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Introduction
[1] Muqueuse :
Membrane tapissant les cavités du corps en contact avec l'extérieur.
Rôle des fosses nasales
Zone mixte
air+bol alimentaire
3) la trachée
Conduit tubulaire rigide de 10 à 12 cm de
long sur 2 cm de diamètre depuis le larynx
jusqu ’à l’éperon. La paroi trachéale
muqueuse respiratoire: épithélium
pseudostratifié avec cellules ciliées,cellules
caliciformes (mucus), cellules de
remplacement et endocriniennes. le chorion
est conjonctivo-élastique, riche en glandes et
en tissu lymphoïde
. tunique fibrocartilagineuse, 15 à 20
anneaux en fer à cheval fermés par des
faisceaux de fibres musculaires lisses (muscle
trachéal) entouré de tissu conjonctif
. l'adventice est conjonctivo-adipeuse, riche
en vaisseaux et en nerfs (système nerveux
végétatif : parasympathiques (nerf vague)
stimulent la sécrétion glandulaire
et la contraction musculaire, à l'inverse des
fibres sympathiques
Coupe transversale d’un anneau cartilagineux
Tissu
lymphoïde
diffus
Muqueuse trachéale et épithélium
Cellule
ciliée Epithélium
Cellule
basale
Capillaire Chorion
Sanguin
Larynx, pharynx et trachée
• Arbre bronchique
• 2 bronches souches (D et G) avec anneaux
cartilagineux; entrée du poumon au niveau du
hile
• 25-30 ramifications plus fines
• Derniers rameaux : bronchioles terminales diam.
0,5mm éperon
hile
Eperon
Pas de cartilage
Dans un lobule
(capillaires pulmonaires)
Sacs alvéolaires
(unité fonctionnelle
du poumon)
Arbre bronchique = Trois zones fonctionnellement distinctes
• Zone de convection : génération 0 à 14
– rôle de conduction = pas d’échanges gazeux
• Zone de transition : géné. 15 à 18
– rôle de conduction et d’échanges gazeux
• Zone respiratoire : géné. 19-25
– échanges gazeux
Conséquences fonctionnelles de la forme de l’arbre
bronchique
• Surface de section
– Trachée 2,5 cm2
– Petites bronches (génération 10) : 10 cm2
– Bronchioles terminales : 1 m2
– Alvéoles : 100 m2
• « La trompette »
• Forte résistance dans le goulot : bronches
• Un espace mort anatomique
L’espace mort anatomique
barrière alvéolo-capillaire
Épithélium alvéolaire
Endothélium capillaire
Interstitium
Surface alvéole
surfactant
Surface alvéole
Echange gazeux
Membrane alvéolo-capillaire : 0,5 µm
Globule rouge
Interstitium
(lame basale) capillaire
O2 CO2
Endothélium
Épithélium
capillaire
alvéolaire
alvéole
Passage rapide des gaz car très mince.
Système efficace car grande surface : 100 m2
La vascularisation des poumons
bien comprendre les deux circulations :
systémique et pulmonaire.
1. Circulation pulmonaire
Petite circulation: échanges gazeux
Amène le sang chargé en CO2au niveau des
poumons par l'artère pulmonaire.
Dans le poumon elle forme le réseau des
capillaires pulmonaires qui entourent les alvéoles.
Le sang fraîchement oxygéné repart par les
veines pulmonaires.
l'artère pulmonaire contient du sang
non hématosé
(pauvre en O2 et chargé de CO2)
Inspi Expi
Les molécules d ’eau sont plus attirés entre elles que par l’air.
