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Etudiant
Abdelhamid BENSALEM
Tuteur industriel
Eric MASY
Tuteur enseignant Master 1 ICM – Valenciennes
Danys DEWALLY Stage effectué du 3 Mai au 2 Juillet 2010
Remerciements
Je voudrais remercier en tout premier lieu Monsieur Duthilleul, responsable du Pôle
Biologie-Hygiène du Centre Hospitalier de Valenciennes, pour m’avoir permis de faire ce
stage en m’accueillant dans son établissement. Qu’il trouve ici mes vifs remerciements pour
m’y avoir accueilli.
Je remercie tout particulièrement Monsieur Eric Masy ainsi que Pascal Stremplewski
qui m'ont choisi pour ce stage. Tout au long de celui ci, ils m’ont encadré et ont été
bienveillants à mon égard. Je les remercie aussi pour le partage de leur expérience, pour leurs
conseils avisés ainsi que pour leur confiance et leur soutien pendant ce stage. Ce séjour restera
pour moi, une source d’enrichissement, tant sur le plan humain que sur le plan technique.
Sans oublier le magasinier Gérald Maréchal qui par sa sympathie et son aide quotidien
durant ce stage m’a montré les différents aspects de son travail sans hésiter et toujours avec le
sourire.
Sommaire
Remerciements.......................................................................................................................p.2
Sommaire................................................................................................................................p.3
Glossaire..................................................................................................................................p5
Introduction............................................................................................................................p.8
Conclusion - Perspectives....................................................................................................p.28
Annexes.................................................................................................................................p.29
Références bibliographiques...............................................................................................p.39
Glossaire
Sigles et abréviations :
UF : Unité Fonctionnelle
Définitions :
Certification : assurance donnée, par écrit, par un organisme accrédité et impartial, attestant
qu’une personne, un service ou une entreprise présente une conformité aux spécifications
énoncées dans un référentiel. La certification apporte la preuve, par un certificat, qu’un
système a été mis en place conformément à un référentiel et qu’il fonctionne.
COFRAC : association à but non lucratif fondée en 1994 et mise en place par les pouvoirs
publics, en conformité avec les exigences européennes et internationales de normalisation.
Elle est chargée de la reconnaissance officielle, via un processus d’accréditation, des
compétences des organismes de contrôles tels que les laboratoires d’essai, les entreprises de
certification et les vérificateurs.
Contrôle de Qualité Interne : ensemble des procédures mises en œuvre dans un laboratoire
en vue de permettre un contrôle qualité des résultats des analyses au fur et à mesure de leur
exécution.
Qualité : aptitude d’un produit, d’un procédé ou d’un service rendu, à satisfaire les besoins
exprimés et implicites de l’utilisateur. Dans la biologie médicale, elle correspond à
l’adéquation entre les moyens mis en œuvre et les informations attendues par le médecin
prescripteur et à la réponse aux attentes du patient.
Fidélité de mesure : étroitesse de l’accord entre les indications ou les valeurs mesurées
obtenues par des mesurages répétés du même objet ou d’objets similaires dans des conditions
spécifiées.
Justesse de mesure : étroitesse de l’accord entre la moyenne d’un nombre infini de valeurs
mesurées répétées et une valeur de référence.
Exactitude de mesure : étroitesse de l’accord entre une valeur mesurée et une valeur vraie
d’un mesurande.
Etalonnage : opération qui, dans des conditions spécifiées, établit en une première étape une
relation entre les valeurs et les incertitudes de mesures associées qui sont fournies par des
étalons et les indications correspondantes avec les incertitudes associées, puis utilise en une
seconde étape cette information pour établir une relation permettant d’obtenir un résultat de
mesure à partir d’une indication.
Etalon : réalisation de la définition d’une grandeur donnée, avec une valeur déterminée et une
incertitude de mesure associée, utilisée comme référence.
