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Comptabilité financière en IFRS

Wolfgang Dick & Franck Missonier-Piera


ISBN : 2-7440-7172-2

Chapitre 7 : Fiscalité

Exercice 7.1 Comptabilisation de l’impôt sur les bénéfices

Il convient tout d’abord de déterminer le résultat fiscal de la société Loupi. En effet, l’impôt sur les sociétés (IS) est
calculé à partir d’une base qui n’est pas le résultat comptable proprement dit mais le résultat fiscal qui découle lui-
même du résultat comptable. La différence résulte de rectifications dites extracomptables qui permettent le
passage de l’un à l’autre.

Résultat fiscal =

Résultat Comptable

± Rectifications
-

Ces retraitements constituent soit des réintégrations qui majorent le résultat fiscal, soit des déductions qui le
minorent.
Dans le cas présent, les amendes et les dépenses de chasse ne constituent pas des charges déductibles du
résultat imposable, par détermination de la loi ; les dépenses de chasse sont considérées comme des dépenses
somptuaires. Ces dépenses sont donc à réintégrer pour 1 600 €. Le produit de 10 000 € qui n’est pas imposable au
titre de 2005 devra faire l’objet d’une déduction extracomptable.
Le résultat fiscal de la société Loupi est par conséquent de :

53 400 + 1 600 – 10 000 = 45 000 €

L’IS dû au titre de 2005 est donc de :

45 000 * 33,33 % soit 15 000 €

Cet impôt est enregistré ainsi :

Débit Crédit
31 décembre 2005
Impôt sur les bénéfices (-R) 15 000
État, Impôt sur les bénéfices (+P) 15 000

Constatation de l’impôt dû au titre de 2005

Le résultat comptable net d’impôt 2005 de la société Loupi est donc de :

53 400 – 15 000 = 38 400 €


© 2006 Pearson Education France – Comptabilité financière en IFRS 1
Exercice 7.2 Comptabilisation des acomptes fiscaux

Le premier acompte est à verser le 15 mars 2006 ; à cette date, la société Tinane ne connaît vraisemblablement
pas encore le bénéfice fiscal qu’elle a réalisé au titre de 2005, bénéfice qui sert normalement de base de calcul
des acomptes à verser en 2006. Aussi, il lui est possible de se référer au résultat fiscal de l’exercice 2004 soit :

3 000 000 * 8,1/3 % = 250 000 €

Le deuxième acompte est à verser le 15 juin 2006 ; il se calcule sur le bénéfice fiscal de 2005 désormais connu :

4 500 000 * 8,1/3 % = 375 000 €

Il convient, en outre, de régulariser le premier acompte ; un complément doit être versé à hauteur de 375 000 –
250 000 soit 125 000 €. Le deuxième acompte sera par conséquent de 500 000 € globalement.

Le troisième acompte est à verser le 15 septembre 2006 à hauteur de nouveau de 375 000 €. Il en est de même
pour le quatrième acompte, à verser le 15 décembre 2006.

Débit Crédit
15 mars 2006
État, Impôt sur les bénéfices (-P) 250 000
Banque (-A) 250 000

Paiement du premier acompte

15 juin 2006
État, Impôt sur les bénéfices (-P) 500 000
Banque (-A) 500 000

Paiement du deuxième acompte

15 septembre et 15 décembre 2006


État, Impôt sur les bénéfices (-P) 375 000
Banque (- A) 375 000

Paiement des troisième et quatrième acomptes

Dans l’hypothèse où le bénéfice fiscal de 2006 est de 6 000 000 €, l’impôt correspondant doit être enregistré au 31
décembre 2006, soit 6 000 000 * 33,33 % = 2 000 000 €.