Cette attraction crée une force : La tension de surface qui augmente lorsque
les molécules d’eau se rapprochent (expiration, les alvéoles étant plus petites)
Cela n ’arrive pas car les alvéoles produisent une substance qui réduit cette
tension de surface : le surfactant
Rôle du surfactant
- diminue la tension de surface air-eau sur la paroi alvéolaire
- de fait, augmente la compliance (distensibilité) du poumon, et réduit
les
efforts à l’inspi
- empêche l’alvéole de collaber
Inspiration
Inspiration :
processus actif
contraction des muscles respiratoires
- le diaphragme se contracte, il s'abaisse (2cm au repos
et 10 pdt l ’effort)
- la hauteur de la cage thoracique augmente :
effet inspiratoire d ’abaissement
Pression
loi pression/volume : la pression
alvéolaire diminue
Forces résistantes :
Résistance des voies aériennes à
l’écoulement de l’air
Élasticité du système
Inertie du système
Expiration
L'expiration est un processus passif : relâchement
des muscles inspiratoires
Forces résistantes :
Résistance des voies aériennes à
l’écoulement de l’air
Inertie du système
Les variations de pression pendant la respiration
Amplitude de la respiration
Pression intra-
pulmonaire
Pression intra-
pleurale
Les muscles respiratoires
Principaux
Diaphragme
Intercostaux internes et externes (expi et inspi)
(Abdominaux - expiration forcée)
• Organe de la phonation
• A l’entrée de la trachée
• Fait de cartilages et de muscles
• La modulation de son diamètre par
mouvements des cordes vocales permet la
phonation et le contrôle de la résistance au
passage de l’air
• « Valve laryngée »
Le larynx : aspects anatomiques
Cartilages:
-Thyroïde
-Cricoïde
-2 pièces postérieures :
Aryténoïdes
Les muscles intrinsèques du larynx
Vue postérieure Vue profil droit
1) Thyroaryténoïde (TA)
2) Interaryténoïde (IA)
3) Cricoaryténoïde Latéraux
(CAL)
4) Cricoaryténoïde postérieur
(CAP)
5) Cricothyroïde (CT)
IA
TA
CAL
CAP
Vue supérieure Les cordes vocales
Manque le CT ???...
IA = adducteurs TA = adducteurs
Rotation VL Mise en tension
Le larynx : innervation - activité pendant le cycle
respiratoire
Nerf vague
Carotide
Crosse aortique
Ph = nerf phrénique,
nerf inspiratoire qui contracte
le diaphragme
Les volumes et débits respiratoires
1. Volumes et capacité
Méthode de mesure : spirométrie
Le tracé obtenu : volume/temps
6000
5000
Volume de réserve Capacité
inspiratoire 3100 ml Inspiratoire
4000 Capacité 3600 ml
Vitale
4800 ml
3000
Volume courant 500 ml
1 sec 1 sec
Vol
VEMS = 1,53 l
(45% de CV)
VEMS =4,03 l
(84% de CV)
Obstruction (asthme)
Normal tps
III) LA VENTILATION PULMONAIRE
FACTEURS PHYSIQUES INFLUENÇANT LA RÉSISTANCE DES VOIES AÉRIENNES
1) PARASYMPATHIQUE
bronchoconstriction
•TONUS BRONCHOCONSTRICTEUR VAGAL
bronchodilatation
•IMPORTANCE: PEU IMPORTANT (pcq peu de neurofibres sympathiques)
FACTEURS HORMONAUX AFFECTANT LE DIAMÈTRE BRONCHIOLAIRE
1) ADRÉNALINE
2) HISTAMINE
réaction allergique histamine bronchoconstriction
ou inflammatoire
3) PROSTAGLANDINES
stimulus chimique cellules libèrent des bronchoconstriction
ou mécanique local prostaglandines ou bronchodilatation
ventilation ventilation
bronchodilatation bronchoconstriction
CO2 CO2
Pressions des gaz respirés
• PalvCO2 = 40 mmHg
• Au niveau capillaire veineux :
– PO2cap 40mmHg
– PCO2cap 45mmHg
• =>Passage par diffusion simple jusqu’à l’équilibre
Echanges gazeux le long du capillaire
- l’hématose -
Vt Taux de diffusion O2 et CO2 si rapides
et débit sanguin si lent que l’équilibre
complet est atteint bien avant l’extremité
des capillaires
PaO2 = 104 mmHg
PaCO2 = 40 mmHg
O2
CO2
PO2 = 40 mmHg PAO2 = 100 mmHg
PCO2 = 45 mmHg PACO2 = 40 mmHg
Temps de transit : 0,75 s
La diffusion alvéolo-capillaire
Elle dépend :
O
- de la surface de diffusion;
2
- de l'épaisseur de la membrane de diffusion
1 La surface de diffusion
PvO2= 40 mmHg le rapport ventilation/perfusion
• •
VA/Q.
pCO2 bronchoconstrictio
locale n ventilation
bronchodilatatio
pCO2locale n ventilation
O
Deux contraintes :
2
- Très fine: 0,5 à 1 micron d'épaisseur
Gaz passent par diffusion
-Très résistante
en particulier à l’exercice : tension d’étirement
Un cas d'augmentation de l'épaisseur de la
membrane :
l'oedème pulmonaire
Conséquence physiologique
importante => exercice augmente
l’amplitude de la respiration (de
manière + importante que la
fréquence)
RESPIRATION INTERNE: ÉCHANGES TISSULAIRES
Capillaires tissulaires
α2 α1
1 groupement hème dans chaque chaîne
contenant un atome de fer. Réaction d’oxygénat
Tétramère de 4 chaînes polypeptidiques : la globine
Fer =Fe++=ferreux. 6 liaisons covalentes
4 avec les N. 1 pour la globine. 1 pour O2.