Introduction
1.3.3Le personnel
Le laboratoire comprend :
A noter également que le Pôle s’est doté en 1999 d’un laboratoire interne de
métrologie, laboratoire dans lequel j’ai effectué beaucoup de mes analyses, un domaine
d’activité faisant particulièrement l’objet d’attention dans les référentiels ISO 15189 et ISO
17 025.
Le MAQ, est revu, mis à jour annuellement en fonctions des objectifs et priorités à la
suite de revues de directions en fin d’année. Il définit de manière globale et détaillée le
système de management qualité en vigueur au pôle ainsi que les principaux axes sur lesquels
est basé l’engagement de la direction, de même que les domaines d’application et périmètres
concernés. L’organigramme de la direction qualité y est présenté tout comme la structure et
les unités fonctionnelles au sein du Pôle. A la parution de chaque nouvelle version du MAQ,
la précédente est automatiquement archivée, disponible en format papier ou informatique dans
la base documentaire.
Depuis 1998, le Pôle Biologie – Hygiène du CHV mène une démarche qualité définie
sur 3 plans :
Le Pôle dispose d’une base documentaire organisée selon, notamment, les exigences
de la norme ISO 9001. Ainsi chaque procédure se voit attribuée le préfixe « PRO » suivit d’un
numéro correspond à un type de procédure spécifique (spécifiée dans l’ISO 9001). Par
exemple, le numéro des procédures relatives aux audits internes est « PRO_027 ». Quatre
principes d’organisation de la base documentaire font office : la rédaction de procédures
générales, la rédaction d’instructions rattachées déclinant et précisant les différents aspects
des procédures, la mise en place de fiches d’analyses et d’utilisation des appareils, la mise au
point de formulaires de saisie, l’établissement d’enregistrements servant de preuves.
Cette base de données est accessible à tout le personnel sur le réseau informatique
interne du Pôle.
La norme ISO 15 189 est une norme internationale dictée par l’ISO et appliquée
exclusivement aux LABM. Elle spécifie les exigences de qualité et de compétences propres
aux LABM et est délivrée par le Cofrac. C’est également une Norme Française (NF)
homologuée par décision de la Direction Générale d’AFNOR en septembre 2003 et adoptée
par le Comité Européen de Normalisation (CEN).
Cette norme est plus détaillée que le GBEA en reprenant quelques-unes de ses
exigences, mais aussi celles de l’ISO 9001 : 2008 et de l’accréditation.
Enfin, l’ISO 15 189 met l’accent sur la métrologie, en accord avec les étalons nationaux.
Cette norme précise également des notes de politique comme désignées ci-dessous :
- la gestion des compétences
- l’évaluation des incertitudes de mesure dans les laboratoires
- la traçabilité des résultats de mesure
- les avis et interprétations
- les comparaisons inter laboratoires
- la transmission électronique des rapports sur les résultats
- la sous-traitance
Cette norme regroupe les exigences générales de compétence pour effectuer des essais,
des étalonnages, voire des échantillonnages. Elle a pour objectif d’apporter la preuve que le
laboratoire d’essais est techniquement compétent et capable de produire des résultats valides,
tout en intégrant certaines exigences de l’ISO 9001. Elle couvre les essais et étalonnages
effectués au moyen de méthodes normalisées, de méthodes non normalisées et de méthodes
élaborées par les laboratoires eux-mêmes. Elle est également internationale, reconnue en
Europe, donne lieu à une accréditation en France via le Cofrac.
L’ISO 17 025 notifie des exigences techniques assez similaires à celles de l’ISO 15
189 : elle requiert que le personnel soit compétent au vu de ses qualifications et formations
complémentaires ; une procédure d’habilitation, consistant en des évaluations, QCM et
réévaluations, doit être engagée, de même qu’une traçabilité des autorisations de travail aux
postes concernés. Concernant la traçabilité de l’échantillonnage, le laboratoire doit se doter
d’une chaîne d’étalonnage, de programmes et procédures pour les étalons de référence. L’ISO
17 025 insiste également sur les services aux clients, en suggérant une coopération entre ceux-
ci et le laboratoire et des enquêtes de satisfaction.
