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Émotion

L'émotion (de l'ancien français, au


e
XIII siècle « motion », de la racine
latine emovere « mettre en
mouvement ») est une expérience
psychophysiologique complexe et
intense (avec un début brutal et une
durée relativement brève) de l'état
1
d'esprit d'un individu animal liée à
un objet repérable lorsqu'il réagit
aux influences biochimiques
(internes) et environnementales
(externes). Chez les humains,
l'émotion inclut fondamentalement
« un comportement physiologique,
des comportements expressifs et une
2
conscience » . L'émotion est
associée à l'humeur, au
tempérament, à la personnalité et à
la disposition et à la motivation. Le
mot « émotion » provient du mot
français « émouvoir ». Il est basé sur
le latin emovere, dont e- (variante de
ex-) signifie « hors de » et movere Roue des émotions de Robert Plutchik.
3
signifie « mouvement » . Le terme
lié « motivation » est également
dérivé du mot movere.

Plusieurs taxonomies des émotions ont été proposées. Certaines de ces catégorisations incluent :

émotions « cognitives » par opposition aux émotions « non cognitives » ;


émotions instinctives (des amygdales), par opposition aux émotions cognitives (du cortex
préfrontal) ;
émotions primaires (existant dans plusieurs espèces animales : rage, vigilance, extase,
adoration, terreur, stupéfaction, chagrin et dégoût) et secondaires (états construits à partir
des émotions primaires et d'une multiplicité de représentations additionnelles :
représentations de situation, de soi, d'objet, d'autrui, de cause).

Il faut distinguer, entre l'émotion et les résultats d'émotions, principalement les expressions et les
comportements émotionnels. Les sentiments ne sont généralement pas considérés comme des
émotions. Chaque individu agit (réagit) généralement d'une manière déterminée par son état
émotionnel, sa réponse se situant généralement dans l'un des axes « combattre - fuir - subir » (de
l'anglais « fight-fly-freeze »).
Sommaire
Définition générale
Difficulté de définition
Émotions, perspective évolutionniste
Théories psychologiques
Théories dites « émotions de base »
Théories de l'évaluation cognitive
Théorie du système interruptif
Bibliographie
Ouvrages
Revues
Articles
Références
Articles connexes
Liens externes

Définition générale
L'un des premiers traités sur les émotions est dû
au philosophe René Descartes. Dans son traité
Les Passions de l'âme, Descartes identifie six
émotions simples : « l'admiration, l'amour, la
haine, le désir, la joie et la tristesse » et toutes les
autres en sont composées de quelques de ces six
ou bien en sont des espèces.

Une émotion est une réaction psychologique et


physique à une situation. Elle a d'abord une
manifestation interne et génère une réaction Huit types d'émotions tirées d'un manga, incluant (de
extérieure. Elle est provoquée par la gauche à droite) : neutralité, euphorie, satisfaction,
confrontation à une situation et à l'interprétation tristesse, colère, déception, bouder et perplexité. Les
de la réalité. En cela, une émotion est différente œuvres picturales comme les mangas participent à
d'une sensation, laquelle est la conséquence homogénéiser l’interprétation des expressions
faciales, bien qu’elles relèvent de la convention
physique directe (relation à la température, à la 4
culturelle .
texture...). La sensation est directement associée à
la perception sensorielle. La sensation est par
conséquent physique. Quant à la différence entre
émotion et sentiment, celle-ci réside dans le fait que le sentiment ne présente pas une
manifestation réactionnelle. Néanmoins, une accumulation de sentiments peut générer des états
émotionnels.

L'émotion peut se définir comme une séquence de changements intervenant dans cinq systèmes
organiques (cognitif, psychophysiologique, moteur, dénotationnel, moniteur), de manière
interdépendante et synchronisée en réponse à l’évaluation de la pertinence d’un stimulus externe
ou interne par rapport à un intérêt central pour l’organisme.

Difficulté de définition
La définition de toute entité psychologique représente habituellement des difficultés de taille, et le
concept d’émotion est loin de faire exception à la règle. Un problème particulier dans la quête de la
définition de l’émotion vient du fait que, souvent, les énoncés ne se rapportent qu’à un aspect de
l’émotion. En effet, le concept d’émotion est utilisé de manière différente selon qu’il est envisagé en
référence à l’aspect stimulus, à l’expérience subjective, à une phase d’un processus, à une variable
intermédiaire ou à une réponse.