4 O2 par molécule d’Hb
L'oxygène est transporté sous deux formes :
Importance qualitative
Ex.: une valeur de 40% indique que l’Hb est à 40% de sa capacité
maximale de transport de l’O2 .
% SATURATION Hb
(O2 combiné à l’Hb)
H.Hb + O2 Hb.O2 + H+
PO2 O2 Hb.O2
(mmHg)
TISSUS AU REPOS
75%
RÉSERVE VEINEUSE EN O2
S<75%
VOLUME D’O2 POUVANT ÊTRE
LIBÉRÉ SI LES TISSUS SONT PLUS
ACTIFS MÉTABOLIQUEMENT
PAO2 (mmHg)
Figure 23.19
PLUSIEURS SITUATIONS
(ex.: haute altitude, maladies respiratoires)
75% % SATURATION Hb
H+ se fixe sur Hb et change
60% sa forme 3D: Hb cède plus
facilement son O2 .
TEMPÉRATURE DU SANG
75%
% SATURATION Hb
55% pcq augmente l’agitation de la
molécule d’Hb l’Hb change de
forme et cède plus facilement
son O2 .
CERTAINES HORMONES
température du sang -thyroxine
au niveau des tissus -adrénaline
-testostérone
AINSI QUE L’ALTITUDE
métabolisme
des GR
% SATURATION DE Hb
DPG APPORT D’O2
produit par GR pcq DPG se fixe sur Hb AUX TISSUS
Hb change de forme et libère
plus facilement son O2 .
RÉSUMÉ: FACTEURS QUI FAVORISENT LA LIBÉRATION D’O2 PAR
L’Hb ( % SATURATION DE Hb ) AU NIVEAU DES TISSUS.
Capillaire tissulaire
pO2
H+ Hb.O2 Hb + O2
DPG
pCO2
température
CO2 déchets
acides O2
chaleur
V) LE TRANSPORT DU CO2 DANS LE SANG
1) CO2 DISSOUS DANS LE PLASMA 7 à 10%
CO2 + Hb Hb.CO2
carbhémoglobine
40 mmHg
Alacalose
ventilatoire (hypocapnie)
20 mmHg
[HCO3-] normale
24 mmol/l
7,2 7,4 7,6 pH
Acidose Alcalose
Diagramme de Davenport-perturbations métabol.
Représentation en courbe de l’équation d’Henderson-Hasselbach !!
Acidose Alcalose
Diagramme de Davenport
Corrections physiologiques
Hyperventilation diminue
la PCO2 donc H+, et rétention
des [HCO3-]
Log [CO2] Acidose ventilatoire (hypercapnie)
60 mmHg
Hypoventilation augmente la PCO2
donc H+, et excrétion d’*HCO3-]
40 mmHg
Alacalose
ventilatoire (hypocapnie)
20 mmHg
[HCO3-] normale
Acidose Alcalose
Diagramme de Davenport
Corrections physiologiques
Hyperventilation diminue
la PCO2 donc H+
Log [CO2] Hypoventilation
Acidose métabolique augmente
la PCO2 donc H+
60 mmHg
Alacalose
métabolique
40 mmHg
[HCO3-]
trop important
[HCO3-]
20 mmHg trop faible
[HCO3-] normale
Acidose Alcalose
VII. Le contrôle de la ventilation
Moelle épinière
Coupe
Saggitale
Pont de Varole
Bulbe rachidien
Moelle épinière
7.1 LES CENTRES NERVEUX REPSIRATOIRES
CENTRE
EXPIRATOIRE
CENTRE
INSPIRATOIRE
Nerfs intercostaux
Nerf phrénique
CENTRE PNEUMOTAXIQUE ET CENTRE APNEUSTIQUE
POUR RÉPONDRE
AUX BESOINS DE
PLUSIEURS FACTEURS
L’ORGANISME
action sur
CENTRE INSPIRATOIRE
modifie modifie
VENTILATION PULMONAIRE = FR X VC
7.2 FACTEURS INFLUENÇANT LES CENTRES RESPIRATOIRES
7.2.1 LES CHEMORÉCEPTEURS
CHEMORÉCEPTEURS CENTRAUX
-situés à la surface du bulbe
rachidien
-sensibles au pH du LCR (lié à
PCO2)
CHEMORÉCEPTEURS PÉRIPHÉRIQUES
-dans crosse aortique et bifurcation carotidienne
-sensibles à PO2 artérielle, à pH artériel (lié à PCO2 ou autres causes)
Chémorécepteurs
centraux
chemoreceptors
Localisation des chémorécepteurs centraux
7.2.1.1 INFLUENCE DE LA PCO2 ARTÉRIELLE SUR LA VENTILATION
+100%
SI PCO2 ARTÉRIELLE