Débit Crédit
31 décembre 2006
Impôt sur les bénéfices (-R) 2 000 000
État, Impôt sur les bénéfices (+P) 2 000 000

Constatation de l’impôt sur les bénéfices de 2006

Toujours, dans cette hypothèse, le solde sera à verser le 15 avril 2007 ; le solde est égal à la différence entre
l’impôt dû et la somme des acomptes déjà versés, soit :

2 000 000 – 4 * 375 000 = 500 000 €.

© 2006 Pearson Education France – Comptabilité financière en IFRS 2


Débit Crédit
15 avril 2007
État, Impôt sur les bénéfices (-P) 500 000
Banque (-A) 500 000

Règlement du solde de l’IS 2006

Dans l’hypothèse où la société dégage un déficit, les acomptes versés lui seront remboursés (1 500 000 €) et elle
ne paiera pas d’acomptes en 2007.

Exercice 7.3 Détermination du bénéfice fiscal

Il est possible de retrouver le résultat fiscal à partir de la créance sur l’État de 100 000 € ; en effet, cette créance
correspond à la somme des 4 acomptes versés au cours de l’exercice 2005.

Ces 4 acomptes correspondent à :


BF N-1 * 8,1/3% * 4

Le bénéfice de 2004 est par conséquent de :

BF 2004 * 8,1/3% * 4 = 100 000 soit BF 2004 = 300 000 €

L’impôt sur les bénéfices de 2005 (BF 2005 * 33,33 %) est de :

390 000 * 33,33 % soit 130 000 €

Après constatation de cet impôt, la société BT présente la situation suivante :


- un résultat comptable après impôt de 250 000 – 130 000 soit 120 000 € ;
- une dette résiduelle vis-à-vis de l’État à hauteur de 130 000 – 100 000 soit 30 000 €, à régler au plus
tard le 15 avril 2006.

Exercice 7.4 Base de calcul de la TVA collectée : opérations sur marchandises

Pour calculer la TVA collectée du mois de mars 2006 de l’entreprise Vivi, il convient de retenir le montant des
marchandises livrées ; la TVA est exigible dès la livraison des marchandises vendues, même si, en pratique,
l’exigibilité correspond le plus souvent à la date de facturation. Il est vrai que la facture est établie le plus souvent
au moment de la livraison. Le règlement de la facture n’intervient en aucun cas sur l’exigibilité.
La TVA collectée de l’entreprise Vivi sera par conséquent de :

300 000 * 19,6 % soit 58 800 €

Exercice 7.5 Base de calcul de la TVA collectée et prestation de services

Pour calculer la TVA collectée du mois de mars 2006 de l’entreprise Lolo, il convient de retenir le montant des
prestations encaissées au cours du mois, quelle que soit la date de réalisation ou encore de facturation de la
prestation, à moins que le prestataire n’ait choisi les débits. Lorsque cette option est exercée, le prestataire doit
porter sur ses factures la mention « TVA payée d’après les débits ». Dans ce cas, la taxe devient alors exigible lors
du débit du compte client, c’est-à-dire à l’occasion de l’inscription de la somme due à son compte, au moment de la
facturation.

En l’absence d’option pour les débits, la TVA collectée de l’entreprise Lolo sera par conséquent calculée sur les
598 000 € encaissés ; la somme est considérée comme TTC. Elle sera de :
598 000/1,196 * 19,6 % soit 98 000 €

© 2006 Pearson Education France – Comptabilité financière en IFRS 3


En cas d’option pour les débits, la TVA collectée de l’entreprise Lolo sera calculée sur les 600 000 € HT de
prestations facturées ; elle sera de :

600 000 * 19,6 % soit 117 600 €

Exercice 7.6 Calcul de TVA à décaisser

La TVA à décaisser est calculée par la différence entre la TVA collectée et la TVA déductible. Si la TVA collectée
excède le montant global de TVA déductible, l’entreprise se trouve en situation de dette vis-à-vis de l’État. Si, à
l’inverse, le montant de la TVA déductible est supérieur au montant de la TVA collectée, l’entreprise se trouve en
situation de crédit de TVA ; il s’agit d’une créance sur l’État.
Dans le cas de l’entreprise Coco, la déclaration de TVA fait apparaître la situation suivante :

