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RESPONSABILITE CIVILE
a-obligation de donner :
1-l’exécution forcée
Introduction :
Dés lors que cette règle est transgresser, et des qu'un dommage (tort) a été
causé à quiconque l’auteur de méfait s’expose à subir à titre de sanction les
rigueurs de la responsabilité civile.
-la responsabilité civile contractuelle qui recouvre les règles applicable ou cas
des dommages qui résultent de l’inexécution de l’obligation contractuelle,
Les qualificatifs délictuels s’expliquent ici terme délit civile qui engage la
responsabilité civile de son auteur et qui fait naitre un droit subjectif : c’est le
droit de l’indemnisation ; ou le droit a réparation,
Le fait générateur est résulte de la faute commise par le débiteur, qui n’as pas
exécuté ses obligations contractuelle.
Dans tout les cas, la responsabilité a pour but de réparer un dommage causé à un
tiers.
Toute fois ; lorsque la loi admet une cause d’exonération ; l’auteur du dommage
peut s’exonérer de responsabilité s’il peut démontrer l’un des 3 cas suivant :
1-force majeure
2-fait de la victime
CHAPITRE I :
Les contrats sont conçus pour être exécutés. CAD que dans l’immense de majorité
des cas, les obligations contractuelles se terminent par l’exécution scrupuleuse
(SANS FAIRE DE MAUVAISE FOIE) et spontané qu’en (exécution) font leur débiteur
respectifs, mais il arrive que l’exécution d’un contrat fasse problème :
b- soit qu’il prouve en tout bonne foie du mal a honoré de son engagement ;
c- soit encore que des circonstances de force majeure viennent perturbe le bon
déroulement normal de la chose.
Le contractant qui n’exécute pas les obligations misent à sa charge par le contrat
peut cause un préjudice à son cocontractant .le créancier de l’obligation inexécuté
pourra alors agir en justice pour faire condamner le débiteur à lui verser une
somme d’argent destiner à réparer le préjudice qui résulte l’inexécution de
contrat ,parce qu’ il s’agit de la réparation de la préjudice , la question relève donc
du droit de la responsabilité civile, et puisque le préjudice résulte de l’inexécution
du contra il s’agit de la responsabilité civile contractuelle( par opposition à la
responsabilité civile délictuelle.
Les règles régissant la responsabilité contractuelle sont édicté par le DOC ; art
261 et suivant et abondamment complète par la jurisprudence .puisque nous
sommes en matière contractuelle et que les parties disposent d’une marge de
manœuvre considérable (liberté contractuelle), le contrat peut à son tout prévoir
et organiser les conséquences d’une inexécution. À cote du régime légal (section
I), se développe ainsi des modalités conventionnelles de la responsabilité
contractuelle (section II)
SECTION I :
CONTRACTUELLE
Le débiteur qui n’a pas exécuter ses obligations ou qu’il les a mal exécutés sera (à
certains conditions) tenu de réparer le préjudice causé au créancier de fait de
l’inexécution de contrat. On applique la règle générale selon laquelle chacun est
tenu de réparer le dommage qui cause à autrui art de 261 à 274. Quoi qu’il en
soit des solutions retenus par les jurisprudences continuent de planer sur la
délimitation de domaine de la responsabilité contractuelle et délictuelle (la
question de la responsabilité délictuelle sera traité d’une manière approfondie à
l’occasion de la 2iem chapitre).
A) Un préjudice,
A titre d’exp :la livraison d’orange pourra être assimiler à l’inexécution totale,
alors que la livraison d’orange d’une qualité inferieur à la qualité convenue sera
assimiler à l’inexécution partielle,,exp ; si la construction réalisé par un
architecte n’est pas apte à l’usage auquel il est été destine le juge fera comme
s’il y’avait inexécution total ,par contre si la construction réalise est apte à
l’usage auquel il été destine mais il ne réponds pas aux normes de qualité ou de
performance convenue ,le juge procédera comme s’il y avait inexécution partiel.
Selon l’art 264 du DOC (le préjudice consiste dans la perte effective que le
créancier a éprouve mais aussi dans le gain dont il a été prive)
a) La perte éprouvée :
. Il y a perte pour le créancier, quand celui-ci n’a rien reçu en contre partie du
prépaye ; ou qu’il reçoit des marchandises ou des services mais d’une qualité
inferieur à la qualité convenue .à titre exp : le plaideur à verser des honoraires à
son avocat mais celui-ci ne la pas représenter devant le tribunal, exp des travaux
réaliser par un entrepreneur se révèlent défectueux ce qui a obligé le propriétaire
de sortir de l’argent de sa poche et d’effectuer de réparation.