Enfin, cette norme se distingue de l’ISO 15 189 du fait qu’il s’inscrit dans un cadre
d’activité environnementale.
obtenir une accréditation ISO 15 189 sur deux UF, hémostase et immunologie, une
accréditation ISO 17 025 sur une UF, hygiène.
Pour cela, le CHV a d’abord dû se soumettre à des questionnaires envoyés par le
Cofrac, qui consistaient dans un premier temps à fournir des renseignements généraux sur le
pôle, ces renseignements servant d’élément déclencheur à l’accréditation. Ces renseignements
concernent la structure, le mode de fonctionnement et les caractéristiques générales du
laboratoire.
Le processus d’accréditation Cofrac suit ensuite ce plan :
- la signature d’une convention entre le Cofrac et le CHV
- une phase d’évaluation, sur les documents du MAQ et sur site
- une phase de décision : avis favorable/défavorable, réserve ou non
- notification de décision d’accréditation : attestation, diplôme, logotype et numéro.
Dans le cadre de cette démarche, le Pôle Biologie - Hygiène présente des points forts :
un management organisé et écrit suivant la norme ISO, une politique et des objectifs définis,
une maîtrise de la documentation suivant elle aussi la norme ISO, des actions correctives et
préventives sont régulièrement engagées et une métrologie organisée.
Néanmoins, il présente certaines lacunes, notamment en traçabilité totale de l’analyse, des
réactifs utilisés et du matériel ; il lui faut aussi apporter la preuve que les fournitures, réactifs
et consommables achetés ont été contrôlés ou vérifiés avant utilisation et effectuer une
évaluation des fournisseurs. Enfin, il doit également apporter la preuve de la qualification du
personnel grâce à des grilles de compétence, des formations et des évaluations.
Dans cette optique, le Pôle a prévu une méthode de travail se reposant d’une part sur
des simulations sur terrain pour chaque secteur (observations d’écarts par rapport aux normes)
et d’autre part sur la constitution de groupes de travail thématiques, au nombre de 12 au sein
3.3.4 La Métrologie
Cette discipline, évoquée brièvement dans le GBEA mais exigée dans l’ISO 17 025, se
définit comme « l’ensemble des techniques et savoir-faire permettant d’effectuer des mesures
et d’avoir une confiance suffisante dans les résultats ». J’ai pu aussi assister à une réunion
métrologie où les points d’avancements des contrôles et les enregistrements des temps passés
en métrologie ont été évoqués, à la fin de la réunion j’ai pu parler du point d’avancement du
stage de métrologie.
Des agences régionales comme la Direction de l’Action Régionale de la Qualité et de
la Sécurité Industrielles (DARQSI) ou la Direction Régionale de l’Industrie et de
l’Environnement (DRIRE) le suppléent dans cette tâche. Elle est également régie, comme
l’évoque son nom, par le système métrique.
pour recenser tous ces paramètres, ce fichier devra être actualisé pour suivre l’état des
thermomètres.
Par la suite un contrôle des thermomètres a dû être mis en œuvre, en effet
annuellement et dès la mise en service il faut vérifier la justesse et la répétabilité des
thermomètres surveillant la température des enceintes à température régulée.
J’ai dû effectuer ce contrôle suivant la procédure suivante, les thermomètres sont
qualifiés si les deux critères suivants sont respectés : l’erreur de justesse n’excède pas 1°C et
l’erreur de répétabilité n’excède pas 0,5°C. Le principe est simple, les thermomètres pour
enceinte thermorégulées entre 2°C et 8°C sont vérifiés à 0°C, par immersion dans un mélange
stabilisé d’eau et de glace fondante. Les valeurs affichées sont comparées aux valeurs du
thermomètre de référence Testo 735-2, idem pour les thermomètres pour étuve qui sont
contrôlés à 37°C par immersion dans le bain-marie régulé de métrologie, au final une fiche de
contrôle est établie afin d’établir ou non la conformité du thermomètre, voir annexe 3.
