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JFËUX ALCAN, ~D!'i'EUR
L'ANNÉE SOCIOLOGIQUE
f'UBU~E~OUStAOmeCTtOKCE
E. DURKHEIM
PmhtMufde totMoste&la t'MttMdes te))Mtde t'UahtntKde Bet~mut.
DE M. EmileDURKHEIM
TRAVAUX
AUTRES
De la division du TravaU Mctttt. 1 volume in'8* 7 fr. M
Le Suicide Iétude~oeiotogique).1 volumein-S* 7 fr. M
Les Restée de la Méthode sociologique, < Miumein-tS.. 2 fr. SO
EMtLE
DUHKHEtH
PeeS~M~ttMeMogie Ah FMtiM des tottre; de t'Uotirertthi de BordMM.
AV<!Ct*COH,*BO)tA')'tOt<))t!MM.
RATÏE).,pmh'MW it maimMitt de M~; 9t06t.. professeurt rUnitmM de Venotio
STEtttMEM.professeurA UtttMMittd'UtnteM;HtCMARO.BOUO~,doctmtt*hhMrM:
LAME.m<tf(M de conMnMMxt it t'Cnt'm'M de Hc<)M«
E. LEWÏ.eh'~deMNrtth FMNMdedteitd'Att
MUCOMMET, HUBERT.MAU8S.XtUfFAHO.PAMOt.
F. StfOAttO. t:t<K<tde t'UttheniM.
t. MÉWOtttESOtttOtMAUX
MMtMt. – te tM, SocMM<'<<'&fa~.
BtehtMnt. – Les ct'MM sociales e< la cW<MtM<!<<M.
Stetometz. – C<<MM/!c«<«Mt dM types mciaMj'.
)). *MAt.Y9Ëf
Dea tMMUXdu <" juittet <MS au 30 juin iMO. SocM-
~'c j)<M~ <-e<~)etMe,mo<~e et ~Mt~Me, et'tMtf.
neHe, ~coMomf~MC.JM<ttpA«/o~<e«Xto~. – ~fMM.
PARIS
1900
TMitdtoitt tt«tt<t.
L'ANNEE SOCIOLOGIQUE
d898-i809
PREMIÈRE PARTIE
MÈJtmaj~SORtGtMAUX
LESOL~L'~dtÈTË ETL'ETAT
ParFa~MCHATXËL
t. – LH SOL ET LA SOCtÉTË
H. – HA)ttTAT)ON
KT AUMENTATtOS
8 t/xxKt! Mcmf.QUtOM.IMS-ISi~
F. KATXH)..
– t.E SOL,LAs«t;tt5T)!
KTt.TAT )3
V. – LH SOLET LH t'MOOt~
rUt'UASTOXtUCftAHU
dansles~rcAt'fM
(t)Audiifrcnt. cWMttHeMe(FoHc
'<'a)t</t<'opo~<e et cri'
tt' u°
atixahte;. année. 80. Cf.VcntnW.C<n't~/M)Mf< :MyeA<t-<MMeMm,
«' f'e (BfMiotttequede Stofket AtoMou.
cntittnoto~ie),
16 t.'AXXÉK!HtCtH).U(!tQUK.XOX.t<9')
du facteur social considère ainsi comme le facteur
unique de
la criuuuatité Néanmoins ht sociologiecriminelle n'a encore
rien (ait tant qu'elle M'indique pas avec plus de précision la
nature du rapport entre le milieu .wciat et les conditions de
ta criminalité. tt faut en enet résoudre un problème réelle-
ment formidable, car il parait posé eu termes contradictoires.
7.CWt<«')(.<0<'«(~('«f-<<
(/t~'MtM<'rh </<.MO~M~MK</M~'t'MXMCMM~
dot~ t< fh'pcKf~Quand le sociologue (tiri{;eses études, non
point sur iaerimituditt', mais sur le droit crimiuelet tes insti-
tutions pénates, il lui est retativemeat aisé de démontrer que
l'institution de lu peine répond it une résistance opposée par
lu conscience collective aux actes qui tendent a t'anaibtir. Ce
milieu sociat exerce donc sur les individus une pression qui
tend à les rendre semblables entre eux et à cnacer les ano-
malies. tt détermine l'apparition du droit peuat comme celle
des institutions éducatives et des institutions mititaires. Mais
puisque la conduite crhninette, objectivement considérée,
est une anomalie et puisqu'elle correspond à une anomalie
psychologique, commentle mitieu social pourrait- en déter-
miner ta multiplication ? Si le milieu social qui détermine
lu création consciente de la peine est celui-là même qui pose
inconsciemment les conditions du délit, il faut ou bienattri-
buer au crime je ne sais quelle noatité immanente et faire
du criminel une sorte d'agent indirect et inconscient du bien
commun, on bien attirmer l'existence d'un facteur iudh-i.
duel, organique et psychologique, et soutenir que la part
de ce facteur dans la formation d'uu crime est d'autant plus
considérable que ce crime contrarie davantage les fonctions
de la société. Les légers délits contre la propriété obéiraient
à un déterminisme social ou tout au moins économique; les
graves attentats aux personnes, à un déterminisme physioto.
gique.
11nous semble impossible de nous arrêter à ta discussion
de la première hypothèse: elle ne donne à la question aucune
réponse satisfaisante. 'fout au plus pourrait-on soutenir que
le délit est la revanche de tendances légitimes emprisonnées
à l'excès par certaines formes sociales. Maisonn'explique pas
ainsi ce mystère le même milieu social attaquant sa propre
organisation par le crime et la défendant par te droit pénal.
Traduisons si l'on vent cette formule en termes tels que le
milieu social ne soit pas personnifié on n'arrive pas à aper-
cevoir comment les mêmes conditions sociales déterminent à
<i.)M))U)0.–t.MCtU-.ËSSOCt.tt.E'. t7
ta fois tes tendances dont ta société consciente doit se préser-
ver et l'ellort réftéetn pour anéantir ces tendances.
<Juautà l'hypothèse anthropologique, elle supposerait prou-
vé que les attentats aux personnes, et notamment tes homi-
t'ides. ne sont pas visiblement influencés par les conditions
sociales. Maisla statistique morale dément cette opinion. ~on-
seutement te taux de t'itomicide varie de peuple &peuple et
t'st htfois plus élevé en Italie qu'en Heosse,«Misces variations
ne peuvent pas être attribuées a la dinérencc des races ou des
tempéraments ethniques. Ht) effet, depuis ~CO,la cmninatHe
sant;)ante s'est reguticronent abaissée en !taUe. En France
le taux du meurtre a clément vane à diverses reprises et
dans le cours d'un même siècle du simple au double, Enfin,
il est reconnu (pte la criminatitc sanglante coïncide uni-
versettemeut avec la prédominance des formes coueetives
du crime, et penser que ces dernières n'auraient pas de
conditions sociales serait porter un défi a l'esprit scienti-
nque.
A notre avis une seule solution reste ouverte c'est que le
milieu social détermine la formation du droit penat et celle
de ta crinuaatite en des temps dtuerents. La société organise
spontanément ou consciemment la résistance aux tendances
criminelles quand elle est a t'etat. normai,c'est-à'dire &l'état
de développement lent, harmonique et régulier elle déter-
mine l'apparition de la criminalité quand elle est à i'etat de
crise.
11a été prouvé que les crises économiques élèvent te taux
des délits contre ta propriété et la coopération contractuelle
que les guerres civiles et internationales élèvent celui des
attentats à ta vie humaine. 11 a été admis, timidement, au
moins, que les transformations sociales brusques, les révo-
lutions religieuses et politiques stimulent en générât l'ac-
tivité criminelle, Cette constatation a été faite comme en
passant. On n'a guère cherché à en déduire l'explication des
rapports entre le milieu social et tes (acteurs de la crimina-
lité.
~ous chercherons si cette influence des crises sur le pro*
cessus de la criminalité ne peut pas être mieux détinie et si
les phénomènes qui déterminent constamment, régulièrement
et dans un certain ordre, une a~ravatiou du taux des délits
ne peuvent pas être considérés comme indiquant la condition
principale de ta crhntnatHe eUe-mème.
K.Um)iUKnt.–Ann<5eMt:it)).)898-tSH9.
ttt ).'A\\Tt:)C~)H'(~.H').t.S'M'.)).tt9
Mie. 96,
Espagne. ~i, i
Hongrie. ~,4
Houmaoie -M.t
Amt-iche. ~.t
t'ot'tuMt. ~3.8
Sui~c. tc.4
France. ):').~
Huisic. H.t
Mci'jue. <4.~
SoMe. ~t
DMemM'k toj
Atiemagnc. «).T
friande. i0,8
An~eten'e. 5,<i
Huttan'te. S.t}
Ecosse. !i.tt
tnemetab)eau([ueta(-)'imi)nditetrau<aise.f;on)nK.t'a)t)ontrt'
TarnoM'sJki.le taux de-iattentats aux personnes t)c seteve pas
h-t.ssensth)etm'ntf'n)t'<Mit':cequtt'steuprosrf!t-'t'sn'at-
teinte a ta coni-t'ienee reti~ieuse cuttcctivc. (''est t'tK'n-sie.
~aii: si t'ott vu) induire de ta une cot'rcspondanee entre tes
Mtatssot'ianx et )t";furn'e.sde ta criminatite.it faut. renverser
entieront'nt ta ctassitif.dion des po-iitivistes italiens. Au tien
d'opposer ta crintinatiteataviqu''un tmuticidea ta eriutina)it6
t'-votutive ou astucieuse, ittaut distinguer la criminalité pri-
n)iti\e~cott('cti\iste!,qui('st)a)esiottde)acouseieucecottec-
tive ou religieuse, et ta t'rhninaiite moderne'individnatistP)
quicstuneh'sioldesbiensjuridiqnes.
A vrai dire. Lotnht-osoet certains de ses cotiattorateurs ont olit
souvent assimite rHut'M)'t'tn''r)dionai(.tt'(tt-n't)t.etU'<))M'n
(tu asiatique. C'e~t aiasi que Xict'fm'ucomptn'f les bct~crs
du ~mx-o Snrd~ aux Ot~t~s et itutrcs pcu[))adcs du TurkHS-
tau'. pf'tfdattt quL- L<))))hn)sot'ctfw. a ja-opos d'um' ctude
d'<))'('h!t[)sk\ la fr<'q't''))(;t'dM associations erimincHM eu
Russie, trait comunm il m'.pays. il t'Hatif et a )'~pas"<
Cttcnncturaitdnnc que. la <'i\'i)is!)ti'Mt ayant subi tmarr~t do
se tt'onvc
t)''v'"t')ppG)nt'"tdan-! t'Km'opc tt«'-)'idiun:))c,cette-ci
au~urd'itui au tueme shtd<'<)UL' ta itussiu ft tc-s pays Slaves
de rctis" ~rc'quc. Les difïcrcocc!;({n'ofirc lu toitpt'ratm'e
de Dtatit- t'())))p!'n'e a M-))f dt! ta ttussif, t'xpHqueraient
p))urt))t<)i)t' taux de i'hmnx'idc est plus t'te\-t'daos les régions
mo'idioiah's qm- dans It's paysortRataux. Un devrait tettir
co))tpto aus?)dtt h'n)pc')'at))cnt<'t)t)nqnc. beaucoup ptus imput-
sif dans )i) t-aff n)''t)it''tTa))ce))))eque dans )a rafe s)av< L'ne
cn~nu' cesserait ainsi d'être proposée il )a socloto~ie crhni-
neHe.
Cptt)' ('xpHnati')t) nous parait inacceptabte. La civHisation
a t'ct't.'inf'ntent. subi un arr~t <!t-dt'vetttpjM'menteu Hspa~ne
et dans rttatic jadis espaKnote. Cet an-et, disons mieux, cette
ré~t'esision a. de t'aveu unaninte. fait suite au renime inquisi-
tot-i:d qui pn'vatut apn's te coucHede Trente. Il date donc
de )a fin <t') \v)' siech'. ~is tes caractères des sociétés ante-
rit'nres n'ont pas 'te restaures pont-ce):). Ni la structure des
sociétés orientâtes ni celle des anciennes tribus germaniques
ou stavcs, oi tnen)e celle de t'Europe féodale n'a reparu.
)!.KX:HA!U'. –t.K'!CM!!RS!:nt:t.U.ES ?
<ft).Ht).i~.SM"f/iH.<w.M.t.n~!<.p.tMft!tn.V)t).'i*ti!,p.T:'T.
2. H~'H"<<'<</)uv<<<t«. 'm. V)H.n° < p. ?tj. – Laschi,f.o'h'ffM'
<)M<HM/«''<«'"<. C;t))it.).
~t)):i:tunin),ia''t-«o/.</<Mi<'t<an.)X,n*3,p.)!!<!<}.
')t)(:H\m'.–U:):K)-H--Lf)t:)U.t;< MÎ
"('"fra))cai!:cet)fres)dtatdt-sott<-xp!t))siot).0ncstdt<nc
:')m'm'àcherch<-r''i.a!asuitedt'):))~.vo)utionfram'!ti-e,tc
'('in)ed(')a('rtn)ina)ih'n:tt)raitpaK<-t<'h')netn('qu''dun8
t'ttaiiMcontctnporaine.
On sait <)m'.depuis tt<f. h'taux(tu tueurtrcs't'st rt.~uHL'f-G-
meut abaisse en )-')'!tn<'eju)-(tu':t tK~t.dak'ataqufHeon
constate on scosihtct'etëvetueut. suivi d'ottnouvft tthaisse-
"'et)t.Uen)~tnt'.).)cf-i)ninaiitf''<-<)))e<')iveadi.<:p!)ru<'on)U)eie
prouve i't-~ditu a peu près comptete du notnhrt'des i))taires
<')du)H))))b)-t'des!)ccust-s.L'a)tt)''t')i'<<)tt)ar()ueen)-'rauce!it
def'titcdt'-tiuitivede ('ancien régimeet. par suite, inaugure une
transfonuatiun de ht crise )'evotutiun)u)ire.t)r.si)'un remonte
jusqu'à la ueriode du Directoire ft au dcta, un y ottsene. (le
!? a )~'t, m) d)''vftoppent('t)tcu)t)ss;)t du ht't~nditUt' qui,
est hcaucoup de r~iotts, nG te ~'da fu t'it'n a celui que vit
)'ttaticmt't'idi«n!)tc:m)ni)it'udusi(-(')t'.f:('t(t')[orn)t'de)acn-
mioatit''('prouvait sm'tuut !'om'st<'t le tuidi d'' )a h'ance m't
te)-'))'a)istne !:<stintutait~nais (')t~ n'y ~tait~s h)(':t)is<ct't
un voyo~'dc t'at-is a Ortcat~ u'ct.tit pas sans (tan~'t'. Ce ht'i-
Saodage ne ()isp:tf-tttfjua fa suite des mesures (t)-it<'o)tifnt)es.
''(tictces pat').) loi de février )~'t et i)pj))i())t<'fs<))))tt' m)
Mott!)p!t)'tt'pum'ait )<' fitiff. i~p.stnhunaux miHtitin's fm'cnt.
substitues .') h) jut-idictiu)] MijrtdtL-rcet, d'apt-ës Thicrs, en
f)Uf)qup~n'ois, ptusn'm s œntidoesdt; hri~auds furcut f)~i))fs
aprùs uu jtt'occs sommaire, i'~t-it pussibiu cppethtant qu'ici
le bri};an()aj:t'puisse ~trc cousidt-t-f t-utnme une survivance
morate? A la nu du xyu)' siecic. ):' Franco ne devait pus A
une rccrudMccnct'de ta barharh' f'e~sorde ta crimiuatitc sau-
vante et cottectivc. '<e la dcvait-cttt' pa~ at) coutrain' :) ta
crise qui accttHtpagnait iachuh'd'une vieille dis<:ip)ift<'
sociah' et l'expansion trionphantc d'une nouvctte fut'mMde
tacivitisation?'?
Si nous retrouvons le nteme processus <)aft!!une sociutc pru-
sentontavec celles de ).Ancien Orient tesanatc~'es de struc-
ture les ptos profondes, ntttre induction i-e fortitinra pu
d'autres )er)m's, Housaurons quetqtK' riusun de penser que,
indepcndannncttt du niveau (te )a civiHsution, les formes co).
lectives et san~tantes (te )a ct'iminatite correspondent u une
crise aigui'. et tesformes individueltes, astucieuses, à une crise
en voie d'atténuation.
~M
:?~ L~KK'~Chtt.U~'t'~ tît~.)~
La formation de
l'empire angio.indien. ou le sait. M'a
pas été due, a proprement parier, a une
mais
a MMsorte de révotution intérieure: ou conquête,
plutôt elle fut lu
conclusion provisoire d'une période
d'auareitie, rcsuttaut
de la lutte entre t tstam et l'hindouisme.
Pendant tout le
dtx hutt.eme siècle. t'tude a présenté le
spectacle d'une
anarchie clu'aucuue autre société n'a
jamais connue ce
d~re. « C'était, dit Lyali. uue lacération brutate. un
cement du cadavre gisant à terre, une libre dépé.
météo sans autre
but dettni que le pittage ou l'annexion des
revenus terri-
tonaux'. » Les Htats musulmans,
qui, d'aitteurs, n'avaient
jama.s eu sur la société hindoue d'autre autorité
force mititah-e, étaient renversés que la
par une réaction violente
du brahmanisme sous la direction des
Mahrattes. Ceux-
brtses par les partisans musulmans, ue
purent r.'stau-
rer anoenne discipline sociale et
n'y songèrent mêmepas.
Aussitôt on vit te brigandage
prendre une ampleur gigan-
tesque. Des bandes armées, vivant d'un pillage et d'un
système d'extorsion savamment régularisés,
comptèrent &
certains moments jusqu'it :Mt)(Mhommes
obéissant à un
même chef. Ce furent les Pindaris dont on nous
ainsi ta naissance et le recrutement. « exotique
avatt baiayé du domaine de sou influenceL'empire mo~.ot
les institutions
politiques indignes; leur tour, les Mahrattes, aidés dans
leur œuvre de destruction
par les Afghans, par les Sikhs,
les Jats, par tes rebelles et
génératemeut tous les chefs des
compagmes franches, batayerent net i'empire moghot. Do
targes corps de troupes débandés quittent alors les
régions
pac.fiques et vont se livrer ailleurs Aun banditisme
trop fort
pour la {aibte police des Etats, abandonnés à leurs seules
ressources. Tel était précisément t'état des
choses, lorsque
les hordes vagabondes, s'accroissant et
se multipliant dans
Unde centrale, formèrent les hordes
piudaris, si bien
qu'eu t8t4 Emir.Khan vivait aux dépens du
avec une armée compacte d'au moins 30000 Radjpoutana
hommes
d'infanterie et de cavalerie, outre une artillerie
tante Il On sait que la impor-
Compagnie des Indes dut est t8t<: faire
aux Ptndaris la guerre comme à une
puissance régulière.
La marche de la criminalité dans i'Hindoustan a pu, dès
lors, êtret'~tn~tthn~tî~tt~~t~~t
méthodiquement .tt.,t: étudiée. au moins dans t
une
petite fraction de cette immense socit'te. Nous avons en
vue la statistique crimioette des établissements
français.
Corre qui l'a soumise a une analyse minutieuse constate
y
l'égalité croissante (lu nombre des poursuites ut du
nomtM-edes accuses, et par suite, la disparition de la crimi-
nalité collective: t'ahaissement du taux de t'homicide
3' la multiplication des petits délits 4" la forte contribution
des Asiatiques, c'est-à-dire des Hindous n"s <'n dehurs des
etahHsseMteutsfrançais, aux attentats aux personnes et aux
associations de tnatfaiteurs'. Les ctabtissetnents
frayais sontt
disperses dans presque toutes les pat-ties de la p.'ttinsute.
et la crimiuaiitC n'y peut suivn' une marche sensible-
ment dinerente (le celle qui serait constatée dans t'Inde
anglaise. Vous pouvons donc conchn'e (lue lit criminatitè
observée dans tes années qui suivirent )8tt était une couse.
qucnce et un protongement de ta grande crise du xnn' siècle,
et que la transformation du ~rand crime en
petits délits
répètes a correspondu à une restauration partiette de l'ordre
politique. Notons que la structure sociale de t'Inde n'a pas
été sensiblement modifiée, même dans les
possessions fran.
caiscs et qu'aujourd'hui encore les Hindous sujets de la
France conservent teur statut personnel.
Les études faites sur la criminalité de i'fndo-Chine con-
firment lu même induction.
Elles prouvent, d'atMrd, que ta crhniaatite
sanglante et
collectivene prend pas nécessairement une
grande ampteur
dans les sociétés dont l'organisation est
réputée inférieure.
Au témoignage d'un magistrat
français, Hanoï. ville de
:!()))u00habitants compte en temps ordinaire trois fois
moins da graves attentats qu'une ville
européenne égate.
ment peuptee'. H faut donc renoncer a
imputer au tempé-
rament ethnique des Hindous, à leur monde, leur
éta-
lisation, à leurs croyances religieuses, le grand essor pris
chez eux par le banditisme a la fin du xvnr siecte. La norai-
son des associations criminelles qui subsistent encore
aujourd'hui sous le nom de Thu~, de Dacoïts, et de Duu-
~asdevt'attdonc~trpattt'ibuM'~htcrisepotitiqueetreH-
itieu~t-jtsecondtieu.t'extint'tiondubandttistneettatnu)-
tipticationdes deiïts astucieux s'efïectnent aux yeux du
statistit-ien dan-! ttndo-Chint't-ouxne dans t'tuut', comme
danstat-'ranct'.in \t\ siecie.t'onttne dansi'Attemasne
'noderne..sans que pour ceta ta structure suciate et {a civi-
H';ati()n:tiL'ttttr:t\'t't't'))t)cn)('t:)<m)t-p)n).<).'œt))))K'[)';c.u'h's
tt'a))~'<)))t):)thtU.tt<').)t;i\'itisi)ti~fts('f<nttt')ttjuuM:tV('cuue
ext)-t)tftt'ttt(L'ur,t:)ttdis)[tttj):)<-)-i)ui))!t)it<\pt.utt'h:m~<t'dt'
nahH'('(.'t)U)t('L't')tiu)).SiU)s(tuttt('.<-t'Het'd.)Uu)t()bs('r\'('H
<'ntrt'i'iftU'nsitt''t)t's(:ti(sct'itnittc)st'tCf)h'<)t's crises sociatcs
i)nj~it)U'ct)ntt'!)i)'Hm')nttUx\'nM(tcL'jntbms(j.qut't('s<undi.
tiott-.(tn<'ti)tt).'pntitiqtK-m'i.t))~p!)S(mK't't'utMduct-int<'
vut!L::)irt'<tsttrt).'utdct'huu)i(-i()'i ft))'(jm.-e')n'tiv<M!ti.s
h"'<<tit-!<'nmit'tt)t't)t<'n)t<t'mft)t notre hypothèse. La dis-
t.im'titm r.tdic:)h; f.tit(')'!u'Lt)t))t')"s~t.'nt['<'tt's séditions
t'tieA)-uvuiuti()nst'.<tt)ishn')')m'))K'tttdL-()t)Ut'vm'dt'st'ns.
('at'tan'votutiun h<tj):)s autre (')t<)-))n'ttnt'sfditit)tt qui
vit'ntMssur~-ria victoire d'une idcH))t)un')it.L':tnt)r<'exté-
rieure df la t{'())utit)uf)'.)nt;:<is(.'était t'xin't.mm-ttteeHe
de ):tLi~u'ou t))'ttu'dfsscditi«t)~ populaires du \n)'t du
\n''sit''<'k~.S<U)sh)iutteintcne(.'tue)i('ettif:t~'pattc<tUt'sdu
x\'ursie(;i't'!))ttt''t' !n'aurait t'-te qu'une )-t.'pt'titit))tdata
Jacquerie on des t'-)ttf'ut~cah')t;)tiet)t)<t.<')t)isoneis)))e, dit-
ou.distinguerait !(-ni)))i))t')vu~airt'du t'rituiueipt))iti<)ue.
Cette distinction n'po-c sur nue t'tude Lien sunt'rncietip
dt's(')'is.(-)\<nutn)n)mircs.t'Hrt)))')ubiiu,en)it{i)i~h).)'exis.
t)'m-ed't)nt'c)'it)tina)itL'))<)iitiqu''if~pit-t'('nar tes tendances
les jdus rétrogrades. UaiHcurii. antre chttse te n'<)iuti')u-
nuire. autre f'tio.st's< instruments. Ceux-ci peuvent être
et s<))ttpres')uetuujouM des ttonunesdu niveau mura)
teptu-:h!ts.
~uns «nmnes conduits a euncture (tue. toute crise :tttect!tnt
pt''jfondetne)it ta disciptinc reti~ieuse <'tpotitique d un peuple,
forme en son état suciat un processus cpitnine) identique. La
crise stitnute d'abord t'intensite de i!(cri)nin:di)ec<)t)ectivc
et satt~taatf! (u'oporUunm'nement. a sa propre inU'usite.
L'atténuation de la crise est suivie plus tard d'une deerois-
<iam'ede)acrin)inantt'<-oite'-tivere)np)acee parnnecri-
tHinaHte ptus duuce conunise par des individus isolés au
det riment dn droit de propriété.
On n'ubsfrvedonc pas deux processus criminetsse S)H;c<'dant
'K)':t)\)t)t.–t:<n)-.M-.)t:)u.ti< a!
il deux a!;ex(titMrents de )a<:ivittMati«t).tn!(isu)t
processus
"((ne qui présente deux UKttueutsdiftt'rettts.t/tUtpttrtauce
de ce puiut est (-apitate.)t est teoterairedaffirtoer
qu'une
''ivitisati't)) inférieure ait pour sisttet'attetttid.'t ta yie.ntM
''ivitisatittnsuperieure.t'ittteutatMtaprupriete. décrire que
t')tuu)ieidei)U)dique des passions desiutcressees et que ta
'P'diteearacterise tes hommes d'une eutture supérieure.
Lit teuttanceaj'extm'siou peut être observée a tous les
'ments du proee'.suscrintitiL't. Tout au ptus. pourrait-on
dire que tes t)!t)da)it)''sviolentes de t'extorsiun correspon-
dent a t'int'-nsite de ta crise et tesmodatites astucieuses a
souaUt'nuaUon. M!'i'.(')tSt't-:titht<'tn'tn'('t)tn.'vt)('cf))tt("
t.ibtt'.).:)\'(')'it(''<t<jm')'st:t'intin())'~ist('s()ntt)-uj):(tTcc~th'
dt'd:<is"<)''s<to)ttiL't'sd<'I'i)ist()i)-t'('L'<)))u)tti<tUfAutt'tnps
')(tU'titth;<:)!U-!Ht:'tt)tisctt)tanm't-r')Xn)-f)t)bct~('tuu
Sickin~'ttsmtmcHitit a ses extorsions )(.'s hour~'nis de
\u)-))~.Aut;shM))-).t:~r:tMdt' p):)(-ethtitHt.'icMde rAUt'uti~nc
d'utots. avait dt's hantjuicM, tes ih'ehstœttt't-, donttes hauquc-
)'<)utt's<'t)('s('cr<)qu(')'it'spu)tt-ratt'ntt'i\di!;cr,f)tt'~tt'du):t
n!)tut'fd(.'si)tt:ti)-cs,.tVHt'h's)i)nnh'rit's)cs()h).t:utu-,sidMdu
\t.siM;iM. Dans rt))dM,t'ti;:(.'()M.\t.dtr!ttt("!ft des t'indaris
''tait au~i)'ncd'')t'des itsiot<Ut's. Knt'')':utct'.h-si)t-iptn-
dal;es de la cthtuanneric, dt's cumpannifs d' Jchu, descitmif-
f~ut's. tt't')))))t~;t)aii'ntnn))(')))<.ntte-; rajtincs (k's {om'nissexrs
d)'s itrnt~s. les spt'-cutatuots midttoun~'tcssut- les
assignats
ft tes hi''ns natiututaux. L\'xtm'sion pnut jx-endt-eft) tot~nc
t''m))s tt's {ortnfs tM ptu~ di\'t'r:-cs. Les uns eotmw tt's Minas
d('t'h)de(')'ntrait't't)t'sCat<)-at)sdcr)w)sseaux\-))t sn-ck'
''('c())ttt'))h'td.dt'vu)''rdu)h'tai). D'autres tt'n'ntsm-))~
''uttivatem-s u)t impôt {on;t;, ce qm: les t-uutit'rs du tuoyen
:<' DonHnaientt''<<)ff'MtM<<, les Hindous le '<("<f.les Kcos-
Mtish- ~<t<(-<; tjttttt. Amst {.dsaienLtes Pindm'is.t;untme certahts
';tK'(sdes ctaus des iti~tdands, co)nn)c les brigands du ia c:fn).
j'a~uc romaitto et de ta Siciie. i'cnda))t ce temps, d'autres
''ommetteut des es('t'«querit's beaucoup ptus savautes. ce qui
ne les en)pect'e pas de ntettre parfuis icchafaud
politique :)
leur service, comme disaient, sous la Tet't'eur et pendant la
période thermidorienuc, ttuvere. Fouche, 't'.dtien et autres
jacobins célèbres'.l,
!)t)))t'c)))-c!)tHc))<ts')u')'prf)t't.<!u<!t)nttt)(etu')<tt)s!!)-)mtjtrt".cB.
tert-crta:n!tc)tr:h-t.;rc!!d)t)~rettt!!
.i~ttsf~)inef<-M(s
..t.~ :i.,r)..ux.L\.r~-
tn-i!tU"n ~t tu t)i\-isiott
d~ttK;sti')m* du triait s<~tde ~uiss~mtit ut~.ht~.t-
m SOCtUUMt~'Ë.)N!tSfH
t-'AXXËË
Ir
M
Mt;tt.\KU. LM OUSKi.
MCtALM
d après eux, le défenseur passionné de t'idee du progrès; il
serait conduit par l'idée ttxe du nouveau et du mieux &un
t'tat d'aliénation dont ses attentats seraient les manifestations
iuévitabtes. Le malfaiteur de droit commun incarnerait, au
contraire, les aspirations tes plus rétrogrades de l'humanité.
Xonsaurions ta une loi de ta criminologie. A notre avis, i) est
difficile de proudre ptus comptetement une pétition de
prin.
cipe pour une induction scientifique. Les auteurs do cette
thèse out eu évidemment tes yeux fixés exclusivement sur
t-frtuins conspirateursau service du tibératismo, dans ia pre-
mière partie de ce siècle ou au service de )a démocratie,
plus
tard. Maisqued'omissiousvotoutaires! u'out pas seulement
<mb)icie type catiiinaire. si entieretueut réaiise chez certains
ttouttues de t79H et de t87i ils ont encore ouuUe les crimes
putitiques iuspu'es par les passions rétrogrades tels, les
trahisons des royalistes français en n93, tes ordonuuueesde
iniitet t830. le coup d'État de décembre <8?:t.tts out oubiie
surtout de lire t'eMU)net-ationdes crimes contre la chose
publique, t) leur serait difficile de prouver que l'abus de pou-
voir, ta forfaiture, ta concussion, le taux, le faux-tentoignage,
la formation des associations de malfaiteurs etc..
puissent
'~trcinspires par un amour excessif do t'humanite et uu zëte
immodéré en faveur du progrès.
Le vrai type de ta criminalité politique nous est offert
par
).)erimhuttitÊ sectaire dont Sigliele a fait une étude si lumi-
neuse. Or it nous semble que le crime sectaire manifeste une
(it)ubterégression. D'un côte, la conscience de ta responsabilité
j'crsonuettecst annulée par lit pression qu'exerce sur t'indi
vidu ta conscience collective de la secte; d'un autre côté les
~timents sociaux les plus élevés, ln pitié surtout, sont
''mousses dans tes tuttes que soutient ta secte contre les sectes
rivâtes et contre la société régulière. L'individu est donc tivn'
~ns contrepoids à ces accès tic terreur et de colère collectives
'jxe tu résistance des autres hommes fait éprouver aux sectes
<:taux foutes. C'est pourquoi la criminalité sectaire,
presque
toujours collective, est si facilement sanglante.
Voici donc un type de crime dont les conditions ne
peuvent
'~tre découvertes nulle part ailleurs que dans un état de crise
<ieli société, dotons que te crime politique et sectaire
peut
servir d'exempte dans les luttes engagées entre les familles
et les individus.
Aux crises de l'organisation économique on
peut attri*
t~ttMMtt.– Année «K'tot. )8M-tM9. 3
3~ L\\SSEH~:t''t.M.~tH.S-)!M'
<) )'(;t<[-~.)u:t)i<i<-r
!U[tf.-t)).!t)t
h' )Mf; ')t'i[ c~n~'re A)'<n«tr..h.tn-
<i«eft[ich(- <'M/<f7'<tiv. ). eh. t, tj
3<: LAXXËK !iOCtOL<M!)~tM. i!t!-t!<9t'
Une difftcutte, ptus grave a elle seule que toutes les objec-
tions de ta sociotogieéconomique, reste à résoudre. ('OH)M('H<
t<Hpro~t'~ <<fht fOnSfffOt'C
MO~C p<'«f-<(MOM fO<M('«~
M«<<'M)<'Kf
«cfr «M<'t't~tfM~M<~«<<M<'7-M)<M«<ftf.«'('((«'n'et p«rattftK'<'<'
Mt
<«t'OtM(~K(W('. Mt««CKMrCtVttf/t'Ct'OM'~f~f f<'ft<'ft~ffMtOM*
Nous reculerions devuut ta sotutiou d'un tel problème, si
elle ne nous était hupticitetueut {ournie par uu des esprits
phitosophiquM les plus complets et les plus httttiucux qui
itient paru au cours du siècle qui preud tiu. Xous voulons
parler de Frederic'Atbert Lange. Ses études de stut)sU({ue
tnorate' l'avaient conduit, nous dit-il, à uneconetusiou fur-
toutee abreviativement dans uu chapitre bien connu de son
~Mtf)«'<'~MM)a<«~MM(f.Cette page coutettaut une idée trop
négligée des sociotogues,ou nous pardoNaera peut-étre de ht
citer t'Mf'~t'M<o.
Si t'ou comparei'etat d'une population de bergers vivant
uniformément, comme nous pourrions eu trouver dans plu-
sieurs départements de la France centrale avec i'etat d'une
population eatratuee par le mouvement industriel, littéraire,
politique des esprits, chez laquelle la vie quotidienne réveille
par eUe-metue uue plus grande quantité d'idées, provoque
des actes et des résolutions, excite des doutes, enfante des
pensées: chez laquelle, pour t'individn comme pour l'en-
semble. les aiteruatives de fortune ou d'infortune sout plus
grandes, les crises extraordinaires plus fréquentes au seul
examen des visages,des attitudes, des costumes, des mœurs.
on voit aisément que, chez cette dernière population, il doit se
manifester une bien plus grande dim'reuce entre les indivi-
dus, et que chacun de ces individus est exposé a des alter-
nances bien plus fortes d'influences de toute espèce. Or,
comme une pareille évolution favorise sous ie rapport moral,
aussi bien tes qualitésnobtes que les défauts ignobles, et pro-
voque tout aussi bien des traits extraordinaires de dévoue-
ment, de désintéressement, d'amour du prochain ou de lutte
héroïque pour le bien général, que des faits de cupidité,
d'égoïsme et de passions désordonnées, on peut imaginer un
centre de gravité moral pour les actes de cette population,
centre dont s'etoignenUes actes individuels, tantôt dans une
direction boune, tantôt dans une direction mauvaise, tantôt
dans le sens d'une excentricité morale indifférente. Chez une
)'at~t..S-[Kt\MKTX.
UELASuctOLOUtE
~) t:~))Mj'.
Ht'ynt.'tn~. fK"'«<f<-<'<)A)f'tu<<f<~t'S~«<hMt!/tt)t«/tM<t<<<))i80.
.-)~'ttt~t-.«'<U<'f/f'J</t'</<'t-.S''«'fM<f'-M)ffM.«;/<M/7fM.
)SX:t.
~) ~«~KMt/irf'n .h'tt'<<<'t- .)n )<rot.J. Wn)),in).'rtt).)mh-<'< t-ntr.)).
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.<wt;)t't!f~<;<v< <«!!)?..
48 ).'AX\)!H't:t')'.K"K. )8!'S.)~
:t) /~)Mmoc)f<<f<'
fn .tu<c)'Mf.tK)0.B''<'kor.~'f /tM<tt/<'f~<)/t)~f
H~)M
M(7..t87't.
il A'~f~n Ha'-t<t<-ft.
tS08.
~0 t/AX.t't:SOC!m.Of!)~t'K.t!t'.M-t!<99
HS SOCtOLOCH:
t'~ta .tnot
des nnllan.I.n.ltl.'lnn
traces nombreuses .1qui I1HAUf
firent, ..1.
de ft.lt""
cette ,"lu.
région de
t Amérique,on pays ù part bien différencié de l'Espagne. Hn
u)) mot, tout indique qu'en sociologie, comme en géotogie.
nn rfxonecrn Ala théorie des révotutions brusques pour cette
.h- l'évolution lente et insensée, due &l'action de causes qui
~mt toujours tes mêmes et qui travaillent sans interruption.
La dimcutté que ronc(Mttreia classification par suite de cette
(ut) ticuhn'itf, est encore aggravée par ce (ait que ta même
))''t-ioden'est pas ta même, dans toutes ses manifestations,
( hcxdeux peuples voisins. Par exemple, le moyen âge, c'est-
à-dire ta période qui va de ta <tades Mérovingiens jusqu'au
\v sit'cte. est marque de traits bien dinerents en Attemagne,
)-)tttittie, en Francs et en Angleterre. La puissance du souve.
«tin et celle des nobles, la position des hommes fibres et la
s~niticatiou des villes et des corporations, tout différait dans
cfs quatre pays du moyen âge'. Ea zoologie, il est vrai,
nous voyons aussi de très frappantes disparités. Les baleines,
contrairement a tous les autres mammifères, habitent la mer;
la durée de la vie n'est la même dans aucun groupement
supérieur d'animaux'. Mais il y a toujours cette dinérence
:n ec la sociologie, qu'en histoire naturette on n'a pas de peine
:t se représenter les individus d'une espèce comme tout a fait
-=ctn))tabtes,et qu'en sociologie,au contraire, on voit tout de
suite et avec évidence les dinërenccs des sociétés qui seraient
tes plus appelées a entrer dans une même classe.
Vraiment, assez de difficultés s'amonccttent devant notre
projet ? PauMt donc y renoncer'? Je ne le crois pas.
D'abord, maintenant que nous connaissons tant de sociétés,
nous ne pouvons éviter de les classer, au moins grossière-
ntent. it en est que nous pensons par groupes, instinctive-
txcnt. Nous obéissons en ceci a une tendance de notre iutei-
titfence: nous ne pouvons nous représenter une multitude un
i'eu grande, sans y distinguer des classes. On parle du chaos,
maison ne se le représente pas. Nous classifions, quand nous
portons des sociétés civilisées ou des sociétés primitives ou
barbares; en somme, des expressions comme le moyen âge.
la période classique, l'Asie Orientale, employées dans un sens
tM r''tMf))M!.
'<) <:<Mnpar'')! <)"M.t))tf)th''itu.
~m~<M ~<<<tJMt/M<
t"t«h'M<' (ttt)&). )). )<?.<<?.
At<hti: Lac.ct< p. t U C'estil)M'in<! disy un fttiMtf)'')t)~ d'uni-
h'rmi)'''-ho!!t<sn')')t~<nt<mt!<
'tfs))itt<wn)':<
cta~ et ''f'tttftans >;
<'))rtait)f).
)'<tti<<
E.ttnnittM.– .\nn''p!<i").t!t'M)s'): :i
Ct! XM-tMU
t/~Xtit: SOCtOLOOtQtt!.
tV. – ).HSt)HKMSSYSTÈME'!
)tK '~ASStt'tCA't'tOK
thème de prédilection
HK'mede nrMHectiou de bcuucouod'oHmoifranhes.
beaucoup d'ethnographes, sont suut cer-
tainementd'uu haut intérêt pour la sociologie; mais rien de
tout cela ne touctte directomeut ta ciassitication des diverses
civilisations. Si nous savions avec précision tous tes liens de
parente qui ont existe entre tes divers établissements des
Esquimaux Croëntanduis, Centraux et Occidentaux, nous au-
rious un bon moyeu de plus pour expliquer lit dispersion.
t'origiue et les particularités de )a civilisation de cette race
intéressante tuais nous Ire saurions rien de plus sur lit fré-
quence de ce type de civilisation, non plus que sur )a place
qu'it occupe dans le système des types du même genre.
L'étude tant cultivée des migrations des Polynésiens ne nous
dira jamais où, sur ta terre, se trouvent des civilisations
analogues et si cette civilisation ette-meme, teiie qu'on
t'observe dans tes diverses !)es de !a Polynésie, appartient
un seul type ou à plusieurs. Ni i'ftude de ta parente des
races, ui les recherches sur les rapports des diverses socié-
tés ne doivent être identifiées avec lit classification des peu-
pies. Ceiiesia s'occupent plutôt d'une partie des problèmes
que traitent i'Anthropoiogie. i'Etintographie ou l'Histoire
l'ordre que i'ou établit ainsi est un moyen d'expliquer ou
un résultat de l'explication, mais ce n'est pas le but du
travail.
Le seul ordre qui nous reste est celui de ta ressemblance.
Plus tard nous regarderons de plus près si t'ordre génétique
ne peut modifierl'ordre de ressemblanceen Sociologie,comme
ce fut le cas en Ilistoire ~aturette après Darwin
Avant d'examiner les diverses tentatives de classification
entreprises par des sociologues, peut-être ne sera-t-il pas
mauvais de nous occuper un moment des deux modes sous
lesquels peut se présenter l'ordre de ressemblance, et qui
sont tous deux employés en histoire naturelle. Le premier il
reçu le nom de classification artificielle, le second, de classifi-
cation naturelle. Kn histoire naturelle. ta première a précédé
la seconder Linuéaremplacé l'ordre artificiet par t'ordrf
naturel en Zoologie; mais, eu botanique, it conservait encore
l'ordre artificiel, tci. la réforme ne fut accomplie que par les
grands botanistes du commencement de notre siècle, de Jus-
sieu et de Candolle père. L'édificeadmirable de ta ctassifica-
11 Mot).Dff'tt'<oef/
MM~<t<M't/M«mMt«t~f(* o~~e«o/f<Mt'<'
(tt(9t)t,
/ft.Mm).
'} tt'xpr' Wnnd)~.e~M.H. p. )3;c'esth.' t'a:-~cth'-rit).
– Ct.)rtt:AT)'t'< )tK!<
"THtSMKTX. Ttt'K<-«:nrx M
<t)Ut;f:)m<)un'/.« r/t'i/A" p.
.~))h-(~)«)<tnK.<.o<ct<p.t8t.
:t)Jt,)mStuMtM'f).<).~c.tf.)'
t) i-o~fmk- sY!it'-t))c
itt-tiMeif)
f!.t ot))i){t? )''sottjt'ts
't'anit'ou ')oM'))!tM<
en fontmdicUet'itvct't'ur tKttm'e:
<[ui<*st<-vit)<'<tUtn:ttt
.ttto'' ttMU)i)'-re
'ittOMit fion )tt-tn''ip'de division.WM))')).
t't fon- d't-[rcin<idf').'& <<
.tf.)..t:
't.Ht:.<)tCft)L())i~tt!.t)(9<t)S'
ce qui en facilite ta rechercha. t~ans le bureau de poste, les
lettres sont distribuées d'après teur d~timttion, et ce seul
caractère, tout extérieur, doit ici dominer ta ctassifieatiou.
Ou le voit, lit etitssincation artificielle est tout a fait justi-
ttée, toutes tes fois uù. de propos délibéré, ou se restreint a
un seul c')té des choses. Hnconséquence, elle est condamnée
dans tous les cas où le but est de connaitre les choses dans
toute ta richesse de tours caractères. Car comme, pour ta
faire, ou prend à part un certain nombre d'objets, ceux ou
se montre le ptus clalirement lit qualité spéciale
qu'on veut
étudier', (tn obtient ptutôt un groupement spécial et. passager
qu'une ctitssitication proprement dite, qui doit être plus on
tnoins permanente.
En quoi doue se distingue la classilicalion naturette de
la précédente? En ce qu'ette choisit comme
principe de
division, aun point un seul caractère arbitraire, mais celui
ou ceux qui comportent avec eux le plus grand nombre et
la ptus grande diversité possible d'autres qualités. Ainsi,
on préfère comme principe de division une
qualité essen-
tiel' qui, a elle seule, est cause de la plus grande diver.
gence entre les groupes qui ta possèdent et ceux a qui
elle manque'. Dela sorte, le plus grand nombre de vérités
générâtes peuvent être trouvées pour les deux groupes.
On peut dire que ces qualités sont vraiment esselltielles,
qui contribuent le plus il faire les membres d'un groupe,
semblables entre eux et dinérents de ceux de l'autre*. Les
groupes ainsi formés sont vraiment naturels. C'est tout à
fait en harmonie avec cette conception de la ctassittcatioa
natm'ette, dont t'idéai est de retrouver et de représenter le
groupement des êtres qui se trouve dans la nature, qu'on
préfère ne pas y appliquer un sent et unique principe.
Lorsqu'un groupe repose sur plusieurs caractères, il ne
convient pas de se borner à énoncer le principal ou le plus
apparent, ou celui qui ne fait jamais défaut. Les autres
aident à reconnaître et justifient la distinction du groupe
p. <)M.
(tt t'utt't'in)~')-.
~) t'ar)'rin(;t'.p. t)3t.
~t)U)tt'' «ifutt)'''(uuM. t'&rt'rittK' t)'")'< )<-<tn)itd')t)'t'~)et'
aftiticiet
mt ~yji)<')u'toi"i:t )):MK)?n<'U'tuo jp. tt«). otf lu reMcmhtanft) pfo-
t 'n'tc ft 'i!tett)''))<'ne peut )ta:<<'<M a)<pe)t!cat~Mittonc.Seutextent,te
t.tj.poftd'uri){me, t'[)))M!ttiondes n.'ssemhtitMCM.mtttttuent<))tn!t
ce !tys-
t'M ne
«te t:HtUpe: tout )tts liést'n:Mt)()cpar un lien MUNt). mais!!<'u*
t 'otentpar un lien ideat,t)uoi~t)M la M!f:!e<nMan''cMitun rapporttouta
)..it rM-).
tot'.ctt., )). ))M.
7~ ).'AXXKK~)t:tf')-o'WH.M'"<
() Moy~-Stttittt.M~<x~eM~.S'ocMw/(t895~,p. 3M.
K. UcKMtH!).– Annce aociu). )8u8.t8H9. o
S~ L'JMSM: -MM:~t.Ut.)~)H )f('"<-)8i)tt
(tt t'<M)t'<)Mprtt)))<'HK'!<~pefiMxutt["'utfxirrtxx:<t.)'<itiMti"n
~j'M-tit)'
.-ottttne jti <)''jàn'nmr.tucfi.fh'sMtii<-<HM['.mû" art. KttH'w t'etw
< ~MM~M :M'-'jf-.tr/t«'A<f t'aM)'«t'.in /<<tW/7 /?<-.Sec«tf-
</tf)MenM/f<<c/teM
M'MA'Mm'/tf/ï .m')i)t.t'. 6M.t!9tt~ttUMs-e de M. WMtff-
à an'' u)'j<(;tit)t)
tttil)'):`.
– CH~fftCtTtt'XHK~TY)')'"SoO.U'X
STKtSMKTX. «H
Mexicainsou les Péruviens devraient appartenir ades<'tassea
ttinérentes si toute t'ttumanité n'en contenait que deux.
Surtout, ht division en deux est trop simpliste. d'une utilité
minime. et doit rester limitée &t'usage populaire.
Cesont a peu près tes (nemos objections que nous avons
;) (aire contre une autre division analogue, ee))e qui dis-
tincte les peuples en sauvages et en civitisés, qui met ta
'anvitjjerie d'un côte et ta civilisation de t'autre. Un autre
n'pn'chp se joint au précèdent, c'est ):) nebutosité de ces
expressions. Les systèmes qno nous passerons en revue sont
)<t-e<!ise)nent en grande partie des essais en vue do définir
"'s termes. Abstenons-nous dotm d'eu {aire une critique
'pcciute.
)) y a un peu pius de prétention dans lu distinction entre
k'~civitisations stationnaires et tes ctvitisations progressives.
t.a grande majorité des pf'uptes sout regardes eomm)'station-
maires,tandis qu'on iifnite t'autre <:ate}{orieaux Crées, aux
it'unains. aux peuptesdei'Huropeoecidentaie etàct'uxqut
t n dépendent.On sait pourtant que l'Hjtypte, )a C))atdee,ta
'.hiae, t'ïnde, le Japon, te Mexique et bien d'autres ont faitde
grands progrès de tenr temps: [tome et la <:recen ont pas eu
uneptus tongue existence. Mais, aitons pins loin. Il n'y aurait
vraiment stationnaire qu'une société de Pitttecanthropi
'u d'hommes qui, itier, étaient des singes. Il n'y a pas un
"'t)t peupte vraiment primitif sur ta terre. Tous les autres
~nt tait d'énormes progrès. C'est t'errcur la plus grande
'!c t'etitnoto~ie q~uede meconna!tre les degrés par tesqnets
ils ont passé, prot~btement dans toutes les directions. On
devraitdonc diviser les peuples en ptus ou moins progressifs.
t~isqnit n'y en a pas de vraiment stationnaire: quet prin-
ripe quantitatif pourrait fournir une tette rej;te ? Je crois que
m<nsdevons laisser df coh'M's ~ronpementsinutitesct.trop
~t~ues. Passons a ta seconde cat~orie.
.) uppeiteartificiettes les ctassitications qui appiiquent uue
~'nte tnesure extérieure, choisie plus ou moins arbitraire-
ment.
t)!)ns son livre, ntei)) de pensées saines et de suggestions
utiles, M. Coste propose de diviser tes sociétés suivant les
rapports do ta population urbaine à la population absolue,
rapports qui nous fourniront les véritables densités compa-
ratives qu'on pourrait nommer tes densités sociotogiques.
Pour lui, ces dernières sont les bases do ta soeiontetrie ra-
M m'tt.ttttM
t/tXXKK<Ut:(U).tH.)t."K
tionnette Le fondement de ce projet do ctassinonion ou de
sociometrie, ce qui revient au même, est t'idco (tue tous )M
progrès sociaux se tiennent entre eux et se renetent dans la
sotidarité sociale, et que « tous ces résultats procèdent d'un
même phénomène initial. t'accroisst'mcnt numérique de h)
population unitiee Je reconnais votontiers tons les cttarmes
et tous les avantages de ce projet. La mesure appliquée est di-
visible autant qu'on veut: elleest plus exacte qu'aucune autr''
dont )a sociologie puisse disposer. H serait bien rare qu'un
peuple nous fut tellement inconnu que nous ue pussions
counaitre sa population et jusque quet point elle est concen
tree dans les villes. Je ne tnccoun:tis pas du tout !a grandL-
s){fnincat)onqu'a le progrès nmnerhtuode hl poputation pom
la marche de !a civitisation. Je sais qu'on a essayé, avec quet
que vraisembtance, de la présentet' comme la seule force qui
pousse t'humauitécn avant". La concentration de ta popula-
tion dans les villes etcertainement une grande valeur comme
symptôme de t'iutensite de lit vie sociale.
Tout en appréciant t'importance de ce principe, il me
semble inutile pour la division des peuples. C'est dommage
que M. Coste ne t'applique qu'aux peuples civilises; autre.
ment, il aurait obtenu de très curieux résultats. Des peuples,
évidemment au mémo degré de t échette quant a toute leur
cutture sociale, se trouveraient, par t'appticationde cette me
sure, loin l'un de l'autre par exemple, la Chine et )a Perse.
Par suite du hasard qui fait qu'un peuple comprend entre ses
frontières un désert, que tel autre est resserre entre de puis-
sants ennemis, le premier serait placé au-dessous du second.
M. Costetuimemeestotjtigede mutiler son principe en ne
comptant des États-Unis que tesSt États anciens'. Pourquoi
ne fait-il pas de même pour lit Kussie, ta Suéde et la Norvège,
ta Turquie et t'Autriche?
(t) A. (.:«!)(' /.M~'ttH-fMM t/'MMf.~fCto/O~tC uMfC~tff .)899t. Finis
t-A)t-:n).),. i'M.
t2)~M~t. là.~9.
:t. U')'i)t.tft /<M.<M
~t'nMNMt~Mff! f/f /f<f'')M.<~7t</tUM4<«-t«/<'
(t)!93),)).t.
Litt~ea '-tt!~unscsurtoutjmrM. K.KMUtïky <)ttt)!.
sot) ~<-<-~tM/!M« </<'<
t'oM-WM'mt/«'MM~«Mff/fM ~'f)t'«-AW/<<<ft'(.Mf«w/M~(t«80). Ceht r )'et)))))t-
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K)-.)''t,N<'f-<;Mw<M~t)M<'M. in ~w/M'Am-A
~ft' .~Mh<rMWM'tM/'<<t. Il )))<U9'. ~Mt. thtrwintu)-)t).~<t.' )t )?))';)«'
vers t't'Ut'itte' <ut))p.~'<-M')'M<u~;Wf<«, ))!Ut.)t.Ct8,et t'ht'h. ~if McA.
