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Partie B :
2018/2019
1. La couche Physique :
1.1. Introduction:
Décrit les caractéristiques électriques, fonctionnels et physiques de la connexion de la
station sur le réseau, c'est-à-dire tout ce qui concerne les câbles, les connecteurs, et les
cartes réseau. Elle gère le type de transmission (synchrone /asynchrone) et procède
éventuellement à la modulation/démodulation du signal.
Objectif: transmettre les informations numériques codées par l’ordinateur sur un support
physique de Transmission.
Synchronisation
Codage des éléments binaires
Modulation
Définition des jonctions
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Il faut associer une valeur binaire à chaque élément d’information
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Données discrètes
Exemple de codage :
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Remarque :
Les signaux bande de base sont sujets à une atténuation dont l’importance dépend du
support. Ils doivent être régénérer périodiquement, en utilisant des répéteurs.
Exemple :
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L’amplitude est une valeur indiquant l’écart maximal d’une grandeur qui varie
périodiquement.
La pulsation est la quantité caractérisant la variation temporelle de phase d’une
grandeur sinusoïdale.
La fréquence est le nombre de périodes (oscillations) par seconde.
La représentation sous la forme d'un signal électrique est donnée par la figure suivante:
Tout ou Rien
1 0 1 1 0 0 0 1 0 0 1 1 0
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b) Codage Manchester biphasé
Le niveau logique '0' provoque le passage de +a à -a au milieu du moment élémentaire
Le niveau logique '1' provoque le passage de -a à +a au milieu du moment élémentaire
1 0 1 1 0 0 0 1 0 0 1 1 0
a) Modulation d’amplitude :
Le signal est modulé en faisant varier l’amplitude => s(t) = A(t).sin(.t + )
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b) Modulation de fréquence :
Le signal est modulé en faisant varier la fréquence => s(t) = A.sin(2f(t).t + )
c) Modulation de phase :
Le signal est modulé en faisant varier la phase => s(t) = A.sin(2f.t + (t))
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1.3.4.2 Multiplexage temporel (MRT ou TDMA):
Le principe du MRT – Multiplexage à Répartition dans le Temps, dit également TDM (Time
Data Multiplex ou Time Division Multiplexer) ou TDMA (Time Division Multiple Access),
consiste à attribuer un intervalle de temps à chaque voie de communication.
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1.4. Modèle général d’un canal de transmission
Jonction ou interface :
Permet à l’ETTD de piloter l’ETCD pour établissement et libération du circuit,
échange de données, …
Signal numérique
Le taux d’erreurs : est le rapport du nombre de bits erronés reçus au cours d’une
période d’observation, au nombre total de bits transmis pendant cette période.
La disponibilité : permet d’évaluer la proportion de temps pendant lequel la
transmission est possible (absence de panne ou de coupure).
Le débit binaire D : représente le nombre de bits transmis par seconde. On précise
éventuellement si ce débit est possible en duplex intégral, en semi duplex ou en
simplex.
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1.5. Les différents types de relations :
1.5.1. Unidirectionnel (Simplex)
Dans une relation unidirectionnelle, dite aussi simplex, l’information circule toujours dans le
même sens, de l’émetteur vers le récepteur (exemple la radio). Une seule voie de
transmission suffit donc à un tel type de relation.
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1.6. Les modes de transmission et de liaison
1.6.1. Les modes de liaison :
Liaison point à point :
Liaisons multipoints :
o Le support est partagé par plusieurs terminaux
o Politiques d’accès au support
Le mode maître/esclave (polling/ selecting)
Le mode d’égal à égal (réseaux locaux)
Transmission synchrone/asynchrone
o Les horloges sont synchronisées
o Les horloges dérivent (bit de start/stop)
a) Transmission synchrone
Un signal numérique est synchrone si
o Les intervalles de temps alloués à chaque symbole sont égaux
o Coïncident avec les périodes successives d’un signal appelé base de
temps ou horloge.
