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Figure 7 : L’impulseur
Le Maroc est parmi les pays producteurs d’acide phosphorique qui essaye d’améliorer la
qualité de son produit en jouant sur plusieurs techniques, le broyage du phosphate est
considéré parmi ces techniques.
Le broyage du phosphate est une étape très importante, c’est pour cela qu’elle doit être
parfaite, pour avoir une bonne granulométrie. Et pour que le produit fini soit conforme il faut
améliorer les facteurs qui peuvent influencer sur cette étape .Notre objectif est d’améliorer la
granulométrie de la pulpe sortante du broyeur au sein du service phosphorique au MP2.
1. A propos du phosphate :
a) Définition :
b) Utilisation :
Le phosphate est extrait sous forme minérale pour être commercialiser pour différant usage:
L’Agriculture:
-L'activité agricole use et abuse du phosphate élément nécessaire à la vie il est utilisé
pour pousser le rendement des récoltes (logique puisque le phosphate est un des
carburant de la vie végétale)
Les réserves marocaines en phosphates, constituent l’une des principales ressources minières
du Maroc, Elles représentent près de 75% des réserves mondiales identifiées et se distinguent,
en plus, par leur richesse exceptionnelle en phosphore et par leur proximité relative par
rapport aux ports d’embarquement.
Crée en 1920, le groupe office chérifien des phosphates joue un rôle très important sur les
plans économique et social du pays, cette importance est vue à travers ses ressources de
revenues, les emplois qu’il offre, sa contribution au développement social des régions de
l’état, et sa contribution à l’établissement semi-public à caractère industriel et commercial,
doté d’une organisation lui permettant d’agir avec la même souplesse qu’une grande
entreprise. Il assure l’exploitation des ressources nationales phosphatiques dont les réserves
reconnues actuellement sont évaluées à environ 70 millions de même il commercialise
annuellement plus de 13 millions de tonnes de phosphates à travers le monde.
L’OCP a été constitué sous la forme d’un organisme semi-publique sous contrôle de L’ETAT.
Il fonctionne ainsi comme une société dont le seul actionnaire est l’état Marocain, appliquant
les méthodes de gestion privée, dynamique, souple et efficace vu le caractère de ses activités
industrielles et commerciales, il est dirigée par un Directeur Général nommé par DAHIR, le
contrôle est exercé par un conseil d’administration présidé par le premier ministre.
Sur le plan fiscal, elle est inscrite sur le registre de commerce soumisà la même obligation que
d’autres entreprises privées.
Sur le plan financier ; entièrement indépendante de celle de l’état. Toutes les années, le
groupe établit son bilan, son compte d’exploitation et ses prix de revient.
Chaque année le Groupe, participe au budget de l’Etat par le versement des dividendes. La
gestion du personnel est régie par le statut du mineur du 1er janvier 1973. Ce statut a été
élaboré en conformité avec le DAHIR n° 16007 du 24 décembre 1960 sur le statut des
entreprises minières au MAROC.
Les structures actuelles ont été modifiées par le document 716 du 1/1/1971 signé par
le Directeur Général du Groupe OCP est d’environ 22677 dont 725 ingénieurs
5. Stratégie OCP :
Leur mission : Assurer dans le temps la meilleure valorisation des ressources en
phosphate du Royaume dans le respect de leurs responsabilités sociétales et
environnementales
Leur vision : Asseoir et affirmer leur leadership mondial sur l’industrie pour gérer au
mieux le cycle du phosphate.
Les leviers :
Développer une surcapacité dans la roche et flexibiliser le mode de production
Accroître les capacités d’extraction
Diminuer les coûts de production et de logistique
Sécuriser les débouchés et maximiser la rentabilité
Piloter de manière intégrée le commercial et l’industriel
Développer les capacités chimiques au travers de partenariats
Sécuriser les approvisionnements en MP
Après la mise en service en 1965 de l’usine Maroc Chimie, des efforts ont été menés depuis le
début des années 70, aboutissant progressivement à la construction des usines Maroc
Phosphore I et Maroc Phosphore II dans la même ville. Le dit complexe est situé au sud-ouest
à 9Km de la ville de Safi. Cet emplacement est justifié l’approvisionnement en phosphate brut
à partir de Youssoufia et Bengruir ainsi qu’ (une ligne ferroviaire avec le port de Safi. La
proximité de la côte atlantique pour l’utilisation de l’eau de mes en tant que fluide de
réfrigération.