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– t:(.t<)t'tt:tT)'tXHt: 'f~t'ti-.!.tM:)U
STHMMKt'X. X 8S
«'autres conséqufnccs encore condamnent le système lu
t-'t'itnce~tOut'est ptacée au-dessous de lit itussie ))U3): les
!:t.)tsaHciensdes r:tats fuis ()!)S~toiu au-dessusde t'Attonague
H~. tes Pays-tias (~4) au-dessous de ta Turquie ~(}). t'H!)-
t~ae(t')), au-dessus de)a Xetgique t~. Ue parcescomjM-
nisonson estimerait tattottande ~4) beaucoup ptusindus-
tri<'Hequelit Mexique quoique le contraire soit lit vérité.
Kaoutre, je cruis que le foudftnfut de ce principe consiste
'h)f; ut)Muppt'fciatiott exa~urt'e de i'itnportaocc destfandes
ittcs. L'amctiot'ation des voies de transport u'apportera-t-eUe
)'!tsIII liu do cette coueeutration qui fortne le ptus ~ntud
.t:tttnerde notre vie moderne' Hst-ce que lit poputatiou sitine
~t rivitisee de ta Suëdf tut'rite d'être ptacee tout en bas de
la liste de M. Coste, toin au-dessous de la Turquie :M, et
do J.qfQ.i<~8.
Autaut cette sociontctrie me semble avoir de valeur pour
i xptieatioHde i'itistoire et des rotations des nations entre
'))' autant e))e me sembte inutite a notre but. Je ne crois
p!~ ()ac ce critère imptique sutUsantment tes dinerences
-t)es tes plus essentiettes contme ses coroOaires: cest
~rtitut ce que nous devous exiger. Je pense donc être eu
dnnt de nommer cette division artiticieûe et de la rejeter
~nnm'tetie
Ladivisiojtdcs societésquenous propose M.Foui))<'eapour
h.'sc le rapport du tout aux parties It applique ce principe
') '')!(ssi(!cation aux organismes individuels, aux animaux
~xntne aux sociétés. H n'admet pas ('opposition etabtie par
S))t'tn-eroutre tes organismes physiques, dont ta centratisa-
thtn .serait rigoureuse, dont les parties n'existeraient que
))t)m-le tout, et tes sociétés ou le tout n'existerait que pour tes
individus, seuls capables de plaisir et de douleur
~t.Fouitt' tot-.t-t7..)t.)7<
Ainsi5<')Mt\'Kh;dt'ditin<h'sphitxiuphua )«)urh
''t '(' <'t'ontmti!ttC!i
<)tMV!tf!s. )M~
<))tittoua['')"<)t''Ht )<uurt!H)t j(n!tf<i''Mi! (i)ttM<;s t'ont"
'<<;
du )!cnt'K
K''Mf'iS<: hu)M)ti«. M.OtsteveuttM<'x<')urM t)osobjets<)<: ta tKM'i"
)<t(<ie~oc.<<p.nt.M. FouiOm* ne ()!UttH«x)h! ))art les av'Mrctudi'-
d'unenxmi<rt'sp'~ixh'.t~t-fMf)<t'<m<'<in hiotuffish'f~tn'ra)ntstitt' )'
")'){< iM)~fit'tt).t'«)t)'n)brMtc)j<;M<cnt
<io.< M~ym)))~ uu dfs t'fot"
«Mtire!!
?
i3)toc. c~ p. ~S-tfS.
(4!Cou))*.)Mtr<fet)))th':M.<r<'UM,~<tt<-a)Me&ff<MC<« ~UtM;. il. <K);Ch<u-
ua}. /.<!
C tH/'M~eM T'eMt' K'<)'Kth"rftjthit'. < p. NMMaMb'
<rnt'<))K)x.–ct.)t'ft~rftt\nKSTyf);f;tA<x X?
.) M.SjK'))''<'r)))i-))t'n')m)t)"t'')t-s <'tt')t()it)t)))-i.te-!T'Mtns.
))')'<')!!
t~'sMi~htt)' )e~Kin'<'tts ),hm' h'~ t.ojx'htt' )';s Ptn-ttt'ts.)<<S<t))ttf)s '-t
~t'.t))<)U'Ar;'f<tra<M. <<< (<)' <i)7:t~tH)'.A'</t<<<. t.)t.3!M).t'-).
<'t)))'ttttmitt'<)itj')U()'rjt))).<.i''urs<mh'n'<t<un)Hf<)t)fsHstjui))tttt)'['h'
)'"iMtB<tfmw -Muidoeh.M't. /<< ~«' t'</<M~, S7.8X.p. 4t!, tesWodtttth
~rntïin. W'<t/<A,p. 48X~,tefi <:hftM<tt)t'n 'U'')tow..<</jy/«t)tM/«M.
)'.)!).).
2'Ëtt')m.')')UM6
figues.)'.MS.t).
– t:).A')t')'))"'< )'K<TÏ''H" SUt.t.UX
..THt\MEM. !'t
t. tw.)). )m.
))«nM'-ttH- aMt<'M)-.
t<t~<t'M«)M << r)f<Mt~ M.t«<itfm,);. t!i&.
C'''jni xf ~)t))))t-tt-)~ttifticitpft prouver.
.t. ~f.rt' ).. t():t.
~B.C')))))). ttton J?t~<* ~M~'fcMMtt~ f/ft' .S~vt/'f~)!)9t!,)). <-)t.v). Ytt
~'t tt<t.
STKtXMKT)!. O.ASStftmTX~ t)R< Tït't!~ '!t)<:)tt'X tM
ce côté. J'en vois une preuve dans le fait que des troquais et
des Australiens sont places dans une même ctasse iisex ta
description lu plus optimiste des Australiens les ptus avances,
celle de Hawson', et le tableau que Hâte nous retrace des
être
troquois~, et ju~x si ces deux peuples ne doiveut pas
M. Durkheim
places duus des groupes diMereuts. D'antre part,
fait
patte des curies et des phratries et des arch kabytes; cela
humaines
pr<'sum''rttu'it classe plutôt des types d'associations
assez nature) qu i)
que des sociétés entières. Alors, il serait
eut cttuisi ce principe de ctassincation, qui. pour un tel but,
est presque le seul possible. Mais dans son introduction et
dans su conclusion, si je les ai bien comprises, rien n'indique
lui
qu'it aitsinsi limité l'objet de sa recherche. Mais si, pour
aussi, ce sont tes sociétés entières qu'it s'agit de classer, rien
ne me sctnbte prouver que e'' df~ré de se~ntentation soit le
trait caractcristique le ptus essentiel
Je regrette de ne pas avoir lu tnoi-n)emot''euvre principale
de M. de Greef. D'après t aperçu que M. Martben donne,
pour M. de Creef, les sociétés devraient être classées d'âpres
teur deK''ed'organisation, par anatogie avec ta série socioto-
ce iden-
sique pr<)j''tt'edej!'tparComte. M. Harth juge principe
de Spencer.
tique à celui de la dinérenciation croissante
M.de GrMfemprunte, eu outre, :'<Spencer ta conception d'une
:)g)'e~atioticroissante, pi)ra!)ète à la précédente évotution.
t't dont t('!iphases successives seraient le coupteandroj~yne,
la {amitié,la tribu, le peuple, les alliances internationates'.l,
Aucun disciple de Spencer n'est aussi explicite sur notre
sujet que M. Ciddin~s', comme on devait, d'ailleurs, s'y
attendre, puisque lui sent a ie K'd mérite d'avoir écrit un
traite complet et élémentaire de notre science, traite qui a
nombre de bonnes qualités.
M Ciddinss commence très justement par reconnattvP que
chaque science distincte doit avoir sa classification et sa no-
.<!U!1W.)M. .f~Nt~f <))?)).
.2,n. thb'. !«' ~MfM «Mf~- «/<t/f.<tSH:t.
:t ~t))p.).t 'riti.jM.-')'- W~-nx. f~MM'xotf f< .Ot-tC/f)X9C, ('. ~'i.
?7.
t /.<)<'(.. TU < Luis ~u/M'MM 't89:t) n*'t-unUtinnon).
ht.t))''tt:m-h-.tmpihc .(««~'M- <-<c<<M«/'c«<«'« t)n<«)-<e.rM'tt~ur notf
t)t''t)<
.<0t;<vf)"«??). Uurcst<il )t't pttitfiM-ite cottt.
<t'<t)t'
K<')-'<t<-)~<'<'
))t<:t<t:tttsnut' srionrt! imxi. '.t ~u~-rn:t'st tuu)a fuit i);"M'
)ntit'\
M
ST);)X.\)t:Ti!
–tm:AT'"X)'t{<Tn')'s<(M:)UX
(es
.nonciature il ette, pan- que ses pitéuomènesno sont pas
tenr
tt~mes que ceux des autres scit'nces. ators mOncqu'ils
rcsst'n)b)cnt'. ht' moyt'n d'éviter tes erreur de ctassiftcution
savons
..st de Mo cesser que d'après un seut principe; nous
ceserait ht le trait cafac.
nrét-isémcntque.d après les tosiciens.
[<.ristiquede lit ctassiticatiou artiticietto. (~principe mn'tup
Ueut pns se-
ptus (!)rd qt)<'M. (:iddi"f;s ne s'y
ttt.us vt'r)-<)))s
de <H<Mrenciatiot)
rait. co'Hf'e Spenc<'r <'))prottos. h. dp(!r6
outre le type df
..ni en "utt-e. nousdunnfftnt. h) MtoeitixUon
hewc)!et )Hd''(ittiti(m (le Mi)). « L'ne vraie ctusse est celle
.hns ti)(;UB))e les obicts sont ~-uttpf'sensembted'après (juct~tx'
m
.-aractt't-ftjuc ta ditMr'')'ctation normate a produit. Sinon,
critère t!e'ti(tuc n'est pas appiiqtK' des rotations totMpo-
r~treM"u fortuifs de ph~n<))n<'oes so-ont prises pour des re-
)i)
~tiohs pormanentes et esseutn'ttes~ Nous en attendons
très daire. car je
)..cuvt-. Ou reste, cette assertion n'est pas une
m.crois pas quf. pou'- une théorie évolutionniste, il y ait
for-
.t))e <:ito~equi ne soit pas produite par !a dit!6renciatio<t
t)!:dc.cause de tout.
dis-
\). <!iddi))Ksremarque' que ta seutc méthodesure.pour
inférieures, ce qui
'tu'~uer tes (orn)cs supérieures des tortues
.twede de ce qui suit. est de constater tes retations cinétiques
Maiscertamoueot
imttquees par ies~rés de di<Icre))t-ia)ion. un
.th' remarttue u'cst pas vraie pour les peuptes. t'ourquoi
autre peuple, n'aur:<it-i) pas
p.-unie, qui est oppareutc a un
de son développement.? Les
).!tt-couru seul les divers stades de
"«..tes sont parents (les peuptes germaniques; teur degré
.jitït'renciation sociale n'indique pas du tout cette parente.
~i d'aitteurs. notre auteur repète il plusieurs reprises que, so-
~ttte. ta classification d'après le dep-é de duteroneiatiou
ri;,).. réussira, il ne donne matheureusenteot pas tui-meme
contient neau-
tn. c'iticatiou exp)icite. Toutefois, son livre
Hn les réunissant, on peut se
,tnpd indications sur ce point. la
),)ir<' uneidée de la <-tassi)icationdes sociétés, telle qu'il
distinction fondamentatc
~ncoit.tt couxnence par faire uue Les
..ntre les sociétés ethniques et les sociétés dOnotiques.
où une parenté
~ntieres sont des associations génétiques, se-
.te sang, réelle ou ficUve, est le tien social principat les
) f..K-.f'tf.. )'-
<fr. '< )). 6:).
/.w. << )'. ''t.
!M) ).'AxxHt:St)Ct')).t~it~rH.)89i!-tSM
tst'at: 87.)).
'jUft)M:ii'htut tnottt'rn'f).tT:
t.a d';))ti~r''phtt! m' -nnt ;")::<));!<'
"imp. p. '!).
3j n aurait pu trouver)K'.tMt'"U)) 'tanstf- <!randft
<t'ittf))nnmtiun6 «mn'
<)<* L)'
«tOMOK'~t'ht'jMus )'))tv et<)*'
M'a '~cnh'.
t M. nu'')t" )'. M)t.)t..))~tt .ttf ohjt't-ti'tn.
StXj.UX
– t:).«nt:.U1'M t'E<TVt'KS
STKtSMK))!. tU~
i) L<tth<K'
Xttrgun.
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~<'M</<«M<t,
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it)/<wAW/t'r<f<-t<-AM«/<.f{<.<t<K-M.t)-)M<-A~.
))8)!t,).?“?').
– "K-! TY)'H-t sOCtAt X <OS
STKtXMKT! t:S<H'tt:\T)"S
ses
..tasse hèh'n'~uect dinorme'. Sa etassiftcation. maigre
grands mérites, ne peut pas nous satisfaire. ren.
M. ttahn. dons son livre tn's utite. nous a donné des
de lu vie écono.
<ei};nementspn'-cieux sur les formes diverses
en premier tieu. ht phase
.ique des peuples. 11 distingue. vivent des
hypothétique des purs cottecteurs (.~Mtw~ qui trouvent
produits végétaux et des petits animaux qu'ils
sur leur chemin, sans employer d'instruments ou d'armes
formée par les chas-
quelconques'. La seconde ciasse est
~'urs et les pecttcurs, qui peuvent être errants, sédentaires
ou eu possession d'animaux de trait, pur exemple de chiens.
).a troisiume classe coutient les agriculteurs primitifs qui
uefunt usage que d'un seul instrument, ta pioche (M<«'M"!M);
sur-
ftle forme de culture est très extensive; elle se trouve
h)ut dans l'Amérique du Sud, dans une partie de t'Afrique
..t aux ites indom'siennes'. La quatrième classe est pintôt
une subdivision de la troisième on peut lit nommer t'agri.
et
.-utture M pioche, activée et centralisée par le cupita)
Ette ne se trouve que
i énergie européennes (~M~f~ax).
.m- quelques côtes de l'Amérique et des tndes. à Sumatra
La
età Java sou instrument était surtout l'esclave nëgro
.utture de jardin, t'ttorticutture ((:<t<'fPM/M«) est la plus
uttensivede toutes les formes de l'agriculture; c'est le plus
tes bêtes
i..)ut degré de l'exploitation du sot. Htte néglige
a
.te somme,elle fait usage des dejecta ttumains et elle
ht-soinde beaucoup de forces humaines. Elle se trouve sur-
tuut en Chine et au Japon
La sixième classe est formée par les peuples ou t'etevage
des bestiaux fournit ia partie principate et presque le tout
.Ie lit nourriture humaine. M. Hahn nous dépeint rapidement
..xnment ce genre de subsistance exerce une influence pro-
fonde sur toute la vie sociale et sur l'histoire et le carac.
:cre des peuples qui s'y sont adonnes". La septième et la
<Mwn~u.-ncM.)<'ce<
.t~ ~tuf-ttet~-nt~") th-r.'.t.t.tm.-hif.-M)..ttt
.t..fa.t.<:)csc), int~.s~t..)..a .ut.i. ).t~)~- .s d..n. t.-s.~
..i.s ph~<s.)..)-)..ti..n .i~).<t t. .).f!s pur h,
.t tt iHM.'rc)M)Ktrti~<)<n-itM.-Mn.:use~.)me<tM'k.r.i.")ttta ft"e des
'))!t!!SMUri't!rtcutteur:t.
H.U<thn.Me~<t<M'<erf 't896..1).ï!!X.
~.tc<c<<p.M8!.t'q.
(4)toc.<'<<p.3'Ms'
t!.)/.o<c<<t'.M!tt.
~)~.oe.ci<)).4''?!q.
K)t! ).'t'<\Kt.M":)t').'M!t~K. )??-')('
~ln.utO
dernière nl·ncuu
ftasse nl~a \(
(le M. Ilul~u
Hahn uc!
est tJ'U'U" u_a l'mrnin
formée par t'ricutture
proprement dite, caractérisée par lit prépondérattce des cc-
réates. t'emptoi d(~ bestiaux et (le ta charrue: elle se trouv
chez tes peuptescivitisés.<'u Perse, dans ttudeangtaisee)
dans quelques autres colonies européennes'. ~t itahu sup
pose que tt'x peuples qui possèdent cette forme de t'exptoi
tation du sol sont n'unis aussi par une civitisation eotnmunc.
quoiqu'ils npparttetment il quatre groupes tmguistiqufs. Un
<;)Tet.un petit numbt'H (t'tdees reH~ieuses donnttcnt cet em-
pire euorntG~; ce qui prouve ctiurcment l'existeuce d'un
rapport historique entre ici; parties si diuercMtes dont il t"-t
cotHpose. tJue division spéciale est (uru)ce par i'a~ricuttun'
à irri~atiou. dont i't~yptH et ia Uabytouie .tMcifuue nous
oHrent. les modetes~; M Hahu prédit & <ietnodc de cutturc
uu grand avenir utOtne dans les payscivitisÉs'.
Kotre auteur a exclusivement hase sa ciassitication écono-
mique sur lu ntaninre dont est produite lit matière première
de ta nourriture; il né~itge tout le reste, inotne ta récotte des
autres matières premières, comme celles de t'hubittement.
l'industrie minière, J'exploitation des huis, des eaux, etc.
Pourtant, it n'est pas certain que surtout les sociétés supé-
rieures soient caractérisées par leur genre d'agriculture.
Qu'une société civilisée se tourne peu à peu vers t horticul-
ture f~<<'«<'««). en résutterait-i) donc tant de dinerences'
L'évolution si importante des sociétés modernes de la manu-
facture vers ta grande industrie, avec sa production eHonne-
ment augmentée, avec sa tendance a se concentrer dans
tes villes, avec son besoin de marches, avec les progrès de la
science qui se produisent en même temps, etc., rien de tout
cela n'est touche par ta division de M. Hahn. Pourtant, c'est
ta ce qui constitue lu diflercnce profonde qui nous sépare du
xv)U"siècle. D'autre part, dans tes classes inférieures, les chas-
seurs-agriculteurs ne sont pas davantage pris eu considération.
Mais cette classification a cet avantage qu'ette admettrait
facilement des sous-divisions d'âpres les nuances et tes com-
binaisons de ces caractères économiques.
<t'oc.<)t.ttO«'<j.)'')Urt<t'fi~))'')!.i'<n<t<)"tM)<<h'u)tnt'
cHtt<u)tct'sutt')t)ttit<'u)t''ui!t<!)td))v"tun)<
~.t..t-. < )..tr:-)t6.
'3tuc.t'<j)).4iT.
tr'-i iot'f-s'thh: <)<-
~t-M.))ahn<t«ttnc)t))Mm)))'ti'')tti'<n <'<<ii!!tincti"n:.
~.tnsht);))<t-.t)tf)h'M'«)t'))tti')'t'tuir'')tH<)t)vuhttt)t-.)'.<!iMt7.
STEtXMHTX.–
Cf.tM.)H':AT"TY''K<~tt:)UX t()*!
Les chtHsitications économiques des sociétés, que nous
menonsde résumer. considéreut toute ta vie M'onomique par
un seul de ses côtés. Les unes no prennent est considération
que t organisation de l'économie f"«'f~fA')f/h: tcttes cettes <te
ttitdebrand et de Muctter. Les autres se basent ptutût sur ta
tccttnique prédominante dans l'industrie prineijmte ((!ros''e,
ttahn'. Je ne vois pas lit nécessité de cette limitation artiti-
cielle. it faut élargir le cxdt'e. !) faut re~afd'u' tous les côtes
qui earactét'isext ta base<couo)))it)ue des dHIerentes sociétés,
si) l'on veut faire de celle-ci le principe de lu division. Plus
tard, nous resmnerous des tth''ories qui voot plus loin que
les precédeutes dauR cette direction.
Le groupe de classifications qui, maintenant, réctame notre
attention est marque paria plus ~raudecumpUcatiou qu'eUes
introduisent dans les divisions des sociétés. Uu reste. elles
aussi s'attachent avant tout aux hases économiques deia ei\'i-
tisation.
Le premier savant de ce groupe sera Le Piay. le sociologue
ctifteux qui occupe une place a part daus notre science. Il est
re~rettabte (lue sou uiuvrc et surtout celle de son école soient
si peu étudiées par les savants des autres écoles. A côté de
beaucoup d'enfantillages et d'excentricités, ou y trouve des
ctudes consciencieuses de faits importants, conduites avec un
soin qu'on ne retrouve nutte part aitteurs, tandis que tes dis.
';iptes de Le t'tay nous donnent souvent des idées {;<*Meraies.
des hypothèses tt'ës intéressantes qu'aucunsociologue sérieux
ne doit ignorer Malheureusement,les savants de cette écolo
sont rarement assez à la hauteur de la science moderne par
)a. teurteuvre théorique, en dehors des monographies qui en
sont la base, fait souvent une impression de dilettantisme.
Ce qui caractérise Le t'tay lui.même, plus encore que son
''cote, c'est qu'il regarde surtout les bases de la société, tes
classes inférieures, non les sommets, les créations esthétiques
ou intellectuelles des natures exceptiounettes. En interro-
geant tes premières, il distingue des Peuples Prospères et des
Peuples SonHrants, et encore des Haees Simples et des Races
Compliquées
t Von-<ur)'n)r ')'-t. )')<n''n ccttrm)fin), de A. v"" W'<;h!!t'')).
<-<< mJaA<tN~x-t' ~f ~Mf<&MM~. MM</
)f'<-<ra~«M'?t'«Mjt)fM/Mf-t«/Y.
)X''t. t -t )t. \'iXttt' /<t
S i'tt'MCC
Mt-M~C
fftt~'V.* </<*
t<' t'/M~P~'/<!
<<M'fMC</)<')'
..r.fr't~MM/fMi'2 Vut.)8t~.
~fft'<f<~ ~«.<m)". 1 d87! )). T). 2M. ~ta.
!(? L'.tXXKt! '")t:)n).fW:t<~t;K. )i(!M-)tt<M
(t; Vigtt.-s.
/o< < f, p. M.~u.n'-tuutin~. <M .<-t<W<M««M </MMw~.
-<c.S.. XV,)t.. 3)5 ~.j. M. )'in'))./Ht'/<M.t)/ft.<~<.o
</<<t'j~~eMf/c
~'«xn'/<<.<S. XV)).('. ;<).). )'. tJc H.,U!.i< /M /M~<t~M <-<r.-MM.
po<ait«.S.< Vt, p. ~jt se~t.
STt:)\MtnX –t:).ASS)t')'T)"XMK''Ttt'H!-«)t:t\r\ Ht
li CfU'-cta.s<i)n-)ttion
c~ttfaih'epar M'n'ftandaxs ~Qtt.<Kex'n~ .~c'<
t!7t j'' M');n:U'' 't'' «!' p'MiiMttcr
(jUflu tra'htctit'naH<*)n*nd<<')o c~'t
o'Ue 'ternif'n'M<e<'<f<fM/<a/V.
uvf!i):<'<'jmi.«':j'- cih!<)'Mpr('i) a<ff-
''Mf/fM MMt')c/</t«/jrMM<< Am<M)~ ttXUt).Cn ~suow tr't court'Mt<)t))mc
t'.tr M'n'xim 'tan" ~'n Mt'MtM ()H<~~«'Mf-tt/f «/' fAe.tntet'h'a't.«t«t't-
.y.MM ()?)). p. M.
(2;f')-a<(-Af/ )'. t. K.
~t)~e. cf< )).<i.
H2 L'.tXXt!)! !tt)t:)OLO(i<ot'K. t890.))(<K'
<t'tôt'.<< 1).6-tt.
K. t)))HM)!)tt. Ann'-e M'-i.'t. tStS-tttiti'. !(
t)4 '<KK-.th:~).fM~)'E.))!t!-))t9i'
iKDursen commun. Ces deux types appartiennent a la sauva-
gerie. Lafamittesyudyasmique est cette ou une femme est
mariée à un seul houune. taudis que t'honmo est libre. Les
deux autres sont lit famille patriarcats, qui est. souventpoly-
game, et ta famittf mono;{a)))ique;ta dernière appartient sur-
tout ù ta civitisatiou
Les deux deruicres séries, tes genres de subsistance et les
types de famitte, ue sont que descorottaires de ta vfritabte
ctassUtcutiou basée imr t~'sinventions sjwciates et encore ce
ne sont que des coroHnircs contingenls qui n'accompagnentt
pas rcgutitit'ejnent tes phase-!diverses de ta premiet'e sprie.
Aussi puuvuos-nous les nc};ti~et' eo considérant la classifi-
cation proposée par Morgan.
Laproniere rouarqupqui s'otireanous est (ju'apt'cs tout
Morgan s'est montré ptnsethnotogue. an sens étroit, qn'his'o*
rien de la civitisatiou hutnaioe. A vrai dire, il a laissé de côté
les formes supérieures de la civilisation d'une manière
efïroyabte. L'Asie civilisée, ancit'nno et moderne,toute la cul-
ture antique en Afrique, en Asie et en Euroi)e, t'tstatn,
le moyen âge, le xvr', le x\'n' et le xvtn" siecte et tes
temps modernes, tout cela tte forme qu'un seul groupe.
quoique icidesdiftereuces s'oiïrent à notre vue, bien autre-
ment profondes quecettcs qui séparent tes ditterentes p'riodfs
do ta sauvagerie. Muis cette remarque n'est pas la seule que
j'aie à (aire, quoique je reconnaisse, d'ailleurs, les fortes
qualités du système de Morgan.
Les divisions de Morgan se rapportent ptutot à desphases
ancrâtes du probes humain qu'a des ctasses spéciales, .<
des types particuliers de culture et dévolution. Cet auteur
est tout rempli de fa conception simpliste de l'évolution.
Ceta me semble un préjuge dangereux, surtout pour uu ctassi-
ticateur. Do plus. il est beaucoup trop systématique, trop
épris de son système, pour que sa classification soit coa
forme aux faits, aux ressembianees et aux diflérences qu'ils
présentent réellement. En parcourant son œuvre, ou n'a pas
l'impression qu'il ait essayé d'embrasser, dans un aperçu
ausst large qu'impartial, tous tes groupes de peuples; H
semble que l'auteur pensait surtout à quelques peuples indiens
de l'Amérique du Nord, aux Grecs, aux Romains et aux
Uermains de Tacite.. Le reste est plus ou moins négligé.
) <)t<))Mu'c?. 77«*
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't'ft.'MMtfM~X'tit!. ')c<Ut' ))<uth'()''
)'t'ttVt')''))Mt')')<'Httjf'')-<fu)''ttK'ttU)t)'))(«''« su)')it<)i!-ti))rti')tt
't''))<tf':t<«'H(i'<)tt~i-'t<')-itt.
HS ).xt~tM:)))t.<mt<.nK.)!<'ts-(«M
)'.f.t-sHottottuts
non )<)M! qui ))"ft<'nthl.-t'mtmvet tahar~ ttt. <!u
uh)in<ttitils sontresterh' plus purs 't'inttuc))'c<eut'")"?emtes.Rthe). 1.
).)).
ttotttMM et font))' sont ttt~ bien v~tns h'urstMtbitutiotts conticn-
mntjU!i~u'itMtpeM«))ne~. )!ttn''Mft.foc. ti/ t, f. !tt.
Xihtittk.Mf Co'M~ ~f~tattif S<tM</tf)'H ~hMt« '«'(/.Yo'/Ac'M B)-t
/tr.<<M)n4)'<).h.'t.t)!t))t)f'-i habitations))t'Mrt'tt!t'))MUr)'))it't-.
'h~vin~t.~Mf~rtiti'-ati')t~:)t'm'!4v't''t)'t'ttt~))tnt-t)'!t)))')')<~bo)v-'
'-tom'
)~0 t.tXXK).)):)t)).t)!i~'H.t!!Ut!.tKMM
6u:I.
tribus · I. 111.& 1-
mélanésiennes, les Hasoutos, les Cafres. les Uéctmaaas;
(es))aj.tks,tes t!attas. tesUstyukes, tes'fouugouses,tes
Khirgttises, les Kitonds et les Bheets. etc.
Les A«f'&«t'(~tito~otf! ils uut de bonues habitutton;; perma-
nentes, agrées de manière :'t (orn)erdes villes eonsidérabtes
ils sont vêtus. mais la uudité n'est pas indécente la poterie.
Fart de tisser et de travaiticr jusqu'à un certain point les tue-
taux sont connus; le commerce commence its ont une mou
n:ne, les tnarchc!; sont n'gu tiers on les trouve consolidés en
États contenant jusqu'à t UUUut) ihnes. t!out'ernes pm' des roite-
lets, avec des codes de lois coutmniÈres, des rangs bien défi-
nis. fondes en partie sur la vaillance militaire des individus,
en partie sur celle de la tamitte. Cette classe comprend tes
peuples les plus norissants de t'An'ique du centre, par
exemple le Dahomey, tes Achautis. tes \anyanouesi. les
Xiam-Niatu, )cst)i))t<as.les Momboutous; les Fijiens, tes habi-
tants des ttes Samoa, Tonga et Marquesas. les Cermains au
temps de César, les itomains avant ~uma, les (irecs d'Ho-
mère.
Les <'«<'&<«'<<
sM~'tetx'~ ils possèdent des cdinces do pierre
ils sont toujours vêtus; ils ont des instruments de fer, une
métallurgie meilleure, de l'argent monnaye, de petits vais-
seaux il rames, une juridiction grossière, rendue par des
cours de justice; ils comptent un demimittiun d'individus.
sous un seul roi, avec rau~s héréditaires, une division du
travail plus grande M. Suthertand range parmi eux les
Abyssins, tesSomaii. les Matais de Sumatra, les habitants de
Java et des Cetebes. tes Arabes et les Tartares nomades, les
t:recs sous Sotuu, t'ancien Mexique et le Pérou, les Juifs sous
tes Juges, les Angto-Saxons de la Heptarehie, les Homains
des premiers temps de la Hepubtique, les Tahitieus. les
Hawaïens.
La <'«'<<M«~<M, te troisième embranchement, se distingue
par la facilité plus grande avec taquette on se procure la sub-
sistance, par la division du travail, par t'extreme diMéren-
ciation des fonctions consolidées, par tcur indépendance
l'aisance matérielle. obtenue sans difficulté, jointe :) la spé-
cialisation, fait progresser les arts et tes sciences.
La <-<f<<<.Mt«w <H/~n<'tft<'possède des villes ceintes de
murailles, de beaux cdinces de pierre; lit charrue est
''mptoyce la guerre tend a devenir la tacited une classe des
cours de justice sont formettement constituées la littérature
– t:).<s)t')t:AT)()S
~THt'iMHT! )<K<
TVt'MStH:t\)X Hï
commence, l'euples qui y appartiennent les Atgériens, les
Touaregs, les Kabyles, tesTurcomans, tes Tibétains, tesAMua-
mites, les ttabitants du Cambodge. les Juifs de Hatomon, les
Assyriens, les t~gyptieus. tes t'ttenicien- tes Habytonions, tes
Cartttaginois. tes Crées aprosMarathon, tes itomains du tempe
d'ttanttibat, tes Anglais sous les rois normands.
La ffr~AM/M/two<«* tes temptes et tes maisons des
riches sont bien édifiés est pierre tes professions se rnutti-
plient; tes vaisseaux sont à voites; t'écriture devient com-
mune les manuscrits se répandent ta guerre est la chose
d'une profession les lois sont réunies eu codes il y a des
avocats. De cette ctasse sont les Perses, les Siamois, les
Afghans; les t-'innoiset les Magyares du siècle dernier; les
<!recsdu temps de t'erictès. les Homaios de ta tin tic lit répu-
blique, les Juifs après la conquête macédonienne, l'Angle-
terre sous les t'tantagenets et la France sous les premiers
Capots.
La <'<ftfM«f«M) <t<~<«'<«'<' tes maisons sont régulièrement
eH pierre, t<-sroutes pavées il y a des canaux, des moulins
a eau et à veut; ta navigation devient scieutiuque, ta guerre
n'est plus faite par te peuple tout entier; les livres, en mauus-
crits, sont tr&s lus, la littérature très estimée; le gouverne-
ment centrât, très tort. s'étend sur des dizaines de millions
de sujets les codes de lois sont fixés par écrit et publiés
ofuciettement il y a une hiérarchie bureaucratique, nom-
breuse pt~radueo avec soin. Cetteclasse comprend les Cttinois,
les Japonais, testtiuduus. tes Turcs, les républiques de l'Amé-
rique du Sud, tes ttomaius de t'Hmpire, t'Europe de 1 Ouest
du XVsiècle.
L'auteur ne nous donne pas une caractéristique générale
de sa phase la plus haute, ta c«/ft«'< La ft<<<Mt'c tM/~w<«'<'est
marquée par les traits suivants les besoins matériels sont
satisfaits de ta manière la plus tacite par ta substitution de<-
forces naturelles au travail humain ceci, joint il une organi-
sation et a une coopération plus efficaces, laisse a t'homme ta
liberté de cultiver ses facultés intellectuelles et esthétiques:
la presse est employée très géneratctnent. l'éducation est ut)
devoir essentiel, ta guerre perd de plus en plus son impor-
tance. les rangs et les honneurs dépendent plus de lu capacité
mentale que du courage, les lois sont faites par les représen-
tants du peuple, it y u un commencement d enorts nationaux
pour accélérer le progrès et propager l'art et ta science. Les
m t.'ASXKK <()t:Xt),UG~'t:. t)f)t.)8''9
~h)).!<.tt7'')!t))!n'f.titt*tt«'t)tt!n.«'n<)na))<)i)rf[<t''M'h'tM.S))('))f'M
')'<tt'oir
<:<it!(.S/MJt/ a/'.'<«c<M/n~~ t' futuri'M't"t!U"M' )"vpttmHt)tt
''t
)'~yc)x)f'igi<)U'! et
t)i't)(t;[i<tuc ~ttint t)'~u't''>t;thtt'tK't't' ~'«w
.tM~teM <«f'o<~t«'AfM ~f"f/'«;<'<~<!<-At'</7 /'< .n<-<a/M<M<'Mf'/tft/7.
t900.p. tf~ ')« tKtttn'iti' Aces t'tittcnre!)(h'<~(u't'"=histnri'tu'
xjftHt'')'
''t n'~ntimit~-sa 'jUfhjm'tpcu[')t'sdf ))~')))"<-tint).
)t)tpr«fu)Kties
~t);t\MK)X. – t:).A~)t')<:W)\ M~ TYPES -t:tU.\
t'ouvrajfe.
il me semtde cependant que cette ctassitication montre de
graves défauts a côtéde ses grands mét'ites. L'auteur nous dit
qu il veut ranger tes peuptes selon le niveau de leur intoni-
;:t'nce; pour sun but stxk'ta), MUf telle c):tss!ftc:)t)o))était
peut être suffisante. Elle M )'i) jtas mené à une ctassitication
HuititM'aire,quoique t'eia senthie avoir et<'ie cas. Tei ))eup)e
peut montrer autant d'intcUigetK'ednus t'agricuttuff que tel
autre dans )a pèche. ProsjK'rer et s'e)ever a un certain dc~re
de ch'itisatiun, quand tw est ptace dans de bonnes condittuns.
ne te)wdj.;ne pasdmn' intetU~euce supérieure à celle qu'il
faut pour se maintenir purement et simplement contre des
circonstancesdehtvorahies. Je cndnsqu'uue teiteappreciation
ne meue a un arbitraire ettroyabie. Qui dira que) poids doit
avoit'teHe ou telle itn'ention dans cette batance des intetti
sence!La dont M. Suthertandacombi ne ses cri-
tères ne me para!t pas safnsammeut fondée. Il est re~rettubie
qn'it n'ait pas donne ses raisons. L'usage des fenêtres, par
exempte, est un des traits deia secondephasede ta civilisation.
<'e)uides cheminée. un de ceux de lu troisiëme. Pourquoi?
Pour ce qui est des peuples historiques, il est bien tacite de
les ranger d'après la chronologie de leur développement.,–
et encore est-ce trop préjuger )a question de savoir te pro-
pres est permanent et sans rechutes! – mais. pour tes autres
j'euptes, d'après quelle régie procéder'? Dans ces conditions,
)'appreciation court le danger de devenir trop subjective.
U y a des critères que M.Suthertand applique en se confor-
mant régulièrement à ia marche de leur évotution. par
exempte, l'habitation, la concentration ea vina~es et en vittes,
t'intégra tionsociale. Maisil y en a d'autres qui sont déjà moins
en harmonie avec cette règle, comme l'évolution du gouver-
nement. Ici, M. Sutbertand préfère une forme a une autre
parce que cela lui ptatt mais même s'il est d'accord avec
lit plupart de ses lecteurs dans une telle appréciation, elle
reste néanmoins pcrsonnctte et arbitraire.
Les traits distinctifs sont d'une valeur très inégide, par
exempte l'usage de fenêtres ne peut avoir la même signtfiea-
tion symptomatique que la spécialisation de ta profession mi-
0'.0. o~ o. 1.
'); C««M<
<tftf. p.''9-
!32 t.tXXKH S()t:t<)U)t!«.'t'K. t!!M-)tt)'9
'): .Ya~'t'oM-t't-
M<)t/tM~«<-ffMf<
)<.:<:S-:H3.
– ':t,AM)ftt:.W):<
iiTHtXMHTX. nt!< Ttt'MSt)t:)A).'X ~33
H))e professe et elle suppose toute une philosophie. C'est ce
que je voudrais éviter. U'une ctassitieatiuu adaptée ù i'etat
actuu) et aux besoins los ptus pressants de notre science, je
n'attends rien qu'un ordre ratiounel et de l'ampleur. Kiie
doit ressemblerle moins que possibte au lit do Procuste. Ses
compartiments doivent être lissezélastiques pour que les faits
s'y glissent aisément, sans danger d'arrangement artitieiet.
Les deux sous-ctasses des peuples errants et des vrai!! pri-
mitifs 1sontinsuffisamment dëtuntMes i'uue par rapport à
i'autre; leur vie econmnique, leur rapport au sol, leur reii-
Siott ne sont pasaMex difMrendes, du moinsselon ta descrip-
tion de M. Vierkandt, pour justifier cette séparutioM. D'un
autre cote, je voudrais distinguer, dans ces deux ctusse~de
primitifs, plusieurs groupes do peuptes. La seconde sous-
classe de Vierkandt coutieut trop d etétnents disparates.
La tneme objection doit être faite à ta mauierc dont est
formée la classe supérieure, celle des civilisés véritables. On
seot un besoin pressant de ta subdiviser. Vraiment, il y a
assez de dnîerences marquées dous cette classe pour qu'on
puisse essayer d'y distinguer quetques groupes. La Un du
xvnf siècle et le commencement du nôtre me parait une ligne
de démarcation tout indiquée ici, gouvernement plus ou
moins despotique, manufacture, restes encore vivaces de ser-
vage et de noblesse, progrès tents de la science là, c'e!:t le
spectacle contraire qui s'otire à nous! Les peuples modernes
qui ont vraiment subi cette évolution sont scindés, partages
en deux par cette tigne.
C'est un défaut du système de M. Vierkandt qu'il n'est pas
assez maUéabte il laisse trop peu de place pour les nouvettes
classes que l'on peut découvrir par une étude plus appro-
fondie des formes sociales. C'est un système définitif, comme
seule une science accomplie peut prétendre en faire. Kons
avons besoin de principes de division qui non seulement
soient assez larges pour embrasser tout ce que uous décou-
vrirous dans l'avenir, mais qui soient en même temps des
motifs de recherche, des aiguillons qui nous excitent à dis-
tinguer plus finemeut, à analyser plus profondément, à decou-
(t) r..Wf<tMf/e.
U. 733.-rcT.
– Ct.AS~fMATMS
STKtXMKT)!. nM TtTPHS
SMfAfX ~N?
t) Hf'Mtcr.
';f«'/<icA<e tv/t~M~x.)<H'!f)<K.~
Fut.WWfMtK'.
HMTYff! SOC~L'X t39
STMXMKT)!.t:HS!.)t')C~T)t)S
<)«tMeM< prend. naissance. Le protestuutisme tut une dos
premièresmanifesttitiousde son ca)'actèroessentiel qui est
h) fibre critique, t'Mttitudeméthodiqueet scientifiqueenvers
le monde entier. Une morille humanitaire, des réformes
socialesmMhodiquesotpointspasmodiques,des progrèsseien.
tifiques réguliers <{uiservirent de base à une industrie
intensive,sontl'effet nécessairedo ce développementde l'in-
teUigeuce.
Cesquatreembrunchementsformentune série progressive.
CeM'estplus Je cas des autres classesque je vais proposer.
Le principe de leur division sera le caractère général de ia
vie économique.La ~MXMVest celle des petits eo//<v~M~
~amw<f/')qui collectent les dons de ta nature sans autres
instrumentsque les outils les plus simples et qui emptoient
dtrectemetttles produits de cette récotteà pourvoira leurs
besoins; la chasse, la pèche, toute industrie leur manquent.
tt n'y a plusque des traces de ce type. UneMj«.t-c~Mf ou une
r«nW sera formée par les sociétésplus hautes, qui deman-
dent encorela base de leur alimentationà ht pure collection,
mais chez qui lé reste de la vie économiquemontre un plus
haut développementgrâce à leurs rapports avecdes sociétés
d'un autre type, ou grâce à ta richesse extraordinairede lit
matièreà taquottes'appliqueleur activité ce sont les co«e~
t~tM~tw~wu' De tette termes bâtardes se trouveut dans
quetquosHesdet'Ooéanteoù les palmiers sontexploités,mais
sans etreeuttivé&.
La WNMt~f c~Moest celledes <;A«M<W)), qui ne vivent en
principe que de la chasse. La p~m~'f espècede cette classe
est formée par ces peuplades qui ne peuvent s'entretenir
entièrementpar la chasse, mais usent encore, et tar<;ement,
de lu collectionsimple par exempte les Australiens, les
r'uégiens.etc. La «'con~eespèceest ceUedes purs chasseurs;
ia tnKM~Mf comprend les peuplesqui sont tantôt chasseurs
tantôt pécheurs la ~Mt~me, les peupladesqui ont eneete
d'autres occupationsà coté de la chasse, cette,ci restant leur
soutien principal.
La~'cM~Mtf ~.Mf est îormée par tes ~ftM'< qui s'entre'
tiennent au moyen de la pèche à peu près exclusivement.
Les espècessonttormees,commedanste cas précédentpartes
différentesmanièresdont la méthode principalese combiae
avecd'autres.Seule, une étude appKttondiepotWMtes faite
connattretoutes; mesrecherchespréliminairesm'ont indiqué
t40 ).'AXS);H SOOt't.'x.~t'K. ))(!?. )M9
<tiJ''sai~i-'<'cttt'«(')-H;)i«tt <)<'<)«')
t'attf'xti'tXsu)' )'t')t''))) ))'')ittivr"
<h'M.t'. )''ht'<ri''i ~M(/t«t«'<' MM<<.ht'<)M)<*)'f/t'«M<'t' (MMtU)s''hwit'.)iM)0
où it jM'mt. f<'sttt.'tth'nn".
)f'a)x'<'s -tt)<f-<'<.
h)''ottttuit''<'ovt.tb!t' <h't.At)~)t'-
Sdxutt!, <))t<;)tt' t*uu.<-tttttt){" tU)'-jours.
jHtifjtt'a
t44 <??.)??
t.'A:<'<~SUt:)t)).tK.~('K.
Mats il lie suffit pas d'indiquer ces lacunes ;it faut les
exposer et tes t'xer dans notre esprit d'une façon ptus inten-
sive. C'est ce résultat qu! peut être obtenu par le catalogue
que je vaispr<'posn'.
L'Ptttuographie n'est pas riche en exposés detatttes des
peuples inférieurs d'une région circonscrite Ceux que nous
possédons montrent tous de grands défauts qui les rendent
insuffisants, du moius pour notre but.
Lesmeitteu t'escorn pitatio'tsethnograptnquesrégiouatesquc
je me rappelle en ce moment sont les divers volumes de Wuitz
Ccrtaud, ceux de Datton sur ses peuples du Bengato, de ttie.
det sur uuo partie de t'ardut'et indonésien, de Curr sur
t'Austratie. de Martius sur le Bn'sil. de Bancroft sur les peu-
plades des côtes du Pacinque. J\'n omets et des menteurs;
mais les ethnographes tn'ac':urde"out que tous ces livres.
n)at};r6leurs très grands mérites q le je n'oublie pas un seul
instant, présentent des tantes et des lucuues si considérables.
(jnenousxepouvunsuousencoutcttter.
tt serait très désirable de corriger ces tautes et de combler
ces lacunes. Ce qui nous est te plus nécessaire, c'est l'étude
monographique et surtout très detaittee de tous les peuples
d'une région déterminée. Mais il tendrait qu'ette int taite
d'une manière si comptète qu'on n'aurait ptus besoin,
comme maintenant, de remonter, pour la constatation de
chaque (ait, aux sources ethnographiques, c'est-à-dire aux
récits de voyages et aux descriptions de peuples isolés. Les
monographies ainsi faites fourniraient ta base du catalogue
que je propose.
Les tubleuux de Spencer, avec leurs documents annexes,
embrassent trop peu de peuples primitifs pour nous être d'une
grande utilité t'ouvre de Feathf'rman manque trop de cri-
Uque. ne nomme pas ses sources; elle est d'un emptot dange-
reux. Ainsi, pour notre ptan.it faudrait remonter aux
sources. L'auteur d une monographie aurait t'avantage de
pouvoir les connattrc toutes, de pouvoir apprendre tes tan-
gues principales et d'acquérir ainsi une science intime d<'
sa région, impossible a t'ettmographe quinesetimitc.t ë't
aucune partie du monde.
Hn attendant cette amélioration int'vitahte des monogra-
ptties régionates, il n'y a rien de mieux il faire, pour exciter tes
esprits à y travailler, que de nous mettre à t'muvte. Du reste~
je crois qu'en faisant un usage diligent de tous nos moyens,
– t:t.t.S.Ot'tt:tT)0.'<
-iTKtXMRTX. XK'!TYt'K-.
S<)t:)A);X t4&
t'MKM)t:)tHSHt:nn\
soctOLontHCË~ËRALt-:
P')r.\t.\t.M"r.Ht-)PA!iO).)
t. – COXt:Kf'TtO\S):t:É)tAt.K:: KT Mt:mOt)Ot.Ot:)H
M.C.veut«rc.){!ircontrctettot)noutantdctapsychotogie,
-)ui menace (t'envahit' tu soeiotn~ie et de ta confondre m'ee tes
<cicnees mondes et potHiques.). Ce n'est )MS))uela
sociotogi)'
't~h'e se réduire a ta bioto~ic les socit't~s stmt intinimnot
pt'ts tmtbitps, p)usdumb)es et plus extensibtfs que les orga-
nismes \auts )na:s e))c ne (toit retenir (tue tes faits propre.
tttctttsoc!aux «qut scutssottt objectifs", se soumettent a une
toi, se pretcxt a ta mesure, et se distinguent par ta des faits
subjectifs dont t'etude revient a t'ideoto~ie.
Kn etïet, tes maoifestations desintfressces de ):) penst'c
humaine, quoifju'ettes se produisent au sein des sociétés, n'en
'tependeut pas tes chefs-d'œuvre de t'urt,de la science pun'.
'te la philosophie sont dus à t'ori~inatité primesautiere de
grandes personoatitcs. dont t'apparition n'est nullement con)-
'Maudce part'etatsociat d'une nation (tj-~t. Destinées a t'uni-
versatité, ces productions sont cttOses tout individuettes; ni
teursefïets ni teurs causes ne se laissent detenniner par les fois
't'une evotution sociate. Lorsque A. Comte faisait dépendre
''ensemble de ta eivitisatian des trois états de ta connaissance,
t! ouMunt te earnetere relativement
snperneiei et aceidentet
des phénomènes de l'esprit les sociétés ne sont pas des
t~t ).Kt;n:)ut.t)'HK.)8U'i')
<)tetsdeta)':)iMt)ndt'shut)Ht)es~(p.8(~;itfaHt<'herc)terptus
b!)s.pnut'dt'mvrir<'equif!)ittar~ut:))'itt'd'tt'u)'vuhttiou.
L'ensptn)t)cde~)'tn'nuu)t'nt"<spo))t!)n's,itK'mtsciuut!<ttudu
moins n'r)'t~'<'his,p;trh'<))nt')ss\)pf.')'L't~)')ni-:)ti))))dt')ttdi-
viduset)\'Ut'd''i'itftt'n~.suciat!p.).Vt'ita)(*du)))!'i)t<'accc8-
sibte.'t ta s"t'i')f<~i' Laissant a t'id'~t'~ietoutcc qui dépasse
ct't)))i)it<)t'isn)t',('t)'<tudi''rat'L'vu!utiund('s(')H('ti()n'destint''es
afai))'vi\'reensc)nb)ettu''e)taittn<)t))ht'e d'individu"L'o R"u-
ver)n'tt)e))t.u)n*f)'')\'an<un'-ystt')))t'dt'p)')m'ti'<n.tenes
~)t)t!)'('t)uditiuttsm''cessitirt.'setsu~is:)utt'sdetuutcas.t)eia-
ti')t)j).~<f.Knt''tudi:)nth'str!)[)sforn)atit)nsdut:()uv('rnc)Ut'nt,
dt'tacruyatK'e.dctaproductiun.itserapossttttedemuutref
qu'ctte'<dt'p<'nd''nt d'un p)n''nf)nt<tt('')))j('tift'tnte-!urat))e.qui
)t\'st autre ')m' t'accruissen~'nt m~tm'dcspttputatitxtsuoitices.
A n)G!:ttrcq)n*h"; ditft''rct)t('.spt)f)-:Mdt')'('uhtttt)n'"«'):)!('se
d''t'(mt'')tt,'jn) voit se diversifier )t'sf')Hc[it)t)s{)titt)iti\'L')))('nt
indistincte- )):tt)si'or(h'eth)~<)U\'e)'tt''tt)<'))t.i'!tt)tnritt''ci\'itu
scdisti))~)fdf')'!tt<t'))-it<'miHt!)irc,put<!)'itt)t<'rit'')'is)<ttiv<'
de t'autt'ritf Hdmmistrntu'p, ctctttu), ~tur nn avenit' prochain,
on pt'ntpn"L'ntirf:) constitution iM'i'))pnd:)t)tt'd'ttt)ei)t)turitf
judicittir)\)):)n-t''))'dr'()e)acn)\!)t)cc.t!t)t-)i!i"u.qt)icvo)t)p
dupnh't)n'isnif'aun)«notht'ismt'.duntonot))t')Ktt)f'Hudcnn-
rntinnalismp, voit se dt't!tc))('rd'eUc'.d:)))<))'() le savoir ttMtiM-
MMtiqae,puis te savoir )'hyittn<'et hiGntôt~'SHV«it'M'~ani<)uc.
La productiu)), de puremeot donestique, devient)!)!tMuf:)cttt-
rièrcet co)muereia)e.j)uis.:tt))es)u'eqtt'eU'' utUiseptussavant
tnent les furees j~hysico-chimiques et les forces or~niques,
elle devient tnachinotactnrierc.) et « vivifa'turierc". Cette
tripte uv'thttion co~sUtue le propres socmL A chacune de ses
ptôses correspom) un sentxneut regnitut. soutien de t'ordre
etnbii. ~ri'tf'eauque) uxc certaiHe hier!)rf))icest admiseet une
fertaine harmonie reatisee. C'est ainsi que les hotnnfes ont
reconnu et respecte d'abord la suprématie (tu t'ëre de fa-
mine. puis la suprématie des Castes mUiUdreset religieuses,
puis fette de t'Htat pe)'sotU)i)iedans te prince et ses fonction-
oairf's, puis cette dejaHiehesse, aboutissant a t'individua*
lisme et aux in''}{atite-;d'tterit.t~p et d'instruction, ttaus une
phase future, il est a espérer qu'its n'admettront ptus d'autre
suprématie que <-ettede ta tihre assoeiatioa, qui réservera le
prestige suprême à t'inte)ti}îence.
Têt est le /w<'MM<:de t'evotutioM quel en est le m<~<')«'* t
tt tt'pstautre que )'ext''nsion des pnptttations soumises à une
A<U.Y'.K'–)~'<t:K)'r)"'<)it;~tH).)i- ~t
.1~ t~ _.1
tuetuediseip)iuf~p.t1..t'at'tttutouu"usY')yous)a('ivi)isa.
tiuu tiaitre et s<'d't't')pp''r, c'est que!t' ootnhre d''s hommes
as'-tn'iet s'est an-ru. suit p!)ri!~)""t''ratit)n sjMntanee,soit pur
<<)t(quetecu)t))))e)'i');tfe. soit p:)t'('u))q')etem))iti)ire. soit p!);'
:w-<tuisith)))jmti''i.)i)-('.soit p.tt'uniut) ft'()fn<tiv("p.;tM.L<
\)ait'spt)u<Hti'msdu~)'rf'ss<)))t)("}t'u))diti()ns"()t'tHO-
ti'jtt''s".Sii)k')t<[Ut's<~ttitï'-n't)t''s )"'tmt)cs))(Mn-)-:)icnt
ctt~' justt'nx'ttt citt-actt'ri~'t's ():tr )'t'<(tutttif):)tt<'('()'uue
ttf< tut'tocs sot'ii)t("t ():))')t's<)m'Ht's un)xnnh)'c p)us ou
moins ~)-.tt)<!d'mdi\'n)uss(')nntt't'<'m)t't'htt~ Ln jK't'iodGdu
~(r'ct'tk'(h')at'ttf',t-<'))t'd("'t<ff/<.(;('Hedt"!t'M/)f'j<,
~'Hcsiiuut)t'sdt"'i~)t:)ti()))s<(U)t:")nicnd)'tm't)tt''n)i('ux!tUX
j)))!)st'snc<'t'i\('.s du)))-<t'))u))):u)):c.)t't'))t"; indiqueraient
'jui)f.)u)''))(')'t'))t')'tt'~)':tis))ttsdt't')th''t't"i.dc<'L'pt'u~)'cs,non
)'a-d.n)St)m't'tm' i)titi:)ti\t' ittdhidut.'Hcmutt~udm'.m.usdaMS
un )))H;)to))tt-m.t'x~')'i(')H-et.su))''ri''u)'i)nx individus ".qui
(-.U':)<'c)'t)i-s(')))f)ttHh'i):d)t<'des))<))))tt<diott~~). )')<).
