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Le féminisme

Le féminisme représente un mouvement social, politique et philosophique basé sur les


inégalités existantes entre les hommes et les femmes, ayant comme but l’égalité politique,
culturelle, sociale, familiale, juridique et personnelle. Ce mouvement, initié par les femmes a
comme but principal l’établissement des droits des femmes, en ce qui concerne le contexte
sociale, mai aussi d’établir l’importance de la sphère privée d’une femme.

On a essayé de promouvoir et de donner une forme aux droits des femmes des plus
anciens temps. Une tentative du féminisme politique a été ressentie depuis la Révolution
Française, où Olympe de Gouges, renommée femme de lettres française est devenu une
pionnière du féminisme. Pendant la Révolution Française, en s’inspirant du texte original elle
publie « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne ». Cette déclaration critique la
conditionne de la femme dans la société, la conditionnes des hommes noires et propose
l’abolition de l’esclavage.

L’originalité de cette déclaration n’est pas apportée par des idées innovatrices, mais par
les mots utilisés, d’une manière particulière, afin de féminiser le texte original. En mettant
l’accent sur les droits de la femme, Olympe de Gouges a réussi créer une nouvelle catégorie dans
la société française, la femme. Ainsi, par cette déclaration unique dans ce sens, elle a réussi à
établir le fondement du féminisme politique. Bine sûr, ses idées n’ont pas du tout été appréciées,
car elle a été condamnée à morte, en la guillotinant. Mais, cent cinquante ans plus tard, cette
déclaration a été reprise, renouvelée et mise en pratique.

On dit que le féminisme représente un mouvement social et philosophique parce qu’on


essaie de changer la manière de penser en ce qui concerne les femmes. La conditionne de la
femme est subordonnée à l’homme, elle doit obéir, écouter et demander l’accord de son père ou
de son époux. Dans les pays civilisés, les femmes étaient favorisées, elles bénéficiaient d’un
degré d’indépendance, car elles avaient la chance d’avoir accès à l’éducation. Elles pouvaient
apprendre à lire, à écrire, apprendre l’histoire, le latin, dessiner, peindre, jouer au piano. Au fur et
à la mesure, le mouvement féministe a connu l’enrichissement et le développement, mais aussi le
déclin et une régression, en fonction des contextes sociaux et politiques.
La conditionne de la femme est restée la même depuis l’Antiquité, elle a connu seulement
quelques changements superficiels. Le moment où la conditionne de la femme connaît un une
tournure, c’est le moment où Simone de Beauvoir publie «Le deuxième sexe », le plus profond
manifeste féministe. Dans ce livre, Simone de Beauvoir critique la conditionne de la femme,
pendant l’histoire et montre la victoire des femmes devant les hommes. En effet, il s’agit d’une
victoire illusoire, car ce sont les femmes qui renoncent à leurs désirs, sentiments et pensés, en
l’honneur des hommes.

Dès que adolescente, Simone de Beauvoir a été une femme de lettre qui a obtenu
plusieurs diplômes en littérature, grec, latine et elle devient passionnée par la philosophie, raison
pour laquelle elle décide de l’approfondir. C’est le moment où elle connaît Jean-Paul Sartre,
l’homme qui va beaucoup changer sa vie.

En parlant de Simone de Beauvoir, on ne peut pas la dissocier de Jean-Paul Sartre,


l’homme avec lequel elle a partagé sa vie et surtout ses idées. Elle a trouvé en lui son
correspondant féminin et ils ont vécu une belle histoire d’amour. Ils ont eu une relation
mythique, en partageant la même idée sur le mariage. Ils le voient comme une tradition
bourgeoise, avilissante pour une femme.

Pour Simone de Beauvoir, l’amour ne représente pas l’essence primordiale de la vie. Pour
elle, l’écriture est plus importante et la considère comme un travail. Elle devient un contre-
modèle et critique le fait que chez une femme, l’écriture est comparée avec une broderie.

Jean-Paul Sartre, grand philosophe existentialiste a eu un grand impact sur la manière


d’écrire de Simone de Beauvoir. Ils ont toujours changé des idées et ils ont nourrit un grand
intérêt pour la conditionne humaine. Ils ont découvert qu’ils ont les mêmes passions et les
mêmes intérêts comme la psychanalyse, le marxisme, la passion pour l’écriture, le plaisir de
l’effort intellectuel et l’attention dédiée aux contemporains. C’est lui qui a beaucoup influencé
sa manière de penser et de s’axer sur la conditionne de la femme. Avant d’écrire son œuvre d’art,
« Le deuxième sexe », il lui q recommandé de mettre plus de soi dans son écriture, ce qu’elle va
faire ensuite.