I. Introduction :
Le phosphate brut lavé ayant une humidité de 12% à 20% est introduit dans la trémie
21XD01 à l’aide d’un convoyeur à bande ; les niveaux haut et bas de cette trémie sont
contrôlés en vue de prévenir la surcharge de la trémie et d’assurer d’ autre part une quantité
suffisante de phosphate pour le broyage.
Le volume de la trémie permet au maximum le stockage de 300t de phosphate humide .Ce
phosphate a tendance à former des dépôts sur la partie conique de la trémie ;mais il est extrait
de cette dernière par un élément d’évacuation à vibration du type moteur-vibreur ;le
phosphate est acheminé vers le broyeur au moyen d’un convoyeur à bande 21XU02 ;le
contrôle du débit massique est effectué par une bascule 21XG01 Dite ‘Doseuse’ incorporée
dans ce convoyeur et agissant sur la vitesse de la bande de façons à maintenir un débit
constant de phosphate ;en même temps l’alimentation en eau de procédé est réglée en fonction
de l’alimentation en phosphate à l’entrée du broyeur.
Le phosphate, ainsi acheminé, alimente le broyeur à barres 21XQ01 ou le broyage s’y
effectue par voie humide, Sortant du broyeur, la pulpe de phosphate s’écoule dans la fosse
21XT01 à travers une goulotte de forte pente, équipé d’un agitateur 21XA01 qui maintien les
particules solides en suspension .La pulpe de phosphate est transférée en continu au moyen
d’une pompe centrifuge 21XP01 de débit variable vers un bac de stockage. Avant d’entrée
dans le réservoir de stockage la pulpe est contrôlée sur sa teneur en solide .Ceci à lieu par le
contrôle de la densité au moyen d’un système radioactif en continu par voie électronique et
enregistré dans la salle de contrôle.
On assure l’enregistrement continu de la densité de la pulpe obtenu.
Lors de l’alimentation de la réaction ,une pompe réglable du débit 79,3m3/h refoule la pulpe
de phosphate vers la réaction ;avant l’entrée au pré mélangeur où s’effectue la première
attaque du phosphate par l’acide de retour, une deuxième mesure de la densité par le même
système radioactif en continu et par voie électronique sera enregistré dans la salle de
contrôle ;de même des échantillons de confirmation seront effectuées au laboratoire local
chaque deux heures pour s’assurer de la fiabilité des appareils de transmission des densités et
pour confirmation.
2. Paramètres de marche :
PARAMÈTRES VALEURS
Cadence de marche 70-120%
LA TREMIE
Est équipée de : --2niveaux à sondes capacitives.
--Niveau haut-haut qui commande l’arrêt du convoyeur alimentant la
trémie.
--Niveau bas-bas qui commande l’arrêt du vibreur.
--Niveau haut 75% arrêt de l’extracteur à la laverie
--Niveau bas 25% démarre l’extracteur
--2vibreurs (chacun d’un côté)
CAPACITE CYLINDRIQUE
V1=D2/4xπxH
V1=Volume de la partie cylindrique
D=Diamètre de la partie cylindrique
H=Hauteur de la partie cylindrique
V1=π(2,8)2x6, 444=158,7m3
Tronc du cône
V1=1/12xπ (D2+Dd+d2)xh
=1/3π [(2,8)2+(1,378)2+2,8x1, 378] x3, 906
=55,6m3
Le volume total=V1+V2=158,7+55,6=214,3m3
Le volume utile =184m3
Le Broyeur
La nature du broyeur : broyeur à barre.