'unfaith'ditith'm'x. ))t)Ut-bi<'H(:un)))n')tdt'<JScscuui.c-
~)t<'ttcc.s,<ut:)hs)'r<'ft !)c'mi.s'.<'n)t'))t<'tdisti))M"c)'!it)))i'upuse-
tt)t')tt'4t*s<titft')-M))tt"<f<)t'tm"i))'t)t')m')ttt'nicitt-('!t,M.C.ne
)"u))th')):(' nnfsuttitt'!).s du ))u)t)h)'<'b)-)ttd'mx'))f)pu)aUuu
j~'ur ttK'sut't'f mtt-tid sm-i.)) (''est te dc~n; de t'unitication qui
)f!![nn'tt't(.')ttut.<<'st }x'«t'<j)fui«t)e «s()<'iott)''t)'ie)'Htt(muei)c~
th'u<t)!)~U)tu))tt'<))nptc (ht nombre et d''t))))portnncp des
vittc. t'our t't:ttdir uue cotnparitison oK'thudi't'te ptttrMles
dt'ttsit'-s s.tK'iott~iqm's (tt'ditTcrt'ntf~ ttittiuos.HttfsunH
)~()t')-))ttt'ut-)tt'rt<ur!<)'upt)t<)tiuns!)h<:t)im"quid<)t)tte)tteM
'm('h)u<'s<)rt('it'puidts bruts de )'i~rt'~tMttsucia)t';it faut
r:'[)['rt«')n't'tt'u)'s)Mpn)Htiu))Sur))ah)<'i.,qui eu mesurent ta
""tt't'tttr.ttu))). et)):))'consequeut Corpunsattut). situsoubtier
K-r.tj'))t)rt(icc<:stMputatiuusm'LaitK'saux poputations totales
pt~~n~.
A t'.ttdc de ces comparaisons axatytifjues. ~f. < pense que
hts~cinlu~ie conduira entiu a t'art soci:t) ()u'))e pom't'a, non
p:s scutetnent interpréter h' pass' mais critiquer te présent,
't. eu inaugurant tttteactiu;) ratiunuettede t'hmnme sur tes so'
''iftt's, tui penxettre <)e Ct~taborerconscicnxnent au progrès.
–Lid<(t<))ninftHte(h)<h're«'e.stpeut)''tt'cposausstt)f)))t't'))e
'p'e M. C. parait tecruirc!)). !fHi).L'h)<tuencedes(ti<îerentcs
cuuditious donotiques') a été maintes tois étudiée dans les
ouvrages de M. ttatxe!, parexemptu, et te )i\'re de M.Durkheim
sur ta /«t-MMtt</«r<'«f«<<0('M/aprecisetueut pour objet de
t5~ ).'A.t!)-K:t«).tt<!)t~m. (MX-tSX't
.)ir('ssedt'~a~entdHt't'tudcd't<-H')nsttmu!tin'S!)nsd'mte.
F;))'nue <'un''essionitt''vHid))e,n):tis dont te i.cns reste d'ait-
)(')))-sf~tt()ttS('urdims'.ad(M'tri)n'.itret'()unatt<)Ut')n'iti<)ti~'
iudividuettt'est)ar~'uteutfi"titt'<p:'rt'.t<;ti'«t''xt'')i''nredes
muses s')t-i.a)("iet )U)tnt'eth"<:mat'<c<'s('an).e.-tdutV)'utsc
):nt)t')ter,ann)"iusit))'s<'tnt(!t'.a t.) titnit:)ti'))t d'un''monade
.titi~e.tnh;huntait)ep!)r)'eus(-tnbte de tt'utesh's autres nto-
))~d)"t-)tescim~nte)'est!t)ttd'm)'esde')uet'(uespuutan<'it<
t!tf lui natureHe n'exprime rien de ptus. en s~tmu' que te
ni\t':tu)t!'ttitue)')unt')y''))d'unef'<'rta)nt't'riedep)~'t)t')nene'
.)'variat)')us imHvidu''t)es. chacune u-espt'titt'e neu-
tr<)ti~'ut)'nu'')'autn'ctj)euv''ut'~reth'Htrwsd:tn<)aconsi-
.hr.ttion de ta somn)e:<h'i:t. jusque dans te monde p)iysi({up
.'t)t)e('auique.detatiberh'))t'st)u'its'a~itd'orn!tnis)nesptus
,t<'<t'<,(''e'-)-adit'edom'4d'unest)t)Utaueit('ptns)ar!eet
.tune activité p)us forte, cet etonentfoudamematd'th'tero-
.n'ite e(d''Yi))'iati<)))dcvit-)ttptus\-is)))t< <t))np"t'hntcc
p)us(".se))ti''nt',d''tH)rt''f)))usftf))dtK'.Sit~t't<))tcvndt)m'
.)):)<)))('individu t'<'t«'«')trG.f(tt)wi)ttdt'vue''uhjwtif, une
~))iK'ttm''<'ot<tt':n)))t'd!tn';sonn)i)iMHt'xtt't'i<'u)'.d'ttU
j"'itttdc\'n''o))}<'<'ti)'ti'bsu)u,)'af-(ioudc('(')ui)i''uu'st
",ujmll's Ilue ellllli\l~I!lIle, aucuue ut!cl!"sitÙIII!ÍIIUI'ui au-
toujours ()m'<'onHun't< aucunenéc<it'' t<)j.(K[m'tnuu-
t~'t.trt'odsusM'ptibtc d'une prcvi-.ioucertimn'.H't'yudouc
de lois sufiates. L'ttypothc~' tina)t',en t'~et,
)~s. )))'<))))'(.')m'))L
)!:u-)!(t)n('H't.Hen<)UvicrY<'mrt"«)U())'c)(')))yst('rf de ta
t!(-tij)c'' huui:)inc et.xtt setnhh'ttt se retrouvet' et se cumbiner
t.~ mys~'t'es ptatutueieus. )c do~ntGcttt'ftit'nde la ct'me.et
nh'nn; )f ctn'ix extt'a-tpntporc) de Kant. H)y)'«U)''se d'aptes
ne d'un catMch'sme, de )a ruine
h'jtn'ite Ht)t)'t'ttxivct's i-<'t-!)it.
d'un ctut iniUid de perfection el de bunheur po'verti et bou-
(tu nhrc arbitre d après taqueHe
i''v<')'se)):n'te ntimvttis usi)};<<
~'m-ore.t ntth't! etitt d<' guerre et d injustice devrait succéder,
~.m:; uft avenir c<tSM<i<)ue ptus ou ntuios t'')ui~nc. t.' rcstau-
tittinn d'un" rè~ncft es nns",dunn)ond<'de justice et de
[!!dx cette bypnHn'se m'~toesuppose, et que lu t-itute n'avait
rien de nécessaire, et (juc )a restauration nnith* aussi, –
')n')iquc ~t. tteuouvier ne te dise t'as au~si ttettement que te
voudrait la t<~i(tttf – eu reste libre, simptcn)ent possible et
itteutoire. autant que nos actions individueUcs ette-)n<)nes.
Un s'expti<)'te dM:;tm-s <)ue dans tessixietnc et septiOne
parties de t muvre,où il est question des sociétés et de ta
t~' ).tX\t!H'<"(:)<H.<H!)~tK.t(t'tt!)M
H-ititt'<t}:uet't-.t-)'e))~ti.t"e:tt~)di«tu''mc')n<r!tirt')ad')'
trined'):nxmetet()tt!n)<t-(')adiYt'r-.i)c't("<evu)mions
snciatt"ct"t) )t"<tt'jt"t'
des stx-i'-t' étant t'ttc-toOneitttiuiNx'ttt divers)'et \.)riabt<
Tattt~t <-uti"t.)!. veut t't'[itircir)\)mvoque dont pruvien-
))put.s'')<'n lui. toutes )t's';t'iHqm's adressées a S!)doctrifu-
~~M~XH~) pas <)u''tous tes ptn')t"tnt')"
M~p~
titi<'t':)Vt')'t):iti)ttu)etMHC()t)tt-<tH-t'tpt'a(;t):)ttm'')i'c))t-i!)-
tiuuswi:Ue~')H-o(tnit'))a)nt'u'urtt'd('rfWf~'f'<Md(.
('téni('ntst'x~'t-i<<.)Ut)ct)rd()))nc('<tt[)'n''um'~M<r''M'<«-
~<it'rt'dut-tit)iL-:itad)n'ut:ut-t'<)U(.')t'samn'sfitck'm's
!,Hf'i!)UX't"')'U')m<.n-ti!:uH).:)t-t,tc.).pt')n-t'mn!j:it-.t)t''n't"'H-
ett~tue)'L'i)nir-!Ur)'<'c('t!<')tti')"<LaUtt's('t't)ni.istt's<'u)c-
m<'ttt,sp).)n))~tr~:ttttpttt-)m:tmt''t)<)-'[t)<')('f!(t'ur<'t-()f)~-
mif)'est t')nj"m--<n)'<))')}!h-t'msi~.ttttrps.st'utpf'imo)--
dmL essentiel et <xpti('tif. ttth.')-pt't:tti<md'.tiitcm's t'))t)i-
v()))m':<H')I''t's)<'t<'uj<)t)!)<))'tct-tHH)('t'is))n.)<;tion(.)
seutenx'ot )*)')<; t"-i))titiv('t't)))t)sttr~'nt<ce ft')ft)ntn<'cou.
Leste, ou si t'H''est \-r:)m)''nt)"f"
rait ft):)ssut-p) t'!thst))u)'uni\'<'t's!))it'Kt encore t'eccnmuit)m.'
neut-i)sufti<-f!')t'c)K)t't'enti<')'t')tn'<'t<'t)t)t))ted'.tm'mt))hctt()-
tneHCsocm)t'napp!)r''f'<'e')i<t.')-f'nt.out)ie))tt'<'st-i)p:)St)))
etcnx'nt ou (me cm)()iti<)nt<)uj')U)<.(''t''t)H!'h«ri<ti<'navec
d'.)ut)'es,in-<-dnfti)))e-)hnd!)t~)a))n)dncHou de toute rea
Htt'h~h)ri'ptect~)cretc'h-it-)t<'t)r'')'')m)b)c)n''swi:t)n'it
qu'mt<i.attt-etacud'mt)tt'<)h)).-)neps\(-h'))uiti<)'H?.Asi}!n:th')'.
ditnstadct-nif'rt;etudedm'"tut)M,"u)'istt)r~)t'L'ttmeetbk'))
{Mitd<'sdin't-i;c-;t))')t'iMn't:ttiv('<:t)'t-)))tti«nf:'tni)i:'te.
t)i)t)ss:);'t-f!)<'<M.s)m-i))-oittKi.st''sm-)i)m'essit''dechs-
sittert-tdt'tahHt'et) seri<-s«)t's divers facteurs suciitux.quf
t-eux-ci,d:tith'urs,r<-stt'ut i))d.')K-t)d:)Uts ou biet) dérivent de
t'ecuttotniquc et i) proposecet ot-drc fHct''urs économiques,
mititaires. puitti~ues. rcti~ieux, urtistiffues. sci"t)ti<iques.
H. P.
)''s<:itY'at''t:tt)('t"<'t<'('.mt.tm~mtm):<'tt)')HitMittutUt''tttnan.-
-;[)hf.M.X'-u<)))")d''ttt'!tt(t-<'s<t)))-utt<)))tn'<'ttU:tt)t.s<)itt'tt
di<).-)))it))tUt)t)''<~):)))ttttO))t)m'd''t))A))i<t)u<<'))t)'<))-:tiu<((:t'mh'.
M.tr\.)tu''kt'T:t)t)<Hm)t'd'n).)h'u~)'t')h'.t't' C.U.
)\'ntdu))t)''t'!t)tXt)'t;)n')<')H's'M-iu)o~t)tt<'s)'m)ih''t)U)tt'nt'n)!untm',
)tt'!U)ttt'~m''tt''faitsuciMtf'!t)dm))t')tt.d<jni'it)it.)'))U)')!t'-w)u)u!:i<
't'.}u').t);tt'))tt)''))t'u))!)))i<.tn~i)-)as''u'.a)iunp<)m').))'c)tf-
t"iti' Cchit. '< )<' d'-voif-ffun' socia)
t t'M~<'<t<<CM<, ~Ac~wM~
.«~A<M'tt'th't')n<h)''u')uir!u)t)th')'ittdh'idu!~itaut)'')nfttt
'-n~)'<tu')t~~Uh'st~.uLCt-Ht;d.~tntiu)))-~))M'Heho))t-t.-)t''
';))''tH)U.s!nuu-t)uu'-n)'?)ned'<n)t'f du fait s~'i.djx'mtjttcttuus ne
-)\t))t)t a t'admcOt' M n'ttoixs Muis ce
)'its disjnK~ 'o'ds. «ui nous
'-st oittsi d"t))! )t <'<t )Kt'= )t- f.tit s<)< iu) f')))d:tm'')().)t, <<) sf'uh'-
ttt'')ttiat:;u't~))''ti')U''dc-:r!)i)<st'ci:tt)x<jU<')!.f[M'i)s~t'it't)t,csseu-
ti'')suu'i<-rundai)'"i.).c:tt:tt'('))'it))p')!ttifMth's)}!n'*ath))tt')un
)"-ut )'t'u))t).titr'- t'-s ))))~)Mtn'-))''< SK'i'd~i'jucs, mftis et* n'est pas
nn''s')ht'd''))h~n')nt'-n)'-t\-p('c')tmm'):t'nu)''uu)as<'))t.!)tio)).Hy
it ta d''ux ')))')iuu:! f)n'i) t.n~ -'uit!))<-u«'))t''t)t dt!<(i))~t«'t' ):) n'chcrch'*
dn fait'):))''l)'tu'')tt;tit.t ta d'-tittittuo'tu fait «fiât ('M ~nOat.
f)'-jttu'd.)tt<)-t'Ht-im:tty-))-('t)ihtd''vu<'t))<')')'hu)n)!i'j)tett't'stp!)~
.t~xs<u' d)) p')i)tt '.)f vu'; E. )).
p)ty<iu)u~i'{u<
t.'))t~s)ted'u))e)Kt'thod"t)i!!tut'iqm'.Mai!i<;unctuU'ienp~t))at)U'<
)M<'t)ttill'il n'y il jM"<tc t)'f<i<'<)ui<t)<')t<tt''))t's
<))' ph'!))0))x''oF'!.Mciaut.·
t'Kt'qu'')as')ck'tt'')t'stpa-)ssnn))at)tt')'(Ut)orna)U!.)m',ih)'suit
j'a-=qu'<'i)<'soit ))(')'.< (k't.) t)ah))-).!tf-«mj)h"!it('-d<tp))'no)n'ne<t
<i'("riqn''snfsut'()tp!t'.att<htmtttr<)(t'u)'irt:(tiu))atite,nn~m'par-
ti.-t))-.
\)).).A.
– La patoologria e le eoionze moraU<f< t~j/fAo/f~ff
/m xt't'~tcc~ M<w</M..Hh'. im). d.<'<;(.)).. s<-{)).)X9S. p. M))<-
H:t:
)).-vc)upp<'ridw)!)uss)tcctttft<')))''t)[t'x)'<)<ct')):tr<~).i.t)tp<'))idu)tt.
i'.mit.-)'- ci-Jt'~us.).!t)'t-itt';i)Mt)(-t-i(is.)n)~Mt't!tqu''Ht'ut)cak't)d
')'!))'<')' a jx'u pt't's t':n[k-:t)ctm'ntt< scu'tt':<'s -ioct:tt''set h' sciL'ncct-
t).)tm';Ut'c'st()H('tcs)th~Bt')'t'tn"ts<tf-i:tnxfon)t'')ttd<'ss\'nt))fs<
~.m<tt'.<~m'))Gstfs')tU)tit't'()u)t))n')"-mt')<t'))'<'(t~dtti~'sdt'
.'i'th'sdt-s~)t'-n)(')tts.f))t''t)t.'ut)')t)t')H'it'titt))!<M':i))t''(t('))n''vuirt't'
tjui))cn)'t':t.s'')M(sst'rt)a))StU)<'s)'ch')'t))~)nt't)U!t))dt'.<nt<t''St:i)-
tt'))''tMtn'<'si;ontd')t))t~("A)'i!um)'ntvnti)t)('ttt)'icnttt'd)ocre;ci))'
«uns ne cototius~tx j'os J<' sy))U«'"i''(t:t)~ ht t)f[h))-<- (joi, MJcs ttt'pK~
dh''M. n'* perçut*' t<' nx'')n)' cit)!u'('t't'. t~t eanchtsiox df r:mteu)'.
'st ()uc t'' <tet<tittt''s fmts~)'i!Htx n'<'<tj'as M)))it'.))'t<'o)hti-m'~n''
"tt)n'j'<;ut')U<)'t'atta''h''r,t)'t)))<'fu:u)h''«'j'h)St)U)nuin'uintaim'.
:tU):m~ttth's ))syc)n))u}:iq)t<'s t)' ){'~n''t:tux()uiysmtt en.jf'tt. t.'iutt'-n~
t)''t'!ttHt')ct*')td'')))0))t)<')'u)t)'fuisd''pt(t-;)ju''ttt)n'(n'utt't''duit'f')u
~'ciuh)j:n' :'t io j'sych'~ottt)' ifutitidm'))'' <)t)'<'nhussaot <)~ cM<?)f
.t't:tif dfs faits, c'Ctt-M-Jtn' ce <{u'i)st'ot <)<'!:p~c))t<{m'.)wu)' s'<'o
t'-tti)'!'t dt' {'tu'- OUtUtthtSV!ti!t)''Sf!t''t)'t)it~<. – Cf. du t))'tM'' !))tt<'U)'
utt axtrf attic)' de ):( m~nt<' revue )jnit)et t898j. /.Mt'<'ntc w)'
'<'<!('t(;t~e~n)'(C/<c~jt«f<'«/f. E. t).
t;ont'tdt't\t'nvt('t~').t'-t)'')tt'<'))mttivct['c)t'h-)(t.st'it'ncftn'ttM;t-
th. t'.I'.
)t~n'<i-n)-(n~tt)))'<t'-i't'ttH!-)-ih')''t't'n)~.t':n)t<'<n
S.!))-r'['ht'<u['i~i)tM)r't;!hh<.t\)"Ur~'t)'t~).")')''
p~'<'i<)ttnttth'jn'i''s);)p(u')t-t''t))i''t"iti'<'t<t''i!t'i''m't-
!)t[)'t'i)tt't''Yn''tt'tt'titLtf~):))!.t)m~d'htt)t't)'t'<'ttt";
~[.r~p~-t'ttt.('-).<)H'tti~d~.jtt'"t~u~!)..i''nL).'hi'-t.rL'nY.Htdi~.
d!)-uu.t)u''tt'j)~r~u)i.'):ffi;ti.sit'tt)'tt-uH'j')!'[~rt.'ti'')'")"t't
\')':ttY''tiir..u)t)tu~u!)ii!i''tt~t)'')').'tn''nahtt't"c~tf-
tH)io!<i;t. Tuutj'tx''u"nh''))rt)''t~tmiu'( indivhtu~'tj'iu
t'~j~t;~t\t)tr!dntt~'t)<~ .m'tn:ti-.(t)ti~-t')tf.m'-)')~i~
~!tit'ttj!tn~ :)\fm'!«p!'tm;tit.m)~)!tu'-tt''t't:[)'h'.
'iuctt't'Y''n.Nt)'-it.\)~tc.itiyt'.titi'-tt.i)'/ ~up('(')a"t.'nu[ui;it.
)t';NU<j'!nt.t'ti)t)-)"ir"ju"j'f'h'))ti)i<n);tnt')U~t'if'ti'c-
m''ntd'utt~ti'it--)~~t!n~ir)s~ni~'))m.t)!'uh'M'h')tc~)it
))).)t!r" t)'')"')i'tu!t'ti))'-i.)~mt.t'-trt)u~tui<htt)'!t~ttc)atut'('t't
!;t<'['htad')t''nt'U)'u')r'sttm'')!i-t')i«'y''tita)')t-
Ku<i't)tn)''t)!t'n)j~n~)t"i'-tth~)t''))t-:) ''<;ff')itt~va~'ut'dn
t'tt)'!i.;)t.t~2'))~itt''tj!)::t.'t)ttti''it'-f.tit't.tt)*t't~)')"')~
~t)ii'<)Htd'(~tmih~.)'arh'tt'h~)"H'i))'i')tr<.)n~tit'ati'n,t)):ti-
m4)''nn:tt)))'r<!t)))tr-'ci''n"d!t)t~)t'rtl't~n.)''mic)'i
)')'~ht'«n"-n')) f.n-.mt.)U't)tt..mu'')~St')tt.mtj!.<-de'tifticuth'~
-j..ri.d. )'.('.
t(<'rUt'i)t)'th't.)~t)~i.).)))-.<)it)Y~rtt(''<j''vn'().t.'m<ti\idu,t.-
m.Ht)'c et )t')))iti''n;)).).)t!))~iMi<)H'U:t'x'iu)t'it':)H. L'unit'
d~iu)~i;)V.<tt''t-t't)n<)(:d~)it''V.Ltf'ti')'ti' \'L Ut
t':n))iit'Yn-).hit)t~tt.ti-<)b'St-t) Frimer: VtH.L'u~oci'
!u.)'J"ux<i')'Ap)"["h'tth't't))~(ni~)'~ct.'nh'
t':)ntt'!t)'f''t~t"t~)'"t(t'<i't'{j)~f'ts\tt''n):<tit{)temfut
<hm~ la /.M~ '~< /<<; '') )'.t~M).h<f<h<'<'c/t< (.m.dys~ ici Fan
.t.'ti)i'-)'.t.)tf'.Mt-i;f:i.
t.c rythme d''s id'c~ dan;. rimm;mi[6 !)':dfecte pas )a fortne tt'u))
ectcte, mais celle d'une ~pirate. Les quextiou~posées par ic~ .mcieM~
t'iU.Wt<.–.(H)XC.M'T)');«<:)':SK)H).t; t)M
-.t'utt'<)!))r<t).ttt))~'tt)st('ttut(!.tn))Uf.)'t"t))~r[''su)"t)''r<)'
t.'r-t.)(~).S.(.t.~t~H)~t<ttt).'t)t''V)t''tr..j[t)i))''it!tt'()m<-
)'h'U")U~(t~tth'srt~))-')''t'i))~ivbtn.t\t-t(ts'bi.-h~.
~n)t<)''tt)ut)~utt.)..iti.m)..j.).h'fp~ittt.i).;<)n~)ut
'jm't~us'mnt"n~))t.'tftt"ft~'f;«'<-<ri.)).)tttt)').')))n)n'ttt!t''s
/i<ttt'f<«jt''<tr).(h"t)t[)~-t<itH'.r)tt),.nt~-<'«.<<f!')<.<f.<.).t'.tit'"r);f)
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)U<'r'-th"-ti.)tt't'.tt)!HtMr:t))'i')'<t)~[ '<')!ni-a)i-
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!H'h.[))L!< t'~vni.n. -t<-t;t)i:~i"n')''tt)~')H)htt)t't):t<'t~'<
'jtH'i-'f(Utt~)"(ji)~')t't''<)'H(~)t's-'n'irt)'tittrt;tir('):t~)v.
t~it')t't't)')"t)sdu'u[~r'tcm")u<t:ut.t.tt't-ti~i')tt;
;jtr-f<-ft't.'«t.'t~tt';)'-))~tf~ur).!).);))'[.it..([.').)V..tun)r<)).
t~<t'-L)t'M;mi-Ht)h<tnt);t\;))i~th'i;~tt\~t)n')tn'))):i')t".b')t-
J:u)c')u"r.))c'tj)i'~(t<t<nt'tt-i.tt~-ttti'~n)a~r<'pti<tf)t't)a
-id:mt<P:n)<.h.t~n~~ruUj")nx)~h'ti.~t-(.m\h)s)itutin))'i
u~ttn:t~t~)))i'd')'~i.))i~n'-j'h'i.)))' tnnti)<t'iu-i-t''t'
'm)'.t)'t~i)r.)in~tti'inr..r!ihh~t'u)t.'tr)i't~'i~r.LUh)u--ut)'n
;t-)"t'-t!ciu)"t;i'ju' ]))'.
~i<)('ju-)iti''t't\i"i))''m')h<'t).'ah~tt':ti(f'-t)t(')«~«)u'-<t<'
)'tt"uti''j~tiH')u<-«)U)"d~x''rt\))(<'nf;)i)o):tnt'tht'd'n't.dc
.)''tu)~t')t's-.ri)-n<'t's "ni.'))* ).)U)<')u))'')':t)a)t)!!)-<"<'<tnutt't''))u'
-i):t-<-i"))!;f'j)r"t:r().'['()t'ftiY''(t)'-nt)':tt';tb''tr;t)'ti'))t<)t'.<!)b!)t'!h'tiut)'!
-~i''tttit)')U<'s,;n)m'~tt'')t'!fi())t)~<.titti\))L':tH~r.i)i)Cit''<')t:)itMA«'n-
'tition-i anxtjucHcs xc'sitti~'xt j'as )'-< Mt~ttHcUuost~' t'ccuttumi''
.'Ohoduxc. R.D<
Mr\s')'t:t<XKh'–P!yohologyandhistopy /tu~<t'
tu<f<').Psy~-tt'Ht'Yk'w.~8~. V). t.
H. – <;fV)t.t:!AT<OX
KT t'HO(iBÉS
AXU-Y-.):–)\tt.)StTt').'<KTWt't'!Hf:< )t!t)
s()'-t!dt'rt's'!(')nid('bi<'n!tm)cdi(!t'rt'uci:tnun\'<ntithtp.Tout
ce qttox peut ()))-s;))!sd()t)t('.c')'st que tfsitssociittionsi) il
(uttdcnn'))tpt-uj<)-cntt')tU)i<)t<)nit)u<'t-tiustt)n'ti[~-ndt'a~-
ditsuud)'<tU))t-')<i[d':t-<<)<'i:dt()<~nmn-t'H<'s,[)h)sr!)ti()ttf)ct)c-:
et\'t))~))t:nn'
t':t-p)us')m')t'sh'!tusf()['n)!ttiu)).<tM'i:dt.'s.)e)r.(\'ni[i)it('t-
t('ctm.'t)K')'(")n))!L'i't!<t))ttou)-a une fti-t!.o)ntmn )'('(')!<-
L')t-s')u'')':(t'ttstL'(-x))t-t)))''uut'i't''<'<n)uns<'t)titn<'ut<\n))))n[))
a t<mii)<)t"tU)t)''s,)-t p:))-ta h'm'fait prends con~'k'tn't'dt'
t!)<()<mm)t)!)ttt)'nu''t))'' dcccttt- ))t:mifrc(h'p('))~)-<H)d''
st'))ti)',H))'f:)itt)!U).< m~'n't)V)'t'')tti)'t"t<' csst'))tic))c)m'))t
<u'i~m!))'iudi\[dtn'Ht'.<-()nt')'t-tt':i)dt)t))n' a)t~t-)tt')-<)tutx'
t-n\'<')<)pp<'ttt)hjm'([ui h- rend yiv:)nt:f:tnt<' dt' <)ttoi.))if
(''mj)t'ut)t)))''un'))n'n('m.('.t)-G.)))iu<<'crt(". il ne fait )):)'-
'f'uvr<d':u'):sNa)-f(.-)'<;f))tint<');)ni))))n'.t.('s).f!)(<)')''sh'
))ritn-i)x's nn'-ttx'sdt' .\). i.<jn'i) dit~'rt'ncic ;)!ut(~ <ju'i)
n'assi)ni)~.)))'t)t')))t'it'iu))~-)-:difaK')':t)ncus ))));('mt
id''a! c')n)mtmuudt'M'nt)ttt(')tts:dtt-uistt'-ft!tt'm-)':)ux.
it tumsdoutx'j~r ):()))')<)('ttnscttthm'ntjdus net d<'nfttn-
))''r~')))):)!i))-. il mm.. f!)itj))t)s<))t-cn'm..d''n'tt)-t'it)di\i-
dnn))))'.j<h)sh'n'du(-)!)'i't-ti))))~))(''tt':d')<'s:)ttmt:n))tt'.
t.:)''<))ttmi-.s;m<'t')'))ti)))t'~stri''n)!)"ittst)t)'n)t< dissoh)-
tn)n".t)y:)di''s'dutim).t-a-()i)'t'j):t'-<t'dc)')h-rt)!j:fuc
at'h')t)h)~(-t)'-))tr--qu'')'h<'tt't'<~t''t)'-t.'('<d'tt'<'h')j))))n'd('n'-
t)H'htmi')it''tt('.)u)~t)!))')t'()itt')-);tds':)bs<)ri)'')'tdi.<j):))':dtdan'.
t'id'')tti<)m\<(t'i)!t<'<)nt):)i«!t))f'f'tout':))-.it))H.)tiu))''t un''
~'))t'')-:))i.<:)t!))!)('.n)tit)u'')i<))';est tout i)')trc'-h'~c'p'mt-t!)H)
t)tt'ttm'c')))fu-.itm<))))i))f'c'))))i)i))!)i'tn)))t'r:)hi~ut'd(".d')tt)))''t'.<
parth')t)it''r'"=. )';))''doit ):ds-)-su))si-.tf't')tf:).)')tt))'d''t':mt)'
t'itit't'(;)st.t))')d'')t'si)td)y)dt)t')s.t.'))<')t'!td('n.s<)u:)):))'c''
t[m')''p:tt'ticu)i('t'<:))))Stsh'.t'tt(u't'th'<'xpritt)'')ct':)))p<)t'tdt"~
''Sjn't'c'tntr<'ttrt'.d<'spr't)'t'i'tcs)))mj)m's:n)xquati[t".i(tun
ti')u<'St't<'())nn)U))t")tGnn''n)<')'~)m'!fs:)Y:Httt<')td!'))'u))i
ti'(tt<ttid<ph('t)')tnt't)'i,(-<'H<'uf)iti'tti')ttn''confond <'«'«<)<'
~'e')))'(;)!pxp!i'[np:c)!t'n'est ()ue la (tcct)t)\)-tf d<')!)/f« dt'
('[n)S~.<t'-[-:t-dh'<'d('htn):)ni't'<'<tuntc[h"<)Htc')[t-Htn<'es.
t.sp)'it.)m)t):dn['st.i;!di-f!tit)t)rs<)n'Hpt)s<<dt',p()ttt'!)itt-.idirc.
ia)'<t'[t~.)H('u'n)uted'pf)t'n'u))<')x's. il comprend te.-t'h')St's
fju;H)di)s!)iL <)'')<') <«t". viennent et cutnnx'tttcHcs.fu))):
Jt')r<.qu'i)))f*nt)<tc.t!pmp')t)Md('('))()t))')S(')'t't)t'src';())))pnsc)'.
Gnut))nttttt'src('rt''Pt'.C'cs)dit't'quc!:tpG)Me)'co))::M'vc:)UX
ctmscs tcurdh'ct'sitt' tuut en ti) )')''dt)i:)nt, en i-c )'pp)'<-sentiu)t
\\A).Y.<t: –t:)v)).)'-u')"'<)")'t')«)):)~ )7<
)t't))'d''vpuit't't)<'tu'p<'wtt)<')i<))t.<[(t't"=W))ti<'))<?mGt)tdo))<'<'()t*
<'<t:H')t'~tt')t~Ytt;.S!t))..<)n)ptct'qu\')th(in~tM<'l'!tctt'dc
jK'[)'«'r)"'tt't)t'")'it)sti))t'Ht'')\'it!'t: et qm't'opt't'atim) )):))'
)!n)U).'))t.')'si)t)i~'t".(p(im)!mt(')tt')n~uH't)t)!h'tGditït'r)'m'it'
t)':tVt'<'t<nts)''s!t<'tt":i(nt('ri''m's)H)sitt)i)!)i)'('s.tt.)<ts).tcotm;(is
'ttK'(')'t'V())«t)'t()M<'t<);)))if<t<'fH))t)«it)sin)tit))t ()))<'ht dMsu-
)))))'))).
C'est qu'en sotntnf)\))nti)t)tf't):tdi«<'h)U<t<'tt)~))n't't
)'!tt))r't))!<r<)uent.))H)ins ([< h)istti'.tit)f')("<,dt";tcnd!)nc<'s
~))))nwc'=,'('t('d('sot)n())(io))~"n<)<t''))'f:H)''t's['(H')'t''[;t)h'<'K
~t')!t))('n't'tt');'<'i't)'s)')))St)<iu)t't)<'tt)))tcs)''s
r))'~f's)n)m!mn"=,t'tt')))t:tt')i~))i''t't)t"<('h''))n)))''))t'~s')('i:tttx,
~u)))H'<!('):) c<'mt~i!tm't')('<t''n\<tt'f)ti<'s))rh))')t'-
~i:))<'<H)!t)'<}m'))tt'ottttt)c m)t'\th)))'')n')iss<))u)))''('t('ontitm.
).pf'h<t'vabipttd)')'f'onh'ti'))''at'h~t'n~nf't(!tf)'?''f":p)'f-
ntictT')<'ft):)t't'))''s. j'r<<;))'<')h'v:)')t) confus (')ttttv'Ut't'n
t-):nt'<'ti)U()i--tit)''(.t'(i( il :t ainsi tonte Ut)t'j))n)SM de )'<'p'r:)-
ti")tit)tt')tf'tu''Ut'qui aboutit a )a<-ot)stituti"nd<' notions
j'~))icu)ic''t'<'t)~t<t'o~n''s.)in':a)o)s'')))nn)''nf'{'nncpha~'
)'<))('f'hit'u)'('sj)t'it:))):'t;tn'tiuit)<'sot)titm':)(!)t')if'tt)if''Gs.
('tf("<t'i<ttt''t)<jMr:)'.siti)i)a))<)))')).<'i)')))<t)''m'h'id''fM'-
)))!)tion,i't)'uttitt''i))iti:d<<('tt)''tt)'')tt.:)u)ien')')t'<'t'Hp-('i
)<'<'t!)it!t)tdt'')'utqnp')))fusi<)t).r)H)ih'(h)('ott<'t'))t''stph'i))'
)tt''t)t'))'ti)ti('t't )<)'<=<t'ont d'')n')t)t'):tSt)t'i't')pn'su)h'
~riodc (tf diffo'cm'tittiott t)):tt''ri<'))<'"(t ittstitx'th't' tjt)i
;t!t't(ttit:'tdes <tis)i)t<'t)')))s:t))so))t''s('))')L:idt'c))~['cvi''nt sans
'hnttt'i'tum'!t'.si)ni)ati()nr')h''t*hi't':)(i<)nm'i)t'et juste, qui
n'~Xt'tt)tnik";ditTt''rctt<'("t)i)'))ibt't't)'t)('('"ot'd<)))))t'st'n-
)''t))f.)t)"in.df t).s)tj))))'i)n''r. )ii''<) ))' n''t'<i)i)'<'tnf'nt
dt')rnit ni c"nft')n)nd'srit't~f-:()). j'c~t)<tti<')t\ihti~ <)))';
)'')tttt't)))t'')'i''))r'd'')')))e))'-)'('stfttti)tu{n'<td<h)''itc
')t')ni'.t-< !).t'.
n:u)scc-dt.-u\<tu))~. tH-.t-")tti)t-.)tmh)<-<,fautent-MMic de
)-ut«t)'n" [<<<M'aux qui ''a)wt<)isput)'<o)ution
s.i!m')'n-d'-pni-)'t('ttt)'(<<ptust\'<-ut<t:'t'sth()'r'')nif't'e
tt-utitti~ dm-i:m" qui :tit')'f:'it<t.t'pretnicrt-p:)t'ti'-tt-ftitc
d.-t!<))OptUit)iun,dt-t'Mt<'conm))iqup.d'-t'u)-t!at)isatiunpotitiquc
<-tMcht-' ta -o-ondc est coM~tOt'-c& i'H~tis'' ''t )t'cuic. Cou.
chtsionint<rMsnnt('sMrh'M))))uttstt<'):)ft'tt-)t!<<'ctttch:.cic)tM.
)':t)Hu~tc,)!tt''titti"))tt':t(-tt'-mua!i«)nnhu)t'k'tit)'('ns''ecotnn)e
<'nAt)jje(t't't't'.ntUt):c)'~th'ft~"nnh'('n)''t'!t))')<'tuunt'indif-
fcr<'ncetnutut-t)<t.)u)<-)tt'f)'ti')'t''aiti-.ihrttptU)~<)u'i)<.<)ns(.ttt'
''ntt'et'intd)in't)'t'n~<-<'t)''st-)as-.f'<t"'pu)!ti)-cs,itinsi<)uc)'
<Mract~~t':ttticuncrs~-c~)h-tuptun'.t.'<'x)')i''nti'!))<tntt )'<')'
F.Sx.K'
~Mti.(u".
Ce tin'c. 'tni nf m:tt)r))t~)':)s .!<' vf-nc. est <ti)-it: Mntrc Rcnx <))ti
ct-oient qn'' !<-p'-om-~sttc la chi)i'=ation c- "ne cons~qut'ttcc <)f<
lois (tt'h-h-ticnnatm-<-))'t'[')"tU<aux socit't('-s.
L'nuh'ur'tt'-n'(nc''t'inL-t-rtttUttt-<t<:stuisinvoqut'-<ipa)'tMn:ttura-
n~ /~<wt'<(/.<M' n. <«'f<t~ et montre
tistcs (dt. '?'
'tt'ct': ~ui d.nvcnt '~t-Mmu-i-
qu'ik ne a'cntcn't'-ut mtiK-tn~ttt sut )';s
bufsàh ~tct-tion. Mh) v:)t-i:~im).u h tt-an~nission hcr'~imit-
Dan~tes chapitres Htiv:<nts («t. ~MM~wM ftM//t<'o/M~~<?'
Ne/t'ftt'oMM<-M/ dist-ut:n~ les e<'t)s<quenccs que les an'h''«po-
les sup''nt't-i)t'
socintesue~ "<)t )it-c.; <)'' 's tf'i- il prouve que
sucia)es oc con-c'.poodent t'.XM de.<types Motogiques dét:nis. q)t<' la
dUTerenced<-s situations is'u-iah's. luin d'être cttgot<d)'o par dM
distindion~ ph\-iqu< t''s ft-rnit bit')) p)u). n.t''t, que )<*jet) dcR
toisnatH)'f))t's)oiHd'ini;t!)t)<'r'')uiouM't<'ha';ut)â!tt)aif-p)H'-)'~
)&iMc[x't-dtc ou d('-i;r:td'-t-)'icn d'"< c:)p:tcit< qu')))h), c'- )):)hun-
)isme, s'il etui) vcfi~ dc~t-ait cottduit- &un tw's!i)M)s)))ct.)dic«).
Kt8TL\KO\\ SK!.
GeseHsohaft und Einzelwesen
~w~~ A't'<t<'M«'</<o;Mf/,f
fM<<n-<Wtfft/<7t' s~t~tp
p. Herfh), Lieb)n:)HH.
trim's "u uroupcments nouveaux, soit dans ht tit'ittetse ''t ):) déca-
dence d<'s pat fis vaincus; quant a fit persecution, ctte constitue la
forme tu ptns nette de la « criiie » sociale. – L'auteur termine par un
afx'r'n historique d'' t'cvotutittn ttumainc, des périodes on doninent
h' t'.x-tesinduidua)it's Acett's ou h' premier r'tkfe vient &lu cuHm'.
th))' et il conclut A ht valeur sociale et &t'educat'itite de la fouh'.
t'ne secon'tf partie de sm'iutnHit' apjtti'jUHC,et of) tes n~toes i<t's
~nt t<; {'tus SttUYOttreptist's. tt:ntc t" 'tu <'at'acttrGdu tnidt de
) )t:t)ie 2' du t'ht'isttHuistnc et des furmatidos tti.turicu-sot'iatps 3" des
tUunanM a (fab)es t't )!H''ndt's poputuircs de t'ttatif ooit'idiMtittf);
4 ttt's 'pid<!)ni<'s psyc)t")uf:i<)tn'<.
!)<' [<tut'e f:n;i)c, mnis d'ori~inatit)'' as<f?. t't'stn'intc, ce ti~te
tt't'ctairctt (tut'n' lit nitturf dt's rapp~rt~ ''ott' t'Amc ittdtvntu<'))e et
) .'ttx'' <'o)t)'<'tiy<'p:tt' s'*s r~uttutx, il scMthk'rait montt'cr. contre !<
propres dires df )':n)t<'tt)',<)t<pla p.<y<-ho!o~i<' co))<'ttivpne fuit que
tcprnduiro en grand tes pMnom''u'*s <'t tes lois de ta p~ychotogit'
iodhidm'Hf. tt'auttL' part, M. t<. ne manque pa:i, t'* ras ('h~ant, du
tai~sf'r dupt')' par des )t)('')aphM<'snu des attstractions <)U't"it-ce.
par <'xc<np)<que la jeutx'ssc ou ):t vietUess~ dt's foules, s'il faut
r<ut)ttattt'e que rien n'y correspond au phenomentc de lu mort, et
ta f~ute est suscepUbte, gr.<: a des inftuence.s extpm''s d' at-
ttactioH et d<' su~cstion de se t'enouvetcr i))d(''t!)tinx'm?
!). P.
tt'. –t.'fKSTtON'-ntVKttSKi!
L'!n){t-urn.hnt-nMi<m~ift.staHMsn.)nn!dc~rh<~dit.n);
h. vie s'jciatu )" )ctn.it<' t.) te dntt.rit. ta m-ujtt-t~t~;:t' ).. nou.
'')it'.
t." ")ti<mc <-n s<ait une'mfmif~tation o))«nn:t)c
';u.h~ comnest<cc<'<~Mf-'.)c t.xpii~ah~
t'h.t-m.' .'t)~)utismei.acerJotat~ tantût
~mm< tm-t'tt-HitMdf )'h'r~diH;, mt)t<-ri(-))<. «u i.t.~dp. – t) ,hn!ie
ttsuito, danst'tat dechoses ac[u"), ks institution!; ~titbtit.s p,,
reacc cuatK le tt.~otismc. )Miis les m~tuMons am.a-
.tut p<nn-raicMt
-m~t~d~nw~it~~M~~smxn~n~~naMu~ le
r~i'nc de )'nv:tnce)u<'nt& t'aneicnneM subsUtne pattout au
dMix.
"t t'etitbtJMfm'-ntd'<;u!c.! prof~ssiuHMtttcsavec concours à
t't-ntt-6e
)")Ut'toutes tt~fooctio))!
DEtJXtËMESEC'nOK
REUGtEUSE
SOCIOLOGIE
~'<trMM.U.)h))tKTetM.M~!i)
t. – TKAtTESCESËHAUX.MÈTUOCK
':('tui-cin'e8tpast'essen<'cde)art')i~ion,maisitenest
tf'xpt'pssion nécessaire; itti);ure ta tuiseenretatioHde
) h"mm'' avec t)k'u. li compt't'nd deux grandes sortes de
tites. H y H d'abord la prière. qui est un ctément de toute
tt'tinion et qui est d'un UMtj;cuniversel. Elle n'a aucun rifp-
j'ort avec t'ineiUttation manque; mais elle est, des le début.
um' conversation spirituelle avec !<ien. Un spcoud lieu. il
!t tuttt-itmtect tesno-iticc. Toutereti~ino exprime le besoin
.j)))~t't'ssent t'hutume d'' su donner, lui on ses biens, a la
~th'iuitt'.
M:nH):) t-pUsi"!)ne se traduit p:)s seutcment au <h'))ors par
.!< actes individm'ts. Ht)c a un « t'Aie soda! et s'exprime
)' n' t))t organe socia). Autour de lit toi rcHifieuse, de ht rt't'cta'
)h.)).s'est constituée t'assueiatiou d''s <i(tè)es.t'Hgtise, tnani-
<tation sociatede):) rcti~itH)u. t/Ks)is<'n'st pas, d':)i))curs.
mx- institution artiOcieue; elle émane de )'eu)otiutt religieuse,
.)') besoin que ron a de ta eotmnuniquer, de s'unir u d'autres
h-'uHncs pour ta renforcer et t'épurer. De ta resutte ta ten-
.httK-t' desre)if{'s a étendre leur cercle d'action (p. !7: t)
~-t vrai que t'K);)isepeut dégénérer et devenir un instrument
') "ppression pour les consciences. Mais ators c'est qu'ette
( essed'être elle-même.
Ces ctemcnts vitaux de ta religion une fois détermines, on
(!fut atteindn' l'essence même et l'origine de ta reti~iot). It
~ufttt de les analyser ann do trouver <'c qui leur donne nais-
'oce. lit notion d'ou dérivent toutes les croyances et tous les
tt's. Suh-aut notre auteur, c'est ta notion d un pouvoir sur-
hmn.tin et de sa parenté avec nous (p. MM).De ta vient le
)"'soin d'adorer et le besoin de s'unir; le premier produit le
utte et du secoud résulte t't~Hse. U'autre part, !'ori~iue de
n'H~ion peut être déterminée en dettors de toute recherche
H)'-t:tp))ysiqueet par ta seule anatysc psychoiugique. Ette
'h'dvc de la nature même de l'esprit humain; elle est au
"'otre de notre vie spirituelle sans tenir specintement à teite
telle facutte fch. x). Et comme cette organisation psy-
''i'jue lui parait être essentielle it t'homme. ~t. T. conclut
'jne ia religion devra nécessairement durer autant que t'tm.
)n:mite.
<st un fait remarquable qu'un ouvrage, sous ta trame
't"f)uct on sent toute une science dont l'auteur ne veut pas
f~'re montre, alppellocependant des réserves et des critiques
')'' première importance. C'est que, )natf;rc des tendances
j;)~ t.KK!
ne saurait trop .-e.na.-quc. te point do vue
,-atioMtistcs qu'on
ta .uett.od. n'ont rien de propren.ent sc.t..
oudamentat .t
les p~u.
t"~
\t T. croit, pour "si dire. <' <<' les
et les intérêts de ta reti~ co.nc.dent (p. v..
vr-.ie science
et e..te.d. au f..h.c ..v.-e <c.
il du di~ i..t.n~ se.nbh-
no .e.su.-tut.t quand parte <-
une tt. .truite d-u..e
..useiK. pt..t.~ph
s~-nd t.t-t.. sa .~tt.o.te ded~.o.,st.-at.ou
(les s 'et~s. Kn Il'UUII-
~p~ctush.enK.ntdia.~t.queeU~ d.
hJ pas, aus.. (u,,d p.~i)de. des sc.c.s
procède
d'iquLent d.ti.i. et )nst..i.,ue.n~t sur de
bloc. eu q~quc sorte: sa sp..cu)..t.n porte
n.,r
.nbtes. aux c.nt~r. Hott~ts.
t'.d~ qn. se.. fait,
uan les faits pris en eux-.n~a.~
de h. prière, celle du snerince eu résulte
cette a..aiy.e, toute ,.t.i..sophi~e. de ~<
hathes, cu.nn.e quand il d.c'<. qu nya
d.. afti.tio..s
sans ou de reti~ sans dieu. en
pas de reti~nu prière
so.n.nai~s com.ne celle de la
résulte aussi des expiations
légeude du parllllis,
'S''?.t.roeedeco..nesi.entre cette phH~
science d~
t~ ~e.de. qu-i. appe..e
concrète de.eti~io.articutieres y a.a.t
et
conunes-i) n v avaitde pussihte que de vastes values
ou des d~cripti. individuel. Or.
~tioas
ctre tenter plus
d'autres sortes de comparaisons peuvent
restreintes, ph.s d.<i.,ies. vrain.ent
méthode socio~ique. ou p.t
a~ de consistance, <i-ohjecUvite.po.u- qu'ds )"cnt
d-u.. po. de
observes et compares aut.-c.nent que
Mais at~ d faut su.v
trop concret ou hop ~traiL auteur Leccs~e
inverse de celle qu-a suivie uot.-e
ma -O.e
ciat de ta religion, ta propriété qu'a tout P~<<
devient le ca..ct6n
d'être com.nu.. à un groupe dho.n.nes.
ta fd.ere des
essentiel. fartant de là, on peut sniv.-e
les extcr.eures aux ~tscon
et passer des manifestation, plus
de la vie ret~
ditions p)a. tointaine. et ptu. intin.
cettes-c. du premier coup.
.Maisqnand on essaie datteindre
introspection, on .et -ses preju~s. ses impres-
par simple des choses,
sions personuettes et subjectives a la ptace M.M.
at. rit.
\XtM!<Kt.–ut:MH.f't:<(!)t)!).KitKt'K t!M(
t.AXU (A'oDHHw– Thé Maktnsf of reUtfioa. <'owMx'«t
CM't fait <« <'<'<~t<~thondon, Longmans, I8HM,in-8,
ym.3Wpp.
).<t()t)d''nm"'t<'nttUc)t'p)iqm'.tmpp't't)hK~Aph'<tU)ettiscu-
~)~th'-r!tk'.i)ti')'t-t'U(n'M)U<'Ut~f!'it<:t)<nv)''t)''t'titM'a)'s
,tt.)H~)m't'x)ttic)')'n't'i)titt))uhut-")tt<i'n-:ttcut'<t'.t~).
tn:tisc''ttith('.)f-ns''it:)tt'i)tfntsiui duaufnt tt<'s:ttt)'i)'utsdt-di<-n
.).at<'m.tttt<Mm)i.-n«'!Ut.'i..ttt(.-f.t)'(-(.)t..tt<'t-d<"tt'tts..i)itn'mfm-.
i,tt'.<tib!.m'U'uan)'t';tuit'ttn~Bt<')<)('ttU)t'A'm')"ti"ttt'u"'
.tuuh'tt)t)ucttM-t-tt)''ttcnnc.'Ju.'ntim.'L"<'tyt)K"!iM~i<!ur-
t.tt.mt~dt;-<ou-ic~dit-ux.M.)..«);tint)')tt')n<-tcu)'i'u))<ntanct-<~t
-))d!titt',tehtm'tn''ntuhm)<tt')t')i~ic')'dut<(c de h'uf ))))())<
t:insttm<;cd<'M.S.tt.)K')t''j't't-t''tn)-msm-c<-)'uit)~iitt~dm<
.t~tt))'')'it)'Hi''t't'd('r):t'<st't)t."i)tt)tnJttsr('tt~h'u-M-Huc<'<)Ut
.)tt;t-rn''K!')!t)~,M..S. )). t)tuntn-("t'mt))"itt-t')'t ')u'' )'
.t.tnticf~ den~~M~<'<'tM. t.. sont tt' ptu~ -u~'n' à c~uttun
)tt~r's:mt('di-('u«io)t.ntt'i't)))"t't:)))t't't!t.t":jt'ti<'Mti'ms<t)'t)o).
;~)~nnMth''rc~'F~k-to~Mts.<;ut)t)t)'std':tn'.t)Ut'ruri~in'-
.tttni't'
)-t'<'ut)nm"-ducn)~'<k"it':tu.d.)U!. h')''<j)k-)"t't'M<"j"n.«'t'aient
;jn:t)\t)Bt's;)<'i'uuh))n''sdttt'u)t<'thtt'MS<'t~i<'t)t!')'y''nt)t-
M. thitiotient suit j~MMtt~' \u<' <-<r..it ;'<)'i)op")tin~ "ott-
.hm')'<t:ent-<d')')i<-itt!~s.
rn-t)(ttt'xtt'dut;t.t)~!t))!t:tist))-T.'m'rit')'utr.'ttt'<)~n)~t Ut)'-
-rtt-<tY')'ut('i))tt'<)duc)i()niti'Mttdt''tu)-'u)k-).'rc.ttut-uH<'n)t:t)t.
r,attt-ur.suhaHU~)'nn<-ip''s.r;utt)tt-tM')'it':t''t:tH's('.t~i~t!'n<
i )'\))k-t"tc):(p'si<t.u)cc')t')a)')tit".<o)'hi'ttn!'t!
*tt))')i<~))'t)HtU))it)pstti<'tt.t<'<ht)t))na's.it'st-tn).s('t'mt't'')'s.
<[tttt<'cu'.<))~–t)t;i~'t~)'MHh-u)'dithi''ttm)['n')'t'<'t<tt'))<tttt<e('s-
nt~n')~)(~)t'(tt)''<mpp'')t<th'<)tty!)H!tv.)it~Mn<,i)yat"))t!'