TVA collectée : 100 000 * 19,6 % soit 19 600 €


TVA déductible : (150 000 – 20 000) * 19,6 % soit 25 480 €

Il en ressort un crédit de TVA de 25 480 – 19 600 soit 5 880 €. Ce crédit dégagé au terme de l’année civile et
supérieur à 150 € peut faire l’objet d’une demande de remboursement ou venir en diminution de la TVA due au titre
du mois suivant.

L’enregistrement de la déclaration de TVA du mois de décembre est le suivant :

Débit Crédit
31 décembre 2005
État, TVA collectée (-P) 19 600
État, Crédit de TVA (+A) 5 880

État, TVA déductible sur ABS (-A) 25 480

Constatation du crédit de TVA de décembre 2005

Exercice 7.7 Remboursement de TVA

Les mois de janvier, février et mars 2006 font apparaître des crédits de TVA qui, individuellement, ne peuvent faire
l’objet d’une demande de remboursement ; il n’existe pas de procédure générale de remboursement mensuel. La
procédure annuelle existante s’applique uniquement lorsque l’entreprise présente, au terme de l’année civile, un
crédit supérieur à 150 €.

La société Lélo peut, cependant, si elle souhaite, recourir à la seconde modalité de remboursement ; cette
seconde modalité est possible au terme de chaque trimestre civil, dès lors que chaque déclaration mensuelle du
trimestre considéré fait apparaître un crédit et que le crédit global au terme de ce même trimestre est supérieur à
760 €. Il s’agit du cas de la société Lélo qui, fin mars, présente un crédit cumulé de 1 063 €.

Lors du remboursement en question, il conviendra d’enregistrer l’écriture suivante :

Débit Crédit

Banque (+A) 1 063


État, Crédit de TVA (-A) 1 063

Constatation du remboursement du crédit de TVA

© 2006 Pearson Education France – Comptabilité financière en IFRS 4


À défaut d’option pour ce remboursement trimestriel, le crédit global viendra en diminution de la TVA due au titre
du mois suivant.

NB : Si la société Lélo est exportatrice, la situation est différente dans la mesure où il existe une procédure
spécifique de remboursement mensuel pour ce type d’entreprises.

Ces retraitements constituent soit des réintégrations qui majorent le résultat fiscal soit des déductions qui le
minorent.

Dans le cas présent, les amendes et les dépenses de chasse ne constituent pas des charges déductibles du
résultat imposable, par détermination de la loi ; les dépenses de chasse sont considérées comme des dépenses
somptuaires. Ces dépenses sont donc à réintégrer pour 1'600 €. Le produit de 10’000 € qui n’est pas imposable au
titre de 2005 devra faire l’objet d’une déduction extracomptable.

Le résultat fiscal de la société Loupi est par conséquent de :

53'400 + 1'600 – 10'000 = 45'000 €

L’IS dû au titre de 2005 est donc de :

45'000 * 33.33 % soit 15'000 €

Cet impôt est enregistré ainsi :

Débit Crédit
31 décembre 2005

Impôt sur les bénéfices (-R) 15’000


Etat, Impôt sur les bénéfices (+P) 15’000

Constatation de l’impôt dû au titre de 2005

Le résultat comptable net d’impôt 2005 de la société Loupi est donc de :

53'400 – 15'000 = 38'400 €

Exercice 7.2 Comptabilisation des acomptes fiscaux

Le premier acompte est à verser le 15 mars 2006 ; à cette date, la société Tinane ne connaît vraisemblablement
pas encore le bénéfice fiscal qu’elle a réalisé au titre de 2005, bénéfice qui sert normalement de base de calcul
des acomptes à verser en 2006. Aussi, il lui est possible de se référer au résultat fiscal de l’exercice 2004 soit :

3'000'000 * 8.1/3 % = 250’000 €

Le second acompte est à verser le 15 juin 2006 ; il se calcule sur le bénéfice fiscal de 2005 désormais connu :

4'500'000 * 8.1/3 % = 375'000 €

Il convient, en outre, de régulariser le premier acompte ; un complément doit être versé à hauteur de 375'000 –
250'000 soit 125'000 €. Le second acompte sera par conséquent de 500'000 € globalement.