Le voyageur blessé au cours d’un transport qui doit dépenser pour se faire soigner,
exp le client d’un restaurant qui été intoxique par un plat et qui doit engager des
dépense pour se faire soigner, il y a également perte pour le créancier quand
l’exécution tardive l’oblige à engager des frais CAD que les travaux de
construction n ont pas été achève à temps et dans le délai prévue dans le contrat
ce qui a contraint (oblige) le propriétaire de la maison inachevé.
Dans tous ces cas, le créancier sera fondé à réclamer le remboursement des frais
engagés et ensuite la réparation des pertes subit de fait de l’inexécution du
contrat.
Dans tous ces cas, et dans bien d’autre, le créancier sera privé des gains qu’il aura
réalisé si le contrat avait été correctement exécute et sera par voie de
conséquence fondé à réclamer une indemnisation ou réparation.
De même que reste pose la question de la gravite de la faute lorsque la faute est
exige (2)
a-la nécessité de la faute : le DOC ne fait pas allusion à la faute, de toute fois
l’article 268 du doc dispose : ‘’il n y a lieu à aucun dommage et intérêt lorsque
le débiteur justifié que l’inexécution ou le retard proviennent d’une cause qui
ne peut lui être imputé, tel que de force majeur, le cas fortuit, ou la
demeure de créancier’’
On peut donc, on déduire que l’inexécution de ce qui a été promis constitue une
faute. En effet l’inexécution est nécessairement fautif sauf l’existence d’une
cause étrangère établit=prouvé par le débiteur.
Sur ce point, les dispositions du DOC, comme celle du code civil français sont un
peut explicite .D’une part, concernant l’article 263 qui dispose ‘’les dommages et
intérêts sont dues, soit à raison de l’inexécution, soit à raison du retard dans
l’exécution, et encore qu’il n’y aucune mauvaise foie de la part de débiteur,’’
Cet article autorise à dire que la faute intentionnelle n’est pas exigé et que la
responsabilité contractuelle peut être retenue en dehors de la mauvaise foi du
débiteur. Mais cet art ne dit pas si l’inexécution génératrice de responsabilité
doit être fautive ou non.
D’autre part, l’art 268 dispose que ‘’qu’il n y a lieu à aucun dommage et
intérêt, lorsque le débiteur justifier que l’inexécution ou le retard provienne
d’une cause qui ne lui peut être impute. Tel que la force majeure le cas
fortuit ﻏﯿﺮ ﻣﺘﻮﻗﻊà la demeure de créancier’’.
Cet article nous permet de dire que toute inexécution n’est pas génératrice de
responsabilité et que le débiteur n’a pas à répondre de l’inexécution due à la force
majeure ou à la demeure de créancier.
Donc, un cocontractant commet une faute d’un manquement cad qu’il n’exécute pas
une obligation prévue dans le contrat la conséquence de ce manquement, et pour
que la parti qui commet la faute puisse être condamné à répare le préjudice qu’il a
causé, il faut que soit apporté la preuve de cette faute.
b- la preuve de la faute
-lorsque l’obligation est une obligation de résultat, le créancier n’a pas approuve
la faute de débiteur et se contente à prouve que le contrat comporte un
engagement déterminer qui n’as pas été respecté. La preuve de la faute ce
confond avec la preuve de l’inexécution total ou partiel de l’obligation ce qui fait
pèse une présomption d’inexécution fautive sur le débiteur puisque le dommage
ne peut s’explique que par sa défaillance ; ainsi la faute ou le fait générateur,
résulte de la défaillance ou du manquement du débiteur qui n’a pas exécute
l’obligation née du contrat, on peut distinguer défirent types de faute
Le créancier doit prouver la faute de La responsabilité de débiteur est présumée ; si le résultat n’est pas
débiteur : Il n’a pas utilise tout les bien évidement atteint.
moyens et les connaissances voulus
requise.