)"t)t)i'M)B'id~'(':H)!))u~t)r. – ).!t)tt''m t'tf'f'')"' snt'c<'«i\')'t)K')t<
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'~ti)'u)t')''m'Mt)iu)t.f'tf't')""t'!<t<'tM«)cit''tt'')'ii!ii''))'<n't'ft<)
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)!j<~))'<'ftn'ytt"'t"))'-)~))'t)''sinh't'<a)tt''s,))t)t<))rt)))''))t')t<'
rt'Ht-t')t)i.'n!)t-t;(r''i!n"uU)ht<'u)tf''uch''t)'.M:)i'd':)))")'t),t('si<.tt'<i
t)).)th)'f''tt(tt'")'JUYt'))td'tistit)t'tiù)t:o't")t!)it)':i'[n''):))'<'tiniont't
p)'pt))t'-t't'utt)t)n'u)n'<i''t)''<'ttt<n)t'!tUt<'m'J<t<'m)int't!tjt)MCt'pa)'n)i
!MU)t'sri('t)''<<.Kn<nit<(ittt)t'tm''t')"t..c!iUt'dt"-c~t)tt!'i'<tnfe:i
t)"j'tn;tttit("!tt'tt~'ntH)Suf)~:mtt")Jt"'t)':tt't't'!tt't'x''t)))'tc.Jes
hc:ttmmni'-t''s)[)')'j:nutAt<()'. SU.<)U)f:)i);)ttt.)Ht(r''t'n't)ts
')u~<)<'ttt<t'))uKu))u)tL: '<'h))t('i-.p.t~').e\'st-a-ttir<jtt<i':mt<;m'
r!)Uft)iht)t- t)Utn :)Ush:()"'att(i '.[Utt .t\t'C Utt tH"t hiMW.; 't'MM''t'MSte
'f''f'f)h)''i))!;)t'tt.t')t'S')Utf:t<tt"tt)'t'tm')itU'-)~)Hi~uH(?tt'(',
-;m<d~ttt('.)<'st~m)t'~s;t't' M. M.
't'nm'!m<')'a)!tit'h''):tc~))tt')'-)M)ti'h))))')'-t')''()t.A(tt.t)tt')U't'tt
j~'utt'o)npt')fttn')'))U'ui'.<'ttout')'ir't')'v'd"h'<'t]t'))'fait')))'
't"ti)tt,ii<t~i)<)'<t)hti'-<')!'t-<')i~i"u.tt')U)'tt)'-t't)mnt<n-i<t~,)n.ns
'"n)t)t't')"<[''th"'tt'i))''t("tu)f)'')t)"):)~t('tt)tUt'cn)t'tj'stt'f.:n)'s
~t)('nou-:tV!')t-i~)t:t)'d:uts)';)<tU''fh"'ttut))t''t)tt'm'-m't))t).
)!'),))<<)-:tt-t;ust''s.)j-s))t~"n'))< itthit).tit's;i'ut).<'))ft'de ))''tt<*<
f'm) )'-<it)<v'm''ntin"!U'').<)')< t..) «'u)'')'t'(i)'t)it!)t't''qt)''t-
'ju'' int'<'t t'st )-))< mt t'.tut'-u) <'s.<iti<' d'apj'ti')u''t :(ux p)t<h)o)))cw'-
t'-)it!i''tt.\t!tv''t-=')"i--))-.y<-h")u);i~tt<(t'.p.tttii<'(suiv.).
T('(t);ttivf-ittt'~(".<.)))tt-))'~u<)'t'-t-n)i)u-)')ti'ti')tt('int.'nt)''t!)p)'ort
')'st)~tiou-.n)'tj'hy.'i<)u'tt[)"<)(utiot)s)n\Utc')")!it)tt<'scuu<:<*t)):tt)t
t:tt)atmt'<))))n~)tt)'C'<))'thtsh'')tt''ttt~t'histuitt'<)t'f:'t'et)!
~)'f-t-')')''quf');t)tt'-m'-)f))')')ftf'')'t'~))''ttt'!tt')t)<~uJ<).ac'<'n-
')'tttMnatnhtt')"'c<'t)tti')u'')t)ttm'))'h',t'')h'')u'<)t))att'omMt)it))s)!t
tn't;tp)t\)'j))'ntt.tt<)t'~it't'-t!<)tiyth'j)"gi')'<tis.:)v<'cP)a-
)..)).t't)v<'uttn)omt'm<'))t')t)!)t)it au c<-hh'M<t<'t'<mit'<'t's,n~))
j'ht" t tt'<tmn< t)Mis )(' &ttt~t)nttm)' i<' smnatttrc). < s~iritu''). h
/«/<t~. Av)-cttohd' M. H..tttnx't '{t~' c';U'' notiot) th) <j'itihte) s*<'s(
~t) M)it)~)'')).')))ipf')tmr<*~))s t'i)tt!))f'm' ))'-s )))y-t<)< ~)''t)!'it)t'*))Set
ASU.YSti-i. – t'OHXOMÈXH~Mft.t'.tKrX )t<.EUK'<T.t))tt:
.![t't)vsi!)'()t<A)':ntit''t<)t)umt'nt.t.t)'htttM<'))tti't.)it!tt)t'!t))ttt"'
.h~)n'))"<)srit'n'tit)tt-)n)'rst'r<)'ti)ti))Vt')tt<'ntt'ftt)''i''nj~)))ttth.'
utt'.))tHtt'")'o<'ct)t)i')U<'<;t)y'=H)ts)i)ni)Htm)'<))n'<'j)timtt'u-:t))ttt-)'))-
II'irlllv. ~nll· llüllvW111h·Ultllls rl'illtliyllt·l't"v~:1'llr·ïililta·t·;allllr·
!thjUt'u-thn~t'<mh'u("))'!tt'indn)m')'<ttn'si)tt)''n"tnh"
tt):tt-tr")'tt't':))''sj)uu)'j!)~n'!H'(«'utt)('tt)'')tt'ti'ntr)"<.<htt'<'))''t'-
.i;ti)i''t)tsd''sa!:St't'(t")t-')'«'))<)tt<'<):))')'p!))'n't<)j')!th'-tuocrit''
.))'s''ut~t'(tttt)tt''t)nr<'j'n't't)t!(ntdt'ta)-tm('t')'ti'm:tttUn''))'o'n-
!ri.)U< M. M.
ti. – )')tt:!iOMKXES
ttHt.<mKC.\Ht.KMKSTAtHES
A. –MHH(:tOXs)'KtMt')nK':)-<iÉ~f:)tAL
retiniense. est un des ptus achètes que nous ait fournis t an'
ttn'o poterie.
Les tribus observées occupent un vaste terrain, depuis le
tac Myrejusqu'au vin~tiètnede~re do tatitnde S..Ce sont les
trihus Arunta. Luritfha.Kaitish, Warratnunsa.ttpirt'a.
Hiaura.t) n'y anuèreque les tribus A)'unta.ce))es qui habi-
tent dans tes monts ~~a<'d<)nnet~, que iesttuteurs étudient
n tund. d'un point de \'m' n'Hji.ifux; tMautn's, its ne tesetu
di''uttff))t't))t'nt')tt'au)Hti))tdt'vuedu)(n'tt!HHsi)ticas<K'ia!e
et fi'nxttate. Les fitit:! que coacerno ('ctt<' partie du Hvn'
seroa) t''tudi<< plus ioix. ~uus ne oous occupons ici que des
faits ext'tusivetoentt'eHj~ieux.
L:) ret'~i"ti de ces tribu" est, d'une fitçan g<ner!de. le tote
tnisute. tttdtviduset !~roupt'ssf)))tn'')'nt'si)s<t)ciesi< utte
t'tHSSt'd'uh~tt ntittet'iftst'ottsidt't'fs avec refpf<'t ~p. OX, cf.
p.~t)).–Or m) pt'e)<t)t'rf!'it'n'it tif.ntitis fort ~t'i)\'< peut
'.eeo))-.t!)tet'()!)t)scestt'i))US:)t't')h'u)isttte\'p':tittdepe)Ktnnt
th' ['t)r,ntis:ttiott fattti)i:tte i) ue n'~)e p:)s le tnitriM~ et
t'extWfuie. rigoureuse, n'est d''ter)))it)ce <}uep!)r te systëux'
d<'sctasses et scus-chtssp~. Htu' dépend pas de ta Ct'))&:tM!;ui-
)tite:et un puf:)ut peut n:ut)'ed:utsuu autre ~)'<mp)!~)))ne
pcutptusdirectiu~tntt'txinuefjueceiuidesantere.En
d'autre! terutes.suiviHtt les expressittu'ide~~f.Speoccr et
Uit)eu.expre-si'))tS()uist!t))hteat))):)it)t('tt!)t)tin'oirf.))tfor-
tum', le toteonsme de <'<*s tt ihusn'itumit pHsde c~t~s'M'iittM,
il ))'!)ur.tit 'ju'uuef'toctt'm rch~ioxe. MM. Spencer <'t(iiHen
('r<Metttf)n'itya)àunfit)td'tit'i~tne~p.H!)),ett)))e)eeôteso-
ci:))dt)t<tt''t)tis)))e.h))-n)<'tne))t!'ti<)))p!)riet<ttt'n)tstnedes
retatiotts tixnitiides et sociates. dans )e;!autres tribus de t'Est
Austridien. est t)n fait posteriettr. cutoute d uitteurs le sys-
teu)e de c):'sseh)i-)))et))e. Ça ils trouvent, dans txmnottthre
des tra()t(i<Mtsn)ythiqucs desArunta. tes traces d'une ejmque
<tU)'cndt~:nnie de etasse et de totent t'tait une rë~e.
En tout cas. il reste < fait le groupe totonique. chex tes
Aruutits,est une asstteiution religieuse, i) n'est pas un groupe
dntnc'itique. On appartient.en etï''t, a tel ont'') Kruupetote-
tnique. ptun- des raisons t'xchtsivement reH~ieuses. ou pour
mieux dire magiques t't'nfant lie nait pas dans te totem de ht
mère: il natt dans te totem tie t'esprit qn'it est censé iacarner.
A la naissance on détermine que) est t'esprit totetniqne. l'an-
cêtre ta ta (ois homme, nnhna). dieu; de )'.< 'e/f/M~t. qui a
repnseot'ps dans t'entant. Cet ancêtre est censé résider dans
t\t).Y~ – t')t)if"MH\HS m!).)'it)!LX X'.tiMKXfUHK~ ~07
ces rites. its se passent tous suc un terrain sacre. Les chants
racontent l'histoire que le rite agit. Certains objets symbo-
liques .Vt«t«M/«et tt(«t<M~<,déjà utilises lors de ta circonci-
sion représentent précisément tes ancêtres totemiques, que
)'<)<)met ainsi et) contact avec les jeunes initiés. Tous ces
objets suut à peu près identiques pour toutes les cérémonies,
mais ou leur donne le sens que t'on veut (p. ~08). Des Xur-
tunja de même forme incarnent, suivant que )a cérémonie est
cette de t'emeu ou du gazon, i'emeu ou le gazon. Dans d'autres
cas, il y a bien figuration du totem ainsi 'tig.Mt; les ox~K~a.!
du groupe des grenouilles représentent assez bien des arbres;
ceux du groupe du soleil represeuteut assez bien le soleil.
Ajo'es avoir ctt' soumis a divers interdits. les jeunes gens
passent ennn par les cérémonies finales, tes épreuves der-
nières, a savoir par une série de passages au feu. Apres quoi
ils sont des hommes parfaits (.W'<«'«.< Pourles cérémonies
d initiation des femmes v. p. M-Ht. p. 2t!9sqq., p. 4!H-4(!0~.
Toutes ces cérémonies, ttmtceUes de i'tntiehiutna que celles
de l'initiation, sont, au fond, dominées par le mythe tote-
miqne. Toutes, eties ont pour but de figurer tes actesmythiques
des êtres totémiques antiques. Elles sout ta miseen action des
mythes. ou, pour pariercom menosauteurs, des traditions rela-
tives aux ancêtres de t'.tH(('nwy(t. MM. Spencer et Citiennous
reiatent ces traditions dans deux chapitres fort important
(x.\)). tci, its analysent les faits, non pas avec excès, mais en
attribuant unevaleur historique excessiveaux traditions qu'ils
rapportent. !ts distinguent trois phases dans ce passe (abu-
teux, i'une serait purement mythique, les deux autres corres-
pondraient à des faits historiques. Les Aruutas s'imaginent
que les êtres, à l'origine, étaient informes, n'étaient encore ni
animaux ni hommes; deux frères qui, après diverses aven-
turcs, montèrent au ciel, les transformèrent en divers ani-
maux-ancêtres totems, êtres divers qui eurent une histoire
fantomatique. C'est le rite de !a circoncision qui rendit les
êtres définis. – Mais les hommestotems restaient encore
Upmerka. c'est à-dire non initiés. Ce fut une compagnie
d'êtres totemiqnes, quatre groupes du citât sauvage, qui, en
introduisant !e rite de la subincision, en voyageant ici et ta.
apprirent aux différents groupes totémiques à se transformer
en hommes faits (p. 407 sqq.). Chemin faisant, ils eurent
diverses aventures, puis s'évanouirent dans les endroits d'où
partent encore les âmes de ce totem du citât sauvage. Les
– )'))MX)t!))t!'<K'.
\XU.V'.HS. )tK).H.)K(X
Kt.HMHM~mt; ~t~t
auteurs donnent une carte de cesmigrntiuns dont itssem'
Lient penser qu'ettes ont eu réeth'mcnt tien.– La troisième
))t)i)st'serait citt'ih'tériséc par t'introdnction du système de
t fxogamiodet'tasses ')'. 4)M).Cette ci serait dm' At'i)nlupnc<'
t)e.g<'nsd«groupedct'é)neu:avanteux,ni)aet!<sse,t)it<'
tott'm ne réglaient le mariage, et aucune régie juridique ou
t'-ti~ieuse ne dominait ta famitte. – Le rei-tedes traditionse~t
n'httif a chacun des totems. Ettes consistent, en prim'ipe, eu
tics thèmes très simpt<'s tci; ixtc~tt'ps jinreuurcut tf pMys,
t:)iiM.U)t des traces de tour pi)ss:)i{e'tanstous tus ct'ntt't's totc
miques; les j)t'ctniers groupes vuut se uuut'rissaut eontinuet-
tojtcut d'et)x-t))<)t))cs et des objets de teur espace ~p. t3t. 433.
4'W.4K));ils porteuties \urtu))jas, les Citut'ixKas,que gardent
eofore les tribus et les gruupes locaux et tutouittues, les akan-
duuneut ici, eu montrent ta fabrication ta, etc. En somme, ces
derniers mythes soot de simples mythes explicatifs des rites
et des choses sacrées.
Les autres faits religieux f(ue MM.S. et G. ont observes chex
k'sAruHtas sont moins nouveaux, etpeuvent être indiques phts
brièvement. Ils étudient les pratiques et croyances concernant
t'' sang et les cheveux; les interdictions alimentaires et tours
sanctions (p. 47:!). Ils tâchent de retrouver, dans les légendes.
'-t tes rites, des traces do cannibalisme, et n'y réussissent pas.
it notre sens. Ils expliquent tes croyances qui concernent uue
sorte de pays dos fées (xv), ott résident des esprits nnrs, iudi-
vidnets, appetés /n<K~<Nt«t, qui peuvent entrer eu rotation
avec l'homme, en faire un magicien, lui indiquer le secret
d'une cérémonie; et qui peuvent aussi ravir son double, dit
U«t«&««My«.Ils décrivent et interprètent fort ctfgammpnt
tes coutumes funéraires et les pratiques du deuit (x<v).
Us étudient fort soigneusement tes usages concernant tM
sorciers et médecins <xvt' et les diverses formes de magie.
Le chapitre concernant ta vendetta &t'aide de la magie, et
la sorte de </<'ro/wqui accompagne ta veudetta réctte intcrcs
sera les sociologues crhniuatistes. Le chapitre concernant !a
dvitisation tnatérietto et, surtout, ta partie qni a tmit aux
dessins et :')tenrs sens, intéressera vivement ceux qui soc
cupent de ta théorie des représentations cotteetives.
On voit tonte ta richesse et l'importance de ce tivrc. it est
temps que nous fassions quetques réserves. – Quette que soit
son étendue, nous le voudrions plus complet. Hy a des points
sur tesquets nous aurons encore à demander des renseigne.
~t4 ).AX\HH'.(tt:H)).t'.H-):9t<<J
1.
utt'tttotuxooteut'f.ctqu'itspout'rftotprohiddoneutetucidt'r.
L~'uyt))ott)~i~(-sttt':titt't'd'u))''f!'v"f")ts<tu')H!'ire~).Ut-
!')!'? ouff trouve eu d''))"rs de t'f chapitre quMte mythe de
t'u) tsiue du teu trouva dans h' corps d'un eurn. L'espèce de
divisiou du Utou'ie suivant tMtott'tUseUMC'tres qui tem'
s'uttitssocifs p. H7) est un fait trop iutt't-ess.uttpum'que
t)"'t-!))''d''tU!)udi)tus))asd<'siu(oru)atiouscon)pt<'tuentMU'es.
tjt~uih'. di)u< le mOne ot'dre d idées. il eut été tncite de nous
d)<uot't-!)tmtoiusun)('t'itc(nnptet,tr.tduitde):tt!tngue.\ruut!t.
des hits et restes d'uu~t'uupt'quetcouque d'ancêtres df
)'Ai''tx't-insi' )~(''tnt'.tt<'stt'xt~dn pt'iët'esavcc tt'.tductiot),
p:)Fcxct)))))<'tut des ch~tt~dc" ;;t':tt)dt'i:<'<t'u)n<)t)k"pnurmient
~tre dot)t)M et so'i'H'nt des dtM'mm'nts de jtrctniÈrc v.dcm'.
D'Mutn' ().t)t. i) fi'ut f!)ire no; rL'set'Vt'ssm-t'intcrjx'etMttuM
df <'(')-ti)ittshits Lt")utcm" et. depuis, M. Ft'Mcr <t'c eux.
son)'!eut cousideror le totetnistne do~ At'uotns contme pri-
utitif. L:tc)H)scdctn!))h~')'.tit :)~tt-citm)t)<'mt}ntdiscutct'.
Cfrh's. i) t'cstt'dc('('-<hits<j')'i) ('fut y avoir )ttttutenu~fttGittdc-
p''))(h)ntdt't'<)rt:!tnis!)tmndt'chtU.<ttn<'stunGventaHe«cuu-
{t'<'rt('"['(')i~i('usc. MiHsH est fM-tpossibk'qut', chez les
At'ttntf)' nonsuous trouvions en jx-esenced'mt ctat secuudait-e
ettK'H)n-int!)it-<tM.S.t't<)uont''cnttt'<'sheureuse)nMt
que dt's chan~fnK'nts penv~n) s'introduire dims ios cotituHfs.
tôt)) piHtit'ttticrt'nh'ot tors dt-s t:r!)ndes ccrétu-'nies t-et~ieniips
p.t~4~),.ttif't)tt<))))~-hcd')))<'df'sup)'f'scrqu<'i'or};.t-
nis:tti(n) totetnique. s':tt;cetttuant de ptusen ptussur te ten'aia
)'p)iKip))X.)turait!)h.)t)dû))))ctot)tà{!dtte(crt'ainta)niti!d,ct
:)t))-:titcess'' de Ciu'actt'rise)'te chu). – De {t)as. MM. S. et <
u))p))senLavM'pX!)St')':ttiou,S(!tonnous, le système d('s classes
et sons-t'htsses nu système des totems. Us sout, sur ce point
Ct'tnntp sur d'mttt't's, induite en cn'cur p!(t' leur coutiauce
en ):) v~tteur historique des tt'H(titio!ts indigènes. La ctasee
rcntptit est et!'et un t-ôte rdtsieux fort :)))port)tut <')tedotnitu'
toute t'ittitiation et des fetumes et des ~<?"KS surtout
p. ;? pour tes ft)ies,t!)dctto)-!<ti()u est (:))tepa)'tUt individu
df leur sous-ctHsse; pour tt-s ~iu-çotts, tours p.)rr!)ius sont
nn'tttttresde teurctassc; sur le termin de t'iuitmtion, tu divi-
sion est dHsaes est t'onstantc. Kt. quu"t à nous, te pieu suere,
)i!run))iou d'uu Hu<;eit'chumaiu, enduit do sau~ que t'eu <ait
toucherat'iuitié fp. :??. H7H,et surtuut 'i~ est un reste d'ut*
tr<'s ancifn culte de la ctassc. – .Utribuaut toujours une
vutftUt' htstoriftue aux mythes que rou raconte des ancf-
A.\UA.t:<. – )'Ht:Xf<M<);" MKD'.m'X H).t':MKS) \t)tH'. j!)Nil;
sMUdcptuie,etc.:t'autre.ceuxdeI'ai!!h'.ducorhe!)u.(te)a
~renouitte. de tatune,de ta )'oute,t'tc.t':tt'on peut remarquer
que chaque groupe contient certains totems identiques: que
te corbeau, eu tant qm'~ruupe. est autre chose que !e corbeau,
C)t tant que totem. Or, de chacun de ces totems, on raconte
un mythe ou tes autres totems jouent un certain rote; parl'
exempte, l'ours a mitn~é ta {;renouit)e. ta bateinc tueuse a
dévoré t'tndien ancêtre, etc.. et ce suntc~s mythes que repro-
duisent tes poteaux totémiques. D'ou M T. cont'tut. avec rai-
son, croyons-nous, que l'histoire xénéato~ique d'une tantitte
reproduit simptementthistoiro mythique du totem et que te
totémisme ne peut pas se cotnpreudrc M part du mythe toté-
mi<{ue.
Mais te myttte, commentt'expliquer' Tout d'abord. suivant
notre auteur, il (aut renonceravuir dans les cro.MUtt'estott'-
miques un pttenomene religieux {ïenerat. Les faits sur tes
quets on s'est appuyé pour en itHirmer t'uuiversatite ont
été ou mat observes ~c'est te cas des <:t)ippcways'ou mat inter-
prétés. On trouve des ctans soi disant totémiques ou il y a bien
exogamie, mais pas d'interdictions alimentaires, d'autre!; ou
il y a bien des interdictions, mais pas d'cxngamie. Non seu.
tement tes faits ne soutpas universcts.mais itsn'oot pas t'im
portance qu'on leur :) attrittuec car it est impossible de
soutenir que tes grands dieux soient tout simplement des
totems qui out fvotne. L'hypothèse est, pour témoins.
~rotuite.
Pour comprendre les mythes totcmiques et le totémisme
tui-meme, il faut tes rattacher a un principe plus générât
qu'eux et dont ils ne sout qu'une application particulière. Ce
principe, c'est celui dont M.T. fait un cmptoi constant c'esl
t'animisme. D'une part, on peut expliquer par !'animismt-
certains cultes d'animaux et de ptantes que t'en a indûment
appett's totemiques Le Dieu. esprit créateur, peut, comme
tout esprit, s'incarner dans un animât. Ainsi, Yeh!, le hcros-
dieu-corbenu des Ttinkits, est un véritable dieu et doit être
soigneusement distingué du corbeau, totem du ctaneorrespon
dant. D'autre part, on pRUtexptiqucr comment les croyance-.
relatives aux animaux et aux morts, ont déterminé certains
faits qui passent pour caractériser des groupes totémiques.
Ainsi, si les Mélanésiens f'roient que t'amc de leurs ancêtres
passe dans le corps d'un lézard pour se réincarner ensuite
dans un entant nouveau-né, ce n'est pas parce qu'its forment
<\U.t!<s. – )')tK\WHXXK.<
HEt.t':))!XKt.~MHXT.UKK'<
~)7
'V<'it<))t-)Ktt)''tt)<<)'ti')tt<tMt«t~)«i!tt))t'n)'at)"')ut)''f.d<:tt\
)Ut'ttt'.<.tMw MffMaf.tMtt
y«<fMtWt a* «~f'/ .t"t/t'«/(«M TtttM,).
Aothr.h~L X. S<:ri<t. t). it
'lui tt'aj"ut<'(K~(M'ita'-uu)) '<"
t'.nH'-te
F'Mt't'.
~)S t/ÂXXHH )SM
!t(h:mt.Ui!~t'K. )?)'
dans t'Austratie ccntt'tth', le totem peut ôtrc ntan~éet. d'autn'
part. te groupe totft))iqm'.d'!))'rfss)";tt'i)diti(tns.p.))'ittt avoir
'tt't't)do~!tnK}:tt"!rappttrtss<'xt)t')<t'ot)'t'tt)(')t))<rMd'mtn)At))t'
it''<p<'sont ttt~mcparfois obti~doir~.s'.p.H~.Lfstr!)it<i dis-
tittctifsdtttotenustuettoiVMtt donc ctt'f cherche!.aiHcnrs.
Lit veritahje fonction du tot''n)is))x'<<t)nit}:it)ut'. M. i'ap
pni''cette the~iturtetude des ('t')t'tnoniM dites de t'tnti
chi'tt))a.()ue pratiquent les groupes tott'nnqne:} dans tes tri
hus de t'Austratie(-eMtrate.t;h!)t;utt<h'ces groupesn'presenh-
une espèce.tnin~tte on \t.)te sur taquettc la trihn tout
entiereaintt'retaexen'er une action qm'l'on ttecoh-nit pos-
sitde que sous fo)')))om)t!i~t'onr'j~fct'UeapttOtt puisse
~U-eext'r<f\ini)utquecertauts~r()))pt.dt'j)t't'(!0)))tt'sst)t(')a
)):trticuti(')'t'<u<'ttta~cifs.t ces dh'o-~s sortes d'ëtt'cs ou dc
<'ht)ses:autt'n)"'()cb)))t<tit'rit(h'Ytttutt'(.uindc).))(tui('.
attroupe de )'f)nett le soin (t<'f!)i)'en'pn)du)rc~'sfux'us. Ht
''()t))tnt'.t'nV(')'tnd)'sn)t-t's()t-ituiti\'('s.ihi'))))ttf'dcst'<m't)<!
'(U)tnussc)tt:~i)'sut'd''sf)m'u<.it~<'o)t<:titm'ut)t<MU~'
'nuu dontt'!H:tiQtnnat:i')ttf't'sH!) raison (t'~tt't'.C't'st de cette
(')tt<;tiot)()uu dérive s:t<)!)turt'.Kt \i.t-t'xp!i'tnc t)i))!;ila m'
''fssit)<(.dus!)t;)'e)))enttt)t'))))')u't)t))t)H.S)t)it)t.)\'Hitdfvi)n'
t'cxistpoce et dont nous :iVt))tsnhuuk'ftintt des cxptnptcs :m-
thfotitjue:! )'S.)i)'.t).)t)-)-('s<:)i)'('t mite :)ns'o")~lui
\'t'ot avoir mtt.'iuthtt'ucc s))t')t's)')))<'us():)rt'xt')))j))t',ttt'
')d<'tttHifruc))X<'L(t')m-<'('):). tt(')n:)nt!(')':tun)oi))squch)ut'
(u!sdt')Hurc)):th'.H<))ht,Ct))))t))t't)n!t)'rh'c.))'t'pt')''sfHt)'r:)iM8i,
)'!H'les dh'f'rses sucichis totmttiqttes. tous les obiett. dont.ht
h'i)<udépend, il s'' produit en)rc ces groupes mn' sorte df
''oopfratMM tn!'t:iquf. Les nus tuitn~m peu du totMM) cU~is-
heut sur lui pour que les ftutres. protititut de leur acUot),
puis8euteun).ttt!;fr!)votoutt'p.'i~–Qu!)))ti't)'ittte)'di('-
tio)t athnentaire et il t'ittter'ticti'))) tte tuer, toin d'être à ):)
hitsedu t.ote<nisn)e.elles eu sct':ti<'utdHhw's ptcsqm' acci.
denteUetnent. C ,mtne les )nen)hres d'tm n~)McKroupc social
ctd'uue n)t~)ncespèce anitu~k' Mes'extt't'tuettt pas,Jt's pritnt-
tifs auraient, peusé <)«< pour s'attier :n'<'<;des cttoscs quct-
couques et s'itteutitit'r à t'ttfs. il {itthtit tus respecter tp. 8~
Knfht.en ce qui conceme tt'xo~atttie, ~t. F. croit que, pour
l'expliquer, il faut hire appel a d .tutres principes que h'
totémisme.
Reste un point sur Jequett'itutcur croit pouvoir Otaittteoir
son ancienne théorie )<-totentistne serait esscnUet)em~nt
~U.t'.H' – t'tth'XuMKSK-! M.HM);STAf)tt:-t
)tM).)':)):tX
')'<:t7);t\'uxtt'-)!t')'"n-.s;ti))))t':)t)-.tV!<.t)H.u\)'mkt's'tt:)\'f3))<n-
<))t)''ntut)j!titn'))uht'df'r''))~'i(;))<')n'')t('su''t'it)t'(<)t).'ti.<ru)t
)'~n'tu)''s)."t"'t).t<'<)t(.)t'i!:nti')tn)u''u<'i:d<)'.t'))'ut')'ti~it.'t).
')it<'un ('t')')aittt<~)n)')'t)<'t'))imt< :n'c'')!)t)':)dn''ti'))):)t'.<'m~ sont
'h"; )tyn)nt"!<)'.t'i"t':)u)r' )))':) c)t:t)-n)<<t!t)ttrt'<)<in))'t''<
''hauts.
MAHUX
)).UtTMAX\ AusdemReUgioNatebenderLyMschen
WOSte. i't:0-t;t.)
(.tf'/tt't'M~' /f'<<HtMM-MM'H.!<M/'<. t.3, )M8,p.
!)uy:un's <)<-)!
))u'-M)Mt!))is
du d~t'tt )yhi''n~))ut<t',().M').
.nt.Utt.'t-))tftt'.tttitt)h-t,d:tt)st~ttt<tt-ti)-J.t(-))<t)''n)<')tt'.
~r.-t'i''uxs)tt').)St't-t<'()<'<S<'))<)U<i<.
rH'n!utt)t''tnt)ti'tt''t).t(-)tsf-ijj:))'-))).-)))..fu)'U.t.-r-tttt-<'t)m))t
-))t~'nt-t')tm!i~u''s.[.j)))<"(i~t)')!t.it'i)t<:tti')n)!")it)~nct't
't't)('n').)';)it'.r'-)i)ii''t).ttm~un.ttt<'t'<ttt'h<'s.f<t<'<th-Yi)):)j;'('
!.[.i)tt',<').)<-t'<tu~.ttt. (.'<)\t;t)it-s,)a<'in-<'uci<i<.)t. h- muti-
.!<"ns.)<<'on)utt)<'<ftU)'t!)ht-~(jt.)()St.
n){''t(p.))nat'!)nt')t):!tni-:)ti)))tsu<-)!))'t~dt.'ri()'<fnnrn)i)'<'s,
t'~<tt-un()).4))t"–)-:ttUttt)tn-).)m;st'<-H-'t-t~M<'m''n(-n-) t
~t~Xm)t)Xi;t)t)~:M)~.Mt.d'-sf!ti~trun)a)t<.<'t(h-<iivin:ttt('tt
~t).t'nt':mtn-t(ii)Ut"itttMt)Stnom))')).).
'nti''nt,)'-pa~.nnr.')-ti)i))t)<)t))h)-t'()<-)'u))S)ptt.<ci!;ncnh-))t!))t'
f tit:i..n t.t ta ~tt'n'-tUt'~ucht)"
tt.'s)t:t-K.)tsi. tm.Suu~,t'Luun'
)t''t)s''i!it)''tu''t)!ssutt'"ttn')'Ut's,t<"ttit'<dun[)t'mcst)'}))t't
fmt~taf)'L'(cuutmm'~d'att'tm',p.)u;,t<'sf's.
Htnd''tti!ituti<)Ut:t'uttint(turtimteUt'S!.mtiY:t)n't"t<h'~ant'icn-
t tttb's m'tutani'ju' Le cmut'tf )'<'udt)<:)iti'j'x' n'<'ns<'mj't~sit'k- qo'
t.)~qtt't;t-'rtit-<t':)t')n.-)<<) tt'ttuit)'c.
.t'iti-.Mtiuttt'timitiv')..) t!)t''<))ut!i)'t)ith'<)<'<-('fin'(''(tt-u'jwitt.t
n"')" M. M.
~is~t'tt.)tt"n-.ut't't:nn<n)\'))))"tH<))'i')u't':t)'jm')h't)<CMn-
~'itm-.r)ntintt't)tuir.)t(')!))).tt'-))t't~)Mf.)ntitt)-.
/<.– M.t'.n:
)':nt-i't!U')ic)('d<'vut!t!'t'kati(')t.)'):tit'))~n)<)'ht)-t~.)';ttt)<'ut-,
!!i.)~tu'')'))!us:)))tu)'i-dou))''unt!!bt'u)~~))))UH)t't'th'sj<).-tti-
~u't<y.mc<))Mt;i.ju.'St)t.')'tn.)t-:))t.-i.')ttt')t.)!)h)itd':)t"tntta
.ntiuuit(''t)''s)-i)''s)u:)i:it)th-s~t <.)' ritt".r<')ini<'ux:ii<ctit'))n<'nt,
""nt ~uu\nt indi'ic'')n.)h)t's, .s'ittt)i<)m'))t h'< mx tj:t))s t~'s :mtt'M;
d')it'<'it')))!t.:it;t)ui)'t'j'tt')tt)<'ntj'):))-'<t):)nsi('sc<)t'-))t.n)i<rp)i.
Li<n-.t- t''< ))tus );rathi< di''ux sutit t'utts c;n)'s de -.itttjdt". )Ha):t-
~h.'<.–Jtn).<ut)'un-.)tih'<)Ht-)a))))tp:utdt-s).);tti')Ut-)n:~i')'h't)e
)tttmt;t)ti~t't'h<ttt'-))td.:tt)::)'tt)th';))tcif)tn''v'dit)m':iu))<itiu))
<t.')mnu:.i'c.\))u)'.i')tt<yn)p:tt)ti')u'tt'))):dadi<<-x')tt'i'.nt(.'s,
h)h)iL:atit)n.)))'u)o;[it.~t:t )':)!')''du f'-ttct)))tt)')r..d)''t«"ns.<-t.d:u)s
n))~n)t'('f-t''tt''d'id's.t')).tt'tnt'sc')u''ctu:tnt)'t'tu)ttt'it''U'"4(-t)fHnt!
[! indi'ju'' une :t-t'x i:)';uhtt'')n:mtit< t(\t))i\;))'nt- hic)) <'))")-.
).<utt'm'<utt<')ttt''))nu)ntr:)nt.d.ttts)t'i:r<suh:tt-.d('(-~n.'t'-)ud'
t.«''j)tv))Yt''t''j'tusd'-)'ut)i)<d''t'<ptithtU)).un.t't')tt-(r''))')-<)
~n)!t)tv;)i-.d)-)t)u't'dt't'ainsi )H!ttt')('j;t':md)U()'ii(;. Mai-iifiaidmit
~n"t:t-.cit')tt'<'t-on))KH-t'd<'st'<-)i,!).)t).sd'~):)s-:ttc<'))t~itt)dt;vu')tt'
)t')'tu'))<t'm't-cc))o<;tutitt:d'<otu)))'')ttit)dis)'t.'ns.))'t<
UH~)hnMthtnu~t.~LL..att~hL.iat~i)~y:
h.t~-t.~d aux .-uh.-s~)tnt.H.sc:.YHH.-r.t.)"-
tt.~cou.tnt-)tt.t.-<i'i't'f"
)'an.')ty-cuu~t:u;')n'K~nn''[n"n<t')"'K~
t:[\M~'t:t''(''t'f"t''<'t''t'~
,-hnHM.tt- ~)~
ph-r!t~~m\n..)t~<'U'ttt)u)'p'i't'
)..Ut't:)"i.
st'c"ttd''p:)t'tK't'.mt''m')m'))tn't!)))t's('t)''t'.h't'r')y:)n<'<'<duut.~n<
{:nt'ch'')!)esJ:tkut<. 0;,
t.!t)'t'ct)ti<-t-<-p:tt)tt'd<c''ti'!tYmt''tHttn't)tdf's''x)tnttsdt'(jU.ttt-<;
tn:utHsni)';)'-t't')tts.[t~isS'j;r<'<~<(*t(mt<'cu!'itd'inc:mttttiutt-.
<tU''t')u<'s-ut~-sd'tt)wt'-mi<)n-n\'st)t)t)ttt'nUu))tt't-(jt.tM),
t<nt')t):mtrH)t)"iu.Si~)mtmt<t'm'd:t)h'))!H-).).'<)ttU)tt)t)i")) )'.)!it.
)<s))t':t)i!)tt<'sd('s))tn''t'!i:'))))').'nct' t''su)!ni<dnnmuY.ti~u'i)
(H~.St~j. )'tt')nu)!tti.tttd'<vf[)u)!ir<'s<A~/<tH:Mt-t <)<-<[tut'st~t.
t.t"it-itt'.s(t;)))ttmunic:ttiundt')M)).'r!-o))tt:t)itt')t)sf<'<))))i)tt'nnou-
t'eux,tnf~if.<y)n)):ttt)it)m-:))t))!))t)!'n))t')ttt'n);n'mta<t'-<h'(t)'!i''un-
nus.L<))as..aMt'<dt')')-;(t'i()u'<'t-(d(')ut)tutt('cht'ti<'nu'uatt!u~
mpt)ttttiii-;(-!4~M.[.)J;tt-nuttttt(-~tit)tJ<tn-))aptist('t~tutn'xc''i)L'ut
tVt))i('t)m'.).:tdt'uxi'-))n'))!tttiG)'t-t:))t')('<')~)')M)i"t)S)~t!")))))t'))<-s<I<
M.K')U'.t')Cu!;(.-ti!tC!t)yum<.)s.t-'<k'.s:tntai)t"))ttt)t'')'siuudc)a
ct'uix :'t t'Hj)i).))«nit'n<'i)U)'a-)t. Jmt:)s t~)i')h'& t'A'jm's. t-ux ttc
ht S:tittt-Je:ttt. t.t's t'fttants u~s [e juut' ~ui't sM)t Yictim's d'une
mah-diction. t'eut-finit-. Ut)t'x.))'-t)t.th'K<<'<)'h)st.jit''<t)t
poutd'AnHtMchiatX:
(Ath''i~'n:t(m)(')uu('<)t!H)))))K.th'nht~i.tt.)t)n.)tt'nt.)).tV.)
)!ct'tt.ttidt<t.tb'J8,)H'p..b'.
t<<'(~<'ii:H~')))<'ttt'!)t)trt'))('-tt'')t)<tt~)-tn<-(!Kt!Ut.ti)')it''))'<)))t'
tMnn''<cthi~))t't'))))m~.
t~ J. F. MAm: –
Superstitions médicales dos Chinois.
JMt<('f«t /<f.«.rt'<'7t''
t<'««</<t'u/<o~~<tbt)! (). iUt!.H3.
).~scWnMtu.\<tht))t:ui!tt:t'd.~Kt'd):ts,j)u))u)a)it.)tMMUt.-dt'J:)Ya,
p)'c"nt''nt ))Uf')')u''st)'Mi~i))tt''n's-iants p. M' t))t rih' J'' tuth' <tc
j<'H))')).tv<'t'tt-sft'mt)))'<.u)i)'')m-))<j))t)ttttU(p.'7U()'.
t:6mon)'sct)'tatiqMt'tht)u:ni:tn.t)t'r''))t'n't'm'-nt:p.)i7',
d<;scomutt)t-sdL')'(;t)i~cùt~
Cott(i''ntdMt'cnscietn.'jt)n'ntsutt)'o[tu))ts!.u)tt-st))<u)')!tfn))n)t''
et t~ f'-t.-s <tm)t'-sti'tt)t'~ )tt:t)i:)t" ):t))t;tts~t)t-t t'-s )itt'< Je lu <-<)<)'
tructiot), t'u~ticttttut'u ftit"; t't''s:t):ritin's.
HEXRYttAt-TTECUEt.R.
Le folk-loredelile de Bythmoe,
Bfuxe))~. t8M,p.40.
HitVcrmtUts,
AXAi.YSt:–<:)t<n'(:K'-HT)ttr<:<)TSK)t.U)tf:' ~4!<
1. ~f.f.
tourte jeune ~ctt. \t. comme tesnutrpst rites rctigieux asso.
m.saudeuit.itestobst't'veenvucdeJahveetnondnmort.
Dans te chapitre v, M. )'sot)tient que )atami)te n'a pas
~t<-créée par te cuttc des morts, tnuis (ptc c'est t'importauce
du tien (amitiat qui a tait sortirde ta croyance aux :uncs un
Culte des ancêtres. Xons si~natous dans ce cttapitro te eom-
)))'ttaire de t'exempte ctassique de Tttamar, ta belle-fille de
Juda, et de la ruse par ta<{m')!celle a des enfants de sou
h('!)u-perc: itu'ya fM!' tA nu c:)sde lévirat, puisque les Uts
dpTh!ttHtn'sont)estitsdeJudit,ctnoud'Hr.tepre!ni<t')nari;
il s':)~it ici de eootittuer la faotittc et non de procurer des
adorateurs te~aux a tm ancêtre determinf. La contianité de
i.tfi))nit)e n'est pas interrompue dans toscheot p. ~8~~h
t~t cette continuité qui explique te deuil. n montre une
sorte de participation a !t.at. du tnort. anato~ue a ta com-
nmnication (le son impureté. A ce point de vue, M. )' assi-
Xtitete mort au tepreux. qui est i)t)))urparce qu'il est frappe
j):)rJat~e et exclu par lui de la communauté reti~ieuse. L'oe
t-~nception ptus a))stt'aitc encore de t'impurete aurait peut-
ùUeamonc M. F. a une autre cxptication (le certaines des
pratiques du deuil. t'arter d'expression de la douleur et
dabuissoneut vutontaire n'est p~s tout il faitsuftisant. M. F.
a trop rca~i. setnhie-t-it, contre t'entrainemcnt des hypo-
thèses expticath'es: il s'en tient au sentiment et a tidee, et
):)isse u l'instinct le soin d imposer les moyens d'expres-
i.iou. L'idée (t'in)purGte se réduit au fond a t'idee de dine-
n'ncc et de séparation. Or, ta grande préoccupation dans le
dcuii parait être (le prendre autant que possible te contrc-
t)H.
pn'ddetavieot-dinaire.
i'IU')tU'ttt'.CUtH).')c.
ht~t:t))t'<rij))iundt;su't:f'sp<)~u(:m'c"nc<'t'))ant)'t)n't('i
!'t!t<:h~.
))t".ct'ij'ti~t(st)c'-m4-).)')')'s~t'.<t'<')t'i!;n''ttt<'t)t'iuth''ttti')m"i.'[
t['u)fj''t<tt~t)')t)tit)<ttt')':t)m'u-«'S('c~u(u))n.du)<t')tin.
)'!)'-s:t~t-.tt-)'m-nj'ti"an't:)tit'auxtr!Ht-.)'t't't'-fmt'tn's:)'t'st;ri)''
ti~u<h)si)'')(')nm:(i-.ut).'mto)n)'<tu:intt'nii<'t)t)))d('j'u~')')~
)~;mc:)n)!tux')'t~'n-.tt'<t-))''t))it)s.)).)'.t)'mn'(')tii:m-)ut'tiucottt-
j'r.))f'n-.i)'t<'r'')t(-)')'<t'ij))i<'t)"<')))t't))it))t ta <wtt7/M~'F<)t)idi'!p.n'ait
'<'« </<'.«/<'<«'<' <</;<f«/( H j'rt;)t''tt'nt tt-stin~'t' .mtn.'incnt c!'
tfx(''ott)":ut-tt''t')t)!t'('').
V. – TRAPtTtOXS ET CKOÏA~CE'S
A. – .t~/tM
et
déluge se retrouve dans ))t'es(~)e toutes les mythotogies,
i't.t.t.t.t~i~ft)wtt<~nt<ftt3tMt:nn)h
avoir uue
qu'i) se rende compte de t'inter~t que pourrait
Étude gt'-ncrate de ces myt)t'-s. il s'c~) prudemment home a
ta province ~o~rapttique qu'ifconnatt te mieux a ta
Crf-t't'.C'Mt ta tegeode de t)cuc:)(ion, ses divers thèmes. les
equivatents qu'on peut leur truuvcrdans les autres légendes
Yt'aisent-
gn'c'jues. qui fu)'))K'utte centt't' du travait. C'est très
)j)a))tt'u)e)tt uue t~ende d'un~m; m'yenuc. M.us ce mythe
iu'ypn est ~u'faitement ))td6pettd.)ut (tu mythe seuntique qui
se t'itppmt'' :)u Mteme objet. H ne peut être ftuestiou d'em-
pt'tmt. Hn etïet, <-cdernier itaut sous sa (orn)e babytuoienne
que sous sa futiuf juive; se décompose eu cittq thëtnes
) )e dieu veut châtier t'itumnttité pervertie i' un itonttnc
pieux re'/oit t'ontt'e de cunstruire un vaisseau: il tait
entrer des pairM d'auiuumx de chaque espèce 4" it tache ta
t;<t)u)uhe: il arrive sur uae tt:mte utt'ut.'gu' ))e ces cinq
thoues. deux se t'eH-ouvent dans tes tegendes grecques: ce
sont ceux rotatifs :)u bateau et M l'abordage. Mais its sont
se
ohti~atoires dans toute histoire du detuge et doivent
retrouver partout its ne peuvent donc servir a rieu caraete-
risKr. Hesteut les trois autres qui sout bien distiuetifs de la
tradition setuiti'juc o)-te troisième et te quatrième manquent
dan--les meilleures recensions des tt'-geudes grecqaes et te pre-
mier fait comptetonent défaut dans te mythe hindou corres-
pondant.
Si intéressante que soit la démonstration, ette n'est peut-
être pas sans appetcr ta critique car it n'est pas prouve
que les mythes du bateau et de t'aborda~e soient logiquement
nécessaires. On uc les retrouve pas dans tes mythes de l'A-
mérique du Sud un les hommes se réfugient dans des trous
de la montagne et en sortent quand tes eaux se retirent.
Maii;,quoi qu'il eu soit de ce point, ta diversité des mythes
hindous et des mythes sémitiques nous pitratt incontestable.
Apres t'avoir établie, fauteur s'attache a retrouver te fond
metne du mythe de Ucucation, te noyau primitif autour
duquel se sont ~s d'autres thèmes et d'autres
mythes. It y arrive en comparant avec la fabh' de Ueucation
les di:!erentes légendes tocutes de tu UrÈce qui se rapportent
également au detu~e (fécondes d Ogygos, de Dardanos, etc.).
Toutes ces légendes lui semblent se réduire essenUcttcmeot
au mythe de l'arrivée d'un dieu porte sur tes eaux.
des
Laaatysc des mythes diluviens eMX-mcmes,l'analyse
AX.U.Y-.K". – TM.tn)T")'<- KT CKOYAXCES 203
COSQL'tX.
– /<«.'A<'&/<)M, t. vnt. !S99, p. M s~q.
"tt adn~nmit Yoiuutit-t-s :tv.c M. H<'inaeh<ju.' l'histoire
du sage
Ahihh.u-,tnentiumtcc Jitns )* )hte de Ttttue. et n'jtroduite tt rittfiui,
piu'i ou moins ))d't'n)cnt. t'n p.u-ticuticr d;tn-;le ro)n:(n qui {)t'cc)''de
)cs fat'tc:; .jpi~ucs, a j)our ot'i,tiuc ttn cuutc
t~bytuoiot, si les dieux
)m-u<s ;)t'.U)ikh:(r t'(:Uft)t <;hn)d<ct)s.
f.:t ~.o.j'-ctut' ()(ti lui pt'tMt-t Je toi)' h ptu~ «oeienuc mention
dece cuntc J:nMt~-ntuct'i'.c ci~-j):(t-Ct'm<nt d'A~'x.mdt'K-,ro<H. 1.1!
)'. 3a(;, Pottcr est f'-Juisaxh'. )) Mt possiMe t)ue ce contt- du bon
viitir 'tu" );( pt.-rnJi< dt; sun neveu Xadan condanme à
s~jourNcr
)utMten)ps dans nn soutft-t.mt. qui retient ensuite M).) tumierc, qui
a ot) épouses etCO patois, tjui est citpabte t)<-s'em-o)et'ditns
un panier
uatne pat <te~ .u~)es. suit un ancien n'yUn' ~ojahe tritnsfmme en
conte ntt)t:t) et eu cadt'e cutnntt'tte pour te~ dits et
t'-nigmes du folk-
tufe universe). L'articte dt: M. Coquin est pt-cui~onetit intéressant
au peint de vue du folk-tore.
KTCtH'ïAKCK~
A:<At.Y!iM.'[HAOn'M'M 283
M. t. (.ttHXAt<t).–8pëoimendetaUtMraturemoderneduTur-
k~atanohinoia. yuKroaf «)!t(tff'~«, )tH~, ), :}on~.
t.t) conte du hpc de )a f'umte tusce .<.
HEXE&tCT
FRtËDLAE~KH.-Notizen ûber Samo&. ~M~A~ ~r
7:'</<Ho~<t', tMM,t-N5.
Cotkttiun de textes samotn~ commentas.
C.Do<.MË~
Messie, fitsde David, pour qui l'on avait pu prendre une sorte
de gouverneur persan comme Serubbabet
(p GOsqq.), devint
d'abord un éducateur ~p.~;), puis une sorte de
personnage
divin mat défini it partage avecJ.dm-6ie jugement du monde
(p. 89), il préexiste 'au moins son nom), H doit disparaître
avec ln géneratio!i qu'it jugée, etc. Le christianisme est
ne de ces idées. C'est un autre aspect de ce
développement
que !a fixation et l'ossification du messianisme en une
espèce de dogmatisme qui aboutit aux predictiuus sybiiHnes
et a t'apocaiyptittue judeo-chreticnne. Il appartient à j'ttis-
toire des dogmes.
~ous ne reprocherons pas a M. H. de ne pas avoir étudie
ia rfnction de ces dogmes sur la tic du
peuple qui tes a
etabures, et. d'autre part, l'iunucnce do piutosnphies étran-
gères sur l'élaboration de ces dogmes.H ne se proposait point
de le faire dans ce modeste et très estimabio travaii. Les
anatyses sont d'une rcmarquabte ctarte. M. H. a rejeté lu
critique dans les notes. H a réserve pour un appendice les
passives discutes. Xous nous serions abstenu du deuxième
appendice, ~M«Mtw<'tt/<«~««-~ tT~tT trt'M.wf/tOt~'ft
ff~<'M ÏC~Mt~t~.
M FmHDL.ËXDER. –DervorchristlichejMischeGnos-
ticismus ~.<' ~MOxftdMtf~Kf/t'-f~t~M'M).GOttingen, Van-
denhueck et nuprecitt, )8~, <x.t23pages, in-8".
Dans un premier mémoire .~tc~t~c/x'M /~</<<~t'M~- t-nr-
t-/ttM«tt-/(t-;t
~<~M/«\ )!. Friediiender démontre, à t'aide d'un
passage trop peu remarque de t'hiton. qn'antét-ieurement à la
propagation du christianisme il y a eu n Alexandrie (et sans
doute dans d'autres communautés établies en pays hetteni-
qucs) des Juifs appliquant a ta loi tes procèdes dei'excgëse
allégorique et concluant a ta suppression des rites et obser-
vances. Saint Paul a donc eu des précurseurs, et sa
propa-
gaude a trouve un terrain tout prépare dans ces milieux
judco-hctteniqucs influencés par t esprit antinomistique. Ces
résultats sont assurément d'une nouveauté intéressante
mais il faut faire remarquer que les groupes
systématique-
meut hostiles il l'observation de ta loi n'ont
jamais pu être
bien nombreux et qu en juger d'après les parotes mômes
de Philon, il s'agit ta, non de sectes organisées, mais de
libres esprits, aventureux et isoles.
– THAMTttM:!
ASAt-TSES. KTCHOYAXCE~ 287
Quetteaet&tapartdugnostieismedans t'hetérodoxie
sous le
juive? Les anciens textes du Tatmud connaissent,
nom do M)<K<M, des sectes hérétiques, qui sont couramment
identinces aux juduo chrétiens; la seconde partie du tra-
vail motitre te peu de fondement de t'opinion commune,
et propose une nouvelle tes M)!<xmseraient
des gnostiques opintes. Les textes diligemment recueillis
le nom
par FrtPuhtMder ne démontrent pas sa thèse sous
de wtKtw. nous voyons defHer des esprits forts comme .taeob
do Kephar Sckhania, dont ta ligure est devenue rapide-
ment tegendaire, des communistes pratiquant le partage
des bieus et des femmes (dans un document d'une couleur
d'ailleurs suspecte), etc. Dans deux ou trois cas. nous consta-
tous en efïet des traces probabtes d'idées gnostiqucs, mais
nulle part des allusions d'une précision qui permette de
si~:na)erun groupe détermine. Le monde juif do la période
romaine, encerclé par le paganisme hettenique et sémitique,
a certainement vu se former, dans son sein, des groupes con-
tamines par les idées du dehors ù côté du noyau fidèle à la
stricto observance, apparurent des éléments plus (tottants,
composés de juifs paganisants et, sans doute aussi/de païeus
le scep.
judaïsants, opposant à l'intégrité de la pure doctrine
ticisme, t'ineredutite, parfois l'hostilité tes plus nuancées. Ce
sont sans doute ces groupouents complexes et indetiaissa-
bles 'où, à l'occasion, ngurerent des gnostiques comme des
judéo-chrétiens) que les docteurs confondirent sous le nom
deMtKtMt.