4.1.2 Vérification des calculs d’incertitudes liée aux contrôles des pipettes
a) principe du contrôle par gravimétrie
L’objectif est de vérifier que les pipettes délivrent des volumes selon des critères
prédéfinis, pour cela les pipettes délivrant des volumes ≥ 5 µL sont vérifiées en interne et celle
≤ 5 µL sont envoyées à une société certifiée Cofrac pour vérification et contrôle, en effet la
balance qui sert à recueillir les mesures est précise à 10 -5 g et ne pourrait être concluante sur les
volumes minimaux. Le principe utilisé est la gravimétrie. Il consiste à peser à température
ambiante (20 °C+/- 3°C) des volumes d’eau distillée prélevés avec la pipette testée, en utilisant
une balance électronique de précision (10-5 g) qui est reliée à un PC qui la pilote en mode
automatique, le logiciel Proline-Soft 3 réalise les calculs statistiques nécessaires à la prise de
décision (conformité ou non). La température est relevée à l’aide de la sonde de référence
Testo. La pression atmosphérique et l’hygrométrie du local de métrologie sont relevés sur
Internet et imprimés. Les valeurs de pesées sont corrigées en fonction de la température et de la
pression atmosphérique (calcul du facteur Z (en µL/mg) qui permet la transformation de la
masse en volume).
b) rattachement au système international
La balance de précision est raccordée à des masses étalons certifiées SARTORIUS de
20 mg, 200 mg et 5 g de classe E2, l’opérateur doit effectuer un passage des 3 masses étalons
avant chaque série de pipettes, cette balance est contrôlée annuellement par un technicien
extérieur qui établit un certificat d’étalonnage qui est garant de sa conformité.
c) travail effectué
Ainsi il a fallu vérifier que les calculs d’incertitudes réalisés par le logiciel étaient
conformes, à savoir l’erreur de justesse (écart entre le volume moyen et le volume nominal) qui
donne une idée de l’exactitude, et la fidélité qui donne une idée de l’imprécision et de la
répétabilité des mesures. Les mesures ont été effectuées sur une pipette délivrant un volume
nominal de 200 µL pour 4 mesures, voir annexe 4.
On peut voir que les incertitudes se situent bien dans les erreurs maximales tolérées et que
cette pipette est déclarée conforme, ce qui corrobore bien les résultats du logiciel, voir annexe 5.
Conclusion - Perspectives
J’ai bénéficié d’un encadrement de qualité, en même temps d’une assez grande liberté
dans le travail, ce qui m’a permis une plus grande autonomie. Ce fut un réel plaisir de
travailler dans ces conditions.
Au cours de ces deux mois, j’ai également noté, au contact des membres du personnel
du laboratoire, que la qualité est un domaine qui ne faisait pas l’unanimité parmi ceux-ci, en
ce qui concerne particulièrement le Cofrac, en raison de ses directives très contraignantes
propres à son statut de plus haut référentiel de qualité disponible en France.
En ce qui concerne les perspectives, une piste intéressante serait de contrôler une
grandeur physique laissée jusqu’à présent de côté qu’est la densité optique, de nombreux
appareils de mesures l’utilisent notamment les lecteurs de microplaques, cette grandeur serait
à ajouter à toutes les autres grandeurs à contrôler et ainsi permettre encore une meilleure
traçabilité au niveau des contrôles.
Vérification et
Pro-Line Soft 3 Balance MC210P (10-5 g)
étalonnage de pipettes
Contrôle des
Sonde de température
Système TCT/PGP températures des
TCT à enregistrement
raccourci Asclépios enceintes thermo-
continue
régulées
1. Etalonnage
Mettre sous tension le pH-mètre.