Le troisième acompte est à verser le 15 septembre 2006 à hauteur de nouveau de 375'000 €. Il en est de même
pour le quatrième acompte, à verser le 15 décembre 2006.

© 2006 Pearson Education France – Comptabilité financière en IFRS 5


Débit Crédit
15 mars 2006

Etat, Impôt sur les bénéfices (-P) 250’000


Banque (-A) 250'000

Paiement du premier acompte


15 juin 2006

Etat, Impôt sur les bénéfices (-P) 500’000


Banque (-A) 500'000

Paiement du second acompte


15 septembre et 15 décembre 2006

Etat, Impôt sur les bénéfices (-P) 375'000


Banque (- A) 375'000

Paiement des troisième et quatrième acomptes

Dans l’hypothèse où le bénéfice fiscal de 2006 est de 6'000'000 €, l’impôt correspondant doit être enregistré au 31
décembre 2006, soit 6'000'000 * 33.33 % = 2'000'000 €.

Débit Crédit
31 décembre 2006

Impôt sur les bénéfices (-R) 2’000'000


Etat, Impôt sur les bénéfices (+P) 2'000'000

Constatation de l’impôt sur les bénéfices de 2006

Toujours, dans cette hypothèse, le solde sera à verser le 15 avril 2007 ; le solde est égal à la différence entre
l’impôt dû et la sommes des acomptes déjà versés, soit :

2'000'000 – 4*375'000 = 500'000 €.

Débit Crédit
15 avril 2007

Etat, Impôt sur les bénéfices (-P) 500’000


Banque (-A) 500'000

Règlement du solde de l’IS 2006

Dans l’hypothèse où la société dégage un déficit, les acomptes versés lui seront remboursés (1'500'000 €) et elle
ne paiera pas d’acomptes en 2007.

Exercice 7.3 Détermination du bénéfice fiscal

Il est possible de retrouver le résultat fiscal à partir de la créance sur l’Etat de 100'000 € ; en effet, cette créance
correspond à la somme des 4 acomptes versés au cours de l’exercice 2005.

Ces 4 acomptes correspondent à :

BF N-1 * 8.1/3% * 4

© 2006 Pearson Education France – Comptabilité financière en IFRS 6


Le bénéfice de 2004 est par conséquent de :

BF 2004 * 8.1/3% * 4 = 100'000 soit BF 2004 = 300'000 €.

L’impôt sur les bénéfices de 2005 (BF 2005 * 33.33 %) est de :

390'000 * 33.33 % soit 130'000 €

Après constatation de cet impôt, la société BT présente la situation suivante :


- un résultat comptable après impôt de 250'000 – 130'000 soit 120'000 €
- une dette résiduelle vis-à-vis de l’Etat à hauteur de 130'000 – 100'000 soit 30'000 €, à régler au plus tard
le 15 avril 2006.

Exercice 7.4 Base de calcul de la TVA collectée : opérations sur marchandises

Pour calculer la TVA collectée du mois de mars 2006 de l’entreprise Vivi, il convient de retenir le montant des
marchandises livrées ; la TVA est exigible dès la livraison des marchandises vendues, même si, en pratique,
l’exigibilité correspond le plus souvent à la date de facturation. Il est vrai que la facture est établie le plus souvent
au moment de la livraison. Le règlement de la facture n’intervient en aucun cas sur l’exigibilité.
La TVA collectée de l’entreprise Vivi sera par conséquent de :