M. Friedta'nder donne incidemment quelques renseigne-
ments sur les discussions cosmogoniques et théosophiques
siecte. sor-
qui, dans les ecotes rabhiuiques du premier
tirent de t'exugcsc du récit de ta Genèse sur la création
et de la description du t'/t~' d'Èxeehiet, ainsi que sur tes
le
développements de Fangeiotogie orthodoxe qui peuplèrent
ciel d'une série d'intermédiaires entre Dieu et l'homme. 11y
aurait intérêt à présenter un tableau complet de ces mouve-
ments, parallèles aux directions principales du syncrétisme
doctrinal auquel on applique te mot presque inexpressif a
force d'élasticité, de gnosticisme. Isidore Lévy.
ut (<<'<'
(t<f6w~<rt' (/ <<<*foi, ~c«'f«ff SotMtcc< t'OM/t~-
J!<OM ~tM ~'«'<*«MtO<'t~
<'<<t~t((<f;<VC/«'< <M«t~!«', son ~<f~0.
<'«<tOMet ~M/N.~<n'm~<t't<<<)~VM('~ (<«Hi!~'«Mt't'cMMf
~<Mf).
Leipzig, Dtirfning und Fronke, i8t)9, xn-500 p., :n-8".
Vt. LE RtTL'Ët.
nih;i-))~u':tH!t':h''j~t.uttt.ttt'tis:tnt.'ha)'~tt:tni-(':tc<')t''f~!tm't[<'
)'))n'"j~"j~t:h'.–));)t:ti'.<j))(!<'['.ij!pt'fn'['d<'t'!uttht'')jtt.j~t!i<
)~intt'nti<imt<t))t~.st-nj'ti-)ns:dmi<'t)t!)it's.).(')~H')()(";)''t.ttiv<'s
:mx)'<')<)ttt')t'Urh'tU.\Mit;tut~,t'<'))<'sJ<'i:)<uUV;td~n):Usi) il
t~itc~)'j))n'c'cht')m;tttd<i!tt;t.)u''t')'u)tc(;.
M"n.~r.)~ht<-tt«.t.tc.)'urt:))tt-:m't!t)Mtut-t'<-t);)f..t)<-)i..tnt'n)ttit"
f)-t;is.t)-)i;itttt-.<)()m".(-rrf'-muun't'i<-t,))tus.!<~)~Mtt-t)))'ttL'tu-))<
'['m«uv''m'')tt<titm-)-(jui .un) iu'<'t.)n)p)isau't)tSt)<'ttivr<'< ;«')('
)'t-)i.!h'UX.
AVer un n'unr.)ua))ff .)<)<<tk'ne ri~-n..))t.-tft- M. f:.))n)'t''df
d':th"t'ta)')'iit';tti"t).)~))''tn''ut<)MU=![iv'i'r:uts))i)htutt<.).t'
t'hm-t)t))t<h.u~)'tit.tt(.-<)~t.u)t~)'ut'tnuttthr<'dcL-<-At~u)s.t):t))s
h".ct'-)'-)H'<nit-r<'titiit'n~t'st!U,)))ut<t.d:Ht~)t'srit(";)):(t(icuiio:)ui
~nttm'ttin:t'')'tthintik~tu)i)M)t)it!;ttui)'t'tt)''t)tdt'nHm'))' il
')t.'i<<).; )h.))ti'-)'tc<)m');tc)tt)'!<'a'-t)k'Ut'rt\'st<tJn'it'u
'.)tttt:ti)'dMH'.)~U<t.ui''u)t);)'tM'-f<t;u)t(;dcS)t)ut't.~t;t''t'tni')t'S
.mc.tt.i')uur't'')tit~tt'<h~)t't~)u''t).f)''t)!<t~h;m')n'
<t.m-).c(ttt<-<)'~t)i'-n.\)it:n[v:ti'!0tt<)u:)))di).s'.t:;itd't'x(''<-uh't-t)t)
m:tu\;mt-it<).!)ntt:n~-r'i!i'u))-;(')'Vt'()<)us)m')t<)':)nt)'tt-.
't'<)t)t's)'-s)'')i.<')Ut'ft'ti[)'<tfa\'or!t)))<s't)y:tftUt'hj)th'cht~<t il
t't)t'ou)<'r.c't".t)~'j;auc))'tdn!i)):'jUt't-f:tit)'))t'())t)''m''nt;c\;std<'
):mt;)iuttr~ite.j)t'].t's(-r),c'<'st;[d)'"tt''f)u<')''<np:L'.ie.<'nti))<'t
~tu<mttc't'ata(t)'«i)<'tttt')).<'u)i<'nt'mt;ttt[tuu)ttut'sju.)jt'-tlnnt
lu t't~ioft des tti.-ux ).-t du -uk-i) .t\s~Ut cottUuin. dims ics Ct';)\-
ttt')ni''Sthj)ft:t!ji'))u)n',utt')ticttt''t<)Ut:tuSuU.uhtcst.'rtd('ta
).:auch.tc.)/inVMsiu)<t-duUC~-)W.t)'-t.-tabSt<tu')/:)Utt:Ut-)tM
pu.()(-j't-iMt;tt.'ttrt;t(~m'<')'t'-s)'tin);)))c<<h)t-;[ou[t;s)(-!i<t.'tii;tu)t:)
i))t)'j-~<-r)t);tnu)m'
).'<'x)'ti':tti"))Ju ti(t. ~t; tt.tcrmittt' titcift-tnt.'tt),tme t'ois )c pnoM))"'
~d~h.M~~M~M~dc~~rM~v~s
)'K~tic d<-mo)<[«',d'intitct' )c tnuuvf'mcttt du su)<;i)qui ~cnttde se
mouvait'itU!ide~aut-ht::( droite. Et commt: te sotei), la t~iondM
.MU.YSH-– ).KHHUK'. 390
dictt\.iasouttvd'')avit'suntth'Mc<f:)vo):tt')'enoti~nt:mttout
vets~ux,t')th')m:mt,piutt-'t'un'tituctdr"!t,)<t')'tt'tu'fux,uit
t'))f('t')))'')t"!f)H'<cAt)t)nm'A(p.X~i.Auct)ntt.ti)')':n')ctuM)'f'i(itit ¡\
u:tU'ht't).)phtpattdutt')npst'«n)p('ns''p:ttuutuMtfait:tttt'i(t',
mtdiri~'t~u)thtc<j)t''dut))!d,d';)\)t)scut'it('.dt');t))tu)'t.'tt'sotau-
v:)i.!t'<pntst-td''<)n;h)''s.t)i)))SUt)t-!)-ttinc)ut'tnhit')tdun<tt'
('t')t't''))t!w)H'd!mst'!tutr')<.on )'x''iut du mat. Sut' <'t'p"it)t,
M.C.)tt'-i)t'd'iutt'Ut'i'(.t'\p)')mt')att«it)':th')))t.-))t'jn<-))'m-')t'f;ti-
.SOt~H').
)tn'tt)!n\)tt'tt~uitt-tjm'i)t'spth)<'it't's:it'-n<'r:<))\d'')'itai)!)ti"))
d)ts')t('t)(.'td'')\'m;ntatiuttdt'"it')).:)'J).nttd)~'n'<'sd!)))<d':tUtt<;s
r:tc<'<st'uh'st~rt'tit:it.)tt-.tt)df<;HtL'p't.-nt)("-s<')t<t't''t)t:n'oi)'j't'Mth))n''
t')m)t'.)i)tt'')~)t'nmhtt'))t'i(st'tft)m<npn'.«')n:t'(t'(mt'L".tctt<'
t':t)K'iftt))''cu)tu)'t.'i))'tt't-t)Mni'tu' M. M.
)/m'))t'p;tindctaY)<)um-t)tdat)~i:tt))\ttn'i'~i'')':t)'y)'nn.'tt)n',
et en putticnti'')-dit us la )'ttth'.i'tp:), ut) )'('')<'impt~t'tattt.Etttc
)ttcmt''jUf,<).tn~);tt(i)')'J;i)ttt't) ))<-<))-<'<ju'A<):t)ft fut st'-j);)))'
t':tt'))t'<'d''vi'd''mctt)'(t<;d'ytf)))t-,t.ttnt)t'tYi<'ttt(tt'c<;f)u'L't!) pi)))''
Y('u)ut)):).<pt't-t)<))')up:nn'h-):t\'i<M.X.tir'd''c('f:[itttt)<'pt-
txicrt' cunt'ttt'-ion :)'')n\'t)t'')!i)')i')u' ')ttit d'it:in<' bat'yto-
nic'nm;.– t)n''u«tt't-t)th~'p:t<'jm')i)cun''<'nti)t)ct'd'")')'')tx
)<~t'tn~-s!.uit~'t)')U<)'tJU)'uis'fn'ni)'<id'-))t'L'un''[':m'm<')iy)"J-
tht'sc.
t'u)s)))'-))ta)'ju'')t'<ùic)'i.<;t)ti<'t()u''jutn;<)td:u)'')<u))t')':tt'y)u-
ni')h's<n).fN)C)'t''t"tc-.<mxd<):)Yi't''p!'in''vit.t).tt''n
cottc)ut')uitya)'tub!tt'K'ttt')U!'ttt))iHi)ied'tmhot)))utu)))'t'th'
))()tt('nschn'tif)t))'t.t'sr'-tHHt')tu'ss'jn)t''jt'ti))t('r<6Hnt'M:)isii il
('<tt'u~)b)cd't'")t'['t'')t's('t'<tyanc<-scttn''tit'ut~ms<.)ct'iv<t'
hi~toti'tuemcnt dt'~ idées tmt'y)~)ticnnt"=,d~thcttt dM x~'nx.'s ptin-
).'ip<
~M.')y'ism'-)<-t'tc)'i'tu<-uct-fhtdeh~s-tM-)<-jndaf~t'Mt''n''
)')i'it'ti'<')')trt'.J:'[~rt:nn~ de" tt'nie)"')ivt'csth)'))).')) bit')")'
r:tctiuu')uth<'))rtUt)n't')tt~t":tshi~)t.itn''t'.t)'asd<tuut)-
ttt'p.
Utfuit'tu'ta!,M.Ch.a[)i)"t'tcit)'imu))-t['i~st)fut-atM
u)tt'["n'tt'Mttu)))~yt'ht')'~i')U')uhn:))hft)tMU~Uh'ttt.s\'xvt'f.tttt)t:s
(t-~tt.'<dit'tici).<um'-tt!it)~'rt'r<tc-.dt-)attMtt"t''):')~nsa)-i)th'ait!
).L
M.H~~v~
.h))tU:)c~-ht-:i.tn<-<)Lfot't)t)t)<)tnttt'i')))<)<)tt!t-it~uti.'TC-
))).-ttt)'id't~.)~')'«)tt'stcndt.nt't<i)'<'t!'ut'h't!()'ut')natiuu
de ):<)ittt''t-nhn-<-~tu:t)~t<' d<~ th'-hf'ux ()))" ().-1:)Mtcurdc s<-«)<<
t-onnne i-ttUt't" (.hsovt' )-:tt )'t')iun cuuH-c)''s tcmt.tnn'i- g<m'm)(".
dchcfitHp~hn~quf',M.)).t)<-tyvit't)tiU'.tttt(-Ut-su.;(-)d''tttt.)'out
[ui.ih-stautt-n'au!:).t-<'tt)~tf-s<)ui)'utt)cunutt'-tt'('n'<-it<))
pusse t-n «.'vu<:!t- )')ot)))('h-~t-n eu<t(m<'n<;a))' f'ar )'-s )-tu!:n'<'n~ 11
i)~tn))n'n')csp:t~[t:stftt):t'.ub)itt~c)'iH'jn';t)~'<-tcd'-s
cimH")~ ttu ~xtcrdink-ux un. [uut im "tuins, d~-s.tXu'.iuns ptu-ou
muitt'-d~tuum'
Qt)ui'(Uf')'!tUt<r<')it!nn-our;u)td<-stt-aMU'fhi-!t")-it~tc-tct-i"<)"<
~ranc)cntM)MUU'ntJ')ntl'tcncett~pt-<i'x'
).f-)atnisnte!.t-):ut.H)t<t-~Ut- i't)!t<;t.tt()U.t":it!'ut-.)it<~<t")ntK-
re~~HUX t)))ttt.i~uit':tbHait-nt:)Utt"n-dnSh)!tf.Mo'ct'aut'itit
hansutis aux ttibuf J'' nt'c )uc<- qui h:t)'it:m'nt t't:)!y['t". Il
s.'tait afrtubti :mmMHc))t .tt-)'o'u).ation. )MU)'se n'siaisit-ante~xe
'iue rH'at hcbtcus.' cuustituait.
'.–CÉtÉnAU-t'ËS, t'Utt.OSOt')HË
t'm~)). !<)'))!~t)cnKM)!tM
Dansiepren)iervotu)ne(tocctouvraKe,M.!}iertit){;a Il
cxptiquccequ'i) entend par une «th6orie des principes du
droit M. C'est «t'cxpo'iitiun
systcmmifjue des concepts et
principes juridiques <)ui,dans leur essence, sont iudepeuditnts
des piu-Ucutarites individuelles de
«'importe quel droit
tif". Est-ce donc une philosophie du droit ou une théorieposi-
du
droit nature) qu'il veut exposer? XuHement la
philosophie
du droit est l'étude des rapports du droit et de la morale et
M. BieHing n'a pas t'iutention de s'interroger sur la va)eur
morato des préceptes juridiques sa théorie est purement
descriptive. D'autre part, le droit naturel serait un ensemble
de rt-~ies uuivet'seHetHent adoptées par les
hommes, et M.
Bio'Hnp ne sait pas si ron peut trouver de teHes rëgtes i)
sait seulement qu'il y a partout des règles, des
ob!i~ations,
des droits, des lois, des contrats ce sont ces notions
qu'i)
veut définir et classer: il n'étudie pas ta matière, mais ta forme
du droit.
Les hommes forment des sociétés pour atteindre des fins
communes; pour diriger leur activité commune, ils instituent
certaines règles qui accordent aux uns des droits, soumettent
les autres il des obligations. Une retation
juridique est créée
entre des hommes quand une règle a institue
pour eux des
oMigatioNSet des droits correhtttfs. L'cuscmMe de ces regfes,
3t8 h'AXXKt! tSW)&it9
-.t)t:t')).u<!)<.)rH.
c'est le droit. '<Le droit, au sens juridique, c'est tout ce que
des ttommes qui vivent ensemble dans une communautéquet-
conque reconnaissent conune re~te de cette vie commune.
L'activité humaine est dirige pur d'autres rentes, et eu parti-
culier par les préceptes de la m~'ate. Mais les re~es juridi-
ques se distinguent des autres par un trait et par nu seut
Ktoui- te-; membres de ta société qu'ettes t'hissent les recon-
naissent t'unune rentes de leurs retutions extérieures". Cetto
reeouuais'-unce uuiversc)te u'hnptique ni approbation uua-
nime ni même obéissance uous pouvons être contraints de
reconoaitre t'autorite d'une rejeté ~u'idique, nous pouvons
)net))t*ta viojer, )))i)is.au montent ot') nous ta viotous. nous
savons qu'eHe est eu vigueur. M Hieriiu! distingue deux
ct~sM de re~te-; juridiques !<? uues sont inttnediateutent
reconnues conutto des re~ie!!supérieures ou « régies du (n'e-
mier ordre les autres no sont reconnues comme des rentes
t}ue parce qu'elles sont iescoroHaires des premières ou parce
qu'eiies ticunent des premières ieurs satictions ce sont tes
<'règles subordonnées "ou" rentes du second ou du troisième
ordre Soit parexempte une conquête le vainttueur impose
su loi à ses nouveaux sujets ils sont doue obti~es de recoa-
naitre des régies qui ne se déduisent pas des lois auxquelles
ils étaient auparavant soumis ces regtes nouvelles sont des
régies du premier ordre. Mais. ù dater de tu conquête, les lois
d''rherout de ta constitution applitluée au pays conquis par
rapport à cette constitution, ces iois seront des régies du second
ordre. Seront aussi du second ordre les contrats signes par
tes particuliers puisqu'ils n'auront de valeur K't;:de que s'ils
sont redises suivant les formes prescrites par le nouveau sou.
verain. – Uennition du droit, des relations juridiques (H<'<<<~
des obligations et des droits HfeAt.~tfA.t, M<'t'
rfrf(«<<tt<.M),
«M~ffAt. dénuitioo et ciassificatton des régies juridiques
(Nfdt<<MOn<tel était te sujet du premier volume de M. Bier-
ting.
Hétait nécessaire de rappeler ces déuuitians et cette clas-
sification avant d analyser le second volume qui traite de
« l'apparition et de la disparition » du droit. Le trait distttic-
tit de la norme juridique, c'est qu'elle est recoaaue comme
telle par tous les membresde ta société qu'elle régit. Dés lors,
si t'en demande à quel moment natt une relation juridique,
M. Bierliug répondra qu'ette naU quand les sujets en relation)
reconnaissent tous une norme. Aquel moment disparait un
-tXAUSK- – UtMKAUT): )')U!.o.<Ot'tttK 9)})
rapportt jurKhque?
in )'i<)i«tt<t''<tmt«<t<.o<A.<
Quondces ntémes ,t~ de recon-
cessent
sujets
nattre tu norme correspondant ce rapport. A
quel momcMt
se traustorme une retation juridique? Au moment on les
sujets en relation provoquent ou acceptent – eu tout eus.
reconuaissent – une modincation a la re~te. Un lieu
juri~
dique est noué entre dos humâtes s'i)s adhérent aux statuts
d'une txémo société, dénoué s'ils renoncent a
y adhÉrer,
HtudMus'ils cousputcut à MJuutcrou a retrancher des articles.
C'est !e)~nem essentiel de la r~te juridique – la reconnais-
sance de ceUe regte par tous tesussocies –
qui est en même
temps le facteur esseutiet daus la production et daus la des-
truction du droit.
Ne faut-il pas recourir il d'autres tucteurs
pour expliquer
lu naissance et ta mort du droit? Pour expliquer le lieu
juri-
dique qui unit te detinqunut <'tt.) partie tesee, lie faut-i) pas
t-emoute)-jusqu'au detit? Pour expliquer le droit du
pt'oprie-
taire riverain sur t'aUuviou, ne taut-it pas tenir
compte de
l'alluviou tnetne? Hu un mot. le droit n'est-il
pas t'ouvre
d'evenetuents physiques uu moraux auxquels M.
MiertinK
n'accorde aucune UMportaHee? Pour lui, ces cveuement$
sout des occMions qui pertnetteot aux vraies causes dudrott
de se manifester. Eu dépit du dftit, il
n'y aurait pas de tien
juridique outre ta partie t~ee et le délinquant si tous deux
ne recuunaissaieut pas (votoutairetnent ou Mon)la toi
qui
donne à tune uu droit, impose à fautre une
obtt~'tio".
Et de même lu rivière pourrait dcposer ses alluvions sans
donner uu droU aux riveraiMS, sans imposer des devoirs aux
autres hommes, si les riverains et les autres hommes ne
reconnaissaient pas la qui établit ces droits et ces
devoirs Les mômes remarques s'appliquent à ta dissolution
du lieu juridique. Saus doute, des événements
physiques
ta mort par exempte – peuvent
rompre ce tien mais ces
événements ne sont pas les conditions nécessaires de cette
rupture il suftit de donner sa démission. il n'est pas néces-
saire de mourir pour cesser d'être en relation
juridique avec
les membres d'une société. De même encore. il est certain
que
des événements physiques peuvent amener des modilicatiuus
dans des sociétés ta découverte de ia lumière
étectriqne
peut modilier ta constitution de certaines sociétés d'éclai-
rage au gaz mais ou voit que cet événement n'a rien de
nécessitant et que la UMdi<)ea).wn dépend de ht volouté des
sociétaires et de l'adhésion qu'ils donnent aux statuts modi-
320 ).'AXXÉE )8M.)S99
"UCtOLUUtQfË.
~Cr''ati"n<"an')nn.t)t".)'. r.
Su~rt'-tttv. )<~MtHm't)t'mt')U'))''r''n)t&:bsf«))-
t)iti'<)t!i'<hj''<'tivt')<')'a''t''jt)t'ijh[m').
AcTtoxs Ac)i'jtt!.)'ittit<'t'iitex:<-utt~.tt-
.:M;tTH)C)! tL )'<)t)..i~imtd!tnst'.K;.
duits l':u:.
r,ur.rrmcr.s
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S~rdon.
Sulmrclutuu·~· .tutisma
Ar.i.< ,c.t~a.tnn..h.~
g~unsi~tunl.rl:ln;l'iuf·
~M..i)a[.r~. f ~c.t.u.d..nsh,
pnstttmtuttttun'titL'
t'!ndr')i'))ub)n-:)u(ut}.
t'f'<-M<t,«
f/M~.<t-t<mctt<<.
Pari: AtfM).)8!)3.f.
32M L'AXXKK sm:fut.ocK~'K. t)!t)8.tS9M
(.< oMpt')M<Ktff
<oh'm<~xM.– Les individus porteursd'un même
totem forment des groupes xtf<~<'t«')'M,distincts des villages.
Un memectan peut être réparti entre plusieurs villages et un
même vittagecomprendre des représentants de ctausdiuercnts.
A Buka et dans plusieurs autres endroits, il n'y a que deux
clans ailleurs, ils sont plus nombreux. Les animaux qui
AX.U.Y!.)! – MHfi.tStSATtox Sf)t!tAt.E ET t'OUTWB 341
fait 1-nnnnèl.%
t'apporté nnw
par 11x
M. Q. ,,1.nll1.11
8. signifierait rlnnn
donc men
que 1~
le "I..n
clan Alni!
était
resté ut('rin dans ces sociétés. D'un autre coté, c'est une règle
assez générato que le mari vienne s'établir dans le district
occupe pa)' tes parents de sa femme (p. 30t) il y est parfois
dans un état de dépendance. Dans certaines tribus, tes grands-
parents maternels de l'enfant doivent se soumettre cer-
taines des pratiques constitutives de ta couvade; preuve qu'on
conçoit entre eux et lui un lien tout particulièrement fort
fp. 397). L'autorité de foncte maternel («r«<t<*K/tMt est encore
très visible dans certains cas ~p. ?9). Or la tamitto utérine
exclut l'organisation patriarcate. tt est donc impossible que.
ta où ta première est encore apparente, ta seconde soit bien
forte. Ce qui a produit la confusion commise par l'auteur,
c'est que le père commence à exercer sur sa femme et sur
son enfant un pouvoir qui peut être assez Étendu. Mais cette
autorite ne se fait pas sentir au delà du cercle domestique
elle ne saurait servir à caractériser aucune particularité de
!a structure politique, II n'y a donc, en réalité, que deux
principes d'organisation sociale, le principe totémique et le
principe territoriat.
Le groupe totémique n'a pas disparu. Maison ne le retrouve
très accentué que dans la Guyane Anglaise, chez les Ara-
waks, avec sa caractéristique ordinaire, fexogamie (p. 284).
Cependant, nous nous demandons si ce .Sf<!H!H) dont parle
fauteur, et qui se recrute en ligne maternelle, n'est pas un
groupe de ce genre. L'hypothèse est d'autant plus naturelle
que ce .~«wot nous est présente comme n'étant plus guère
qu'une survivance. S'il n'est pas une société ayant, au moins
originellement, pour base la communauté du totem, nous ne
voyons pas en quoi il consisterait.
Mais il est bien certain que. de plus en plus, le principe
totémique tend à s'effacer devant le principe territorial. Le
groupe politique élémentaire, c'est la communauté de village.
Le vittage comprend tui.même une pluralité de communautés
domestiques qui comprennent, chacune, au moins en générât,
une pluralité de familles particulières. C'est le village qui est
propriétaire du sol, lequel est exploite en commun ~p. 3tt);
c'est le chef du vittago qui dirige cette exploitation, ainsi que
les chasses, pèches, etc. A l'occasion, il remplit les fonctions
d'arbitre et de juge. Toutefois, en temps de paix. il n'est rien
de plus qu'un conseiller écoute. Quand les gens du village
ne sont pas contents de lui, ils le quittent. C'e<tseulement eu
346 ).'AXX)!E SOCtf)t.t)tUQt'E. t89M8M
t'HfM.U'MKHKtM
t'. – OttGAXtSAT'OX
POLtTtQUE
P~r MM.STtMXEY
ETf~*)'))t
seule qui trouve gn\ce, non sans raison, devant !ui'. a ta toi
setoutitque!tet'uniiatc)':)itendudevenir)en'ciproque.tttttt
donne mcme un sens nouveau, montrant qu'ette n exprime
pas m'cessaironent te passade de taviotencea ta justice,du
vo).')
)'c)tau:e et do rapt au mariage. mais qu'ette est encore
apptiqat't' dan~ te passive du bienfait a ht justice, du don il
t't'(;h:tt)i;e.Mais cette loi. Mixsiintcrprxt~. ne s'!tp))H'[')et ~'tte
pas .') ta VK' potitt'{ue ? Rt pouvitit-oo éntmn'rcr t~'seau~es
<h's tnmsfut'atMtions potitifjucs sans chcrchct' dans 'juft~'s
eottditioMst'activitfconectiveHOjw~'ehtit.ptuKf.U'nt'tivitf
<;t))te(;ti\'cncc<'(t)MGou eonsputic''
Kn msunK', ou peut étudier n plusieurs points de vue tt't
t'nusexdcstnntsfonnaHonsdu pouvoir: cmomptttse moditie )p
ppMOttnct ~ouvfn)p)ncnt:d ? commf'nt se nxtdifipxt )(' att)'ihu-
tumade i'Htat' contmfnt modifie le domainp "u s'cxt'rcput
d'itt'tion
-;c~:ttttibuttuus.'c't<n)t)c))t.sctt';)t)s(o)'nte)tHesniu;'(.'us
du pom'uir? cottuneat se truasfortne la fin de l'état? coMunent
se tr.miifonnpoti''s t'piMtionsdt'ssouvernimtsctdcs~ouvcr~?
H scmbi<? que M. Tarde ne donne pas d<'n'ponsc aux deux df't'-
)tifrcs<(ufsUonseL<;ue. puur répondre aux proniercs, n n'e-
ttthHsseentre les (.nts et les causes supposées qu'un ropport
en)piri'[ued'um'}nsu)!isautesondite. P.L.
ti('nduc!d'mctp;tttc)oet)t~tr~:t-t-M''un''va)''U)'jmidi(jm';s<'
drdnh-))c des principe du droit puhn('?()ubi<)t)ccahin''ta-t-n
:tt(pttSMtt pouvoir ct)et)tph''tatttpt'uA)'t'u sur )<'pmnt)irdun'i'
Htvtm;i<ar'pm)'.<).:tt)h'n:trchn'at~utu<'('stu))")))yH)t't.t~est
t'n r'ratu'e tju'on ft) croit trouver le mmtf'tM.U), on droit, pondant tt't
))niti.i~c)csdc.wnhistt)ir<)atno)tart;hM)ran<:ai-i)'t)'.)j!m)ai.<;tc)'c.
Yt tUL'd'UH puuvoir absutu jp. M'. ).(*t't'i j'uswdait te pouvoir exécutif,
)uaisitM)\'xf)';ait qu'avec ta coU:)t'ura)iund'onpr'')ni<'r ministre
11 dM sf'o't'taitt": d'Ktat. )) poss<d:nt )f pouvot)' tt'-t!is)i)tir,mais ic jfuc-
t:!i:nit!tV'')f'Ht:tt'!<«''))')'.t)t.'(<'t)t't'iu'tt'))t''nt;nfht,s'iijui!)it)~s
cas t'oyimx,il n'* ))u.<s<d!titp!n t'L'(t))t' j'um'un*judiciau't* j)ni«jm* Ics
'iMt)<'ur!t!n:uct)th'm'!<ttihtm:ntXt't)(uc, de toute. h'sscut('ttc'<,uu un
pumttita))j)pk't' au t'!tt')t'tn''t)t. t.:t t))<)t!H'chicub~t!upn'a pasrcttMt
Atbnuct'UM<'Htat<t;st-i't-dirt'un<)[K')!'onu<'jm-idt'[m'
Au contt'im' t'Htat )n'u)<'t'n<!f-'st uno)~'t"))n''ju)'idi<~e. En pa!
snot ()'; rut)cit;)i t'git))<' au nouveau, t'Ktnt n'a pas chatte'- de
f\'t)ne on a consf't'Vt'sixot un s<t)v<'tain, dtt moins un chef d'état i
toais i) y a f'u c))a))t!<'m''ntd'' sut).t.tnc<' dans la <:oustitutiot) de
t'Ktat~~).0).L'i<.nn'<'t'amt)<f'd"))))Gptus&)ui-tt)'n!<'NtiM; i
il la trouve dans t'ut'j:at)i<atiuujut idit[uc de;) puuvoiM de t'Ëtat. C'<'st
d~xc um' vu<'.snpt')')!ci)')tc<)u'' de cu))sid)''t't'r fc )))onat't[uc constitu-
tiotm'd cennnc uo avatar du munanjm' absutu eu rcatitc, c'est une
institution uou~'n' Et il <'n est df tt~tm' du cabitK't. – !.a fin du
ttaYai) tc~uttit trop dircctt'tocnt a fart j'otithjuc pour tjuc nous
nou'i y an'ctious. t'. t..
t!). LA t'AMtt.t.Ë
t'arM.tt<;t))ftU!M.
t~nft:tY.t,AtA.t~t.t.t,.t't. )1
tes tttUeremes soctetes. t.e but de fauteur est plutôt de faire
voir tes raisons d'être de notre morale domestique actuette,
ainsi que te sens dons tequet ette paraît appciée a se déve-
topper duns t'uvenir. Seutetncnt, u l'occasion. il appuie ses
explication!' et ses prévisions sur des faits empruntés ù t'his'
[oire ou a t'etttnograptue de la farniHe.
Tout t'ouvra~e est dominé par t'iuée suivante c'est que
la famitte est te domaine propre de t'indhidu. Ha t.utt qu'it
~it au dehut's, (ju'it se tn~tc a ses autrus coucit~yfus. t'hummo
est soumis a uuG monde duut t'mtique ubtct est du sauve-
garder t iutfrét de ia sociL'tu.Mais, « duus sa maison, it vit
cottuxf il lui ptait; ia tribu uu i'~tat n'a rien fui pt'ocut'cr
un u lui pt'Gsct'irc La nxn'aiu domestique « t'envoie tomout's
vers ta vohmte de l'individu n ne s'ensuit pas, d'aiiieut-s,
que les cuututnes duh'eut mjcussaifement varier, du tout au
tuut. d'tnt fuyer n t'autrc; les faits ntuntrent qu'une certaine
homogénéité est la regte geucrate, surtout a t'origine. Mais
etie uc vient pas de ce qm' chaque httniHese soumet à une
regfc qui lui est extérieure lu cause et)est simplement dans
ta similitude des hesoinset des circonstances et dans ta puis-
sanceavec taqueHeta su~estiun sociideagit prinutivemeut.–
K')t seutement cet individuatisme serait immaneutà ta famitte
de tous tes temps, tuais il serait aujonrd'hui plus prononcé
qu'autrefoi- Sansdunte. ta fa)))tttepeuh''))'e considérée sousun
autre aspect. D'une part. parceta scutfju'etteest une vie com-
muue entre pinceurs personne" cttitcun de ses )nen)bres est
obtint'' de tenir compte des autres et 'tes exigences de la petite
eottectivite qui est ainsi (ormee. D'un autre côte, t'Ëtat ne s'est
jamais désintéressé des retatious domestiques;1afatnitte a tou-
jours été, a des de~n's ditit-rcnts, uue institution subordonnée
aux nécessités politiques. Mai;,cette dépendance de l'individu
par rapport au groupe famitiat ou de ce groupe par rapport
a des tins supérieures qui te dépassent, tend à s'atténuer de
plus en plus et à disparaitre. !)e plus en ptns, t'organisation
de la (a)nitte devient « une aHaire privée, décidée par les indi-
vidus eux-mêmes, seuiem''nt protégée et nun régutarisée par
l'autorité de t'Htat p. 7. Ce sont tes besoins, les intérêts, mo-
raux ou autres, des individus (tout ciiuest composée, qui en
déterminent et en doivent déternnuer la forme normale. Il ne
faut donc pas partir de ta famille commcd'untout. mais passer
en revue, les uns après les autres, chacun de ses éléments et.
voir ce qui se trouve impliqué dans la nature de chacun d'eux.
AX.U.YS)!– t..t t'AMtf-LK M67
mœurs nm.it.
scxucttes .,vet de
.i.. 1'An.nn~¡n."nn ~In lo
l'indépendance de la femme exclut
é~atement cette ttvpothése.Hnfh), dans la cérémonie du
mariage tp. :!<Set suiv.. it n'y a que F<mne trouv<'d:ms
toute sorte de socit-t~ oit il n'est pas question de pouvoir
patriarcat.
L'impression que nous produit cet ensemble de faits est
que h) famine utérine a du persister assex longtemps dans ce
pays pour en attecter les mœurs. Car elle apporte partout
avec elle ce taisser-attcr dans tes relations conjurâtes et
domestiques, cettt' situation relativement favorisée de lit
femme que nous venons d'observer. C'est la famille dt son
minimum d'organisation. Quand le c!an est fort. l'esprit de
solidarité qu'il ittcutquc a ses membres ncutratise cette
espèce de rchK'bemeut et en contient les effets dispersifs. Mais
lit air il a disp;)t'H sans que rien t'ait remptace, il en est
rcsutt~ comme un atlaibtissemeot de tous les tiens sociaux.
De ta, cette vie a la fois facile et languissante, ce caractère
bon enfant et d'une insouciante paresse que l'on nous pré-
sente commeta caractéristique du Turkestau (ch. v;.
On trouvera, en outre, des informations intéressantes sur
les origines ethniques de ta poputation~ch. n et m) ainsi que
sur fêtât économique (ch. tx et x'.
e~t te
ccnst'quent, du type de lu X-tdrugastavc. Le chef eu
mais des que le
père tant q'tch-s enfants sont eo basane;
tits a!m: est marie, c'est a lui que n'vient ht direction du patri
tnoio' Le père conserve seulement ce qui lui est nee''ssaire
Les
pour vivre et pour subvenir aux {fais de ses ftttM'raitics.
cadets ne reçoivent rien. Mais sils n'administrent pas, ils
sont coproprietitirei!. H est donc inexact de parler ici de
famiHe patt-iarcnie, les (L-uitsdu p0-<!et, ù sou detaut. de
i'atttc ctant très tituite- t)'aiHcurs, il seotbie bien <i"e te père
ne doit être qu'excepttuutteHentpnt u lit tête de tu tarniHe,
une tois
pui~tu'i! est assez vite remptacc par t'atue, cetui-ci,
tnurt.parsuttputth'.etc.
Cette indivision et ce conunuuisme s'eteudeut, eumme t't)
sait, jusqu'aux reiations cunju~te~. L'aîné seul se marie,
mais ses {rO'esoHt lu jouissa~o de sa (etume. Leurs droit"
souL si reets qu'H tte peul répudier sa tetMtHesans )eu)- eon-
scutemeut (p. Cette potyaudrie est si bien tieeà Hudivi-
sion de )a propriété qu'eUe cesse là ou cesse cette indivision
.p. :~i)). Uetettcs pratiques coujugates entra!ueut uaturette-
tneat une assez graude to)et aneepour tout ce qui coMeernetes
retatious sexucites. L'aduttere u'cst que faib)en)eut repritne i
ta (etnute est prêtée a rhote. qui est.assimUe ù un trere, etc.
la
p. ~Mj. Cependant, le lien coujugat est très fort, puisque
ntort eHe metneue le rompt pas, te mari deced&etuntretuptace
par sou frère. L'auteur fait donc tre:i justement remarquer
comme
que ta torée du iicu matrimoniat oe varie pas du tout
)a fidéiite couj'~atc. -– Quoique toute cette organisation soit
bien étonnée de la iamiUe uteriue, il faut aotcr cepeudaut,
que, dans certaines parties du pays, on ne peul marier une
35~
j'-une nHe sans le consentement de t'oncte materud 'p.
tJne tette coustitution de la ta)niHc assure naturcttement
au principe d'hérédité uue influence prepouderaute dans t'or-
~anisation sociale. Toutes les professions sont héréditaires, 1
sinon en droit, du moins en (ait. C'est ce qui donne a )a
société tibétaine un caractère essenUeHementaristocratique.
Les seigneurs sont de riches propriétaires, qui remptissent
h's (onctions pubtiques importantes, en raison même de teur
richesse; et conune ta proprteto reste toujours entre les
mêmes mains, it scst (orme une classe Mobie.maiii moins
(crnMe que dans t'tnde. Les origines économiques de cette
aristocratie sont encore trop apparentes pour qu'ctte ait pu se
constituer juridiquement (p. 3583C3t.
~(78 )?!))?*)
t.*A\XHK~H:)'))."t,x.H.'t:.
vue du mariaRc. Quand Fatué était une fille, ette restait chez
elle et le mari venait avec une dm s'étahtirchezsa femme.
Aussi. en ~'nét'at, le mariai;)' associait-it un aine avec une
cadette ou un cadet avec une atm'e. Le mari adventice ne
jouait dans la tamitte qu'un rôle ettacé. C'est t'éprnt~' ttt'ri-
tiere qui exerçait vraiment ta puissance pittcmette. j/aitteurs,
cette puissance était très restreinte. Il avait copt'opt-icte
utttt'e le p~'e ;uu lit ntft'e scion les ci<s)et )'!t!)~ un'' ("is <}ue
eutm-ci ~tait marie <tucmattcijM tes bicas uo tt~acc m'pou-
vaient se vcudt'f saos sun cuuseMtenx'nt. t) pouvait, dans cer-
tains t'as, en pxi~'r le partait' anticip< et m~me t'etirer sa
part a t'ascojdant prupt'it'tairt', si ''dui-cita~'cait ma). L'ctt.
faut devait alors cntretcnit- u ses (rais i ascendantainsi expro-
prié.
Cette organisation tient évidemment a une doubtc cause.
t" Le culte des Liens patrimoniaux, II faut qu'iis rcstcut indi-
vis et qu'Us restent daus la famille qui y attache son non.
C'est le patrimoine qui est rame mctne de ia famille. Aussi,
les droits de disposition du propriétaire sont-ils limités le
droit de copropriété des autres membres du groupe reste très
marque. Les souvenirs laissés par ta famille utérine. Par-
tout où cette organisation famiHaie a été tortement dévelop-
pée, elle a entpectté lit primauté juridinxe du sexe masculin
de s'établir aussi cotnptëtcmcHt qu'ailleurs. L'importance
attrihm'e pendant si longtemps aux femmes s'est opposée à
ce qu'cHf's fussent rejetees dans une situation trop sensible-
ment inférieure. Le souci de maintenir le patrimoine indivis
lit le privilège de t'atne. Les idées laissées par la famitte uté-
rine jh'ent que le droit d'alnesse fut indépendant du sexe.
t! est intéressant de remarquer que tes idées{codâteseurentt
grand mal à pénétrer t'esprit basque et même n'y arrivèrent
jamais complètement. Chaque propriétaire était le m:)!tre,te
seigneur de sa terre. !)e là, l'habitude d'assimiler tous les
Hasqucs à des nobles.
S<:)t.W)LU:n;<).
-MeUrgoschichtederF<tmUi.:Mt.ttorrecht
und GomtilverfaMung f/<f ~nM<-<t'Mde /.< /HM~<-
<</<- MA-e /w.~ti«-Mf.-o<t<~ c/A<A)-A«t-
Ct~wA
t<'<'tM~MM~t<.)'«/«t.,<~t),i")teft.p.t-2<.) 1."
C'est une co.tK.renM f.tite
par M. Schm~er au )ycee Victoria de
Hcrt.n. f.e cat-acK'.t-een est d..n<-
.'ans uu averti~ctoent p.tintinain..es.«.))ti<.)fetnent exoteriom- ~us
t-auteur nous a~.nit qoe les
Conclusions exposées d.)s s.m H-avai)n'ont rien
d'imptovi~. dcnuis
.hxaMj.probK.nte h. p~ccup.. et it.<-e.t tenu au courant d.. tout
L~'qmaparu sur le sujet.
)) <-on.<!id..)-e
<-«)Mnt«)).)ttti))t.tt YMisemMabJe que ht Oiatiot! ut.
r.c a et.; te fait p.-itnit.r.t
ccta pour deux raisons. )" Elle est plus
proche de ta nature et ,ni.:uï en rapport avec tes .dees tn-.s
't prtmtt.f. 2'- t.'ot-ganiMtion gentilice ou sitnpte<.
or8anii!ati..n du ctana été
t'~ prubabtet.M.nt un fait univers) or cette ur~ani~tion ne lui
paratt pas avoir pu s" former autrement que sous le
régime de ta
"at.u.,en)i).!ne.naterueue. Sans doute, à partir d'un certain
"'oMent de t'hi,tuit-< rexistCHcedu cjau
paterne) est incoutestable
3M L'ttXKH SO':)uH't.)'Ë. tt!9< )8M
)u:)is))))t!<)tti~M.(ion<'nt's(tt'(~'d<'tiui<'[)um'av<tt't~rimttt\<–
t.c())t't:t)-HU)'tt')))t)"u-t))!tr;titjt~t)j)ruh:)t)t.S!U)!<ttoute,itu'apu
y:nuit':ti'u))K)tK'u)tri.)np:tt.')'tK't.a\:mmt<'ntortf.tt)is'f'n)tne
c<')uiqu'')tutHt'ttc~nt)\'))'!aUtt''butd''t't)istdtt'.M.ti~iiu'('st[iai
preuve du tuutqu'utt<;t.mj)tu'u)tm)nc.))ht'<<ttn<M')))tc.))'tat(pa''
Mnci)mbk'm't't;t'')'t'itK'))'t'tt)')atiU:t(if))<?n)i;:n'')))!t'!cutin('.
tts';)t:itdt't''t~!t<)')"-)'? n~<'MM,C))VCrtUdu~U''))f";f)t-tftifnt
-uuv''))t't')t~u)~'[':t)t'h'u)'sf:unifh's:r<t/Mw (tonnait nai'
Mt)c<)<(' ))~-))S(fm':tt))'Mtt'c)t'.j''m)<'h"f))))t''t'ti<j"t'tt'anii'')'
')ui t'in-ait ~f't' tt vivait fntre eux t'c)m)H!f df Jt-oit~ et d'oit~.
t.auh'urf~'nt'' n))'x(')ic:!tiond'cftte pmtifjm'. Ht'' viethh'ait Je
c<tn'' ':ctt;tnn n)''tnht' d'tnt <'t.ut.'*t.mt t't'tfmts h~t-~du tt'n'itoh'c
u)t dis)t'uit< d'' k'uM wcupttti~ns dtunMtiquM. in' pou\aifMt ftfver
tfUt's ti)~: tes xcntmf'nt~ df st'fid.u'itf ;)<<)u'es <iu cLm faisaient
t'at':t<t)''tuutti!tttttfh)uc)<'ut'<'dm:ationtùtfa)t'p.m-(t'au[t'<<.)x'-rcs
ti't'iunin'–L't'xjjfic;ttiti))t.t M);))~i)))p)i-U;n<Mtitt'i) s'agit,
~ans duut' d'un d(; cM ittnmultt'ab)';scasd<' )<:u'nt!; ttitf a~'tiHcit'))''
tfU).jfHfnt tunt de' tuntict' sur lu tmtun' tie~ t'e)ati~us famitiaic~.
gXO, ).'MX)!t!MCMU'eH}''H.M9
Mais, en
objets du ménage qui revenaient & chaque époux
dehors de ces biens communs, chaque conjoint avait des droits
exclusivement le cheval, les
propres. Au mari appartenaient
armes, le revenu de la terre qui lui était nécessaire pour
le montant de la compo-
s'acquitter des devoirs militaires, et
sition qui lui était due pour t'iniidétite de sa femme; à la
femme reveuaieut le montant de la composition pour t'iufidé~
lité du mûri ou pour coups reçus, et le prix de sa virginité
~)W-</<'K~f<).
Le9 immeubles appartenaient à la famUte. Le lien de parenté
était très fort: «c'était l'essence de la société, car, par lui,
«chacun, homme ou femme, avait part à tu terre commune et
aux privilèges qui y étaient attaches a tp. t59).
Teis sout Ics traits principaux qui se dégagent de ce tra-
vail, plein de faits, mais assez confusément exposés.
tid;)at!)Mt'<')tt)ni':<'A'~ntrit)Utio)itoutaussi))i<'nqu'!h'T!))tttu<).
t.mk'm' sont'te )n~m'' con:.id~'t'r ces Jeux sources cotnnx! c<)uh!<-
)(Utt-s<'tit)t'stnctf()'('U)'rt". su)'J''n)~tm'phi)t,connue si i'csjttit
d''t:t)'t!i''fati()njt)iv)'))'a\!tit))asfVott~d'')aMibt<'nttTa)tnud,))ot.'(m.
))t''nt<'nc('~uit'K))c''rnfta''<'nditiuad'' )af'')nm't.Htc))dattc<'
!;<')«'')-:))<'dut)'avai)f'st.d'att)t'ut's,j'ttt!!atn))otit''ti(jm'<ju'))istun()tn'
''t''ri)i')U<t)nsenttt-<))'ia))rcuc<'u)tatiohdf)not)trt')')a!;uj)'t'!urit<j
'tt')att)<-))a)c)ttiv'<"t".t ait).") ({u'uotruitdcvo!)'vanter ta facitHu
avt'c)a')m'))''if dt'tutjuit)'t't)n''t)cdnorct'un. jdutùt.ta répudiation
~at')'h''))t)))'att!Mf)u't'))<'indique, au <'t)ntrair'ut)ca.s.'iMt;)'.mdM
ta)!'i("('du)i''))''utt)u~:tt~t~.<h)<))t)')n'(tm'i'<)K(''trt"!d';t'<)i't)t
j"')'tt'rh-d'')u)d<')'')tr-)'t\h<'s))arcuts,tt).us))()t)dett;u)'sf('tnt))<"t
').v..xx'.i;)-x).n.S:t.(h)n<'dit{!asutunt)tduMM/Mt'<)ui)u);dt
')u<'<))tt'tU)t)Mt~Mi'(')'it!tnp,)ajeut)ffi)i<;<?ta)tac)tett''ej'ar)etnan
ti.j):u'cctn';ct)Ut'))t,~M~('<'j):tt'h'pt'n'.
H)'<"=(''t~'anmf)tn'!)'"tnn)f'incnnt''sta!cqu''ta<-<)nditit)ndcta
f'')t)t))fcnJttJc<'t''t!uttm'))!.u)"~icut'('ùc<'H'Heh)'h(i'tif)iU!t)'ht-
)':ut dt'stt~ittatiottsotx'ntatp' HHt'n'était j'as cx<;)uc'd<'<-c~t'~tttonifs
<ttt cnjtc <'))c))UtHMit)n<'ttn't'-tre iostt'uitf tl:ms lit Loi. Tout t:)))nn)e
th")u))t< ctte portait encHc t'itnaue df UifU ~:cn.. t, 2~ Tuut ?<
)u''tdect\)h')'))u' tt)t'un)iui:t~. ~s;:M'Hs)'-t:m't)t '))<u)t'~
.)). ~). La vcmet't la divorcée <hti('nt<t«'j<«'«.t.pssex<'s.j')ui<fti<'nt
'hns ))'Ut-s tt'htions J'm~' grande tibet-tf ,p. Ot;. tsiaf) a )))'<))?
(~ttt))tc sept )u'f'ph'~psse.<.<:('tt<'.sitttation ciit <)«'')<)<' t<'))c))t''))tf:no-
ti<<' qm* noui! tm-imons a i'exptiquct' par )'-s smm.'nit!. ft )''< )):()!)-
tu'h's <)U':n'ait'))t)ais.«'<'Sft)~Utt~eta f.unittu ut~tim*. Ct'th'-ci yaccr-
t!tin'')))f'))texiste (*t:)ss)'x)nt)(!t''m)Mt'our nnu-((u<'t-df son fmju'<int<'
t''s i)tt''< et les t))t''urs .~c\ )<'s faits a ):<)'t'ui ttan.<)!u))),<'<!uc<<!&'M
)'<'f'/(«f~«t'Mft/c<<<<)f, p. ~«): et <')h' t<'ndnatut't'ttcnx'ot a ctat'th'
''ttttt' )c~ deux sexf!) u)x' cct'taixc f~ttitt'' dont i) n'stf d<i trace'
tt)<'))t<'<)uandt''tr~a)tisati<))))annHait'acha)t(.:t' Lu auttc fait <p)icun-
tit)))'' );c)t<'))yt'ottK'<\ t: t'st ia htihtfssc n-tathe du tien cuttju~a).
).)nc d'un esprit f{'m't'cux, att)i des ~xtutions moyconcs. t~t thfsc
<[ plutôt drt<)~j))" p:n' voit' J'mMptitic:ttion <)uc tttct)n)di<jtn't)x'nt
d~muut"M. L'autt'ut- cxpusc avec chajeur ses yu''s pt.'tsuuxt'itcs,
<n:tis'ms en dûunct- ')<' pn'uv~ u)).)''cti\t:. L'* totc il Yenh- de lu
r'-oonf lie peut p.)m tant .<f det~'tmittt't' tp)c <jua)td <'n cont):tit soit
t'h* dan" h' pas" ~t )c" condhions en fonctiun d<M<tuc))esit a
vatif'. – Lfs tdt-<'spxpos~c') ne sunt pas, d'aittt'Ut'y. d'uoc parfait'*
pr'cisio). La ft'nxxo d')'ait taissft' il Dtumtnc les fonction'; de p)-o-
dnctit'tt. et se Lmn<*t'aux fonction? d'ut{M)))!'ationft d'nssimitation.
Mais que faut-it t'ntend) c partu t'~m )a f<;mtm' marice, on entend
))tcn ce (lue cehwut~ ditf. )) s'unit, ~'u :;nn)MM',tout bunnoHentdM
tunctimM intérieures du )))Mn«jff.Mai:, pouf ta o'tibatttir' ta veuve
-ans enfant:, uu dunt h-s <'nfants -<'u). adu)tcs, tes exptications qui
nous sont dunuefs !p. ';t ~Miv.t "ont bien vagu' t'uut' ta fontne
tnat-iue ctte-ntcmp, est-il t'i~n sûr qu'ettc doive de ptu~ en plus se
– t.)!MAMAHE
ASAMfS)! N9t
Jn.a. :t.ÕlI. 1`.5.1
renfermer dans son interieur'ft.e féminisme,mouvement incunsrit'nt.
':f troupe sans doute quant it formute te défait d'' ses re\'endi''atit)us.
Mai-!i) ne s'ensuit pas que ce soit une tnode pa~a~'r<))r'-sfe,
d'aitteurs,tr's vrai que iafe))t)n''doit c))t'r<h''))'<j:;dit<dan" des
fonctions <tui soient eorappottavcc ta nature propr!
L'Mt)t''ut'cntr'')tr<)'td')'t)'t"<'r,)':n')a)'t't)'"t't'ti'<'))<')t:ip<)nise
m:tnih"itt' .mmuttx'x'')'' ):t j'ut'crt~. h's tnccurs '.fxuf)i<'<. tu uu'dcstie
et ht pudeur d'; la h't)ttt)t',):t))!)tm''tk'Stjua)it~<t'xit:<~Sttujfmtc
h'))mnt',t''srit''sJ'ini)iatimt,))'sfu)ntf'st)ut)):uia~<t.tht:tk'))t'ut.
)<)Ut)t;dt')u[)p'')tn')ttfami)ia).))(?JuctMncn)mcnut"'t)tMMH'!m'
((tti n'est :t;)pt)\<i')'f)m'sut'un :)'<'mh)aj!<'cunht!!d''faits pt'i~ttc
t<)ut<mam'.<'tMns(;nti')tn'aMt'Ut't"t'<i~'i"<
th'st's'jui.'iunt aujourd'hui jt)t)')U'*cuut'<t''t.<.c<tnttt<'rt)Mt:t!)'t!!tn<'
)')'imitif.<;t<)'ou)'quic'.)ttqup c'jnn:titt't'xtt~n)<t')t))'i'it'tfsmn'u)s
~'xufti<'<. t'onjui:!))' c'e.st mt httt'')'f'<Mnt <'x'~n;')t.' de i ittsuftisMcc
t)fsc.\)')ic!tti!)))!!antftr'ipt.'toKiftUL'sen )nati''rc Jt'~oci~tt~if.
).:tmor.ti)'a<t~f:(it'')':H't'h('n))ncct))um')ui.)!th'tnmt'n'~na u
pas ~t" ntt t'ifteur t'ri~ina): fU~ n'n f:)i) <)U''suh'r' t.;t t':tis"n t)) est
't'tf i'acth'itc sm'i.ttc '<<'t t)"tt))n<'est pr'))'!t)<)~)'!)t))cMt'~tn' tf) ttMt'ate
!tt")(u'rtHt<'t)nntt(')'t:)''t')'"<:(ctint~sj[)!nti''uti't'J:)()st'int('')'Ud<'
i:t''o))ccthit)?.
MASTHt.Lt'X).–
1 matrimoui oonaangninoi.Xapoti.
V. – LE OKOtTDKt'ROt'MtÉTÉ
fit)' M. DmMHtt
Mais tous tes biens possédés par les bourgeois dans tos
villes ne présentaient pas ce caractère. A.côté de t attan
urbain se maintint une propriété censato et une tonure.