Faute
-Faute intentionnelle -Faute non -Faut lourde : il est assimiler au dol -Faute légère :
intentionnelle : c’est une ,bien qu’il n y pas intention de nuire ou pareil à une faute
Ou mauvaise foi :
simple imprudence ou de malhonnêteté ;exp le débiteur Qui non intentionnelle
L’inexécution est
négligence au niveau de se refuse délibérément à exécute son
volontaire est due à la
l’exécution de contrat ; obligation commet une faute lourde et
malhonnêteté du
dolosive ;
débiteur. Pareil pour la faute
légère.
Il convient donc d’utilise cette distinction pour répondre à la question posé, car le
régime de la responsabilité contractuelle varie suivant que l’obligation inexécuté
est une obligation de moyen ou de résultat.
-La faute légère ou la faute simple : c’est une faute qui est à la base de droit
commun ; elle est en particulier présumé quand une obligation de résultat est
inexécuté,
-la faute lourde : c’est une faute qu’a été mise en évidence par la jurisprudence.
Assimile au dol quant à ses effets, c’est une faute grave qui révèle la carence et
la défaillance de débiteur de l’obligation et qui se traduit par une inexécution
importante de contrat. Mais la faute lourde peut être aussi commise lorsque
l’obligation inexécutée par le débiteur est importante ou substantielle pour
l’exécution du contrat, ainsi lorsque la responsabilité de débiteur se trouve
subordonne à la preuve de la faute, quelle gravité celle-ci doit elle revêtir, le juge
se contentera –t-il d’une faute banale ou exigera il une faute caractérisé (faute
appelle dolosive ?
La réponse à cette question est commandé par la distinction qui peut être faite au
sein même des obligations de moyen .ainsi , le créancier n’aura approuve qu’une
faute ordinaire chaque foi que le débiteur sera tenu d’une obligation de moyen, il
s’agira alors d’une imprudence, d’une intention ou d’une défaillance dont un
contractant prudent et diligent ne seront pas coupable , donc le juge devra
recherche si le débiteur s’est comporte comme il aurai du (bon père de famille) il
va considère qu’il existe une faute chaque foie que le comportement de débiteur
lui paraitra blâmable, ?
L art 264 de DOC , invite en effet le juge à ‘’évaluer déferrement la mesure des
dommage et intérêt selon qu’il s agit de la faute de débiteur ou de son dol’’.
Des lors, il faut admettre que le montant de dommage et intérêt doit être fixé en
fonction non pas de la gravite de la faute, la firme art 264 mais en fonction de
l’étendu du préjudice étant donne une faute, mais légère peut causer d’important
dégât. La réparation doit donc couvrir l’intégralité de préjudice quelque soit la
gravite de la faute,
Le juge devra il alors mettre de côté tous ces facteurs pour ne retenir
uniquement que la seul faute de médecin, ou devra-t- il mesure le rôle causal de
chaque facteur pour le retenir la responsabilité de médecin que pour la part que
lui revient.
Autre exemple ; un voyageur est blessé au cours d’un accident, il est transporte à
l’hôpital ou il subit plusieurs perfusion sanguine au cours de ces perfusion il est
contamine par le virus de sida qui cause de sa mort, au bout des quelque mois.
Dans le même ordre d’idée le juge dans ce cas aussi va se poser les questions
suivantes, ou faut il coupe la chaine ?quels sont les préjudices dont le
transporteur pourrai avoir à répondre ? Est ces les blessures dus à l accident ? Ou
est la contagion du sida par le malade, est ce le décès de la personne blessé ?
23OCT14
On prendra donc que ces causes d’exonération ne puissent jouer qu’à titre
exceptionnel, et que le débiteur ne soit libérer que s’il justifie que l’inexécution
provient d’une cause qui ne peut lui être pas impute ; tel que la force majeur, le
cas de fortuit ; ou la demeure du créancier (art 268 DOC).
L’art 268 de DOC parle de la force majeure et cas fortuit mais l’art 269 ne
définit que la seule force majeur. En fait, et sous réserve de quelques nuances les
deux expressions peuvent être considérés comme synonyme.
Ainsi l’art 269 définit la force majeur comme « tout fait que l’homme ne peut
prévenir ….et qui rond impossible l’exécution de l’obligation contractuelle ». le
même art 269 ajoute deux définitions importantes :
-Ni point considéré come force majeur la cause qu’il était possible d’éviter
si le débiteur ne justifie pas qu’il a déploie tout diligence pour s’en prémunir.