Mais, en essence, que veut Simone de Beauvoir montrer par cette livre ? Elle commence
ce livre, en présentant le but de son action. Elle veut montrer la conditionne de la femme, ce qui
constitue la réalité féminine et pour quoi on appelle la femme « l’autre ». Le livre est partagé en
deux tomes, la première partie s’appelant : « Les faits et les mythes » et la deuxième partie
s’appelant « L’expérience vécue ». Dans la première partie, de Beauvoir mette l’accent sur le fait
que la conditionne de la femme dépend du contexte sociale. Ainsi, elle formule une idée qui va la
consacrer et qui va représenter, en fait, l’idée centrale de sont livre : « On ne naît pas femme, on
le devient. » La deuxième partie du livre, humanise de nouveau la conditionne de la femme et
montre pour quoi elle a été nommée « l’autre » par rapport à l’homme, le pylône central du
monde.

La manière dans laquelle le livre est écrit et les arguments apportés, ont mené a
considérer cet œuvre comme la Bible des femmes. Simone de Beauvoir invite les femmes à
disposer de leurs propres corps et de choisir en toute liberté. Elle stimule à la libération de la
femme, aussi de point de vue politique, que de point de vue personnel. Les femmes sont invitées
à faire ce qu’elles veulent, à choisir librement si se marier ou non, si faire des enfants ou non, à
choisir librement la carrière qu’elles veulent suivre. En effet, les femmes sont invitées à
s’émanciper et à ne plus mettre l’accent sur les contraintes morales.

Bien sûr, l’œuvre de Simone de Beauvoir a été durement critiquée par les écrivains du
moment et on a essayé d’apporter des arguments scientifiques et biologiques pour montrer que
de point de vue naturel, la femme ne peut jamais avoir la même conditionne qu’un homme. Elle
est menacée à la morte et les journalistes du moment la considèrent être folle. Son partenaire,
Jean-Paul Sartre partage le féminisme de Simone de Beauvoir seulement de point de vue
théorique et il apprécie chez elle sa nature dualiste. Il considère qu’elle a l’intelligence d’un
homme est la sensibilité d’une femme.

Tenant compte de l’impact eu sur la société moderne, on peut dire que ce livre représente
un vrai manifeste politique, un livre de combat, ayant aussi une nature philosophique, d’une
manière existentialiste, parce qu’on met l’accent sur la conditionne de la femme comme
« l’autre ». Elle décrit l’oppression masculine manifestée dans la société, ainsi que dans la sphère
de la vie priée. Elle montre les inégalités existantes dans le champ de travail, les discriminations,
les harcèlements, l’abus et les violences physiques et morales que les femmes subissent.
Ce qui est le plus choquant dans ce livre, c’est la manière dans laquelle Simone de
Beauvoir invite les femmes de prendre leur destin aux mains et de s’opposer à ces inégalités.
Etant vraiment passionnée par la philosophie et influencée par l’existentialisme de Jean-Paul
Sartre, on peut voir qu’elle décrit la conditionne des femmes d’une manière hégélienne. La
relation homme-femme est décrite comme la relation maître-esclave rencontrée dans la plus
importante œuvre de Hegel, « Phénoménologie de l’Esprit ». Ainsi, l’oppression de la femme est
réalisée par la nature impérialiste de l’homme et elle devient l’Autre absolu. C’est pour la
première fois dans l’histoire qu’une femme ose à demander l’égalité absolue entre les hommes et
les femmes, an abordant les thèmes de la maternité et de l’avortement et en invitant toutes les
femmes de conscientiser leur pouvoir de choisir.

Que reste-t-il de Simone de Beauvoir ? Fondateur du mouvement féministe, jusqu'à la fin


de sa vie, elle va continuer à aborder des sujet controversés, comme l’amour, la morte ou
l’euthanasie, suit à l’expérience vécue. Ainsi, en 2008 le prix « Simone de Beauvoir, pour la
liberté des femmes » est crée en son honneur.

Même si « Le deuxième sexe » est paru en 1949, les cinquante années qui suivent vont
contribuer à la réalisation de son projet. Suit à son manifeste avec la contribution d’autres
femmes célèbres va sortir la pilule anticonceptionnelle, l’avortement devient légal, on fonde des
écoles mixes où étudient dans le même environnement les filles et les garçons et les femmes
peuvent s’intégrer à n’importe quel domaine de travail, sans discrimination.

Pour le présent, le féminisme ne constitue plus une orientation primordiale, mais certains
thèmes abordés par le féministe restent partagés au niveau de l’opinion publique. Même si on a
fait des progrès considérables en ce qui concerne la participation des femmes au domaine du
travail et à la vie politique, l’égalité de chances entre les femmes et les hommes reste une
questionne d’actualité dans l’espace publique. On peut dire que le féminisme a connu une longue
et une complexe évolution, un progrès général de point de vue théorique, ainsi que de point de
vue organisationnel, en réussissant de dépasser les confies nationales, les préjugés politiques et
sociaux, en devenant une cause à laquelle ont contribué les femmes de toute le monde et de
toutes les époques.
Bibliographie :

Simone de Beauvoir, Al doilea sex,  Bucuresti, Editura Univers, 1998.

Denishuisman, Dictionar de opere majore ale filosofiei, Bucuresti, Editura Enciclopedica, 2001.

Catherine Suguret, Femei celebre pe divan, Bucuresti, Editura Curtea Veche, 2009.

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