Seulement, suivant fauteur, cette tonure était très dinerente
de celle que t'en observe dans les grands domaines. C'est une
tenuro libre. Elle laissait intact le statut personnel du censi-
taire et lui coûterait la iibre disposition de sa tcnttre (p. ) t8).
li est vrai que, dans les villes ou tes parties de villes qui se
fondèrent sur de grands domaines, ta tenure fut d'abord sou-
mise au vieux droit domanial avec toutes los servitudes qu'il
impiiquo. Mais là aussi ta nécessité d'un droit nouveau ne
tarda pas ù se faire sentir sous t'innuence de ta vie urbaine
l'émancipation de la personne et de la terre s'y fit avec ptus
de tenteur, mais finit par s'accomplir (p. 84 et suiv.).i.
Après avoir ainsi montré les origines de l'atlett urbain et
de la tenure urbaine, l'auteur fait voir quels rapports co
droit de propriété soutenait avec le droit publie de la ville
<ch. vj. Puis, dans une dernière partie, it étudie la propriété
urbaine au point de vue du droit privé c'est-à-dire qu'it
détermine les droits et les obligations du propriétaire soit
allodial soit censitaire. Xous signalerons en particulier les
chapitres sur les relations du cens avec le louage d'immeubles
(p. :M4.)et avec la rente foucière (p. 3K8)qui paraissent on
être dérivés.
L'intérêt de cet ouvrage est de prouver une fois de plus (lue
notre civilisation européenne, dans ce qu'clle a de spécifique
et d'ohgina), est d'origine essentiellement urbaine. Le droit
urbain, les mœurs de la ville ne sont pas une simple dériva-
tion du droit et de la morale rurale. C'est une organisation
neuve qui s'est produite sur une terre vierge. Elle a pour
cause l'apparition et le développement de colonies mar-
chandes sédentaires au sein des populations agricoles. C'est
dans ces milieux nouveaux et pour répondre a ces condi-
tions nouvelles d'existence que s'est éiaborée la civilisation
urbaine. Et c'est parce qu'elle eut cette origine qu'elle (ut,
dès le principe, tout empreinte d'un tibératisme qui n a fait
que se développer avec to temps. Voiià ce qu'it ne faut pas
perdre de vue quand ou veut apprécier justement la valeur
et la portée du courant qui entraine encore aujourd'hui les
campagnes vers les villes. tt est presque aussi vieux que
nos sociétés et c'est lui qui leur a donné leur physionomie
propre.
396 L'S~R SOC!OLt))~Qt'K.<SOS.i899
f~fH~M /D~
COHN(Gf:oM). ~t-t~
Gemetndoraohftft ––~ und *––
HfmagenoaMna-
ch&ft ~«r <« <'o«ttM((Hfttth'
<~t))tMt«~x'. Stuttgart. Rnke,
)898, p. )28, in-8°. ~xtr. de lit /~<<r/ y. (-<<'«'/(m<~
/<FC/«.!(K'.)
,1
Pen avant )<' h'avaU de M. C")tn avait pan), snr )'' )th'')<)usaj'-t. un
tivre de Max jtubet' ~t<*<<f<f<('fM</c<~<7tf//7F<)
f/M'.ïc/'tt<*f:HM~ fit'M«</<*f~e<'
Ct'ttKfMa~CM
<~<MM!<.
t\U.H)!'<. – LHDROIT
BKPnOPtHtM SOU
're))datefntt'ttat)K't))ied'pH's)Mquettetaprupt'ictt'co))t't;tive
au)aitt')''<d<taptu))tit'tt'inditidm'))f.).sbift~ottunut).tU!:t;ttt's
dt-"its d'u":t,!t' cu)h-( tih, )t)in d'~h'~ [Ximitifs, sct'aicut un p['"dtiit du
sY:.t')n('ft'da).M!u'it'M'tUt'~tudn'e<'sth'tu''f)nptrt'ptMC(-))te
pt'ur ))M'unen puisse tif)) '))< jmct'Gt:ttiv<'tn''nt aux o)i~itt' de );)
)'to)u'i't'
YASmtUMX
))Ot'K)KS.–Land-tenurein ancient ÏNdia(~.a~-n.
/~<t7t'Ctt<tC«'Mcf ~«W/f)'
t/fftM /M< «Mff't'KMf).
~)'<W /bM<'<e<-<'
Xt)),)).
tMseassicn des id<< exf~s~cs pat Xadfn-Pnwen dam te [h're ~u«
nuus awns anatyst ici )))(''ttt);(.t/)<tA'M<'fo< l, j). 3S0.303).
Vt.–LH CONTRAT
t'arMM.LM.tetXt.t'KftttM.
)j'<s<'t')m't)t!.t)uatit<'xtt))tt.~)iuttici-nt't''>tit)r<t)f-mh''tc-:et'utMt';
uh)i~a.'it~t.:t).).~)t)n~-tn)!)~v~.r..t)t).t't)'):)''u))''<~t)))nunim)
athth'ttt:mt';):n't~i-'jt)~h)n(":i.'ntttt)'<<h-t)t~.j)ri-.<trh;)')Utt;~e'!
~;t)tit't'))h't'ntJ;t))-.t';t!i)]n't)tc"!)'.)~jjt<<'tic"mt)t[m:u))~.tt')'i-
tif')ai<.d:)t)-<t't!)i))t's()ihn<.)~s.n'rhi<')-;ttti!.)):)tu;t~mc<-t)ui
)'):)[!)!))'<) uttu<mtu'tt')\'m<'d':ttHtn:)):tt'~utt.'tm'tttd'un
tiij:t)'tt'i')t)t'Ut".<'tmtt!h.'ti)nt<()t~')'')tt)'t'ttt''nt)htrtt-(jn~ii)<
'<-)~in;u).H)tink'rj!t'h't-ttt'(k'tU)t-t<'o'n'-))«j)tk'('Utti-!mt<jm!
<ui'jU))))it))t)tn'):ta.tjt:n~j.-<)<.vf:tt''ttt'dt'Yu)')'at't'at)imn)!tin~i
t\t(:mntt;.Qn:mdit\:)mt-u'ti<i'.r.udU~u'(f\H))att-))t-dt'cu)t-
tt-;))s\x)X)SL'!)('!)<'tt':t))'t~)t))t))'-i':<ttittt:t)i)tttt)")'ti-i) est h)-'))
)'t'uhabtt'~ucc<ut)tti\t~int<'t)')~t:tti'm<.t(');tti\))n;nt)''t'<;)t)''s.
t.ictitict;a\th.at'<um'u"t'ohj<-t.M!u~t'('u;'t))<'u,s:n~
')t'uk',)at\))'mutct)'t')'tt)C)U,)'!)r)i~)n('))(-h<nj<M')'!))th':)['p'')!)it
'm-tt'tett-)st'ttt<'t!;nt!tuxt'))t':tsd'ittu)~<)-\a)i~'u<)n eut)n'u), finit
j'n~tcndtu son action sur Ictih.'tout ctttiet'(thtidt'n)):t(uut sou
't)-.
!itUt'')U't'ap['Ot'('\t.'t)HUtt't',t)U'i't(t<i'Kd'utdtt)iL' ip:U- t'MtU.
tiL't;ttU)nt:at. H.)).
).mt''tn'<t'uitL'))s''ï\'t.'t'unt.'t'utttm<[ict[uncutt'('h'j)t~-ic)'ij'tn)n:idu
t'tU!:(h-m)tn;t'ttf.u-:)j.!('s'ui\i-itt:ti).<):(pt-!tU<)u~)<');tt)n'n)t'ntf)ux
t;!)')"'t)--<-nhe ct'M))ci<-t.t-(dt'-bit(;UtS. ))'()))'-)!<)), pttt'-ie)))'-fuit"
.t:)i'nt';u<tes t't('~n<;it')ss<))tC)))titi'-nth-«ttn-H<p'nn.tieut,
'nc:)'-t)'iu.t.ih:tt)itit'se<.ni!:irt)")aper':<.)))t''dt'!('tu'sd~t~h'nrs.
tu'')))'' <)'*t.'t )"-ti=")tt)f'<)'')')t)-s <'n)an)s. f-t tes x-fhtit'f <'n st')\ihh)e
-mt<'shi<-ns,))s.(v.m't)t<tt's droits pr<'St)U<<!«)'< )innt'i.U'uu:)Ut)-
'tt' tes )ois )'<')i):i''us<'sfontit'xnt'nt. au cuntrai)' t«ntt's sot tfs d<'
)'t''soiptit)))s insjm'M's j'ar un Mprit d htn)):n)it<i pn.'hibitiun du
jft et il int~n'-t au moins cntx' Hébreux, deft'ui'e de (:a«tet en ga;
;'tus d'un jour tMohjetsdM)))'et))i&ren~'essite, cntiM et smtoutt'tus-
titution de t'aunee sabbatique. L'auteur admet, en cfrct, que ceUe
404 L'AXXÉH swWt.otiWH. tM!t.t8)M
– La lex Pompeia do
LA~ULCCt. parrooidHs. tu .trc/nt'~ ~<(«'<-
</<'<-«.S'-j'tt'tt))'t\m:k)t~)t't!<Ut!.
Pt'itnith''tt)'-tttt''jMt)')i<'i<)L'c.<t)t'uM'm')t('(t)Ut)')t)t'inm'idi)))n',
d't)))))«')nt)t'tu)t)''t)t'tuup'itt't!ti)))U)))th-m"tt:nti))'{i'<'xt'u-
[iM)<t';t<t))''in'(;nt))it)'t))-(t)it'-t).'tnt')))))ttm'<'<(u.'tndt<ty)t'ti)t)Ct''t!tit
un a~'cnd.utt ht pt'itt'; avitit atorscc nu.u'tt'rt' symbu)i')Ut'de sup-
priH~')'tuu)ctttttact''n)r'' tf c~ttj'it)')''''t )''A<)t'mt'ttt-:cttf'')'t))t'(tans
Ut))'!)KitV'cd<)))('h-spt'rsmuuti.tnti<ihb(h)ct-'t)t:().n:n.i[(;t:tit.tft''
atanx'r.
t.a ~.f CwMc/«t </c~«'«rt/s ''f t'f'<«'/<'t'<~(6~:<tt.-C. – iit m. J.-C.)
jaunit h'j'!))TH'id<u)ttt)<u)tnt('t[t'tt(;tjm.-t«.!t)')m'.)':n')'w/<<'<'<
«tfc<~)'t'<<
<'f/<t<.< €( ttu tn~ios (~' <)ni.j'nm'M.L.. s'ituj~'St'.')<' ta
ptOC'(hu'd':s</Mt'~t'Wt('.<<f<'<M;r,.)t)it'-t.)it'')-ttt-t))'-)iu)t)t:))t)):ttt'i
Cc'tmttia,ucjtuuvuitcuudutt't' a mx'Cfitu-{tttt'-t')<t't'. Un tm't''m)
cct"'nd!mtt)Ut'tt~tru )ui tuait )'mtt' 'u)t'tit)n ):<viciU'' )'<'in<: que .j'ai
d<;t:ri(' un )MYu~u<; en ce sens. nutuiMt)t';ttt, tf /<'M<'«'. ~)")tuuc''
apt<shptuntu)Ma(iundt'<tt).')ui.M.)..t''ttt:u<)m't<'rtitt~t'Htf')-
~)))Mnt~ut:CiM~'rutt n'; t'unsidL-t''('as h' ['nu icidccutum'' dt'taht t'-tx'
aiusi puni, j)mi!< c~tnote ft\-utttdft t''?n' !tiu-.)'jtttthd fut <u))t))tit
4i2 'K'tt.)<99
t.'AXX)5ti.SOt:)0).0(!)t."H.
nintpA)'cca!)i"ndtK)uct il p):)id' <n')<' Meurtre et tnemc t'aceu-
sattt'))scn)!)ntt'ricnrs:t)!t)niCurnt')ia.
C'f;st là la partie o)i):h):tk' de H'-tnde. tt en rcsuttc que c'est seule-
meut un tn~uv<'<m'))ttc(:ts):ttit pustt'rk'nr u ht )ui (~tt)etia, mouve'
tacnt'jui «m'ai'5"u[~)iutd''d')'.ut dans )tt<<'jL'fw~fH~5w
!)S!tt'C.!()nit'');tr).!tt)f'c(;)'c~'d'ap['tic.ttt'ndU)'urtit;id't)u)noim
tn < sctt'-<)nc tL": t')ttt"!s)'t'-em)~u)tt ))U.<<);s noo ~eutcnx'nt quant
!)ux~f'u':t'~)))t't)K.s(httm'u<)t'<'<t')))t.tsct;))d!)ntn)!(i'.d'tttttt'ci:)):n'eu~
)itnitKti\'cnt'n) ctmtt)'')' tci t't~udf t'i-t()'!(c'ut'<)t'n ~n<'t'ut :tvec
tes travaux <tassi')))t'<.s))r)'')':ttti);i()c.t.'<f'/H;<'Wt'/M<<th'~<<'<M
''<t)'cmp)ac(''ct:)))h''t )!:)) la tt;)t'p)tK'n.tantôt p:t['t:tj)eim'C!)))itah'.
fuis, p(tHt' le ttn'ttt'tt-c (tt's a'<n'tHhts. fa ()fiuc du):mc(.'tn'))t d:msk'
t)otfut)tt'nou\umpj))h)Ut't'j':u')apt:)tit)()''jttJici!U)v:)ncusc~e))-
tic))t')n<'nt d<* <t:ti:t:mt d<-[it <'t d':t\fu (p.n'ttcidimn numifcs(u)))}.
Cut)st:tt)titt at'utit t't'ttt' di-ttiocHun ''( – c~'cit'st tout :'ttait Hnutt'r –
<-tt'mtitt!th<'titmdni'.trr)''id<'ttU)))c'tu'tt't'ttntii'cf'quiestt'n
<'ot)tt:ht)cti~t)tt';tt~ft''(". principe. de)it\i'i)tL'f.ttt)i)tfn'muitt<'<;t
)'dt"it~du/«~f<«Mt~'< H. ),.
t.dt"itpf)M)t':u)'mi')m'n'<)'t'm)i)i')''s)'t'*s''MSt'nt
t'))!U"sd.UK tmntf)))t't-<'c<:nt'.id'~)-.t)'t''d''tnot)t)))tentsi'Mi.<)atif<
d');)'o<)u' h' difYt't'ctth-s.M. ))u)h"'c)< a vuutu. j'out )f )"'soin de
)'<;tt-imt'')t)''))t<-td''):)))t!t)t.)Ufc:tthotit))H's.t~u))tt'ttmtMt<rf~
'jui cott-titm'ut )<'d)i'it )"-)t.tt t'« <'<y)ft'<«'tf('sdi''pt)')'?ui\'it))t )'<jtd)'e
de. cud''s )n''tt;tux )'u))h')n['~titi)). et) :Mt !tt'ti''[cs. )) dottoc d'abord
k tcxt'' dt- ''<'s attit'tf. pui< un cu)))tttt-ntain' .«jus fu)')))'' df ttott'4
hut))i\')'('('t".t:ut(;dt.'m:t'utArHitt'M))))atf')t'd'u))dt;t)Mcûd<"i
t-x)')it)tn''<.t):tn.sm)t'it)t)\'duc))tt));)jj)uh)i:'?)tt)U(',)t.H.n)Ot)ttf<)u'')
<'bU<:tundt')t)f-nt du droit dt'j'unit-duot dispute t't~H'-<<'tdctotd
droit pt'-tmt c:tnoni([uc c~ntn' )<:s<;)iti<)t)Md~ut il c~t )'o)'j''t.
Conotx;) autt'ur s'<t «hstcun dt"; {f~tH'-raIis.ttinHs t)t'?on<j)tGs,qu'il
atitirs~de cùt~-i'hi~toitvdudrmt[)t!)ta)cat)unit)<)<tt)htf{u'i)a a
rcj''t)'- )()ut )-<-'jui )):<ppHrticnt )':t.s:tu dt't'it en t)!;))t'm', son tivt'c ne
saurait fu)r(.'t(dtjt'td'uucuu:t)\t'~)Ctutt)):i<)uc.L<;cu)utm:n)im'c,qui
's) cun~idOa)')c, )\)U)'nitU)t ttc- )irund ))u)))bt'edu textes et de t
tCUCt:
DieStrafgesotzgebungderGegeavart im rechtsvergleichender
DarsteUung, Hd. U, tn~-t!. t.i~t und <;tuscM. (A'Mt~f'M <-«?<-
1.1), )8fS. )<cr)iu, Cut-
~ft-</e~(t ~<'<«<MK~<ft~'ccM<tM/~<-«tM<'),
tentug.
Cette oeuvre ccnsid~rut)~, entft'ptise pat ('t'H~M M<<'n)a<foH<t/e<<(;
ANAf.KM.-m CM<«T)')!!iAt. 413
<~ot<~)Mf, est puUiee Mua direction de M. v.
Li~t, l'un des ton.
dateur!, de t't'niou.
Les deux premiers \utume~ contiennent une série de
tnonot:raphiM
sur tedroi) penatde chacun des peaptescivilises ht tentation d'uu
payn' eMprincipe. exposée par un nationat de ce
pays. ~s deux
demies volumes seront consacres Aun expu-~
systfinatKtue du droit
itOud coutpiuc. – t.e ))t'etn;~t- votume ~.<'a<~«()u« <~ (.(«(~ 0,
~<'f<M)avait [Kn'uen t8Kt, a lu fois t'u t'tiu~'uis et eu aOt'nuMd. t.M
deuxifnM votum'' a ()arn eu t8M, eu ~Heutaud le uotahn' des wu<-
Kt'iptio))sest cttcutc trop lieu cuusid'tbtf pout- qm* rcdition h-an-
çuise ~ui~e pm-aftt'e,et xMHn'urt-u~tnt'ttt sus:) ~um- (tut ):) puMica'
tiun pu~sc ~tt-c a':mcttt-)t)CHtpoursuivie.
Ce deuxU'me vututne contient rexpos.; de lu Lt~~tattuu des Hta~
e!<h'a-em-o))t;'e)ts.&t't-xccptinu de ht t'et-.t- t-t du Siaut, cl y
cutn~ns
tes cotntttM ax~taist's et Hnetnundf-s. ).u<:t)ys<'d'ua df cette
om-t-:t};<'
H
xatut'cest ttatut-cHe<m-t)tin)po!tsit')t'. '.uftt), t-u t<' sistt:dm)t, derap-
peter que cha~u'' MMt)og(a))hieest )<n'red(''e d'utt* bn-ye itttt'uduc.
tion historique, d'une
ti!.tebiMio~aj)h)t)tK't'(u'H!i<t-ait)u-est(ue
unpossibte à un traYaiHcurp!nticu)ierd<- se ptocutet les reuseij;ae-
meuts fournis dans ce wtutne.
L )) ajtj'endice,sur te droit [tcna) des Ktabeut-Ojteens de tM3 u tbW,
)uet)e)'t'et)tie)<u)ume au courant.
t
TAKDE.–Qu'est-ce que le crime? ~<;t'Mt'n<<Mo/)A<~t<
année tMS.
t.)t.p.33C-:)S'
A.–~E).A)'HtM:t~rA)rrtLH.)!:)t
t'~r)))).)'.t'x''t.'KTt.f.Y l'
(<;Cf.Xuwitck,J.et'<).~t't' /t<b'.~f<A<tcetogf)',
H, p. SOi).
L'AXXKB SOCtOt-Oti~CE. titM-tMW
.H6
n'y a )'as''nt~<i')m'.t)):ti'jtt'')'t)))tti)t)t))~)"'nt)ait)'x'u\<'t'
t)(t't)''«<)' )'m!n'tpa)')~'<t'j"uh'(t'))'<)"t))'<th))t::<'t'p<'m'
):t.o<'i)'tt'. t'.)'
.hn.)H't~tr-.t)rt!)<-hi)i-.tti'!n.r.)tT.)!nt'!H't'V'-t't)')n')n''tt)
t)n't)tittt~))(<r"in))t):mi)'M.ti<)t)"(~f.'m<u'')'tt)n't)e<i
<t~<t\v"tn)i~))')it'<~t''tat't-ut'r!tuh')u'')''tt'tn)'j"')n''ntt('
it)'-(itt~h't)~t)')T~s)!nu')<')!.t-<:)t)(t't<'t')n'))tt'nt~t'h(m):u)itc".
€) t''c:t-')n))tt-t''(!t'tit)"));)';mti)"Yt'n:'ttn'jt).)u':xt
Xtt'.)t'rt)'.))'[))<ttt))t''t):))t'U')!)'')")ti~tt))!)it''d'))()<(t<"))H'
'-oot )'ht'-rrH<s.j'h)-t))tmn);!t)~'[!t')i-:))')''Yr:)"n( !)<'<'p~Mf
S('t)''u\r''nh:)nn.!ni<V''r)t'~t-nti)ih'tt)"tthmtt.t)nt'h')tj)t'i!t-t
t(t'"tt')))p)«')t't'tt.'t'')~)fjt)f:).')t'!tjH')tt')')'f~t')tt'*<)t't)!tt~.f))
t)ut)'irt')(t<tVt'.()trt~th-)~tt't)U'))i<'tt'i''t!utp!)')t'U)'<
t't't'fn't)t~)ttihu'tt''nt))'t')''dr"it)n'!iH~rtu'-). )')')-tonnait).
M:dsihi"<n..jm.'m.n) ;'tt.ti<['~nt':hta~tt-r)h!)t't''tf)'-)"'t)!ti!'t :1
))«))<)'H)i)<t''))t!t'h)))th!)~t)'
).!t)'ht''t:~m't'')'.u')if)'<'[i\-t-t')t.(-;tt))t-.tun'u<'tt''<m:-ti-
(u)i"n<j'~u;t)'-<t)':m)r~t'"i-).t':mj~))r~')!t)i.')t"tin<t-<))n~Hte')t
rt'fi''th'r;!t~)r)'')t'ittht)ttt;nn~tuHh'<rt~it)~thtt)~))t-. )'.t'
8t)*af<H/<f"'<<«'t'<'A<<<<<~r<'Kf'.<t);<t)')'t'.<.)n/<'</<t.
~wM~w~X~L~~M~n.
i'UX)th~'tt.m'.t''V"r.))))t)i(i['))t'')))an<t<r)V'')ttu')jtj'US''t'tu)'-
te))t<'<ttt''s<))'u'{'un.t').ti<!n-)n)i)tn''ti')ur~dt'):))"'im.h'm«tt't'~f.
/«/<<</}'~).i~t~-);t~!))h-<))''u''t'r)tt)«'un''v''))it'tn"U)t<'
t~'v:n))'))'t''t:~)H'i/-)~)tt)t'tt-t'nuitn-t~)u'<<'&('/<'d'tMtt':
t!))"'i))t'cnn''Ut'))mt)t'ttnin')rmn''Ht~at)(t;t'-<'<:t<'t'<rt)tutu'
htUt')'f<t)tr<-)'')')htt'):)'t:.)!tc))'m)tm''):m))nti'-us~i.)).).m-
tcut~t-t:)tt)t't)-h)-)tit;tn)'t'it)'x)c\:m:it.t')U;n)u''t!t))rc-
t)ti''t''t''))h~')thm)~[uin'rn).nt)[it't)t,<<it-it,')))': j).)tt:t~'t'~c<t)'!i
r'')))!)t'jn''r'jH'L-))''t"titt'"<"j'f't'<-)!rttt)it)'))ttt')d.tt).U)).s)t')))).'
pi t)~<!Uf~)rh''u-it.tjui)i''m)'))))'(<'d~s'')))i))t';))t-!<)t'tt)'<'))titttt)
t)t'))t)')).'))"'im:;t''))t''t)' 'tt;)t:t't''Vr)).:<)))C'u'i!t)'U)(
cumpn-ndmuu'-ux t<t~f'HM~h-ict\n(n'n<;n!t''("u't<mt
:t)'at):~y':c<t)t)inTtt'A)itt)''ua~H~. t'.t-
t.Htt'nri<'t~'ht)j'r"it));)tt))i')s~t.t)t)~)<);)t))).~)i.tt)t)t'a\fth'
~i)tx.tL:)'<h;i:)~)'i)'t')t".r~n~;))))t)'<):tit())t)t.))<h't:ititt)').<t<)tio-
uati~)('(t.)'ut)u<,)t!tmn).t'))n'))'tu<) '.n)-i.)'').'))( <~)<'t;))).i!t''n't'st
t'ititm'<jm')<-))-'t-<t.utit'();t'i't.<)~t'<t)"))j<mt~))))n)at
p~m-)~rt)Uj':)t'h';ij)t'a<tt'tn'jht<th'"it.t!t)UY<-t-mn't)]!iti)
«)'iiM't)')!U))it'tt''))it'ntt<'):t'-<)t'i<)t''tt'')'i~)':). t.stb'to-
t:i''n): \'a~tthtt)'A))"')ii.S.-tth'n,Xi.'L')<'t -t)tt'-)''nt:mp')U\'uit'
<-ivitt<))'))tt''t:)-b;<t<)')H))t)~thit));t<)t).j~i'm).(f.jtt'-<'t)'.))i")):))i--tt!
<)n)t))"'«)'):) ))<'im'tn))<'iu'.titu)i<)t)ttt\!t~)'))'n))nt<~nt)nt j'as
h'<tt'u)ttt'ou-.t):th'c ht
h-<-ottj';<)!t''a )"'ux'u\\nrsi«-)t'.t'idM
t'tt)"UMt)'t'');))ttt''s)))-t)t:)' ch''i''t'h<)t)):)'.iu'<:<t't'ji)t-tU')')mp))e
rtH;.t\Vu)t'.A't~))tt':tit-t-tt< h": rt'rh.u)~j)i!)i)i.)<)(". ~ttr~cruni-
t):))i<h'.t'<-j)t-t'))t.'())ttt'itt~r<n.mt..t!){t.rr:nia.t''i[:)m;i.-ri.))'th'<)i(
~Mt:'t'c"t)))<)t.)n)t'si.'sinsti)))ti.'ns'}uii)))'~<hu-ntf'.tt-i)itr:)h'<'
<t!)t)t )''s\-<.t.n)t- )!n;)).t'st .srYt'-rt'tUt-ntt'~txhttut)' <:h'K:)nt
a)'t):)r;)!tht:it')t)'i')t)()ui~i))ht<-t-Bs«ttn)t<')n''V!))"n')ittt'.)!tth"'ttinc
aU.'n)!<n't')''()r"it()')')'t)\tj)hts<-<)nh-st~t'n)'rit)<'it"tn!tisfa
t)Mc'sitt'))'')f)'t'-t)t''))t<')~'i)t))"'s<
L<Uu<t''d~c<Uh't)t'it's;)t't-n)t't:tu':si<t''suivre''f')-t;)i))'-pt't)~)'estte
tit tc':hni'tttc jut'Mi'tUt:, ta th~ttncti'xt prtijtx'ssivc <h.'sexcuses, ~ei'
4~ L'AXXÉH SW:tt)t.Ût.)QCK. tM!) )8')'.t
Vttt.–AttES)'0!<SA)U).!ïf:
)'!)rM.)'.)-*ALC(t.'i.\M.
;t.–h):-)'«.'<Ut)f.)TKt:)\H.K
(t)ttt-S'.Pa)'tj.Pt't!mn:,)ti96.
42(! t,<t!Hsm:t"~)t:~t'H.)8))!t89H
('nnRedt!do<)nitpouro!)jetuneobnpa)iou()ettiut<ea<'i)'cu'
ter, une obHp't'c"n~dans uu Litre ne~oeiatHe. te
PMsionouit'e ttc bonne tôt t'n ohtit'nura t'exccution c'est ta
théorie jurisprudeutieHe de t'iuopposahiiite des exceptions
MUtiers porteur lie h'uutet'ti.) 1)
«.ai)nontrc.t:onc)utM.K.)..(pte)~f<'fWt/)'(w<'<)~Mt<'
<')m<)t(f!<'<(')t()t<<)')tt<t<)tt.s~<t(tt<))f'')f)'f'<t'f'tf,(~f<<'(M«Mt)'M
f'HW< MM'M.Ainsi elle assure notre activitc. notre tihcrte.
Principe 8uup)e<'tvariat))ement< eommesoutsoupteset
variahies test-apports auxquels il correspond. s'adaptant
ainsi aux nuatn'es. :mx contrasta dus dwisiuns jurisprudeu-
ti('!)ps. Uoc c(H)tt!)))('c))' ~)'!)))d<wtt!)utrt)i )'(''p<md-<'))c!') mt
ix'soiu soei:d, les trHmonnx poussent a t'cxtnhm' )a respoosa-
bitite. L't)t'(;onti:)))c<'trfs };:ritt)dt't'))soi<<tctk'()'it)t'r~t
tn''m''ra),les trihuttaux pon'scuta t'uxtr~tuct'irre~pGusahnite.
Hndffinttivpons<'dctH!mdc<(u<'tt)'('st):)con)i:tnct'dt))tUa
socit'té a bcsuht peur \'h'rt',s;H)!t!"tUf)tc)'Ht'ne pourrait
vivre; d'où le )''<)('en t:t'snt!)ticrt"; des nktatnatiuns cotte'
th'ps,d'ot'tt'innuGnMd(tI'npi))ion.t' »
Le court travaitdc ~). H. provotjuc hien des n'Hexions.
H faut espt'rer qu'i) evcith'riti attcnti'))) cin' en dcpit de la
forme, qui rappptte peut-~tre trop tes discussions t.ra(Mtion-
)t('))ps.il pose et traite t:) f)u<tinn d'un'' tnfmiert' toute nou-
vc))e.(tu peuteroire ccppu(taut(ju ii n'est qu'un essai et qu'en
dt'vctoppant ses propres id''es, M. H. t.. ctaritira )e proNOne
el définira plus nettement la méthode.
tt)neseu)b)<'o))eftet,<)Ut'~t.Lu!)atmrd('iaq)tpstiouf)ue
sur une de ses faces. )t s'est demande dans quets cas ta
victime d'un dommage .(-t-ette droit il sa n'paratiutt ?Kt il a
repondu torsque cette victime potn'ait ie~itimetnent croire
qu'eite était garantie contre ''e (tomma~t'.Mais on n'epui~ pas
t'anatyse du phénomène <)<'re!:p«nsahi!itécivi)e en étudiant
le droit de ta victime :'( une réparation, ti reste .') étudier
comment ta charge de cette reparatiou iocontbea te) individu
determiue. Les i-entimettts qui non. fonttrouver juste qu'une
victime soit indctnnisf'c, utt dommage «'parc. et tes senti-
nteutsqui nous font trouver juste que tel individu suppurto
les trais (te ta réparation, pt'uvfut être et sont en fait très
différents. La théorie classique qui (ait de lu faute ou du dol
te seul fondement de )a rcsponsahitite se préoccupe exchtsi-
vcmf'nt de déterminer )c sujet responsabtc quand ette ne
peut te déterminer, ettcuie qu'ii y ait tieu u réparation. Aussi
4~ t.'AXX)iH.<0(:tO).ft'!H~t'E.M-tM'
Il.J. 1-
est-elle insuffisante, non scutonent pour diriger le magts-
trat (ce n'est point de ceta qu'il est ici question) mais pour
exprimer dans une formule les exigences <icuotrc conscience
juridi<)ue. Car il y a des dommages, tes accidents industriels
par exempte, dont nous exigeons ta repix'aHon, même si
personne n'est coupable d'un dut ou d'une faute. Les théori-
ciens du risque professionne). de ta responsabititedn fait des
choses, font un ettort pour compteter ta ttteorie classique,
mais ils coutittueut a se ptiteer exclusivement au point de vue
du sujet rcsponsabte. M. K. L an contraire, septaee au point
de vue de ta victime et je crois <[u'it a tout il tait t'aison.
Car notre conscience, tors<}tt'ettcexi{! une reparatiou civite,
ue detnande pas qu'une peine soit inn~ee a aue)qn'mt, mais
qu'un dommage suit reparu; etie ne sonne pas au respon-
sable, ette songe à ta victime. Ht c'est lu situation de !a vic-
time, ce sont tes sentiments que nous avons pour elle (lui
expliquent ta nécessite morate de ta réparation. en se
plaçant a ce nouveau point de vue, M. H.L. oublie, comme
ses prédécesseurs, que le probteme de la responsabilité est
double. La nécessité d'une réparation une fois posée, il reste
à déterminer qui en supportera ta charge. La Uteorie de
la faute, ta ttx'urie du risque du fait des choses sont des
solutions partieUes de cette seconde question. Et il sentbte
qu'une analyse con'ptete des pix'nomencs actacts de rcspon-
sahitite civile devra tenir compte il la fois, et de ces solutions
et de celles de M. H. L. et probablement (le bien d'autres
encore.
– )tH!-t't)t)).)TK <'tSA).K
w 6!~.f
d'ttUf cxpiatiua tttorah'. Atais cf Mn'actt'rf M'c~tpus esseutiot.
Le prupt'f de t.) pfim'. ce qui la distincte lie toutf!.lesautres
tucsm't's qu~' la socit-tf pt-'ut ptt'ndr~ coût)' tf crime. c'est la
d~uhtf (~t<ti'<n .pt'ct)' rt-tuptit t elle t'xcrcu <uu' coactiuu
tes tumnbt-fsdu
p.s\ttut')ni'tm.' .urtf condatm~' et sur tous
cm-))- social: ctk' s.tLisf.tit h' bMuindcs.m~tiut) t'prouvu
par tuu" qtt.md un ctimt'ct.t t.)))t)tti.s.
)-:udisant, tjtni tapL-iuc cxt.'tcc um' coitcHottpsyctudu~iqm',
~f. A. tt'uuLfttd t'as t'j't-udtth'f la tht'utie df t'itttitnidatiua.
t. )"'i'n' int)))tidc i''s d''H)tq'n)))k {«~sibtcs mais sun n))e
t'-t jthts itXiwt.tHt. s"n(-t.'rc)e d'!n'[i(~)tptus t'tondu. ~He it~it
pitts sm- t'ust'uthh' d'-s )m)tttmjs (juc sur te cruuUK')qm )a
su!'it ou ceux qui ~ft'mcntLfnt' du timUcr. Si ta p<tne ~tait
um'simptt' tnMun'd'iuthttidatiott [)t'i~f<)))[)'t'i~d)'tit)<tu:'nts
achn'ts. un aurait raistm df lui .n-cutdt'f c'mmM le (uttt tes
a
!tnHu-o~t'~ist(" une U-f:.faibte pui-~tuc' Mais ta {Mitte
aussi UUffm'ct' ')t'M<~<'<«'' qui ta faH CttUpcMfa ta fot'ma-
tiHtt et au rcn{")-(')t)<tt du s''t)< )mn'at. produis.tHtainsi tes
hut'm'tcs }:<'nsd' donai)). ()ni u'aumot pas besoin d'ctrc ioti-
mid'1's En v'-tn m'~n'' du )«-im'i))cdt'h't'tuittis~ it faut
tenit' cuntptc d~' la f'M'ccdt't''t-tttina)ttc de ta p'it)c. L'ote
authro)Msociott~i')m; a eu tort d o'i~cr eu <<t-t«f!les M~fs
du <'riu)' df<-r"i't)u't'tt'M'f~ Il' crinx'. ci)'' t(!/«i!<<'<'7.
c fst a-din- su(t)-tra\.)i()';crituith't :t ta )"'hn'. Ct'ttHjtrctcutiuu
it'cst t(~ititnc<)m'par rapport aux partisans du tibn'arhitt'e;
le dt-tt'rmiuistc pt'ttt st; i-urvir df ia ttH'tiacfd um:pci)n' puur
cuutraricr) ium)''ncf d'' causes auttx'ojK'tu~itjucs et fuciatos.
La pui<K'.d'autre part, -atisfait te bcsuin de s!U)cti<ut ta
coust'it'nct' suciatMla distitt~uf du toutes les autrMiinx-surfs
avecnue cer-
prisf- contr'' te critu' part-'t'qu't'tt'' ht pt't~oit
taine tuttittitf tauratt- i) pourrait scudder coa!radictuin'
d)j n'j')''r )c pt'iti''i))t'df ta tibct-h-et ()t;Km)sidt'r''rct'))t't)d:)t)t
Ml'appn-t'iatiun tttoratf co)u<m'uo t't'')uent spM.'itiqtM et ()if-
ft'rt'nti~t d<'la p~idit'' M.~tais t'appt't'ciatiuu mur.tttiu'im-
ptitjtn* pa~ t'ac<;(;))tati<tu d une th<;uriu)))utapti\si()))< <'M/~<<
tt'i-actfs humait)-~cittent. dans la (Muscicuc' <'t'rt:)iussexti-
«tcttts'ttti s'<'xpritt)';)tt par t'appreciation )W)rah'. Nousavutt!}
bt-att savuir'jm; la a)ntut)r u'est pas u))t!propri~tt' (tes corps.
ttous tt'adtniruHs pas moitts )<*sub.jctsd'UMfhfH''coto)aU'm:
onus n'admirons pas t'csscncc <{moons échappe, maitil'objet
t<'t qn'i) notts apparat. <' La moratitc est cmnme la couleur
des actions huuMiues, et de tnettie quo uous t)Cpouvons pas
AS.U.MHii. ).A KHSt't)X<.Ut)t.tT<! 43t
il.- 1--
<:ouuttttt'o les ,e i,
corp~ sans perccvt'n' tmn' coûtent', d<*m6)M<t
uousiMpouvoMspascotmattro tes!)''tiuHs)(Utnaincss!tus
appréciet' leur vatem' moratc. – M. A. cssa;'f de dcter-
minMr. par ranatysc, lu nature du sMutit))ft)t)p)icxi~ des
sanctions. it onprunte eu particuticr a Guyau tcsftmncnts do
cette anatysu. Mais sm-tutH M. A. nnoth'c quu ce besoin
de s.tttcttuut'stutitc.ftu'tt constitue un n'ritithh'sftttitnt'ut
pt'otcctt'ut' de )a sucintt'. u (~' scritH un ~t'.md tHid,dit-i), si,
!t's<'uttnn'u).d)')'(')trt)b!di<))tj)t)hii't'K'v''))a))tudisp!tra!tt't',
) hmttattt~ t'p~u'd.nt :n'<'t-ia ))t~n)f ioditTo'cttcc lu p).-it)fet
tfs autres ittAU'mncntsdfdcft'nse; ce scr.tittmut'aud mal
))a)'ceque,dc)as(tttc,h'dt'titd<n'))dti)it)'L'UMpeuu)ttutt.
teHeutfttt ittditK't'ftd qu'i) t'Gncontt'ct'ait, dansla eut~cience
uoe )'<'sistaucf tuujutu's txuiodt't' qui, après mt Cftttin teutps,
se t'eduh'ait pfut-~h'o.'tx~tK. Und'autres tfDttcs, ta t'cxettott
tuot-atucutttre les actt"} qui froksott if!; scutitounts suciaux
est ta CttndiHuunccessitirc dc la cous<it'\aUt)nde CM sfttti-
mcnts. Tettc est htcom-h't.iundu At. A. i) admet ct'jn'udMttL
<)upta peine puisse ch.mjfct' decaract~t'e. tessentixteuts pru-
vuqut's partf ct-itncse fnudith'rdaos t'avenir «ator.s, di).-i).
le critnioatiste Mutera hi nouveau (ait, sans preoecupatiun,
coMmo nous. taospreoccupatiun, notons le tait actue).",1
Htant.donner tesearucturusde t:( peim', il y:xw/"<<
c'eitt u dire pussibititu d':)ppti()t)cr ta peine au critaim.'), dans
tuus les cas oit la fMiue peut rottptir sa doubtt! fuactiutt,
t'Xfn~f uxt; cu.)ctiutt psychot~iqttG, ctt-f sentit' comnx! uue
s.txcUut).it n'est, doue pas nc<;t;ss:)i)'f tluu le crituinct ait~t'tc
~ht<)uut'()uitdui\'e subir uofpt'ine; mais il ne suffit p.(s
<?)it suit trfs daut;m'fux. tt faut qu'it soit susccptibtc de
''oacUou psych<du~i<)m',qh it puis~ so~ir ft. tairf sfnUt' ù
t"us ({tu; ta pt'inc snttin est uttf sanction, t'ar suite h's fous,
')ni ue suutpa~ susecptibtes du <:<K~Mn p~yci~tu~i~uti,dmvcnt.
t'irc exempts de peine; et a musnrt' que lu Imliuu de folie
uturatcctttrc davantage dutts tacousciuncu puputairf, tes actes
ttt'ftdicn)ut'at<h'tiittt'ntdunh)it)SH)tttKtiustcbH:iUt)tdcsa)'cti)))t,
t'.a' suite, sout de umius eu mmu!;itnputabtt's. –Maisutors
xx'tne que tu o'i))Ut)et ust dans les conditions requises pour
'[u ou puisse lui imputer son défit, d!t!et'euts (acteurs pcuvcut
))f.)i.-tit~u''t'itU))Ut.U<tt)t)'')h-).th".)'~t).-itt))ti<t':)')u')'ut.t)))tit!r\t
!ir'tb)H)'ttttj'ti\j'tH'"pptt''itt)jn.nhu'a)nj'u-ttj'iUh~tt)tt'rti\t'
'i~:UH'n-.s'tt)u-')Ut.'i~)'itt:t't)t)')t'tn')'t';t'tU*~t'it'i.a<~M):C).')'-
tn'«.
432 )/AXX)!H tS98.tM't
-<)t:Mt.Ot.tQH!.
même
ptement pour te compte du représenté; c'est !a volonté
de ta personne monde qui anime t'ot'gMne; le n'presentant
agit. no contraire, par tui-m~'ne". M.Mestre montre d'ait-
leurs que t KBsistauced'un on <t<* ptusifMt't individus e"t tou-
jours oMiessairca lit perp(''tratiou du défit, que ces individus
par ponséfjuent doivent ~trf frappas de peines individueties,
la persouue morute ctaut cousid~r~e. selont''s cas. cotome
t'autcur principal, te co-uuteur ou le eotnptice du délit.
i'uisquc les Kroupt'tneots peuvent comnx'Ure desdutits,
il y a lieu de leur mnigcrdes peines. CetMest possiNe et cela
est juste..
Les pfim's collectives soot p«ssit))es. puif.ftuc le p'oupe-
tneut a Ut)eexistence, des droits, un patrimoine propres. Les
mnendes. tes peines privatives de droits seront les peines
le pins souvent etnptoy't's :'mais <'ert!)itte«peines pm-atives
dctib('rt6')'i)<t('rdie)io))dcM'j')m'. par exen))))et pourront.
aussi être pt'ttno))c''t's. la t'eft"iv!ttcnt de )apeinf'd<'mort
sera ht jK-itte de ta dissotution, t[ui nx'ttra ti" il t'existence
de la personne moratc.
Les peines corporatives sont justes et ne repu~neut pas
aux principes actuels du droit Ellfesne punissent pas
l'individu pour la faute d'autrui, car elles ne te (rappe')t ni
dans ses droits, ni dans son patrimoine propres. Sans doute
il subit le contre-coup de la pfinecottective: «mais.
dit M. M.. cette soutTranee n'est pas plus une peine, au sens
à
ju)-idi(jUt'.que celle qui atteint te fils d'un condamne mort,
par exempte; l'on doit distinguer entre la peine et ses
suites nécessaires. X'cst.it pas de )a nature de tout organisme
social que ses membres présents et futurs vivent de sa vie et
leur
prennent tenr part, avec lui, du bien et du mal <pn
arrive?" u
M. Mestre propose donc de revenir francttcment au pnn-
anciens juris-
cipe de la responsabititc collective, têt <)uetes
cousultes t'avaient élabore a une époque ou il était comtnu-
do ta peine collective
m'mcnt applique. !) montre la théorie
se développant chez les Momains, tes glossateurs, les caoo-
nistes ~sauf !nnoce))t tV les post !:)ossateurs 'en particntier
Hartote' et les commentateurs de l'ordonnance f!e tt! Et i)
considère que le droit individualiste de ta Révolution~ rcsut-
tat d'une reacUoa nécessaire, ne répond plus aux exigences
actuelles de ta vie eorporative. !t estime qu'un droit penat
renoncer
corporatif peut se constituer sans que nous devions
440 L'AXXt~ËSOCfmuOtQfK. t89!-)~99
t'Htttteu )x?rit
.1 ililIHu-nt. net..l,i..
pinatt nh tt'nn aucun
nl.nn n..r.·1.L.e des .wo..n.
compte mesuresque1.tes
d~tenninistes pt-utxwtttpourtutter conuc te crime et soatite croire
qm' le progrès de kot' docttitte fera a-ishnik'rde plus en ptu" tes
cmniuets& des fuu'ietdi'iparattt'ctoute n-pressiou.
tX. – LA )'MOt;J!))UXH
t'af M.là. )-K:oxx)[T.
Dt MAHXO.–StcrtttdeMtt Prooedup&crimlnaJeromMia.
La Giptsdizione dalle origini alle Xtï Tavole (7/M~t~
< /« ;)ro<'tM'<~fn<)HK<<CfOMftHfC. /«t'«/«'~OK, ffMon-
«xjt-.Y~K<MM),
~<n<'f! m-8°de t64 p. Pateroto. Reber., )898.
Nous possédous sur les institutions de lu Rome primitive
des renscigMonents si rares et si peu surs, que tes historiens
s'accurdent mut à les reeoostituer C'est ce qui explique la
part très cousidcrabto que la critique des textes et la discus-
sion des interpretittious tiennent daus le livre do M. D. M.
Beitucoup de ces discussions intéressent t histoire romaine
plutôt que ta sociologiejuridique.
M. t). M. s'est surtout attache à déterminer la compétence
de chacune des juridictions criminelles, du père de (a)nitte
tch. M), du roi et de ses assesseurs, les '/t«'<<orc<~««cftïtt et
et les <<<tt«MC«'< ~'<<(K'<hoMM (Ut, iv et v), des consuls (vt), des
pontifes (vn), du sénat tvn);, des co)nicescenturiates(tx)et
tritxttes (x~. tt a étudié ta ~or<!<'«<<o ~(fpnpM<M<H, eu traitant
des pouvoirs des duutnvirs et des consuls (v et v~ puis des
contices ()x et x).
De notre point de vue, le chapitre qui traite du pouvoir
4M ).Xt!<n<:tt'Mi!)<jf'H.t8i)!t.)M9
OuYt'a!;f'impo)'t.U)tsm'tU)f!dirt)('tiitt;deht)))-ue't)utG)K'ttate.
Esquisse ))i!ito)'i')tn't tab)<-uudo )a)''t!istati')ueut't)pL'ct))h'uctut'Hc.
X. – QUESTtOKS on'KHg~S
M LjtFtE
t'Mt'MM. OCXMMM
~t. – ÈUCCATtUS
<<<t<M
H. MEYHR.– Die Sklaverel im Alterthum (/Mc/<!tv~<'
Dresde.
< «Ht)~Kt<t).
(;HfM[~ELLE
SOCtOLOfUM
t'<trM.(iASTux)ttcnA)H'.
I. – Cf:XÈKAt.tTKS
HT MËTUOnOLOOH
)iTTtt~'MtH-t
~i. – MHTM")'KS 't):Xf:HA).):A cmMtXHLLR
UH.<uCM)H)m<{
~rrnlnelvamnuf 1.i.a
pasexOusivementte crime et t.t_ 1'.1.&1-
la peine, mais aussi l'étude _1_-
(!es
criminels et des condamnes eux-mêmes (p. 264). !i voit
dans le crime l'expression extérieure de l'état du criminel.
Ce même état ne peut lui-même être sépare de t'unité (te la
vie psycinquo de l'agent et du milieu dans lequel it s'est
devetopp6 et se trouve actuellement. Quand 1 acte coupable
est commis pour la première fois, on ue peut prévoir encore
avec certitude si le criminel sera toujours dangereux et nui-
sible pour la société. Seulement, après ta récidive, ta réatité
de son penchant devient tout à fait hors de doute. Pour cette
raison, notre auteur est partisan des sentences indéterminées
et de la condamnation conditionneite (p. ~(!6,3M!?{)).
Le plan du travail est te suivant. Apres une courte préface,
vient l'introduction, divisée en trois chapitres (courte his-
toire de la science du droit penat, de ta législation criminette
dans les principaux pays de l'Europe et de ta Russie,lu notion
et t'appticatioM de la toi criminelle), Le pronier livre traite
des criminels et du crime. Le second livre parle de la peine
et des condamnes. A la Un, en quelques pages, t'autenr fait
dinérentes remarques sur le code criminel de ta Finlande,
récemment promulgue. F. StCt~.
Aj'tr~ fttuit' sumui~ a Uttc criti<)m', p:ni'jis phts itn'vc que p~nM-
tr;)))tt:, f:t th'e d.' )t:u)c d(". ct'i)uiua)t!.tct ct.tssifjucs, c<'))'' de
)'attthruj)o)~i'' 't'ttttint-)))' ~Ht' <t''fit bociut~iMcrhninc)))', i'~utcur
tm':<- t'- jH'[:tttttm- d'un'' :-<:i~m;<; ttu Jr"it [t'n:d. C~'ttc scu-x~c
dnit tt:n':ti!)')' i) (:t ~'ttttiun d)' 'ju:ttre )nu)'i'-)m-s t" te )tto<')'tn<*
des "tiuinf~ <t'' )a j"n:dit' 2 fit ()<)Uv';t)'' du )'ru<:t"}tts de for-
matiM) <)<;toutes jt's id-t-s '}))! t:t<t)Stittx'nt :)))jt))ntt')tui !<' fund des
dot.tri)n'i!p'n!d''s; :)"<'))f dtt pt')c''s-:us hi'.ton')))'' ')< )'tttt'ip:dM
':s)"(Gs<t'' <:rim''s .t' )<' )nouvcnt''t)t, t<-A<<-it)i)ti~nset les tt'at))-f"r-
mntiuns dcht c)itni))!t)itt' – L antt'ttr it.jottte que. sims ):t socioto~ic,
ceUt; ~cicucu du. dMtt p<'n<d n'nurat(. m fuM<ienMutui tn~Uwde.
At.tt.MES.– O~KAUTtMKTM~TMOMt.OUtK 45S
Mais p«is<jtt'itf.mt :t)))))ifjm')'lu Mt.'iot'~h' &ta scit'tiM';du dt'uit p~uuiet
cumpt<'))d)''ftt c'-Uf !)t;ift«:t'unft''tttd'; du <t)uut'L')K'')ttd'* ta ctimitM'
titt'j'out''jUui)'itut'')ti'St'tH(.)tth(.t-Ud~)tC!.i!.(''Vt'-)'c)'um'Ct'uxttui
))iH'iMtiiabn~iitt.ivmmintd'unc~uciutu~it't:ti))ti))t.'tt''? U.M.
M. A).)Mt:~A.–Hdel:ttoNeU'arte(A<<M~<tMr<pt-o)usioneat
eot di dirittu <;t't't"dum pfmtk n<'U:tH.CmYft'situ di U.~Hari,
tvut.iu-t".TtH)n.Um:ca.t!ti)U.
Ct'ttc (<)« d't'n\'<*ttttt'('t'<tmt<' ''ti)i<tm'')u)ivt-<'d<'Ft't'n(;ne
ttou~itt):tty!!iutt!.ici t)t~t)tt'.ityad''n. .ut"tit)'-i<ju<'d'une t'f'ttte
ctttdc de Xi)'<'f")'<'suti''s()t'')tnmsd''t':tnt)'.(.'auteur''stiox'quêtes
')'u\t't's df tu (n'ie t't d~s !nt& )')!)stit]Ut"itt'Mtit'tnx'ttt un tn~or
d'uhsft'v.ttiuus tttu' ne doit. [tas m'utiH' la st-it'ncc pouatc, «Mis a
une <;uttditiut(t'x)tt't'&-t', Ct'sttjm' tanh'm'suit tc~tt' ctrax~fr à tuute
th'oti)'ci<;))titit)Kt'.At;t:Ht's<-t)k'))di)i~tt)'ttt-t)sk'uu)c)'u!'tc
uumfuitum:ubst;tV:dtut<mf.)t)tc.Ct.'Ht't:uttCt')4itmdu)a))tn)ttqm:
:)~ntit'udt:Ht't)t)'id< <')t 'bsct vatioud:t))Ah t'f'chetch'' ittductivc ne
iicm, ctoyM~-nuus, ad~n~c par aucuo tut:ici<t). t<. tt.
Il. – CKtMtXAUTËGÈNÈHALE
SHLO~fLES PAYS
t.<autt:m'<t'a)'p''H<'ut't't''t:tvit'd'"<t:tt)d<'<vtttt'-ist))t'it't'itc-
titit'n'i)))i)t''n''tnut''«ttttt)" )'!t''tivit'~i)tt''t['ttt''n' Aj'tusturtu
t'ai'i<.)ttt'ttt;t-it!U)tsid~'i';a('it!ttc'{.t't<)n')iqm't<'mu')t''suit)):t')H il
Ttta)it'cf<)U'')':)«'. (".t:'t)at''ti[tt'tL'(udt<"<t)'Att~)';t<'rt'<tt'~ttt-
t)t()H)-:ity:tv;u))i<'Hd<'t't'ttct''))(')[)upu)ati")tctin)i)t''H''))'t:H
[t;t't')u<'t"'i''i)'")'.j''td<'stn')n''<tttd''«)'t'))'tp~!t[')c~~n de
)'ah')tttt'.