-« N’est pas également considère comme une force majeur la cause qu’a été
occasionnelle par une faute précédente du débiteur, »
-l’irrésistibilité
-l’imprévisibilité
-l’extériorité
$1- l’irrésistibilité : la force majeur doit être irrésistible, cad que le débiteur
n’a pas été en mesure de l’écarter. L’évènement doit être insurmontable pour un
individu normalement capable et qu’a une conduite tout à fait normale.
Du DOC « la FM et tout fait que l’homme ne peut prévenir tel que les phénomènes
naturel l’inondation, sécheresse, incendie, orage, un vasions de l’ennemie et qui
rend l’exécution impossible.
Il s agit selon l’art 270 du DOC du cas rare en pratique, où le créancier refuse son
motif valable la prestation offerte par le débiteur. L’inexécution ou le retard
dans l’exécution est alors due au créancier qui n’a pas fait ce qu’il devait faire et
non au débiteur .c’est donc le créancier qui fait ici obstacle à l’exécution du
contrat et cela suffit a dégagé le débiteur de tout responsabilité. Si
ultérieurement, le créancier agit en responsabilité contre le débiteur pour
inexécution de contrat celui-ci pourra se libère en prouvant que c’est le créancier
qui s’est oppose à l’exécution et qui par son refus on a rendue l’exécution du
contrat impossible.
La demeure du créancier joue ainsi comme une cause d’exonération de débiteur.
SECTION 2 :
RESPONSABILITE CONTRACTUELLE
-En déterminant par avance les montant des dommages et intérêt « clause
pénale » quelle type de clause permet-t-il d’aménager conventionnellement la
responsabilité contractuelle
4-les clauses pénales :à titre exp les parties insère une clause qui fixe un
forfait (mablagh jazafi) 500milion DH a titre de dommage et intérêt en cas de
non-respect du contrat
Il peut prévoir du débiteur dans le cas ou la lois l’exonère exp c’est le cas de la
FM .
C’est pourquoi ces clauses sont admises avec des réserves à titre exp ; ils ne sont
pas admise dans le contrat d’assurance ;
En cas d’inexécution du contrat, les parties doivent s’adresser au juge pour fixer
Le montant du dommage et intérêt mais les parties peuvent aussi éviter le
recours au juge en insérant dans leur contrat des clauses relative au montant des
dommages intérêt. En d’autre terme ils peuvent s’entendre d’avance sur le
montant des dommages et intérêts qui seront dues au créancier en cas
d’inexécution, ces clauses peuvent prendre soit la forme d’une clause pénale soit
celle d’une clause limitative de responsabilité.
13NOV14
On retrouve la clause pénale dans des nombreux contrats tels : les contrats
d’entreprise en raison de retard dans l’achèvement des travaux ; les contrats de
prêts, les contrats de ventes retard e de livraison de marchandises ….. etc
Toutes clauses contraires et réputée non écrite ceci découle de l’article 264 de
DOC. Tel qu’il a été modifié et compléter par le dahir du 11 Août 1995.
Ce pouvoir modérateur du juge n’est pas sans limites, il ne peut pas , s’il augmente
une clause pénale il ne peut pas l’élever jusque un montant supérieur au préjudice
subit ;et s’il a réduit ; il ne peut pas réduire ce montant à un montant inferieur au
préjudice constater.
Par une clause limitatif de responsabilité les parties conviennent d’avance qu’on
cas d’inexécution le montant du dommage et intérêt ne dépassera pas une somme
determiné.la limite il s’est fixé constitue le plafond en ce sens que le créancier de
l’obligation inexécuté ne pourra pas obtenir d’avantage, quelque soit l’étendue du
préjudice subit.
Une fois la faute contractuelle du débiteur est établit, ces clauses fixent un
plafond de responsabilité, donc de réparation. par exp dans un contrat
d’assurance, l’assureur fixe le montant maximum possible des dommages et
intérêts qu’il versera à l’assuré en cas de survenance du sinistre; de même, une
clause peut spécifier quand de cas de perte d’un colis contenant des objets de
valeur ; le transporteur ne sera tenu de verser une somme maximum déjà prévue
dans le contrat, le plafond.