Un autre problème qui nuit aux progrès vers une meilleure précision dans la définition de
l’émotion concerne la langue par laquelle on l’exprime. En effet, la langue de tous les jours et la
langue scientifique ne visent pas les mêmes objectifs. De plus, actuellement les avancées
scientifiques dans ce domaine n’offrent pas de meilleure terminologie.

Certains auteurs ont fait remarquer qu’il peut être intéressant de ne pas avoir de définition trop
stricte de « l’émotion », compte tenu du stade de développement dans ce domaine. Une définition
précise aurait pour conséquence d’élever des frontières entre les phénomènes. On prendrait ainsi
le risque d’exclure de l’analyse des aspects qui pourraient ultérieurement se révéler essentiels à la
compréhension de l’ensemble du processus.

Émotions, perspective évolutionniste


Le courant évolutionniste, en psychologie des émotions, tire son origine des travaux de Charles
Darwin et de la publication en 1872 de son livre : The expression of the Emotions in Man and
Animals. Dans cet ouvrage, Darwin va poser les fondements de l’expression des émotions. Il va les
décrire comme innées, universelles et communicatives.

Les émotions seraient un héritage de nos ancêtres. Pourquoi et comment les émotions se seraient-
elles développées ?

Comme le rappellent Orians et Heerwagen (1992), à l’époque des chasseurs-cueilleurs, les


Hommes devaient se déplacer constamment pour trouver de quoi se nourrir. Ces déplacements les
confrontaient à des phénomènes inattendus (changements climatiques, prédateurs, par exemple)
demandant une réponse adaptative rapide. Selon Tobby et Cosmides (1990), les émotions vont
donc se développer en réponse à différents ensembles de situations récurrentes. À cela, l’on peut
ajouter le premier principe de Darwin, permettant d’expliquer comment une réaction tout d’abord
volontaire va, au fil des générations, devenir innée et réflexe.

Une autre particularité des émotions est leur expression, faciale et vocale. Ici, nous n’aborderons
que brièvement le chapitre des expressions faciales en laissant de côté celui des expressions
vocales, bien que ce dernier soit aussi important (Scherer 1986). Dans un livre en hommage à
Darwin (Ekman, 1973), les recherches présentées, portant sur les expressions faciales, confirment
son hypothèse sur leur utilité communicative. Ekman dira même que : « l’expression faciale est le
pivot de la communication entre hommes » (Rimé et Scherer, 1989). En effet, savoir lire sur le
visage facilite nos relations sociales ; de même, une interprétation erronée d’une mimique faciale
peut nous faire adopter un comportement mal adapté à la situation. Par exemple, chez les singes,
lorsqu’un mâle dominant chasse un autre mâle et que ce dernier fait une grimace (expression de
peur), le mâle dominant arrêtera de le chasser. À l’inverse, si le mâle dominant fait la même
grimace, il s’attend à ce que le mâle subordonné vienne l’embrasser. En ce sens, l’expression faciale
permet d’informer l’individu de nos intentions mais également du comportement que l’on attend
de lui.

Enfin, le dernier principe de Darwin va établir le lien entre émotion et système nerveux. Il ne
restera que très descriptif sur le sujet et il faudra attendre la théorie du physiologiste Walter
Cannon, dans les années 1920, pour remettre le système nerveux au centre des émotions (Cannon,
1927). Divers auteurs étudieront aussi les liens discrets et complexes entre odorat, hormones,
5
phéromones et émotions . Par ailleurs, des liens existent également entre les émotions et plus
particulièrement la psychologie des émotions et le concept de fake news, incluant la notion de
piège à clic d’après Daniel Kahneman. En effet, la tendance humaine est faite de façon que les
émotions ciblées par les fake news induisent le traitement intuitif de l’information qui lui-même
conduit à une pensée intuitive. Ceci permet d’économiser du temps et de l’énergie mais cela peut
aussi nous guider vers de fausses informations et des conclusions inexactes. (D’après « Thinking
fast and slow », publié en 2011 par Daniel Kahneman).

Théories psychologiques
L’émotion est une notion floue et elle est difficilement définissable (Alvarado et al., 2002). Elle
présente la particularité d’être idiosyncrasique, c'est-à-dire particulière et propre à chaque
individu (Picard, 2003). De ce fait, plusieurs définitions et rôles ont été donnés à l’émotion
(Francois et al., 2001 ; O'Regan, 2003).