Les transmissions synchrones sont utilisées pour acheminer des volumes
importants d’information (transfert de fichiers par exemple).
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b) Transmission asynchrone
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1.7. Les supports de transmission
Bouchon de terminaison :
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Fibre optique : LAN, MAN, WAN
De moins en moins coûteuse
30km sans répéteur, fiabilité
Très haut-débit (50000 Gbits/s en théorie)
Satellites : WAN
Répéteurs dans le ciel
Grande couverture géographique
Bande passante élevée
Délais élevés (250 à 300 ms de latence)
Coût élevé par équipement
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Caractéristiques des supports de transmission
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2. La couche Liaison de Données :
2.1. Introduction:
Elle détecte et corrige, si possible, les erreurs dues au support physique et signale à la
couche réseau les erreurs irrécupérables.
Une trame est une suite binaire de taille bornée contenant des informations de types
“ données ” et/ou des informations de contrôle nécessaires pour réaliser les fonctions de ce
niveau.
La trame transporte les données de l’utilisateur mais elle contient aussi des informations de
contrôle (l’entête) qui sont nécessaires au protocole pour le bon déroulement du dialogue.
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2.3. La délimitation des données
Les trames sont des blocs composés d’un nombre quelconque de bits et on parle de
protocole orienté bit. Le fanion sert à délimiter les trames.
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La technique du bit de bourrage
Avec un tel mécanisme, on interdit donc l’émission de plus de 5 éléments binaires de
valeur 1 sauf pour la délimitation de trames (Les fanions).
En pratique
RTC : Teb=10-4
Réseaux locaux : Teb=10-9
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a) La détection par écho
Problèmes :
o redondance totale
o l'écho peut lui-même être erroné
o redondance totale
o la réplique peut être erronée
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c) La détection d'erreur par clé calculée
Problème :
Exemple :
o Un exemple simple : la technique du bit de parité
o Les codes à redondance cyclique (codes polynomiaux)
Lorsqu’une trame est bien reçue, la station réceptrice envoie une trame
d’acquittement ACK, après réception de l’ACK l’émetteur peut transmettre une
nouvelle trame.
Problème : l'émetteur peut rester bloqué indéfiniment si M0 ou ACK est perdu
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b) La reprise sur temporisation
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c) Numérotation des messages émis
Perte de l'acquittement
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Délai d'acquittement trop important
Principe du piggybacking
Quand une trame arrive de A, l'acquittement est envoyé par B dans la trame suivante
à destination de A. Quand B n'a pas de message à envoyer à A, il envoie une trame
d'acquittement pour éviter le déclenchement du temporisateur.
Avantages : meilleure utilisation de la bande passante et moins de trames
échangées.
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Notion RTT - Round Trip Time
E= U*(1-Teb) U+G+K/N
Protocole à anticipation :
L'émetteur peut faire plusieurs émissions successives sans attendre l'ACK des messages
précédents :
Il faut mémoriser TOUS les messages non acquittés sur l'émetteur dans des "buffers"
Quand un ACK arrive, l'émetteur peut libérer le buffer correspondant au(x)
message(s) acquitté(s)
s'il n'y a plus de buffer libre, l'émetteur doit attendre l'arrivée d'un ACK pour
continuer d'émettre.
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Principe :
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Gestion de la fenêtre avec W=3
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2.5.4. Le contrôle de flux
Le nombre de buffer (tampons mémoire) sur le récepteur est limité, l'émetteur ne doit pas
émettre plus de données que le récepteur ne peut en accepter sinon les paquets seront
perdus.
On appelle crédit d'émission (Ct) le nombre de blocs que l'émetteur est autorisé à
transmettre.
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Le mode connecté (3 phases) :
La plupart des personnes, n'ayant pas chez elles de ligne (câble ou Ethernet) reliée
directement à Internet, sont obligées d'utiliser les lignes téléphoniques pour se connecter à
Internet. La connexion se fait grâce à un modem.