A la différence des clauses pénales qui fixent un forfait ; les clauses limitatives
de responsabilité institues des plafonds : la réparation due par le débiteur ne
dépassera jamais la somme inscrite conventionnellement ;et le juge ne peut en
aucun cas le condamné à verser plus que le plafond cad la somme stipulé et fixé
conventionnellement.
SECTION 3 :
I ) RÉSOLUTION S
Conditions Effets
1-un même rapport juridique fait 1-l’exécution de l’obligation de l’autre parties est
naitre des obligations dont suspendue
l’exécution doit être simultanée
2-l’une des parties n’exécuté pas 2 Mais , le contrat subsiste son exécution est
son obligation par sa faute ou par reprise lorsque cesse l’obstacle apporte par l’une des
suite d’un cas de force majeur parties ou la force majeur
Les contrats synallagmatiques sont ceux ou les deux parties assument des obligations
réciproques l’une à l’égard de l’autre ; lorsque l’une du parties contractantes ne parvient pas à
obtenir l’exécution du contrat elle peut en demande la résolution. La résolution du contrat est
le premier élément de régime spécial établit pour les contrats synallagmatique. Elle consiste
dans une mise à néant (anéantissement total) comparable dans ses effets à l’annulation, et qui ne
peut être prononcée que par le juge. En pratique, si le juge qui est investi de large pouvoir
d’appréciation, sauf le cas ou le contrat stipule expressément en vertu ( bimojib) d’une clause
résolutoire que le contrat sera résolue de pleine droit en cas d’inexécution . D’ailleurs l’une
des parties aura le choix entre poursuivre l’exécution forcée ou solliciter la résolution : ex ainsi
le vendeur qui n’obtient pas le paiement des prix peut agir en recouvrement forcée (la saisie) ;
ou demander la résolution de la vente. La résolution du contra doit être obtenue en justice
(art 259 du DOC) ; ce qui donne à penser que le tribunal saisie dispose d’un certain pouvoir
d’appréciation. Car le juge ne prononce la résolution demande que lorsqu’il constate une
inexécution suffisamment grave. S’il la refuse, il peut aussi accorde un délai d’exécution au
débiteur .le juge a également le pouvoir d’allouer au créancier des dommages et intérêts. la
résolution opère normalement comme la nullité ou l’annulation de façon rétroactive, en effaçant
le contrat pour le passé comme pour l’avenir. Mais il en (résolution) va autrement pour les
contrats à exécution successif résolue en cours d’exécution .dans ce cas la résolution comporte
seulement la résiliation du contrat qui ne disparait que pour l’avenir. En effet dans les contrats
à exécution successif on ne peut, on cas de nullité effacé les effets passés du contrat (contra
bail, abonnement, travail) le contrat n’est anéantis que pour l’avenir.
La résolution entraine l’anéantissement rétroactif du contrat, elle produit donc des effets à la
logue (semblable) à ceux de l’annulation mais la cause des deux sanctions est différentes :
L’annulation suppose que le contrat ne s’est pas valablement forme cas d’un vice qui entache la
formation de contrat.
La résolution en revanche suppose que un contrat valablement formé mais dont un évènement
ultérieur, ex l’inexécution d’une obligation a rendue nécessaire l’anéantissement. Lorsqu’il s’agit
d’un contrat à exécution successif qui a été exécuté pendant un certain temps puis qui cesse de
l être par l’une des parties. par ex le locataire cesse de payer son loyer, dans ce cas ; la
résolution rétroactive ne peut pas être prononcer ; on lui substitue la résiliation du contrat
cad son anéantissement que pour l’avenir uniquement.
En raison de cette interdépendance les contrats synallagmatiques sont soumis à des règles
spéciales : ce sont des règles spéciales qui jouent en cas d’inexécution d’un contrat
synallagmatiques ;en effet ces contrats donne naissance à des obligations réciproque et
interdépendante . 3 conséquences importantes découlent de leur inexécution:
SECTION I
A-RÉSOLUTION JUDICIAIRE : résolution judiciaire est prévue par l’art 259 de DOC, au
terme de cet article si le débiteur est en demeure (averti écrite) et s’il n’est possible d’obtenir
d’exécution force, le créancier a la possibilité d’obtenir la résolution du contrat.