Parmi ses caractéristiques on trouve :
- Nature de la matière broyé : Phosphate de BEN GUERIR.
- Mode de fonctionnement : Circuit ouvert.
- Débit nominal : 70,80t/h base sèche broyeur sera rempli à 26,2%
: 81,25t/h base sèche broyeur sera rempli à 32,3%
- Vitesse de rotation : 17,5t/mn.
- La charge broyante:32tonnes.
Equipements internes :
Diamètre : 1000mm
Largeur : 250mm
Virole :
Fournisseur : ASCOMETAL(France)-MAGOTTEAUX(Belge)-SAFET(Italie)
Caractéristiques mécanique des barres :
NB : Les apports ultérieurs pour compenser l’usure : seront fait par barres de diamètre de
60mm, l’introduction des barres est fonction de la granulométrie et la puissance du moteur du
broyeur.
Moteur d’entrainement :
a) La Fosse :
Longueur=3000mm
Largeur =2000mm
Surface =6m2
Hauteur =1800mm
Volume =Sxh=10,8m3
Chaque ligne permet le broyage à la finesse désiré d’une capacité de 81,25t/h de phosphate
lavé. En régime normal ; l’installation fonctionne à capacité réduite soit en moyenne 72t/h de
phosphate. Le produit broyé devait sortir sous forme de pulpe de phosphate dont la teneur en
solide est de 60%minimum.
MATIERES PREMIERES :
On obtient l’acide phosphorique depuis une réaction globale qui se manifeste au cours du circuit de
fabrication :
Le phosphate stocké dans le silo est transporté vers le pré mélangeur à travers une bande roulante où
se mélange avec l’acide phosphorique moyen et avec l’acide sulfurique concentré à 98 %.Le mélange
est envoyé au digesteur, où se déroulent les réactions. L’acide moyen joue un rôle de catalyseur, il
réagit en premier temps avec le tricalcique de phosphate pour donner le mono calcique suivant la
réaction principale :
Le mono calcique se transforme en acide phosphorique suivant une 2ième réaction principale :
CaCO3+ H2SO4 + 1/2 H2O ———> (Ca SO4 .1/2H2O )+ CO2 +H2O
CaF2+ H2SO4 + 1/2 H2O ———> (Ca SO4. 1/2H2O )+ HF
CaCO3+ H2SO4 + 1/2 H2O +3/2H2O ———> (Ca SO4. 2H2O) (cristallisation formation du
gypse)
Ces réactions en plus qu’ils sont exothermique dégagent une très quantité des gaz. Avant de l’évacuer
vers l’atmosphère ces gaz sont récupérés et lavés par le laveur KOETING. Le sulfate de calcium formé
se dispose sous forme semi hydrate (Ca SO4.1/2H2O) qui se transforme en di hydrate (Ca SO4) par
refroidissement dans les 4 cristalliseurs (C1, C2, C3, C4).la température de la bouillie passe de 90°C
dans C1 à 56°C dans C4. Une partie de la bouillie de C4 est recyclé vers C1 pour :
Favoriser la germination du mélange.
Augmenter le rendement de la réaction par remettre en jeu la partie de phosphate qui peut
être non attaqué.
Former les cristaux di hydrate pour faciliter la filtration.
Après la cristallisation il y a la désulfatation c’est une opération qui a pour objectif la réduction de
l’acide sulfurique libre dans l’acide phosphorique produit. Elle se fait en attaquant l’acide
phosphorique à la sortie de C4 par le phosphate dans un petit réacteur pour former le phosphate mono
calcique suivant la réaction (1) ensuite ce mélange est recyclé vers C4pour que CaH4(PO4)2 réagit
avec H2SO4pour donner l’acide phosphorique suivant la réaction (2).Cette opération détermine la
nature de phosphore (normal, dé sulfaté) selon la quantité de H2SO4 dans l’acide phosphorique.