Appuyer sur le bouton « Menu ».
Confirmer les « Fonctions d’étalonnage » avec les flèches.
Sélectionner « pH ».
Sélectionner « Ensemble de tampons », dans ce cas précis choisissez le groupe : 1,68 - 4,01-
6,86 -9,18 – 12,46.
Quitter le menu à l’aide de la flèche retour.
Sélectionner « Etalonnage ».
L’étalonnage s’effectue en 3 points.
Préparer les 3 solutions pH tampons Hach Lange.
Rincer l’électrode avec de l’eau distillée.
Démarrer l’étalonnage avec la première solution tampon pH = 1,679.
Le résultat de l’étalonnage est automatiquement mémorisé lorsque le signal est stable.
Les anciennes données sont automatiquement remplacées par les nouvelles.
Une fois terminé, passé la deuxième solution tampon pH = 4,005, ensuite la solution tampon
pH=9,18.
A la fin de la série, appuyer sur « fin des mesures ».
Avant et après étalonnage, un passage de contrôle pH=2,00 et pH=7,00 est effectué.
Si les mesures de(s) contrôle(s) sont situées dans l'intervalle de référence (Valeur cible +
0,1unité pH) pour le pH=2,00 et (Valeur cible + 0,2 unité pH) pour le pH=7,00, un certificat
de conformité est rédigé (cf. TRA_324).
2. Vérification
La surveillance du pH-mètre s’effectue avec deux solutions de contrôle, pH=2,00 et pH=7,00
à chaque utilisation de l’appareil.
I) Objet
La présente instruction décrit la méthode utilisée pour effectuer le contrôle et la vérification
des balances électroniques : méthode par comparaison avec la balance électronique de
précision de métrologie. Elle est appliquée lors de la mise en service de toutes nouvelles
balances et lors de contrôles intermédiaires.
II) Définitions
Erreur de justesse = Moyenne des écarts de masse entre la valeur lue de la balance à contrôler
et celle de la balance de référence.
Soit EJ = [(m0c – m0r) + (m1c – m1r) + (m2c – m2r) + ... + (mnc – mnr)] / n
Erreur de répétabilité = Ecart-type des écarts de masse entre la valeur lue de la balance à
contrôler et celle de la balance de référence.
Soit ER = Ecart-type [(m0c – m0r) + (m1c – m1r) + (m2c – m2r) + ... + (mnc – mnr)]
IV)Vérifications préliminaires
Article I. Mesures
Article II. Fidélité
Mettre la balance à zéro au début de l’essai.
Réaliser 5 mesures d’une charge à environ 50% de la charge maximale sans faire
le zéro entre les mesures.
Relever pour chaque pesée la valeur lue.
Calculer les écarts entre la valeur lue et la valeur vraie de la balance de référence.
Calculer l’écart-type de ces écarts.
Article III. Justesse
Faire 5 mesures pour chaque masse à 0, à la charge minimale, à 25 %, à 75 % et à
environ 100 % de la charge maximale.
Analyser les résultats. L’écart entre la valeur lue et la valeur de référence doit être
inférieure à l’EMT pour la charge en question.
Calculer les erreurs de justesse pour chaque masse.
S’assurer que la température ne varie pas plus de 2°C pendant la durée de l’essai.
La balance sera déclarée conforme lorsque toutes les conditions suivantes seront remplies :
|Ejustesse| ≤ EMT
EFidélité ≤ EMT
EEmax ≤ EMT
Si une de ces trois conditions n’est pas respectée, la balance est déclarée non-conforme.
Écarts maximales tolérés pour l’indication des masses étalons de classe E2 (valeurs
définies dans la recommandation R 111 de l’OIML)
Références bibliographiques
Sites Web
Livres
LAB GTA 14, “ Guide d’Evaluation des Incertitudes de Mesures des Analyses de Biologie
Médicale ”, Novembre 2006
Normes