En effet, le créancier qui n’obtient pas la prestation promise peut demande au juge de le libéré
de ses propres engagement. L’action en résolution vient alors sanctionner le débiteur défaillant
en le privant de bénéfice du contrat ; il se fond de l’art 259 de DOC qui précise bien que la
résolution ne perd pas de pleine droit ; et qu’elle doit être prononcer par le juge, et lorsque le
débiteur est en demeure le créancier a le droit de le contraindre à accomplir l’obligation si
l’exécution est bien sure est possible, à défaut il peut demander la résolution du contrat ainsi
que les dommages et intérêt dans les 2 cas .
-La résolution du contra ne peut pas avoir lieu de pleine droit, car il doit ETRE prononcer
par le juge.
04DEC14
L’inexécution doit être imputable au débiteur car la résolution constitue une sanction imposée
au débiteur qui n’a pas honoré ses engagements.
L’inexécution peut être totale ou partielle et le juge dispose d’un large pouvoir d’appréciation
pour dire si l’inexécution est suffisamment grave pour justifier la résolution. En effet
l’exécution défectueuse peut aussi entrainer la résolution pourvu quelle soit suffisamment grave
pour justifie l’anéantissement du contrat.
Dans tous ces cas, si le seuil de gravite requis n est pas atteint, le juge refusera la résolution
mais accordera des dommages et intérêt ou un délai de grâce pour permettre au débiteur pour
exécuter ses obligations (article 243 de DOC).
Selon l’article 259 du DOC, la résolution ne sera possible que si l’exécution du contrat est
impossible.
Dans le cas contraire, le créancier de l’obligation inexécuté ne pourrai pas obtenir la résolution
mais pourrai agir en exécution forcée,
En effet, l’exécution forcée se manifeste dans le cas ou le débiteur ne s’acquitte pas de son
obligation et s’il résiste même au mesure de coercition momentanée, car il est normal que le
créancier cherche à obtenir par la contrainte, l’exécution forcé de la prestation promis art 259
de DOC.
Portant, on sait qu’une tel éventualité (hypothèse) ne pourra pas toujours se réaliser ; car
l’usage de la force n’est pas juridiquement ni moralement acceptable, lorsque il est destiner à
s’exercer sur une personne physique. Ainsi la recherche d’une exécution forcée est
pratiquement exclue chaque foie que l’obligation en cause suppose que son accomplissement un
concours actif et personnel du débiteur doc 261 : ex contrat de travail, ou contrat de
prestation de service contrat d’entreprise.
En revanche il arrive que la force publique soit mise en ouvre pour procéder à l’expulsion d’un
locataire rétif ou si la mise en possession de l’acheteur contre le gré du vendeur qui refuse de à
livré la chose vendue, il est donc clair comme matière de résolution judiciaire le juge dispose
d’un pouvoir d’appréciation considérable qu’il lui permet de modeler les solutions en fonction de
la gravite de l’inexécution et en fonction de la bonne où du mauvaise foie des parties,
Saisie d’une action en résolution, le juge peut choisir entre plusieurs solutions :
1-il peut refuser d’anéantir le contrat et donner une nouvelle chance au débiteur en lui a
accordant un délai de grâce pour s’acquitter de son obligation.
2-Il peut condamner le débiteur à réparer les préjudices par le créancier du fait de
l’inexécution sans prononcer la résolution du contrat.
Illustration : une entreprise marocaine de promotion immobilière construit des logements et ils
les vont à crédit, lorsque les paiements des échéances mensuel vient à être interrompe par le
créancier ; l’entreprise agit en justice non pas en paiement et à la réparation mais en résolution
de la vente, toutes fois ; la plus part des tribunaux saisie refus d’accorder la résolution
judiciaire et se limite à condamner les acheteurs défaillants aux paiements des échéances
exigés qui reste.
2-Les effets de la résolution judiciaire
Il n est pas tjrs possible de remettre les parties dans la situation ou elles se trouvaient avant la
conclusion du contrat c’est le cas de la résiliation dans le cadre du contrat à exécution
successive (bail ; contrat travail, contrat abonnement téléphonique).
Dans ces cas la résolution n’aura pas d effet rétroactif et le contrat prendra fin uniquement
pour l’avenir.(il s’agirait alors d’une résiliation judiciaire et d’une résolution )
Ces clause présentent l’avantage d’éviter le recours aux tribunaux car le juge se bornera à
appliquer la clause résolutoire tel qu’elle est a été prévue et a constater la résolution sans
exercer aucun pouvoir d’appréciation. (le juge a les mains lies).