- Equipements de l’installation:
02 Pré mélangeurs.
02 digesteurs.
04 cristaliseurs.
01 Bac de reprise
01 bac de di sulfatation
02 distributeurs.
02 laveurs.
05 pompes.
01 ventilateur.
01 Dilueur
5. La filtration :
- Equipements de l’installation:
01 table filtrante.
01 Boite à vide
06 séparateurs gaz liquide.
01 laveur.
03 bacs.
01 séparateur liquide solide.
01 distributeur.
13 pompes.
- Description :
La bouillie provenant de l’unité de cristallisation doit subir une opération de filtration c.à.d. une
séparation liquide – solide dans une table filtrante amenée d’un mouvement de rotation à vitesse constante,
au niveau de ce filtre huit opérations s’exécutent en parallèle.
- Fonctionnement :
Acide moyen (AM) Retour vers le pré mélangeur pour la préparation de la bouillie.
La filtration au MP2 est une étape très importante pour la fabrication de l’acide phosphorique
puisque celle qui détermine la qualité du produit final.
I. Généralités
L’unité broyage parmi les unités importante dans Maroc phosphore2 Safi mais cette unité
impacté négativement a la production de l’atelier phosphorique à cause des arrêts répétitifs
des pompes 21XP02 de transfert de pulpe vers RFD, alors le problème c’est au niveau de la
durée de vie des accessoires de cette pompe (l’escargot, l’impulse) à cause des phénomènes
Figure 7 : L’impulseur
Phénomène d’abrasion :
Entre deux surfaces en contact et en mouvement l’une par rapport à l’autre, des
particules dures (provenant de l’une ou l’autre des surfaces ou de l’extérieur) qui
s’imprégnant dans la surface la plus tendre raie celle plus dure, qu’elles soient
lubrifiées ou non. Cette usure se produit par éraillure, choc ou érosion.
Pour éviter ce phénomène abrasif (grippage), les surfaces doivent subir un traitement
augmentant la dureté superficielle par
transformation martensitique, cémentation, nitruration, écrouissage.
Les principaux facteurs d’usure sont :
Chlore 550 -on peut dire que le pourcentage de chlore est négligeable par rapport à
d’autres composants.
PPM
Les aciers :
est un alliage métallique constitué principalement de fer et de carbone (dans des proportions
comprises entre 0,02 % et 2 % en masse pour le carbone)1.
Les éléments chimiques présents dans l’acier peuvent être classés en 3 catégories :
Les impuretés, originellement présentes dans les ingrédients de haut fourneau qui
serviront à produire la fonte qui servira à fabriquer l’acier. Ce sont le soufre (S) et
le phosphore (P) présent dans le coke mais aussi le plomb (Pb) et l’étain (Sn) qui peuvent
être présents dans les aciers de récupération ainsi que nombre d’autres éléments à bas
point de fusion comme l’arsenic (As), l’antimoine (Sb) ;
Pour des raisons mal comprises, le plomb est dans certaines circonstances (dans
l’industrie nucléaire notamment) un "contaminant métallurgique" qui peut contribuer à la
dissolution, l’oxydation et la fragilisation d’aciers qui sont exposés aux alliages de
plomb2.
Les éléments d’addition mentionnés plus haut et qui sont ajoutés de manière
intentionnelle pour conférer au matériau les propriétés recherchées, et enfin ;
Les éléments d’accompagnement que l’aciériste utilise en vue de maîtriser les diverses
réactions physico-chimiques nécessaires pour obtenir finalement un acier conforme à la
spécification. C’est le cas d’éléments comme l’aluminium, le silicium, le calcium.
Cr: métal dur, IL résiste à l’abrasion et au ternissement.’’C’est notre objectif ‘on sait que
la fonte contient 2% a 6% du carbone, La présence de chrome en solution au-delà de 10,5 %
dans la matrice d'une fonte provoque la formation d'une couche protectrice d'oxyde de chrome
qui lui confère son inoxydabilité.