Etant donné que seuls deux ordinateurs communiquent et que le débit d'une ligne
téléphonique est faible par rapport à celui d'un réseau local, il est nécessaire d'utiliser un
protocole permettant une communication standard entre les différentes machines utilisant
un modem, et ne surchargeant pas la ligne téléphonique. Ces protocoles sont appelés
protocoles modem.
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Il existe désormais deux grands protocoles de modem :
SLIP: un protocole ancien, faible en contrôles (pas contrôle d’erreur)
PPP: le protocole le plus utilisé pour les accès à Internet par modem, il autorise un
adressage des machines
PPP signifie Point to Point Protocol, (protocole point à point). Il s'agit d'un protocole
beaucoup plus élaboré que SLIP. Il est mieux adapté à la transmission de données sur
Internet.
Peut véhiculer des protocoles de niveau 3 autres qu’IP.
Permet la compression d'entêtes IP et TCP pour augmenter le rendement
Peut détecter et corriger les erreurs de transmission
encapsulation :
PPP ajoute 1 ou 2 octets au paquet, indiquant le protocole de couche 3
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format de trame :
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3. La couche Réseau :
3.1. Introduction:
Cette couche est chargée de l'acheminement des données sur l'ensemble du réseau en
utilisant des informations d'adressage. On y gère ainsi le choix des trajets (adressage et
routage des paquets de données entre les nœuds du réseau) les multiplexages éventuels et
le contrôle de flux.... Si un nœud est surchargé ou hors-service, le contrôle de flux doit éviter
les congestions et les données doivent être déroutées vers un autre nœud.
L'unité de données est le paquet. La couche réseau assure également la traduction des
adresses logiques en adresses physiques.
Donc la couche réseau rend un service d’acheminement des paquets d’une entité réseau à
une entité réseau distante. Elle doit remplir les fonctions suivantes:
L’adressage
Le contrôle de flux
Le routage
Des services supplémentaires :
o Livraison en séquence des paquets
o Transport accéléré des paquets de supervision (données exprès)
o La segmentation et le regroupage.
o Multiplexage des connexions de réseaux
o …..
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3.2. Les modes de connexions
Deux techniques sont possibles pour assurer le transfert de données d’un point vers un
autre : le mode connecté ou le mode sans connexion. Au niveau du réseau, le premier utilise
les circuits virtuels et le second les datagrammes.
Service avec connexion : ce type de service repose sur le concept de circuit virtuel. Il
consiste à chercher une fois pour tout un chemin et à le garder tout au long de la
communication. Celle-ci se fait en 3 phases:
Le terme circuit virtuel signifie que l’émetteur et récepteur ont l’impression d’avoir
une ligne physique qui les relie. (Le téléphone fonctionne sur ce principe : circuit
physique réel).
Service sans connexion : dans ce type de service le paquet est appelé datagramme.
o Les datagrammes sont des paquets indépendants les uns des autres;
chaque paquet choisit son propre chemin en fonction de sa taille, du
trafic au moment où il est émis, etc.
o Les paquets peuvent ainsi arriver en désordre.
Paquet 1 Paquet 1
Destinataire
Emetteur
Paquet 2
Paquet 2
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o Le mode datagramme est intéressant lorsque les paquets sont longs.
Le chemin le plus rapide est choisi à chaque fois.
o Par contre lorsque les paquets sont petits et nombreux, il est
pénalisant d’incorporer à chacun les informations nécessaires au
routage et de calculer individuellement la route.