300’000 * 19.6 % soit 58’800 €

Exercice 7.5 Base de calcul de la TVA collectée et prestation de services

Pour calculer la TVA collectée du mois de mars 2006 de l’entreprise Lolo, il convient de retenir le montant des
prestations encaissées au cours du mois, quelque soit la date de réalisation ou encore de facturation de la
prestation, à moins que le prestataire n’ait opté pour les débits. Lorsque cette option est exercée, le prestataire doit
porter sur ses factures la mention « TVA payée d’après les débits ». Dans ce cas, la taxe devient alors exigible lors
du débit du compte client, c’est-à-dire à l’occasion de l’inscription de la somme due à son compte, au moment de la
facturation.

En l’absence d’option pour les débits, la TVA collectée de l’entreprise Lolo sera par conséquent calculée sur les
598’000 € encaissés ; la somme est considérée comme TTC. Elle sera de :

598’000/1.196 * 19.6 % soit 98’000 €

En cas d’option pour les débits, la TVA collectée de l’entreprise Lolo sera calculée sur les 600’000 € HT de
prestations facturées ; elle sera de :

600’000 * 19.6% soit 117’600 €

Exercice 7.6 Calcul de TVA à décaisser

La TVA à décaisser est calculée par la différence entre la TVA collectée et la TVA déductible. Si la TVA collectée
excède le montant global de TVA déductible, l’entreprise se trouve en situation de dette vis-à-vis de l’Etat. Si, à
l’inverse, le montant de la TVA déductible est supérieur au montant de la TVA collectée, l’entreprise se trouve en
situation de crédit de TVA ; il s’agit d’une créance sur l’Etat.
Dans le cas de l’entreprise Coco, la déclaration de TVA fait apparaître la situation suivante :

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TVA collectée : 100’000 * 19.6 % soit 19’600 €
TVA déductible : (150’000 – 20’000) * 19.6 % soit 25’480 €

Il en ressort un crédit de TVA de 25’480 – 19’600 soit 5’880 €. Ce crédit dégagé au terme de l’année civile et
supérieur à 150 € peut faire l’objet d’une demande de remboursement ou venir en diminution de la TVA due au titre
du mois suivant.

L’enregistrement de la déclaration de TVA du mois de décembre est le suivant :

Débit Crédit
31 décembre 2005

Etat, TVA collectée (-P) 19’600


Etat, Crédit de TVA (+A) 5’880

Etat, TVA déductible sur ABS (-A) 25’480

Constatation du crédit de TVA de décembre 2005

Exercice 7.7 Remboursement de TVA

Les mois de janvier, février et mars 2006 font apparaître des crédits de TVA qui, individuellement, ne peuvent pas
faire l’objet d’une demande de remboursement ; il n’existe pas de procédure générale de remboursement mensuel.
La procédure annuelle existante s’applique uniquement lorsque l’entreprise présente, au terme de l’année civile, un
crédit supérieur à 150 €.
La société Lélo peut, cependant, si elle souhaite, recourir à la seconde modalité de remboursement ; cette
seconde modalité est possible au terme de chaque trimestre civil, dès lors que chaque déclaration mensuelle du
trimestre considéré fait apparaître un crédit et que le crédit global au terme de ce même trimestre est supérieur à
760 euros. Il s’agit du cas de la société Lélo qui, fin mars, présente un crédit cumulé de 1’063 €.

Lors du remboursement en question, il conviendra d’enregistrer l’écriture suivante :

Débit Crédit

Banque (+A) 1’063


Etat, Crédit de TVA (-A) 1’063

Constatation du remboursement du crédit de TVA

A défaut d’option pour ce remboursement trimestriel, le crédit global viendra en diminution de la TVA due au titre
du mois suivant.

NB : Si la société Lélo est exportatrice, la situation est différente dans la mesure où il existe une procédure
spécifique de remboursement mensuel pour ce type d’entreprises.

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