Déjà en 1879, Charles Darwin, fondateur de la théorie de l’évolution, la définit comme cette faculté
d’adaptation et de survie de l’organisme vivant. Il la voit comme innée, universelle et
communicative. D’un point de vue comportemental, l’émotion est perçue comme un
« motivateur », une entité qui influence le choix d’un individu en réponse à un stimulus externe ou
interne. D’un point de vue socioculturel, les sentiments sont cette réponse donnée à une
interaction avec nous-mêmes et/ou avec les autres. Une émotion existe à la fois dans la dimension
personnelle et sociale de l’individu. Elle serait cette capacité d’adaptation et de changement, ce lien
qui forme nos relations et nous met en interaction avec l’autre. De récentes études en
neurobiologie ont démontré que les émotions sont un mélange de plusieurs facteurs biochimiques,
socioculturels et neurologiques (O'Regan, 2003). Elles se traduisent par des réactions spécifiques :
motrices (tonus musculaire, tremblements...), comportementales (incapacité de bouger, agitation,
fuite, agression...), et physiologiques (pâleur, rougissement, accélération du pouls, palpitations,
sensation de Malaise...). Elles seraient à la base de nos réactions physiologiques et
comportementales.

Au regard de ces définitions, le concept d’émotion apparaît comme polysémique. Il est, en effet,
difficile de donner une définition claire et univoque de l’émotion. Cependant, les spécialistes
s’accordent à dire que la pluralité des définitions de l’émotion n’altère en rien son rôle central dans
toute analyse comportementale. Elle est en rapport étroit et permanent avec nos décisions et nos
actions.

Les émotions agissent sur nos comportements quotidiens, sur nos choix et nos perceptions. Elles
rendent la communication plus efficace et lui confèrent un haut niveau d’impact. En outre, les
émotions jouent un rôle clé dans tous processus d’apprentissage en agissant sur la capacité de
mémorisation de l’apprenant, sur sa rétention de l’information et sur son attention (Alvarado,
2002). Lors de l’acquisition des connaissances, les émotions agissent à différents niveaux sur
l’esprit humain. De récentes études ont démontré que les émotions et la cognition sont intimement
liés (Adam et al., 2005 ; Chaffar et al., 2006 ; Ahn et al., 2005). C’est pourquoi, il est difficile
d’aborder l’aspect cognition sans faire référence aux émotions.

La théorie de William James & Carl Lange Choquart (1887) énonce une différenciation des
émotions selon les modifications corporelles: à chaque émotion correspond telles modifications.
D’une étude finlandaise publiée le 31 décembre 2013 dans la revue Proceedings of the National
6
Academy of Sciences, est dressée la première carte corporelle des émotions . Pour produire cette
6, 7
carte, des chercheurs ont mené une étude avec 773 volontaires finlandais, taïwanais et suédois .
Les volontaires ont participé à cinq expériences pour tester leurs réactions sensorielles à certaines
émotions: à partir d'un stimulus, les parties du corps dans lesquelles leurs sensations étaient les
plus fortes ont été recensées et cartographiées. Lors de la première expérience, les participants ont
écouté des mots dans leur langue maternelle. Lors de la deuxième et troisième expérience, ils ont
visionné des images et des films. Au cours des deux dernières expériences, les participants ont dû
reconnaître différentes émotions à partir de visages et de cartes corporelles de température. La
6, 8
moyenne des résultats a été établie pour ainsi dresser la première carte corporelle des émotions .
9
La théorie de Cannon-Bard réfute cette théorie . Selon cette théorie, c'est l'activation
physiologique qui va déterminer l'émotion. L'émotion ici apparait donc avant qu'il y ait une
évaluation cognitive. La théorie de Walter Cannon et Philip Bard (1929) explique que l'émotion est
d'abord un phénomène cognitif. Nous ressentons l'émotion cérébralement avant d'en avoir les
10
effets physiologiques et somatiques . La théorie de Stanley Schachter et Jerome Singer (1964),
elle, interprète une émotion en fonction des conditions environnementales. Les individus
interprètent l'activation viscérale en fonction des stimuli de la situation environnementale et de
leur état cognitif.