En effet de terme à l’article 260de DOC dispose : « si les parties sont convenus que le contrat
sera résolu dans le cas ou l’une d‘elle n’accomplira pas la résolution du contrat s’opère de pleine
droit par le seul fait de l’inexécution du contrat »
Au Maroc la résolution conventionnelle est aussi dangereuse pour la partie faible. Les
contractants qui se trouve dans une position forte peuvent faire un usage abusif en se
reconnaissant le droit de se libérer le lien contractuelle même si l’inexécution ne justifier pas
suffisamment la résolution, par exemple : le locataire qu’est en retard pour le paiement de
loyer ;le propriétaire le fait expulsé ;cette raison art 260 de DOC prévoie que la clause
résolutoire supprime l’intervention du juge, sauf si les parties au contrat sont en désaccord sur
l’application de cette clause.
SECTION II
L’EXCPETION DE L INEXECUTION
Le II mécanisme de régime applicable pour les contrats synallagmatiques consiste dans
l’exception d’inexécution. la formule signifie que chacune des partie et ont droit et de refuser
d’exécuter l’obligation qu’elle a souscrite tant que l’autre partie n exécute pas la sienne et cela
sans avoir à soumettre ce refus à l’appréciation préalable de juge. il s’agit d’un moyen de
défense et de pression qui relève du l’idée de justice prive. Ce ne peut être que une solution
provisoire : ou bien la pression fait sans effet, et le contrat est exécute, ou bien elle échoue ; il
y a lieu alors pour la partie intéressé d’agir soit en exécution forcée ou avoir recours à la
résolution judiciaire du contrat.
L’exception d’inexécution n’entraine pas une rupture de lien contractuelle mais seulement à
suspension provisoire. En effet en terme de l’article 235 de DOC qui dispose « dans les
contrats bilatéraux l’une des partis peut refuser d’accomplir son obligation jusqu’à l’accomplissement
de l’obligation corrélative de l’autre partie ». Par ex l’acheteur peut refuser le paiement du prix
en cas de refus de vendeur de transférer la propriété.
Cette exception d’inexécution joue aussi bien en cas d’inexécution totale ou partielle à condition
que celle-ci présente une certaine gravité.
11DEC14
Quant aux 3iem mécanismes relatifs aux règles spéciales applicables au contrat synallagmatique,
ces règles fixent le sort (destinée) du contrat dans le cas ou l’une des parties se trouve
empêché d’exécuter son obligation par les faits d’un événement de force majeur. C’est la théorie
des risques. Le principe est que l’impossibilité pour l’une des parties d’exécuter (par l’effet de la
force majeur), entrainent la libération ou l’exonération de l’autre partie : le débiteur de
l’obligation inexécuté supporte les risques de la fore majeur on ce que ne peut plus demander
l’exécution du contrat à son profit.
En cas de force majeur ; l’exécution devient impossible et à l’impossible nul n’est tenu. le
débiteur qui n’exécute pas ses obligations en raison de la force majeur ne sera pas donc
sanctionné. Mais que devient alors l’obligation qui pèse sur l’autre partie et dont l’exécution
reste possible ? En d’autre terme, la partie qui n’a pas exécuté ses obligations en raison de la
force majeur, peut elle réclamer à son cocontractant l’exécution les obligations lui incombe ?
A titre d’exemple le transporteur qui, en raison d’un événement constitutif de la force majeur
n’a pas pu effectuer le transport ; peut il réclamer le paiement du prix ou garder le prix perçu ?
autre ex le chirurgien qui en raison d’un cas de force majeur n’a pas pu opérer ; peut il réclamer
des honoraires ou garder les honoraires perçus ?
-s’agissant du contrat non translatif des propriétés la règle est énoncé par l’article 338 de
DOC qui dispose « lorsque l’inexécution de l’obligation provient d’une cause indépendante de la
volonté du deux contractants, le débiteur est libéré mais il n’a plus le droit de demander la
prestation qui serai due par l’autre partie ». Celui qui se trouve dans l’impossibilité d’exécuter
son obligation cesse donc d’être tenu mais il perd en même temps tout droit à la contre
prestation.
Car si la force majeure éteint l’obligation de débiteur ; il éteint aussi et de même coup
l’obligation de créancier. En dira donc que les risques sont réciproques pour signifier que le
créancier aussi n’aura pas à subir les conséquences de la force majeure ?