Hutne.mt'.))'!))'< ))':tt'it'tt'))tt suit <})m':t)'t~a):tum<i:t')U!'t)tt
)';nn<H'M.RHc:t)t'tntn~in-t Ut)''phy~iuuxtnit'rt'imitx'tt''[!t't'c.).es
)u)'t))'<)'t')u')t)t;i'')m'th)ctitn''t"'uv''t)ty'tr'))t<tv''t's!'tcùt~
dt'st')nstHft(')')n's.(:t'tait)s<)tt!tt'ti<'t'd''Hotn''<'ntt('uf'ss")'i'n's
tjtti, puut tjm'ttjucsfrmcs, ['toct'-th'ttta <tcsutnufth'tucnts. t.s auteurs
nous t;ond'ti.<'ttt dans tus i'Hs-f~ud~ du ()u:t)'tit'r San ).<H'nxo, nous
)<))<< ohwn'T tc<<v;<x.t)'~xd~ ''t)''<)))''tt'tiitt)t.t))'ihi~t) ')))<')c.-i
suut<'tt''t)t't't)')t~)nn'id'n';t)'uub!i'')ttj)itst<«MM««'<<')u~<'n';
t'u sut'vcithmt'e ttttc ~'urcututittua t'duft-tn'tntù ):)tv'idivf a j'Ct'-
pt'-t.uih' L'af~L''t )''s ch.uits <tt;';t'tt'; j)u))u):ttit~t ne sont pas n~i:)i:s.
– Ux t't'f'U'M eu n'Yunchc 'tue h's <t<'t)n'os statistique!- suit'nt
):ti-<'s<'u)t)t')f't<'m''ntdccutc.)<ifn')u'i)'t"'ntM'tit un')'ttvr''
utite, t'-s MUtf'ttt'sont )'<'ut-))' un p<'u tnjp .aet'ittc ht -:t'-t<~it'?<t<*
)'(~t')u~t't':i<'tttitn)Mt'<u)St'U)-tduj)ittut)'SttHt'.Xuusnurit<it'<<sit'c
tuit',d':ntt)'~<')'n:u)n<d<uiAtt'Ht'u)s.,)at"n~tt:tti«))<)ci')t:t)it!du
~ut'd ttitn~ t't vt'' tMnamc sf y';)Mte)'d.ms te tnouYftncttt df lit cfi-
n)intt)tt6d<cttcvit)(-. '<.
')"')'<'t)tuut't)t,)'t-hiu.)ut'ut')i)Mr('x~)))))t<U!)j()U~tt'unt').;t)-)
)m)")'tnn~-tt''<tt.ttt<t'<)tt)n)is.t:ti)-:);t)tt''))n)t)it))t.):;jt.)u()t')nit~)t.
''stt\m\h't!h.)hitn))t-(h)tt)\tuhn-. <)))f'ut')rt'itu)'n-)n<~tit('t'st
t<n!rtitt~-m:tL.ntt.-)~'ftt)~;ttt''tma!.{t)t't!)i).'t-.un)h't!.t.t'
·
~tt.-ur.'t'u-<titt.'i\-xi~tn~)'u')~ti<))t)'t)tt'<-)U-rt.tu.')~t-
tt"<tt)''Ut<r.U't'\cc'h''<u'-(.~tntt;[tiuuitnvijt:tit~it(tj..j;[(j..tj,
t;r'iutii)nj!Uui't)f/st')(-sr'i:t!i\m~ttt)'.n'HU-. t.. H.
t\ – FOHMKS
sr):Ct.\L):S
))):t.ActUM~AUTH
(t C'-)''rnh;n'n )m-'t\'<)uiyit)entt'M're'<'t
'hn~ n"tr<;t.m):U)'.
~xu.y'.K". – t'nnM)!< s)')it:)ALH< t'H ).\ ':)UMtx\).n')! 47~
1
Les .1preuves sont n!tirées .i_de L.i..l:f 5.v
)ttstatistique, t'tnstoire nJet .inde la
.LW~ul..i.v
de /n
W~flsltE1>FSJIFF:u!lt:~
;xWIOHE NOMBRE hYS:W
nESAFC.UHES)
1
\<;ÉE~ SUMttKEMSAt'tAtBE~t
cootre~t't'tij.iiuu jt cotttreiaretigiun
t-~ftnm<'t-iat~uishtttt't)<')tyi)<tt'f'tttti~u)tk'St)i'itint'tntn''t)'s:)it-t'!«'t !l
<.u)'t"utn''mKani':t'r('.t'-iis~m"'d')ntt('t<it\)ttd"it'tt'v<')tK-t:'i~t<<
C.'<-
).tut'-m-tthtn',tt':[j't't''t'"))t)'t~)'<'tnht')''('t't'tit't.-a))t~nat,):t
t)t!tt'rh''t)u'i.'ht'tX')t-ich')''['))! tS:t~~tct~'t-rh<))H'ti':t)'p")~
.-tt.ntn'nt in'«<-<tuo'i)n' (h) sait.)m'<mt"u'X'u-i'-)t
(".Nt't'nt)'"<)'i)ht"i''<i<)'t't't~i't''t!'f"')'
ti<n-t.'K')'t''('< <<<))!. )U"')''pt)i<tt'u)i)i'-))tt)tsi't'))'.
t)<- ~M 9*2 ''f ts.n <'))'' s't'st c)t'v~t 3M 7:~ ''u tMt).
t.ui''id<)'.tm'itau)a)'chest)iv:mtf:
amaitctept'ati)tMecotMt))fttu)Moye))de))!utici)!t'tp)ustotet{t)M~
c"n)p)'t''meot itux joies Jtme autre vie, jn'ut'fuit'ce tx'<ttde et
s'asbUtet une ))t';ittett<eexistence. Sans doute, ces )'t''ucctt()atiou!s
u'ctaieut pas absentes du.suicide n'tijtieux, des )'u)'i~it(e;t<tHi.<enes
étaient au second pt.ttt. t/hutotoe 'pti se .a':< itiait avait, avant tout,
en vue ttcca)t))''t'ta divinité et ne pensait tjo'a~cessoitejneut aux
h~ttetices t'<')i):ieuxtjtt'i) pouvait n'tix't d'' s«t) a';t< Att'r )c (<tnp~,
)'it)))to)'t<HK:<' )'<<))t'ctivt'Jf ces <t<'u.u)~)t<s de mobitm se tcuvrsa.
UK''ut at~t'Atf suieitt'' txy''ti')(n\
~uu*.ct'uyoos vu)o)ttit')'s <)U<'le suicide < fH~it'M est en tMppot't.
avec )t's)it<'s'tc)itt':i''t<.f)Mt)'i bief) dt's cas. t')'t)'t'st))u'tttt''vm'tët6
du''ittriticf))U)))ai)).M:tis<t-i)t)ic))C('))!)it)')))'')''suicide tuystique,
c'cst-A-Juf t ttct<')):u t'tMft un ttunum! fi'* tMu par untom' 'te t'uu-
Jf)A. ttc suit, lui !tus-.i, 'ju'tHte t):tnsfut'm:ttion de ces p<atit[t)es
at'chaï.)ttt"Lt'fMitt[M'itiif)'t't)cuutt<vucc'tt<<c)u't<"itnctneii
pfUj'tt's n't'st jtiis mtf pt-<'m'< H))fut sf tsit' <))? ct's th'u.x suites
tru<.m''st'<'t'u.<t'nt'.Mt'ut))tt'!t))~f"tt'ttt'itte<<i.ui)'))ttteuxt:u)tcuum
't'utt )))'t)t<' tronc, Mmst'tt'c d<:tiv&it'un df t'.utttt. K. t<.
V. – AKTitROt'Ot.OGtB
CR)MtNKLt.)S
lement, sous le
nnt anna te nom
nom ttn
de extu<«njtp
s~MtKoM,ta ht nnutitn
ttnatite !n4ttt<tt<antn
immanente à la ta
société. !t resterait, selon nous, à montrer que )a régression
individuelle et tu réaction de l'irritabilité ont leur cause
unique dans t'état de crise de la société. état de crise dont le
climat, tn mec, t'atimentation, ta t'ichesse et l'instruction suut
de simples tnodHicatcurs. (I. R.
YENTUtU(StLVtu).–CorrétattonspsychosexueMeB, trad.
fr., 1 vol. iu-M"de la ~<6<tf)</«~«t'
<<€<«ttt<Mo<<~tt'.
t'itris et.
Lyon, Storck et Mussou, i8u9.
On peut concevoir la criminologie soit comme uue scieMCo
de(!Miesoitcomme t'uppUcattoMd'une philosophie bio!(~i<)ue
dont h sociologie elle.même ue serait qu'uu aspect. Nous
soutenons dans cette pubUcatiou ia première de ces thèses
l'auteur de cette puissante esquisse est un partisan de la
seconde. – Yeuturi estime t <)uela criminatite correspond
il une moustruosUe de FesprH que les maladies meututes
répondent toujours à un trouble des rapports entre l'individu
et ta société qu'elles sont tiees à une anomaiie des fonc-
tions sexuelles. La nature humaine ne se rcatise point dans
l'individu, mais dans l'espèce. La criminologie bieu conçue est
donc une psychiatrie de t'nomme sociat: c'est pourquoi ette
est solidaire de i'etude de la vie sexuelle, car « la vie psyctti<tuo
rcpreseute la vie de l'individu limitée entre la naissance et
la mort; la vie sexuelle, celle de t espècequi se perpétue par
e))o M.
L'espèce vit dans la totatite de ses membres; il ne (aut donc
point la chercher exclusivement chez ceux (lui en réalisent le
type moyeu, chez tes « indinerents o. Les « caractéristiques u
sout nécessaires au progrès. Mais quet peut être te rote social
du criminel, c'est-à-dire de celui qui manque au plus haut
dc~re d'uniformité sociale et qui nuit à ses semblantes en
s'écartant des croyances et des habitudes admises? La soin.
tiou de ce problème, c'est que te criminel ne, celui qui com-
met le crime par une reaction spontanée de sa nature, est une
/M «««ton a~'t~c< il reproduit abrcviativement un f«r«<'<<'«!
<tqt«'qui jadis a rempli son rote en luttant contre les abus de
letat social, tt se distingue profondément du délinquant uti-
litaire.
On souhaiterait que fauteur de cotte hypothèse tut ptus
soucieux de la preuve. At-it au moins forme une hypothèse
486 L'A~K SÛOOMHHQCB.
<8M-tM9
())t'<te<!t8S.
'-<'h)M'tt'inn~af'uxt!:n".tuts-
~t nu MumttcSactu-rMi~och~ttia <))-<'nt
')< t«U!ises ruxMttii, Job, la Ft~ttM
le .<)«M<f<t /t'< A<<~«-
«) /OMt'<'Mt-e!t.
X'Mt t)M~fe<'tONt.
CfXQt'if:MRSRC')'KJX
SO<OLO<H ~CUXOMtQUR
f'at'M.t'tt.tS'jotsStttt.tXt!.
r. – ËTt'PKS':6s~HA).HS. MËTHOt)OH"E
.t. –C()X(:K)'T)"Xt't:Htt;tKS':HKTMf:T))"))K )(
).a science econonnqm' est-elle faite ? et n'y tt-t-it plus qu'A répéter
un enst'tf)t)t<'de thettrifs définitives Xon ta science ecunonnque
jusqu'ici Mété seuterneot U)K'!-t'n;t)c'' s(:ttit)uc. lu VMStcdumaine
reste utn'ctt aux )cc)t<rc))''s et imx t)nv!mx d'' t'avt'nit- daus )'<) ude
dyMiH)))!)'tt' des ph(~~mt-n< 'mn'nnquf~, qui ''st &peu )'f''s tout'*&
ftttK'. – L:tdivii-ion t'):ts<iqucd<'s)'x;'us~sL'ctmmnt<[m's<'n Htcot'it"i de
lu pt'odmtift), d'- t'<'t'h<)t)p'.df la t'iu'titit')). de la consonunation. est
factice. !)' bitrait-cet gênante, ti co)H iendmit de tondet' (adivi~uu do la
science sur t'e~t'iutiou sofiottttiique. L'ne première section compren-
drait les pt'ittcipcs gOt~raux qui y.tiettt Ut)iverset)emet)t. que la
société suit orgiU)is<<u)n't). t.')te seconde section traiterait des phc-
nonx'oes ~enetaux qui fesuitent de )'ect):t))t!e, c'est-ù-dit'cqui se )« 0-
dui~eut dan-~ une suc~t); um~nisee, tm\aUiaut &produire lu richesse
la entre ses moubres; (-c serait ta science statique.
La troisit'me .«'ction étudierait tes variation!- et t' cotnpticatiotM
d )nter-:tcti'~n et d'inter-dependance dont tte ~ccupait pas ta sec-
tinn ptr(;<tente, et qui cependant remptis~'nt nutre vie econo-
tnique présente. Si )e niouyement ecohutniques'arrêtait, la Yuieur,
)<;;'ront. l'intérêt senfient confurmesaux etntons que ta science sta-
tique determin'' l'état statique est toujours imaginaire il y a
lieu donc d'étudier ta toi du mouvement. C'est ta t'u'mro de l'éco-
nomie dynamique.
Jt. – ËTL'nËN(.t'.XKKALK~
NOTICES
t. – .Yofmns- p~ MMfcph!.
2. ï'f<!<<M<*<HMMue~.
–- REGtMHS ËCOXOMtQUES
:i
Hausindustrie und Heimarbeit in DeutMhtand und Oesterreioh
(Scht'irt'n des YcMtn'; fur Soïi.dpoHtik, Lxxxn'-).MX\'t)~.t.eip!ii({,
Dunckcr u. HMmt'tot,t8M, 4 vfL iu-8".
e
CitAHLEsCt!)E – Has cooperation introdueed a new primoipie
imto économies ? 7'/tf /t'<wow«' ~M!-Mo/(décembre 899;.
M.pn'!t'!)<)is[i)tj.i)tt't(i)i)t''n-)n''))ttt'tx'p'<<t'it)~)' M
orK'tfs 't'tx'tu'hx.' -mcx'nnc. <;ni. sctth's («'uvnt sct-Yi)'M(-m'act~t-iscr
hvif.)':ln)')~dL't'toj)jx')n<'ntt)t; la Hn-.
!(. et )'n'tHf's qui sont
simp)cM«')ttu)n'tt!)t)!.('):(t)t.(t)<)ncn)t()!i''dt'sfu))nt'!itr!t.<.<t)C)Mt)(tn
c<;citk'n<:t)M!))u(Ut)i('[~)it:i)tf't)ct'attNt'n)M<tcnt<-ch<'t'cho
i'h)<(<h'<)\tt)L)cx)x''M~'ch'.n<h'-t.-)itr<H:(ttt<i:n't!')t's')t'type
<[))ct('ttnUt)t'))n!tcij(t't:omMtt))istt'd:ut-;)''ttt''i<:ot))Adct)t't)<;tst'es-
pectih. Pm.<il <;x:uuinc les iutt'tcA df tyjM' nuuveMt ou Je ftiocipo
)mth'htua))!;to. – f:cH.. ('.tmh' <). p)'t'-cis.'~t fûbx', cot~'ieutu dMt'in.
sutti~an'p d''s sourtt's, pt'udcntt' ttiOts )' )'<)Uh:tt';a))it-)n' – L'ne
v<'tsiu« ftan<)is'' <'n a t'-tt''(tunot'' sMx h' titre //H)-Mf <-< t-oo/
M~'oMt')t /f(M.!)'<(t':uis, <:uH)f(Utnin.)
n'. – ÉCOKOMtH
UÉ~ËMAU:,OtSTfOMUftOS
~t. – ).').\Th'ftf:T
– SAH)KH.CuxU)T)"S MHS<:).ASSE.<
OCVtU&MK!)
CetouvraKecoutietttexactotnetttCG'jn'amtonce tcdptai)du u
titre; ce qui imptiqupchez t'uutcur uncfonscience vraie. sou-
vent absente, de la nature et de ta portfe de son œuvre. Co
livre est né de la preofeupatiott de donner, sous une (onne
concise et accessible. un exposé se suffisant de la question duu
sahurp, a la fois dans t'histoire de )'ff)))0)nie et dans ta théorie
de la science actuelle. ))ans pe travai) metne et sous t'iMMuencc
deaidéesditesdet'6co)eatttrichiGMne,M.))i)VtdsoMacrurccon-
nattre que les différentes doctrines historiques du sataire, au
lieu de s'exclure, pouvaient se compléter une l'autre et s'har-
moniseren uneseule qu'il appelle )a tMoriecontractuette. Mais
cette nouvelle théorie bien qu'inspirant toutle travail, n'occupe
pour son exposition propre qu'un chapitre sur huit: la présen-
tation objective des doctrines et t étudeméthodique des faits,
originate sur divers points et toujours concrète et documen-
taire, tiennent la plus ~rnnde place et font ainsi que ce Hvro
n'est pas simplement une monographie personnettc ajoutée
à tant d'autres, une thèse plus ou moins ingénieuse ou plus ou
moins neuve venant augmenter ta littérature déjà si considé-
rahte du sujet, mais une œuvre de contenu positit et d'utilité
solide, indépendante de telle ou telle conception individuelle.
Les premiers chapitres sont consacres à t'exposéet à la cri-
tique des trois grandes théories du salaire. tour à tour pré-
seotées la théorie de la subsistance du travailleur, la théorie
du tonds des salaires, la théorie de ta productivité du travail.
La première sous sa forme moderne n'impose plus au salaire
le terme d'un minimum fatal de subsistance le « nécessaire <
à l'entretien de la vie ouvrière qui, selon cette théorie, déter-
mine essentiellement letaux dusataire.estunenotion relative,
et en un sens subjective. tt su(fit que la condition ouvrière
soit améliorée pour que désormais le taux de salaire considéré
comme nécessaire soit plus étevé. -La théorie du fonds des
AKALYSM. )!uo'<0')ttE
<tÉX~ML6 M*!
samtres, s< elle est prise au sens strict et littéral, ne résiste
pas & une juste anatyse de t'outre et de ht demande sur le
marché du travail. Elle commet une erreur essentielle
qui est
de tratiter l'otïre et h) demande comme des données
quantita.
tives déterminées. Le tMvait, s'il est une marchandise ou un
bien économique, est une marchandiseon un bien
économique
d'une nature spéciale racheteut- comme le vendeur de cette
marchandise spéciale sont notamment inuués dans ce marché
par des notions ou considérations d'ordre morat.–La théorie
de la productivité du travail peut se
présenter sous des formes
plus ou moins perfectionnées mais si ette revient
toujours à
traiter !e salaire comme ht part restante, déterminée comme
résidu. elle a contre elle qu'en réatité toutes tes parts dans ta
distribution des biens sont à la fois déterminées et détermi.
nantes il faut renoncer a établir un
principe qui établirait
n'importe laquelle de ces parts par ia méthode des résidus.
Ainsi par t'examen critique de ces théories connues est
préparée lu théorie synthétique que propose M. Davidson. Rtte
se fonde « sur tes phénomènes d'organisation
d'employeurs
et d'employés en combinaisons d'à peu
près é};ate force
Elle présente alors deux principes communs déterminants
ou plutôt elle prétend que le saiaire, ou
prix du travail, est
déterminé entre deux estimations comme limites, l'estima-
tiou du patron et cette de l'ouvrier. L'estimation de l'ouvrier
est la résultante de deux (acteurs, t'un positif, l'autre
néga.
tif, davantage de ta rémunération et le désavantage du
travail l'estimation du patron dépend des avantages iudirects
que représente l'objet du marché ou plutôt ta valeur escomp.
tée du produit créé par le trayait de l'ouvrier. Entre ces deux
estimations, le prix du travail est déterminé par tes forces
qui agissent dans tous tes échanges. Ces deux estimations
sont un maximum et un minimum, t) se peut
que l'une soit
trop hante et l'autre trop basse dans ce cas it n'y aura pas
échange. Ce qui décide de la conclusion du marche entre
tes deux limites, ce sont les forces et les informations des
parties marchandant entre elles.
Il ne faudrait sans doute pas serrer avec
précision les
expressions par oit M. Davidson a rendu sa conception. Un
critique compétent, M. F. G. Ëdgoworth, déclare (~coMOM~c
jMtnMt!.juin t89~ n'être pas arrivé à savoir au juste si les
limites en question se réfèrent à l'utilité <o<a~ou a l'utilité
HMt~tK<t<e. Des dtfRcuttés d'interprétation et dos
critiques
B08 L'AXXtSt! t)!M't(!B9
Sf)Ctut.U)i~t;E.
pourraient être soulevées. Maisit convient peut-être de n'y
pas iusister, étant donné (tue par le dessein môme de sou
ouvrage M. Davidsou ne s'est guère permis de s'étendre beau.
coup sur su théorie propre.
ii faut plutôt signaler l'intérêt des études de faits que
M. Davidson a entrepris ensuite. it étudie tinnueucesur les
salaires de certains facteurs, la mobilité du travai), faction
trade-unioniste, les méthodes du paionent. Lu mobilité d'em-
ploi est impliquée dans les raisonnements ordinaires des
peouomistcs sur t:) fixatiuMdu salaire. M. Uavidsuu chercite
avec des faits précis dans (juet)e mesure et dans quel sens
elle est reeiie. n distingue fortement avec srande raisou la
mobilité d'onptui entre les professious (le passage de l'ou-
Yt-ier d'une profession a uue autre, et lu mobilité d'emploi
entre les ticux (le dcptaconeut de l'ouvrier d'un lieu à un
autre et il s'enorce d'étudier lu question avec les données
qui peuvent être tirées a cet égard des données statistiques.
L'innueucedutrade-unionistne est étalement étudiée avec des
informations positives appropriées. Enfin il est intéressant
d'avoir son~é a étudier non pas tes diftérentes méthodes du
paiement en ettes-mémes. tnais t'inttuence de ces méthodes
sur le taux même du sataire t'étude de t'inttuence du truck
System (paiement, partiel outotal, en denrées, matières, etc.,
fournies et imposées par le patron; est particulièrement
notable. Sans doute ce sont seulement des exemptes
que
M. Davidson apporte dans ces recherches, et non des expé-
riences totales comme en demanderait une induction rigou-
reuse mais avec les moyens d'information relativement si
faibles et si imparfaits, dont dispose actucttemeut lu science
économique ainsi comprise, il n'est guère possible de donner
des fondements tout à fait satisfaisants à une étude positive.
X'MtCKS S
W <it*t'tt<))t''<)Up<ti)))tt''tm')))!'t«)nj))t'.C'')M'r)'tiU)[')''st'
~uU'tt<u'it<(itti!)it''<utA)it<'t'()uut'ta!'):i''n''<'su<;i:t)'u)t<'tt"tiu)t
< t'tt-fcar<'<'~<t«f<Vt'«MO<M«'
p<'t'M<c«<tM/ suciftoi; coopo'ativos
de consonuuatiun, sop)Htt''spour ta eonstt'tmtmn des maisons
à bonmarchu:f~en«.<M<«f)'HM.«<'«~<.<f«Mc<'<'f~<t'<«t't"t'
associ.ttiuns pour s'aidff en cas do matadif. associations
pour asstu-ft' d'"? jn'nsiotts de rctmitt' pt'nthmt h it'ith'Me,
soei6t(*spom'pt't'vcnir ou t'cparfr tes accidents (tu traviti). –
uu cxp~f. il a (httnu' ses upi.·
L'auteur tt':) p:ts (:)it st't<)M)))p)tt.
nions sur tfs iustitutiutts et tes hots eth's n'tm'fnt df M'
uu'oMupt~ne tf Hh~ndis)n~cc<umn)i')ue
A~T('x\'E<.).HMA\'<.
-DerLuxus in soinem Beziohungen zur
SoziaItBkomomie./<-<<<(:/<. '/<<s'f«'t/.<'<-h«.,
ts'.u, t. )).
K. –)'A))'):H!<Mt:
\U')-ST)':)tttt:)U.tn~i"!))\rh).~<v..ntt)':tTX)-STt':)\.–Bei-
traog'e zur Gest'hiohte und Thoorio dos Armonwesens.
~/«-/<. ~'('.< rf<)<. r«'<t'. -~r!mt~H~r \X)t. t '-t \\tU, t.
t'. t'~r.n-
)'. STKTSUX.
':H.u)Mn-rH –Wornenand économies!,a <tu)))'ofthé
~)K} tAs.\)!t:~tCKtt.')t.~LK.tf<;M.H<'M'
'utt"t)ticM);~)')nt"'tw''<'atu''t)ath(~'ntcn!)s:tf:tt't<)t )<)-!<'<')!))
''Yt'[ttti~t).«'!stutt.St)<a)).M:tyn!<t''):t<tSM,itt-)~.
p:nti''it'.utt-r)-.t)t-)r<t,tt'iati"t<H'')'tttitt'n):):t <;):)'<'
'~nri'-rt'<t'[-:titt!)t"t'i'.t''<
V.–H):t)~0.\U)':SSt'H<At.):S
.t.– A'.tt\)'~MK
U!)ns<;cU''s('t'o))df''diUu)tduth'r''t)t't.t!u(;)n'ttbct'~e)'.
t)fV('tHK'm'<ss!tit't'ttuh')t)t'r))ttCi))))n'<)ni;<)<)))nt'<st))(.is-
ti't~est't autre'} ()nL)')Ct'un)p)t't''<"t.t'Ut".<(tnsith't':tti<ms'())'
tatK'C('ssitc't'un)))'"tft'ttmt))i'')t)f:!H)'ic<.it'(')tt''tCt'tt'ndttt's.
<:<'))t')td!)t)~t\'x))<M'(t't<'r('s(')'rct'tatt)tt)tmh'th''t'"h)n)f
daost'cttsctnbtc.
t'm')))'t'))m'n't);n'tiet'tt'mtt.:tc)'t'('<tun'it))<'ft't)t'i<')'t'ta il
t'cxp)uK!t(im(:tnrit'nh't'tt~')t'')':t)t):tttsst)Httt'\t't()j)['t'tucnt
histut'i([)tf'.)<t)t'mt!tutb)i<t't)n'ttt:\)af'<)t('uisn(it)t)<fus((!
:ttt)'t))amt ft !U) (tt'oit f"))('i('r p)'it))iti(. ~). )!))(')n'n)M')'s'
n)j')'t'Ht't')htUt)n(ht)'('niuK':)nr<tit'('L!)rt'i\('.)):th'i;:is)i)-
tiontiijfratt'icf.nthittittitm'ctdt'tittitsm'cittf-tt'Hx'ttttapt'o
pt'i)'t<'j))'tvcct't ).t))t'()))rit't'('t)t)tt))Ut)c:):tt''K)t'tt)<'nt<ttim)
t'L)a )t))e)'(t'dt'ii(t)':)))!<t)n~sit)m(tt's))i~t~:)!)~)':)n<)' ht
)))()\)ntfft ):t)"'Utt'pn))tt'it't(':tc-:t)i)ft't'f))[('sf()r)nt'sd't'x-
pt<)it.tti('n.)<'x)'t"it!'()<))'t)))('cth't)t'nt)'pt'is)'imnvi(ht('tt'
r~xp))Hti')i"Htti''t'<'tt't'th'(('))t!h'')'t'dit!)i)''m).th't))))'
)es(t)tT''t't't)h'sht':mc)t<'sttt't'itttt)tstrtt'!ti.:)'i<'u)('.)it''uHurc
t'xtct)'.iv<'ct)at'nttnt'L'httt'))si\'t':)i)[)t'udu(;H')ttp()U)'St)i('t
):t[tr')d'i<'tiottp«u)'):t\'t't)t(';)'t'<'u))'))ui''t):ttttr('th',)''t'"un)))ic
!)v<))tU)m!'ifGt)<'<'<~))))))it't)u<')'('dit.))i))di<)m'<)t))nH'nt
SL')H)S('ttt)<tjm'ti'ms'ic ta )n'')))t'it'tt'm)iivi<tth')tt'(<))').)
naU<)n!tHsa)i')n<tust)).de):)))).ti))))t'M'tt'.ttt't:)siht:tti'")p)'t'
sc)t~t'')!)j))n[ttt)!ttt<~t!)~t'i<'«ic,(tt'rit)tc)'\f')~i')))dt'))'ttt't
<!est'sd<'v<ti)''<,ttn)))'mv<'n)<'t)tsy))dit'!d('t<'<)t'[)0)':)ti{<ti)t)s
i':)~t'icuHurt'.
L:)S)'('<)tt(h'p!)t'U<'étudie):t<'o)ntiti')n(te f:t)prr<)up"int<)<'
vm'dt')!)L)':tt).s)nissiun(tcs)tit't)~'<'(tt))nh'ttt.tp))t'Ct'K'<'<t)n-
)nun''tnt't)t.):)\)t'm'd'ut)))it'tth)nttst(a)))'s.('(')t:)insf.n;)(j)t)'s:
les t'apporta d't produit (h) s<t)!tv<'c):'v!t)''u)')t)<tr''i):)n(te<h's
(«nd-:)!tf)tt<'stiund''t:)H)x')'tt'du <'<))))))<(')'<')'t'tdc ta t)':))ts
mission d''sbi''t)s-futMis:)'t)t)'a~t' par des ()))'.<t)t't's<h'pc)i''<'
et tt'!)dmit)is(mt)t)))au ('ntnnx'r'des tt'))('<:pt)i'<p!)r des me-
sures h'~ishttivcs: iutf'rvcntionttet'Ktat dansia r'parti(i«udes
terres par la pratique de )ac()[~nisati«t)ittteriet)re:t')ttraves
a la transmission eta ta repartitio)) des terres par la h'~ista-
ti<msu)'t'ttM)'itage,t<'sti(tt;icon)tn['t'.U)~<'cw'<'A~,ctc.).
\X\t.«ti"Ht:<)X))MtK''St'M:t'L).)'< ~M
Ocsc<))td)tim)sst'dt'st;tdt's<-uud)tt<)))!<)urid)<(ttt'sde
t'(?''ic)t)h)t'c.tt')))}mm')j):)ssM))nx<'ut)dititH)''t'e'n)(ttni')Hfs.
C'est ()'i)h<t)'dht t:t'os!<<'<j)t<'s) ion dt)C!<pitit)nccc'ittin'.t i'<'x-
jttoit.tLittt) ~ch. n~. tôt thtt't't'di)L'dHh')'<itttfs ('spucesde
t't-t'dit; chi'r~'M i)t'h"'t)''s~t-t'mt)!t pt-njo'it't'' )'m'a)t'(jt
rh:t~t's))usMM'c)'t'diLi)t)tt)<'hi))<')'.i)y)t<)t))t')it')i())it!diutt
)'t:d('tteti))if)ft'h'dn)))<t:u)-!j:!mis))ti<))t<t('shyj)t)ttn't)t)<'s,
)t\t't'f())n'i(')-)tu())'t)sst')))t't)).<<ut'.m<[:h'!)ih"<d<')i))t't'})-
tit)ti,:tssuci:tHattS)))ut))'')h'sctittst))t)tH)))S()[!i<-it')h'sd('(')t'-
'tit: )'n'<)itj)t'M()))))(')('t)<)t-K:is:t(i'n)tt('<'<'cn'dit.~n
f:)Vt'Ut-dt'!<!)!)-it;u)tt'n)')'uist't's[t:th'<;))))i'jnc )uttu)''d''
t<~ph)it:tttutt:~rn-tJ)tL'stt)-):t<)t)t.-n('i'mttucnt;t' pt-uhuhtt'dt'
)')':h(tt'st('-h)dh''t':))t)'sm'('stt''))t-"t('[iu))f'o))tn')<<'<tH'.)Vt"}
a)!tCt))h))'t',ft))-)tt.)ti"n)t''t!)j.;t-i(;utt''))t'<'td''VL'h'[<[)C))tt'ntdn
systuu)~d('ti)())'t)dt«'ti<))).
M.Hu(;))ftt)M't-t-:))-)'h('!)uhud~'[d)'[("<))htit!dintt:)nt'i-
('<))c.t)))!)ssm't)n'vtn'd't))n'))i))-)tt"<'h;t)K<'st.'th'sdt't)t't)st;s.
KHt'S(~')t('nd<ntbt':tttcuttpdttdt'vL'[opjM'tt))'))tt-ntt)t"nti'tm'
~m't'!)t; )t)nsit')t)-(tt'-t')-nisscn))n-t".t'))tt'nh't)t.i.t'-t sidaH'cs
cuftstitofjttt t)<t<'<t('~<)t'jt('tts('sn«t'tt);tt(;s:i't':t:ttittt<')'t'i<'<t)
put) )')'i)))h')iot-!)tion<h's conditions (tt)tt'i)\)i).~t:d-tt':)i;ri'
<'u)tm't'c(H))()tn-h'aussi dt's <;)):))'s'c('i((t'tth'Ut's.)x')'tt's,
'<it)istn's.t'tt'i)f!)ut)('tn'n)t))«st')'ttn'<ys)('tt)t'd'i)s<ftn'i)tx'f
:)sstt)'itttw<s)w'('i:)h's.:)ss)t)-:))t<'f<'t)))t)'t'iit ttr't'tss))t-!n)(:('d''s
:tnitHit))\d<)tnt'sH<))tt"t'n)nt.<-ot)tt'<'<'t')iti)tsdt'<. accidents
d'<nttn:~('s)):tt'dt"4\t'i;;t'h(nx<md<))tit))!tttx.<'t)idftt)it'sti'a.
ttiotimx.ct'sont dt'sou'sut'cs de ))utit'n)'ut':dt't)ui doivent
itttt't'vcnit'.
h'.tttU-c t):tt-ti(-m').tt's. La crise i~t'io~t' p)-<'s<'t)t<'se
n)!tnifMst'')(:)t-tt't:tn()-«;hi))~t')t)t'utsdt')))-ix:tt's<tH!it's<'K
s)mt)'M'))'')'<-)t''t's.t')tt't'Lud<'s}tt'ci:))t'<<t (:<))<'desprix df9
<n'!dt'st'tdfh'mitt)lucttc<'sur )t't:t)t'U!t(o)-mt'de ta pn)
docUf))). t.!t')))(-stit')tdfS))rix<t<an))'))t'i)<'t'H<'d<'s
t!'rtfsj))-<tk')-tc)t)"t <-('))('df's)':t)tp'trt.S!)~<'ti))d')s))-ic et. h;
c<)!nt~('rc'\SpC)-ii!)('ttn'nUesqn('~H~nsd)t ))):))'<'))''d<'s<'<tn;:d<
d)'rt'r<m)''t)M'))t<)'th)t')t(di!:t'))t'sttt)t<'X!)tnit)t'M.)':tdh)M.Hu-
''h'-nher~'r t'id)i«'))<t<'t'H(')M)[i''divers suj''t'm<t;ddes:
):t)t:)U'.st'dt's)')'<tdt)H'<}t!t)'i)'«)<'s:)!t(ids))h'ti<)))d<'sttt-<td)nts
t')tt'ttrprix'').h')tn)[iet'dt-t.dt'tu'f!t~i)iécs;)usprixeth
'[tx'sUtmnxnn'titirc.
<)')ts:)itn!s<'x!t's()U!dit<'sd('<'c).<'xp<)s<'f!)it))!))'Utt)H!dh'c.
'=)'ciid)stet')!)H)t)!tt)t'rf'.ptMt)-([u'its<))tiunti)e(t'')t"!t't''))cter.
Mt <X\HH<"(:H)).ttH~tt!. ~M
face do
indépendant de ces habitudes mais c'est encore une
ht question qui peut eh'e admisf. Cette étude des tendances
reetk's d nn état sociitt s'en'orcf de partir. comnte it convient.
de t'ttbsorvatiun et de t'antdyse objective des taits.
Contntent cvotuet'et'onotnio ruratedans ta société capita
tiste? t. capitat s'ftnt)a)~-t i) dt' )'ft'o))(tn)i'' )'m'!))t'. )a tt'ans
(oi'n)t' t-il, n'nd-~ C!)tht')nt's df \'iei)~ {urnu's df pt'wttMUou
et dept'opt-tt'tc et m'Mfss.tit-esdcuouvcncsautt't's*'c). t'onxoent''`l
Avec le pt-t~r~de )'i)tdn!.tt'ic ft ta di\'isim< ('t-t)iss:))ttedn
travait d~ns h; moud'' tuudu)')tf. te pnysim a (;cssf de prati-
quef ton h's tes industries fujccssuirt'set de satisfaire h))-m6n<G
à pre~jttc tttMSses besoins, il est <tevo)u ut) p'n' i~t'iftHeu)'.
Kt il <)('tt'ot)t)'i)i)ttdt' pmdttirMjxntt't'uchit)~ a())) d'obtfni)'
Mvccses pcuduits h's bit'nstjui lui tn:n)(tttfut dcsot'tnais. Par ta
ih'std''vt'))U dcpcudtttttdu tnMruhu.L'hrt'~utat'itc du pt'f'duit
!)t;)'ico)fctce)h'dn rt'VHnm)uic[n'sn)tc t'ont tnisithnnercidu
mitt-t'hiUtdde htt'. puis du pt-ctutt)-.t'itt-cctt'' v"('' et parctopes
successives, il arrive il t.) ('(t)tditiondf protétitirf. Kt d'autre
pio't Cit-n'Hutaritt' du tt'avait :)!!rifutedans t'atmw fi)it<{updcs
satarit'"ct<'tt)p')r.ti)'Mftant i)ppc)'aux pt'riwh's df t;rns truvait.
tt; pays:))) ft sa fa)nin< pt-i\'< contmc i)- t'ont t;tL-des autres
travaux accessoires capabics d'occnpfr h' reste dn tfmps. sont
de phts en jdus Ffdnits il la cauditmn de prutt'tairccttvrtcr.
Si )'')« rmmmte M t'~coamaic rarak' (te t'ept~m* feodah'.
le systftm; de
pum' cnt))pr''ttdrt; tnieox ):) nôh't', ou trouve
) asstdcox'nt t'-junna) et de) l'usage de ta prairie et de ta f«ret
encttattmm.Mitts ta~rattdM prftpriete. den't~ppce au dt'hut
des temps tocdcrnes. etterrhitat t'' }!in pat- la prodoctinn
et lui a
ptmr te n<!)rcht'.a res-ct-rede phtsen ptus le paysan
rendu t'existence extrenu'tneat (hn'e et tnist'rabtt'. e))ternn''e
dans un systf'n)Mde cutture qui, avec tes limites de son hif'n.
lie pouvait plus )'' mmt'ri)'.
L'ecuoonue ruratt: mmvette que )a r'ohttion !)(mr~oise
devait fooder avait pr)n;i)):dt'tneut dune part a enitiver
tnicux avec de moindres pâtures p"ur le to-tait et d'autre part
il n't~ndre aux hesnitts acctus du marche. La consonuna-
ti<tn et la productiun de ta viande se devetuppent beaucoup.
Le système desoutures a)t'')))';es substitue ù celui des asso-
tomeuts constitue un {; t"H''&s de rendement. Mais en
même temps ra~ricntteut'sespt'ciidise. et commence à ache-
tt'r non seulemenl des outils mais metne certains produits
c'est t'introduc-
agricoles qu'il n'obtient plus chex lui. Puis
AXALY~ttS.
– M:().\«MtKS
S)'Xt:tthKs ~7
tion de ta machine qui modifie profondetnent ies conditions
de t'a);ricu)ture. en rendant sans emploi beam;oup de force de
tra vait humain, et notammettt ou d6s<MUvr!<nt l'ouvrier agri-
''o)c pendant tout le temps qu'econonise fit fnm'hinctte tru-
n)iiteuras''i''ote.nepas'.ant)ttt)sp:))'exe)np)et'hiverabatt)'e
le bte. est réduit a s'onptoyer autrement et se protetarise). Ht
ensuite c'esl la ttteorie des errais et cette des microbes. qui
par tenrspro~r~s transfortuent la pratique cutturato.jH
miRroscope devient un iusU-ument ))6cess.tu'e de )')~t'iout-
tcu)', i'indushiH anficutc ()pyie!)t uue sciuttce qui doot.txde
nnuéducatim) h't'h)tittm' avancef f). dfs cuutii)issat)c<'sco))t-
ptexes.
Vient ici t'<t)t<)edu cin'act)''t'HcapitHHste de t'~eouotnie ruratc
moderno. i/autt'tt)' t'!t)'))die ht Ux'ot-ie marxiste de la vateur.
de lu jjtt~-vatuu et du ft'utit. ta Ht~orie de ta t'ente (tiitet'eu-
Ue))eet de ta rente ahsottte. Le pnx du su) estdetet'minc non
seutement par )a capitatisation de ta rente, tn<(jseu uutro par
divers tactenrs. n«tatttt)t:'ntparte cupital tucorpore!)t'exptoi*
t-ttion batin<et)ts.instruoteuts. etc. ). L:(quarte de propriétaire
fonciet's'"ppost'. en tant (tue telle, :'tcelle de capitatiste au seus
jtropre. ~tais tecunomierurate va vers le capital parte ormage
'-t par I'' crédit fitypotht'caire foncier; qui se concentrent.
L'auteur tuontre aturs en quoi la grande exptoitatiott est
sup)'ri':nre techniquement a ht petite expiottation que) n'a-
vait exa~'n- et quette consunttnatiun inférieure et mixeraMe
'-ntraine )a petite ct)ns«)))n)ati«)) eumment les petits prudue-
t''nrs c))er<:))t'nta ~a~:ut'r tes avantages de )a Hrande exph~ta-
tiof) par )'associatit'n. Atais te systone de t'associittion ue
j'ourrait se ~eneraHst'r dans la smiiete capitatiste moderne de
ntaniere il resuudre le pruhtetne a).;ratt'e.
Quette'i sont en fait tes tendances de t'economic moderne !')
'-et. e~ard?L'examen des statistiques de ta répartition du sol
ne permet pas à première vue d'affirmer une t;oncentrat!t)n
dt'<: cxph)ttatif)))t: a~ricotes. Le phommene est ptus cun)-
ptexe que dans les entreprises industriettes ou le motn'ement
't'; concentration est si manifeste. Le sol est limité. voilà le
f:)it la disparitt<m des petites exptoihtt.ious est donc. danst'a-
sricutture. la condition de possiititité et non pas comme pour
) industrie, ta consequent'e plus uu moins tente de la concen-
tration des grands: et il faut de ptus que ta situation supern-
fiette desparccttesysoit propice a une reunion utile. D'autre
part t'aceroissement de t exploitation agricole au delà de cer-
:~S N.%i.-k.~ li
t.'AXfHH
L StM:t'jtt.U)it~)K. )! )tK)9
a" lg~114-189'3
tahtes limites u'est pas forcement meiHenre (exempte dos
tatHundia'. Enfin ta grande exploitation a besoin de force de
travail. ette rectamedoMc t existence d'un protetariat agricole
(tus petits propriétaires, dont tes parcettessont insuftisantcs
u assurer ta vie, sont bons a toner teur travail). tt se peut que
lu survivance de ta petite exploitation, bien toin de promet'
qu'ette soutient ht coucnt'n.'ucu avec ta grande, indique en
t'eatRc qu'etto ne lui eu (ait ptus. et qu'uu contraire elle lui <'st
utile, en tut fournissant des adn'tem's deson surptus de pm-
duit, qut lui cèdent en retont' ta force de travai) dont tagrande
exptuitatiou a besoin et dont tes prolétaires paysans ont en
abondance
Au t'este les deux tendances peuvent coexister ta tendance
de ta grande exploitation se devetopper, et lu tendance de
ta petite exploitation a ~f tnnttiptier par le mot'ccttcntcnt
t'xtrente da terrain. Cette-ci représente en reatite une proteta.
risation de ptus en plus conptetede ta ctasse paysanne. C'est
ta pruprifte moyenne (tui fait tes (rais.– Le propriétaire d'une
shnpte petite pat-cette a besoin pour vivre d'une industrie
accessoire. L'anaibHssentent du aux mauvaises conditions de
vie le réduit souvent a t'industrif u domicile qui est si misera-
hte; ou bienc'esttedeptacetnentàta rect)0)'ct)e du travait. etc.
T~ut cela ntpnt'Qehcde ptus en plus te paysan du prolétaire et
te ux-t commeprotetaire en (ace(tu srand propriétaire qui joue
le n'de decapitatiste. D'autre part la production ne peut dans
ce t'égimeatteindreson ptnshautde~'e. i/econontie rurale pro-
duisant pourféctian~c rencontre des difticuttcs croissantes.
Le principe de t'tx'rita~e des )<iens fonds cntri.ine soit tf
dt'ntCtnbrement des biens, soit t'accroissonent de teur-
ettar~cs. Les expédients du fideifommis et de t'.tMc~t'Mn'~f
ne suppriment pas les ditticnttes. t':n)in fauteur montre
t'exptoitation de ta campagne par ta vitte et étudie la depo-
puhtUon des campagnes.
tt passe aux questions de la concurrence des pays neufs <
insiste sur t'industriatisation de t économie rurale. Ht il
eot~ut cette partie do son travait eu dégageant les forces de
Févotution et tes etetnents de t'économie < nrate socialiste.
CeUe <fuvre cûnsideratde a ctc fort étudiée, et fort criti'
ttuée, mais étudiée et critiquée surtout t'n tant qu'œuvre de
pat'ti potitiqne et social, eu tant que progranuno d'action.
EHe devrait t'être aussi comme œuvre de rechercha et (te
science. H faudrait reprendre un a nn les fondements positifs,
AXALY-K-. – )!t)Xt)U))!'t *t'Kt:tAt.K.< S39
.8
les données stattsUqnes, les ))rjj;t)nx't)tsd'o))s<'t'vntion qui
sont.ta tttatiëre de ccHo coustructiut). t) est vmisonbh'bte que
ln déficience de documents suMsinnntft't tnis nu point dont
suufïrcnt toutes les tcntoUves d'fcottu)))i<: posHive peuveut
cxposet' c~ctidoes des ioducUtXts)))'t''s<'ttt<C!ii il être t'ootfstees
ou n)odi)i6cs; tnats il est \')':)tse)tt))t:)tde
aussi que ceUo cons-
U'uctiou cctuit'e tH'm'fusexteot)'i)tt~t')<n'tatiux de ht vie et de
) fvotutiuna~t'ititc pn'sutttf adunnct'par ta scieucc sociuto.
t*i)rti)t)pn)taMt''d<'t.tt!t':ttn)t'<tHt'<'<t'hist<)it<-MC«nomn(m'cttt<
)'t)S('t'))t)<'t't'<'suus)adi)'<'c(i<'n<h'M.Sc)titT.
~.–tXt)t'T)t)HMtSm)t)i
j..))\R).MUt<)fit-tt':H.-MeVerhaeltniBBedesKoMeNgeworbos
<mt
in den veroinigten Staaten, )))it tn-iutxh-n't-)<"itttC!t)!<t)t)n-
ii~itJ''tnJa))t-(-t88S.~<t/t<-A<
dit' ).!H:fUt')')!<-r~tr)'t-i)';t' /f~.
K.S<«<.<C')tU':tt);,x\t'),~u.:)H.
.t.–At.t.KMA'.XK
A. –– )<L!tn:
(t~C(tM<-(«rjt.
Jf~~M<'t-/jt'f.
x\t~
53G L'.tXXHK sm:)u).Ot:~CE. tMS.Ht!
Hu<sK',t:tdi'ttti)Mttiuttttt.'tit))t-L'))m't'fmt<'i''r<'t')i)t'it'.)!tt'om-
tntmca2tic'))!'t'nnu«i<):)t:t:tn<)<'it)dus))H't)'i))'h)!<hit't)o)<)t'
tKptf'.t:t')Hfstk')tt'm))'t')''tt~)'h)t't'tn<'))tp''ri"t)it)tn't(L's"uvt'i''t'.<
ngt'tt:t''t('mii.!)'a(i"nit~t''m'
t'na)'))t'tt<ti<'('c<!ntn-tt[')'<(''tuttt'ssur le t'ait ('"(ttumift't'uss)'
(<:t')n''t'ittitt''s.Lafinmtt('.t)(-ru)'))t<')'ti:tti<)ndusut))!n'tt'ttitV.tii'!))
t'('m<'ttttssK'<'t<'n)'kt':u)«'L't'pus('')'tct:tit', tacite a tin', d'un''
mt'uttn!tU')n;ti«;'c.
A '.)tAZtADEL–l~prodMzionecapitaUtttioa.T")it)". Hofta,tK98.
itt-< xf-MC p.
/<. – Sot:H).t<ME
K.V. HOEUM-HAWEK.
<ttWK); M.t.ttl«–––~tt*t––<-<t.–
Kart Marx aad thé eloae ofhte sy~m.
A o'Hiei~))).ttHUiiLhy. A. M. MacdcnatttL'~t'toM,t'isht)' t'Min,
t8W.
L!)t)ih)i")<t'<t()t)it'ttm').tti''h'')n)))iuth')t)t'()fM.t''o!tw'')ttu):( a
)'~t'mis()'!))<)Mt'')'tt;t'V)')tU))''t'<)tn't'v)M:tti)n:t)))<'t't<)t'('tt')ni<')t'
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tt)). – t'!)).)T)'jt;K~.t:')X<)Mt'jt'E
KTt.K'.tsUTtftX <f).;t\t.r.
t:T<)KX<;H )')X~):)t:ttK
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h. x. A. CI!11~·h1
~.m.MA: %t .L-
Tha shifting and inoidemoe of taxation.
~t-t-ns.H. ')))<tt-({<-tt~)ttiot).Nt-w.Ywh,M!u-)ttit)M)),t8W.
MOHPnOLOf.tHSOCtAU-:
)':u')).)'!)'hHt").
t.–t.HSMt'.KATtOXSUOt.UKES
A)'.nt)t'dt')'))<)tt't'<t<)ttti)it~t'))n'stt')))j()h)s))M))t()'.4t'<ut'
-.t'x')''))'' '')t''i!)''s p.n ~.ms:d)t'tt):m<)s
):))n'W))it'' tht othf <va))i:t''))<)m'.
M.<i!i''d"'t't''t')))i))'')'hnt:tui'r''t)'tnts<'di<tti)'tu't)L)t'~t:t:))))(i-
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~')''tm'nt,'):)nst''s':i))t))'!tiftt')))'')))att<)'t!(j)mtit)u''tt'')itfHt)<i)tt:&
S(!4 )/<'<t!)f !)t:t't).'tt.t'rE. txH'i-'Mt'
– GBOUP6MHKTSMUnACX ET UHBA~S
y(wn.<qnht'exctutj:unaisnt)pcett:dt)et<}nd!)m'u&runit'
.\)"s ft~'it m)')"')' lei titik qui tt~m'<t)t)eut ')m' t'" <)('-Yt')uj)t<['mcttt
<'st !tt'r:)i. t :mtt'nr itxistt' -.ttt'K'nt ~«t- mt<' )'!Hti''tt)!tti)<'<)ui tt'n't
ttitt)t-ii'"<)t"m)t)':))M)'tt'.t-t)tt'')'t))'"n'<'tm')t)'.ttt'tu')'t'")n''s
')t's Mr:n)'t<~\it! t.'ittttm'm- ;tKt:tcti\'c ()'' 0'- <'<'tttr' t':t)'<'))m' :'<)
th'h't '!n )"t)))"i«' jn'"['t'<')u<')tt«t tmin 'tu))" t«t))cs k". f'~iufts ttYfi-
-it);)tttt")''ct))tn'ttt-t.)j'~[')t):ttH'ttK't'Yt'<t:!tt).')))t'tt(.t't'tU')""tVt'it
t'utu)'it)'<' t'.ftiut) t-t't<<- ('!t) )< 'ti0'rt'))t< :n:nft')n'):ttm)ts. it t'«u-
ttt-;tittt!U)t't<'t))t'nn)~<t<r.'ty~tHt''m''))t.)n'j'!t.t~)t-.id'?t-<'t-<<'t)
i-)U('n)cc~ni'it-[ms..<t)'i)tt'')i''Htt[t'ct'()m'):)jj;('m':tpttit'j)")iti<)t'
:)(')'t'))c ta vitt' *t't-(it'u'-std':tut.m)jtht.)h't".si)it't)th'
'-t'ttaitt<rstift<t't)<m t:"m-< )[<')<-))) ))i')un'incutput-t't"tt["u
n:)t'ti''d<')''m't~ti't'))tit:ut<jn'('t't:<itt-ct'')t'='-t't)n'ntsth'
ht i"')'<tt~t)"h'jut)'tu''m'')~!))')'!n't'ht~ts~nt'-i))))')'')t)''nt du')c'-
~)tt-f')ittt!t'nttttti)H-.tt':tth'dci:)vii)''u))trt''t-)'tt)'s.P)t)<.i('ut-.