+10%
VENTILATION
INFLUENCE DE LA PCO2 ARTÉRIELLE SUR LA VENTILATION (suite)
via [H+ du
sang artériel
CO2 + H2 O H2 CO3 H+ +
HCO3-
Les plus
importants CO2 H+
S’adaptent à
une pCO2
qui dure
longtemps
BUT FINAL
INEFFICACE À
LONG TERME
Si H+ ( pH) ARTÉRIEL
VENTILATION
INFLUENCE DU pH ARTÉRIEL SUR LA VENTILATION (suite)
HYPERVENTILATION
BUT FINAL
Pour pO2
pH lié à CO2
et autres causes Pour pH lié à CO2
7.2.2 Autres facteurs influençant la repsiration
-AUTRES FACTEURS
CENTRES NERVEUX .Centres nerveux supérieurs
SUPÉRIEURS .Réflexe de distension pulmonaire
.Réflexes de protection contre les
agents irritants
Figure 23.23
DOULEUR, ÉMOTIONS,
TEMPÉRATURE VOLONTÉ
CENTRE RESPIRATOIRE
MODIFICATION DE LA VENTILATION
RÉFLEXE DE DISTENSION
PULMONAIRE
(réflexe de Héring-Breuer)
Figure 23.23
Distension des poumons
Ce phénomène participe
Arrêt de l ’inspiration
à l’eupnée. (voie réflexe périphérique)
Mécanorécepteurs actifs en basale
RÉFLEXES DE PROTECTION
CONTRE LES AGENTS
IRRITANTS
AGENT IRRITANT
RÉCEPTEURS
dans trachée dans fosses
ou bronches nasales
CENTRE RESPIRATOIRE
RÉFLEXE RÉFLEXE
DE TOUX D’ÉTERNUEMENT
LUMSDEN : exp. de sections étagées; 1923
Décérébration
Centre pneumotaxique
Section pontine haute = bivagotomie seule Apneuse
Centre apneustique
Section pontine basse
« Gasping »
Section spinale
La commande inspiratoire descend depuis le bulbe rachidien vers les MN
des nerfs spinaux des muscles inspiratoires
Ex du nerf phrénique
• Racines cervicales
spinales C3 à C5
• Nerf bilatéral
• Rajoutons :
• Les nerfs intercostaux
(moelle thoracique et
lombaire) : muscles
abdominaux et
intercostaux
• Les nerfs crâniens
assurent la sortie
motrice vers les
muscles dilatateurs
des VAS
Les neurones respiratoires : pont et bulbe
rachidien
• Présentent des activités de
décharge en bouffées synchrones
des nerfs qui innervent les
muscles respiratoires
• Classification simple :
• 3 parties fonctionnelles :
• Centre apneustique
– moitié inférieure du pont
– neurones diffus au sein de la réticulée
– existence physique hypothétique (expériences..)
Activité des neurones pendant le
cycle respiratoire
• INSPIRATORY RAMP NEURON
• EARLY INSPIRATORY NEURON
• LATE ONSET INSPIRATORY NEURON
• CONSTANT INSPIRATORY NEURON
• EARYLY EXPIRATORY NEURON
• EXPIRATORY RAMP NEURON
• Raton P0-P8
• TC-ME
isolées (à
gauche)
• Tranche
rythmique
de tronc
cérébral (à
droite)
Partie caudale du GRV/PBC (Vagal MN, bleu)
Partie rostrale (IN en rouge et BS en jaune)
Activité de masse du nerf XII
– Neurones pacemakers
• Propriétés intrinsèques des neurones du réseau : canaux
ioniques sur la membrane des neurones et comment ils
affectent la réponse du neurone lors d’entrées synaptiques
PPSE
PPSI PPSE
PPSI
PPSI
PPSE PPSE
PPSI PPSI PPSI PPSI
Les NRB sont soumis à des PPSI pendant leur phase
de silence
Rythmicité continue en
présence de:
Strychnine et de
bicuculline
Fin
Le réseau de neurones respiratoires chez les mammifères
partie groupe
groupe respiratoire
respiratoir intermédiaire
ventral
e
dorsal partie
caudale
1 mm
Glutamate
motoneurones GABA
phréniques