3.3. La commutation
Principe de la commutation :
Commutation de circuits
Un circuit physique (chemin) est construit de bout en bout entre l’émetteur et le
récepteur
la mise en relation est réalisée par les commutateurs avant tout échange de données
(phase de connexion)
le circuit est bloqué (phase de transfert) tant que les deux abonnés ne le restituent
pas explicitement (phase de libération)
Exemple : le Réseau Téléphonique Commuté
Caractéristiques
o Garantit le bon ordonnancement des données
o Pas de stockage intermédiaire des données
o Débits source/destinataire identiques
o Les abonnés monopolisent la ressource durant toute la connexion
Inconvénients
o S'il n'y a plus de ressource disponible de bout en bout, la connexion
est refusée
o Mauvaise utilisation des ressources : les deux abonnés consomment
rarement toute la bande passante
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Commutation de messages
Avantages
o Meilleure utilisation des liens qu'avec la commutation de circuit
o Possibilité de faire de la diffusion d'un même message
o De faire du contrôle d'erreurs entre deux commutateurs voisins
Inconvénients
o Nécessite une mémoire de masse importante dans les commutateurs
o Temps d'acheminement non maîtrisé si un message est corrompu, il
devra être retransmis intégralement
Commutation de paquets
Avantages
o Optimisation de l'utilisation des ressources
o Transmission plus rapide que dans la commutation de messages
o Retransmission uniquement du paquet erroné en cas d'erreurs
Inconvénients
o Il peut être nécessaire de réordonner les paquets pour reconstituer le
message
o Chaque paquet doit contenir les informations nécessaires à son
acheminement
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Acheminement en mode datagramme ou mode non connecté.
exemple : Internet
Les paquets peuvent emprunter des chemins différents
Ordre d’arrivée différent, reconstitution à l’arrivée
Risque de perte de paquets si un nœud est engorgé
Pas de contrôle de flux possible de bout en bout
Simplicité de mise en œuvre (la complexité est reportée dans les
extrémités qui doivent reconstruire le message).
Commutation de cellules
Commutation de paquets mais taille des paquets fixe : 53 octets - on parle de cellule
(5 octets d'en-tête + 48 octets de données)
Commutation plus simple et plus rapide meilleure gestion de la mémoire et des files
d’attente.
Utilisée dans les réseaux ATM.
Commutation de trames
3.4. Le routage
Choix de la route
? Destinataire
Emetteur
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Le routage est la fonction qui peut sembler le plus importante dans la couche réseau. Quelle
que soit le mode employé, datagrammes ou circuits virtuels, le problème est le même:
A1
File d’attente en
entrée Table de
A2
routage
D4 D1 D2 D1
Nœud de A3
commutation
Les algorithmes de routage utilisent une table installée dans chaque nœud du réseau
et consiste à fixer par quelle ligne de sortie chaque commutateur réexpédié les
paquets qu'il reçoit.
Les principales actions à entreprendre pour déterminer une table de routage sont les
suivantes:
Les nœuds du réseau doivent communiquer leur état à leur voisine, tous les
nœuds du réseau ou à un centre de contrôle.
Chaque nœud ou le centre de contrôle doit assembler les rapports qu'il a
reçus pour en tirer un état global du réseau.
En fonction de l'état global du réseau déterminer une table de routage.
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On peut définir deux classes de routage :
Routage centralisé
Routage distribué
Routage centralisé :
Le routage centralisé est géré par un nœud particulier du réseau qui reçoit des
informations de chacun des nœuds du réseau et leur envoie leur table de routage.
La mise à jour des tables de routage peut se faire de la manière suivante:
o La méthode la plus simple est, un routage fixe pour une configuration donnée. En
cas de défaillance d'un élément du réseau, le centre envoie une nouvelle table de
routage.
o Synchrone: toutes les tables sont mises à jour au même moment par le centre de
contrôle qui reçoit des informations de la part de tous les nœuds à intervalles
réguliers.
Routage distribué :
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3.5. Contrôle de flux et de congestion
Congestion :
Quand il y a trop de paquets présents dans le réseau, ou une partie du réseau, les
performances se dégradent.
Le contrôle de flux
Traite le trafic entre l’émetteur et le récepteur.
Les techniques mises en place pour éviter la congestion sont des mesures préventives.
Cependant, ces techniques ne garantissent pas l’absence totale de congestion, il faut des
méthodes de guérison de congestion.
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