))t'u't).<'utrt'imti')u''x)"'ut')'t't'\<'t)it'st'r)i't)t~'))ti!t)tt':tictt)
rt')(t-()tiMit~t'.n)tt'm't')'x:))ttitt<).t'p)')'tti''t'!n-,a)tt)t)itM't'ai)
t-ht'<'ft)i<ht)~it:~s<))'(t'-t.'t'tnnt''t<<')'-tr!)t'ti<jmi'r<'t)<'t))-
tt)a)))t'iit''<')))')')""it'xttt'')n<ittt)H'i<ttu!))!t'h'))'-it')'
).t [<uj'u);niutt,tt.tos ta !~))tti')' t '-tit'vi''m -itu)f)''))«')(tt'~ah- :'))it d''t)
-.it'tt)"y''tm<'<)''t<tj't')vm'-t'.<.)tduth-)):t)tt')<)t')tt.t'n')"'ti"
!)U't't''i :))'j'«)'ti'-))t );) vit)'' '-<')~it)'')'
'<
).)m''Ut')')'itt'tit)')"<t)it~<<h'i:(SM):<'('!)th'U.\t';tt~L''))'i<"i:t'<'nt"-
t)!)i)"«'tt''tt~tn'tt<t)''))'-t'ttt<)ist:ntt''s')''ttt"i)~()<)')itt!!<'t't-n)~
)tt'tt-t.')i')))i''n'tttj'h)''t')<)i.'t)'))ut<'ufn't't)S)ti<t'')Uf,tt< j
t'<4');)tti'J;)';H'r('i–m'-t~:m)a).'t<t'-)<')"'j"'t;'ti'~t!t<t'~j~'tSt''<n>iJ' II
r.t)'t'i:tt)'-)')ttrttti<t't".<)tt<'JtU)'.t'tuf )"-n<):'))t)'ttt-"x Il
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))"))"')< t'i~t-7:) <'t t~'t tt;: t'Lt'Ut-tttt- <-< ft'-UX<'Xr.-()tt)'tt-)«' S<'t)t-
'-))' .jtt'tj'jmn-nt' t).. :t,t ~fai~)'- r..tt't:)'.b' t-st <')). "t'- )')')'- )t);)t.j"
'.it'<)t)<'t))t))':n'-)'n~')t'ttttt(')iu)tmt;tti"n'-))t'i'-)tti~t;<ti")t.tt.(t'-
)'" ).t)t)t''< :'t )<t.'xi))Htt'-.)')!!«' M.U-< t't)''))t ««'V'-tt :t t~)'' <t'
tti.Sj'um'))<)))<'tt<')'it:)))t-t()<t.7't:)t!~)'t))tt')..t)'ou<'<-)tt)'ati")'
t)<'ta p")')))!ttit'n:'ut"ttttt<-sKu')--<'<t<)<'tt.'«' tf)!))t)u~<<:)-)n'))t)<nt'.
.\X\).ysKS.–).KMM';A'.HHT<)tAMtT.n- STt
i)y:t(tc)'ui'.(())f-)f[))''t<)n))s'u)t't<'m)!)nc'')t''cu<v'')'sn)K'<tin)i-
))utit))).K)h'(tf)t.~o''<tt""t't'"h)t'nu <)'-t'')")')n'n)''tttd!
.ttt't))ittS)t<'t't'!tY")<)n'itt')uit)''ut)')tt)'!)'):t)ts).'scutt))'ati)i-
~tUt)'t-)'<)'-t)t')mtt''t''))nin)'t~U)tt't')'t!(tt)''tt')-ntt!t)is:)t)t)u.
.-)tp.-)tu')t't')'.tH~)tt:)hi(~tU))("'tt)'ht'<(<'iudcs!:r:[tn)'ntr<'s
ut't)'t'n:ts'<at)i)it'C'')n'n)t')'h'')h)t)t''))('t)''L't'ith:dis:tti'tt<'td'
.ti-.pt'rsiuns''(')-"<(ni(ai'iu't't't'th"tMtt<t''s<'it)'«'= t'ittttut'n'
tt<h.)n)M!)ys.
tV. t.):MKS'A':KHT~UUTt'r
..u<uita')U.-tt'H".).-«-iht)<.)tt.t!t)ï;'i~!tv.")'it-iHtt!)'mK'
~T~L~t~
Bukowlne
K' H :)) \u\\ SKA. RumaeniBohea Bauornhaus in der
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.~t ~.«~«< ~<
t'MM)~'MM~C.
M!VK){S
t. – .<!0<:tOLOUtË
HST)tKTtft!K
t'.u'MM.t)mt:)tTett'A)tMO).
le phénomène le
dition S" de moyen à fin, e'est-a dire que
fondamen-
moius urgent doit servir il lit satisfaction du ptus
et sans
tat d'une manière plus ou moins indirecte d'aitteurs,
nier même lu reaction uiterieure possible des phénomènes
L'auteur esstue
les plus cumptexea sur les ptus simptes.
divers
de retrouver et d'établir ces rapports de fart avec les
dans ta série, c'est-à-dire
phénomènes qui le précéderaient
)" avec le phénomène economiftue; avec le phenoneue
tu tttorate; 4" avec la religion, ta
juridico potitique; avec
science seule etaut conçue comme ptus eotnptexe et ulté-
nette.
rieure. La détMonstratiot) de ~t. H. est le plus souvent
il établir ta subordination
précise, et elle parvient souvent et que.
de fart a une foute de besoins sociaux plus urgents,
dans une tar~' mesure, il est destiné à les favoriser. Mais
ces vérités socioto~iques ne contredisent eu rien. selon lui,
ta
le caractère désintéresse de t'ouvre esthétique, ni même
doit se
maxime de l'art pour l'art; il est vrai que fart lie
au moins conscie))<me))t, aucune iïu extérieure a
proposer,
tui-meme. d'où lit maxime que M. B. propose ~rUste pour
et de
t'art; mais, d'autre part. s'il n'y a pas d'art sans public,
si l'artiste, en même temps qu'artiste, est un homme
ptus, résulte que,
soumis a toutes les iullueuces communes. it eu
dans ses œuvres les sentiments
spontanément, il exprime
ou tes idées que les actions ambiantes, économiques, juri.
tout ensemble et a son public
diques, murales, etc., inspirent
et a tui même; t'utitite sociate a. entendue eu ce sens. pourra
œuvre
devenir un critérium sinon de la vateur absolue d'une
de sa diffusion.
d'art, au moins de t'étendue et de lit durée
en art,
En d'autres termes, encore, a l'idée de vérité, il faut.
et t'absotu
substituer l'idée de sincérité, uù se réunissent –
désintéressement subjectif et lit nécessaire utilité sociale.
de la réaction
beaucoup de remarques iu~'nieuses. à propos
de
des phénomènes plus complexes sur les plus simples,
dans fart
fart sur ta moratc en particulier fimmoratite
d une crise morale et religieuse qui la
peut résulter ou bien
conditionne, ou bien de l'expression exagérée ou exclusive
sociale-
de facteurs (tui, à t'ori!;ine au moins, devaient être
il
ment légitimes ou inotïensifs: faute de quoi, n'y aurait pour
d'ur.
de telles œuvres, ni sympathie, ni public, ni par suite
listes,
et
On peut reprocher à cette étude d'être trop systématique
un sch&me uniforme la multi-
rigide, de trop enfermer daus
\X.U.tH~. – !M)t:M).'tt.)K
)!-TMëH'ti ~;T?
7
ptifite et lit varieh'' des évolutions socintes. N'y a-t-H p:<s
quelque ehone de bien at'bih'Hh'e dans t'ft-thtissomeot on une
série linéaire de tous h's p)t6nom6nes sceaux 7 Xen
peut nu
pas admettre de parattëtes ".c'est-udire d'aussi primitifs
et originaux ))'s uns que les autres. sims qu ifs se condition-
nent de pruche e)) profite h')-eversibtem<'ttt? t/oxtotn-
est, par
ext'mpto.coMthtit ptn-tu & rejeter le pM-nnn~ne tamitiat hfu'tt
de la Sttt'iotogie. tt))i())te<neHtp!)rce tjtt'it est evid.'tnment
it))pt)ssih)o do )e do'ive)' du ph6)to<))È!tepremie)-. t'éeono-
tnique: (le tnetne est-il vrai (}t)e les htt'tnes nx~ne tMSplus
hmohtes du besoin scie)tt:t!qtte soient phm tiu'dives
que toutes
les autres espëces de tMimifettitUuns socudes? Et pnnn.
tt)tttns ces do':t)-i))t'sdissitnuteut ht mOne
t''quivo')t)e t~te (a
théorie de M:)rx étabHt-ott si<np)emen( uxe hi~t'.u'c))ied':)tt-
p'M't!)«ceoutre h's diverses foHct:ot)s sot-ixtes. des ptus
urt{et))es imx fonctions de tuxe. ou s'agit it d unegenèse.
d'uue productiutt vct'Hahte? Cest en cnct sur cette
quesH~n
()t)M le livre de M. li. reste le ptus iue~tht et te ptus con-
test:)t))e. tt n'en eontieut pus )))oit)s uo htteresstmt essai, et
<)))ftt'))-t pourcunstttuer ht <.
soctoto{;k'esttn'.tique .<(lui peut
être fécond.
-<en')edM!)ht())n)'Hncc))<'ini.C.<'stm<<'8'dtt'<"<)Hft'tton'e
desystonatisittion. H. H.
).H'(hi'-t'))'i'jm'<tat)-))'!i<))h')t~.it))i):))it')')':ttirf-t)inH-
ti)tif)T)!Ot)<tAt)"i<hf"h)'")"ttH':)')it')t')'-i)t)n)!.)m'-<t.()''))'t'
tn<'t)t'<'o)t)'<!n<h)')r')'[))~hi-.t''t-i'jtt'))t)t'(Mt'sM)'~pf)t[m')'
hist<uhj')t't')''nr)t-~(mi)dt'))t!tt)~tttu-.))<))<)d<"i'tt't!t)))'hi'-toif't''
f'.u(tju:t))t.nt)))t'jfnm<' 'h".t\t«".)')tt<'s)~)-)Nt"M.)t.<'))t')k')))(
''Xt'M)'))'n~)'iti))))')<Hn)).C('tt!t-.imititH't<)w'<'s'tt'ttttnM
'tH'd<')it'.itt))''Ct-))it)m'()t'\V:t(<h''ttt<))'')it')(tf)t~)tt't('t')t'.tY'
uttt'')i<-)'r)t!t)d(-t't)d''St'ht<)t))')t )mh'ms).!)t''r))ti!tccu)):tt')imta ::1
))t't))'o'<'t''<t''MXtt)<'))f-'<n''t''<~(t)!m!'i't''t'!tt"=''ttf'<tt's)tft)t)t<))t)")t
't''t'iutth''t;u);[tir.
)). – ).'A'!T)t«0)'OSO<:)Ot.Ot.t):'
t'at'M.~ht.AX!
)~)M<h'-tu't))M)V's''t'v'jUt-b'-n))n')'t't')''nt'
S84 t.'AXXHH-.M:)0).Ot!~H:.t"S-t&S
a été d~-j&question
développe sa A~'«'Wt<«' .)«.~M' dont it
au premier vutumedo t'.t'««'<f<o/<M/<~«<'(tStM)-~). C'estnn
sur lit corrétfdion de
iucomparabte répertoire de documents
cermins faits anthropologiques avec certains faits sociotogi-
(lues.
L'ouvrage sf (livise en trois )Mt'tifs
si- divise 1)411-tit'4
La première expose l'origine des recherches entreprises.
tes mett'odcs adoptées pour tes diverses )net)surati"us et ptutt-
lit tuisf est muvre des ducument!! recueillis. Ktto reufertue
th
egi'tt'tnettt une deso'tptxtf) ~6oi;r<)phi<tueet K't'de
et observés dans
région étudiée. Le totat des sujets meusurcs
les ecotcs et les eonsei)-! de révision s'eiève & ~t.l.
Lu deuxième partie est consacrée aux résultats obtenus
t- sur les conscritt ruraux :~es d' vinutaos; sur tes
et do vin~t-deux ans
.tj(H))-ttcsruraux de vinut et uu ans
:t" sur les conscrits urbains de vingt ans.
La troisième partie t-ontient quoiques rcsuitats particutiers:
)" ht n'partitiott g('t~raptti')ue de divers otracH'res oathro-
t'etmte antht-opoio-
potngiqucs observes ('bex tes conscrits
?' l'étude anthropoht
gittue de 434 sujets dori};ino juive;
du Cmnd-Duche.
j~ique des élèves des gymnases
\'oit;i quelques uns des taits établis dans )a seconde et dans
ta troisième partie.
La taiite moyennedes conscrits de vin~tans dans te Rrand-
ttuct.e de Rade est t'<M~. Eite varie de t'Mi t a Wotfac))dans
le Schwarxwdd. à t't:~ à Rucheu et a Werthetm au nord
du nrand-Dnchu. Les conscrits tes plus grands sont nu nord
et nu sud le S<'hwarxwa!dest, an contrair' le centre d'ex-
cette reparnUon geo
pMnsMndes peUtes taittes. On voit par
deux tacteurs, ta race et
graphique que lit titille dépend de
le milieu. Certaines régions pauvres renferment en effet une
forte proportion de (;randes taittcs. qu on ne saurait attribuer
au bien-être, et, au contraire, dans certaines régions très pros
te bK'n.étre De )840 M
pèrfs, ta taitte est restée basse, mâture
t864. il y avait pat-nn les conscritsde vingt ans ptus de petites
ceta
taittes et moixs de grandes taittes qu'auiourd'ttui
au bien-ctre, tacroissaacedes
prouve qu'aujourd'hui, grâce
est mais non que la taille m"yennpe
jeunes gens plus rapide,
dt: ta population se soit étcv'e. ce qu'on ne peut guère ver)
sur des
tier, faute d'un nombre suffisant de mensurations
adultes.
sctectton
Les vittes exercent, selon leur importance, une
A'<.u.Y'H!– ).'t'<'t'))n"t'"s<n:t'<t.')(:tH 583
<t< Voir)')<)<').)<«'<-hi)tn'
t'ftW' tMO'/fftMf</M /)'f'/M)fM f/'Ht~ <<* 't<f'M'/ ~< f/f ««<<< ".CM
– (/~tM~<<v/iy'<'St')!wa)'i!WMh~<!?
– f/fHM/<'Xjf)t<t/<'t<'t«'MM"S'=.< ,<it.'
– – 1
/(nM'M"<'<
– – /)'~f/'M'~<t'H. .M
– f/<)M</<<f/<wt<<-<7/<t.<MtMt)~)'<'jt .ï&
– – i~M
/<nM<M~<'<
– – /i/Jt.rM'-A~'H. )~M
~ttaU)'!<tt'<Mrh!ti~dcp''Hh-vUh'snnf.nt-Ut-)'))ttnny''nn)'(h)()ay!.
ht ta!t)o dMs Uttxnxs df t{t-an<))' vi))~' t'st i.n)K't'!cu)'u. !.<'s ()t<t<'t~ttM'ss)M!<
hffrps'*<<«tétantes.
otttyctt ')u Tytut est M'.7 ')'- t't B<th')n' M.?
L'!))t)it-< <')'j<))a))<)U''
-tt- ta t''mt)'t<X.5T:<)<' t'Aot:)' 7X; t-tf. Voir ?'<)))'ht f!<t'P'
t'indico <-t'phM)i.)Mt' Kt(t)<*Y.K«c«~ <:f<~Mf~<M ~e ~"ns ~)M<M*
tM )-a'f< <<e
.Sueocc .Mo<t~. A)))t)<'t'tn, Xt'w.Yur):. t~.M. '-t t)'ih"t.
/'K«tY'~f. <)< )'.<M<A'-<(" <S"f<.p. H3et !.M)V)t))t''s.
~C ).'tfXHHS.H:)U).t)!.)~H:<"i'
l'indicé eeptta-
Lapone, Uepuis les temps préhistoriques,
Xousidtons
iiqueteudaautttnent~'t'coust.tmment et partout.
voirque, dans t'epoqucactuette, ptusicurs autres causes. agis-
sant sous nos yeux, tendent encure nu retevement de fin
diee.
four étudier les variations de CimUce('(''ptmti'jtn'sctun )t".
()it!ctuuts s<-uupfssucianx. M. «. Annnun a distiut:uu
t'Lesruntux;
Les muni~)'~ de la c:))np:~ttc
«.(t<<ustt'spt'mt'svn)es:
~.d!tns)<'snt'andf!}\'ines;
H'Lesti)sdn))t)t!!ï''és:
M.de petites nHes:
~.des't'Vt)tes;
4"Lf!i)t)s d'urbains:
«.du petites villes
~.degt'audMVtUps.
L'indicé d';srur:)nx est S4.:H.Lindiec des innni~t'fse!)
8t. pom' les petites \'i))e' c'est-à-dire :') peuprès)(! toetup.
tes
et pour tes {{randes vittes. soit O.M~de ntoios que
t-uraux. t<estifs d'it))tni~r<'soHtdans tes petites villes M4.)tiet
dans tes !i:rand(";vi[)t's~4~. Hntin, tes filsd'urbains ont dans
tes petite-! vittes 84.0! et dans te-; grandes heaucoup moins
Hnd'autres tfrxtes, les habitants des petites villes s')))t
a peu près setnb!abtes aux paysans, et les grandes viites peu-
vent être considérées Homme des centres d action de la s6te<
tion naturelle. Mais dans tous les groupes, il y a augmenta
hon progressive dans la proportion des dotidtocé)'t)a)e!i.
<tt'sruraux aux tt)t))u~t'<'s,de ceux-ci aux <Hsd'h))U)ië'res.et
de ces derniers anx fits d'nrtMJns.
Si les sujets qui immigrent dans tes villes sont ptnsduti-
t:ttocept):desque les ruraux, c'est que tes nites exercent une
ntobite
ptus grande intluence attractive sur cet etetnent plus
de la population. Cette innuence attractive est moins sensihte
dans les petites villes, d'aiHeurs a peu près sembtaittesata
t'ampasne. et dans tes grandes vittes en décadence, quiettec
Uvetnent renferment moins de dotichocéphatcs parmi tes
immigres. Si tes fils d'immigrés sont encore plus dnHehoec-
phates que les i)nmis''es eux mêmes, c'est que la vie m'baine
exerce, an profit des dtttichocephates, ttne setection qui devient
ptus sensihte c))Mles (its d'urbains proprement dits.
Les vitfts, surtout tes grandes villes prospères et actives,
– ).'t<fHt)U))''K<H:t<t).')':)M
~~t~H-
~Tm~U~f~
.M.)'.)n<.t-Htt.'<!)..it)t:.<'<
M!) t.t.\XHK-t:t"t.«<it~t)<.)tt''f''M)''
etabHs prin-
~Mtttt 'ff sur le eottUuo'tt Ces rusuttatsontete
chercheur do i'anthro-
t-ip!t)e)))fnt par J. Huddtx-, t'httrépide
poh~iebritantuque.
H's n'cherch<'s de M M))tÏ!< sur des rentiers et des 6tu-
diant'otcLiverpuot eU'hitsst'ot qm' s'it n'yn past'n Anutc~n'p
(le diiïerem'fs rpuiooah's cssonticttes au point de vue de t in-
dice cephaH'tuc. il n'y p!'s xn" t't"s de d«M)'ent:<< esscoUeHe
:)CHtn~xc p'tt dn vue t'xh'e h's dttMreutt's clusses suciates.
Les enfiOttsd'ouvriefs n)f"<tH'6s <hu<9tt's écoles pritnaH'fs. les
titsde btmrgettis ft de cnmn«')'ç!)t)ts tnesurGs dons tes etohHs-
someHts d'eMseigxonettt secn))d:m'e. tes etudii~ts mt-sm~s &
t'ms, f* quetques
)'L'<t<r~< ('<!</<<'de Lh't')'()<)«tf'<t)t-()tss<!)tt
dire 7S.Lesct)(:t))ts
dixtOxes près. le tM&tttt'i)'d"'<'t))oyctt.(:'<'8H~
de ta ctasse pauvre stm) tc~remott en retord, au puitttd'' v'tede
ht croissance, sur tes enfants du ttte<n<'&Ked<u~ hn;tt)saoi);8ée:
mais cesderniers no sent que tes premiers p!)nni leurs sens.
btab)es:iis ont )n m~'ne mc~. te )uentes:)t~. les menn's foi-lises
ditïerentscu étu-
eephidi'tues.Ott est a)'riv6f des résntt)tts tout
dixnHa pttpu)aUun scoh'irpdu Crimd ))uch6 deHHde(A')tmo<t,
.«~«-<'fA<'.t'M/<«' e). ~'n- .tMt/tro/M~ N«~K<). celle de
t'Aveyrnt) <t.pouK' .M'~Awtj' /Mtu-t'fUtf/f~m~ <icp<
rox) etcelle des Côtes du Nwd M«)Ï!)Hg.~co(«'~ ~yMMN
</<-~«M<«'«<') Sur ces truis poittts. on peut co))st)tt<'rta
de très sen-
présence d'ctétnents xttthropot'~i'jttes distnx;tt,et
sibtcs difîerence!! daMSr:Mdice ct'p)))))i<tue.setox ht re~ou ou
h) classe sociale qu'ou ctud:e. K)t tout cas, t homo~ueite reta-
tive de lit popuhttioo des ttes HrUatUtiques,ett'hèterojîénetté
:nt point
profonde des popuh<tmns continextates européennes.
do vue de lit composition anthropotogiuMe. sont des (aits bien
t'tabHs. et qui nH-ritent peut-être qu'on y prête une certaine
attention.
r~~w~M~
t'.)'i~ At'im.t)!f''
).)<««' .w't'tatu.t'~Mf.
).'AXXKK~)t:tt)Htt.)~).'K. <)(!-)?''
S~
là où on la rencontre. part'inuueneedesconquérantsd'origine
nertnanique, semblerabien improbable,si t'en se rappelleque
ces couquéraots se sont fixés aoapas dans les villes,mais de
préférenceà la campagne,(tans tes châteauxQuoiqu'iten soit,
t'expttcation de Livi, tout en écartantt'hypotttésede Lapouge
et d'Ammon, conth'tncrait encore une {oisde plus )u hiérar-
chie des races européennes, telle que Ctossonl'a établie.en
dévetoppaut un point particulier desthéories de Lxpougeet
d'Ammon eux-mêmes. Les dolichocéphalesblonds l'empor-
tent sur les brachycéphales,et ceux-ci,a leur tour, i'ompor.
tent sur les dolichocéphalesméditerranéens it s'agit ici
bien entendu des groupes, des peuples,et non des individus.
M. Livi objecteencore que des peuplesbrachycephates,les
Gantois, les Vénitiens,les Français, etc., ont joué un brillant
rote dans l'histoire, maigre leur brachycephatie.A cela on
peut repondre que les Vénitienset les Français d'aujourd'hui,
entre autres, sont, it est vrai, braehycephates,mais qu'ils ne
t'étaient pas au même degré dans le passé,~t que,quant aux
Gaulois, tout tait supposer qu'ils étaient dotichocephates.La
cent positionetttMiqued'un peupleM'estpas ta mêmeà toutes
les époques de son histoire, et it convient de se rappeler
qu'une des lois tondamentatesles mieuxétablies de t'Anthro-
posociotogieestcette ci depuis lestempshistoriques,l'indice
cephatique tend a augmenter constamment et partout. En
d'autres termes, un peuple, au momentdo sa splendeur,n'est
pas formé des memesétémentsanthropotogiquesqu'àl'époque
de sa décadence.« Les historiens,dit M. de Lapouge,ont une
tendance a ne pas tenir comptedes variationsde la poputa-
« tion. Ils raisonnent commesi un peupleétait le mêmede
sa première à sa dernière heure, avec leur maigrecorrectif
« de la dégénérescence, II n'en est pas ainsi. A certaines
« heures, un peuplepossède,et à la placevoulue,les éléments
ethniques qui lui permettent de {aireou de supportercer-
ta:ues choses.Unsi&cteplus tôt ii ne tes avait pas,un siecte
ptustard il ne les aura ptus. C'est le momentde saisir la
fortune si ellepasse'. H
A.MACDOXALf).–Expérimental BtudyefchlMfen.Wa':hing)M),
(.overnmcntpnotingoni';c,<MU,1vol.tu8",300p.
i<ph'et psychephy~iqw
Cet oun'agoest une étudeauthropemct)
p. '?.
~))HcU)pouf;<S<'tfc/<eM«e<'<f<<et,
R. DttMMMM. – Annce ~ociot. tX'M.ttt!))', iXt
tM8-t<t99
).'ASXÉXSt)t:tO).OOtQt'K.
SQj~
S<:HWAt.MH.–BevoeUterungB~erha~tniase ~M~M/M~<e
rlc Ilf /w~t<~ft'oHde ~WMt'c-A'MfM"). )M '~f ~e<fAiff«f«<
<!<~M<'
/;7MM-~Ot/tf'('M~')t.
PKKM!ËMKPARTÏE
MÉMOIRES ORÏ&ÏNAUX
1
t. ~.jUTM'f.eMt.'aSeoMMet~
la
Il. Gaston n.c,,A. Les CHMSsooMe. et les conditions de
I~
CM'mf'naMë.
soc<OM< et cata-
ttt. s..tt. STMSMM. C/as~caMM des types la
~w~Mpet~M.
DEUXIÈME PARTIE
ANALYSES
). CK~~tAt.~ KTMHTt<Ot«)t.OS))!
~uSCH~ftOXS
'M
C..sT< Les principes d'MMsociologie objective &.
C.KWKH.. Proee'eta to~qM du développement social
)tt:xotV)EH et P'ttT NeaveUe mottadotc~ie
t.ttut.t.Au.-EM~deMeMogie.
MtUttM. – Moavemeat Mtta!
~OTtt;)!<
t). <:m).~AT)o\)n')'((0")t~
))M""f~A)!t))<.–t.oid9t<civtHMttonetdet<d9MdenM t~t
~t'it):T.–(}t)MtiOMpoMtiqU9t. m
ns
m. t'i-:t(!!().Af.[Tt'tX)')\H'rE).t.K
KT)'t:)t:!H<i~A).)rË
C(').).)XTt\H
Kt-m).'wskL–Soci<Met!ndMdMMM. t~
(j)xt!)t.–PerMBneMe!<tte. t«i'
Ht.).w!)"t',–ProMgem&ne<Ataptychot<)g!eMciate. tt<:<
~~Tt'.K. tt~t
n. 'jrt:sTt<s)'h)i)(-.K-
– Panuttteme er~toique et pMMttiHM
M\st)tr et VAXt.n~\Ht.).K.
Meiat. )«T
Cf'ft'tt.t.–CemAMMeitteaetttMiMee. mtt
X'!H' too
K"n.–M6thettotettedMpet)dore t'
TtKt.K.–SoiencedetaMUgton.)). H'!)
).).. – Comment on a tattiareMgten t'
X~MM~
)). )'t)K!<UH<M!"
)M).)Gt(iCX
Ëf.Ji!tKXTA)ttK~
A. Mf<)f/«)<t«
~M-«M~)W.<
<*<)<if<!«<'<«/.
et Cn.).K\.– TribM de l'AftatraUecenttate.
St't:x):);tt ~U~
Tn.'iK. – Remarquee sur te Totemiame. 2~'
tt'MM.-OfigineBdaTeMmiMne. ~t:
Jr\«t).–t,MB<-Ronjt« ;:i!tt
))K\.ft:n.–Fettte)'9deeFjorta. ~2
Kt\n!.).t!t.–ËtudeBeart'At)tqMeocctdent<te 3~t
AMt:K)jnm))\. – F!nnoit préhistoriques ~i
))'Af<tt))s
«KJtKn\«t.t.t!. – La civilisation des Celtes et celle de
i'épopéeNomehque
f:n"«KK.–TrtbMdMmMtaanesdet'tnde. 231
~m~ 2~
)t. – .t~tf.
t)mt:<. – Magie, Divination. et Démonologiechez les BëhMox
tt'.u. – Na~iedeBancieMJMitt 23s
3!)
TAMhK )'K< MAT~MK'
(:. .M~M'<'<M'M~MhfW.
MtO'MCftt.–Ï.MJapOBaiB.
STMUM.–LMButaaret.. :lUi
?!t)Th:t:s.
AStMXtKf
t'LCSgt-f!CtA).KMtHT
Ef Gf;XËt<Af-
.V. CULTt!S
h)' 'JtOYAXCE~
Ttt~MTtOX~
A. -M.
U<.MK"Mythe<dud4tusf..
thu.t:t.K~"T.-MythotoatevMiq"e. RIa3
CtLKEKT.-TMoteeieeMcqM.
Sn.:)it!'<MythMa<tMf<deeNé&reat. 276
X"Tt<:t:
B. – tt'~f" COM~M.
C. pf)~M«'
~tOTL'Et.
)~DoetnMd).Bac'a.edaMbaBrihmanM
))RLtt t).H!t!-)'"c~)x. – Bo<tddhieme 29~
S<'TM:K-
SOO TAtthHMX:.MAfttiHK~
\1t. ËTUt))M
UtVKtMKA
S)!)<
LB~'.K.ttMSHKHUMXt
~MMw.–ReMgtondeBabytonieetd'Attyrte 300
~~m~j~MM~ 30~
t~n.–ttudMAtittttqxM. 300
W<Lt'K)t"KM. Cottede Jahvô et MMgienpopntatre. 3m
S':Mt-)!K):'t. du peupte~t aMtempede JeBM.Chritt.H. ttt.
–aMtetre 30')
J. BfMttmto-T.
– B!ttei)rede ta cMUtttien grecque 3to
XoTtCt! 3H
THOtS~ME8ËCHUX. SocM~emorateet~ue.
). GK'<fiKA).[T~.
t')H).O~Ot'H)E MM.).
().<.r ft ))m.M.
BtEKHXt!.–Théoriedes principes du droit 3~'i
KMtfmf.-ï.fteontraintedaoBtedrett. Mt
– Fendementede t'Ethiqu~
Of:MauEMrr. :Mf,
~MM~ M-
tt OttUA~ttSATtOX
t'0).tT<QUt!
tiï'fOOAt.B
(j«rM.Ut~~tm)
A. – Ot'</«MM<t~tOMMt't~~CHf/f))Aff/.
SMfosftet t;<n.t;x. Trtbttade t'AuttraUeMntrate. XMt
t «" – OrgantMiieneeetatû et eeeMMeteer~tM des IndteM
&MM~h.
t't)n:t!i,.x. Ethno{tMph!e des née Sttemen du M. 0. 340
hMM.–LMP~m~ 3t)
ScHittMT.Droitdes peaptesprimitth de t'Ameriqnedu Sttd
tMpi.
eate. 3~
Bott.. Retatien:<')e!a!eede< hraéHtee. 3;ti
~WŒ
C. – U<<Mt.w/tmt ./)<«'.V.V./.<t/M<
/jo/f<t~Me .s7tt-~)~t/
Tuthe.– Transformations
du poote!)* .< s?,):
)h)«:):Mt'M<T.-atatoiMdetaciviMMtiMgreeq)te.). ses
~m~
T.Utht!ttH"))\Tt)!Mt!S <?<
))t.-<.A<~ttM.m(fw]t.H.<.M.t)
t)ELAt'EMMf!
).ACOXtXTMX
H'. t.E t)A)tM(.K. SEXUEE
t!TLAMOttAUTÈ
(jwM.Ot'MM!')
)h! t)t)!n. t.–Conditionjuridique du mari dans la tMntUe ma-
tftoMote. ~H
M.)).T. Loi* et coutumes mttrtmeaiatet des Kymrit. ?8
t}ct«:t:i.– Communauté des Mené entre ApeM d'apftt te droit
det~HetdeMwnie.
K.'Tt.:M.
V. OBt'XUt'RttTt'pMM.t).nM-x)
UXOtT
n. (~r )M.K't~<-)Omn~,
t.BCOYTRAT
G"M< – Contrat de tMVtMdans t'Mciea droit ligure.
FMM:K)!<:u Ht
~TMM. iU2
A.–~<<<<
StM tUt
fMtMtt.–BroitpeMtdnmireirde
<"7
UtK'xM~s.–DMUptotttatmudtqae.
F)!M"x).– Droit pénal rcmttie *?'
KoTtKM. i
\)U.-t.AttEM'4AB)).tTt:.twM.t'M<M.;
A. – f(ft/M'M«tMt<t'
cft~f.
K.hmf.–RetpCttMMMttetMatfat.
X.'D'.M. HX
B. – <(~(«t<t«tt7'ft'~f«<t<<
AmtKXt. – Le: limites et les cendttiont medtNcatritM de thnpn
tabtMM. t~
– Les personnes morales et le probléme de leur fMpon-
<ttt:sTM)!.
MbiliMpttude. 4ïT
K"f')! t~
tX. ).A)'ttOCtit)UKR
(pMM.t't.mMtr)
In M~M". –H!:totMdetaprecAdureMmt!ne 4tt1
)'HX.–LesordaUMdane~gUMgtUtMneaut\'<Mote t~t
S"T" tH
ï. '~&-ff0~ MV<!«~~((N~MN.
h.Mm.«t)t..M)
A. t'<f«f«Mu)t.
B. – t't' ~Mf~/MM
MfM «« /M«<«M MMM/M.
X"Tt':): tit
t. Gh.\t;ttt).)T~~r ttbTHOMUOf.tf
A. – .M~Ao'/Mf< ~coftM~ft-tt!
ttt: tK'n. – Le<theertee nouvelles de la o'imtnaMte. t:tt'
t:'«n'"tt. – E<q)MMedu droit pénal russe t5~
\')nL)!i!t).–Lecr!mecotnmephanemè)tedepathetet)ie80ttate.. tM
X"T)'.K< t!n
B. «MM~tM CM/W/tM/K'<.
«<*fft «t<?<AM/<*
V)K..)m.–StatieM<f)te. 4~
Xt':Knm' La notlol1 de ttatitM~tMdoMtedeveteppMMetaetM!
dMMiMcetMc!ate< tM
TACU!t'RSMn~ttK~
SK-fKitt<x. Statht~ue ertmineUe eMMMetathtique dM MtttM
de*MeMittrt<!tq<te)t.
H.-):mHtXA).)Tt.t.'<H'.<H~).tM).KSt'AY!-
M'
ru.<w<).).-ï.acrim~aHteeHavit<MMe~R''Mte
~t.)t.M.-ï.edMn(ttt9))tMp<'gnoL .163
NuTtt.m.
h. MKt.~ OUMtXAUTt
tUMt)!KSPM:tALE8
L~M.MUt<d'aNhtre.
-)'t"x"w"!<. Crtmee centre la reUaien en RMeie.
BffMttK.-VattX~daaeen France.
NMt'
V. t;)()M):<SU.)!
AXTtttt"t'Ot.<M.)Ë
),))M..<t.<tcrime!MMMtetMm9det.
Vt:x~ttt. CerretaticaB ptyehe-MXMMM.
Lu:A..xK. Vacher t'eventrettr et tetchme* eadique*
Xt'T)':t:S.
SttCTtOX.
CtNQUH-:MK SocW~ecoHom«?w
()mrM.t')'M~
). Mt.TM'tt'Ot.Ot.))'
(iÈXt:t!A).)T~.
U.–r''<'Mt'af"<<
t.H<.u. NeUene et principes tondamentaux de receMtnie peM-
tiqoe.
– Prodaetten et CMMmmatienaana
J. t.K'n'et K. t'MtXtiKxsTKtf.
reeQMmieMtiate.
).“.< 8.t.K. La eeieoM de h MC'eM comme eeiMce de la t
i!t8
Mtmre
\\u.~<Ët.de<d'e.eMmiepoMttqaeappMqnee.
!<t.T).:K!a.Not!eMetMecept)t;
t.TrattetetmattuetB.
t!04 TABt.E
DK~MA'r)6ttt!*
)(. HKUmHSÈCt'XUM)')!
~)')T)';t;t. !)M
X.m.:t:< St)t
<Y. ËCUSOttt!
Ct\ÈKAm. OtSTMttUTtUS
A. – /M~~<.
tHu-tTEH.– H!etcire du taM de t'tnMrèt d<Mt'aatt~!M
M.'– .<ttt«U'f.<'«M</<~tOt)
'<f<t*'<f~<'<OMt'f'tf'V*.
C. – .<~oc«f<'a«</f/<w<'Mt«'M'
Xt'Tt';)!t. ~n
H. – /.M.tfet f~O'Wtf.
~t!
K.–~tK/X't-tOMf'.
X"T)«t. 5H
F. – Mw.
X')TH~:<tt'
V. KC<MU!)tH-:
:;f'~tAt.HS
A. – .<~tVti'Mw<
S<'«tf. Pottti~e <gr<t:re de rAuthebe. :')''
Ht):')t:\aM':t:t'.–PriMipe<dehpoKtittue<9Mi)'eeHemMde. :m
VM)om c'nTT. – ï<e;ent tnr t'a~Mnama ~t h petittqM agratre Mt
(n'T!').)r.–ï,atae<UenagMiM. !'?
~"T!t:t. :M''
tt. – ~tf/Mjt/t<M
MtM'p<M.
~).'Tt-.)!< MM
CESMATt&HES
TUH.H 008
A. – JMM)«~M~.
B.–ttKM'e.
X'!TfK'!<
'A. – y/ffu)«'<M<'<«ff*'
SM
U.M~ La9FMd. pMphtM t.MM .t la q"Mtt' Mt:~
Kt!t-<H.L9tttMMmotrieMdeM6Momhteettïe. ~'M'
Ft~MM.-(:en<Mdet<Kt«MtioBMeM!e.
XMM~ M <
M.–~uc'"('<
SM
XeT«:K!
t. MUHA)SB:<
).)! MtOXATtOSS
K~M.. AnthKpOt)~9~P'
LBUttSCACS)~
SOOAtBS!
M. HASSe.tM.\S(TB
URBA)'<
6T 6KOCMM)!XTS
0). OtOt't-tM~TSMHACX
& ~.tt.M m.M.M~, M4
t).T (Von;. Mtiae <tM vHhe..
~yi.Ute. ~<" "M.~d., .t h
(L)~ .Mi~
orhttiM. Sio
NoTM:)!
~t)t! r.MhEt'MMATtÈtMM
)Y. L)!)H!'<A'.)!tn'~M.TAT
s\t.\w«.–Surta<tathtiquedMm<mwee.
3
~u~<
et )'w)N;
f~ MM.H' mM
(. -:uc.)0).0'i)t:H~THËTi~'Jti
t!uni"Sociotost9MtMtique
HuEtt\t:<. -P~Mttotre de! art aenré eo Europe.
t t-Kaw~n~. OrMee data ctvMtMUettfcMtUtUene aMtt:nM)
Il. –AtT)tMf)PO~O<:)H'.Ot.)E
(pt~ M.ML.M)t.)
A)t<"x.–Anthretet<'gtedMBa<eie.
Mrfn\ –ËMM9M9tétad:a)ttadeMweypeet.
t'n.t.t. – ProM anthropologique de l'Italie
t.n<. La distribution géograpbique des caractères aathMpe!e-
9~Meen!taUe.
.s..i11e;r. 1
t~DEX DES NOMS D'AUTEURS
)ocutt<3<K).Le!)-ct)adtvi. /oco~<t<«))M.MO.Bte,3M.i)Ot.
nation. 33). Mft'ftttion indus- /H</h'e (~)A<!f'~M~.At'ffoiitKefm'nt d"
trt'<ttesur)os–.5M. )'–.S93.
f~m'HfH.L'~tfootistuf –, <?. Satiti. ~K/ifM« etcuttct'tivitv, tCS.Oi3.no
fB"–.5t&. <t)<t.
Mmtntm)?.390.39!. /<)(<tt)'<<Mf<fMHtp. )S3. Critinuede)' –
Mo</<tt.Le f'<ni'"<'–. B33. t8C.
M<M.S6t.299.h)tcrdietionsot /m/<pK/<M/Wj!. H~te dos –, iss.
–, 2tt. Les à caractère nm- ~)(/tt'M««f<t)<t. t'rinfijtu <tf )'–. 328.
t<it)Uf.i! Le!! – agraire! iH2. /H</ft'MM~ ÉVOtutiun–et M)))pctiv<).
MO.ÏM.Ï58. Les de la <-tM,MS. )M. Initiative et .ws ihttitt's.
~9. t:S.
M/'c/tM. H2. 2iit. /M</K~te. Mt. Oritt'nc do l' – jms.
f<M.Mythosur l'origine du –. 2)4. tuM)<iM.)L'–&dnntM)t'i)M.
Cuhodtt–.MO.LM–pMhtics. Pt-titt- –, M2.!). UMndM-.Set.
~67.C<in!tnonie du ua<Mtx<'
M«–. ~t/'OM/feMf t-))M les primitift. 4M.
~tt~<')Of).Kitut)et'–Oi).ï)0.~)4.
ft'aMt' Tabou de!: –. 2:!t. 384. ~3. L' –dfs tGtt)f)M-jH. tott'r.
t't<<a<tOM divines. g.Wi tftmtnifjue. ftifttonit rittK'th's et –. 9tt.
~uMnt)".3t&.8y~n)n<)e!! ~f~'</tC~««)~ t't'/Mf~M. Mt i))(tivi.
ctaiisoset –. 333. Syst'tt)c ntixtL'. duu))'<a)imHntah'e!t3.~t8;
337. ')e(t)cr)t.'tut"nt.~<i!.Ant)))~pu-
f<aaMt'et.54S. phMptCt't–.MX.
Foi, La ~93. /oM~. 49S. SO~.
/oM-/o~.t9iS. <93. Principos du –, /<w!o/<. Lo~itjuc (te t' SCO.
203. m<M)o)tieot –. ~03.
Foule.Psychotogiedota –. )M. Î85. ~<!t«'. Pt'oM'dMr' <)u–. 300.
t'MM<tovt.Les –, SM. Jto/f. Anthruputuftif des –,5!t~. Cri-
fMM<)'a))«.Rites et U6af;e~ ~t.1, toinatitcdes–.47~.
:!t. m. S4t. 243, 2M. M3. SS6 ~Mt'ff/t'~MC.)~'(iy!.t~nn'–. 4!M!.C)a«i-
(V. Murt). ti'-ati'ttt 'h's )~)''s –. 9t! h)C.
ntonts ')o faction –. 3~8. Coef<'i-
Ga~c.Saisiodo 40S. tiun son t''vn)ution. 3~4.
HefOM.Loup –, :*H. Tigre 24' /M~«;e 'toMtCi.ti'jue et pubti<)uo. 4M:
<!e)<MfH<mf«/.<.L") do ta succession privée, tut; p'tpotair' 40.'i.
des –, )S)i.
CrOce.Droitde –, H3. A~9f"~M <![iotuf;)!(N<t.Ï4t; <'0!!t))0-
Gt~M~SUi. j{Ot)i'tU's.~t3;j)!<))Ut)tiM!!d'tt<t)ic.
Cro«petut<t))it)U'3M. 344 territo- <M.
ntt).33i.3M;)cur!iN)'pwb.339. ~fft-af.2M.3tS.3Tt.
3M.3M,34S.L<-s–!i<M-iauxKtu. toi. L'ii – sufiaks, tS! f~is (h'
mootaireit.34~.Les – ~t'<;unda«'t::t (-ocxii!t<'n<c.dt)fiU''w.~iot).)CO.
enf:Mn''nt).3M. Mischorittt–,m.
y.oMa~f d'ouvrage. <0t); <)'it))t))eut))e!!
ffatt<a/Mt).L' ''hM tes Py~n~cs. et son nt;))<ort <n'<;t'te cuns, 3')t.
343.Ferme!!di verses)t'–,S73.s<tt). tt«f<~t<toHt. 3!)!.
m)<fHM.n8. ~M.< St4.
/M<t/aaf.5M. Droit d' – d~ pay-
sans. 3!3. ~a~!cf<'n. 213.
/M~. Le –. 2M. 374. Les – <:ivi)i- ~<'9.< 2t3. ~5. ~M. M9. 3(tt.
i.atear!. MA a~3. 234. 244. 276. L)t – sytftpattti'jue et te tot<')tti<nK'.
379. :M5. 206. La – si,')np)tthi')tM. MO. :!K'.
Histoireet psychotugie.<64. 304. La –'tif-ite. S39. )~ – Mt
tes <tu<nf)ns. 23~ ForntOte!! de –.
sociato. iM.
J))M9!ae<f«M 246. Religion et–.S22.a5.a36.
/~K/aMM/ 4~8. 4M. Faftears de 240, 2it. SehamMtif.mo c). –. :as
t'–.Mt. (V. tMtnons. médecine popu)<t!re).
H!MMt)ESMATtttttiS M8
<tMMis sociam. 4M.
JMa~M. Chanta MC. PMti<)ue!< JM«~<<'e"'
–, Mi. Objet-!–. X~. Coop-'m. A<<M'<. Mythe dett–. Ntt. Motion
–. 2M. Hm*
tion -– ''tttro groMpoitot'!)))i<)ue! de la survivance des
~itt. Vurlus du t<t.Yicfse. ')< pureté du –. ?3. Mitettut uMftee
&titHs.i!M. concernant la -et )~ –, MX,
~o/tmoWe. BM. SM. Cutte.!des –, 9M, ~tit. t'*yB
Maison. La–H3. La– '-t tnCit* dM–. !!St. i!79.Lt–))'intuft-<'M'pt
SU. Tat'ou du h 341. L)t – tMMla prupr~t)!, a5t IV. Fun<-
cot«t"U))<'dus ))ut'e<i. N4t. Mtinf!!).
AfaW. 8itutHu)) tMtxinduxtudo –. At«f<(t'Mm. 3M.
318. t~ – tutvootiM. 3~. A~<A~. 0")u trihal ')! –. N'ï
~i. Fur. tt'~euiiiit. 3)S.
Afafa.SiH.<.S34.2M. du
x~HstH'' –. M7.Miteset umMot ~M<M. 3!i').Thuoriet!<tu
du –. ~t. 93: 8M. 8tt, St8. État ?3. Le – ot la pensM') KtUft'th'M.
&C!t.iLu – dans Mi!. U'~nf-SM doit –, ÏM. Action
(jo;– et <t)U)-tft)it<
))thuxiitu utt'-rtm'.383. Patent'! ut des puttMSsur h's –, 3t t. Ptift des
–, SU. Com-abioagu et –, 385. nntividu!)dans tos –. 2'!t. Lo!' –
Survh'ont'fi' 'ta – ''uXecttf, S< astmux. Sfi). Lo – du h terre
de
Lu en tuni, ?3. pfcMo. 2C5. L< – du pain
Afat-M.Tabuu dfs –, :tt3. vie, M9. Lo!t – cfM!mof{<)<
Af<!<fa<M'Mhistorique, tS~. 189. 2tt, 2< at Les eu acUon.!tS.
civilisation
~a~)'n~. L'' groupe–.?)0. L'<'Hc)o Lti – et la da – avecgt-ct;t)UH, la ftb)e
–. 3 M. M2 Rapports
Af«<WtHtM<a<. CtMse!'–. 33t. Uruit et )'histoirt',M7(V. Mtu~.feo,
– fmnt-ais. 3fS. tMghoM– 'k". cn'att~)). t<!(!cnd<).
dus fOMitOB
biuus. 368.3M.38(i.388.393. Cont- .«t/t/tt~MM.)!.tUtva)Mn<:e
tnuniton' –. 3M. –. MO.
et
.Wo~Met.S'H. S3: ~</<e~f/!e. M8. M.Haphyi'iqm!
;W</cc<Me popt~ftov. 244. :!t7. 24!f. 20t. La dfs CM):.i!C&. Hxpt'ca.
'-)ttiu)tttytnbotiqne de ta. MX.
Af~ma~e.D<tinit"'ndu Stt. Kont.
bf' dos individus par–, 57!.
AfM~. Le duvetopponent –, t03. JV«tMH"t'c. Hit' et usuges de h –.
~~MOttme. 2M, 310.
2M. SM.
~~atnofp/'Me et n~tfmpsyccsu. A'ah'HM.TM~ ttorfoa)de la –)?).
3tt.
J)f«/<of/e))Mo)it(oe. t63, ~(i< id'!o- Mxenure!n<'e nrgtniquc 'it –.
M'), Mit. ~tateKonomittoeet–,
)of!i<)ue.tM; ))i'itur"tue et bmtu- Mi!. Causes tnurittcsdo ta–.&M.
Xique,160, i6t. L)t – daMSles eatnpaxnes.Mï.
~«f/t'f. ConsoMtmation'tu vin et ~«<faMa<M<</w du sut. S;'2.
4M. .Wct'omoMC'e, 237.
Af;a'< TM"ri'*gfm!Mt<ides –. ïurvivaiice, t9t-
cfounto ~ormunce. 191.
MM.L« sol et )'< –. Ma. – A'<'eo<M<ne.
et ftM), M.
t)t!&groupes Mth)n<)Mes. &M; <tcs A'am<t~tM"t
Nomdu ttiKO.3M. Mt. Les –secreb
p<tp~)<tti'mi' pritttitivus tic rttaHe, des diottx. M. Le do Jat'vc.
MO.
<)esmeuve. t37 du Messie.2M.
~t~a/o~M. M<?'.anxit))tt
menls –, S"3.Lea)' sfh<!n)a,Mt.
~feM' Comumesut –. 3tt. Oracles. 30t.
Monn<t<Btt. Ma. MKt.SM. Ordalies. ?3. :!?. M6.4M. W. tt5.
J)fOHOp9<M, 499. 0~at)ha<)OMpolitique, &(t !!q<).:
~0~~ app)«)<t~ et tht!orit)ue. saciate primitive. 349; à base do
330.La dajU()a~)t)Q.4t9. Kschtt- ftans, 3)6 dout'te selon tes Mi-
totogMet –. 250.&mc(i<'n – dans sons, 336,
t'antro vie, 93t. Organicisme.19<.53)i.&39.
JU<M'a<<M eontmefait social. t'Ki. La O~atX~tfe.T))''oric – des itocMh?!
– et te fectearothni<t<)o. bol. AtM- Mt.
Missctuuntde ht pnbh~ue, U3. 0<-H<Mex<a<foK. SM.
6t0 tSREX XBS MATt&MS
n~tM~tM.
0«<f< MBtshttinn –. S4T.
t,tt législation
La. SAT. As.
Ae.. S39. Sut. Mouvements
532.504. Mo de la – et
MtiattOM–.5t3. chemins do fer, S70.Question 'te
ta –. M! Homogénéitéprimitive
foM. Rupture do fa – publique. des t?4.
4M. t00. PptMMWtet détention. 999.
fa<'<M'<<w<~ social, <M. ~OMW'.Trunsfonnations du-, 3M.
PafmM. Relations de 335. Le M<re. Fonctions du–, MS. Sorcier
lien da –. 37t. 3!5.N80.Ottssiti- et !iH. Le grec ette druide,
cation dus rapport* du X!)!. 230. Absence du en Grèce. StS.
Nomenclature des M&, 37<. ~tWtfMt/Mdte«!<Wt,445 (V. Orda-
Mythes gMnesiqueset SM. La )~.
–<tgntttit)ue,ï7L L<t–<u'MU<:MHo. 3M. ThfÈnMet
Prières, XM.tn*
982.?2403, cantatiunit et –,30).
Pat~ttt. Rapports entre enftmti! et PftMnn~ft, 417.
–. 368.369, <t0, M?. fWMM.416. 4t<t.4~.
Parricide, 4tt. ffM. Sy)tMMude tajustieo –, 404.
Parur,. La – est un juu. S78. Venf:eanee –, 420.Guefre –. 404.
Pa<e~ttMet maternité. M~. PW.c,OC. M:t.
Pa<A<'<o~{gMe. Ëta.t – de notre w. ftfc~Mre ct'tmineHe.4U; ~nate.
ci<5te économique.M?.CriminatiM 409. 444 – du jeûne. MU. MO.
–.Mt. tMN~itcs dans la 44t.
~'aMp<W<M)f. &)ï. ftW<Mc<teM. 497. Grande – en a.gfi.
Pautn~t, StS. caMure.Mt. La -du sol, M3. La
P~cM. K~fetsphysique: du- mot'at. capitaliste, M2.
3M. f<'o/~<onne<. Liberté –, 84:. As.
Peine. La comme phénomène so- sociation –. !)t4.
cial. 495. Fins de h – 4t9. m. f'<-«~. t5t. 160. 177. Tt)t!one du
tM. MC. CoMtton psychologique –, 9~7. Contingence du –, 156.
des –, MO.Crimeet –. M<i. Ex- Le social, ~0.179; momt, 17t.
piation et –. ti9. Soufft'ancu et ChtMt'iMmdu –, t7~. Mteetion
–. M!<.tnntteaee du droit ca- nata~He et –. t78. Rôle des
nonique sur ht H8. Les grands hoMnnes dans )o –, t79.
t'apitaie~. <u< tOfporeitoi:. tC6. <<.pt«M. 2M. 305. StS.
~08 de l'interdit, «t de t'etnpri. Prophétie, fn;pA«f~))<, 237.~9~.
sonnument. 4t6 du cadavre. tt8 ~'fopW<M. Tabous de –. ~t. Orga-
infamantes. M); do i'exU. Mt;¡ nisation sociale et M6. La
corporative!). M7; inutecutttbie~. des choses dent-ce da la – des
t08. personnes, 398. t'ussossion et –,
Pénal. Ter<uino)of;ie–. 4)0. Tuteite M9. Droit suceessorat et 398.
–, 45). tnhumaaiM des institu. Violations t~ititnes du droit de
fions 4A!. Les Mbstitutifs 405. La collective,M7. :)99.
45t.483(V.Uroitpenai). La eontmune et la phvee,
Pénalité. Talion ot M. MÏ. La foncière. 399. 533. 536.
Mo~enec. 3(H. La–foncière cottceth'e. 35S.Clan
Pénitentiaire, Science–, t5). ~y!s- et – foncière. 353. La foncière
tetnc –. t5t. urbaino, 394. La – rurale, 3!'9.
Père de /'<!0t'«t. PouvoirtimiM du Grande –. 533. M7.
377. Son pouvoir pénal, 4H. PMt«'M.Rôle do ta 39~.Tabous
f<fMMMa<t< Les grandes –, 119. deia–, 343.
ro'MMMe.Définitiondes moraks. Punir. Droit de 4N.
M?; leur reatit<5.t38. Théorie de
ia–sociate.<8i. Race. La et la taille, Mt tY.
Mi<<~«ecomme science.30t. ëvo. HUmiquu.anthropctogie).
tution –, 36~. Ce qu'est ta vie MeM'M. Statistique des 459. Si-
–.M7. fjniacaUon sociologiquo ta –.
de
Polyandrie. 37J. 393. 460.Lois statistiques des 4<i9.
t'epM/<t<M<t. Mouvements<)e la –. Religion. Science du ta –. <*?.
fMX PM MATtÈKBS 6t7