Théories dites « émotions de base »


Joie
Tristesse
Peur
Colère
Dégoût
Surprise

Les émotions secondaires, la nostalgie par exemple, sont des mélanges des émotions de base. On
parle également parfois d'émotions mixtes pour nommer les émotions secondaires. Par exemple,
d'après Paul Ekman la honte est une émotion mixte, à la base un mélange de peur et de colère
(bloquée ou retournée contre soi)

Théories de l'évaluation cognitive


Selon les théories de l'évaluation cognitive, aussi appelées théories de l'appraisal, l'émotion est le
fruit des évaluations cognitives que l’individu fait au sujet de l’événement, qu’il soit externe ou
interne, ou de la situation, qui initie l’émotion.

Ces théories se distinguent des théories des émotions de base en ce qu’elles supposent des
mécanismes de genèse communs à toutes les émotions. Cette approche suppose que, pour
comprendre les émotions, il est tout d’abord nécessaire de comprendre les évaluations que
l’individu fait au sujet des événements de son environnement. Une évaluation cognitive est définie
comme un processus cognitif, rapide, automatique, inconscient, dont la fonction est d’évaluer les
stimuli perçus sur la base de critères particuliers (Magda Arnold, 1960).

Le modèle des composantes proposé par Klaus Scherer (1984, 1988, 2001) fournit une définition
précise de la nature des émotions. En effet, il définit une émotion comme une séquence de
changements d’état intervenant dans cinq systèmes organiques de manière interdépendante et
synchronisée en réponse à l’évaluation d’un stimulus externe, ou interne, par rapport à un intérêt
central pour l’individu. Il propose de définir l'émotion comme une séquence de changements d’état
intervenant dans cinq systèmes organiques : cognitif (activité du système nerveux central),
psychophysiologique (réponses périphériques), motivationnel (tendance à répondre à
l'événement), moteur (mouvement, expression faciale, vocalisation), sentiment subjectif.

La plupart des théories de l’émotion soutiennent l’idée que la nature spécifique de l’expérience
émotionnelle dépend du résultat d’une évaluation d’un évènement en termes de significativité pour
la survie et le bien être de l’individu. Dans la théorie de Scherer, le set de critères permettant
d’évaluer l’évènement est appelé « stimulus evaluation checks (SEC’s) ». À la suite du résultat de
cette évaluation, il sera possible de prédire le type et l’intensité de l’émotion élicité par
l’événement. Les SEC’s sont organisés autour de quatre objectifs principaux qui se subdivisent
encore en objectifs secondaires. Les SEC’s majeurs correspondent aux types d’informations les
plus importantes dont a besoin l’organisme pour avoir une réaction appropriée. Il s’agit de :

1. Est-ce que cet évènement est pertinent pour moi ? Est-ce qu’il affecte directement ma
personne ou mon groupe social ? (pertinence)
2. Quelles sont les implications ou les conséquences de cet évènement et à quel point vont-elles
affecter mon bien-être ou mes buts à court et long terme ? (implications)
3. À quel point suis-je capable de faire face à ces conséquences ? (potentiel de coping)
4. Quelle significativité a cet évènement par rapport à mes convictions personnelles ainsi que
face aux normes et valeurs sociales ? (significativité normative)

L’évaluation de ces checks se fait toujours de manière subjective. Elle dépend donc des perceptions
et des inférences que peut faire un individu d’une situation. De plus, comme déjà suggéré par
Lazarus et Folkman (1984), l’évaluation n’a pas lieu qu’une seule fois, elle se répète dans un
processus nommé réévaluation (« reappraisal ») qui permet de se réadapter progressivement à
l’événement.

Contrairement aux théories des émotions discrètes, le modèle des composants ne se limite pas à un
nombre restreint d’émotions (colère, joie, peur, tristesse, dégoût...). Au contraire, le processus
émotionnel est considéré comme un pattern de fluctuations constantes de changements dans
différents sous systèmes de l’organisme permettant de faire ressortir un très large spectre d’états
émotionnels. Cependant, la théorie ne rejette pas le fait qu’il existe des patterns d’adaptation plus
fréquents chez les organismes qui reflètent des résultats récurrents d’évaluation de
l’environnement. Par exemple, des réactions comme le combat ou la fuite sont universelles et il
n’est pas étonnant de constater que les émotions qui leur sont associées, la colère et la peur, se
retrouvent chez presque toutes les espèces. Selon le modèle, il paraît très vraisemblable que d’une
même combinaison de résultats aux checks d’évaluation l’on puisse aboutir à des patterns réguliers
de changements d’états spécifiques. C’est pour cette raison que Scherer parle d’émotions modales
pour décrire ces résultats prédominants aux SEC’s qui sont dus à des conditions de vie générales,
des contraintes de l’organisation sociale et des similarités dans l’équipement génétique et que l’on
retrouve donc dans presque tous les langages sous le terme d’une expression verbale courte,
comme un simple mot. Cependant, l’avantage que possède les SEC’s est de pouvoir fournir un
grand nombre de différents états émotionnels d’intensités différentes ce qui semble mieux
correspondre aux ressentis des individus.