Une des manières d'éviter l’abrasion consiste à mettre une quantité importante de chrome (Cr)
dans l'acier (plus de 10,5 % en masse). Le chrome réagit avec le dioxygène de l'air et forme
une couche d'oxyde de chrome Cr2O3:
4 Cr + 3 O2 → 2 Cr2O3
Le chrome est un élément dit alphagène. Il favorise fortement la forme ferritique. Sur
Pour des teneurs supérieures à 11,5 % de chrome, l’alliage reste ferritique dans toute la plage
de température. Il y a disparition de la transformation allotropique α-γ. Entre 10,5 et 11,5 %
de chrome, l’alliage est biphasé ferrite + austénite dans certaines plages de température. Il
subit une transformation ferrite/austénite pour des teneurs inférieures à 10, 5 %.
Au-delà de 12,7 % de chrome, dans le cadre d’un refroidissement lent, il peut y avoir
formation de phase intermétallique sigma (σ) à des températures comprises
entre 820 °C et 475 °C. Elle précipite au joint de grain ou dans la matrice ferritique entraînant
une fragilité11. Une hypertrempe consiste à refroidir rapidement (trempe à l'eau) l'acier au-
dessous de 475 °C pour bloquer la formation de phase σ.
Afin de rendre la ferrite suffisamment riche en chrome pour que le film superficiel d'oxyde
double, inerte et adhérent, soit imperméable aux agents oxydants, il faut que la teneur en
chrome dépasse 11%. La résistance à la corrosion est diminuée par les carbures de chrome. Si
on augmente le carbone, il faudra aussi augmenter le chrome et l'acier devra contenir au
moins 12 à 14% de chrome pour que l'on ait une résistance à la corrosion qui soit complète.
Les aciers inoxydables pour la coutellerie contiennent habituellement ces quantités là de
chrome, avec 0.30 à 0.40% de carbone. On emploie des teneurs en chrome jusqu'à 30%. La
douceur de ces aciers ferritiques permet de les soumettre à des travaux de déformation à froid
très importants. Avec de telles teneurs en chrome (12 à 30%) les aciers résistants à la
corrosion deviennent résistants à la corrosion aux températures élevées.
L'une d'entre elles est d'éliminer pratiquement toutes tendances à la fragilité de revenu, après
trempe, dans les aciers au chrome-nickel et dans d'autres aciers spéciaux. Le molybdène est
donc un élément d'addition qu'on emploie habituellement en même temps que d'autres. Sauf
dans les aciers pour outils, où la teneur en molybdène peut atteindre 10%, en remplaçant du
tungstène, les additions de molybdène ont rarement besoin de dépasser 1% pour produire leur
maximum d'effet utile et souvent, elles sont beaucoup plus faibles. Ainsi, de nombreuses
variétés d'aciers spéciaux contiennent seulement de 0.15 à 0.40% de molybdène.
Le molybdène agit d'une façon semblable à celle du chrome, pour augmenter la résistance,
l'aptitude à la trempe et la résistance à l'usure, tout en gardant une bonne ténacité. Il a donc
divers effets favorables, analogues à ceux du nickel. Les aciers au nickel-molybdène ont une
limite élastique élevée, mais ils ont une faible résistance aux chocs, et une médiocre
usinabilité. Ils sont employés comme aciers de cémentation.
Choix des matériaux. Tous les composants de la technologie N Flygt sont disponibles en fonte
traditionnelle ou en fonte au chrome. La fonte au chrome ayant une résistance exceptionnelle
à l’usure est particulièrement adaptée pour les eaux usées extrêmement abrasives et
corrosives.
La fonte au chrome est extrêmement dure. Elle résiste au moins quatre fois plus longtemps
que la fonte grise classique et deux fois plus qu’un acier inoxydable Duplex. La fonte au
chrome est un alliage haute résistance avec 25 % minimum de chrome. Elle est
particulièrement adaptée pour les eaux usées avec des niveaux d’oxygène ou de chlore
pouvant atteindre 500 ppm