-En revanche ; s’agissant des contrats translatifs des propriétés ; les risques sont à la charge
des propriétaires. Ainsi à titre ex dans le contrat de vente le transfère de propriété
s’opère(faire ;effectuer ;réaliser) généralement par l’échange des consentements, dés lors,
si le vendeur se trouve de l’impossibilité de livrer la chose qui a périe du fait d’un événement de
force majeur l’acheter qui n’a pas encore payer sa marchandise ne sera pas libérer de
l’obligation de payer le prix car ici dans ce cas ( des contrats translatifs des propriété ) les
risques sont pour le propriétaire car l’acheteur devenu propriétaire au moment de l’échange de
consentement. mais, si la force majeur survient avant le transfère de propriété ; les risques
seront pour le vendeur demeure (rester) propriétaire et non l’acquéreur (acheteur) qui n’a pas
encore devenu propriétaire.
CHAPITRE II LA RESPONSABILITE CIVILE DELICTUELLE
-Préjudice d’agreement : la victime sera privée désormais de certains activités agréables dans
la vie ; il ne pourra pas jouer de piano ;
-Dommage moral : souffrance moral causé par la diffamation (sabb w chatm) ; par la perte
aussi d’un parent dans un accident
B-Le fait générateur, (la faute) : le fondement traditionnel de la responsabilité civile est la
faute.
Exemples :
-des faute civiles : faute par omission ex l’absence des signalisations de travaux voiries a
provoqué un accident.
-Faute intentionnelle délit : ex abus de droit (ta3asof f sti3mal l7a9) du propriétaire qui
cherche à nuire à ses voisin (tapage nocturne)
C- le lien de causalité : entre le fait générateur et le dommage doit être directe et certain ;
-Le fait d’un tiers : ex en faisant un écart pour éviter une pierre lancé d’un pont (un passant
lance une pierre) qui se blesse en tombant.
Cet article énonce un principe général de bon sens et d’équité au terme duquel quiconque
provoque à autrui un dommage doit en principe réparer et indemniser, ‘’qui casse paye’’, la
responsabilité personnelle peut donc résulté :
Outre la responsabilité a chacun pour ses propres actes, on est responsable aussi des dommages
causés par le fait des personnes dont doit répondre.
En effet l’article 85 du DOC précise que parmi ces personnes spécialement il s’agit des parents
des éducateurs et aux employeurs :
Le père et la mère après le décès de l’un des deux et parce qu’ils sont investi de l’autorité
parentale sont présumés responsables des dommages causés par leur enfants mineur qui
cohabitent avec eux, l’idée explicatif de cette responsabilité est que la faute commise par
l’enfant et probablement d’un défaut de surveillance et d’éducation de la part des parents
Cette responsabilité engendre un obligation de réparer le dommage causé par le fait d’une
personne dont doit répondre, ex : on est responsable du dommage causé des faits des personnes
qu’ on doit répondre, dans des établissements qui reçoivent des handicapés, ou des associations
qui accueillent des mineurs place sur des décisions de justice…..
C-LA RESPONSABLITE DES FAITS DES CHOSES DES BATMENTS ET DES ANIMAUX
De même que l’en doit réponde de ces actes personnels et de ceux des personnes sur les
lesquelles on exerce une surveillance ou autorité ; La loi aussi oblige chacun à répondre de fait
des choses qu’a sous sa garde, sous forme d’un principe général art 88 DOC, d’autre texte en
font des applications particulières ou cas de dommage causé par un animal ; art 86 de DOC ou
par un bâtiment qui s’enfonce art 89 du DOC.
Ainsi chaque fois une chose intervient come instrument d’un dommage causé à autrui, la loi invite
à en recherché le propriétaire pour le déclarer responsable et l’obliger à réparation, si celui qui
avait la garde (la responsabilité de maitrise et le contrôle) de la chose au moment du fait
dommageable qui voit sa responsabilité civile délictuelle engagée. Et cette responsabilité est
présumé ; comme les parents et les artisans ; parmi ces responsabilités : responsabilité faits
des choses qu’l on a souligné sous sa garde et qu’ont été l’instrument du dommage.
-la responsabilité civile bâtiment : dont en est propriétaire ; et qu’ont causé des dommages par
leur ruine de faite d’un défaut d’entretient ou d’un vice de construction.