d’une facture.
F. Double paiement d’une facture.
Q18 quel cas s’agit-il d’une fraude :
A. Un calcul incorrect.
B. Majoration volontaire de la valeur des stocks.
C. Minoration des provisions.
D. Non enregistrement volontaire
enregistrement d’une facture.
E. Double paiement d’une facture.
Q19 l’auditeur d’achat peut :
A. Mettre en évidence le non mise en
concurrence des clients.
B. Mettre en cause la mise en concurrence des
fournisseurs.
C. Mettre en évidence l’indépendance d’un seul
fournisseur.
D. Mettre en évidence la non mise en
concurrence des fournisseurs
E. Mettre en évidence l’interdépendance des
fournisseurs.
F. Mettre en cause a dépendance d’un seul
fournisseur.
G. Aucune réponse
Q20 la mise en place d’une procédure d’achat a pour
objectif :
A. De définir elle processus d’achat.
B. Rationaliser les ressources de l’entité.
C. Eviter les fraudes.
D. Eviter l’erreur