Une version plus élaborée de cette théorie, du nom de théorie de l'émotion construite semble de
11
plus en plus recueillir l'appuie de preuves empirique .

Théorie du système interruptif


Herbert Simon, prix Nobel d'économie et spécialiste de la psychologie cognitive, développe une
théorie en 1967 du système interruptif de la décision linéaire. Il définit trois groupes de besoins en
temps réel d'un individu :

1. Besoins surgissant face à des évènements incertains (stimuli de bruits ou visuels soudains)
qui pourraient signaler un danger
2. Besoins physiologiques qui sont des stimuli internes par exemple la faim, la soif, l'épuisement
3. Associations cognitives qui sont des stimuli forts provenant d'associations mnésiques, par
exemple, le souvenir d'une peur.

Il a dit « Quand les hommes utilisent de l'information, ils consomment de l'attention. La fonction
d'émotion est de contrôler l'attention ».

Bibliographie

Ouvrages

En français :

Francis Eustache, Mémoire et émotions, Le Pommier, 2016


Catherine Belzung, Biologie des émotions, De Boeck Supérieur, 2007, 479 p.
(ISBN 2804153754)
Antonio Damasio, L'Erreur de Descartes : la raison des émotions, Paris, Odile Jacob, 1995,
368 p. (ISBN 2738103030)
Damien Boquet, Piroska Nagy, Beauchesne, Le sujet des émotions au Moyen Âge, 2009
Fabrice Fernandez, Samuel Lézé et Hélène Marche, Le langage social des émotions. Études
sur les rapports au corps et à la santé, Anthropos-Economica, Coll. Sociologiques, Paris,
2008.
Fabrice Fernandez, Samuel Lézé et Hélène Marche (dir.), Les émotions. Une approche de la
vie sociale, Paris, Les Éditions des Archives Contemporaines, 2014 12.
François Lelord et Christophe André, La Force des émotions, Odile Jacob, 2001
Robert Dantzer, Les Émotions, PUF, Coll. Que sais-je?, Paris, 2002 (3ème éd.), [1988]
Charmillot, Dayer, Farrugia, Schurmans (dir.), Émotions et sentiments : une construction
sociale, L'Harmattan, série Sociologie de la connaissance, 2008
Christophe André, Les états d'âme, un apprentissage de la sérénité, 2011, chez Odile Jacob
Martinet, M. (1972), Théorie des émotions - introduction, à l'œuvre d'Henri Wallon (159p.).
Aubier/édition Montaigne.
Lev Vygotski (2017), Conscience, inconscient, émotions. La Dispute. (première édition
française 2013)
Lev Vygotski (2000), Théorie des émotions: étude historico-psychologique, L'Harmattan.

En anglais :

(en) Freitas-Magalhaes, The Psychology of emotions: The allure of human face, Oporto:
University Fernando Pessoa Press.
(en) Paul Ekman, Emotions Revealed: Recognizing Faces and Feelings to Improve
Communication and Emotional Life, Times Books, 2003

Revues
Sciences humaines (magazine) :

« Les émotions donnent-elles sens à la vie ? », no 171, 2006


« La force des passions », no 141, 2003

Articles
« Le syndrome narratif : théorie et terrain », Cahiers internationaux de sociologie, (Farrugia
Francis), vol. CXXVII (269-289), PUF, 2009 (en ligne (http://www.cairn.info/revue-cahiers-inte
rnationaux-de-sociologie-2009-2-p-269.htm).
« Socio-anthropologie de la connaissance », Sociologies, Dossiers, Émotions et sentiments,
réalité et fiction, (Farrugia Francis), 2010 (en ligne (http://sociologies.revues.org/index3140.ht
ml)).
« Le syndrome narratif : une « inquiétante étrangeté » », Sociologies, Dossiers, Émotions et
sentiments, réalité et fiction, (Farrugia Francis), 2010 (en ligne (http://sociologies.revues.org/i
ndex3152.html)).

Références
1. [Frans de Waal, La dernière étreinte : le monde fabuleux des émotions animales...et ce qu'il
révèle de nous [« Mama's Last Hug: Animal and Human Emotions (mars 19) »], Éditions Les
Liens qui libèrent, 2018 (ISBN 979-10-209-0661-8)]
2. Myers, David G. (2004) « Theories of Emotion. » Psychology: Seventh Edition, New York, NY:
Worth Publishers, p. 500.
3. (en) « Emotional Competency discussion of emotion » (http://www.emotionalcompetency.com/e
motion.htm) (consulté le 22 février 2011).
4. (en) « Perception of facial expressions differs across cultures », ScienceDaily,​
1er septembre 2011 (lire en ligne (https://www.sciencedaily.com/releases/2011/09/11090110551
0.htm), consulté le 16 mars 2018)
5. Chen D, Haviland-Jones J. 2000. Human olfactory communication of emotion. Percept Mot
Skills 91:771–781.
6. Science-et-vie.com, « Des chercheurs dressent la première carte corporelle des émotions »,
Science-et-vie.com,​8 janvier 2014 (lire en ligne (https://www.science-et-vie.com/article/des-che
rcheurs-dressent-la-premiere-carte-corporelle-des-emotions-4898), consulté le 7 février 2017).
7. (en) Lauri Nummenmaa, Enrico Glerean, Riitta Hari et Jari K. Hietanen, « Bodily maps of
emotions », Proceedings of the National Academy of Sciences, vol. 111, no 2,​14 janvier 2014,
p. 646–651 (ISSN 0027-8424 (http://worldcat.org/issn/0027-8424&lang=fr) et 1091-6490 (http://
worldcat.org/issn/1091-6490&lang=fr),
PMID 24379370 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24379370),
PMCID PMC3896150 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3896150),
DOI 10.1073/pnas.1321664111 (https://dx.doi.org/10.1073%2Fpnas.1321664111), lire en ligne (
http://www.pnas.org/content/111/2/646), consulté le 7 février 2017).
8. (en) « Mapping Emotions On The Body: Love Makes Us Warm All Over », NPR.org,​
30 décembre 2013 (lire en ligne (https://www.npr.org/sections/health-shots/2013/12/30/258313
116/mapping-emotions-on-the-body-love-makes-us-warm-all-over), consulté le 7 février 2017).
9. . Théorie des émotions (1884 -1885).
0. La théorie de Walter Cannon et Philip Bard (1929).
11. (en) Philip A. Kragel, Marianne C. Reddan, Kevin S. LaBar et Tor D. Wager, « Emotion
schemas are embedded in the human visual system », Science Advances, vol. 5, no 7,​
1er juillet 2019, eaaw4358 (ISSN 2375-2548 (http://worldcat.org/issn/2375-2548&lang=fr),
DOI 10.1126/sciadv.aaw4358 (https://dx.doi.org/10.1126%2Fsciadv.aaw4358), lire en ligne (http
s://advances.sciencemag.org/content/5/7/eaaw4358), consulté le 1er décembre 2019)
2. Les émotions. Une approche de la vie sociale (https://books.google.fr/books?id=NZjwAgAAQB
AJ&printsec=frontcover&dq=Les+%C3%A9motions.+Une+approche+de+la+vie+sociale&hl=fr&
sa=X&ei=nSfVVMb2E6SE7gaZ_4GoAg&ved=0CCIQ6AEwAA#v=onepage&q=Les%20%C3%A
9motions.%20Une%20approche%20de%20la%20vie%20sociale&f=false)

Articles connexes
Acte gratuit
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Narcolepsie (les émotions sont inductrices de l'un des symptômes appelé Cataplexie)
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Émotions au haut Moyen Âge
Émotion (zoologie)

Liens externes
Le cerveau émotionnel (http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=CTF&ID_NUMPUBLIE
=CTF_029&ID_ARTICLE=CTF_029_0073#), par Françoise Lotstra, neurologue. Consacré
aux liens entre le cerveau et les émotions.

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